F15 around the world

yakousa a écrit:

primo avec 6 tu aura 3 max 4 en vol.
secundo:le lourd n´est pas pour le maroc,malgrés qu´on le veuille ou pas.

la mentalité des FAR est simple:avoir un asset a tout faire!
regardez seulement les C-130/AB-205 par exemple,ils les utilisent a 100% pour tous les tasks:Tpt/Maffs/Slar/Sigint/anti-acrid...ils leur sortent tout ce qu´ils ont dans les tripes!

le maroc est comme un homme simple,logique dans sa tete,avec pieds sur terre,qui epouse une femme a tout faire:travailler,cuisiner,faire l´amour,faire le menage,l´accompagner dans la disco etc....la ou d´autres preferent avoire une femme pour chaque task,ce qui implique la ruine financiere.

c´est dans ce shema que vient l´achat du Falcon,un vrai "workhorse" comme le nomme les yankees,a tout faire.et tout achat est avant tout etudié sous cette perspective de multitasking..

Logic analysis.Agree

tu peux me repondre a cette question yakousa, si par exemple on a une sescadre de f-15 est ce que l espagne ose ra survoler le nord de notre maroc ou attaquera l ilot laila?
f-15 f-15 f-15
loode limaye ktel i jrahh

mon analyse est que les FRA opte pour un escadron pour contrer la balance...

Je sais que jamais il y'aura d'F15 chez nous;et que vis a vis des voisins ont en a pas besoin;mais un escadron fera tjs plaisir.

t as pas repondus a ma question. je veux un oui ou un non

Edit Rmh; Deuxième avertissement en moins de 20 min, il ne faut pas oublier que tu n'es pas sur msnmessenger. Ha wedni mnnek.

une armée avec un escadre de 6 avion tu crois que c'est l'Eritrea ?

Très belles photos du Strike Eagle:


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des shoots de 1er première ordre !

félicitations raptor !

interceptor a écrit:

des shoots de 1er première ordre !

félicitations raptor !

Merci mon ami

Citation :

Avec une production assurée jusqu'en 2013, le F-15E et ses dérivés atteindront bientôt les 30 ans d'existence. Boeing continue d'améliorer son poulain pour qu'il reste compétitif à l'export.

"Rien n'est ancien dans le F-15", martèle-t-on chez Boeing. Il est vrai que la version multirôle "Strike Eagle" de l'avion a été développée au milieu des années 1980, soit à peu près au même moment que les avions de "quatrième génération" actuellement en service et qui concourent sur les marchés export. C'est d'ailleurs face au Rafale que Boeing a réussi à imposer son poulain en Corée du Sud et à Singapour. Par rapport à l'intercepteur des années 1970 qu'est le F-15C, le F-15E a bénéficié d'une cellule revue à 85 % et d'une capacité d'emport accrue pour lui permettre de mener à bien des missions air-air et air-sol. C'est aujourd'hui cette plate-forme qui sert de base de travail à Boeing pour prolonger la vie de l'Eagle.

Situation.

Depuis 1989, près de 350 F-15E et dérivés sont sortis de la chaîne d'assemblage Boeing à Saint Louis. Forte des derniers contrats signés en Asie, la production de l'avion est aujourd'hui assurée jusqu'en 2013. En 2008, Boeing s'est vu attribuer un contrat par Séoul pour 21 F-15K supplémentaires, à livrer à partir de 2009. Cette même année, Singapour devrait commencer à recevoir les premiers des 24 F-15SG qu'elle a commandés. Le premier exemplaire du F-15SG est sorti d'usine le 4 novembre dernier. Il s'agit à l'heure actuelle de la version la plus évoluée du F-15E. Propulsé par deux réacteurs GE F110-129, l'avion est doté de la dernière version du radar à balayage électronique actif (AESA) APG-63(V)3, développé par Raytheon. Non content d'offrir des performances accrues en air-air, ce radar offre également des capacités avancées en air-sol (ouverture synthétique SAR, détection de cibles mobiles) jusqu'alors réservées aux F-15S saoudiens et F-15E américains équipés de l'APG-70 à balayage mécanique.

Couteau suisse.

