Actualités Espagnoles

Rappel du premier message :

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L'superordinateur « Finis Terrae » obtient résoudre un problème avec 150 millions d'inconnues

SANTIAGO DE COMPOSTELA. - Le défi était, pour cet été, de faire un calcul de plus de 100 millions d'inconnues. ET il a été accompli. Des chercheurs des Universités Vigo et Estrémadure et techniciens du Centre Supercomputacion de la Galice (CESGA) ont battu un enregistrement mondial en résolvant un problème électromagnétique avec 150 millions d'inconnues,avec l'emploi de l'superordinateur « Finis Terrae ».

Avec cette réalisation, l'équipement inter-universitaire a dépassé la marque mondiale précédente,en pouvoir d'un groupe turc, située dans 85 millions d'inconnues, et maintiennent le défi pour parvenir à arriver aux 250 million les prochains hivers, a informé le CESGA.

L'application employée, HEMCUVE++ est le résultat d'un processus de développement continu de l'équipement investigateur durant l'année 1999, à travers un projet financé par Navantia.
Le centre galicien explique dans un communiqué que pour aborder cette simulation, on a utilisé « seulement » 64 des 142 moeuds dont dispose l'superordinateur, ce qui équivaut à 1.024 noyaux de de processus et de 5.4 Terabytes de mémoire RAM.

Les calculs ont été complétés dans 6 heures,dont 3.5 ont été employés « dans l'initiation de l'algorithme ».

Fernando Obelleiro, de l'Université de Vigo, indique dans le document que « le Finis Terrae est une machine superbe pour ce type de défi » et, « bien qu'il existe des machines plus puissantes, l'architecture du Finis Terrae est appropriée pour notre application ».

Bien qu'il s'agisse de recherche pratique, la résolution de problèmes électromagnétiques peut être appliquée dans la conception de grandes structures dotées de systèmes de radio, comme bateaux, avions et véhicules terrestres.

Obelleiro explique que, « quand tu construiras un bateau tu peux avoir des problèmes d'interférences entre les antennes que » et « construit il et voir ce qu'il passe il est très cher ; de là la simulation, qui permet de faire des conceptions virtuelles du bateau et d'observer aussi de manière simulée les réactions et les interactions entre ses différents éléments, comme celui les antennes et les radars ».

Cet enregistrement, indique le CESGA dans le communiqué, aussi ouvre la porte à l'application de l'électromagnétisme dans des domaines comme la biomédecine,la conception metamateriales ou du développement de radars de pénétration terrestre pour la détection de mines antipersonne ou structures géologiques dans le sous-sol.

http://www.elmundo.es/navegante/2008/08/12/tecnologia/1218555359.html

la dette souveraine de l'Espagne a dépassé 63 pour cent du PIB,ce qui est plus de 700 milliards d'euros

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MADRID - Fitch dégrade l'Espagne de deux crans à "AA-", perspective négative

MADRID - L'agence d'évaluation financière Fitch Ratings a abaissé vendredi de deux crans la note à long terme de l'Espagne, alors que la crise en zone euro s'intensifie et que le pays affiche une faible croissance et de mauvaises finances régionales.

La note de l'Espagne s'établit désormais à "AA-", contre "AA+" auparavant, ce qui la place dans la 4e note la plus élevée, sur vingt possibles.

Plus inquiétant, elle est assortie d'une perspective "négative", qui implique que l'agence pourrait l'abaisser de nouveau à moyen terme, une mauvaise nouvelle alors qu'une autre agence, Moody's, devrait se prononcer d'ici fin octobre sur une nouvelle baisse de la note espagnole, de Aa2 à Aa3.

Pour justifier sa décision, Fitch évoque "l'intensification de la crise en zone euro".

"Avec des besoins de financement importants" de l'Etat espagnol, pour couvrir ses dépenses budgétaires et sa dette nette externe qui est "l'une des plus élevées au monde" (91% du PIB), rappelle Fitch, "la volatilité plus forte a un effet négatif sur les conditions de financement sur le marché de l'Espagne".

Mais il y a aussi des facteurs internes au pays: "les risques pour la consolidation budgétaire du fait des performances de certaines régions" et "la révision à la baisse des perspectives de croissance de l'Espagne à moyen terme".

Les finances des 17 régions espagnoles sont une source récurrente d'inquiétudes pour les marchés, en raison de leur lourd endettement, qui représentait fin juin 133,172 milliards d'euros, soit 12,4% du PIB du pays, un record historique.

Le 14 septembre, Fitch avait déjà abaissé la note de cinq régions espagnoles, dont la puissante Catalogne, critiquant "la forte augmentation de leur endettement".

De même, le pays dans son ensemble peine à renouer avec la croissance depuis la crise et l'éclatement de sa bulle immobilière.

La prévision du gouvernement pour 2011 est une croissance de 1,3%, mais il existe un consensus, partagé par la Banque d'Espagne, le Fonds monétaire international (FMI) et Standard & Poor's, autour de 0,8%.

"Le processus de rééquilibrage de l'économie espagnole est bien en marche mais il n'est pas encore fini et Fitch s'attend à ce qu'il pèse encore plus lourdement sur la croissance économique à moyen terme", explique l'agence de notation, qui table sur une croissance annuelle sous les 2% jusqu'en 2015, avec toujours un chômage élevé.

Néanmoins, Fitch se montre optimiste sur le long terme, c'est-à-dire après 2015, où l'agence prévoit "un rythme de croissance potentiel au-dessus de la moyenne de la zone euro".

