Actualités Espagnoles

Rappel du premier message :

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L'superordinateur « Finis Terrae » obtient résoudre un problème avec 150 millions d'inconnues

SANTIAGO DE COMPOSTELA. - Le défi était, pour cet été, de faire un calcul de plus de 100 millions d'inconnues. ET il a été accompli. Des chercheurs des Universités Vigo et Estrémadure et techniciens du Centre Supercomputacion de la Galice (CESGA) ont battu un enregistrement mondial en résolvant un problème électromagnétique avec 150 millions d'inconnues,avec l'emploi de l'superordinateur « Finis Terrae ».

Avec cette réalisation, l'équipement inter-universitaire a dépassé la marque mondiale précédente,en pouvoir d'un groupe turc, située dans 85 millions d'inconnues, et maintiennent le défi pour parvenir à arriver aux 250 million les prochains hivers, a informé le CESGA.

L'application employée, HEMCUVE++ est le résultat d'un processus de développement continu de l'équipement investigateur durant l'année 1999, à travers un projet financé par Navantia.
Le centre galicien explique dans un communiqué que pour aborder cette simulation, on a utilisé « seulement » 64 des 142 moeuds dont dispose l'superordinateur, ce qui équivaut à 1.024 noyaux de de processus et de 5.4 Terabytes de mémoire RAM.

Les calculs ont été complétés dans 6 heures,dont 3.5 ont été employés « dans l'initiation de l'algorithme ».

Fernando Obelleiro, de l'Université de Vigo, indique dans le document que « le Finis Terrae est une machine superbe pour ce type de défi » et, « bien qu'il existe des machines plus puissantes, l'architecture du Finis Terrae est appropriée pour notre application ».

Bien qu'il s'agisse de recherche pratique, la résolution de problèmes électromagnétiques peut être appliquée dans la conception de grandes structures dotées de systèmes de radio, comme bateaux, avions et véhicules terrestres.

Obelleiro explique que, « quand tu construiras un bateau tu peux avoir des problèmes d'interférences entre les antennes que » et « construit il et voir ce qu'il passe il est très cher ; de là la simulation, qui permet de faire des conceptions virtuelles du bateau et d'observer aussi de manière simulée les réactions et les interactions entre ses différents éléments, comme celui les antennes et les radars ».

Cet enregistrement, indique le CESGA dans le communiqué, aussi ouvre la porte à l'application de l'électromagnétisme dans des domaines comme la biomédecine,la conception metamateriales ou du développement de radars de pénétration terrestre pour la détection de mines antipersonne ou structures géologiques dans le sous-sol.

http://www.elmundo.es/navegante/2008/08/12/tecnologia/1218555359.html

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Deux nouvelles centrales thermo-solaires en Espagne

Torresol Energy a annoncé hier l'obtention d'un prêt de 760 millions de dollars pour financer son projet de construction de deux centrales solaires à concentration – Valle 1 et Valle 2 – en Andalousie, Espagne.
La valeur totale de l'investissement concernant ces deux usines s'élève à 1 milliard de dollars.

La construction des deux centrales solaires d'une capacité de 50 MW avait débuté en mars 2009. C'est la première fois que 2 centrales thermo-solaires "jumelles" sont construites simultanément. Ces installations ont été mises au point par « SENER », et comprennent le système de stockage thermique par sel fondu d'une durée maximale de 7.5 heures. Cela signifie qu'elles sont en mesures de produire de l’électricité pendant la nuit et durant les périodes à faible ensoleillement, garantissant ainsi un approvisionnement continu en électricité. Ce processus permet de surmonter l'intermittence, l'un des principaux inconvénients des technologies du renouvelable.

Les trois projets initiés par « Torresol Energy » au cours des 12 derniers mois - Valle 1 et 2, ainsi que « Gemasolar », l'usine intégrant la technologie de tour centrale (17 MW / 110 GWh par an) - continuent de progresser dans les temps prévus. Ensemble, ils représentent un investissement total de 1.4 milliards de dollars dans le solaire thermique.
"Grâce à une production totale de 340 GWh par an, équivalant à l’énergie propre et sûre assurée à plus de 80,000 maisons et à la prévention de l’émission de 90,000 tonnes de CO2 chaque année, Valle 1 et 2 seront les premières usines à fournir de l’énergie solaire concentrée et contribueront largement à l’approvisionnement en électricité de la région. Plus particulièrement, ces usines seront capables de produire de l’électricité pendant la nuit et durant les périodes de faible ensoleillement, ce qui constitue évidemment une caractéristique importante que les consommateurs qui requièrent un approvisionnement continu en électricité doivent prendre en considération", a déclaré Enrique Sendagorta, le Président de « Torresol Energy »

La construction de ces nouvelles centrales solaires devrait contribuer à créer 3 200 emplois pendant deux ans sur le territoire espagnol.

source:www.enerzine.com

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Espagne: 5 membres présumés d'ETA arrêtés

La police espagnole a procédé mardi à l'arrestation de cinq membres présumés de l'ETA, l'organisation séparatiste basque, soupçonnés d'être impliqués dans un attentat à la voiture piégée en 2008. Les suspects ont été interpellés en tout début de journée à la frontière entre les provinces basques de Biscaye et de Guipuzcoa. La police espagnole n'exclut pas d'arrêter de nouvelles personnes. Quatre membres de l'organisation avaient déjà été arrêtés ce mois-ci en France et au Portugal.

www.europe1.fr

consommation d'électricité avec différents types d'énergies en temps réel https://demanda.ree.es/demanda.html

Forte polémique en Espagne à l'heure actuelle autour de la construction d'un ATC(cimetière nucléaire) qui supposerait en outre un investissement de 700 millions d'Euros et la création de 300-500 nouveaux postes de travail...

