Feu vert au déploiement de formateurs allemands en Somalie
Une vingtaine de soldats des forces spéciales allemandes vont pouvoir être déployés en Somalie. Le parlement a donné son feu vert vendredi. Ces soldats vont rejoindre la mission européenne de formation de l'armée somalienne, mission à laquelle la Bundeswehr participe depuis 2012.
Cette mission européenne a été créée en avril 2010 et a été stationnée en Ouganda jusqu'au début de l'année 2014 (photo ci-dessus EUTM Somalie); elle a alors rejoint Mogadiscio.
Elle est installée dans une emprise ultra-sécurisée, près de l'aéroport international, dans le camp Halane où sont cantonnées les forces de l'AMISOM. L'installation officielle a eu lieu le 23 février. 16 formateurs (8 Italiens, 6 Suédois et 2 Hongrois) étaient déployés en février.
La mission européenne (125 hommes, 11,6 millions d'euros de budget pour la période février 2013-mars 2015) a déjà formé 3 600 soldats (principalement des sous-officiers). Elle est commandée depuis février par le général italien Mingiardi.
Le déménagement des services de renseignement à Berlin a commencé, au moins symboliquement. Lundi dernier, les 174 premiers collaborateurs du BND se sont installés dans la nouvelle centrale, au cœur de Berlin.
L’ensemble hypersécurisé est le deuxième plus gros ensemble de bureaux de la capitale allemande et doit accueillir, au plus tard en 2016, 4 000 des 6 500 collaborateurs des services. Le coût prévu a été largement dépassé. A l’origine, les coûts de construction devaient être de 730 millions d’euros, ils avoisineront finalement les 1,3 milliard d’euros (912 millions pour le bâti).
Lors de l’inauguration du nouveau siège, le chef de la chancellerie fédérale, Peter Altmaier, coordinateur national pour l’ensemble des services de renseignement allemands, a apporté son soutien à une administration “irremplaçable” qui a été fortement critiquée ces derniers mois pour sa collaboration avec la NSA, tant dans le domaine de la lutte antiterroriste que des écoutes téléphoniques.
Pour le président du BND, Gerhard Schindler, l’installation du BND à proximité du pouvoir politique allemand est le signe d’une nouvelle ère. Entre autres, la culture du secret à la mode “Guerre froide” devrait peu à peu disparaître. Il n’y aura pas à Berlin, comme c’est encore le cas au siège actuel de Pullach, de sculpture en forme de palmier destinée à camoufler un bouquet d’antennes radios.
Les pseudonymes attribués aux collaborateurs du BND en interne seront également supprimés. De même que les nombreuses dénominations fictives, tels le “département de règlement des conflits”, le “sous-département des fonds spéciaux” ou encore le “département de stratégie militaire”, dénominations jusqu’alors utilisées dans certains contrats de travail pour masquer les véritables activités des salariés du BND.
http://www.ttu.fr/le-bnd-atterrit-a-berlin/
jf16 General de Division
messages : 41583 Inscrit le : 20/10/2010 Localisation : france Nationalité : Médailles de mérite :
Alors que le 1000e nageur de combat français (la spécialité regroupe le CPEOM et le Commando Hubert) doit être breveté cette année, la Bundeswehr fête quant à elle les 50 ans de la création de son unité de Kampfschwimmern, comprenez nageurs de combat de la marine.
Au cours d’une démonstration à Eckernförde, les nageurs de combat allemands ont démontré leur savoir-faire en matière d’infiltration nautique, en l’occurrence en ETRACO version allemande, en vue du traitement d’une cible à terre. Même si la Bundeswehr refuse de donner le nombre de personnels, l’unité compterait plus d’une centaine de militaires, ce qui serait un peu plus que le Commando Hubert. Les Kampfschwimmern constituent une unité de Forces Spéciales et non clandestine. Depuis le 1er avril, leur unité a pris l’appellation de Kommando Spezialkräfte Marine (KSM).
Germany – P-3C Aircraft Upgrades and Related Support
WASHINGTON, Apr 11, 2014 – The State Department has made a determination approving a possible Foreign Military Sale to Germany for P-3C aircraft upgrades and associated equipment, parts, training and logistical support for an estimated cost of $250 million. The Defense Security Cooperation Agency delivered the required certification notifying Congress of this possible sale on April 11, 2014.