L'un des atouts majeurs du F-15 réside dans l'important nombre de points d'emport (19 au total) dont est dotée sa cellule. A eux seuls, les pylônes des deux réservoirs conformes (devenus incontournables sur Eagle depuis le F-15E) sont par exemple capables d'emporter six bombes Jdam guidées par GPS. Boeing utilise cette capacité pour n'embarquer en nacelle pas moins de trois capteurs différents, économisant ainsi de fastidieux travaux d'intégration dans la cellule de l'avion. Le F-15SG emporte la nacelle de navigation Tiger Eyes de Lockheed Martin, troisième évolution de l'antique pod Lantirn. Cette nouvelle nacelle est notamment dotée d'un mode "suivi de terrain" qui permet de suivre les contours du relief à environ 30 mètres d'altitude. Ce pod est couplé à la nacelle de désignation Sniper XR montée en pylône sous l'entrée d'air de l'avion. Ce même point d'emport est partagé avec une nacelle optronique de recherche et poursuite infrarouge (IRST), également développée par Lockheed Martin et montée juste au-dessus du Sniper. Couplés au radar AESA, ces deux capteurs augmentent considérablement les capacités de détection du F-15 à longue distance, et ce, d'après le constructeur, même face à des cibles présentant une faible signature radar telles que des missiles de croisière. En matière de guerre électronique, Singapour semble avoir fait le choix d'équipements israéliens pour protéger son F-15SG. Une information non confirmée par Boeing mais étayée par la présence d'antennes inédites sur le fuselage (sous la verrière et à l'arrière des plans verticaux) et l'habitude singapourienne de s'équiper dans ce domaine auprès de Tel-Aviv.

L'enjeu nippon.

Prochain enjeu : le Japon et la compétition F-X, qui vise à remplacer deux escadrons de F-4 Phantom II en achetant environ 50 nouveaux avions de combat. Face aux refus à répétition du Congrès américain pour exporter le F-22 et face aux délais dont souffre le programme F-35, Boeing a été sollicité par Tokyo pour présenter à la fois le F/A-18E/F Super Hornet et le F-15, rebaptisé pour l'occasion F-15FX. Mais pour Boeing, le F-15FX n'a rien d'une solution au rabais : "L'avion a une capacité d'emport et une endurance supérieures à celles du F-22 et du F-35", souligne Brad Jones, responsable des programmes F-15 pour le Japon. "Ces caractéristiques en font un choix idéal pour Tokyo, pour qui la défense de l'île est une priorité ; dans ce cas de figure, il faut un avion capable de porter le combat le plus loin possible de ses frontières." En plus d'une large palette d'armement air-air d'origine américaine, Boeing promet à Tokyo une compatibilité avec les missiles AAM-4 et AAM-5 développés localement par Mitsubishi. Véritable camion à bombes, le F-15FX sera capable d'emporter l'ensemble de l'arsenal air-sol actuellement en service, qu'il s'agisse de bombes Jdam à guidage GPS ou des bombes SDB de faible diamètre. Pour le Japon, l'arsenal du F-15 sera élargi à l'emport du missile antinavire Harpoon dans sa version Block 2 et du missile AGM-84K SLAM-ER, déjà vendu à la Corée. L'industriel américain entend également augmenter le nombre d'emports "intelligents" (c'est-à-dire capables de dialoguer avec le calculateur pour le largage de munitions guidées) de 15 à 19 en câblant les stations situées à l'extérieur de la voilure.

Les systèmes proposés sont sensiblement les mêmes que ceux retenus par Singapour : pods Tiger Eyes, Sniper et IRST de Lockheed Martin. Pour la guerre électronique, Boeing devrait faire appel à un fournisseur européen : fin octobre 2008, l'industriel signait avec BAE Systems un accord de coopération pour que ce dernier fournisse la suite DEWS (Digital Electronic Warfare System) sur les F-15 proposés à l'export. Celle-ci se compose d'un détecteur d'alerte radar, missile et d'un système de leurrage automatique de dernière génération. A son offre technique, Boeing associe une promesse d'un important transfert de technologie vers Tokyo. Le Japon, qui est le plus gros utilisateur de F-15 en dehors des Etats-Unis, a déjà accumulé une certaine expérience avec l'ex-McDonnell Douglas en assemblant plus de 160 F-15J et F-15DJ sous licence avec Mitsubishi Heavy Industries (MHI). Boeing se dit également prêt à confier le développement de l'avionique à un industriel japonais. Dans ce domaine, Boeing a une expérience certaine. Au fil des contrats signés à l'export, la chaîne de fournisseurs du F-15 s'est ouverte à l'international. Aujourd'hui, si l'assemblage final des avions est réalisé à Saint Louis, les fuselages arrière et les voilures sont fabriqués en Corée du Sud par KAI et les dérives par IAI en Israël.

Avenir.