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Espagne: La polémique sur le nucléaire refait surface

26-01-2010
La polémique sur le nucléaire et ses répercussions sur la santé et l'environnement refait surface en Espagne après le refus opposé par plusieurs communautés autonomes d'héberger sur leur sol un dépôt de résidus nucléaires plus connus sous le nom de cimetières nucléaires.

Inscrite pourtant à l'avant des promesses électorales de l'actuel président du gouvernement espagnol, le Socialiste José Luis Rodriguez Zapatero, qui s'est prononcé en faveur de l'abandon progressif du recours au nucléaire et son remplacement par les énergies dites vertes, la question nucléaire semble reprendre place dans le débat actuel en Espagne.

Aujourd'hui, le parc nucléaire espagnol compte six centrales qui produisent 20 pc de l'électricité consommée par le pays, mais dont la vétusté est souvent décriée par les associations écologiques de la place. Le pays est aussi le deuxième producteur d'énergie solaire au monde et le troisième pour l'éolien.

Des résidus nucléaires qui ne trouvent pas preneurs

Saturée par les résidus nucléaires de ses centrales, l'Espagne, à travers son gouvernement, est à la recherche d'un Dépôt Temporaire Centralisé (ATC), dit cimetière nucléaire, pour entreposer ses résidus nucléaires trop encombrants et dont personne ne veut.

Le gouvernement, qui a invité les différentes municipalités et communautés autonomes à présenter leur candidature, décidera avant mai prochain, quelle municipalité ou quelle communauté autonome devra héberger le cimetière objet de la polémique.

La question des cimetières nucléaires divise même les deux principaux partis politiques du pays et a conduit à un affrontement entre municipalités et communautés du pays.

Déjà la Catalogne et Castilla La Mancha ont manifesté leur rejet d'accueillir un dépôt de résidus nucléaires. Deux petites villes de la région de Ségovie (centre) ont renoncé dimanche à présenter une candidature en raison des protestations des habitants et des dissensions au sein des conseils municipaux.

Pour le moment, une seule et unique municipalité a présenté sa candidature. Il s'agit de Yebra (Guadalajara), une petite localité de 600 habitants, gouvernée par le Parti Populaire (PP-Opposition).

Mais là encore, la candidature fait des remous : le maire de cette petite localité a annoncé la candidature de Yebra en dépit de l'opposition de la direction de son parti (le PP), qui par la voix de sa secrétaire générale, Dolores de Cospedal, a annoncé l'ouverture d'une enquête sur le sujet.

La Catalogne, communauté autonome du Nord Est de l'Espagne est montée au créneau pour clamer haut et fort son refus d'héberger sur son sol un cimetière nucléaire.

Une opinion publique fortement remontée contre le nucléaire

Pressé par l'opinion publique en Catalogne et certains partis politiques de cette région autonome espagnole qui concentre déjà deux centrales nucléaires à problème du pays, le gouvernement autonome conduit par le Parti Socialiste Catalan s'est vu dans l'obligation de se plier à la volonté citadine et de refuser d'accueillir un cimetière de résidus nucléaires.

"Je ne veux pas d'un dépôt de résidus nucléaires à Asco (centrale nucléaire de Tarragone en Catalogne", a assuré sans équivoque, lundi, le président Catalan, José Montilla.

"La Catalogne, qui génère à elle seule 40 pc de l'énergie nucléaire produite en Espagne, ne peut pas héberger de plus un cimetière nucléaire", a-t-il dit, estimant que "le principe qui doit régir cette question est celui de la +solidarité+ entre communautés espagnoles".

Pour la Catalogne, qui estime avoir trop donné à l'Etat en terme de nucléaire, la question des ATC doit être résolue en prenant en compte "l'équilibre territorial" entre communautés. "Les déchets nucléaires doivent être entreposés là où il y a consensus social et territorial sur la question", ce qui n'est pas le cas dans cette région espagnole, selon le président Catalan.

Dimanche dernier, des milliers de personnes, à leur tête des militants écologiques, ont défilé à Tarragone (Catalogne) pour exprimer leur refus de voir la municipalité de la ville présenter la candidature de Asco (Tarragone) pour abriter un cimetière nucléaire.

Avec ce refus cinglant, le gouvernement Catalan se plie à la volonté de ses habitants et des forces de la société publique fort remontés contre les cimetières nucléaires dont ils craignent les répercussions sanitaires et environnementales.

Nucléaire, une question qui vire au débat sociopolitique

Au-delà des dissensions entre communautés et municipalités du pays, la question polémique des ATC, a viré en un véritable débat sociopolitique des plus polémiques en Espagne.

Pour l'ONG écologique Greenpeace, qui s'est fendue en critiques des plus acerbes contre l'exécutif espagnol et les promesses non tenues de son président, la question d'installation de cimetières nucléaires ne peut être résolue "sans un consensus social et politique préalable, lequel consensus ne peut être conclu que si le gouvernement mette sur la table un calendrier de fermeture progressive mais urgente des centrales nucléaires".

L'ONG écologique a également invité le gouvernement à "reconsidérer sa politique sur les ATC et à chercher un véritable et ample consensus social" sur cette question d'une extrême gravité.

