JSF F-35 Lightning II

Rappel du premier message :

Bonjour à tous,

Le F-35 est l'avenir de beaucoup de forces aériennes, il remplacera les F-16, A-10, Harrier et autres. Je propose que soient postées ici, si vous êtres d'accord, toutes les infos au sujet du F-35. Merci de m'avoir lu.

Article (en anglais) fort intéressant sur l'avion qui comprend un pdf avec les différents armements que pourra emporter le F-35, tant en soutes, que sous les ailes. Furtif, moins furtif...

http://www.codeonemagazine.com/archives/2007/articles/apr_07/lightningstrike/index.html

Dans cet autre article, une image montre qu'il serait aussi possible de rajouter de l'armement en bout d'aile, info, intox?

http://www.codeonemagazine.com/archives/2002/articles/arp_02/jsf/index.html

Rafi

Citation :

F-35 Engine Part to be Redesigned




WASHINGTON — Part of Pratt & Whitney’s F135 engine, which powers the F-35 Joint Strike Fighter program, was damaged during a ground test in December and will need a redesign, according to the head of the F-35 program.
“You may or may not know that we managed to do some pretty good damage to an engine down in Florida,” US Air Force Lt. Gen. Christopher Bogdan said at this week’s Aviation Week conference outside Washington, D.C. He said the damage came during “accelerated mission testing” where engines are worn out on the ground in order to identify future problems.
The part in question is the first stage Integrally Bladed Rotor (IBR). Sometimes referred to as a “blisk,” the IBR is a one-piece combination of blade and disks — hence the “blisk” terminology. The IBR “blew” during a ground station test, Bogdan said. The engine where this particular crack occurred had undergone 2,200 hours of testing, the equivalent of nine years of service, according to company figures.
While Pratt has launched an investigation into the incident, the engine manufacturer is confident the problem will be relatively minor.
The company had already begun a redesign for the IBR as part of a movement to reduce overall engine costs, according to both Bogdan and Pratt spokesman Matthew Bates. The new design replaces the current hollow blade design with solid blades, which allow the company to use simpler, and hence cheaper, manufacturing techniques.
That redesign will add roughly six pounds to the engine; although the engine in question was a STOVL F-35B model, the IBR redesign will impact the engines for all three JSF variants. While weight is closely monitored on the F-35, Bogdan did not seem concerned about the extra weight.
“We conduct Accelerated Mission Testing on our ground test engines specifically to discover any issues early and prior to occurrences in flight,” Bates wrote in a statement. “Our investigation is ongoing, but we have determined this incident does not pose a flight safety risk and will have no near term impact to the operational fleet.”
“We expect that within this year that fix will be done, we’ll put it back on an engine and do the [qualification] testing some more,” Bogdan said. “We will cut that into production sometime in the next year.”
“The retrofit not all that significant. You just take the module out and put the new blisk in,” Bogdan said. “We would have liked it to happened at the one in a half or two time life but it happened just near the end of the first life, so we need to make sure we fix it so the engine goes full life.”
“Now we’re talking about whose going to pay for this and what the contract language needs to state going forward in the future, for any future concurrency,” Bogdan added.
Bogdan also touched on previously reported cracks to the bulkhead of an F-35B ground testing model, noting that finding cracks is part of the purpose of running those tests and promising that more cracks will be found during future life-cycle test.
“We planned for it, we budgeted for it, [and] we have the timespan to fix them, but it’s going to happen,” he said of future cracks.

http://www.defensenews.com/article/20140307/DEFREG02/303070023/F-35-Engine-Part-Redesigned

je crois bien qu'il pense à un dogfight sans missile

Citation :

Le F-35 ne peut pas sortir sans la protection d’un autre chasseur, déclare un général américain


Deux chasseurs F-22 dans le ciel de l’Alaska lors de l’exercice Vigilant Eagle 2010.