Sa perspective négative tient aux "risques d'une nouvelle intensification de la crise financière en zone euro, ainsi qu'à une possible déviation en termes budgétaires".

Enfin, l'agence pourrait aussi abaisser encore la note espagnole si les coûts de la recapitalisation du secteur bancaire dépassaient ses propres estimations (30 milliards d'euros à partir de 2012).

— 2011 AFP

http://www.20minutes.fr/economie/801962-fitch-degrade-espagne-deux-crans-aa-perspective-negative

apparemment le même scénario de l'économie grecque,arrivera à l'espagnol,ce qui arrive à ceux qui vivent à trop crédit,Attente les espagnols beaucoup d'austérité

Citation :

Fitch et Standard & Poor's dégradent plusieurs banques espagnoles

AFP - L'agence de notation Standard & Poor's a décidé mardi de dégrader la note de dix banques espagnoles, dont les deux leaders du pays Santander et BBVA, se disant pessimiste face au "ralentissement de l'économie espagnole" et au "marché immobilier sinistré".

L'agence de notation Fitch Ratings a pour sa part abaissé dans la foulée les notes de six banques espagnoles, dont également Santander et BBVA, une décision justifiée selon elle par sa récente dégradation, de deux crans, de la note souveraine de l'Espagne.

Chez S&P, les notes à long terme de Santander et BBVA passent ainsi de AA à AA-, avec perspective négative, ce qui signifie que l'agence pourrait à nouveau les dégrader "si l'économie se détériore plus que prévu", selon un communiqué.

Cette annonce survient quelques jours après l'abaissement de deux crans de la note souveraine espagnole par une autre agence, Fitch Ratings, cette dernière s'inquiétant, alors que la crise en zone euro s'intensifie et que le pays affiche une faible croissance et de mauvaises finances régionales.

De son côté, la troisième des grandes agences de notation, Moody's, doit se prononcer d'ici fin octobre sur une nouvelle dégradation de la note espagnole, là aussi fondée sur la fragilité de l'Espagne face à la crise en zone euro et les problèmes financiers des régions.

"La correction des déséquilibres en Espagne va continuer à affecter négativement les profils financiers des banques espagnoles dans les 15 à 18 prochains mois", estime Standard & Poor's.

L'agence note certes que "les banques espagnoles ont montré en général de la résistance face à la crise, mais au fil du temps leurs profils financiers se sont affaiblis".

Notamment, "les banques ont accumulé un haut niveau d'actifs problématiques et ont épuisé la majeure partie des provisions qu'elles avaient faites auparavant".

"En conséquence, leurs bénéfices et leur capacité à absorber les pertes se sont détériorées", conclut l'agence.

Ebranlées par l'éclatement de la bulle immobilière fin 2008, les banques espagnoles continuent d'en pâtir les conséquences, avec un portefeuille d'actifs dont la valeur a fondu et un grand nombre de créances douteuses, des prêts immobiliers susceptibles de ne pas être remboursés.

Chez Fitch Ratings, la note à long terme de Santander, numéro un en zone euro par la capitalisation, passe ainsi à AA-, contre AA auparavant, tandis que celle de BBVA baisse à A+, contre AA- avant, a précisé Fitch dans un communiqué.

http://www.france24.com/fr/20111011-fitch-standard-poors-degradent-plusieurs-banques-espagnoles

Citation :

10 banques espagnoles dégradées par S&P, 6 par Fitch

Standard & Poor's a abaissé mardi d'un cran la note de crédit de dix banques espagnoles, dont les deux principales du pays, mettant en avant l'assombrissement des perspectives économiques du pays et un marché immobilier toujours déprimé. Fitch a embrayé en en dégradant 6.


L'agence de notation Standard & Poor's a décidé mardi de dégrader la note de dix banques espagnoles, dont les deux leaders du pays Santander et BBVA, se disant pessimiste face au "ralentissement de l'économie espagnole" et au "marché immobilier sinistré".

Les notes à long terme de Santander et BBVA passent ainsi de AA à AA-, avec perspective négative, ce qui signifie que l'agence pourrait à nouveau les dégrader "si l'économie se détériore plus que prévu", selon un communiqué.

Cette annonce survient quelques jours après l'abaissement de deux crans de la note souveraine espagnole par une autre agence, Fitch Ratings, cette dernière s'inquiétant, alors que la crise en zone euro s'intensifie et que le pays affiche une faible croissance et de mauvaises finances régionales.

De son côté, la troisième des grandes agences de notation, Moody's, doit se prononcer d'ici fin octobre sur une nouvelle dégradation de la note espagnole, là aussi fondée sur la fragilité de l'Espagne face à la crise en zone euro et les problèmes financiers des régions.

"La correction des déséquilibres en Espagne va continuer à affecter négativement les profils financiers des banques espagnoles dans les 15 à 18 prochains mois", estime Standard & Poor's.

L'agence note certes que "les banques espagnoles ont montré en général de la résistance face à la crise, mais au fil du temps leurs profils financiers se sont affaiblis".

Notamment, "les banques ont accumulé un haut niveau d'actifs problématiques et ont épuisé la majeure partie des provisions qu'elles avaient faites auparavant".

"En conséquence, leurs bénéfices et leur capacité à absorber les pertes se sont détériorées", conclut l'agence.

Ebranlées par l'éclatement de la bulle immobilière fin 2008, les banques espagnoles continuent d'en pâtir les conséquences, avec un portefeuille d'actifs dont la valeur a fondu et un grand nombre de créances douteuses, des prêts immobiliers susceptibles de ne pas être remboursés.