Premier concerné par la question, le PSOE, du chef de l'exécutif espagnol, a critiqué "la posture de son rival le Parti Populaire, qui tout en disant Oui à l'énergie nucléaire, clame Non aux résidus Nucléaires".

Le porte-parole du groupe Socialiste au Congrès des députés espagnols, José Antonio Alonso, a qualifié d'"incohérente" la position des Populaires qui, tout en voulant avec force l'énergie nucléaire, ne veulent pas que les résidus nucléaires soient traités dans aucune municipalité du pays.

Le PSOE et le gouvernement sont eux "cohérents " dans le traitement de cette question, affirme le porte-parole du PSOE au Congrès, relevant que le gouvernement opte pour l'abandon progressif de l'énergie nucléaire pour d'autres énergies comme les énergies renouvelables. "La réalité actuelle est qu'il faut traiter les résidus d'une énergie nucléaire qui date de plusieurs années", a-t-il dit.

Selon Alonso, il y a beaucoup de "démagogie" et d'"électoralisme" concernant deux principaux thèmes polémiques actuellement sur la scène politique en Espagne : celui de l'Immigration et celui du nucléaire.

Bref, le débat sur le Nucléaire ne semble pas être clos en Espagne, un pays qui aspire alléger sa dépendance énergétique de l'étranger en misant sur les énergies renouvelables.

MAP

http://www.wabayn.com/monde/260110-espagne-la-pol-mique-sur-le-nucl-aire-refait-surface.html

la question est à double sens, L'espagne accepterai t'elle sur son territoire des matériaux hautement radoactif pour créer des emplois, Ou l'Espagne veut t'elle être un acteur majeur de la filière nucléaire, qui est appelé à se développer très rapidement ......

Perso je pense que c'est un bon projet, puisque qu'il vous donnera une expertise rare dans le domaine, que seul les français maîtrise de A à Z

Citation :

La police basque plomb leader présumé d'une cellule d'ETA, Ibon Iparraguirre loin d'un "Zulo" (armes et explosifs cacher) suite à une recherche dans les bois près de la ville de pêcheurs d'Ondarroa Janvier 29, 2010. Les membres de la Ertzaintza (police basque) a arrêté mardi cinq membres présumés du séparatiste basque ETA et deux autres le jeudi mai qui ont été impliqués dans un attentat à la voiture piégée contre un poste de police en Septembre 2008, selon la police.

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L'Espagne compte 4 326 000 chômeurs

Le nombre de chômeurs en Espagne a augmenté de 1,1 million en l'espace d'une année, et le taux de chômage s'est établi à 18,83 % à la fin 2009, a annoncé vendredi l'Institut national de la statistique. Au total, l'Espagne comptait 4,326 millions de chômeurs fin décembre, contre 3,207 millions un an plus tôt, sur une population totale d'environ 46 millions de personnes. Le chômage, qui avait au troisième trimestre marqué une courte pause dans sa course effrénée vers les sommets, est reparti à la hausse. Le taux était resté stable entre le deuxième et le troisième trimestre, à 17,92 %. Cela représente une augmentation de 203 200 chômeurs en trois mois.

L'économie espagnole est entrée en récession fin 2008, après plusieurs années de très forte croissance et une baisse du taux de chômage au taux plancher de 7,95 % à l'été 2007. Le pays a été frappé par la crise financière internationale et surtout par l'éclatement de la bulle immobilière, qui a sinistré le puissant secteur de la construction et contaminé peu à peu l'ensemble de l'économie. Aujourd'hui, l'Espagne est un des pays de l'Union européenne avec le plus fort taux de chômage.

UN TAUX DE CHÔMAGE DE 29,7 % CHEZ LES ÉTRANGERS

L'économie détruit des emplois à tour de bras. Le nombre de personnes ayant un travail a baissé de 1,21 millions en un an, à 18,645 millions à la fin 2009. Cela représente également 224 200 postes de travail de moins par rapport au troisième trimestre. La population active a elle légèrement baissé de 21 000 personnes au quatrième trimestre par rapport au précédent, à 22,972 millions de personnes.

Hommes et femmes ont été touchés à égalité par la poussée du chômage au quatrième trimestre. Le taux de chômage masculin était de 18,64 % à la fin de l'année, et le féminin de 19,07 %. Les étrangers, dont beaucoup d'hommes peu qualifiés employés dans le secteur du BTP avant la crise, sont les plus affectés par le chômage, avec un taux de 29,7 %, contre 16,8 % pour les Espagnols. L'envolée du chômage a eu des conséquences lourdes pour l'économie du pays, notamment à cause de la forte baisse de la consommation des ménages qui a pesé sur le produit intérieur brut. Fin 2009, il y avait 1,22 millions de foyers espagnols où tous les membres actifs étaient au chômage.

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L'Espagne adopte un plan d'austérité et la retraite à 67 ans

Le gouvernement socialiste espagnol a approuvé, vendredi 29 janvier, une proposition de réforme de la Sécurité sociale prévoyant de repousser de deux ans l'âge légal de la retraite, de 65 ans à 67 ans, a annoncé sa vice-présidente, Maria Teresa Fernandez de la Vega. La proposition devra être débattue par les partis politiques et vise à établir "le nouvel âge de la retraite à 67 ans", a déclaré Mme de la Vega à l'issue du conseil des ministres.