The Government of Germany has requested a possible sale for the procurement, integration, and installation of hardware and software to upgrade the aircraft mission computer and acoustic systems, and non-integrated simulator equipment on 8 P-3C aircraft. The hardware and software include A (structural and electrical) and B (Weapon Replaceable Assemblies) kits for future integration into the simulator. Also included are the design, development, integration, testing and installation of a ground-based mission support system (which includes the Portable Aircraft Support System and Fast Time Analyzer System); validation and acceptance; spare and repair parts; support equipment; personnel training and training equipment; publications and technical documentation; U.S. Government and contractor technical, engineering, and logistics support services; and other related elements of logistics support. The estimated cost is $250 million
This proposed sale will contribute to the foreign policy and national security of the United States by improving the military capabilities of a NATO ally and enhancing standardization and interoperability with U.S. forces.
This proposed sale will update hardware and software to ensure the P-3 aircraft maintain operational capability. The upgrades will enhance Germany’s ability to participate in future coalition operations and will promote continued interoperability. Germany will have no difficulty absorbing this upgraded equipment into its armed forces.
The proposed sale of this equipment and support will not alter the basic military balance in the region.
The principal contractors will be Lockheed Martin Mission Systems and Training in Owego, New York; General Dynamics in Bloomington, Minnesota; Lockheed Martin Aeronautics Company in Marietta, Georgia; and Lockheed Martin Mission Systems and Training in Manassas, Virginia. There are no known offset agreements proposed in connection with this potential sale.
Implementation of this sale will not require the assignment of any additional U.S. government or contractor representatives to Germany.
There will be no adverse impact on U.S. defense readiness as a result of this proposed sale.
This notice of a potential sale is required by law and does not mean the sale has been concluded.
All questions regarding this proposed Foreign Military Sale should be directed to the State Department's Bureau of Political Military Affairs, Office of Congressional and Public Affairs, pm-cpa@state.gov.
http://www.dsca.mil
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jf16 General de Division
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L'Allemagne paiera l'Eurofighter deux fois plus cher que prévu
Selon la Cour fédérale des comptes, le programme d'avions de combat coûtera environ 60 milliards d'euros à l'Allemagne. Soit le double de ce qui avait été prévu.
Le programme d'avions de combat Eurofighter coûtera environ 60 milliards d'euros au gouvernement allemand, soit le double de ce qui avait été prévu, estime la Cour fédérale des comptes dans un rapport publié mercredi. Accusé par la Cour des comptes allemande d'avoir sous-évalué le coût total du programme, Berlin a pourtant réduit le nombre d'appareils commandés au consortium piloté par Airbus Group qui produit l'Eurofighter, annulant en février dernier une commande de 37 avions sur un total de 180 unités.
Le gonflement du coût total du programme s'explique notamment par la hausse des coûts de maintenance des appareils, écrit la Cour des comptes allemande. Le budget de 11,8 milliards d'euros calculé en 1997 par le ministère allemand de la Défense pour l'achat de 180 appareils, suffirait à en acquérir seulement 140, lit-on dans le rapport.
Un coût unitaire à 57 millions d'euros ?
En 2011, le coût unitaire d'un Eurofighter avait été évalué à 57 millions d'euros lors de la livraison des premiers appareils. Pourtant le NAO (National Audit Office), la Cour des comptes britannique, avait estimé le coût unitaire à 111 millions de livres (134,8 millions d'euros au cours du 30 avril), dont 72 millions de livres (87,4 millions d'euros) pour le seul coût de production pour une cible de 160 Typhoon pour la Royal Air Force.
L'Eurofighter est régulièrement en concurrence avec deux autres avions de combat européens, le Rafale de Dassault Aviation, dont Airbus Group détient 46 %, et le Gripen du suédois Saab dans des appels d'offres internationaux. Et si jusqu'ici il a toujours été moins bien classé face au Rafale quand ils étaient confrontés dans des appels d'offre, l'Eurofighter, contrairement à l'avion français, a été exporté à plusieurs reprises (Arabie Saoudite, Autriche, Oman).
L'Allemagne paiera l'Eurofighter deux fois plus cher que prévu
Selon la Cour fédérale des comptes, le programme d'avions de combat coûtera environ 60 milliards d'euros à l'Allemagne. Soit le double de ce qui avait été prévu.
Le programme d'avions de combat Eurofighter coûtera environ 60 milliards d'euros au gouvernement allemand, soit le double de ce qui avait été prévu, estime la Cour fédérale des comptes dans un rapport publié mercredi. Accusé par la Cour des comptes allemande d'avoir sous-évalué le coût total du programme, Berlin a pourtant réduit le nombre d'appareils commandés au consortium piloté par Airbus Group qui produit l'Eurofighter, annulant en février dernier une commande de 37 avions sur un total de 180 unités.