Le F-35, pour être efficace, doit être accompagné dans ses missions par un autre appareil, le F-22 Raptor, a déclaré un général de l »armée de l’air américaine Michael Hostage à la revue spécialisée Air Force Times, mais, problème, le F-22 n’est pas disponible pour les ventes à l’étranger en raison de sa technologie de pointe que les Américains ne veulent pas partager.
Alors, comme les F-35 qu’achèterait le Canada ne peuvent pas sortir sans leur chaperon et que le chaperon en question, le F-22 Raptor, ne nous est pas disponible, on serait censé faire quoi avec nos F-35?
C’est en effet la question que se pose le journaliste du Ottawa Citizen, David Pugliese, dans l’édition de ce vendredi 7 mars du quotidien de la capitale fédérale canadienne.
Certes, le général Michael Otage, chef du commandement du combat aérien aux États-Unis, a déclaré que le F-35 est essentiel pour l’avenir de l’armée de l’air américaine, mais il a besoin de travailler main dans la main avec le F-22 [de Lockheed Martin lui aussi] pour être vraiment efficace.
«Le F-35 n’est pas conçu comme une plate-forme de supériorité aérienne», a-t-il déclaré «Il lui faut que le F-22», sans quoi « [...] la flotte de F-35 ne sera franchement pas pertinente».
Tout ça alors que le Canada a besoin d’un chasseur polyvalent et que, même si le F-22 était disponible on ne pourrait probablement pas se le payer.
En 2012, le gouvernement conservateur a stoppé le programme d’achat des F- 35 et a formé un groupe d’experts pour examiner les options pour le remplacement des avions de combat canadiens CF-18.
Ce processus est toujours en cours et bien malin celui qui pourrait dure quand il sera terminé…
Les commentaires du général font écho aux critiques qui disent que le F- 35 est principalement conçu pour frapper des cibles au sol mais n’est pas bien adapté pour le combat et les interceptions aériennes .
Un porte-parole de Lockheed Martin Canada, Mike barton, cité dans l’article du quotidien d’Ottawa, a toutefois déclaré «que le F-35 répond aux besoins de tous les pays» et que «Les commentaires du général sont un reflet de la façon dont l’US Air Force fonctionne et ne sont pas pertinentes pour le Canada.
Le F-35 de combat furtif est devenu un casse-tête politique majeur pour le gouvernement conservateur, qui avait fait un élément essentiel de sa politique de défense .
La controverse entourant l’achat des F-35 a été surtout axée sur les questions économiques, ainsi que le processus d’acquisition.
Le ministère de la Défense nationale avait annoncé à l’origine selon le projet coûterait environ 14,7 milliards, mais le vérificateur général Michael Ferguson a également publié un rapport accablant concluant que les fonctionnaires de la Défense avaient caché des informations clés au Parlement sur ​​l’achat du F-35, sous-estimé les coûts, et n’avaient pas respecté les règles appropriés.
Et voilà que maintenant, on pourrait craindre que le F-35 ne puisse «sortir qu’accompagné de son frère aîné».
Le dernier F-22 Raptor, qui n’est plus en production, a été livré à l’US Air Force en mai 2012. Il n’est plus en production. Il est, de l’aveu même de Lockheed, le seul avion de chasse à pouvoir simultanément mener des missions de combat air-air et des missions air-sol avec une quasi-impunité. selon Lockheed.
Et là, si on interprète bien ce qu’a dit le général Hostage, le coûteux F-35 se retrouverait s’il n’est pas accompagné du F-22 Raptor, ni plus ni moins que…bien cuit! Le F-35, un ordinateur volant qui a besoin de la protection d’un avion?


http://www.45enord.ca/2014/03/le-f-35-ne-peut-pas-sortir-sans-la-protection-dun-autre-chasseur-declare-un-general-americain/

la bonne blague.............  
Et ben..... si les pays "accrochés" comme un morpion a ce programme ne tilt pas là............  

Ils auraient du le faire bien plutôt que ça quand le scandale avait explosé. Et pourtant, rien ! Donc je doute que ce soit maintenant qu'il fasse demi-tour !

cela craint ,car si L'Us air force a ce qu'il faut pour "proteger" son petit bebe furtif,d'autres non.
Ils mettent en danger l'existence meme de leur aviation .

Non mais tu sais Gémini, le scandale et le grand malheurs ne sont pas la mais plutôt dans le fait que la furtivité de ce petit bébé n'a jusque la été prouvée que sur du papier, de même pour "sa manœuvrabilité et son agilité". L'avion a été validé sans que les tests soient poussés à l’extrême comme ils sont sensé l'être (je suis sur que le Mirage F1 ou le vénérable F-5 ont subi des tests plus poussés que ça avant de passer à des phases plus évoluées. Or on voit très bien qu'il en a été rien pour le F-35, et si nous qui somme des amateurs voyons la supercherie avec un grand S, alors comment expliquerait on que ces professionnels ne la voient pas ? Ou mieux dire pourquoi se refusent il de la voir ?
Je vois mal le F-35 être un avion d'attaque furtif, et même si c'est le cas alors il faut savoir que les technologies radar Sol-Air évoluent elles aussi de leurs cotés (et la je ne parle pas de Radar vendu à l'export mais bien ce que les meilleurs producteurs se gardent pour eux même), et une fois engagés dans un conflit ouvert avec un belligérant de taille (bon, vu les événements internationaux qu'on connait tous alors je dirai ... la Russie par exemple!) Alors je vois mal ce gros bébé tout moche éviter des S-400.

Si les achats de F35 ne répondaient qu' a des spécifications techniques, ils n'en n'auraient pas vendu un seul. C'est politique. Comment refuser l'offre d'un grand frère dominateur qui garantie ta sécurité depuis 1/2 siècle ? Ça relève de la même logique que les pays du golfe. Ce zinc c'est pas un projet industriel, c'est un braquage en bonne et dûe forme.
Avec un peu de chance ça va relancer la chaine des F16....pour assurer les escortes.
J'ai posté par ailleurs une étude sur la stupide course a la techno et le non sens strategique de son corollaire, le faible nombre de vecteurs. Comme en toute chose, et les conflits actuels le prouve (rdc, Syrie etc), ce qui compte souvent, c'est le nombre d'hommes et les quantité de matériels. Jamais un soldat Felinisé a mort ne fera le boulot de 2 et jamais un f22 ne peut mener seul une campagne de bombardement soutenue (compte tenu du temps de mobilisation par heure de vol).

Citation :

F-35s to Sell for as Low as $80 Million in 2019, Pentagon Says



F-35 fighter jets will sell for as little as $80 million in five years, according to the Pentagon official running the program.

“The cost of an F-35A in 2019 will be somewhere between $80 and $85 million, with an engine, with profit, with inflation,” U.S. Air Force Lieutenant General Christopher Bogdan, the Pentagon’s manager of the program, told reporters in Canberra today. “The important thing about that is when you can start offering a fifth-generation airplane that rivals fourth-generation prices, you’ve got a pretty good airplane.”