Le gouvernement a, en outre, annoncé l'adoption d'un plan d'austérité sur trois ans visant à économiser 50 milliards d'euros d'ici à 2013 et à rentrer dans les clous du pacte de stabilité européen, qui limite à 3 % du PIB le déficit budgétaire des Etats membres. La Commission européenne a donné jusqu'à 2013 aux Etats membres dont les déficits se sont envolés à la faveur de la crise économique et des mesures publiques de relance pour rentrer dans les limites du pacte de stabilité.

Selon une estimation de la ministre de l'économie, le déficit des comptes publics espagnols s'est envolé à 11,4 % du PIB en 2009, alors que la prévision officielle gouvernementale était jusqu'ici de 9,5 % du PIB. L'Espagne est entrée en récession à la fin de l'année 2008 et a vu ses finances publiques se dégrader à grande vitesse à cause de la chute des recettes fiscales et du coût des mesures de relance économique adoptées par le gouvernement.

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L'Espagne ne peut pas faire l'économie d'une cure d'austérité

osé Luis Zapatero et son gouvernement n'ont toujours pas expliqué aux Espagnols qu'ils allaient devoir se serrer la ceinture. Mais ils vont vite s'en apercevoir. Car en Espagne, salaires et coûts de revient sont trop élevés. Les activités exportatrices sont donc peu compétitives.

Une dévaluation rétablirait l'équilibre. Privé de ce recours, M. Zapatero pourrait obtenir des Espagnols qu'ils travaillent davantage sans hausse de salaire. Les prix à l'exportation s'en trouveraient abaissés. Mais il faut du temps pour hausser le niveau de qualification et rendre l'industrie plus productive. Dans l'intervalle, l'Espagne devrait en passer par une phase de "dévaluation interne", et faire diminuer les salaires comme les prix.

L'Allemagne a réussi à ramener le coût du travail à son niveau des débuts de l'euro, en diminuant les salaires ou en augmentant le nombre d'heures travaillées à rétribution identique. En Espagne, ce processus a commencé. De petites entreprises ont abaissé les rémunérations pour maintenir l'emploi. Mais la plupart des salaires y sont indexés sur l'inflation, laquelle a été plus importante que la moyenne de la zone euro ces dernières années. Les patrons essaient aussi d'obtenir des syndicats un aménagement temporaire des dispositions collectives, même si leurs demandes se bornent à limiter les hausses de salaire. Ce sera insuffisant.

Or, quand une entreprise n'a plus les moyens de payer la rémunération convenue, il vaut mieux qu'elle licencie. En Espagne, la rupture des contrats à durée indéterminée coûte cher. On se sépare donc d'abord des salariés engagés temporairement - un quart de la population active.

Or, le taux de chômage approchant de la barre des 20 %, les finances publiques sont mises à rude épreuve. Madrid doit trouver d'autres façons de diminuer le coût du travail. Les prélèvements obligatoires espagnols étant supérieurs à la moyenne de l'OCDE, une réduction de la fiscalité ou des charges sociales permettrait de ne pas trop faire varier la rémunération brute. Mais il faudrait que le gouvernement compense le manque à gagner sur les recettes publiques en comprimant ses dépenses ou les allocations qu'il distribue. Or, M. Zapatero a prôné le statu quo pour les salariés qui ont la chance d'avoir encore un emploi.

La spirale du déclin

Il ne reste plus qu'une douloureuse méthode pour faire baisser les salaires : embaucher les personnes récemment licenciées... à un salaire moindre. Un chômage durablement élevé incitera également les immigrés attirés par la prospérité des années précédentes à aller s'installer ailleurs, ce qui appauvrira le pays. De leur côté, les jeunes talents se lasseront vite d'accumuler des expériences décevantes de quelques mois. Ils finiront par partir.

M. Zapatero serait bien avisé de prendre des mesures audacieuses avant que la spirale du déclin ne soit carrément enclenchée. S'il veut avoir un aperçu de ce qui se passe quand les travailleurs sont trop payés pendant trop longtemps, il lui suffit de venir faire un tour... à Detroit (Michigan).
(Traduction de Christine Lahuec.)

Source: Le monde

C'est tout ce qu'il ne faut pas faire, à moins de vouloir copier trait pour trait et revivre les années 30 , qui sera le nouveau Franco espagnol, l'homme providentiel, il y a des candidats?

C'est presque passionnant de regarder au jour le jour des politiques incapables au services de peuple qui les valent bien, tout en sachant plus ou moins ce ce qui va arriver, je vous jure, si ce n'était si triste, je trouverais ça jouissif. Ceux qui vont "tester" à nouveau ces politiques vont vraiment avoir mal. Souffrez, vous le méritez bien!

Comme j'ai déjà dit chez Forcesdz...

Malhereussement ce pays traverse en ce moment une crise économique très, très profonde grâce au modèle de croissance économique des dernières décennies, la crise actuelle au niveau global et surtout par la grande quantité de politiques économiques inefficaces effectuées par le gouvernement de Zapatero qui ont augmenté le déficit public jusqu'à des niveaux alarmants, qui ont augmenté les effets de la crise sur le secteur immobilier espagnol et leurs éléments associés (Un des principaux moteurs économiques du pays jusqu'avant la crise), qui ont augmenté la crispation sociale et laissent au pays à l'heure actuelle au bord de la banqueroute.

Pour l'année 2012, j'espère un changement de gouvernement inchallah...

inchallah?

Yakuza a écrit:

inchallah?

En voyant les résultats actuels de la dernière législature du PSOE au niveau économique et social,oui.Inchallah...