A court terme, Boeing espère également voir aboutir les discussions entre Washington et Riyad pour doubler la flotte actuelle de 72 appareils F-15S de la Force aérienne saoudienne. Cette négociation devrait être associée à la vente d'avions d'entraînement, raison pour laquelle Boeing a signé en mai 2008 un accord avec Alenia pour intégrer dans cette proposition 48 M-346. Aux Etats-Unis non plus, la carrière du F-15E n'est pas près de s'arrêter. Le Strike Eagle, entré en service en 1988, bénéficiera prochainement du programme RMP de modernisation de son radar. Raytheon s'est vu attribuer en novembre un contrat de 238 M$ pour entamer le développement d'un nouveau radar AESA pour les F-15E de l'USAF. Les premiers essais en vol du système devraient débuter en 2011 et un escadron pourrait être opérationnel dès 2014 avec le nouveau radar.

Source : Air et Cosmos 19/12/08

impressionante toute la panoplie des armes sussceptibles d'être utilisées par le F-15E! les version K et SG ont vu cette panoplie s'élargir davantage pour inclure aussi les JDAM, AGM-154 et AGM-158...

Moi je craque pour le F15SG singapourien, un micro-état qui c'est doté d'une petite armé "over-boosté".

l'ensemble des F-15E de l'USAF vont être upgradé à un standard proche des SG, ça sera certainement les F-15 les plus aboutis du monde avec apg-63(v)4 supérieur à la (v)3 des F-15SG.

Je sais aussi que les japonnais travaille sur un programme d'upgrade de leur F15J mais j'en connais pas les détailles (les US refusant de leur vendre le raptor )

tokyo a sollicité boieng pour présenter deux offres basées sur les F/A-18E/F et F-15E rebaptisé f-15FX, pour remplacer ses vieux F-4 (voir article déjà posté plus haut).

un article sur l'avenir des F-15 dans l'USAF, il date un peu mais il est très interessant. bonne lecture:

Citation :

AESA Radar Eyed for F-15C Upgrades

Oct 17, 2004
By David A. Fulghum


NORTHERN FIGHTS

This is the second report on new technology being introduced with the 3rd Wing's F-15Cs at Elmendorf AFB, Alaska. Earlier articles appeared in the Oct. 4 issue, pp. 49-51. In addition to the APG-63(V)2 AESA radar, built to detect small cruise missiles, the wing is introducing the AIM-9X and helmet-mounted cueing system. Such testing occasionally provides surprises, such as the beyond-visual-range capability of the helmet device. Moreover, the revitalization and new dimensions of air-to-air combat are leading to other changes, including the reinstitution of the William Tell air-to-air weapons meet.

Mystery already surrounds the advanced radars that are expected to upgrade the U.S. Air Force's air-to-air F-15C and air-to-ground F-15Es as the service wrestles with how many to keep and what capabilities will modernize them.

The APG-63(V)2 active electronically scanned array (AESA) radar, designed to target small cruise missile-size targets, has been flying in 18 F-15Cs for several years, but Raytheon will never make any more of them. A more efficient, easier to service and lighter weight version--the APG-63(V)3--was designed to improve the air-to-air capability of the newest F-15Cs.

The Air Force intends to keep and eventually hand over these F-15C "Golden Eagles" to the Air National Guard and Air Force reserve for homeland defense of the continental U.S. It's also planning for installation of an AESA radar in the F-15Es to fine-tune its precision bombing capabilities even for mobile targets hidden in ground clutter. Initially, USAF was to begin installing V3 radars in 161 F-15Cs in Fiscal 2008 and similar radars in 224 F-15Es starting in 2010.

However, the F-15 "Golden Eagles" designated for long-term retention may not get the upgrade. An Air Force budget already stretched too thin is given as one reason. A second is that service leaders want to offer no competition to the F/A-22, which is slated to have a primary cruise missile defense role during expeditionary operations.

Nevertheless, an active electronically scanned array of some sort is expected to find its way into the F-15E as an upgrade to its air-to-ground capability.

"The F-15Cs may not get V3 depending on the number of other aircraft [with AESA-type radar]," says Air Force Secretary James Roche. "We already have the F/A-22, F-35 and F-15Es. The F-15E will be fully modernized, including an AESA radar. With the F-15C, we will hedge the future by taking one of them and going all the way through integrating an AESA on board. However, [Air Combat Command officials] said they don't see moving that priority up at this point."

Air Force Chief of Staff Gen. John Jumper voices similar caution about the F-15C's future.

