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| mafia des généraux algériens | |
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Invité Invité
| Sujet: mafia des généraux algériens Mar 28 Juil 2009 - 8:25 | |
| d'abord qui sont-ils ? - Citation :
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Larbi BELKHEIR Chef de Cabinet de Bouteflika
Ne à Frenda dans l'ouest Algérien en 1937 ce fis de caïd était un enfant de troupe comme son père, il a toujours servi sa mère patrie : la France, il rejoint l'ALN en 1958 ( Promotion Lacoste ) au poste frontière de Garn El Halfaya ( sud de Kef ) en passant par la base de FLN à Tunis; il n'a donc jamais porte les armes contre les troupes coloniale,Belkheir a été affecté au camp d'instruction de Oued Meliz ( près de Ghardimaou).il était charge de former le 45éme Bataillon. En compagnie d'un autre enfant de troupe Guenaizia il a tenu la fameuse réunion avec les officiers de l' ALN à la frontière Tuniso-algérienne destiné a repartir les tâches a la tête du commandement de l'armée. A l'indépendance il est capitaine et chef de sous groupement stationné à Constantine, on l'envoie s'instruire à l'école d'état-major en URSS et devient directeur de l'infanterie
1965- 1975 : chef d'état- major à Ouargla et enfin chef d'état-major à la 2e région militaire pendant dix ans. région militaire commandée par Chadli Bendjedid 1975 - 1979 : il obtint le grade de Commandant, et dirige l'ENITA ( l'École National des Ingénieurs et Technicien d'Algérie ) la ou fut tenu le conclave ou il a été décide l'intronisation de Chadli Benjdid a la tête de l'état Algérien et non au siége du Conseil de la Révolution, comme on a laisse croire.
Larbi Belkheir a fait l'essentiel de sa carrière sous l'ombre de Chadli qui est également ancien officier de l'armée Française , il le rejoint logiquement a la présidence et obtint le poste de chef du haut conseil de sécurité et de la défense (HCS )en 1979.Pendant dix ans,( 1979 - 1990 ) il occupe les postes suivants : Chef du HCS, secrétaire générale de la présidence et enfin directeur de cabinet du président Chadli. Il s'occupe a diviser les services secret Algériens, la S.M, commandé par Kasdi Merbah, car Belkheir savait qu'il fallait diviser pour régner, il commence par saboter puis dissoudre la DCSM ( Direction central de la sécurité Militaire ) grâce au soutiens de ses hommes place aux postes stratégique des services, il crée la DRS ( Département des Renseignements et de la Sécurité ) et met a sa tête son homme de main a l'époque le Colonel Tewfik en 1990. Juin 1991 : en prévision de coup d'état contre Chadli, il se proclame ministre de l'intérieur dans le gouvernement de Sid Ahmed Ghozali pour ne pas éveiller les soupçons et charge le ministre de la défense Khalled Nezzar d'organiser le coup d'état. Après l'assassinat de Mohamed Boudiaf a Annaba en Juin 1992, Larbi Belkheir qui était parmi les instigateurs soupçonner du meurtre de président, se retire de la scène politique, en juillet, pour se consacrer entièrement à ses affaires. Mais il reste en contacte permanent avec les autre décideurs ces derniers organisent en Juin 1998 l'assassinat du chantre de la cause Berbére Matoub Lounes pour chasser Zeroual de la présidence de la république Fin 1998, sa résidence à Hydra est le siége des tractations entre Bouteflika et les généraux pour la désignation de celui ci à la présidence de l'état. En décembre 2000; il devient le chef de cabinet de Bouteflika malgré le refus de ce dernier de le nommer officiellement a ce poste, il a du céder sous les pression de si Larbi. Larbi BELKHEIR est l'homme araignée, il est le proche confident des islamistes et des soit disant éradicateurs, il a ses pions dans tous les camps. Il a mené les négociations avec le FIS en 1991. Il est l'agent de l'Elysée ( la France ) par excellence, c'est l'homme de main de Jacque ATTALi , le conseiller politique de françois MITTERAND, il a appuyé la France sur maintes et un dossier délicat concernant sa politique algérienne. Un de ses frères est d'ailleurs un militaire haut gradé dans les services se sécurités de l'armée française, ce dernier a jouer un rôle important pendant le règne de Mitterand. C'est aussi, l'homme de la" déboumedianisation". Il a activement contribué à effacer, tous ce qui avait attrait à l'Algérie de Boumédienne alors qu'il a fait l'essentiel de sa carrière en prêtant allégeance a ce dernier.
C'est le serviteur attentionné de la famille du président Chadli . Il se rapproche de la seconde épouse de Chadli, Hlima Bendjedid, et devient ainsi un intermédiaire influent. Un "Chayate" ( servile laudateur ) par excellence, Il a été le point nodale des familles Chadli / Bourekba / Lahouel . Il nomme et il gomme les gens qui font partie du système. Avec Hlima, Larbi forme un duo terrible qui sévira pendant longtemps jusqu'as ce que Chadli somme sa femme de ne plus s'immiscer dans la politique. Belkheir à toujours su profiter des occasions qui se présentait, c'est lui qui a repêché Smain LAMARIi (qui est actuellement un des décideurs ) quand le général Betchine l'avait viré en 1990. L'actuel patron des services secrets, Mediene dit Tewfik, a une dette envers lui, Belkheir l'a mis à la tête de ce département. Il est connu d'être le parrain de la Mafia politico-financière algérienne, en 1992 il prend sa retraite pour s'occuper de ses affaires entre Alger et les grandes capitales occidentales. Pendant cette période, il a su se faire petit et faire oublier les doutes qui entaché ses mains sur l'assassinat de Boudiaf. Son retour en force actuellement avec son poulain Bouteflika, prouve que sa retraite fut intentionnelle et rentre dans le cadre d'une stratégie élaboré par un cabinet noir qui préside aux destinées du pays. Tous le monde sait sur Alger, que c'est lui le principal ciment et jointure entre Bouteflika et les généraux Algériens.