AMRAAM_88 a écrit:

Yakuza a écrit:

inchallah?

En voyant les résultats actuels de la dernière législature du PSOE au niveau économique et social,oui.Inchallah...

Ce n'est pas à un marocain d'expliquer à un espagnol que la croissance du secteur immobilier en Espagne était spéculative et que ça ne date pas du gouvernement Zapatero, mais bel et bien du gouvernement Aznar. La corruption et la dépravation qui gangrènent le secteur de l'immobilier en Espagne, c'est du temps de quel gouvernement qu'elles ont pris leur essor, Amraam ? Toute politique économique, Amraam, met du temps à produire ses effets. La plupart du temps, c'est le gouvernement suivant qui en cueille les fruits ou en subit les conséquences.
Je n'arriverai jamais à comprendre pourquoi ce peuple voisin a la nostalgie d'une droite nationaliste qui ne cache pas son héritage franquiste ? Nostalgie de Guernica ?
Mais peut être également que les Espagnols n'apprécient pas du tout les bonnes relations actuelles entre le Maroc et l'Espagne et voudraient les voir se dégrader

Aznar comme Zapatero n'auront été que ceux qui, à travers leur incapacité à comprendre la différence entre capacité industrielle, développement économique, développement du monde en commun, et spéculation, pillage, auront laissé la porte ouverte au pire, mais je ne crois pas que ce coup là, l'homme providentiel viendra de la droite nationaliste. Les populations européennes étant assoiffés d'ordre, de sécurité, de monotonie en terme de couleur: le blanc, etc. Abreuvés de thèmes qui sont déjà en eux même extrémistes, le débat est ouvert quant à qui sera celui entre les mains desquelles le peuple s'abandonnera... Un pseudo-libéral centriste de droite ou de gauche, quelle différence, ou un écolo pourrait très bien faire l'affaire.

Une dizaine de millions de personnes meurent par an depuis les années 70, de malnutrition, de maladies que l'on sait guérir, de pauvreté en général. Le citoyen espagnol, et il n'est pas le seul en Europe, regarde passivement ces gens dépérir sans se trouver aucunement responsable de ce qui se passe. Comme si le passage des ailes de la mort n'était qu'un "soap opera" de plus à la "TV globo" sans conséquence. Les trois quart de la planète crèvent, et plus personne n'est capable de comprendre que si ces gens n'étaient pas réduit à une pauvreté extrême, ils feraient de bons clients pour nos économies tout comme nous serions de bons clients pour les leurs, mais c'est tellement plus facile, et logique, de payer nos agriculteurs à ne pas produire et à recevoir pour cela des aides publiques européennes ponctionnées sur les impôts, puis à laisser les spéculateurs voler les richesses des pays dit "du tiers monde". Et puis lorsque qu'un semblant de conscience pourrait se faire jour, il n'y aura qu'à changer de canal TV pour retourner au pays des Bisounours.

..les meme agriculteurs qui deversent des milions de litre de lait dans les egouts pour chantager l´UE sur quelques cents de "subvention" alors que des milions meurent de malnutrition,ca me met en rage quand je voyais ca dans la TV et les messieurs veulent garder le standard de nouveaux bourgois

Yakuza a écrit:

..les meme agriculteurs qui deversent des milions de litre de lait dans les egouts pour chantager l´UE sur quelques cents de "subvention" alors que des milions meurent de malnutrition,ca me met en rage quand je voyais ca dans la TV et les messieurs veulent garder le standard de nouveaux bourgois

Quand le prix du blé étaient à 300 $ la tonne, et qu'ils s'en mettaient plein les pôches ils disaient rien ces messieurs, mais quand les cours sont redevenu "normale" ils sont allés pleurer qu'ils ont perdu je cite " 30% de leur "revenu" qui étaient lié à la spéculation boursières.
C'est vraiment dégueulasse

Non, ce n'est pas "dégeu...", c'est la réaction normale de gens qui ne savent plus à quel sein se vouer après avoir partiellement vendus leurs âmes au diable à l'époque où cela rapportait, or, même à cette époque certains n'étaient pas d'accord, mais qui voulait les écouter? Il ne passaient pas à la TV, à la radio. C'était un débat moral qui n'a jamais eu lieu, ce qui fait qu'il n'y a pas de coupables d'un côtés et d'innocents de l'autre, il y a des gens qui regardaient ailleurs lorsque d'autres crevaient de faim se fichant pas mal que la soit-disant surproduction agricole aille, ou n'aille pas, servir à nourrir des affamés. Il ne faut pas se tromper de débat: La nécessité de nourrir celui qui a faim est devenue subsidiaire et non primordiale. La réaction ne devenant alors que la manifestation d'un égoïsme déçu et non pas le souci de se révolter contre l'inadmissible.

Samyadams a écrit:

AMRAAM_88 a écrit:

Yakuza a écrit:

inchallah?

En voyant les résultats actuels de la dernière législature du PSOE au niveau économique et social,oui.Inchallah...

Ce n'est pas à un marocain d'expliquer à un espagnol que la croissance du secteur immobilier en Espagne était spéculative et que ça ne date pas du gouvernement Zapatero, mais bel et bien du gouvernement Aznar. La corruption et la dépravation qui gangrènent le secteur de l'immobilier en Espagne, c'est du temps de quel gouvernement qu'elles ont pris leur essor, Amraam ? Toute politique économique, Amraam, met du temps à produire ses effets. La plupart du temps, c'est le gouvernement suivant qui en cueille les fruits ou en subit les conséquences.
Je n'arriverai jamais à comprendre pourquoi ce peuple voisin a la nostalgie d'une droite nationaliste qui ne cache pas son héritage franquiste ? Nostalgie de Guernica ?
Mais peut être également que les Espagnols n'apprécient pas du tout les bonnes relations actuelles entre le Maroc et l'Espagne et voudraient les voir se dégrader

Salut Samy!!!