Le gonflement du coût total du programme s'explique notamment par la hausse des coûts de maintenance des appareils, écrit la Cour des comptes allemande. Le budget de 11,8 milliards d'euros calculé en 1997 par le ministère allemand de la Défense pour l'achat de 180 appareils, suffirait à en acquérir seulement 140, lit-on dans le rapport.
Un coût unitaire à 57 millions d'euros ?
En 2011, le coût unitaire d'un Eurofighter avait été évalué à 57 millions d'euros lors de la livraison des premiers appareils. Pourtant le NAO (National Audit Office), la Cour des comptes britannique, avait estimé le coût unitaire à 111 millions de livres (134,8 millions d'euros au cours du 30 avril), dont 72 millions de livres (87,4 millions d'euros) pour le seul coût de production pour une cible de 160 Typhoon pour la Royal Air Force.
L'Eurofighter est régulièrement en concurrence avec deux autres avions de combat européens, le Rafale de Dassault Aviation, dont Airbus Group détient 46 %, et le Gripen du suédois Saab dans des appels d'offres internationaux. Et si jusqu'ici il a toujours été moins bien classé face au Rafale quand ils étaient confrontés dans des appels d'offre, l'Eurofighter, contrairement à l'avion français, a été exporté à plusieurs reprises (Arabie Saoudite, Autriche, Oman).
NH Industries (NHI) devrait dévoiler la semaine prochaine, au salon ILA de Berlin, une nouvelle variante de son hélicoptère NH90. Baptisée "Sea Lion", cette dernière sera en fait une variante du NH90 NFH, la version navalisée du biturbine multimission européen.
NHI, entend proposer le "Sea Lion" à la marine allemande pour le remplacement de ses Sea King MK41. Le besoin est évalué à un peu moins de 20 machines.
Pour mémoire, si l'Allemagne a déjà commandé le NH90 dans sa version TTH (transport tactique), elle n'a encore jamais formalisé de commandes pour le NH90 dans cette version marine. Pour autant, Berlin s'est engagé l'an dernier à acquérir 18 de ces hélicoptères en échange d'une réduction de sa commande de NH90 TTH, de 122 à 82 exemplaires.
Le NH90 NFH (Nato Frigate Helicopter), version de lutte anti-surface et lutte anti-sous-marine du NH90, a déjà été commandé par la Marine Nationale, l'Italie, la Norvège, les Pays-Bas et la Belgique.
messages : 14756 Inscrit le : 07/09/2009 Localisation : Maroc Nationalité : Médailles de mérite :
Sujet: Re: Armée Allemande (Bundeswehr) Sam 17 Mai 2014 - 13:14
Citation :
ILA: German air force gets ready for A400M
Six months from now, the German air force should receive its first new tactical airlifter in more than 40 years, with the expected delivery of its lead A400M.
Scheduled for acceptance during November, aircraft MSN18 is the twelfth production example of the A400M from a combined order for 170 from European partners Belgium, France, Germany, Luxembourg, Spain, Turkey and the UK, plus four for first export buyer Malaysia. Berlin – which formally has 53 of the type on order – will follow existing operators France and Turkey in introducing the new transport, and the UK, which is due to accept its first example in September.
MSN18 entered final assembly at Airbus Defence & Space’s San Pablo site near Seville, Spain in early February. By 7 May, the aircraft was in the facility’s “Station 35” position, where the structurally complete A400M undergoes a range of ground system tests before its four Europrop International TP400-D6 engines are installed.
Airbus Defence & Space
The European transport will be making the type’s third appearance at an ILA show from 20-25 May, where Airbus is due to showcase MSN3 – one of its remaining three development aircraft – in the flying display. One of the French air force’s future examples, MSN11, is also due to be on the static line. Paris received its lead “Atlas” in August 2013, and has already used its first two to perform training activities at Orléans air base and logistics supply flights. The latter include a first international mission to deliver 22t of supplies to Bamako in Mali, flown on 29 December 2013.
Germany is acquiring the A400M to replace its air force’s remaining active fleet of C-160D Transall airlifters. Flightglobal’s MiliCAS database records this as totalling 69 aircraft, delivered between 1968 and 1972.