Fitch embraye

L'agence de notation Fitch Ratings a abaissé mardi les notes de six banques espagnoles, dont les leaders Santander et BBVA, une décision justifiée selon elle par sa récente dégradation, de deux crans, de la note souveraine de l'Espagne.

La note à long terme de Santander, numéro un en zone euro par la capitalisation, passe ainsi à AA-, contre AA auparavant, tandis que celle de BBVA baisse à A+, contre AA- avant, a précisé Fitch dans un communiqué, publié peu après une décision similaire d'une autre agence, Standard & Poor's.

http://www.lecho.be/actualite/entreprises_finance/10_banques_espagnoles_degradees_par_S_P_6_par_Fitch.9114413-3027.art?ckc=1


l'article en espagnol : http://www.elmundo.es/elmundo/2011/10/11/economia/1318353241.html

Citation :

apparemment le même scénario de l'économie grecque,arrivera à l'espagnol,ce qui arrive à ceux qui vivent à trop crédit,Attente les espagnols beaucoup d'austérité

Merci de ne pas coller de "LOL" quand une mauvaise nouvelle touche un pays.
Pour info, dorénavant, nous vivons tous à crédit.

PGM

Bien compris PGM,mais je sais bien à la plupart des Espagnols,et je vis avec eux pendant des années,ils se moquent toujours du Maroc et les Marocains

Ce qu'ils les espagnols pensent et disent du Maroc et les Marocains,ce n'est pas la même chose qu'ils pensent et disent les politiciens espagnols aux médias,par conséquent,ils méritent que se moquer d'eux.

PGM a écrit:

Citation :

apparemment le même scénario de l'économie grecque,arrivera à l'espagnol,ce qui arrive à ceux qui vivent à trop crédit,Attente les espagnols beaucoup d'austérité

Merci de ne pas coller de "LOL" quand une mauvaise nouvelle touche un pays.
Pour info, dorénavant, nous vivons tous à crédit.

PGM

Malheresement oui et nous vivons tous au dessus de nos moyens

Plus l'espagne ira mal plus la tentation de provocations plus poussees du PP sera elevee.

Car le PP ne reglera pas les probelemt economiques des espagnols, etant un parti neo-conservateur.

Par contre il saura faire diversion

moroccan-soldier a écrit:

Bien compris PGM,mais je sais bien à la plupart des Espagnols,et je vis avec eux pendant des années,ils se moquent toujours du Maroc et les Marocains

Ce qu'ils les espagnols pensent et disent du Maroc et les Marocains,ce n'est pas la même chose qu'ils pensent et disent les politiciens espagnols aux médias,par conséquent,ils méritent que se moquer d'eux.

Et ce n'est pas parce que certains peuvent être irrespectueux qu'on doit l'être aussi
Quand on agit par réciprocité, on est déjà dans la réaction, c'est à dire que l'on ne se défini que par rapport à l'autre.
On ne va tout de même pas abandonner nos valeurs essentielles (respect des autres) au pretexte que nos contradicteurs versent dans l'irrespect.
Nous avons des valeurs, et celles-ci doivent être immuables : on ne moque pas la misère de l'autre, on ne critique pas les morts, on pardonne.....bref tout ce qui fait notre "être".
On n'est pas là dans le "Jesus-Chrisme" qui consiste à tendre l'autre joue, mais dans la conscience de nos valeurs (musulmanes, universalistes, humaines...).
Et nos valeurs ne peuvent être ébranlées par 2/3 idiots.


Revenons au sujet

Cdt

PGM

PGM a écrit:

moroccan-soldier a écrit:

Bien compris PGM,mais je sais bien à la plupart des Espagnols,et je vis avec eux pendant des années,ils se moquent toujours du Maroc et les Marocains

Ce qu'ils les espagnols pensent et disent du Maroc et les Marocains,ce n'est pas la même chose qu'ils pensent et disent les politiciens espagnols aux médias,par conséquent,ils méritent que se moquer d'eux.

Et ce n'est pas parce que certains peuvent être irrespectueux qu'on doit l'être aussi
Quand on agit par réciprocité, on est déjà dans la réaction, c'est à dire que l'on ne se défini que par rapport à l'autre.
On ne va tout de même pas abandonner nos valeurs essentielles (respect des autres) au pretexte que nos contradicteurs versent dans l'irrespect.
Nous avons des valeurs, et celles-ci doivent être immuables : on ne moque pas la misère de l'autre, on ne critique pas les morts, on pardonne.....bref tout ce qui fait notre "être".
On n'est pas là dans le "Jesus-Chrisme" qui consiste à tendre l'autre joue, mais dans la conscience de nos valeurs (musulmanes, universalistes, humaines...).
Et nos valeurs ne peuvent être ébranlées par 2/3 idiots.


Revenons au sujet

Cdt

PGM

Si tu peux me permettre juste d'ajouter ceci, pour illustrer tes paroles:

"Et que la haine pour un peuple ne vous incite pas à être injuste. Pratiquez l'équité : cela est plus proche de la piété." Coran [5:8]

Infos sur ElPais english ed.

Citation :

Most Spanish banks would fail proposed EU solvency rules

The European Banking Authority (EBA), the European Union's supervisor for the sector, is considering raising the minimum solvency level lenders require under scenarios of recession, a new demand that would cause most of the banks in Spain to fail the stress tests drawn up under such a premise.

Citing banking and regulatory sources, Reuters reported Tuesday that the EBA wants banks to have minimum Tier 1 core capital of seven percent under a recessionary scenario, up from the five percent that was used in stress tests conducted on 90 European banks in July, which were considered to have been insufficiently rigorous.

