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Déclassification du compte de Chirac au Japon: avis défavorable




La Commission consultative du secret de la défense nationale (CCSDN) a confirmé son avis défavorable à la déclassification de trois documents de la DGSE dans le dossier de la disparition d'un journaliste travaillant sur un présumé compte de Jacques Chirac au Japon.
Le ministre de la Défense Hervé Morin a décidé de suivre cet avis, a-t-on indiqué à son cabinet.
L'avis de la commission, le troisième dans ce dossier, a été publié mardi au Journal officiel après la réunion de la CCSDN le 18 juin à Paris. Elle avait été saisie par le ministère de la Défense le 4 juin à la suite d'une demande du juge concerné du 24 février.
La CCSDN "émet un avis défavorable à la déclassification de trois documents déjà examinés le 4 décembre 2008 et, conformément à son avis, non déclassifiés par le ministre (ndlr : Hervé Morin) et estime qu'il n'y a pas lieu de se prononcer sur les six autres documents déjà examinés et déclassifiés par décision du ministre".
La CCSDN ne révèle jamais le contenu des documents soumis à son avis par l'autorité concernée à la suite de la demande d'un magistrat instructeur.
La quasi totalité des quelque 140 avis de la CCSDN ont toujours été suivis par les autorités concernées (Elysée, Matignon, ministères).
Elle a déjà émis deux avis sur ce dossier instruit par le juge de Papeete Jean-François Redonnet qui enquête sur la disparition d'un journaliste indépendant, Jean-Pascal Couraud. Un premier avis (2 octobre 2008) était favorable à la déclassification de 16 documents sur les 17 saisis le 4 juin 2008 au siège de la Direction générale de la sécurité extérieure. Un deuxième avis (4 décembre 2008) était favorable à la déclassification de 11 documents et à la déclassification partielle de deux documents mais défavorable à la déclassification des 13 autres documents de la DGSE.
M. Couraud travaillait sur d'éventuels transferts de fonds entre une grosse entreprise de Polynésie française et un compte qu'aurait détenu M. Chirac. Le journaliste a disparu dans des conditions mystérieuses le 15 décembre 1997.
Après la disparition du journaliste, le tribunal de Papeete avait d?abord conclu au suicide et prononcé un non-lieu en octobre 2002.
Mais l'enquête avait été rouverte en 2004 après le témoignage d?un ancien membre du Groupe d?intervention de la Polynésie (GIP, service d?ordre personnel de l?ancien président de la Polynésie française Gaston Flosse), affirmant avoir assisté à l?assassinat de M. Couraud par des membres du GIP, avant de se rétracter.
En décembre 2004, la famille du journaliste a déposé plainte contre X avec constitution de partie civile pour assassinat et complicité.
En mai 2006, M. Chirac avait démenti "catégoriquement" avoir jamais possédé un compte au Japon, estimant que ces "allégations" étaient "à rattacher à une campagne de calomnies" lancée avant la présidentielle de 2002.

Lepoint.Fr

Samyadams a écrit:

Pas Clovis, qui était un conquêrant étranger, mais plutôt Vercingétorix, celui qui s'est fait battre par le romain Jules César, parce :

Trés bonne lecture de l'Histoire teinté d'une bonne analyse chapeau, il faudrait de se pas l'envoyer au militant frontiste, car pour le FN leur France commence sous Clovis et s'arréte à Jeanne d'Arc, tous les ans ils font une fête en l'Honneur de Clovis un comble, mais bon faut pas leur demander de trop réfléchire sur l'Histoire

OBSERVATEUR a écrit:

je constate que dés qu'on parle d'immigration et d'integration ca derape, toons en a fait les frais, des membres ont repondu avant moi et ont meme poster des liens comme celui ci:

Comme je te l'ai déjà dit on doit plus parler d'intégration, mais assimilation au bout de la 4é génèration d'enfants issue de l'immigration, alors pourquoi sa ne fonctionne pas c'est la faute de la 4e génèration? ou de la sociétè dans toutes son ensemble qui les rejettes?
Le rascisme en France est latent dans toutes les couches de la sociétè, tu génèralise trop du fait que les jeunes de banlieux crament des voitures exprime leur mécontentement, fasse à leur situation et leur marginalisation, ils n'ont plus de repére pour la plupart leur pays c'est la France mais d'origine divers.