The new type will deliver a significant increase in lift potential, with its maximum useful payload capacity of 32t more than twice that of the older type. Its operating range and flight speed are also greatly increased versus the legacy model, while its 141t maximum take-off weight also dwarfs the roughly 49t limit of the C-160D.
Airbus Defence & Space
Germany’s first A400M will be delivered to the Luftwaffe’s 62 Sqn at Wunstorf air base, where infrastructure improvements are already being made to welcome the new type. Training activities will be performed at the site near Hanover, which is to have a school house equipped with two simulators, and will also boast a rear cargo trainer.
Wuntstorf’s Transalls are to remain in use until the end of 2015, as additional examples of the “Atlas” are introduced. Other German C-160 units are currently located at Hohn air base in the north of the country, and at Landsberg-Lech in the south.
Airbus is scheduled to rapidly establish the Luftwaffe’s A400M fleet. This year’s lone example will be followed by five more in 2015, and another 11 the following year. This coincides with the multinational programme hitting its planned full production rate.
However, budget pressures have taken their toll. Germany’s original commitment for 60 A400Ms was reduced to 53 as part of a renegotiation made to save the programme from possible cancellation in April 2011. Subsequently, Berlin announced that it only plans to operate 40 of its on-order aircraft, meaning that new international buyers must be found for those transports deemed surplus to its requirements. Spain has also indicated that it will not be able to afford to operate all of the 27 Atlas airlifters it has on order, with just 14 expected to be maintained for its air force. The UK also trimmed its plans from 25 to 22 airframes, as part of the contract renegotiation three years ago.
Speaking last December, Tim Rowntree, director of Europe’s OCCAR defence procurement body, confirmed that none of the A400M launch nations had requested a reduction from the already-revised 170 aircraft on order.
“We have a contract with OCCAR, which represents its partner nations and is their interface,” says Airbus, when asked about the potential long-term future for the 13 extra German A400Ms. “We do not comment on discussions with OCCAR,” it adds.
The same budget pressures have also affected Germany’s combat aircraft and rotorcraft programmes. The nation – along with its programme partners Italy, Spain and the UK – will not proceed with the planned final Tranche 3B build phase of the Eurofighter programme. This is currently expected to see production of the type conclude during 2018, bar the receipt of fresh export orders. The Eurofighter is now wholly responsible for Germany’s air policing activities, since the Luftwaffe’s final McDonnell Douglas F-4Fs were retired in June 2013, after a service life lasting almost 40 years.
Berlin’s ambitious fleet plans for new-generation rotorcraft have also been revised. Its offtake of armed Airbus Helicopters Tigers has dropped from 80 to 57, while that of the NH Industries NH90 tactical transport has been reduced from 122 to 82. Agreed with industry early last year, the alteration to the latter deal also includes the eventual introduction of 18 maritime examples to be produced in a German-unique “Sea Lion” configuration. These ship-based helicopters will replace its navy’s aged Westland Sea Kings.
While the A400M represents the future of Germany’s tactical transport fleet, its current stalwart will also be in the spotlight at the ILA show, with examples from two nations due to be on static display and in the daily flying routine.
First flown in prototype form in 1963, the Transall remains in service with the air forces of France, Germany and Turkey. Flightglobal’s MiliCAS database records these as having a combined 126 operational examples. At 69 aircraft – plus two other examples assigned to its WTD-61 test unit – the Luftwaffe’s inventory is the largest. France still has 37 C-160Rs and a pair of Gabriel electronic intelligence-gathering aircraft, while the Turkish air force’s fleet now stands at 16 D-model transports. One of Ankara’s aircraft should be an attraction within the show’s static park.
All three nations will replace their aged Transalls with the new-generation A400M, with their services planning to eventually operate 50, 40 and 10 examples, respectively.
German industry has a key involvement in the A400M project, the workshare for which was arranged using a juste retour model, reflecting the nation’s one-time commitment for one-third of the original 180 examples to be manufactured. The transport main fuselage is produced in Bremen, before being transferred to Seville using an A300 Beluga, while its TP400-D6 turboprops are assembled in Munich by MTU Aero Engines. The company has a 28% stake in the Europrop International consortium, the other members of which are ITP, Rolls-Royce and Snecma.