Australia, Japan and Israel are among nations that have placed orders for Lockheed Martin Corp. (LMT)’s F-35, the Pentagon’s most expensive weapon system, which has been beset by rising costs and technical troubles, including jittery images in the pilot’s helmet. The Pentagon has repeatedly questioned the plane’s progress, finding in January that the fighter wasn’t sufficiently reliable in training flights last year and its complex software system was causing difficulties.

The Pentagon has projected a price tag of $391.2 billion to build a fleet of 2,443 F-35s, a 68 percent increase from the projection in 2001, measured in current dollars. The number of aircraft the Pentagon plans to buy is 409 fewer than called for originally.

The F-35 development program, which has an end-October 2017 completion date, is running four to six months late, mainly due to software complexities, Bogdan said. Other problems remain in the reliability and maintainability of the aircraft, he said.

“From a schedule standpoint, up until 2016 I’m pretty confident,” Bogdan said. Beyond that, “things get a little fuzzier,” he said.

http://www.bloomberg.com

Citation :

The night fliers: F-35 training after dark to start soon


By LAUREN SAGE REINLIE / Daily News
Published: Friday, March 21, 2014 at 17:36 PM.

EGLIN AFB — Next week, if all goes as planned, the F-35 fighter will take to the night skies over Northwest Florida for the first time.

Outfitted with brighter wing tip, landing and taxiing lights, about nine of the F-35s at Eglin Air Force Base are equipped for use in training pilots to navigate at night.

“It’s exciting,” said Air Force Lt. Col. Eric Smith, commander of the 33rd Fighter Wing’s operations support squadron. “It’s kind of returning Eglin and the 33rd Fighter Wing back to where we were five or six years ago, back to normal operations where we are training pilots to go out and fly combat in any condition.”

The wing slowly and steadily has been ramping up its training of pilots and maintainers for the F-35, the military’s newest fighter jet. The Air Force, Navy and Marines and two international partners train at Eglin.

Now, the Air Force is ready to conquer the night.

“We are a 24-hour Air Force,” Smith said. “The enemy doesn’t let us choose when we want to fly.”

If all goes as planned, pilots may start night flying as early as Monday evening, Smith said. Takeoffs would be about 8 p.m. and flights would last about an hour.

He said they will use the same flight paths as they do during the day and that residents typically are out of earshot.

The 85th and 40th fighter squadrons at Eglin also fly at night. The 33rd used to do the same when it was flying F-15s several years ago.

“It will be nothing out of the ordinary,” Smith said. “We’re returning to normal ops.”

Night flights have taken place at other bases. During those tests it was found that the jets needed brighter lighting. The jets at Eglin have been outfitted with the updates and are ready to go, Smith said.

Night flying will be just one part of the training syllabus.

Smith said they expect to have about six weeks of night flying spread out over the next year.

http://www.nwfdailynews.com

Citation :

Publiée le 26 mars 2014

As the lead F-35 training location, the Integrated Training Center at Eglin Air Force Base has qualified pilots and
maintainers from the U.S. Air Force, Marine Corps, Navy, the U.K. and the Netherlands. The F-35 training
system maximizes simulation to prepare pilots and maintainers before they head to the flight line.

Citation :

Software problems will set back F-35 joint strike fighter another year – report

Delivery of the F-35 Joint Strike Fighter will be more than a year behind schedule due to ongoing software problems, according to a US government report. The delay marks the latest snag in the ongoing saga of the world’s most expensive aircraft.
...
“Challenges in development and testing of mission systems software continued through 2013, due largely to delays in software delivery, limited capability in the software when delivered, and the need to fix problems and retest multiple software versions,” the GAO auditors wrote.
...
“The Director of Operational Test and Evaluation (DOT&E) predicts delivery of warfighting capabilities could be delayed by as much as 13 months. Delays of this magnitude will likely limit the warfighting capabilities that are delivered to support the military services’ initial operational capabilities—the first of which is scheduled for July 2015—and at this time it is not clear what those specific capabilities will be because testing is still ongoing.”
...
The report added that only 13 percent of the Block 2B segment of software had been tested as of last January. The target for this prime operational component of the plane was 27 percent.
"Initial results with the new increment of Block 2B software indicate deficiencies still exist in fusion, radar, electronic warfare, navigation, electro-optical target system, distributed aperture system, helmet-mounted display system, and datalink," Gilmore's report said.
...

RT

Citation :

Le F-35, "guest star" du prochain salon de Farnborough ?




C'est l'agence de presse Reuters qui l'affirme : le Pentagone réfléchit à l'idée d'une première traversée transatlantique pour le F-35. L'objectif étant de présenter l'avion au salon aéronautique de Farnborough, qui se tiendra en juillet prochain dans la banlieue londonienne. Une apparition au Royal International Air Tattoo (RIAT), show aérien qui se tiendra du 11 au 13 juillet au Royaume-Uni, serait également enviagée.. Visiblement, le secrétaire à la Défense américain Chuck Hagel serait prêt à donner son accord pour que deux à trois avions à réaliser le voyage.