La plupart veulent travailler vivre comme tout le monde, avor une maison des enfant et non tenir les mur de leurs Batiment, mais la sociétè ne veux pas d'eux sous prétexte qu'ils viennent des banlieux et qu'ils sont un peut coloré.

Je vais te donner un exemple qui m'est arrivé quand je voulais faire un BEP comptabilité il y a déjà plusieures années, mon prof à l'époque m'a dit, "tu es un Arabe on te donnera pas les clef du coffre fait plutot mécanicien" tu trouve ça normal?
Et aprés on veux me parler d'intégrations, résulta je bosse dans le spectacle et je suis heureux comme ça de pouvoir échappé à tout ça.

Les professeur qui enseigne dans les école de Banlieux sont tous des premiére années les Prof avec une grande expéreince sont dans les quartier chic alors qu'ils seraient bien plus utile dans les quartiers difficiles, idem pour les policier que des Stagiéres flic.

Au bout d'un moment faut arrétè de dire que c'est leur faute, la faute reviens à la Sociétè, à l'Etat qui a laissé les banlieux à l'abandont en enlevant toutes leurs structures, en éthnisant des quartiers entiers, vivé entre vous les Noirs d'un côté les Arabes de l'autre.
Encore un autre exemple je cherchai un appartement j'ai émis des souhait et on ma proposé que des quartiers à forte population Arabe. Tu trouve ça normal? Je n'est pas le droit de vivre avec des Français Blanc?

Il a fallut attendre que Sarko arrive au pouvoir pour sortire l'Islam des caves, un pays ou il y a 5 Millions de Musulman. Tu trouve ça normal?

Le Coupable c'est l'Etat certe les jeunes de banlieux sont aussi responsable mais que peuvent t'il faire? Quand toutes les portes se referme devant eux, ils crament des voitures c'est un crie d'alarme et non un soulévement, il veullent être vue et enttendu mais pas par la bonne maniére.

La question à se poser n'est-elle pas à qui profite le crime ? Là, on sort de l'approche ethnique pour aborder l'aspect socio-économique.
A quoi sert un travailleur étranger ? Soit à pallier à un manque de main d'oeuvre locale, soit à faire pression sur celle-ci, afin de la pousser à accepter la réduction de ses acquis sociaux. Dans ce cas, ni le travailleur local, qui se fait ainsi gruger, ni le travailleur étranger, qui ne cherche qu'à gagner sa vie, ne sont coupables. Mais ceux qui ont fait appel à cette main d'oeuvre étrangère pour casser les velléités revendicatives de la main d'oeuvre locale.
Selon le principe de la pression de la population sur les richesses du sol, autochtones et étrangers vont se concurrencer pour les postes de travail existants et finir par se détester réciproquement dans cette lutte pour la "survie". Aucune des deux parties ne prends alors le temps de réfléchir sur les tenants et aboutissants de toute cette histoire. Il s'agit seulement pour l'un d'écarter l'autre, au motif de sa différence, pour se faire une place et pour cet autre de revendiquer le droit d'avoir cette place par mérite ou autre, sans considération de race ou de religion. Et les employeurs se frottent les mains en exploitant à fond cette situation.
Bien entendu, il n'est jamais question de remettre en cause les choix socio-économiques qui ont mis la France dans cette situation. Au contraire, chaque crise justifie une nouvelle descente aux enfers en matière de réduction des droits sociaux des travailleurs
Ce n'est pas la faute aux gouvernants, qui ont sorti l'argent de la poche du contribuable français pour sauver la mise à leurs copains banquiers et leur permettre de continuer à faire des dégâts de plus belle. Pour venir par la suite argumenter sur la "nécessité" de réformer les retraites et d'adopter une politique d'austérité, pour payer aux banquiers l'argent que l'Etat leur a emprunté, sans oublier les intérêts. Non, c'est celle de l'immigré ou du raciste français
Pendant ce temps, les grandes fortunes de France se pavanent devant le petit peuple françois, si friands des frasques de ses si beaux et si clinquants exploiteurs, pendant que les Woerth et compagnie les aident à gruger le fisc.
Vive la France