Contrairement à ce qui pense beaucoup de gens, à mon avis, pour comprendre le boom immobilier en Espagne nous nous devons remonter à 2 faits fondamentaux de l'histoire récente de ce pays.Le premier, la reconversion industrielle qui a effectué Felipe González pendant les anées 80.Le deuxième, la crise économique de l'anée 1993 lors du gouvernement du même président socialiste.Avec l'industrie traditionnelle espagnole pratiquement détruite et la grave crise économique qui se produirait plusieurs années aprés, on commencerait à consigner les bases d'un nouveau modèle productif où le poids de l'industrie immobilière et ses éléments associés était de plus en plus important.

Ce fait a été détecté rapidement par multitude d'entrepreneurs avides d'argent qui se sont profités de cette situation, pour comme est connu d'une façon familier en Espagne "Dar el pelotazo" et utiliser le système immobilier avec des fins spéculatives.Par conséquent, les bases de ce nouveau système économique ont été consignées à l'origine par le gouvernement de Felipe González. Ensuite, Aznar a renforcé et largement promu ces bases pendant sa législature.Finalement,le gouvernement de ZP a continué par inertie avec ces directives économiques jusqu'à la fin de sa première législature, où il a choisi probablement le pire moment pour mettre en place toute une série de réformes pour le secteur immobilier, puisqu'à ce moment-là la crise mondiale commençait.Ceci explique un peu aussi pourquoi la crise immobilière est plus virulente en Espagne que dans d'autres pays, puisqu'elle avait déjà commencé ici par les réformes de notre gouvernement.

Quant à que "Toute politique économique, Amraam, met du temps à produire ses effets",oui je sais mais comme dit le proverbe "No se le pueden peras al Olmo".Ce qui je veux dire, est qu'on ne peut pas attendre des "fruits" de politiques exemptes de sens économique en plein crise mondiale.Les directives du "Banco de España", le FMI et d'autres organismes économiques pour sortir de la crise sont clairs en ce qui concerne à l'Espagne et peuvent être consultées dans Internet par exemple.Par contre,notre gouvernement semble avoir opté pour un keynesianisme exacerbé(avec tous les défauts de ce système, qui sont précisément ceux que souffre l'Espagne à l'heure actuelle…) qui a élevé le déficit public à un niveau assez dangereux en compromettant sérieusement le futur économique de ce pays pendant de nombreuses années.

Autres politiques populistes comme le dégrèvement des 400 Euros d'IRPP (Coût de 5 milliards pour les coffres de l'état), Plan E (le premier plan, avec un coût de plus de 8 milliards pour les coffres de l'état, avec de faibles résultats au niveau de l'emploi, et de certains surcoûts dans des choses si extravagantes comme par exemple que les affiches informatives des oeuvres dans quelques cas ont eu un prix supérieur aux oeuvres elles-mêmes à effectuer),etc..ont seulement servi pour augmenter le déficit de l'état sans obtenir des résultats concrets.De toute façon, à mon avis, on ne pouvait pas attendre une gestion meilleure de la crise par un gouvernement qui jusqu'à un mois avant les élections parlementaires de 2008 niait l'existence d'une crise mondiale.

Par ailleurs,quant à certains de tes commentaires qui parlent de "droite nationaliste","Guernica"...sincèrement je crois qui'ils sont HS par rapport aux dernières messages qui parlent surtout de la crise economique de l'Espagne...

Pour finir,et par rapport à ceci:"Mais peut être également que les Espagnols n'apprécient pas du tout les bonnes relations actuelles entre le Maroc et l'Espagne et voudraient les voir se dégrader",je crois simplement qui sont des choses complètement différentes.Le Maroc est un pays de haut intérêt stratégique pour l'Espagne au niveau économique, politique et social.C'est evident.De toute façon,selon le dernièr enquête du CIS, les principales préoccupations des Espagnols sont le chômage, la crise économique, la classe politique actuelle et le terrorisme.Par consèquant si nous prenons "la pyramide des besoins de Maslow" comme exemple(Je crois qu'elle serve pour illustrer parfaitement ce qui je veux dire),entre avoir des bonnes relations avec un pays X(Soit le Maroc ou non) ou avoir un travail,une économie assainie,ou un bien-être social semble évident quelle sera le réponse,mais non selulement ici dans la Péninsule Ibérique sinon dans n'importe quel pays du monde..

L'Université de Californie atterrit-elle à Madrid??

Ce serait la première université américaine d'Europe..."Le but serait d'attirer à Madrid à tous ces élèves d'Europe et du nord de l'Afrique qui, pour le motif qui soit, reste impossible « traverser la mare aux harengs » pour faire ses études aux Etats-Unis."

Citation :

Nouvelle(En Espagnol)

http://www.abc.es/20100201/madrid-madrid/campus-junto-parque-warner-20100201.html

Citation :

Actualité aéronautique


Eurocopter: 12 EC135 commandés par le ministère de l'Intérieur espagnol




Eurocopter et le ministère espagnol de l’Intérieur ont signé un contrat portant sur l’achat de douze hélicoptères EC135 P2i. La police nationale espagnole en exploitera six pour des missions de maintien de l’ordre, tandis que les six appareils restants intégreront la flotte de la Guardia Civil dont un sera dédié aux missions de sauvetage en montagne.