Pour Lockheed Martin, l’intérêt sera évidemment de "montrer la bête" à ses clients européens. Le F-35 doit en effet constituer l'épine dorsale de la force aérienne de plusieurs pays du Vieux Continent. Outre la Grande-Bretagne qui s'est fixé l'objectif d'acquérir 138 avions (dont 3 sont déjà en état de vol à Eglin), les Pays-Bas vise maintenant l'acquisition de 37 F-35B (un vole également à Eglin), l'Italie de 90 F-35A/B, la Norvège de 52 F-35A et le Danemark de 30 avions. La Belgique pourrait également choisir le F-35 pour remplacer ses 60 F-16.

http://www.air-cosmos.com/2014/03/27/21333-le-f-35-guest-star-du-prochain-salon-de-farnborough

Citation :

F-35 : légère baisse du coût du programme

Le 07/04/2014 à 16h30, par François Julian


Les trois versions différentes du F-35 © Lockheed Martin

C'est inédit dans l'histoire du F-35 de Lockheed Martin : le coût total du programme Joint Strike Fighter (JSF) aurait baissé l'an dernier, si l'on en croit les estimations du GAO, la cour des comptes américaine. Selon un rapport publié récemment, le coût de revient du F-35, pour le contribuable américain, serait passé de 343,8 Md$ pour l'année fiscale 2013, à 332,3 Md$ pour l'année fiscale en cours. Ces montants incluent la mise au point des trois versions du F-35 et l'acquisition de 2443 machines de série, pour les besoins de l'US Air Force, l'US Navy et les Marines.

Le GAO ne détaille pas avec précision ce calcul, ni la raison de cette baisse de coût. Pour autant, il semble que cela soit le résultat de la restructuration du programme entamée en 2012, visant à rationaliser l'ensemble des coûts, à la fois de développement et de production.

Dans rapport séparé, le GAO donne également une estimation du cout unitaire de chacune des versions de l'avion. Le prix du F-35A (version conventionnelle) est évalué à 124,8 M€, celui du F-35B (version à décollage court et atterrissage vertical) est de 156,8 M$, et celui du F-35C (version embarquée) est de 142,6 M$. A l'horizon 2019, il est prévu de faire baisser le prix du F-35A aux alentours de 80 M$, celui du F-35B à un peu moins de 110 M$ et celui du F-35C à environ 90 M$.

Le GAO maintient tout de même l'alerte sur le programme F-35 : si ce dernier ne connait plus de dérapage budgétaire et calendaire, l'inquiétude demeure sur l'avancement de la mise au point du logiciel faisant fonctionner l’avionique de bord. De même, il n'est pas impossible que le programme JSF ait à subir des coupes budgétaires, le Pentagone ayant sur le bras d'autres programmes d'aéronefs très couteux, comme par exemple le ravitailleurs KC-46A ou bien encore le très mystérieux nouveau bombardier LRS-B.

http://www.air-cosmos.com/2014/04/07/21548-f-35-legere-baisse-du-cout-du-programme

Citation :

F-35 Fleet Surpasses 15,000 Flying Hours

FORT WORTH, Texas, April 15, 2014 - The Lockheed Martin [NYSE: LMT] F-35 Lightning II fleet recently surpassed 15,000 flight hours, marking a major milestone for the program.

“Flying 15,000 hours itself demonstrates that the program is maturing, but what I think is even more impressive is the fact that operational F-35s accounted for more than half of those flight hours,” said J.D. McFarlan, Lockheed Martin's vice president for F-35 Test & Verification. “While the fleet continues to train, we are actively flight testing the software and mission systems that will enable the Marine Corps to declare Initial Operational Capability (IOC) next year as planned.”

As of April 7, operational F-35s had flown 8,050 hours while System Development and Demonstration aircraft had accumulated 7,123 flight hours. In 2014, F-35A test aircraft have flown 328 hours; F-35B test aircraft have accumulated 191 hours; and F-35C test aircraft have flown 91 hours. In comparison, operational F-35As have flown 963 hours, while their F-35B and F-35C counterparts have accumulated 1,012 and 98 hours respectively for the year.

“Following successful AIM-120 AMRAAM Weapons Delivery Accuracy (WDA) tests in February and March, we're looking forward to executing additional WDAs in the 2nd quarter,” said McFarlan. “In another clear sign of program maturation, reliability metrics are trending upward as the operations tempo picks up – recently 60 F-35 sorties were flown in one day.”

The U.S. Marine Corps plans to declare IOC in 2015, while the U.S. Air Force and Navy intend to declare IOC in 2016 and 2018, respectively.

The F-35 Lightning II, a 5th generation fighter, combines advanced low observable stealth technology with fighter speed and agility, fully fused sensor information, network-enabled operations and advanced sustainment. Three distinct variants of the F-35 will replace the A-10 and F-16 for the U.S. Air Force, the F/A-18 for the U.S. Navy, the F/A-18 and AV-8B Harrier for the U.S. Marine Corps, and a variety of fighters for at least 10 other countries.

Headquartered in Bethesda, Md., Lockheed Martin is a global security and aerospace company that employs approximately 115,000 people worldwide and is principally engaged in the research, design, development, manufacture, integration and sustainment of advanced technology systems, products and services. The Corporation's net sales for 2013 were $45.4 billion.

http://www.lockheedmartin.com

[quote="jf16"][quote] F-35 : légère baisse du coût du programme

Le 07/04/2014 à 16h30, par François Julian


Les trois versions différentes du F-35 Lockheed Martin    

C'est inédit dans l'histoire du F-35 de Lockheed Martin : le coût total du programme Joint Strike Fighter (JSF) aurait baissé l'an dernier, si l'on en croit les estimations du GAO, la cour des comptes américaine. Selon un rapport publié récemment, le coût de revient du F-35, pour le contribuable américain, serait passé de 343,8 Md$ pour l'année fiscale 2013, à 332,3 Md$ pour l'année fiscale en cours. Ces montants incluent la mise au point des trois versions du F-35 et l'acquisition de 2443 machines de série, pour les besoins de l'US Air Force, l'US Navy et les Marines.