On that basis, 17 of the 24 banks subjected to the probe would require more capital. The recapitalization exercise for European banks would amount to around 100 billion euros, Reuters reported. "A significant number of banks are expected to fail the stress tests," Reuters quoted one source as saying. In the case of Spain, the number of failing banks will be reduced to 16 due to the merger of Banco Popular and Banco Pastor, one of the banks that failed in July.

Banks that would pass the test under the stiffer criteria include Santander, BBVA, Popular, Sabadell and Banca March. Bankia would fail the test.

If generic reserves particular to Spain and other forms of capital are accepted, eight Spanish lenders would need more capital.

Ai ai ai...

Citation :

Secret meetings bring PP and PNV closer on ETA

The leader of the Popular Party (PP), Mariano Rajoy, has met secretly with the head of the Basque Nationalist Party (PNV) six times since December 2010. The meetings, which took place in Madrid, focused on the possibility of a future without ETA terrorism and served to close the gap between the mainstream Basque nationalists and the pro-Spain conservatives after years of strained relations.

PNV president Iñigo Urkullu began meeting with Rajoy when it became apparent that the PP could well win the next general elections, scheduled for November 20 of this year.

For his part, Rajoy wants to establish a stable relationship with a party that he considers key toward an eventual end of ETA, and which he admires for its decision to "reject any political compensation for ending terrorism."

A long-running dispute in Spain involves whether the government should enter into talks with ETA before the group disbands completely, and whether any compensation should be offered for this extinction, such as transferring ETA convicts to prisons closer to home.

Last week, the Socialist premier of the Basque region, Patxi López, suggested that if ETA disbanded there could be a prisoner transfer, although he denied this was an offer of compensation.

Under the previous PP administration, tension between the government and Basque nationalists reached a peak. Rajoy now seeks to turn the page, helped by the fact that the PNV's new leadership has also adopted a tougher public stance against ETA.

Si je comprend bien, reserrer les lignes interieurs pour pouvoir se concenter sur l'exterieur (Maroc...).

Ca promet.

Citation :

Spanish MSF doctors seized near Kenya-Somali border

Gunmen have kidnapped two Spanish doctors working for the medical charity Medecins Sans Frontieres (MSF) near Kenya's border with Somalia.

The two women were seized from the Dadaab refugee camp, which houses hundreds of thousands of refugees fleeing famine in the Horn of Africa.

Their Kenyan driver was wounded and is now in hospital, MSF say.

In recent weeks, two other foreign women - one English, the other French - have been kidnapped near the border.

Kenyan police told the BBC they were pursuing the kidnappers towards the Somali border by road and by air. They say the border has been sealed.

bbc

Après la dégradation de la dette souveraine espagnole par Fitch...

Citation :

S&P dégrade la note de l'Espagne

Une semaine après l'agence de notation Fitch, Standard and Poor's a abaissé à son tour jeudi d'un cran la note souveraine de l'Espagne, à "AA-", citant "les perspectives incertaines de croissance" du pays et la probable poursuite de la détérioration du système financier espagnol.

L'agence a précisé que la perspective de cette note restait "négative", notant que le pays était confronté à des "risques croissants" en raison d'un niveau de chômage élevé, d'un environnement financier plus difficile et du risque de ralentissement économique chez les principaux partenaires de l'Espagne. La note "AA-", la quatrième meilleure possible, reste d'un niveau attribué aux émetteurs de haute qualité.

Faiblesse du système financier

Pour expliquer sa décision, S&P explique qu'elle juge "probable que la qualité des actifs du système financier espagnol continue à se détériorer", tandis que "la réforme incomplète du marché de l'emploi va continuer à freiner la reprise économique".
S&P a basé son analyse sur des prévisions de croissance de 0,8% en 2011 en termes réels et 1% en 2012, soit moins que ce qu'elle prévoyait il y a encore huit mois (1,5%).

Elle a évoqué la possibilité que l'économie retombe en récession l'an prochain, en raison notamment d'une baisse de la demande interne et étrangère, avec un PIB en baisse de 0,5%. Dans ce cas, précise l'agence, la note de l'Espagne serait de nouveau abaissée. En revanche, si l'Espagne dépasse les prévisions de croissance de S&P, la perspective du pays passerait à "stable".

Déficit de 6,2% du PIB en 2011

"Nous pensons néanmoins que le gouvernement pourrait manquer ses objectifs budgétaires en raison de dépassements de dépenses au niveau des gouvernements locaux et régionaux et de la sécurité sociale, malgré une réduction du déficit budgétaire du gouvernement central plus importante que prévu", indique S&P.
L'agence table sur un déficit budgétaire du gouvernement central de 6,2% du PIB en 2011, globalement conforme aux prévisions du gouvernement espagnol (6%).
"Nous pensons néanmoins que des mesures supplémentaires seront nécessaires pour atteindre l'objectif de 4,4% du PIB en 2012", ajoute-t-elle, tablant sur 5,0% du PIB.

Une semaine plus tôt, Fitch Ratings avait abaissé de deux crans la note de l'Espagne, désormais établie à "AA-", contre "AA+" auparavant, soit la quatrième la plus élevée sur une échelle de vingt.

Pour Fitch aussi, la note est assortie d'une perspective "négative", qui implique que l'agence pourrait l'abaisser de nouveau à moyen terme. Moody's devrait se prononcer d'ici à fin octobre sur un éventuel abaissement de la note espagnole, actuellement à "Aa2" (la troisième meilleure possible).