Comme par enchantement, le général fait un revirement total de position et apporte sa caution au candidat Bouteflika, Belkheir était passé auparavant beaucoup de temps pour convaincre Nezzar, de la nécessité de l'avoir comme président de la république. Après quelque « gaffes » du président Bouteflika, Belkheir décide de s'approcher de la présidence pour mieux surveiller son poulain qu'il a imposé aux décideurs et faire la jonction entres le président et le pouvoir réel Algérien. Belkheir est actuellement directeur du cabinet du président Bouteflika Il a tissé un réseau de relation extrêmement puissant et efficace dans le monde entier, surtout en France. Larbi Belkheir est le vrai président de l'état Algérien - Citation :
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Mohammed LAMARI Général des corps d'Armée
Le plus " Fou " des généraux mafieux, il doit son ascension a sa grande gueule et a son audace mais sûrement pas a ses compétences et sa bravoure. Mohamed Lamari est né a Alger le 7 juin 1939, mais il est originaire de Biskra, avant de rejoindre l'ALN en 1961 au Maroc quelques mois avant la signature des accords de cessez le feu, il avait suivi une formation à l'école de cavalerie de Saumur en Françe. A l'indépendance, il a été officier instructeur, avant d'occuper le poste de chef d'état major dans les différentes unités opérationnelles qu'a eu a diriger l'Ex président Liamine Zeroual. feu président Boudiaf se méfiant de lui ordonna sa mise en retraite en mars 1992, mais son ordre n'a jamais été exécute, au contraire les généraux putschiste lui ont confie le commandement du COLAS ( Centre Opérationnel de la lutte Anti- subversifs ) dans la foulée il est promu Général de corps d'armée le 1er Novembre 1993. Mohammed Lamari se distingua lors de la réunion des chef d'états majors et des commandants des régions militaires a la fin du mois de décembre 1991 juste après l'annulation des résultats du premier tour des élections législative, en approuvant les idées du ministre de la défense a l'époque Khalled NEZZAR, sa loyauté fut très vite récompense. Aujourd'hui il est l'un des décideurs du sort de tous le peuple Algérien. on l'appel " l'éradicateur" car il prône l'éradication total des groupes armés islamiste alors que d'autres généraux majors comme Belkheir et Touati préfèrent utiliser ces cellules terroristes pour se maintenir au pouvoir et continuer a utiliser le prétexte du terrorisme islamique. complément d'informations sur MOHAMED LAMARI Chef d'état-major de l'ANP Né le 7 juin 1939, à Alger, dans une famille originaire de Biskra, dans le sud-est algérien, Mohamed Lamari est un homme massif au regard autoritaire et aux manières cassantes. Issu de l'armée française durant la guerre d'Algérie, il a été formé dans la cavalerie à l’Ecole de guerre de Saumur en France. Il rejoint l’Armée de libération nationale (ALN) en 1961. Il suivra plus tard une formation d'artilleur à l'Académie militaire de Frounze (ex-URSS), puis d'officier d'état-major à l'Ecole de guerre de Paris. Tour à tour officier d'instruction, directeur d'école, commandant d'unités opérationnelles, chef de région militaire, Mohamed Lamari se distingue tout particulièrement en janvier 1992 lors d'un conclave réunissant prés de 200 officiers, où il demande, de façon tonitruante, au président Chadli Bendjedid de démissionner. Il estimait, après la victoire du FIS aux législatives de décembre 1991, que la gestion du « péril islamiste» passait avant tout par le départ du président. Écarté un moment par le président Boudiaf en 1992, il est chargé de la création d'une « task-force » anti-terroriste de 15 000 hommes. Le commandement de celle-ci lui vaudra de prendre la direction de l'état-major en juillet 1993 dans la foulée de la nomination du général Liamine Zeroual au poste de ministre de la Défense. Depuis, il est au centre de toutes les promotions militaires. Il est promu au grade de général de corps d’armée et devient de fait le ministre de la Défense lorsque Liamine Zeroual est désigné à la présidence de la République
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Général Major Mohamed Lamine MEDIENE dit "Tewfik" Chef de la D.R.S
Le plus énigmatique de nos généraux mafieux, c'est normal le général major Médienne dit Toufik a passé toute sa vie dans les services secrets Algériens. Né en 1939 à Gueznet dans la petite Kabylie, il grandit à saint Eugène ( Bologhine ) il rejoint les rangs de l'ALN en 1961 dans l'est algérien quelques mois avant la signature du Cessez le feu, a l'indépendance il intègre la direction des services secrets ou on l'envoie en stage de formation en URSS au sein du KGB. De retour il nous d'exélentes relations avec le futur président de la république Chadli Benjdid et son chef de cabinet Larbi Belkheir dans la 2 eme Region militaire. en 1978 il est capitaine et homme de confiance de Chadli, il réintègre la direction central de la SM et prend la tête de la sous direction de la sécurité de l'armée sous le commandement du général Lakehal Ayat directeur Central de la sécurité militaire. en 1987, sous l'influence de sa belle famille, le président Chadli signe un décret pour lequel le sous lieutenant - colonel Tewfik est désigné pour la succession du général Hocine benmalem a la tête de la DADS ( département des affaires de défense et de sécurité ) il aura sous a coupole tous les services de sécurité du pays ( police, Gendarmerie, sécurité militaire ) Après le départ ( mutation ) de Lakhal Ayat, il devient directeur central de la sécurité de l'armée en remplacement du général Betchine, la démission de ce dernier en octobre 1990 lui permet de mettre sous sa coupe tous les services de sécurité en créant la D.R.S ( Direction du renseignement et de la sécurité ). Le général Major Mediene toufik est le patron des patron des services secret Algérien depuis plus de douze ans, il a détourné des milliards de dollars et a orchestre plusieurs opération de "nettoyage" , il s'est occupé entre autres d'organiser l'assassinat de Boudiaf en juin 1992 et de Kasdi Merbah un an plus tard avec son adjoint a l'époque le général Smain complément d'information sur ... MOHAMED MEDIENE Directeur du Département renseignements et sécurité Le général-major Mohamed Mediene est issu d’une famille kabyle originaire de Guenzet dans l’est Algérien. Plus connu sous le surnom de « Toufik », il n'émarge pas au MALG – ancêtre des services de renseignements algériens – dans les années 50, à la différence de la plupart des patrons du renseignement algérien. A l'Indépendance M. Mediene fait partie de la promotion « tapis rouge » qui suit ses premières classes dans les écoles du KGB. Affecté, avec le grade de lieutenant, à la deuxième région militaire, dirigée depuis l'Indépendance par le colonel Chadli Bendjedid, Mohamed Mediene est nommé officier de sécurité de cette zone frontalière du Maroc. Sous le commandement du colonel Bendjedid, il effectue un long chemin de compagnonnage avec un capitaine influent, Larbi Belkheir, alors chef d'état-major de la deuxième région militaire. Sous la direction de Medjdoub Lakehal Ayat, patron de la Sécurité militaire (SM), qui le trouve encombrant, il est nommé attaché militaire à Tripoli en 1983. De retour de son « exil » diplomatique, il dirigera brièvement la Direction centrale du génie militaire. En 1986, il devient chef du Département défense et sécurité à la présidence de la République, où Larbi Belkheir occupe la fonction de directeur de cabinet du président Chadli Bendjedid. Lorsque la Délégation militaire de prévention et de sécurité (DGPS) est créée en mai 1987, il y devient directeur de la Sécurité de l'armée (SA), la police politique de l'Armée nationale populaire. À la dissolution de la DGPS en septembre 1990, il prend la tête du Département de recherches et de sécurité (DRS) qu'il dirige à ce jour. Sa carrière démarre réellement avec la destitution du président Chadli Bendjedid en janvier 1992 et la montée de la menace islamiste. Dirigeant à la fois la sécurité intérieure, les renseignement extérieurs et la SA, Mohamed Mediene a un poids considérable dans le système politico-militaire algérien. Cet amateur de cigares qui apparaît rarement en public possède, par le biais de ses réseaux et de sa fonction, un puissant ascendant sur les médias, les partis politiques, les lobbies d’affaires et les différents courants de l’armée.