"We intend to make the airplanes that we have more versatile," Jumper says. "The numbers [of radar upgrades] and exactly what [aircraft] get what [systems] are still being discussed with the major commands."

Some Air Force officials point to a gap between Jumper's and ACC's plans. The disagreement is roughly that Roche and Jumper want the F/A-22 to replace the F-15Cs and F-15Es as rapidly and completely as possible. Specifically, Jumper wants to replace "long term, the F-117, F-15C and F-15E fleet of 750 aircraft . . . with around 400 F/A-22s." ACC prefers a more conservative approach that would include keeping the 179 F-15Cs in the fleet longer so they can be dedicated to homeland defense, as well as five wings of F-15Es for strike.

"We're going to maintain an inventory of 179 F-15Cs at least to the 2020 time frame," says Col. Michael Leggett, chief of the advanced programs division in ACC's requirements directorate. "We've got 18 V2s out there, so we're looking to fit the other 161 of those with the V3 radar. The question is the ability of ACC and the Air Force to pay the bill."

"The V3 is important to ACC for its combat capabilities," says Col. Joe Rine, chief of the aircraft division. "[In addition,] we're going to mine the talent of those V2 guys coming out of Elmendorf, and if we get V3, those guys will be valuable commodities in the radar world.

"We have a gap in cruise missile defense capability that we're trying to fill in terms of radar power [and range] and faster lock and target times," Leggett says. "But I don't envision it in the same role as the F/A-22. They would fill different gaps. I don't think you will see an overlap of capability or duplication of effort" with the F/A-22 going deep behind enemy lines and the F-15C staying in orbits near the forward line of troops.

Some additional modifications are envisioned for the V2 and V3 radar-equipped aircraft.

"As the technology of the radar and other sensors gets more advanced, the packages of data that we attempt to transfer will get larger and larger," says Maj. Bill Singletary, ACC's F-15 program element monitor. "There are plans in the data link area to expand the capability to take advantage of the larger amounts of useful data that AESA brings. We need to look at the complementary systems to share that information on the net so everybody can use it to full advantage."

ACC did find the money to build and install a single prototype V3 radar for testing capability.

"We're moving ahead as far as we can with the money we have," says Rine. "We have to test the V3 for a while to look at what the radar brings, in terms of combat capability, and to add fidelity to our estimates of reliability and savings. Our plans are to [make room in the budget] in 2008 for installation, but we don't know where it will stack up against all the other Air Force priorities." The V3 testing will likely be done at Eglin AFB, Fla.

A program to put AESA radar on the F-15E fleet is still not fully matured. "We have program money for both research and development and installation on the F-15E fleet," Singletary says. "That would be a competitive package, so we're not calling it V-anything. But starting in 2009, we have money in the future-years defense plan for those radars. Right now, we're looking roughly at Fiscal 2010 to start seeing the technology on the E-model. The radars we have now use technology developed in the 1970s. It's a mechanically scanned array; when you have moving parts, the failure rates skyrocket."

Senior operational commanders say there's no doubt the Air Force is moving toward the policy that single-mission aircraft are a thing of the past--a notion highlighted by the fact that the F-22 is now the F/A-22.

"I don't know how [the air-to-ground] capability will be addressed in the F-15C," says Col. Russell J. Handy, operations group commander for the 3rd Wing, based at Elmendorf AFB. "We're in total agreement with the capacity of the AESA radar to do air-to-ground [attack]. We'd love to have it in all our F-15E Strike Eagles [too]. Air-to-ground combat ID is a huge challenge for us. Even in the Strike Eagle we very routinely get into using the 'Mark 1 eyeball' as the ID on the type of vehicle."

Perhaps as a bridge to the advanced radar capability, Elmendorf planners are making it more routine for AESA-equipped F-15Cs and non-AESA F-15Es to train together.

"We just changed our scheduling to make those opportunities more available," Handy says. "We're jumbling up the schedule so that on any given day, a young flight lead in an F-15C squadron can pick up the phone and coordinate a mission with the Strike Eagles."

http://www.aviationweek.com/aw/generic/story_generic.jsp?channel=awst&id=news/10184top.xml

Citation :

IDAHO EAGLES - A six-ship formation of F-15C Eagle and F-15E Strike Eagle aircraft fly over the Sawtooth Range in Idaho, Oct. 13, 2009. The aircraft crews are assigned to the 366th Fighter Wing, Mountain Home Air Force Base, Idaho. U.S. Air Force photo by Master Sgt. Kevin J. Gruenwald

Spoiler:

F-15K pendant le ADAX2009 hier en Corée du Sud