Eurocopter EC135



Eurocopter et le ministère espagnol de l’Intérieur ont signé un contrat portant sur l’achat de douze hélicoptères EC135 P2i. La police nationale espagnole en exploitera six pour des missions de maintien de l’ordre, tandis que les six appareils restants intégreront la flotte de la Guardia Civil dont un sera dédié aux missions de sauvetage en montagne.



Selon le calendrier approuvé, les quatre premiers hélicoptères seront livrés en 2010, Les quatre suivants en 2011 et les quatre derniers en 2012. Les douze hélicoptères acquis dans le cadre de ce contrat rejoindront les quatorze EC135 déjà exploités par la police nationale et la Guardia Civil espagnoles (sept appareils chacune). La signature de contrats additionnels, actuellement en cours de négociation, devrait porter le nombre total d'EC135 à 51 unités, ce qui permettra de finaliser l’ambitieux plan de modernisation de la flotte d’hélicoptères des organismes espagnols chargés du maintien de l’ordre.

Lutz Berling, Président-directeur général d’Eurocopter, a déclaré à cette occasion: « Nous sommes ravis de la signature de ce contrat historique avec le ministère espagnol de l’Intérieur, qui consolide la position d’Eurocopter en tant que leader mondial des constructeurs d’hélicoptères pour les missions de services publics. Il est par ailleurs très gratifiant de parvenir à un nouvel accord avec l’Espagne, qui constitue le 3e marché national du Groupe Eurocopter. »

Les douze hélicoptères faisant l’objet du contrat sortiront tous de la chaîne d’assemblage d’EC135 d’Albacete, l’une des deux chaines dont dispose Eurocopter (avec celle de Donauwörth, en Allemagne) pour la fabrication de cet appareil bimoteur léger. Sur les douze appareils, onze seront équipés IFR pour le vol aux instruments.

www.aeroweb-fr.ne

Espagne: réforme du marché du travail

Citation :

Le chef du gouvernement socialiste espagnol, José Luis Rodriguez Zapatero a dévoilé vendredi soir les grandes lignes d'une proposition de réforme du marché du travail qui a été accueillie plutôt favorablement par le patronat et les syndicats. José Luis Rodriguez Zapatero a en particulier insisté sur la nécessité de réduire la dualité existante sur le marché du travail espagnol entre travailleurs en contrat à durée indéterminée et travailleurs précaires.

Il faut "promouvoir l'emploi à durée indéterminé", a déclaré le chef du gouvernement socialiste, tout en précisant qu'il "n'y a pas de nouveau type de contrat" de travail dans les propositions gouvernementales, ce qui aurait permis de réduire le coût du licenciement, comme réclamé par le patronat.

Le gouvernement a aussi proposé des mesures pour favoriser l'emploi des jeunes au chômage peu qualifiés, réduire la part très importante des contrats temporaires, et développer l'emploi fixe à temps partiel. Son gouvernement veut également s'inspirer du "modèle allemand" qui privilégie aux licenciements secs "la réduction de la journée de travail" comme instrument d'ajustement temporaire en période de crise, a-t-il expliqué.

AFP

semble que notre voisin du Nord est beaucoup croulent sous les dettes!

Citation :

55% du PIB

L'Espagne doit être supérieur à un demi-milliard d'euros à la fin de 2010


Javier G. Galicien
Madrid .- L'encours de la dette à échéance en 2010 atteindra 553,500 millions d'euros, 55% du PIB, selon le ministère de l'Économie. Pour cette année, l'émission nette de la dette, c'est à dire qui ne prend pas en compte la maturité des ventes aux enchères ont déjà eu lieu, vont baisser de 34% à 76.800 millions d'euros.

Toutefois, si vous ajoutez jusqu'à ce que le Trésor doit délivrer à faire face à l'échéance de cette année, la dette brute dépasse de loin les 200.000 dollars.

Pour cela, le gouvernement a décidé de changer sa stratégie de financement afin d'éviter d'accumuler une grande quantité de dette arrivant à échéance dans un court laps de temps. Autrement dit, veut éviter ce qui s'est passé cette année, lorsque nous serons confrontés à l'expiration de plus de 120.000 dollars. Par conséquent, les émissions brutes de longue instruments terme (obligations, principalement) atteindra les 97.000 dollars. De ce nombre, 35.400 traitera 61.600 rachats et les ventes aux enchères à nouveau.

Pour sa part, le solde de la dette à court terme (Paroles) en circulation augmentera de 15.200 dollars. Cela signifie que le Trésor procédera à des ventes aux enchères de ces actifs une valeur de 100.000 dollars. Une grande partie de ces émissions auront pour objectif d'atténuer les émissions courtes qui ont été faites en 2009 et sont dus cette année.

En tout cas, ce n'est qu'une estimation qui mai être sujets à changement en fonction des besoins de financement public. Par exemple, en 2009, l'estimation était de 86,000 millions d'euros, mais a finalement largement dépassé 100.000. La situation du secteur financier aura beaucoup à voir avec le Gouvernement pour répondre à ces estimations ou aucune dette. S'il devenait nécessaire de donner plus d'argent pour financer la restructuration ordonnée de la Banque (FRAB), les émissions pourraient être beaucoup plus élevé.