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Mistral/Russie: "une erreur" selon Vilnius

AFP
27/12/2010
La Lituanie a reproché à la France, son alliée dans l'Otan, d'avoir commis "une erreur" en décidant de livrer au moins deux navires de guerre de type Mistral à la Russie.

La Lituanie et ses voisines baltes, la Lettonie et l'Estonie, toutes trois anciennes républiques soviétiques, ont dénoncé dès le début les négociations russo-françaises sur les Mistral.
Paris a annoncé vendredi avoir conclu le contrat de vente à la Russie de deux bâtiments de projection et de commandement (BPC) de type Mistral, qui pourrait être "prolongé" par la fabrication de deux navires supplémentaires.

Les pays baltes, envahis par l'Union soviétique pendant la Seconde Guerre mondiale et victimes de déportations massives de leurs populations, ont finalement retrouvé leur indépendance au moment de l'effondrement de l'URSS en 1991. Le Kremlin en a retiré ses troupes seulement en 1994.
Les trois pays ont néanmoins entretenu des relations difficiles avec Moscou, en particulier depuis leur adhésion à l'Otan et à l'Union européenne en 2004.

Le Mistral est un navire de guerre polyvalent capable de transporter des hélicoptères et des chars, d'accueillir un hôpital de campagne ou un état-major embarqué. Son coût unitaire s'élève à environ 500 millions d'euros.


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Citation :

Deux ressortissants français ont été enlevés vendredi soir dans le centre-ville de Niamey, la capitale nigérienne, alors qu'ils se trouvaient dans un restaurant. Cinq autres Français kidnapppés au Niger sont retenus depuis septembre 2010.

Le rapt s'est déroulé entre 22h30 et 23h30 à Niamey, la capitale du Niger. Alors que deux Occidentaux, probablement Français, passaient la soirée au Toulousain, un bar apprécié des expatriés, deux individus au visage dissimulé par un turban ont pénétré dans l'établissement et les ont enlevés. Ce rapt au coeur de la capitale a été confirmé par une source sécuritaire nigérienne. De son côté, le ministère français des Affaires étrangères n'a pas encore confirmé la nationalité des deux otages. «Nous avons connaissance de cette information, nous sommes pleinement mobilisés à Paris comme à Niamey pour la vérifier», a indiqué vendredi soir le quai d'Orsay.

Les deux individus «armés et enturbannés» ont fait irruption dans le restaurant rempli de clients et ont contraint les deux hommes à les suivre, a raconté un membre du personnel. Les deux Français «sont repartis avec eux à bord d'un 4x4 immatriculé au Bénin dans lequel d'autres hommes armés les attendaient», a-t-il ajouté. «Les Français tentaient de résister mais finalement ils (les ravisseurs) les ont poussés dans la voiture et ils ont démarré vite, vite», a témoigné un autre employé.

Les deux ravisseurs «avaient la peau claire et parlaient l'arabe», a affirmé un client. «Quand ils sont entrés, ils sont tombés sur les deux Français et ils ont crié: 'toi et toi, suivez-nous !'. Dans la précipitation, un des assaillants a perdu son turban», a-t-il continué. «Quand ils sont ressortis avec les deux Français, j'ai pris ma voiture, je les ai pourchassés sur environ un kilomètre, mais comme ils filaient à grande vitesse et tous phares éteints, je n'ai pas pu les rattraper», a-t-il assuré.