La croissance de l'Espagne, dopée pendant des années par sa bulle immobilière, a brutalement chuté quand cette dernière a éclaté fin 2008, au moment même où éclatait la crise financière internationale. Elle a alors plongé dans 18 mois de récession, dont elle n'est ressortie, début 2010, qu'avec une croissance atone.

http://www.lefigaro.fr/flash-eco/2011/10/14/97002-20111014FILWWW00001-sp-degrade-la-note-de-l-espagne.php

Citation :

L'Espagne est dans le collimateur des agences

S&P maintient une perspective négative sur l'Espagne, une nouvelle dégradation n'est pas à exclure

Après Fitch, l'agence de notation Standard & Poor's a dégradé la note de la dette de la quatrième économie de la zone euro. En cause, un système financier jugé fragile et des perspectives de croissance incertaines.

Nouveau coup dur pour la zone euro. Après Fitch, c'est au tour de Standard & Poor's de dégrader d'un cran la note de crédit de l'Espagne qui passe à «AA-». L'agence de notation maintient en outre une perspective négative sur le pays. En d'autres termes, un nouvel abaissement de la note du pays n'est pas à exclure.

L'agence de services financiers estime que «les perspectives de croissance sont incertaines» en raison de «risques croissants» qui pèsent sur l'économie. L'agence évoque notamment «la réforme incomplète du marché de l'emploi qui va continuer à freiner la reprise économique». Aux yeux de S&P, l'Espagne pourrait retomber en récession l'an prochain, avec un PIB attendu en baisse de 0,5%.

La fragilité du système financier est également le talon d'Achille de la quatrième économie de l'eurozone. S&P s'inquiète ainsi «d'une probable poursuite de la dégradation de la qualité des actifs du système financier espagnol».

L'agence a en outre des doutes sur la réalisation des objectifs budgétaires du gouvernement Zapatero. La prévision de déficit public espagnol, à 6,2% du PIB pour 2011, pourrait être dépassé. Quant à la réduction de ce déficit à 4,4% du PIB en 2012, elle ne sera pas réalisable sans «mesures supplémentaires».

http://www.lefigaro.fr/conjoncture/2011/10/14/04016-20111014ARTFIG00327-l-espagne-est-dans-le-collimateur-des-agences.php

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Indignés : la Puerta del Sol déborde de fierté




Des manifestants sur la Puerta del Sol, le 15 octobre. Crédits photo : DANI POZO/AFP

Les Espagnols le revendiquent : l'actuel mouvement de protestation international est né chez eux.


Les «Indignados» ont ajouté un nouveau cri à leur répertoire : «Global Change !» Les Espagnols, que l'on dit souvent peu à l'aise avec les langues étrangères, parlaient couramment anglais samedi soir. Car ils en sont fiers et ils le revendiquent :le mouvement de protestation international est né chez eux. Pas d'occupation de Wall Street sans campement Puerta del Sol, pensent-ils. Pas de «15-O» sans «15-M», comme ils disent : la mobilisation mondiale du 15 octobre est issue de la première manifestation madrilène, le 15 mai 2011.

«Le 15 octobre marque une journée historique», explique par exemple Jon Aguirre Suchs, membre de Democracia Real Ya, l'un des collectifs à l'origine du mouvement. S'il préfère souligner le succès international de l'événement, cet architecte de 27 ans ajoute dans un sourire que «désormais l'Espagne n'est plus seulement connue pour son football, c'est aussi l'une des références de la lutte sociale».

À Madrid, les «indignés» sont retournés à la Puerta del Sol, la matrice de leur révolte. La foule était celle des grands jours ; au début de la soirée, des milliers d'«indignés» ont dû se contenter de tourner autour de la Puerta del Sol, faute d'espace suffisant sur la place elle-même. Une démonstration de force en guise de réponse aux mauvais augures qui pensaient que les vacances d'été dissiperaient une révolte surgie comme une poussée d'acné.

C'est le contraire qui semble se produire : les jeunes sont rejoints par leurs aînés. Les slogans anticapitalistes restent majoritaires, certes, et l'inspiration politique des messages emprunte plutôt à la gauche qu'à la droite. Mais le ras-le-bol face à l'austérité gagne de nouvelles couches de la population.

Retraités et professeurs


Ainsi, de nombreux professeurs, reconnaissables à leurs T-shirts verts, sont venus grossir les rangs des indignés. Mobilisés depuis la rentrée contre les coupes budgétaires des gouvernements régionaux, ils ont investi le mouvement. Isabel, par exemple, enseigne l'espagnol dans un lycée de Madrid. «Les responsables politiques imposent plus d'élèves par classe et suppriment des postes. Il faut probablement économiser de l'argent, mais l'éducation devrait être le dernier poste touché», juge-t-elle.

Des retraités sont également venus crier leur colère samedi soir face au gel de leurs pensions, ou afficher simplement leur solidarité avec leurs petits-enfants. Des familles, aussi, équipées de poussettes, se frayaient un chemin à travers la foule.