Le GAO ne détaille pas avec précision ce calcul, ni la raison de cette baisse de coût. Pour autant, il semble que cela soit le résultat de la restructuration du programme entamée en 2012, visant à rationaliser l'ensemble des coûts, à la fois de développement et de production.

Dans rapport séparé, le GAO donne également une estimation du cout unitaire de chacune des versions de l'avion. Le prix du F-35A (version conventionnelle) est évalué à 124,8 M€, celui du F-35B (version à décollage court et atterrissage vertical) est de 156,8 M$, et celui du F-35C (version embarquée) est de 142,6 M$. A l'horizon 2019, il est prévu de faire baisser le prix du F-35A aux alentours de 80 M$, celui du F-35B à un peu moins de 110 M$ et celui du F-35C à environ 90 M$.

Le GAO maintient tout de même l'alerte sur le programme F-35  : si ce dernier ne connait plus de dérapage budgétaire et calendaire, l'inquiétude demeure sur l'avancement de la mise au point du logiciel faisant fonctionner l’avionique de bord. De même, il n'est pas impossible que le programme JSF ait à subir des coupes budgétaires, le Pentagone ayant sur le bras d'autres programmes d'aéronefs très couteux, comme par exemple le ravitailleurs KC-46A ou bien encore le très mystérieux nouveau bombardier LRS-B.

Euh en fait non cela n'a pas baissé mais un petit peu augmentait.......  
http://www.opex360.com/2014/04/19/le-cout-du-programme-f-35-derape-de-188-en-2013-selon-estimation-du-pentagone/

Citation :

F-35 Achieves Three Major Flight Test Milestones On Same Day

EDWARDS AIR FORCE BASE, Calif. and NAVAL AIR SYSTEMS COMMAND, Md, May 29, 2014 – In three separate flight tests on May 27, Lockheed Martin [NYSE: LMT] F-35 Lightning II aircraft demonstrated air-to-air combat capability, completed the first flight test with the next level software load and accomplished a landing at the maximum test speed and drop rate.

In the Point Mugu Sea Test Range airspace off the Central California coast, an F-35B demonstrated the jet’s air-to-air combat capability when it sequentially engaged two aerial targets with two AIM-120 Advanced Medium Range Air-to-Air Missiles (AMRAAM) during a Weapon Delivery Accuracy mission.

Test pilot Lt. Col. Andrew ‘Growler’ Allen tracked two maneuvering drone targets, making the very first dual AMRAAM shot from any F-35 variant, and the first live AMRAAM shot from the F-35B Short Take Off and Vertical Landing (STOVL) variant.

“The U.S. Marine Corps, which operates F-35Bs, will be the first military service branch to attain combat-ready Initial Operational Capability (IOC) in 2015,” said J.D. McFarlan, Lockheed Martin's vice president for F-35 Test & Verification. “This Weapon Delivery Accuracy test highlighted the air combat capability that will give Marine aviators a decisive combat edge in contested airspace.”

The F-35’s internally-carried AIM-120 AMRAAMs are a beyond-visual-range air-to-air missile capable of all-weather day-and-night operations and considered a “fire-and-forget” missile using active target radar guidance.

Flying from Edwards Air Force Base, an F-35A flew a 1.9 hour mission with the first-ever load of Block 3i hardware and software. Block 3i is the next level of capability and is planned to support U.S. Air Force F-35A IOC in 2016.

The F-35C, designed for aircraft carrier operations, completed a landing at its maximum sink speed to test the aircraft’s landing gear, airframe and arrestment system at Naval Air Station Patuxent River, Maryland. “Five sorties were conducted, building up the maximum sink rate test condition of 21.4 feet per second, which represents the maximum sink speed planned for this test,” McFarlan said. During the tests, the F-35C did three arrestments, several touch and goes and one bolter. The landings were to demonstrate structural readiness for arrested landings on an aircraft carrier at sea.

Fleet-wide, the F-35 has, to date, amassed more than 17,000 flight hours, with all three variant aircraft at the F-35 Integrated Training Center at Eglin AFB, Florida, surpassing the 5,000 sorties milestone this week.

The F-35 Lightning II, a 5th generation fighter, combines advanced low observable stealth technology with fighter speed and agility, fully fused sensor information, network-enabled operations and advanced sustainment. Three distinct variants of the F-35 will replace the A-10 and F-16 for the U.S. Air Force, the F/A-18 for the U.S. Navy, the F/A-18 and AV-8B Harrier for the U.S. Marine Corps, and a variety of fighters for at least 10 other countries. Following the U.S. Marine Corps’ planned 2015 IOC, the U.S. Air Force and Navy intend to attain IOC in 2016 and 2018, respectively.