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| Sujet: Re: mafia des généraux algériens Mar 28 Juil 2009 - 8:28 | |
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Général Major Smain LAMARI Chef de la DCE L'artisan du plan de l'assassinat du président Boudiaf, Smain LAMARI est avec Mohamed Lamari, Fodil Cherif et Abdelmajid, l'exécutant des décideurs. Né en 1941 originaire de Beni Slimane dans la région de Titteri, en 1961 il s'engage dans l'ALN a l'indépendance il fait un court passage dans la police puis s"engage dans la marine national. en 1973 il suit une formation spécial pour obtenir le grade de sous-lieutenant, il a toujours évolue dans les service opérationnel. En 1989 le général Betchine, qui ne le porte pas dan son coeur, le limoge sans raison apparente, le lieutenant-colonel Smain LAMARI va se plaindre a Larbi Belkheir, chef du cabinet du président Chadli, quelques jours plus tard, il est nommé inspecteur général de la direction de la sécurité de l'Armée, passé sous le contrôle de Tewfik. après le départ a la retraite de Betchine, Smain est nomme chef du département du contre-espionnage, sous les ordre direct du général Tewfik, un poste qu'il occupe jusqu'a aujourd'hui. Smain fut chargé par Larbi Belkheir d'organiser l'assassinat du président Boudiaf en juin 1992. En 1999 il est charge par Belkheir d'organiser la reddition des éléments de l'armée Islamique du Salut ( AIS ) dirigé par Madani MERZAG, et faire passe le projet officiellement sous le nom de la nouvelle politique du président Bouteflika, les algériens qui ont voté naïvement ne savaient pas que cette accord avec les terroristes du parti dissous est en réalité le retour au bercail des centaines d'agents de la DRS infiltrés dans les maquis islamistes pour contrôler les groups islamiques armées, ce que Bouteflika ignore aussi d'ailleurs, l'accord signe avec les "terroristes" n'est que la signature de fin de mission pour ces agents des services secret dirigé aujourd'hui par Tewfik et Smain. Aujourd'hui c'est l'homme de liaison entre la DST ( service secrets Française ) et la DRS / DCE. complément d'informations sur : Gle SMAIN LAMARI
Chef de la Direction de contre-espionnage (DCE) Homonyme du chef d'état-major Mohamed Lamari, Smaïn Lamari est né à Belfort en 1937 dans la banlieue est d'Alger. Fils d'un chauffeur de taxi originaire de Sour el Ghozlane, il fréquente le lycée d'El Harrach avant de rejoindre l'Armée de libération nationale dans la wilaya (zone) IV. En 1962, au moment de la crise qui frappe la wilaya, il rejoint le corps de la police comme contractuel et entreprend un stage pour devenir officier. Après quelques mois, il est récupéré par l'armée avant d'être envoyé en Égypte, où il poursuit des études militaires. Il fait l'essentiel de sa carrière dans les services opérationnels de la Sécurité militaire (SM), de la Délégation militaire de prévention et de sécurité (DGPS) et du Département recherches et sécurité (DRS). Depuis 1992, il dirige la Direction de la sécurité intérieure (DSI), chapeautant, notamment, la lutte contre le terrorisme islamiste et le contre-espionnage. Homme de l’infiltration de nombreux réseaux islamistes en Algérie et à l'étranger, Smaïn est par excellence une synthèse de l'homme de renseignement et de l'homme d'action. Il a été l’interlocuteur privilégié de la DST française et notamment du général Philippe Rondot, coordinateur des renseignement français au ministère de la Défense à Paris. Il a eu en charge les dossiers des GIA et des islamistes exilés en Europe, et dirige de fait la Sûreté nationale (police) algérienne, durant les premières années du terrorisme urbain. Il a été au centre de négociations qui ont conduit l’Armée islamique du Salut (AIS) à déposer les armes, en octobre 1997.
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Général Major Khaled NEZZAR C'est le porte parole des décideurs, c'est une grande gueule ! il multiplie les conférences de presse et les déclarations officiels pour justifier la position de l'armée Algérienne a l'égard de l'interruption du processus électorale et ses conséquences sur le pays depuis dix ans. Khaled Nezzar est né en 1937 à Seriana dans les Aurès, son père sous-officier est retraité de l'Armée Française il est issu donc d'une famille aisé, contrairement a ce qu'il prétend dans ses mémoires, au lieu de rejoindre le maquis comme ses camarades pour combattre l'occupant. comme l'a fait son camarade de classe Benaceer Abdelwahab a l'age de 15 ans. Il intègre, par contre,dés son jeune age, l'école militaire des enfants de troupe puis en 1956 il rejoint le 13émé régiment de tirailleur algérien à Landeau ( en Allemagne ), comme Larbi Belkheir et Mohammed Touati il "rejoint" l'armée de libération national avec le grade de sous officier de l'armée Française, aujourd'hui on sait que l'enfant de la "promotion Lacoste" a infiltré les rangs des moudjahiddine pour occuper des postes stratégique à la tête de l'armée Algérienne après l'indépendance. en 1988 il est commandant chargée des forces terrestres ( CFT ) , il réprime durement les manifestations et émeutes d'octobre 88 en ordonnant aux forces de sécurité d'ouvrir le feu sur les jeunes manifestants, ( plus de500 morts), il est nommée juste après ministre de la défense national, après l'interruption du processus électorale dont il fut l'un des artisans il est membre du HCE ( Haut Comité d'Etat ) présidé par Boudiaf jusqu' a son assassinat en Juin 1992 par les généraux putschiste. Khaled Nezzar est officiellement en retraite depuis juillet 1993, il s'occupe de gérer sa grosse fortune qui est estimé a plusieurs milliard de francs, prélever sur la rente pétrolière du pays, les ventes des produits industriels et sur les commissions de vente des armes pour l'Algérie. il s'est découvert dernièrement une âme d'auteur il a rédiger en trois ans quatre livres, a défaut d'écrire un best seller le général Nezzar est un bien un sériel keller !
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Général Major Mohamed TOUATI Chef du conseil de Sécurité à la Présidence Mohammed Touati est un homme lettré, sans aucun doute, le conseiller diabolique du cabinet noir on le surnomme "el -Mokh" ou le cerveau. Il est né en 1936 en Kabylie, il intègre l'école militaire des enfants de troupe et se distingue entre 1957 et 1958 alors qu'il était sous officier dans l'armée française, en commandant a Tadmait des massacres sanglants contre les populations civils en représailles aux embuscades tendu par les maquisards de l'ALN contre les soldats français. Trente ans après en 1985, pendant l'inauguration d' un C.E.M dans son village natal ,il a été reconnu par des anciens maquisards de la région, il a faillit être lynché par la population local si ce n'est l'intervention des sages du village. A l'indépendance, il est chef d'état major de la gendarmerie national puis chef d'état major de la troisième région militaire sous le commandement d'un autre sous officier de l'armée Française, khaled Nezzar et enfin conseiller du ministre de la défense national puis conseiller du chef d'état major Mohamed LAMARI. En 1989 il met un pied sur la scène politique en fondant le R.C.D ( Rassemblement pour la Démocratie et la Culture ) et installe mettant le Dr said Saadi a la tête du partie, Touati est l'artisan de l'assassinat du chantre de la cause berbère Matoub LOUNES, il a charge le députe R.C.D Nouredine Ait Hamouda ( le fils du colonel Amirouche )et sa milice d'exécuter l'ignoble tâche pour déstabiliser le président Zeroual et le pousser a la démission. Depuis trois ans Touati est le Chef du Conseil de sécurité à la présidence de la république un poste crée spécialement pour lui par son ami Larbi Belkheir. complément d'informations sur : MOHAMED TOUATI Conseiller militaire du président Bouteflika On le surnomme El Moukh. Un "cerveau" sous la casquette d'un des généraux les plus influents de l'armée algérienne. Cette réputation d'"intellectuel", le général-major Mohamed Touati, la doit à son profil à facettes multiples de militaire, d'analyste politique et de juriste. L’image de "militaire qui réfléchit", cet ancien officier de gendarmerie, issu des rangs de l'armée française, qu'il a quittée en 1961, la doit aussi au fait d'être l'un des rares généraux en exercice à publier ses réflexions politiques. La première fois, fait inédit dans les annales de l’armée algérienne, au lendemain des émeutes d'octobre 1988: il publie alors dans le quotidien gouvernemental El Moudjahid une réflexion sur la Constitution et le rapport de l'armée à la politique. Cette opinion avait précédé le retrait de l'ANP du FLN, alors parti unique, et l'adoption d'une constitution consacrant le multipartisme, en 1989.