L'Etat a restauré un type d'actif à moyen terme, les points à 18 mois pour effectuer une partie de leur financement. Lorsque les instruments de l'aide qui arrivent à échéance dans le très court terme (par exemple une lettre à six mois), l'État Baisse du coût de problème. Toutefois, le danger est que répondre à la maturité de ces émissions pour l'année à venir, avec le danger que cela implique dans le cas où il ya la méfiance dans le marché, comme à présent.

Fait important, environ 70% de la dette du Trésor émis en 2009 a été très court terme et prend fin cette année. Ainsi, alors que la dette nette en 2010 va diminuer de 34%, le taux brut (ie, la dépréciation au plus récent numéro) augmentera de manière significative à 200.000 dollars. Au total, le solde de la dette en circulation en circulation (ou ce qui est le même, le total des fonds que le Trésor est en suspens) pour atteindre 553,000 millions d'euros, en hausse de 55% du PIB. Pour l'ensemble des administrations publiques, le pourcentage au PIB est de 65,9%.

C'est une proportion bien en deçà de la moyenne européenne (84%), mais la croissance dans le cas espagnol a été beaucoup plus rapide. En 2007, la dette en circulation était de 307.000 dollars. Autrement dit, l'Espagne a presque doublé l'argent que vous devez en tout juste deux ans.

http://www.elmundo.es/mundodinero/2010/02/08/economia/1265634518.html

C'est l'effet crise. L'Espagne avait la chance durant cette crise d'avoir les mains libre pour s'endetter. Nos voisin sont passé de 40 à 55% du ration dette/ PIB.
55% c'est encore en dessous du pack de stabilité européen qui est à 60%. Comparé à la France 76%, l'Allemagne et l'Angleterre (80%), Ils ont encore de la marge

exactement les économies occidentales sont endettés à 2/3 ils appliquent la même norme que pour la finance des entreprises, c'est une logique entrepreneuriale de l'Etat
ce taux élevé d'endettement permet d'optimiser l'effet levier et permets en d'autres termes "d'avoir une petite part d'un gros gateaux, au lieu d'une grosse part d'un petit gateau"
mais tout cet édifice se base sur un pari, c'est le fameux "pari bancaire", autrement dit l'épine dorsale du système qui le maintient est la confiance des bailleurs de fonds en la solvabilité de l'Etat, si cette confiance est déstabilisé, tous commencent à vendre les bons de trésors et l'Etat concerné s'écroule

Citation :

Ils dénoncent la violation de l'accord d'exportation des tomates .


Rédigé par EFE
Saturday, Février 13th, 2010

Les organisations paysannes dénoncent les violations espagnol et en français «très graves» dans les quotas d'exportation des tomates marocaines vers l'Union européenne (UE) Novembre dernier.


Réunis à Paris, des représentants de la Fédération espagnole des Fruits et Légumes (FEPEX) et l'Association des producteurs de tomates en France (AOPN), a demandé l'inclusion des membres des contrôles douaniers de l'UE sur l'Hispano Board -- le français sont les deux organisations pour expliquer la procédure et d'inspection.
Cela a été expliqué à Efe président FEPEX Maria Jose Pozancos, qui a dit que le volume des tonnes de tomates exportées vers le Maroc de l'UE en Novembre l'année dernière a dépassé 8000 tonnes à partir de 34.000 tonnes a signé des accords avec l'UE.
Selon Pozancos, l'échec du Maroc a généré «une crise forte du marché" pour les producteurs européens de ce mois.
En outre, les deux organisations ont également dénoncé le caractère abusif des moyens que le Maroc, qui a signé en Décembre l'année dernière avec l'UE un accord d'exportation, ne pas avoir à subir les mêmes règles.
Cet accord, qui est opposée par les producteurs français et en espagnol, prévoit une augmentation du quota de tomates qui peuvent pénétrer le marché européen avec tarif réduit réglementations phytosanitaires avec des matériaux différents «santé environnementale et humaine» que les pays de l'UE.
Pozancos a fait valoir que ces «mesures alternatives» phytosanitaires ne sont pas justifiées, car elles constituent «un désavantage dans la concurrence" aux producteurs européens "lorsque le marché est le même."
Par conséquent, les producteurs espagnols et français déplacer ces questions au Parlement européen (PE), qui doit encore ratifier le nouvel accord agricole avec le Maroc.
Si le PE ratifier ce traité, les pays nord-africains vont venir progressivement à exporter 285.000 tonnes de tomates vers les États-Unis dans les années à venir par rapport aux 233.000 tonnes actuellement.
En outre, Pozancos noter que cette campagne a permis de réduire la production de tomates en Espagne, surtout en été, mais n'a pas quantifié la baisse par rapport à 2009.
Toutefois, les producteurs français ont déclaré que leur production va se stabiliser à environ 600.000 tonnes.
Enfin, les deux organisations montrent "position commune" devant l'Organisation commune de marché (OCM) pour l'UE à prévenir la fraude et d'appliquer le "système efficace» pour la gestion des crises et la prévention, car l'actuel " est inapplicable et n'était pas opérationnel ", selon Pozuelos.

http://www.elfaroceutamelilla.es/content/view/44799/55/

Mais sa c'est un classique des agriculteur et producteur en tout genre des pays européens. Si vous saviez comment début des années 80 les agriculteur français faisaient la gueule quand les espagnols sont rentrés dans l'UE, sous pretexte qu'ils allaient tuer les producteurs français