Headquartered in Bethesda, Maryland, Lockheed Martin is a global security and aerospace company that employs approximately 113,000 people worldwide and is principally engaged in the research, design, development, manufacture, integration and sustainment of advanced technology systems, products and services. The Corporation’s net sales for 2013 were $45.4 billion.

http://www.lockheedmartin.com

Citation :

JSF : infos et intox

Industrie et matériels  13 juin 2014  

F-35Malgré les milliards engloutis dans ses technologies de furtivité révo­lutionnaires, le JSF serait donc particulièrement vulnérable aux radars russes de nouvelle géné­ra­tion, dont les fréquences de détec­tion seraient inférieures à 2Ghz !

Distillées depuis plusieurs semai­nes, ces informations reprises en boucle ont suscité «l’inquiétude» de nombreux clients export, au point de déstabiliser sérieusement l’image de Lockheed Martin. Pourtant, de telles révélations ne résistent pas à l’analyse critique. Curieusement, toutes les infor­ma­tions sur ce sujet proviennent à l’origine des deux anciens spécia­listes aéronautiques et amis d’une grande revue de défense britanni­que.

D’autre part, si effectivement la Russie s’est investie depuis de nombreuses années sur les radars en bandes VHF, L, et S pour tenter de détecter la présence de plates-formes furtives dans son espace aérien, ces fréquences interdisent pour l’instant une précision suffi­sante pour activer les systèmes de conduite de tir, et rien ne prouve qu’un tel défi technologique ait été réalisé par Moscou. Enfin, aucune de ces communications n’évoque les dispositifs de brouillage basses fréquences du JSF développés à grands frais par BAE et Northrop, qui, à l’origine, devaient pouvoir se passer des missions de brouillage d’escorte réalisées par les esca­drons de F-18 Growler dédiés à la guerre électronique du concurrent Boeing.

Or une étude approfondie des mots clés utilisés dans ces articles et de leur fréquence révèle de curieuses coïncidences avec les communications de Boeing réali­sées actuellement en Australie et diffusées sur Internet (« The Emerging Battlespace of Joint Warfare » Boeing, Navair Public Release SPR-2014-189). Les termes de «furtivité insuffisante», ou d’«obsolescence des systèmes de guerre électronique» structurent les documents.

Après avoir lancé l’offensive l’année dernière sur le coût réel du JSF pour l’offre canadienne (où selon toute vraisem­blance un nouvel appel d’offres serait lancé), Boeing tenterait cette année sur le marché australien d’impacter son concurrent en l’attaquant sur la réalité de son excellence technologique. En fait, l’issue de ce combat fratricide décidera de l’avenir de Boeing dans le segment des avions de combat militaire, dont le carnet de commandes ne permet plus d’assurer, pour le moment, la survie de ses chaînes de production.

A ces attaques viennent se greffer d’autres articles d’opportunité, comme celui de Selex publié en Inde cette semaine, qui revendique être en mesure de doter le Gripen E/F (toujours à l’état d’ébauche) de nouvelle génération d’un système de guerre électronique à base de modules actifs capable de rivaliser avec celui du F18-Growler modernisé, en oubliant d’évoquer qu’un sys­tème analogue équipe le Rafale depuis plus de dix ans…

Pour autant, le JSF pourrait ne pas sortir totalement indemne de ces campagnes. La perte du Canada ou de l’Australie pourrait encore augmenter le prix à l’unité de l’avion américain, et pousser certains pays européens, comme la Norvège, le Danemark, la Belgique, les Pays-Bas ou l’Italie, dans le contexte économique actuel à se tourner vers d’autres solutions. Et c’est peut-être dans l’hypothèse de ce revirement que Selex a décidé de réorienter sa stratégie de développement sur le Gripen E/F, afin de porter son offre.

http://www.ttu.fr/jsf-infos-et-intox/  

En gros boeing "detruit " son concurent en disant que l'usine a gaz de LM c'est pas le top....
Et bien ceux qui ont engloutit et reve d'engloutir des milliards pour ce F35 couteau suisse doivent faire profil bas .....
Lo lo lo les gars...........

Citation :

Lockheed F-35 bulkhead cracks solution proposed, Pentagon says


WASHINGTON — Lockheed Martin Corp. and the Pentagon say a fix has been found that should prevent more bulkhead cracks on the Marine Corps version of the F-35 Joint Strike Fighter, the costliest U.S. weapons program.

On-the-ground stress testing may resume as soon as Sept. 30, officials said. It was suspended this past September after inspections found cracks in three of six bulkheads on a plane used for such tests.

The suspension increased scrutiny of the Marines' F-35B, the most complex of three versions because it is intended to take off like a conventional fighter and land like a helicopter. The Lockheed-built plane, which Britain and Italy also are buying, is supposed to be declared combat-ready next year.

"They think they've got the root cause," Frank Kendall, the Pentagon's chief weapons buyer, said in an interview. "They've got a process that they want to implement that they believe will fix the problem for the existing jets.

''It's going to take a while to certify that process," he said. "They have reasonably good confidence in it. It's not certain yet that it's going to fix the problem."

The projected $398.6 billion acquisition cost for the F-35 has climbed 71 percent in inflation-adjusted dollars since the Pentagon signed its initial contract with Bethesda, Maryland- based Lockheed in 2001, even as plans were adjusted to buy 409 fewer aircraft.

The bulkhead cracks were described as "a new defect" by Michael Gilmore, the Pentagon's chief weapons tester, when Bloomberg News disclosed the testing halt in February.