La piste malienne

Selon une source policière, l'un des deux Français était «arrivé vendredi pour assister à un mariage». Des clients ont raconté avoir aperçu le véhicule des ravisseurs, quelques heures avant l'enlèvement, dans les alentours du restaurant. Une trentaine de membres des forces de l'ordre, fortement armés, quadrillaient dans la nuit de vendredi à samedi les environs de ce restaurant de quartier fréquenté par les expatriés, sous le regard d'une foule de badauds.

Les opérations de recherche sont menées principalement en direction de la frontière malienne, située à 200 kilomètres environ de Niamey, a indiqué samedi une source sécuritaire nigérienne. «Des éléments des Forces de défense et de sécurité ont lancé depuis hier des poursuites et tous les axes principaux vers la frontière malienne ont été bouclés», a assuré cette source.

La France tente actuellement d'obtenir la libération de cinq de ses ressortissants enlevés le 16 septembre 2010, avec un Togolais et un Malgache, sur le site d'extraction d'uranium d'Arlit, dans le nord du Niger. Les otages, pour l'essentiel des collaborateurs des groupes français Areva et Satom, seraient détenus dans le nord-est du Mali. Le rapt a été revendiqué le 21 septembre par la mouvance al-Qaida au Maghreb islamique (Aqmi).

Le 1er décembre, la ministre des Affaires étrangères Michèle Alliot-Marie avait déclaré que les otages français étaient toujours en vie, au vu des dernières informations dont la France disposait. Après un message d'Aqmi le 19 novembre demandant à Paris de négocier la libération des otages au Mali directement avec Oussama ben Laden et exigeant de la France qu'elle retire ses troupes d'Afghanistan, le président Nicolas Sarkozy avait répliqué que la France ne se laisserait «dicter sa politique par personne». Aqmi avait annoncé en juillet l'exécution d'un otage français, l'humanitaire Michel Germaneau, dont le corps n'a jamais été retrouvé.

(Avec AFP)

Citation :

Niger : Paris confirme la mort des deux otages français
Alain Juppé a confirmé que les deux jeunes Français enlevés vendredi à Niamey avaient trouvé la mort au cours d'une opération menée par la garde nationale nigérienne et coordonnée par des militaires français à la frontière du Mali.

Triste dénouement pour les otages détenus depuis moins de vingt-quatre heures au Niger. Le ministre français de la Défense, Alain Juppé, a confirmé samedi soir que les deux Français enlevés vendredi soir à Niamey avaient bien été tués, confirmant une information annoncé une heure plus tôt par plusieurs sources sécuritaires nigériennes. Selon le ministre, les deux hommes ont trouvé la mort au cours d'une opération menée par la garde nationale nigérienne et coordonnée par des militaires français à la frontière du Mali. Tout laisse à penser qu'ils ont été exécutés par leurs ravisseurs, a déclaré un porte-parole de l'état-major des armées françaises.

Dans un communiqué diffusé par ses services, Alain Juppé retrace le fil des évènements, indiquant que les deux Français ont été enlevés vendredi soir «par quatre hommes armés alors qu'ils dînaient au restaurant». Le rapt s'est déroulé entre 22h30 et 23h30 à Niamey, la capitale du Niger. Alors que deux Français, passaient la soirée au Toulousain, un bar apprécié des expatriés, deux individus ont pénétré dans l'établissement et les ont enlevés.

C'est la première fois qu'un enlèvement de ce genre survient à Niamey, capitale considérée jusque-là comme sûre. Les deux individus «armés et enturbannés» ont fait irruption dans le restaurant rempli de clients et ont contraint les deux hommes à les suivre, a raconté un membre du personnel. Les deux Français «sont repartis avec eux à bord d'un 4x4 immatriculé au Bénin dans lequel d'autres hommes armés les attendaient», a-t-il ajouté. «Les Français tentaient de résister mais finalement ils (les ravisseurs) les ont poussés dans la voiture et ils ont démarré vite, vite», a témoigné un autre employé.