Les attentats du 11 septembre 2001 aux Etats-unis ont inspiré sa dernière intervention médiatique. C'est en sa triple qualité de conseiller militaire du chef de l'Etat, de président du Haut Conseil de Sécurité et de "représentant du ministère de la Défense", qu'il livre sa vision du rôle de l'Algérie dans la lutte internationale contre les réseaux terroristes islamistes. Une implication productive dans le domaine du renseignement. Kabyle, originaire de Achouba (région d'Azzefoun), le général-major Touati a fait sa carrière militaire dans la gendarmerie, l'administration du ministère de la Défense, et l'État-major. Il a la réputation d'être l'idéologue par excellence de la politique d'éradication du terrorisme islamiste, appliquée après l'interruption du processus électoral, en janvier 1992. Alors conseiller du ministre de la Défense Khaled Nezzar, poste qu’il occupe après avoir été directeur des opérations à l'état-major (1989-1991), il prend une part active dans la destitution du président Chadli Bendjedid, l'arrêt du processus démocratique et l'interdiction du Front islamique du salut (FIS). Cette réputation de chef de file des "éradicateurs", courant politique opposé par principe à l'existence de forces politiques d'essence religieuse et à la requalification du FIS, semble pourtant surfaite. Elle est en fait tout en nuances. C'est, en effet, le même Touati qui sera la figure de proue de la CDN, la Commission de dialogue national, mise en place par le HCE pour définir les modalités d'une transition politique avec la participation du FIS interdit. À ce titre, il rendra notamment visite en prison à Abdelkader Hachani, assassiné à Alger en 1999. Paradoxalement, cet ancien magistrat militaire, qui a défini avec l'actuel patron de l'ANP, le général de corps d'armée Mohamed Lamari et le général Abdelmadjid Taright, aujourd'hui à la retraite, l'alternative politique à l'islamisme, a appuyé la politique de "concorde civile" qui a permis de neutraliser quelque 6000 islamistes armés depuis son entrée en vigueur, en 1999. C'est ce même "éradicateur" qui souligne, en 1993 dans El Djeïch, revue interne de l'armée: « (...) le phénomène islamiste apparaît comme un nouveau choix de société et non comme un accès de fièvre sociale, culturelle et économique gérable par des remèdes superficiels, aussi violents soient-ils, ou par des antalgiques politiques (...). » Partisan d'une recomposition autoritaire de la scène politique, le général Touati reste un des principaux "décideurs politico-militaires". Partisan d'un islamisme modéré, intégré dans le jeu du Pouvoir, il défend en petit comité l'idée d'un "rôle à la turque" pour l'ANP. Dans son esprit comme dans l'idée d'autres chefs militaires, il s'agit pour elle d'être "le garant de la constitution". En clair, d'être l'ultime maître du jeu politique.
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| | | Invité Invité
| Sujet: Re: mafia des généraux algériens Mar 28 Juil 2009 - 8:32 | |
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Général Major FODIL CHERIF Chef de la 1ére Région Militaire Ancien de l'armée coloniale, il était membre des S.A.S (Service Administrative de Surveillance) mise en place après les accord d'Evian sur le cessez le feu, comme le reste des généraux du cabinet noir, le maintient de Fodil Cherif dans le club très ferme des généraux décideurs, est la preuve incontestable, de la solidarité des anciens sous officiers de l'armée Française Originaire de sidi Bel Abbes , dans l'Oranie, il commande la première région militaire depuis 1998, après le dépoart du général Said Bey accuse de négligence grave par Zeroual, il est pressenti au poste de chef d'état Major après le départ éventuel en retraite de son mentor le général major Mohamed Lamari. quoi de dire de plus sur cette homme, c'est l'un des exécutants du cabinet noir, ce n'est pas vraiment un cerveau ni un stratagème comme Belkheir, Touati ou Tewfik
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Général Major Saheb Abdelmajid Commandant 4éme Région Le général Major Abdelmajid est originaire de la grande Kabylie, lui aussi est un enfant de l'armée Française, il a "rejoint" l'ALN comme les autres généraux harkis en 1961 a quelque mois de l'indépendance, il a toujours occupes des fonctions stratégiques pour veiller aux intérêts des décideurs. Il suit une carrière militaire conventionnel, chef d'état major de la 4 éme région militaire( le Sahara ) puis chef de département à l'état major avant de retrouver la 4éme région militaire au remplacement du général Major Abdelhamid Saidi mort dans un accident de voiture suspect. C'est l'homme qui surveille l'or noir ( le pétrole ) pour les généraux Mafieux et affairistes
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Général Major Abdelmalek GUENAIZIA C'est le meilleur ami de Nezzar, il ont fait les quatre cents coups ensemble, des coups bien sûr portés contre le peuple Algérien. Ancien sous- officier de l'armée Française, il rejoint l'ALN en 1958, dans le cadre de sa mission ( Promotion Lacoste ) d'ou sa discrétion maladive sur son passé. A l'indépendance, il occupe différentes fonctions dans l'armée : Chef de bataillon, chef de groupement, adjoint chef de la 2éme région militaire sous Chadli Benjdid, c'est la ou il revoit son ancien camarade de la promotion Lacost, un certain Larbi Belkheir, puis il devient directeur central du matériel, commandant des forces aériennes et enfin chef d'état major de l'armée Entre 1990 et 1999, il est ambassadeur d'Algérie en Suisse, ou il s'occupait de préparer une retraite dorée pour les généraux mafieux en vaillant sur leurs comptes aux banques dans la capital Helvétique, aujourd'hui il est officiellement en retraite.
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| | | Invité Invité
| Sujet: Re: mafia des généraux algériens Mar 28 Juil 2009 - 22:45 | |
| une poigné d'hommes prend en otage tout un peuple! y a pas de quoi se plaindre, chaque peuple est à l'image de ceux qui le gouvernent. |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: mafia des généraux algériens Mer 29 Juil 2009 - 1:44 | |
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- LA CRÉATION DU GIA :
A la fin de 1992, les services secrets Algérien dirigé par le général Mohamed Médiene dit Tewfik, pensent qu'il est temps de lâcher le monstre, la décision de crée le GIA, fût prise par les membres du cabinet noir dirigé par Belkheir , Tewfik charge le commandant Guettouchi et le capitaine Djaafar, deux officiers du service manipulation et infiltration de la DRS, de former le premier noyau du groupe islamique armée, comme on témoignera, quelques années plus tard, le colonel Habib Semraoui sur la chaîne arabe EL Jazeera, le premier escadron du GIA, voit donc le jour, à l'intérieur de la caserne de Dely Ibrahim. les communiques des service de sécurité imputent a Mansouri Meliani, la création du premier noyau du GIA, ce dernier sera exécute après une condamnation a mort, en 1993, par la cour spécial d'Alger. Au milieu de l'année suivante, ces même services, recensé plus de 700 éléments armée dans les maquis. le monstre qu'ils ont crée a enfanter d'autres monstres, quand aux autres groupes islamique armées, ils ont étés crées par des dirigeants du partie dissous ou par des élus, poussés a prendre les armes et a employer la violence, le plus important en nombre et en armement est l'Armée Islamique du Salut ( AIS ) dirigé par Madani Mezrag, ces groupes ou "Katibat" étaient, au début, autonome et ne possédaient pas de direction, chaque groupe était dirigé par un émir, assistait par des lieutenants et la plupart ne dépassait pas en nombre plus de 30 ou 35 éléments. Les services des généraux Tewfik et Smain, ont depuis la victoire du FIS dans les élections locale, infiltrés les groupes Armées pour contrôler les opérations de représailles et la violence qui s'en découlera, ils savaient que ces groupes composés en majorité par des islamistes convaincus et farouchement opposés au régime militaire, devaient être surveillés et contrôlés, surtout pendant les premiers mois qui ont suivie le putsch ou la situation sécuritaire et politique n'était pas encore contrôlée par les généraux putschistes. le général Smain, fut charge par ces supérieurs hiérarchique, de choisir parmi l'élite des membres des corps de sécurité, des hommes pour infiltrer les groupes armée, les plus dangereux de l'époque, les maquisards dirigé par Abdelhak Layada, dont il était considéré, comme le deuxième émir du "GIA" après Meliani. mais après quelques mois d'activité terroriste , en 1993, il fut arrêté au Maroc et extrade vers l'Algérie la même année, lors de l'enlèvement des trois fonctionnaires du consulat de France en Algérie, en octobre 1993, son successeur a la tête du GIA , a exiger sa libération, afin de relâcher les ressortissants Francais, le command islamiste, fut abattu après quelques jours, et Layada restait en prison, cette opération a été organisé, en réalité, par nos services secret pour mobiliser l'opinion international et surtout la classe politique Française, qui se méfiait a l'époque du régime Algérien. Les premiers groupes du