"Government and industry engineers identified multiple factors," leading to the cracking even though the bulkheads were made to specifications, Joe DellaVedova, spokesman for the Pentagon's F-35 program office, said in an e-mailed statement. These included "underestimating the effect of corrosion- prevention treatments on fatigue life, resulting in not having enough metal thickness in key locations," he said.

"Bulkhead manufacturing processes will be modified to accommodate increased metal thickness and to minimize stresses within the final bulkhead," DellaVedova said.

Lorraine Martin, Lockheed's F-35 program manager, said in an interview that "we do understand what the stresses were that were impacting the aircraft."

Lockheed, the largest U.S. contractor, has redesigned the bulkhead "so you'll never see these cracks" again, she said. The new bulkhead will be installed in aircraft to be made in the ninth production contract that's scheduled to awarded next year. Retrofit kits will be sent to depots to strengthen the aircraft already delivered, she said.

It's not yet clear how aircraft to be made under the eighth production contract that's now under negotiation with Lockheed will benefit from the improvements, Kendall said.

"We are negotiating with Lockheed on how to handle that," Kendall said. "I'd be reluctant to buy jets that I don't feel are structurally sound."

Ground testing stresses an airframe to simulate flight conditions and determine whether a plane can reach its projected lifetime, which in the case of the Marines' F-35B is 8,000 flying hours.

To provide an extra margin of assurance, the Marine, Air Force and Navy versions of the F-35 are all required to undergo tests for the equivalent of 16,000 flight hours. The Marine version was supposed to complete its second 8,000 hours of testing by the end of this year.

The ground-testing aircraft had accumulated 9,480 hours when testing was stopped.

http://fwbusinesspress.com

Citation :

F-35A sustains fire damage during aborted take-off

A Lockheed Martin F-35A was damaged on 23 June after a fire erupted in the aft section of the fuselage during a take-off attempt from Eglin AFB, Florida, says a base spokeswoman.

The pilot aborted the take-off attempt due to the fire and exited the aircraft without injury, she says. Further details have not been released.

Emergency crews responded to the fire, which was reported at 09:15, and used foam to extinguish the flames, the spokeswoman says.

The cause of the fire is now under investigation.

The F-35A involved in the fire is one of 49 examples of all three versions of the F-35 based at Eglin.

Lockheed has received a total of 125 orders for the conventional take-off and landing variant through the first eight lots of low rate initial production, including six international customers.

The incident comes two weeks before three F-35Bs are scheduled to cross the Atlantic Ocean to participate in the Royal International Air Tattoo and the Farnborough air show.

It appears to be the second major fire that has erupted inside the aircraft on the ground.

The F-35 test fleet was grounded for several weeks in 2011 after a fire erupted in the integrated power package (IPP) subsystem on board an F-35A.

In the 2011 incident, the fire was traced to the failure of a critical valve. The IPP is a small turbine that starts the Pratt & Whitney F135 turbofan engine and provides initial power for onboard systems.

As the F135 begins generating power, the valve opens to allow bleed air from the engine to take over the role of managing the onboard systems from the IPP.

http://www.flightglobal.com

Citation :

Le F-35 à nouveau cloué au sol pour un problème de moteur

Posté dans Amériques, Forces aériennes, Industrie par Laurent Lagneau Le 04-07-2014  



La présence surprise d’un F-35B, la version STOVL (décollage court/atterrissage vertical) de l’avion développé par Lockheed-Martin, était espérée par certains pour le baptême du HMS Queen Elizabeth (qui se fera au whisky et non au champagne comme le veut le tradition), ce 4 juillet.

Le symbole aurait été fort, étant attendu que la Royal Navy mettra en oeuvre ce type d’appareil… quand il sera au point. Seulement, l’US Marine Corps, qui dispose de quelques exemplaires  de cet avion, n’a pas confirmé sa participation à cette évènement. Et même si cela avait été le cas, cela aurait été tout simplement impossible car, à nouveau, les 97 F-35 Lightning II livrés aux forces américaines pour des essais opérationnels et la formation des pilotes, sont cloués au sol jusqu’à nouvel ordre.

Ces dernières semaines auront été compliquées pour ces appareils. En juin, ils ont été brièvement interdits de vol pendant quelques jours en raison d’une fuite d’huile constatée sur le moteur d’un F35B et trois d’entre eux n’ont pas satisfait aux contrôles décidés dans la foulée.

Le motoriste, Pratt & Whitney, filiale de United Technologies Corp., a alors précisé que les inspections des moteurs avaient duré environ une heure et demie et que « presque tous » les F-35 étaient bons pour le service.

À peine cette interdiction de vol levée, un autre incident sérieux s’est produit sur la base d’Eglin. Le moteur d’un F-35A, la version « classique » destinée à l’US Air Force, a pris feu au décollage. « Le pilote a suivi les procédures de sécurrité  appropriées et a abandonné la mission. Nous avons un programme de formation solide et vaste dans lequel chaque pilote de l’aéronef est formé, afin de répondre rapidement et correctement en cas d’urgence », a alors expliqué le capitaine Paul Haas, commandant en second du 33rd Fighter Wing.

Cela étant, la cause de cet incendie demeure inconnue. D’où la décision de suspendre à nouveau les vols. « Des contrôles supplémentaires des moteurs des F-35 ont été requis, et le retour en vol sera déterminé sur la base du résultat des contrôles et l’analyse des informations recueillies », a expliqué le contre-amiral John Kirby, le porte-parole du Pentagone.