L'indignation se diversifie. Reste à définir les débouchés de cette révolte. «Nous arrivons à un point d'inflexion», analyse Álvaro Rodríguez, un délégué commercial de 33 ans impliqué dans plusieurs groupes de travail. «Après la critique, il faut voir ce que nous sommes capables de construire. Des changements législatifs, de nouvelles formes de coopération, des innovations dans le domaine financier… Tout reste à faire.» Une assemblée générale était convoquée dimanche soir à la Puerta del Sol. Cinq mois après le 15 mai, les débats continuent comme au premier jour.

lefigaro

Citation :

Basque Militant Group ETA Says It Is Laying Down Arms

After nearly half a century of violence, the Basque separatist group ETA declared a unilateral end to its campaign of bombings and shootings on Friday, saying it wished to seize “an historical opportunity to reach a just and democratic resolution” of the conflict in the ethnically Basque areas of northeastern Spain and southwestern France.

The group’s announcement of “the definite cessation of its military activity” came in the form of a written statement and an accompanying video that was made available to The New York Times and the BBC in London under an embargo stipulating that the statement not to be made public until 6 p.m. British time, 1 p.m. EST in the United States. ETA’s officials said they planned to release the statement simultaneously to two sympathetic Basque-language newspapers , Garra and Berria, published in San Sebastian, the political center of the main Basque homeland in Spain.

The New York times

La crise en europe finira mal, très mal
Le décalage entre la vie réelle et le virtuel se fait de plus en plus grand.

A Paris, pour avoir un appart de 25m² il faut s'endetter à hauteur de 1000€/mois pendant 25 ans . Je ne parlerai pas du prix pour se nourrir, aujourd'hui avec 40 euros tu as rien dans ton caddie . Sans parler des plans de rigueurs à tout va pour faire plaisir à quelque analyste qui entre deux site de rencontre pour sauter leur future maîtresse se permettent de parier sur l'avenir de nation entière

Citation :

En Espagne, la grande misère avance à grands pas

"Mère de 56 ans, qui vit avec deux de ses enfants et ses deux petits-enfants de 7 et 3 ans. Les enfants sont au chômage et sans prestation. La mère perçoit une aide de 426 euros qui prendra fin le 24 novembre 2011. Leur loyer est de 276 euros. Dossier 125." Quelques lignes pour résumer la détresse d'une famille. Un numéro de référence pour demander de l'aide.
A Valence, l'association Nuestra señora de los desemparados a lancé cette année un nouveau programme de lutte contre la misère : "Parrainez une famille". Sur son site Internet, des dizaines de "dossiers" se succèdent. Un numéro de compte en banque invite les visiteurs à faire un don. Et quelques phrases détaillent des situations de plus ou moins grande détresse.


Comme cette "mère divorcée avec quatre enfants de 16, 11, 4 et 3 ans, qui travaille comme femme de ménage en entreprise pour un salaire de 434 euros et paie un loyer de 410 euros." Ce jeune étudiant de 25 ans, coupés de ses parents, qui gagne 250 euros en faisant le ménage chez des particuliers, mais dont la moitié de la paie part dans son loyer. Cette femme de 74 ans, touchant 340 euros de retraite et vivant avec son fils de 50 ans, malade, qui demande simplement qu'on lui répare son lave-linge. Ou encore cette famille avec un enfant, dont l'appartement a été saisi par la banque, le mari a épuisé ses droits au chômage et touche une aide de 426 euros. Son épouse, femme de ménage en arrêt maladie, n'a pas d'indemnités.

L'Espagne ne voit pas le bout du tunnel. La crise s'allongeant, le nombre de chômeurs en fin de droit ne cessent d'augmenter : ils seraient près de deux millions sur les 4,8 millions de chômeurs espagnols (21 % de la population active) à ne percevoir aucune prestation. Près d'1,4 million de foyers compteraient tous leurs membres au chômage. Et selon les associations de droit au logement, 300 000 familles ont été expulsées de chez elles par les banques parce qu'elles ne payaient plus leur crédit depuis trois ans.

Le 13 octobre, l'association caritative, dépendant de l'église catholique Caritas, a tiré la sonnette d'alarme, annonçant lors de la présentation de son rapport 2010 que la pauvreté en Espagne "se stabilise et devient chronique". Le nombre de personnes ayant recours à ses services d'"accueil et assistance primaire", qui résolvent les questions d'urgence basiques telles que l'alimentation, est passé de 400 000 en 2007 à 950 000 en 2010. Or seulement 30 % de ceux-ci demandaient de l'aide pour la première fois. Les 70 % restants correspondent à "des personnes dont la situation empire par manque de solution", a souligné le secrétaire général de l'organisation Sébastien Mora. Les trois-quarts sont des couples âgés entre 20 et 40 ans avec plusieurs enfants en bas âge. Et pour la première fois, ils sont majoritairement de nationalité espagnole.

La solidarité familiale traditionnelle des pays méditerranéens, qui a si longtemps permis d'épargner les gens de la misère et de l'exclusion sociale, semble ne plus suffire. "Chaque année, il y a davantage de personnes qui ont besoin d'une aide d'urgence et le réseau de protection sociale public, qui était faible, diminue et s'érode", continue M. Mora.

Plan d'austérité oblige, les aides nationales destinées aux chômeurs en fin de droit, limitées à une durée de six mois, sont de plus en plus restrictives. Quant aux régions autonomes espagnoles, obligées de réduire leur déficit monstre, elles taillent dans les budgets sociaux. Les aides au logement, aux familles nombreuses, aux personnes dépendantes ou sans revenu se trouvent, par exemple, sur la sellette en Catalogne.

L'Institut national de statistiques espagnol, l'INE, qui a rendu public la semaine dernière les conclusions de l'enquête sur les conditions de vie 2011 parvient au même constat : la misère augmente à grands pas en Espagne.