Les deux ravisseurs «avaient la peau claire et parlaient l'arabe», a affirmé un client. «Quand ils sont entrés, ils sont tombés sur les deux Français et ils ont crié: 'toi et toi, suivez-nous !'. Dans la précipitation, un des assaillants a perdu son turban», a-t-il continué. «Quand ils sont ressortis avec les deux Français, j'ai pris ma voiture, je les ai pourchassés sur environ un kilomètre, mais comme ils filaient à grande vitesse et tous phares éteints, je n'ai pas pu les rattraper», a-t-il assuré.

«Le groupe a été immédiatement pris en chasse par la garde nationale nigérienne pour lui interdire de rejoindre une zone refuge, ce qui constituait une menace grave pour nos otages», a rapporté Alain Juppé. «Après un accrochage dans la nuit au cours duquel le chef du détachement de la garde nationale nigérienne a été blessé, les terroristes ont poursuivi leur progression en direction du Mali», a-t-il poursuivi.

«Alors qu'ils se trouvaient dans la zone frontalière, l'opération engagée, coordonnée avec des éléments français présents dans la région, a permis à ces derniers d'intercepter les terroristes à la frontière avec le Mali et de neutraliser certains d'entre eux», a-t-il continué. «A l'issue de cette action, les corps des deux otages ont été découverts sans vie», a-t-il ajouté, en présentant «ses condoléances attristées aux familles des victimes et à leurs proches».
Dans son communiqué, Alain Juppé souligne que les «autorités françaises remercient les autorités nigériennes pour leur détermination à lutter contre le terrorisme et saluent leur courage pour libérer nos deux compatriotes». «Elles les assurent de la volonté de la France à les y aider et réaffirment toute la détermination de la France à ne pas céder au chantage et à tenir en échec les terroristes», ajoute-t-il. «La France condamne avec fermeté tout acte de terrorisme et de violence aveugle».

En déplacement aux Antilles françaises, le président français Nicolas Sarkozy, qui vient d'arriver en Guadeloupe, n'a pas tardé à réagir, n'hésitant pas à parler d'un «acte barbare et lâche», en assurant de la «détermination» de la France à «combattre sans relâche la barbarie terroriste». Plus tôt, dans la journée, il avait assuré suivre «minute par minute» l'évolution de ce dossier, et «déconseillé vivement» aux ressortissants français de se rendre dans cette zone du Niger.

La piste malienne

Selon Europe 1, les deux otages seraient originaires de la région de Tourcoing , dans le nord. L'un d'eux, qui travaille sur place pour une ONG allemande, devait se marier la semaine prochaine avec une Nigérienne. Le second venait d'arriver vendredi à Niamey pour préparer et assister à la cérémonie, prévue le 15 janvier.

La France tente actuellement d'obtenir la libération de cinq de ses ressortissants enlevés le 16 septembre 2010, avec un Togolais et un Malgache, sur le site d'extraction d'uranium d'Arlit, dans le nord du Niger. Les otages, pour l'essentiel des collaborateurs des groupes français Areva et Satom, seraient détenus dans le nord-est du Mali. Le rapt a été revendiqué le 21 septembre par la mouvance al-Qaida au Maghreb islamique (Aqmi).

Le 1er décembre, la ministre des Affaires étrangères Michèle Alliot-Marie avait déclaré que les otages français étaient toujours en vie, au vu des dernières informations dont la France disposait. Après un message d'Aqmi le 19 novembre demandant à Paris de négocier la libération des otages au Mali directement avec Oussama ben Laden et exigeant de la France qu'elle retire ses troupes d'Afghanistan, le président Nicolas Sarkozy avait répliqué que la France ne se laisserait «dicter sa politique par personne». Aqmi avait annoncé en juillet l'exécution d'un otage français, l'humanitaire Michel Germaneau, dont le corps n'a jamais été retrouvé.
http://www.lefigaro.fr/international/2011/01/08/01003-20110108ARTFIG00354-deux-francais-enleves-au-niger.php

Ah ils sont fort ces "combattants" ,tuer 2 innocents meme pas armé .
Franchement baléze les mecs,un grand bravo.............