La mise au point du moteur Pratt & Whitney F135 de l’appareil, qui se décline en 3 versions (F-35A, F-35B et F-35C, cette dernière étant destinée à l’US Navy), est compliquée. Et les interdictions de vol motivées par des soucis rencontrés avec ce dernier commencent à compter… En 2013, par exemple, la découverte d’une aube fissurée sur une turbine de l’un d’entre eux avait conduit à prendre ce type de décision.

Et cela avait passablement énervé le lieutenant-général Bogdan, le responsable du programme F-35 au Pentagone. « Ce que je constate actuellement, avait-il dit au sujet de Lockheed-Martin et de Pratt & Whitney, c’est qu’ils essaient de ponctionner le moindre sou pour nous vendre le tout dernier F-35 et le tout dernier moteur ». Et d’ajouter : « Ce que je leur demande, c’est de signer pour les 40 prochaines années, de prendre à leur compte une partie des risques inhérents à ce programme, de s’investir dans la réduction des coûts. J’attends d’eux qu’ils construisent avec nous une meilleure relation. Je ne ressens pas encore cette envie pour le moment ».

Outre le développement du moteur F-135, la mise au point des logiciels sans lesquels le F-35 ne peut pas voler est aussi compliquée. Pour donner une idée du défi à relever, il faut programmer au moins 18 millions de lignes de code!

Initialement, le Pentagone souhaitait disposer, au lancement du projet, en 2001, 2.852 appareils furtifs pour 233 milliards de dollars. Or, après les restructurations du programme afin de prendre en compte les dépassements de coûts et les retards, il n’en aura que 2.443 pour 391,2 milliards de dollars… Soit une hausse de la facture de +68%. À cela, il faut encore ajouter les frais d’exploitation de l’avion tout au long de sa carrière opérationnelle. Et là, le montant estimé de la note est de l’ordre du trillion de dollars.

Mais ces déboires n’empêchent nullement les ventes du F-35 à l’étranger. Au Royaume-Uni, donc, mais aussi en Australie, au Japon, en Corée du Sud, en Israël aux Pays-Bas, en Italie ou encore en Norvège. En revanche, le Canada, où le choix de cet appareil a été sous le feu des critiques, pourrait opter pour un autre avion.

Reste que cette nouvelle interdiction de vol  pourrait compromettre les premières participations du F-35 à des salons aériens. Normalement, il est attendu au Royal International Air Tattoo (11 juillet) et au Farnborough International Airshow (19 juillet). Le Pentagone a indiqué qu’une décision serait prise d’ici quelques jours.

http://www.opex360.com/2014/07/04/le-f-35-nouveau-cloue-au-sol-pour-probleme-de-moteur/

Quel bordel ce programme..........  

Citation :

DOD Plans To Deliver F-35’s 5th Gen Capability At 4th Gen Cost By 2019

Washington D.C., July 10, 2014 – Today, the Department of Defense announced an agreement aimed at reducing the price of an F-35 Lightning II 5th generation fighter to the equivalent of today’s 4th generation fighters by the end of the decade. Designated “The Blueprint for Affordability,” the DoD and F-35 industry partners – Lockheed Martin, Northrop Grumman and BAE Systems signed an agreement to implement cost reduction initiatives to lower the production costs of F-35 aircraft.

The agreement is built upon the U.S. Government’s Better Buying Power 2.0 initiative, which encouraged defense contractors and the USG acquisition community to determine new and innovative ways to reduce the cost of their goods and services. Leading the change is an upfront investment by Lockheed Martin and F-35 industry teammates BAE Systems and Northrup Grumman.

Specifically, LM, NG, and BAE will invest up to $170 million from 2014 – 2016 in affordability measures, directly resulting in a lower-priced aircraft. Only after a reduction of cost, will industry recoup the investment plus profit with the accrued savings from the cost reduction initiatives. From 2016-2018, the USG has the option to invest additional money if the initial cost reduction initiatives are successful. The primary way the government will realize its savings is through reduced F-35 unit recurring flyaway (URF) cost.

“This is a significant change in business approach within the F-35 program,” said Lt. Gen. Chris Bogdan, F-35 Program Executive Officer. “Industry partners will make an upfront investment into cost cutting measures that the government and taxpayers will reap benefits from by buying F-35s at a lower cost. By 2019, we expect that the F-35 with its unprecedented 5th generation capability will be nearly equal in cost to any other fighter on the market, but with far more advanced capability.”

The reduced URF will have long reaching benefits for the program, and international countries purchasing F-35s will also benefit from this savings. In the future, the government is looking at similar ways to drive down the costs of operating and sustaining the F-35.

“We are taking these unprecedented measures in support of our customers’ affordability challenges,” said Lorraine Martin Executive Vice President and General Manager, F-35 Program. “We have total faith in the F-35 to support the U.S. and our allies’ future defense needs. Our industry team knows what is at stake given the current budgetary and global security demands to reach these cost milestones.”

The F-35 Lightning II is a 5th generation fighter, combining advanced stealth with fighter speed and agility, advanced mission systems, fully fused sensor information, network-enabled operations and cutting-edge sustainment. Three distinct variants of the F-35 will replace the A-10 and F-16 for the U.S. Air Force, the F/A-18 for the U.S. Navy, the F/A-18 and AV-8B Harrier for the U.S. Marine Corps, and a variety of fighters for at least 10 other countries.

http://www.lockheedmartin.com