Près de 22 % des foyers espagnols vivraient actuellement sous le seuil de pauvreté, fixé à 7 500 euros annuels pour une personne seule ou 13 500 pour un couple avec un enfant. En 2010, ils étaient 20,7 % et 19,5 % en 2009. L'augmentation du chômage en est la principale cause. "Un signe de la gravité de la situation est que de plus en plus de jeunes, formés et qualifiés, quittent l'Espagne pour trouver du travail ailleurs", souligne Florentino Felgueroso, directeur de la chaire de capital humain à la Fondation des études d'économie appliquée (Fedea). L'Espagne redeviendra-t-elle un pays d'émigration comme il y a quarante ans ? Selon les études de l'INE, c'est une possibilité si la situation continue de se détériorer.

Les revenus moyens des familles espagnoles ont baissé de 4,4 % en un an, atteignant moins de 25 000 euros annuels par foyer et 9 400 euros annuel par personne. Une famille sur trois n'a pas les moyens d'affronter des dépenses imprévues et 40 % n'a pas les moyens de se payer une semaine de vacances hors de son domicile. Plus alarmant encore, un récent rapport de l'Unicef souligne que 15 % des enfants d'origine étrangère vivent dans des conditions de grave pauvreté et que 6 % souffre de la faim de manière habituelle.

Pour le moment, l'Espagne ne connaît que peu de tensions sociales malgré l'ampleur de la crise. Pas de grève générale. Pas de violence et de délinquance de masse. Seuls les sympathiques "indignés", pacifistes et utopistes, dénoncent les difficultés de la société, gentiment, lors d'assemblées populaires... Mais jusqu'à quand ?

http://www.lemonde.fr/europe/article/2011/10/24/la-grande-misere-avance-a-grands-pas_1593031_3214.html

Fahed64 a écrit:

La crise en europe finira mal, très mal
Le décalage entre la vie réelle et le virtuel se fait de plus en plus grand.

A Paris, pour avoir un appart de 25m² il faut s'endetter à hauteur de 1000€/mois pendant 25 ans . Je ne parlerai pas du prix pour se nourrir, aujourd'hui avec 40 euros tu as rien dans ton caddie . Sans parler des plans de rigueurs à tout va pour faire plaisir à quelque analyste qui entre deux site de rencontre pour sauter leur future maîtresse se permettent de parier sur l'avenir de nation entière

khouya Fahed
je ne crois pas du tout à la thése de grande misére en europe où on verra des européens mourrir de faim dans les rues ..

il s'agit d'une crise économique de pays trés très riches !!

l'Europe a 35% de la richesse mondiale, un immense patrimoine financier et beaucoup d'humains sur terre seraient prêts à echanger leur sort avec celui d'un européen ..

rien que la dépense d'un chien en europe dépasse ce que mangent des centaines de humains dans beaucoup de pays dans le monde !!

Marque avec tout le respect que je te dois, tu ne sais pas de quoi tu parles, vraiment!

Sais tu ne serait ce que le chômage longue durée a comme multiple effet sur une personne, d'un point de vu physique et psycologique?

Ce n'est pas parce que l'Europe réunie 35% des richesse mondiale que les européens en profite à part égale

Si pour toi misère=mourir de faim alors le Maroc fait parti officiellement des pays riche

tous les pays européens auront de grandes difficultés à payer leurs dettes,les seules économies qui peuvent résister à cette crise sont les économies allemande et française,ce qui m'amuse des pays comme l'Espagne,qui était toujours crier au monde que sont un pays riche et la 10 économie mondiale etc de bla bla bla...,et les Espagnols se moquaient de tous les pays du Tiers-Monde,et maintenant les pauvres sont entrés dans un tunnel impasse,et la dette souveraine de l'Espagne est de plus de 700 milliards€,va plonger ce pays dans la misère et l'arriération pour les 30 prochaines années ou plus ,et le chômage en Espagne a augmenté régulièrement dans les deux derniers mois et a dépassé le 21pc de la population active ,et même si la Banque centrale européenne et le Fonds monétaire international, aidera à l'Espagne à payer ses dettes ne sera pas gratuitement sans bénéfices et des mesures d'austérité...Tout simplement l'avenir est noir pour l'Espagne comme pour l'Italie etc ...

Le PP va inclure Sebta et Mellilia dans ces listes électorales... sa sera amusant de voir ces "Marocains" voter pour eux.

(source hespress)

yassine1985 a écrit:

Le PP va inclure Sebta et Mellilia dans ces listes électorales... sa sera amusant de voir ces "Marocains" voter pour eux.
(source hespress)

Information a mettre entre parentheses car Sebta et Mellilia ont toujours étaient representaient aux Cortes depuis 1978. Concernant les listes électorales du PP ajouter ,pour votre information, qu'actuellement aux Cortes siégent deux deputés et quatre senateurs du PP appartenant aux circunscription électorales des deux villes. Et c'est grace a aux valieux votes des "Marocains" que le PP peut preserver les dits siéges.

Vu que les c212 ne sont pas utilisé par l'armé donc je le poste ici

Citation :

Spain extends Airbus Military maintenance contract for C212 fleet




The Spanish Ministry of Environment, Rural Affairs and Fisheries has extended its existing contract with Airbus Military for the maintenance of three C212 aircraft for two more years. These C212 aircraft are used by the Fisheries Inspections Department for the surveillance of Spanish territorial waters.

The original contract was signed in 2000 and has already been extended on three previous occasions. The agreement covers the full and complete maintenance of these three aircraft and includes services such as repairs, parts provision, and scheduled and non-scheduled maintenance checks during the two year contract.