Pourquoi s'étonner que des combattants tuent des civils désarmés, ça se pratique sous toutes les latitudes depuis que l'homme est l'homme. Rien de nouveau sous le soleil du Niger. Mais avait-on affaire à des combattants ou a de simples criminels qui profitaient de la situation pour se faire de l'argent? Par contre, les opérations de libérations qui échouent deviennent de plus en plus mortelles pour ceux qui sont pris en otage, et ça c'est une "relative" nouveauté. Jusqu'à maintenant les autorités payaient les sommes réclamées tout en lançant le blah blah habituel pour rassurer le français moyen : on ne paiera pas de rançon, on ne cédera pas au terrorisme, etc, ce que personne ne croyait.

Moi je constate que c'est le deuxième échec consécutif des forces spéciales françaises après le fiasco de l'assaut pour libérer les cinq otages d'Areva au Niger... C'est vraiment inquiétant...

Oh ça ne m'etonne pas le moins du monde,ce glorifier de ces crimes et detaler au 1er coup de feu et leur devise........
APres le succes des FS Française tout ne peut marcher a chaque fois et nous y etions pas, aller savoir ce qui c'est passer
La vraie question est:d'autres FS d'autres pays aurait il fait mieux

Dans une telle situation, les otages n avaient quasiment aucune chance. Je doute qu AQMI, pourchasse par des soldats et n ayant aucune chance de fuir, puisse laisser des otages vivants. Ça participe même de leur dissuasion. Les FS ne sont pas en cause.

PGM

Pourtant ils ont réussi à fuir, pire ils ont repoussé l'assaut et blessé le chef de la garde nationale nigérienne et deux soldats français! une explication ? D'après BFM TV il y avait un avion de reconnaissance qui les suivaient ! pourquoi les FS n'ont ils pas anticiper leur itinéraire et placer par exemple des tireurs d'élites sur le trajet pour abattre les terros de la voiture ou étaient les deux victimes françaises ( après je sais pas si sur le plan opérationnel c'est possible ) ?

Le problème vient moins de savoir si les autres avaient fait mieux, que de constater que les combattants, preneurs d'otages, criminels, ou je ne sais quoi, savent eux ne pas se faire prendre et sont capables d'en remontrer et de repousser l'adversaire, y compris lorsque des forces spéciales françaises sont aux commandes. L'usage même des unités commandos inclus l'attaque d'un l'objectif désigné, puis la fuite, dès le coup de main effectué, il n'y a là rien d'extraordinaire. La France n'a jamais hésité à commettre des crimes lorsque ses intérêts sont en jeu, comme tout le monde, le MOSSAD étant un de ceux qui se fait régulièrement coincer, il ne faut pas jouer les vierges effarouchées lorsque l'adversaire fait de même.

R.I.P à ces 2 concitoyens, l'un d'eux allait se marier et l'autre était venu fêter ce mariage selon les infos.

Nano a écrit:

Pourtant ils ont réussi à fuir, pire ils ont repoussé l'assaut et blessé le chef de la garde nationale nigérienne et deux soldats français! une explication ? D'après BFM TV il y avait un avion de reconnaissance qui les suivaient ! pourquoi les FS n'ont ils pas anticiper leur itinéraire et placer par exemple des tireurs d'élites sur le trajet pour abattre les terros de la voiture ou étaient les deux victimes françaises ( après je sais pas si sur le plan opérationnel c'est possible ) ?

Sur playstation c'est possible, en réalité non.
Ils(térro) ont des puissants 4x4, tjrs à très bonne vitesse pour rejoindre les coins escarpés, le sable soulevé par les vehicules (pas de visibilité), rajoute qu'impossible de connaitre le chemin pris par les térro, donc pas d'embuscade des FS possible.