The German air force’s air transport fleet also currently includes five A310s: four configured as hose-and-drogue refuelling pod-equipped tankers used to support its Eurofighters and Panavia Tornados, and one operated solely in a transport role. As such, the availability of the new A400M is a key development for the Luftwaffe’s future operational capability. Industry Resources related to this article Best Selling Jet EngineDelta TechOps offers fast, high quality, cost-effective MRO solutions for your CF34-3/-8 engines.Learn More
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jf16 General de Division
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Sujet: Re: Armée Allemande (Bundeswehr) Mar 20 Mai 2014 - 17:41
Yakuza Administrateur
messages : 21656 Inscrit le : 15/09/2009 Localisation : 511 Nationalité : Médailles de mérite :
Sujet: Re: Armée Allemande (Bundeswehr) Mar 20 Mai 2014 - 19:27
l´ILA a commencé ajdhui avec un show de 2 Tiger pays partenaire de cette année est la Turquie qui exposera un vieux F4 aux couleurs turques et un F16 solo qui fera son show.
_________________
MAATAWI Modérateur
messages : 14756 Inscrit le : 07/09/2009 Localisation : Maroc Nationalité : Médailles de mérite :
Sujet: Re: Armée Allemande (Bundeswehr) Jeu 22 Mai 2014 - 13:07
Citation :
Elbit to supply protection system for Luftwaffe A400M
Germany’s Bundeswehr has selected Elbit Systems’ J-MUSIC countermeasure equipment for its ordered Airbus A400M transport fleet.
Israel-based Elbit signed a partnership agreement for the aircraft self-protection system with Diehl Defence at Berlin air show on 20 May.
Diehl will thus install three of the multi-spectral infrared countermeasures systems on aircraft in question to “ensure complete 360° protection” of the tactical transport, the German manufacturer says.
The first system for the Bundeswehr aircraft is to be delivered in 2015.
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jf16 General de Division
messages : 41583 Inscrit le : 20/10/2010 Localisation : france Nationalité : Médailles de mérite :
Sujet: Re: Armée Allemande (Bundeswehr) Jeu 22 Mai 2014 - 15:27
Citation :
Airbus et IAI vont proposer le drone MALE Heron TP à l’armée allemande
Posté dans Europe, Forces aériennes par Laurent Lagneau Le 22-05-2014
Ne disposant alors pas de drone MALE (Moyenne Altitude Longue Endurance) pour sa mission en Afghanistan, l’armée allemande a opté pour une solution provisoire en louant des appareils Heron 1 du constructeur israélien IAI auprès de Cassidian Airbone Solutions (Airbus Defense & Space).
Et, comme le provisoire dure, qu’il n’y a toujours pas d’appareil européen de ce type sur le marché et et qu’aucune solution de remplacement n’a encore été trouvée, la Bundeswehr risque une rupture capacitaire étant donné que le contrat de location arrive à échéance.
D’où la signature d’un accord, le 21 mai, entre Airbus Defense & Space et IAI afin de proposer à Berlin une solution basée sur le Heron TP. Le gouvernement allemand aurait le choix d’acquérir définitivement ces appareils ou de les louer au moins jusqu’en 2020, soit le temps d’attendre l’arrivée sur le marché du drone MALE que l’industriel européen entend développer d’ici-là en coopération avec Dassault Aviation et Alenia Aermacchi.
Pour rappel, une offre présentée par le constructeur israélien et Dassault Aviation concernant cet appareil avait été sélectionnée par le ministère français de la Défense en juillet 2011. Mais suite à l’arrivée de Jean-Yves Le Drian à l’Hôtel de Brienne, tout fut remis à plat. Et, finalement, deux drones MQ-9 Reaper, de facture américaine, furent commandés pour les opérations au Mali. Normalement, 10 autres exemplaires doivent suivre.
Seulement, la ministre allemande de la Défense, Ursula von der Leyen, semble réticente à l’idée d’acquérir ou de louer de nouveaux drones suceptibles d’être armés. « Une telle décision » mérite un « large débat de société », a-t-elle affirmé le 19 mai, lors d’un point presse à Berlin, avant de préciser qu’elle ne ressentait « aucune pression » à ce sujet.
Quant à l’initiative d’Airbus Defense & Space, Dassault Aviation et Alenia Aermacchi, Mme von der Leyen a dit considérer « comme bonne la tendance générale à développer des compétences européennes ». Mais la démarche des trois industriels, qui ont indiqué, cette semaine, attendre désormais un signal des gouvernements allemand, français et italien pour aller de l’avant, a été fraîchement accueillie à Berlin.
« Normalement, les fournisseurs d’équipements de défense n’offrent leurs services que quand on le leur demande », a ainsi fait valoir Mme von der Leyen.