“We are increasing our range of services to allow customers to run their operations and maintenance more cost efficiently and with increased reliability. The extension of this contract is one example and a clear demonstration of the confidence that Spain has in Airbus Military products and services. We are very proud to continue supporting the C212 and look forward to many more years of cooperation”, said Head of Customer Services, Philippe Galland.

More than 800 delivered aircraft have the support of Airbus Military’s Customer Services, which offers personalized assistance to meet the needs of each operator.

Airbus Military applies the Integrated Logistic Support (ILS) concept throughout the life cycle of its products, from the first design phase right through to the end of their useful lifetimes. Airbus Military’s main objective is to ensure that clients obtain the best operational performance and benefit from an integrated support service in accordance with their needs, thus guaranteeing the success of their missions.

Source: EADS

Citation :

La droite espagnole remporte la majorité absolue

Citation :

À Madrid

Les Espagnols ont tranché: pour sortir le pays du marasme économique, ils ont accordé leurs suffrages à Mariano Rajoy. Selon les sondages de sortie des urnes de la télévision publique espagnole, sa formation, le Parti populaire (PP, droite), s'est imposée hier comme la première force du pays, en raflant 43,5% des voix. Mieux, Rajoy bénéficierait d'une majorité absolue confortable: entre 181 et 185 des 350 sièges du Congreso de los diputados devraient revenir au PP.


À l'inverse, le Parti socialiste (PSOE) qu'emmenait Alfredo Pérez Rubalcaba a subi une défaite cinglante. Entre 115 et 119 députés et 30% des bulletins, un score inférieur aux 125 parlementaires de l'an 2000. Les socialistes affrontaient alors un José María Aznar au sommet de sa gloire. Le leader des conservateurs de l'époque avait démontré lors d'un premier mandat sa capacité à stimuler ce qu'on appelait encore le miracle espagnol. Rajoy, inversement, fait jeu égal avec le meilleur résultat d'Aznar (183 sièges) - un père politique parfois encombrant, qui le désigna à la tête du PP en 2004.
Succès des petites listes

Le résultat d'une campagne discrète, «profil bas». Accusé par la gauche de cacher son programme, le président du PP n'en a cure. Usant jusqu'à l'excès de formules générales, il n'a finalement promis qu'une seule chose: mieux gérer l'économie que les socialistes. Là était l'essentiel.

Le premier objectif de Rajoy n'était pas de séduire ses propres électeurs, parmi les plus fidèles et disciplinés du continent. Dans ce pays structurellement plus à gauche que la moyenne européenne, il fallait surtout montrer un visage aimable et éviter d'effrayer les sympathisants socialistes. Empêcher à tout prix qu'ils pratiquent un vote utile, de défense contre la droite. Pari gagné. Les mesures d'austérité, le ras-le-bol face à la crise et la démobilisation ont fait le reste.

Le succès nouveau des petites formations prouve d'ailleurs la justesse de ce calcul. La chute du PSOE ne bénéficie pas seulement au PP. À gauche, les néocommunistes d'Izquierda Unida (IU) passeraient selon les sondages de 2 à 10 sièges… La nouvelle formation écologiste Equo pourrait faire son entrée au Parlement; au centre, les antinationalistes d'UPyD bénéficient eux aussi d'un essor important et devraient engranger jusqu'à 4 députés, contre un seul actuellement.

Les nationalistes, enfin, obtiennent des succès divers. La réussite des indépendantistes basques d'Amaiur est spectaculaire. Six ou sept sièges, ce qui leur offrirait la possibilité de former un groupe parlementaire. La coalition, héritière des différentes vitrines politiques de ETA, profite pleinement de l'annonce de l'abandon du terrorisme par le groupe séparatiste. Le prochain Parlement devrait donc être beaucoup plus «pluriel» que le précédent. Une nouvelle configuration qui signe la fin de l'ère Zapatero.

Le Figaro

tinkiete mirage les HAWKS sont là ! lah i3miha el chi conquistador

Le PP va chanter une autre chanson ils ne sont pas cons comme avant ,le train a grande vitesse de l'arabie saudite a ete pousse par le maroc,ainsi que aznar et ses interets dans repsol etaient garanties en donnant a repsol la zone off shore de tanger a larache.My friends "money talks and bullshit walks "

Tu as une source stp pour le TGV saoudien poussé par le Maroc?

Parce que j'ai beau cherché, je vois pas en quoi on aurait poussé quoi que se soit vu que l'on a nous même choisi ....français

FAMAS a écrit:

tinkiete mirage les HAWKS sont là ! lah i3miha el chi conquistador

Sebta et mlilia sont à porté de tir de l'artillerie royale, il suffit de tourner les canon vers leur direction , verouillez les cibles et menacé de tirer si ce mariano veut faire sa first sortie présidentiel dans les deux villes, ou demander à notre chasse d'intercepter son avion ! , De toute facon quand le PP prend le pouvoir la premiére chose qu'ils font systématiquement c'est venir ( à la maniére de Aznar ) crier L'espagnolité des deux enclave ( consomation interne pour leur éléctorat pourri ) et créer ce désormais classique mais trés chian incident diplomatique au début de leur mandat... moi j di autant anticiper et prendre l’initiative en premier en frappant fort ! En attendera une médiation Franco Américaine pour reprendre nos relations diplomatique avec ces fochés d'espagnoles, sa devré les calmer pour 1 ou 2 ans en principe... Sa peu paraitre ridicule ce que je dis mais vous verrez avec quelle force et acharnement le PP va nous attaquer aux premières heures de pouvoir !!