GIA, était, comme, on l' a reporter plus haut, autonomes et n'obéissait a aucun chef, c'est pour cela, que les premiers attentats et opérations terroriste perpétrés contre les membres des services de sécurité, étaient revendiqués par plusieurs groupes ou cellules, mais dés fois, n'était pas revendiques du tout, il n'y avait pas durant les premiers mois de la crise, une direction au GIA, l'absence de hiérarchie et d'une structure organisée, facilita l'infiltration des services de sécurité, parmi les groupe armée, jusqu'a la désignation de Si Ahmed Mourad alias Djafar el Afghani a la tête du GIA en Mai 1993. les premiers communiqués du groupe islamique armée paraissait a Londres, dans les colonnes du quotidien arabophone El Hayat. le journal du GIA avait pour titre "El Ansar", était signé a l"époque par cette émir, le quotidien siégeant dans la capital Britannique, continue toujours, a publier les communiqués du GIA, qui sont en faite les communiques de la DRS. Le général Lamine Zeroual fut désigné ministre de la défense, pour remplacer le Général Nezzar,(1991 -1993 ) qui souffrait d'un concert des intestins et qui a du prendre sa retraite, en Juillet 1993, dés sa nomination, il entrepris des contactes dans le secret, avec les dirigeants du partie dissoue, à la prison militaire de Blida, en septembre, il adresse une lettre signé de sa main, au chef du GIA, ou il lui demande de proclamer la trêve général et sans conditions, préalable a tous dialogue politique, c'est le cheikh Hocine Slimani, un religieux respectée par tous les factions des groupes islamique et résidant a Médéa, qui joue le rôle d' intermédiaire dans cette correspondance entre Djaffar El Afghani et le ministre de la défense. Selon , Ali Benhajar le chef de la LIDD, ( la ligue islamique pour la dawaa et le djihad ) l'émir du GIA, demande a son tour, au général Zeroual, d'ordonner la libération des dirigeants du Front Islamique du Salut , Abassi Madani et Ali Benhadj. le 30 janvier 1994, Zeroual est nomme président de l'état Algérien suite a une conférence national, le 22 février, Abdelkader Boukhamkham et Ali Djedi, sont libérés de prison, les négociations entre la présidence, une fraction de l'armée et l'émir du GIA commence a porter ses fruits, mais c'était sans compter avec les Belkheir& Co qui une résolution pacifique du conflit et la fin du terrorisme, n'arrange pas leurs affaires, eux qui vivent sur les retombes de la violence et de la guerre. le 26 février 1994, le chef du GIA, est encercle dans une maison dans les hauteurs d'Alger et abattu par les forces de sécurité, mais les contactes entre les deux parties partie continuent jusqu'a l'été 1994, entre les dirigeants du FIS libérés de la prison militaire de Blida et le président Zeroual, même si Cherif Gousmi qui a succédé a Djafar el Afghani a la tête du GIA, ne reconnaissait plus le rôle dirigeant du partie dissoue, il souhaitait que les négociations se fassent directement avec son "majliss el Chourra" du groupe armée. quelques mois après, les contactes cessèrent sous les pressions des généraux qui menaient des opérations anti-terroristes dans les maquis contre les groups armées. en juin 1994, Gousmi fut abattu, a son tour, par les services de sécurité dans une opération minutieusement préparée par les services secrets dirigé par Tewfik et Smain ou plusieurs chef et lieutenants de Gousmi furent abattus sauf un, le N°3 du GIA fraîchement débarque au maquis, un certain Djamel Zitouni, la nouvelle recrue de la DRS. Djamel Zitouni, a été repère, parmi les milliers de prisonniers incarcère dans les camps de détention du sud, en 1994, les agents de Smain l'ont pris en flagrant délit de pratique homosexuel, il menace de le balancer au niveau du centre de détention, a moins qu'il accepte de coopérer avec les services secrets, Djamel Zitouni, un jeune islamiste de 25 ans, commence sa carrière d'indics, en informant les agents de la DRS, après avoir infiltres les groupes armées dans la maquis, il grimpe rapidement les échelons de la hiérarchie et devient, en un temps record, l'un des lieutenants de l'émir du GIA, Cherif Gousmi. l'année 1994, a vu une recrudescence sensible des attentats terroristes et des opérations armée des groupes islamique, les civils, qui ont étés jusqu'a lors épargné, devienne des cibles privilégiés pour les GIA, le peuple Algérien ne comprend plus ce qui se passe, pris en otage entre la répression aveugle et disproportionnés des forces de sécurité et les groupes armées islamique, qui s'attaquent maintenant a la population. En Juillet 1994, les services de sécurité, portaient un coup dur a la direction du GIA en réussissant a abattre dans une opération prépare des mois a l'avance, l'émir du GIA et plusieurs de ces proches lieutenant, parmi les rescapés de cette opération, ou l'armée a mis tous ces moyens, on retrouve, comme par hasard, le jeune Djamel Zitouni, le N°3 du GIA, le miraculé s'autoproclame, quelques jours plus tard, émir nationale du Groupe Islamique Armée et aucun lieutenant n'ose l'affronter. C'était un coup de maître des services manipulation et infiltration, de la DRS, qui avaient réussi a placer, en quelques mois seulement, un de ces agents a la tête du groupe islamique armée, le plus féroce et le plus sanglant, qu'a connu le pays. si jusqu'a ce jour les groupes armée au maquis, était infiltres par quelques hommes de Tewfik et Smain, a partir de l'été 1994, les services secrets algérien, avait la main mise totale sur les GIA en Algérie. Djamel Zitouni recevait ces ordres de l'agent traitant qui lui a été désigné, un certain colonel Tartague, qui était sous les ordres directe de Smain Lamari, chef de la DCE ( Direction du contre espionnage ) et sous directeur de la DRS. Le nouveau chef du GIA, au service de la junte militaire, décida de faire le ménage chez lui, il ordonna d'abattre tous les chef du maquis, pour les remplacer par les hommes du service opérationnel de la DRS, il appliqua sans discuter, la stratégie des généraux : terroriser les populations par une violence aveugle pour faire baisser un rideau de plombs sur l'Algérie, et faire regner la terreur et la peu dans le coeur des Algériens les directives que recevait Djamel Zitouni était clair , imposer par la terreur, le dictat des groupe armée, dans cette esprit, l'émir du GIA rendait licite, en Décembre 1994, part une fatwa spéciale, le sang des civils hommes, femmes et enfants sur tout le territoire, sous le prétexte que les Algériens soutiennent le pouvoir en place, les Algériens se retrouvaient tout a coup pris en étau entre les compagnes d'exactions et de répressions des forces de sécurité d'un côté et les incursions meurtriers des éléments du G.I.A, de l'autre. des milliers de civils furent égorgés, mutilés ou abattues par balles par les groupes islamique armées ou par les membres des services de sécurité du COLAS ( Centre opérationnelle de la lutte anti-subversifs ) dirigé par le général major Mohamed LAMARI. Le GIA en France ! pour les généraux maffieux et criminel, la guerre contre le terrorisme, doit être exporté en France, pour des raisons évidentes, obtenir le soutien des dirigeants français, ils voulaient faire impliquer la société française et particulièrement la classe politique française dans leur lutte contre le phénomène du terrorisme islamiste, en effet, si l'intégrisme islamiste menace tous le monde, un front international s'érigera contre cette menace, c'est dans cette objective, qu'une opération préparer par Ali touchent, un autre agent islamiste au services de la DRS et exécuté, officiellement par le GIA de Zitouni, a été mené le 3 Août 1994, a la cité Ain Allah à Alger ou cinq gendarmes Français ont trouvé la mort. le 26 Décembre 1994, un Avion d'Air France, a son bord 232 passagers, est pris en otage par un commando du GIA, sur le tarmac de l'aéroport Houari Boumediene, deux français et un vietnamien furent exécutés par les islamistes armée, avant que le groupe d'intervention français le G.I.G.N., prennent d'assaut l'Airbus d'Air France à Marseille et mettent fin a la prise d'otage, en abattant les quatre membres du commando, ce fût, la première et la dernière prise d'otage d'un avion dans un aéroport Algérien. les Français, sont projetés de plein fout dans le quotidien tragique Algérien, ils se sentent maintenant impliqués dans le drame qui se déroule de l'autre côté de la rive méditerranée, malgré cette vague d'attentats qui touchent les intérêts française et attribue aux islamistes, des intellectuels et des hommes de culture Français, se lèvent pour crier haut et fort, leur condamnation, des méthodes inhumain et sauvage employés par le régime militaire au pouvoir en Algérie, ils désaprouverents les conditions inhumaines de détention dans les camps du sud et le non respect du pouvoir algérien des droit de l'homme, la société française a condamné l'emploie exécive de la force contre les islamistes, même si les hommes politique français, eux, hypocrites et opportunistes, dans leur majorité, soutenaient le régime des généraux putschiste. les décideurs, non satisfait de la réaction de la société Française, décident de frapper fort en plein capital de l'hexagone. le 11 Juillet 1995 : l'imam Sahraoui, de la mosquée de Paris, un des anciens dirigeant du FIS et exilé en France, est mitraille dans les rue de Paris, le 25 juillet, une bombe explose dans une rame du RER à la Station St Michèle; en plein capitale, le bilan est lourd, 8 morts et plus de 150 blessés. suivie de l'attentat du RER à la station Musée d'Orsay puis l'attentas raté contre le TGV Lyon -Paris en enfin l'attentat de la station maison- Blanche, la vague d'attaques durera jusqu'au mois d'octobre. les attentas furent revendiqué des la fin du mois de juillet par le GIA, mais la DST ( Département du Surveillance du Territoire ) charge de l'enquête, sentait la manipulation et l'implication des services secrets Algérien, même si ces dernier proposèrent leur aide a leur homologues français. Les enquêteurs de la DST et la DGSE ( Direction Général de la Sécurité Extérieure ) identifièrent Boualem Bensaîd et Smain Ait Ali Belkacem Abdesslam comme les poseurs de bombe de la station St Michel et Ali Touchent comme le cerveau des attentats, mais ce dernier, se trouvait en Algérie et il était également recherche par les autorités de ce pays. après une chasse l'homme, qui dura presque trois mois,, les gendarme français ont réussi a démanteler le reste de la cellule terroriste, au mois d'octobre, en abattant Kamel Kalkal, le dernier membre du group envoyé par le chef du GIA pour commettre les attentas de Paris. les services secrets Francais, qui n'avait pas de doute sur l'implication directe de la DRS, dans cette vague d'attentats, ont dés les premiers jours compris le message envoyé par Alger. les généraux "insistait" sur le soutien de Matignon a leur régime, sinon, il auront a déplorer d'autres victimes française, moins d'une année plus tard, sept moines du monastère de "Tibhirine" dans la wilaya de Medéa (a 80 Klm au sud d'ALger ) furent enlevés, séquestrés puis décapités par un group armées, l'opération fut revendiqué, bien entendu, par l'émir du GIA, Djamel Zitouni. Les généraux harkis et maffieux, fort du soutien de la France et de ses alliées, intensifièrent les opérations de répression envers les populations civils et a sympathie islamiste, les algériens ne comprennent plus ce qui leur arrive, mal menés d'un côte par les groupes islamiques armée et de l'autre par les forces de sécurité, le cauchemar algérien venait de commencer. entre 1993 et 1997, plus de 100 000 morts, la plupart parmi les population civiles, des enfants, des femmes des vieillards, sans distinction d'age ou de sexe, sans parler des milliers de disparus enlevés par les forces de sécurité. le GIA frappait partout dans les villes ( les attentats aux voitures piéges ) mais aussi dans les villages et les hameaux ( incursion terroristes, embuscades, routes et terrain minée ), c'était les années obscures et sanglant du terrorisme en Algérie, le carnage se déroulait, aux nez et a la barbe de l'Europe, dont les état membres, soutenait le régime militaire d'Alger. |
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| Sujet: Re: mafia des généraux algériens Mer 29 Juil 2009 - 1:48 | |
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L'AIS : plusieurs organisation terroriste activait a l'époque ont été crée suite a des cession avec l'organisation principale qui était le GIA, telle que : la LIDD ( ligue Islamique pour la Dawaa et le djihad ) de Ali Benhadjar qui opérait au centre du pays ( Medéa, Chelf, AinDefla, Blida, ) le FIDA ( Front Islamique pour le Djihad en Algérie ), qui étai spécialisé dans les assassinats des intellectuels, les savants et les journalistes Algériens, mais il y avait surtout, l'AIS ( l'Armée islamique du Salut ) qui se présentait comme le bras armée du Front Islamique du Salut, cette organisation dirigé par Madani Mezrag dans les monts de Médea et Ain Defla, étés infiltrés par les services secrets Algérien, en 1995, Madani Mezrag fut capture lors d'une opération de ratissage, menés par les forces combinée de l'ANP, il fut envoyé à la caserne de Dely Ibrahim ( QG de la DRS ) dans le beau lieu d'Alger, ou il fut "travaille" et "retourne" par les services du général Smain, puis réaffecté au maquis. L'AIS et le GIA sous la main mise des généraux, ces derniers pouvait des lors régnait en maître absolue sur tous le pays, plus rien ne pouvait les empêcher d'appliquer leur stratégie machiavélique, même pas, le général Zeroual , qui fut le premier président Algérien élu par suffrage universel, mais qui n'avait pas les prérogatives d'un vrai président et surtout, il ne disposait pas du soutien des officies supérieurs de l'ANP, dont la plupart, étaient tous acquis aux thèse de Belkheir & Co et ceux qui ne l'étaient pas , furent envoyés a la retraite anticipé. Après deux ans, de bon et loyaux services et après avoir réussi a crée un atmosphère de terreur et de peur parmi la population Algérienne, l'émir national du GIA, Djamel Zitouni, fût liquide par ses lieutenant - agents des services secrets en septembre 1996 dans un pseudo règlement de compte entre les chef des groupes armées, il fut remplace par un autre sous agent de Smain, un certain Antar Zouabri. Le GIA de ANTAR ZOUABRI : Né en 1970, a Haouch El- Gros, dans la ville de Boufarik ( a 35 Km a l'Ouest d'Alger ), Antar Zouabri, un jeune islamiste d'un niveau de 6éme année, fut arrête dans une opération des services de sécurité, au début de l'année 1993, après un interrogatoire forcée, il a été recrute comme informateur ( un indique ) infiltrés dans les groupes islamique armés., Dès mars 1993, Antar se signale par un premier crime: il assassine les époux Saheb, un couple de militants communistes et ingénieurs agronomes, après avoir prouve sa loyauté envers les maquisards en dirigeant plusieurs attentats terroristes contre les membres des services se sécurité, il grimpa rapidement les échelons, aidés par les compagnes médiatiques des pseudos journalistes du CCD ( Centre de Communication et de diffusion ), il s'échappe, in extremis, a plusieurs embuscades, tendu par les éléments des services de sécurité, un jour, il fut capture par erreur, lors d'un ratissage des force de l'ANP, dans les monts de Chlef, après avoir décliner sa véritable identité, il fut relâche, le lendemain et escorte jusqu'au maquis. quand Djamel Zitouni fut liquidé par ces bras droit, le 14 juillet 1996, Zouabri fut désigné émir national du GIA, après un mini congrès du conseil consultatif du GIA , dans les maquis de Sidi Bel Abbès et aussi dans les bureaux du DRS à Dely Ibrahim ! Le nouveau émir du GIA poursuivait la politique de terreur de son prédécesseur, il redoubla même les actes de violence gratuite et aveugle contre les populations démunis et isolés, le 22 février 1997, il proclame 'l'embrasement général', Zouabri intensifia la compagne de terreur, en perpétuant des attentats a la voiture piégées dans la capital et sa beau lieu, narguant même les membres des services de sécurité, en leur tendant des embuscades et des guet-apens, sans que ces derniers ne puissent lui mettre la main dessus, ni même localiser sa cachette, Antar Zouabri est devenu au milieu de l'année 1997, l'ennemi public N°1 des autorités algérienne, il étais décrit comme un chef barbare, sanguinaire, cruel et assoiffé du sang des algériens, touts les attentas et les attaques terroristes lui étaient attribués, l'exode des populations vers les grandes villes accentuaient l'atmosphère de peur et d'effroi qui régnait dans les zones rurales, les gens fuyait leurs maisons et leurs villages, en constatant l'impuissance et l'incapacité des force de sécurité de les protéger. En effet Antar Zouabri, activait a l'Ouest d'Alger de la frontière Marocaine jusqu'a a capitale Algérienne, les attaques étaient perpétrées surtout contre les hameaux et les villages isolés dans les maquis, et dont les habitants, ne disposait pas d'armes pour se défendre contre les incursions régulières des groupes armées 1997, Une année meurtrière : L'apogée de sa compagne de terreur, fut atteint, comme on l'a dit, pendant l'année 1997, plus de 12 000 personnes furent assassine, cette année la, par les hordes sauvages des GIA, sans compter les blesses et les dégâts matériels, au même moment, la tension était a son paroxysme, entre le clan Belkheir et celui du président Zeroual, après avoir mis en échec la tentative de réconciliation national qu'avait entame le président, deux ans auparavant, en menant des négociations secrètes avec les dirigeants du partie islamique dissoue, les généraux maffieux, ont décider d'exploiter la violence envers les Algériens pour régler leur différent avec Zeroual et ces amis, il décidèrent de lui assainir des coups afin de le pousser a la soumission ou la démission, ils ne se génèrent pas d'utiliser la violence contre les algériens pour arriver a leurs fin, n'ont ils pas crée le GIA pour cette raison ? deux jours avant les terribles massacres de Errais à Sidi Moussa ( a 20 Km a l'ouest d'Alger ), le chef d' état major de l'ANP, le général Mohamed Lamari, ordonna aux troupes, de ne pas quitter les garnisons à partir de 22 h, sous peine de graves représailles envers les contrevenants, et cela jusqu'a nouvel ordre.
Le 28 août : Un effroyable massacre fut commis au quartier Errais situé à Sidi Moussa, des hommes puissamment armés, débarquent à 23 h 45 d'un convoi de camions à quelques centaines de mètres d'un campement militaire, et procèdent à une véritable boucherie. Plus de 300 citoyens sont tués et 200 autres blessés. Les membres des groupes armés portaient pour certains des cagoules et d'autres de fausses barbes, selon de nombreux témoignages concordants de survivants. Ils étaient munis de kalachnikovs sur lesquelles étaient fixées des torches électriques, de poignards de "commandos" et de haches. Sept jours plus tard le 5 septembre : plus de 70 personnes, femmes, enfant et vieillards, furent massacres dans le quartier populaire de Sidi Youcef a Beni Messous dans la beau lieu d'Alger, la plupart des assaillants portés des tenus militaires et se déplaçaient en camions, ce secteur de la capitale est le siége de plusieurs casernes militaire, dont celle des forces spéciale de l'ANP, le massacre, s'est déroule pendant plus d'une heure sans que les services de sécurité n'interviennent. Le 22 septembre : Un terrible massacre, fut commis par les groupes armés islamique, cette fois ci, au quartier populaire de Bentalha, dans la beau lieu est d'Alger, plus de 400 citoyens massacres à la hache et au couteau, et 120 blessés, les survivants du massacre qui ont réussi a atteindre la caserne la plus proche ( a quelque centaines de mètres ) ont étés repousse par les militaires qui n'ont pas voulue intervenir, car selon eux, ils ont reçu des ordres de l'état major de la 1er région militaire, de ne pas quitter les casernes à partir de 22 h. les policiers et les G.L.D des quartiers voisins venu secourir les victimes ont été refoulé par des militaires qui ont bouclé tous le quartier, plusieurs rescapes, disent avoir vu un hélicoptère survolant le ciel de Bentalha pendant la durée de la tuerie. le lendemain, toute la presse national est unanime, le GIA de Antar Zouabri, vient de frappé aux portes d'Alger, de manière forte et sanguinaire, les populations civil et innocentes. le chef du groupe armée, le plus meurtrier est aussitôt devenu l'homme a traquer et a abattre, sa tête est mise a prix pour 450 millions de centimes, mais des interrogations apparaissent et des questions commencent a être posé et le doute s'installe dans les esprits, les témoignages des rescapes des tueries s'orientent vers la même théorie, les tueries de Errais et de Bentalha ont étés perpétrés par des éléments des forces spéciales de l'Armée Algérienne, ou par des unités affilés a celle ci. c'est a dire que la haute hiérarchie militaire a ordonné ces carnages contre la population. la question "qui tu qui ?" fait son apparition sur la scène politique national, a partir du mois de novembre 1997, particulièrement quand des officiers supérieurs de l'armée Algérienne et des services secrets réfugiés en Europe, confirment l'implication des services secrets dans les massacres des civils en Algérie, depuis les années 1994. Les témoignages concordants de ces officiers déserteurs, corroborent les dires et les témoignages des rescapes des grands massacres de Errais, Beni Messous et de Bentalha, c'est un tournant dans la guerre que mènent les généraux Maffieux Harkis et Criminel contre les algériens. Pour la première fois, depuis le coup d'état de Janvier 1992, on commence a douter de la responsabilité du pouvoir militaire dans le drame que vit l'Algérie, et de l'implication des généraux dans les grand massacres commis par les GIA, c'est la première fois, qu'on met en cause publiquement, les généraux algériens, d'être derrière le terrorisme et la violence qui frappe le pays. des rumeurs circulent sur les vrais commanditaires des assassinats et des meurtres de civils, mais aussi, des hommes politiques, de médecins, des journalistes et des savants algériens. en effet des officiers, tell que le capitane Hocine Ouguenoun de la DCSA, ( ex SM ) révèlent dans des interviews accordés a la presse a scandale occidental, comment le GIA a été crée par les services secrets Algérien et comment les autres groupes islamistes étés infiltrés et manipulé, des le départ, par les services secrets Algérien, dirigé par les généraux Tewfik et Smain et comment Djamel Zitouni a été recrute pour accomplir les attentats de Paris en 1995 et discréditer l'image des islamistes dans le monde. Malheureusement , les titres algériens, accordent peu de crédit a ces révélations, la presse national, qui a payer le pris fort au terrorisme, en sacrifiant le meilleur de ces hommes et femmes, depuis l'arrêt du processus électorale et le début de la crise, sont devenu peu a peu les complices de ce régime, ils ont étés manipulé par la junte militaire et ses relais et infiltrés par les agents du CCD (Centre de communication et de la Diffusion), dirige par le Colonel Tahri Zoubir, ce dernier reçoit ses ordres directement du général Tewfik, chef de la DRS. Sinon, comment expliquer aux lecteurs, qu'aucune enquêtes, sérieuse, n'a été réalisé sur les grands massacre et tueries dans la beau lieu d'Alger, la classe politique Algérienne de l'époque, complice elle aussi des généraux, était également manipulé et sous la main mise du pouvoir en place. craignant d'être démasqué, le pouvoir algérien rejeta toutes demandes des ONG et des organisations des droit de l'homme et des gouvernements membres de l'union européenne, d'enquêter sur les massacres, telle que 'Humain rights" ou "Amnesty International", sous prétexte du refus des autorités d'ingérence dans les affaires internes de l'Algérie, les ONG demandait l'envoie des commissions d'enquêtes, pour faire toute la lumière sur les commanditaires et les responsables des assassinats a grandes échelles des civils, et des actes de violence, commis aussi bien par les membres des services de sécurité que par les groupes armées islamique. Au même moment, l'AIS, déposait les armes, après deux ans de tractations entre les services dirigé par le général Smain ( la DCE ) et les hommes de Madani Mezrag, le chef de l'Armée Islamique de Salut, qui travaillait avec les services secrets, depuis 1995 en réintégrant le maquis, Mezrag s'est charge de la réhabilitation de ces lieutenants et de ses bras droit, il a complètement changé le doctrine du groupe en effet, le conseil consultatif de l'AIS qui recevait ces ordres de l'instance exécutoire de l'étranger du FIS, dirige par Rabah Kebir et Anour Haddam , ne reconnaissant plus cette direction en exil,le chef de l'AIS ne prêtait plus allégeance qu'aux dirigeants historique du partie dissous, c'est a dire Abassi Madani et Ali Belhadj, mais puisque, c'est derniers étaient emprisonnés, il ne pouvaient pas lui transmettre leurs directives, Madani Mezrag avait dés lors les main libres et se considérait comme le premier responsable l'AIS, donc le dernier mot lui revenait, il prétextait toujours du fait que Ali Belhadj a appeler a plusieurs reprise à la poursuite du "Djihad" en Algérie et qu'il a approuver, dèja, les attentats et les opérations terroristes menée par les groupes armées . Le 1er Octobre 1997, l'AIS accepte de cesser toute activité terroriste et subversif contre l'état, c'est le cesser le feu, la presse Algérienne se félicite de la réussite des négociations entre le bras armée du FIS et l'armée Algérienne et rappelle a celle ci, que le GIA, de Antar Zouabri, refusent la loi de clémence initié par le président Zeroual et qu'il faut donc, éradiquer les groupes armés et éliminer leur chef. Pendant l'année suivante, le conflit entre le clan Belkheir et celui de Zeroual se poursuivait et avait même atteint, un niveau dangereux, Belkheir ne voulait plus de Zeroual à la présidence de la république et puisqu'il n'étai hors de question d'assassiner un autre président algérien, les généraux décident, cette fois, d'employer des moyens plus "adéquats" en utilisant d'autre méthode, pour obliger le président a se retirer, ils estiment, qu'une compagne médiatique de dénigrement et de descriditation est en mesure de lui mettre la pression et le pousser à la porte. le général Tewfik, patron des services secrets charge, son protége, le colonel Tahri Zoubir de mener une compagne médiatique contre Zeroual et ces proches, Le colonel Zoubir, chef du Centre de communication et de la Diffusion ( une sous direction de la DRS ) active ses relais médiatique et ces agents-journalistes. des journalistes ont étés recrutés, depuis le début de la crise, par le services exploitation et manipulation du CCD ( voir schéma ) par la force, le chantage ou par conviction, ils sont présents dans toutes les directions de journaux de la presse national et étrangères, a la télévision mais aussi dans les radios et presse écrite dite indépendante. |
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| Sujet: Re: mafia des généraux algériens Mer 29 Juil 2009 - 1:48 | |
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Au début de l'après midi du 25 Juin 1998, la radio algérienne annonce la mort de Lounes Matoub, dans une embuscade, qui lui été tendu par les hommes de Hattab, sur la route qui mène au village de Taourirt moussa dans la wilaya de Tizi Ouzou, l'onde de choc qui a suivi en Kabylie, ébranla fortement le clan de la présidence qui a du se résoudre a laisser tomber sous les pressions des généraux putschistes. en septembre, Zeroual annonça en direct a la télévision, sa démission et la tenue d'élections présidentiel anticipée en Avril de l'année suivante. les généraux maffieux ont ainsi utiliser, le peuple Algérien, pour régler leurs conflits internes et asseoir leur suprématie, comme il l'ont fait, en octobre 1988, les décideurs ont de tout temps instrumentaliser la violence pour régner en maître absolue sur l'Algérie, ils ne reculent devant rien, ni personne, pour s'approprier les richesses du pays et garder la main mise sur les destins de l'Algérie, il ont imposer leur dictat sur le peuple algérien, les généraux maffieux a leur tête Larbi Belkheir, ont pousser le bouchon, jusqu' a créer et manipuler des groupes armés pour semer la mort, le chaos et l'anarchie. La force de frappe et le bras armée de ces généraux Harkis Criminel et Maffieux depuis 1993, ce sont les GIA ( Groupe Islamique de l'Armée )qui continuent à assassiner, à semer la mort et la destruction sur le pays, pour permettre la survie du régime des généraux. L'arrivée de Bouteflika a la tête de l'état, en Avril 1999, et le plébiscite populaire de son projet de concorde civile, n'a rien changer à la situation. Le projet du président Bouteflika "la concorde civile", approuver par un referendum populaire, le16 septembre 1999, est en réalité, celui des décideurs, il a été pense et mis en chantier deux ans auparavant, par les généraux Smain et Tewfik, pour récupérer leurs agents infiltrés dans les maquis, en se faisant passer, pour des repentis qui retournent au bercail. depuis le 13 Janvier 2000, dernier jour accorde par la loi de clémence aux élément armée de l'AIS et du GIA pour déposer les armes et se rendre, plus de 30 milles civils sont mort et 50 milles blessés sans parler des cas de disparitions. LA FIN DE ZOUABRI Après avoir dirigé les GIA, pendant plus de cinq ans, Antar Zouabri, fut abattus par les forces de sécurité a Boufarik en février 2002, un guet-apens lui a été tendu dans une opération préparé depuis des jours, les services de sécurité, qui ont étés informé la présence du chef du GIA , dans une maison du centre de la ville de Boufarik, ont encercle la maison pendant près de 7 heures, et après quelques échanges de tires, l'état major de la 1ère région militaire, annonçait la mort du chef sanguinaire et son cadavre,, fût présente a la presse. en réalité son "limogeage" a été décide par le général Smain, qui a juger que l'homme en savait trop sur les méthodes des services secrets Algérienne, et qu'un changement, doit être opéré a la tête de l'organisation écran des généraux. Antar Zouabri fût attire dans un piége, il devait rencontrer son officiers traitant, le commandant Touat Mahfoud Alias Djamel, le rendez vous est pris chez un agent du commandant Djamel, un pseudo- repenti nomme Abdelhakim Boumedienne, dans un petit appartement situé non loin du stade Mohamed Reggag de Boufarik. Accompagne par l'un de ces lieutenants, le nomme Rachid Bouteldja, le chef du GIA arrive sur le lieu de la rencontre Jeudi après midi, le rendez vous est pour le lendemain matin. le soir même le commandant Touat accompagnés de trois de ces hommes arrivent sur le lieu de rencontre. Zouabri ne se doute de rien, jusqu'au moment où les hommes du commandant Djamel lui sautent dessus et essayent de l'égorger sans trop de succès, une première fois et le blessent à la joue, mais ils réussissent à le faire, malgré ses débattements, sous les yeux consternés des deux autres. Le commandant Djamel ( Touat ) intime l'ordre à Bouteldja et à Boumediene de rester en dehors de cela, en leur disant que puisque Zouabri avait trahi, il devait donc payer. Le commandant Djamel donne des instructions très claires à Bouteldja et Boumediene et les charge de surveiller le corps de Zouabri, qu'il devra revenir récupérer le lendemain. Vendredi matin, les forces spéciales dépêches sur les lieu par les généraux Fodhil Cherif et Smain encerclent la maison ou gis la dépouille de Zouabri et les deux hommes censés surveiller son cadavre jusqu'au retour du commandant Djamel, quand ils découvrent la manége, il est dèja trop tard, les forces de sécurité donne l'assaut, et a 17h00, tout Alger est au courant de la mort de l'émir national du GIA. quelque jours plus tard, les quotidiens Algérien, annonçait son remplacement, par un lieutenant de la DRS, un certain Abou Thourab, charge lui aussi par Tewfik et Smain de mener la guerre aux Algériens, qui continuent a souffrir dans le mutisme et l'indifférence total des dirigeants du monde entier ... l'espoir viendra, peut être, de ces hommes et femmes, exile en Europe et ailleurs, et qui risquent leur vie tous les jours que Dieu fait, pour démasquer les généraux Maffieux et Criminel , et qui combattent avec tous les moyens légaux, dont ils disposent, la junte militaire au pouvoir en Algérie. durant le temps qu'il m'a fallut pur écrire cette article,54 personnes sont mortes dans des actes de violence dans mon pays |
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