Sinon le témoin principal du rapt, parles de 4 arabes en armes qui communiquer donc en arabe !

Article intéressant sur le déroulement de l'opération

http://www.lepoint.fr/chroniqueurs-du-point/jean-guisnel/otages-tues-au-niger-les-dessous-d-une-operation-meurtriere-09-01-2011-128431_53.php

C'est absolument atroce ce qui est arrivé pour ces deux jeunes. L'un était un humanitaire qui allait se marier avec une nigériane, l'autre était venu fêter sa et se rendait pour la première fois au Niger. Tout deux avaient 25 ans.
Il y a eu deux accrochage, le premier avec l'armée nigériane aidé par un avion de renseignement Fr. Le deuxième avec intervention des FS qui déplorent deux blessés.
Il y a eu des mort du côté des terroristes qui ont compris qu'ils ne seront pas tranquille et ont donc pris la décision de tuer les otages.

RIP

rafi a écrit:

Le problème vient moins de savoir si les autres avaient fait mieux, que de constater que les combattants, preneurs d'otages, criminels, ou je ne sais quoi, savent eux ne pas se faire prendre et sont capables d'en remontrer et de repousser l'adversaire, y compris lorsque des forces spéciales françaises sont aux commandes. L'usage même des unités commandos inclus l'attaque d'un l'objectif désigné, puis la fuite, dès le coup de main effectué, il n'y a là rien d'extraordinaire. La France n'a jamais hésité à commettre des crimes lorsque ses intérêts sont en jeu, comme tout le monde, le MOSSAD étant un de ceux qui se fait régulièrement coincer, il ne faut pas jouer les vierges effarouchées lorsque l'adversaire fait de même.

ça va la tete

Gémini a écrit:

rafi a écrit:

Le problème vient moins de savoir si les autres avaient fait mieux, que de constater que les combattants, preneurs d'otages, criminels, ou je ne sais quoi, savent eux ne pas se faire prendre et sont capables d'en remontrer et de repousser l'adversaire, y compris lorsque des forces spéciales françaises sont aux commandes. L'usage même des unités commandos inclus l'attaque d'un l'objectif désigné, puis la fuite, dès le coup de main effectué, il n'y a là rien d'extraordinaire. La France n'a jamais hésité à commettre des crimes lorsque ses intérêts sont en jeu, comme tout le monde, le MOSSAD étant un de ceux qui se fait régulièrement coincer, il ne faut pas jouer les vierges effarouchées lorsque l'adversaire fait de même.

ça va la tete

Très dur commme d'intervenir dans ces situations sans risquer la mort des otages.

Dans tout les cas, ce sont toujours des innocents qui payent.

RIP pour eux

Ah, Gémini, la réflexion, la politesse, toute un monde quoi!

Tu n'as jamais entendu parlé du Raimbow Warrior je suppose, tu ne sais sûrement pas que c'est un crime que de projeter et de de couler en temps de paix un navire civil à l'étranger, voire en France? Je suppose que tu ne sais pas que les services secrets du monde entier tuent les opposants qui les gênent? je suppose même que tu ne sais pas que l'armée française torturait des civils pendant les guerres coloniales? Je suppose que tu n'as jamais entendu parlé du MOSSAD, ni des actions humides de la CIA, ni même du KGB connu pour éliminer les dissidents? Je suppose que tu n'as jamais entendu parler d'enlèvements par la CIA, avec la complicité des autorités européennes, de personnes soupçonnées de liens avec le terrorisme, mais jamais poursuivies, ni condamnées? je suppose que tu ne sais pas que le kidnapping est un crime? Je suppose aussi que tu n'as jamais entendu parlé du fait que que Ben Laden avait déclaré la guerre à l'occident par exemple? Je suppose que tu n'as pas imaginé une seconde que l'on pouvait avoir affaire à des truands qui cherchaient à faire de l'argent facile et pas à des combattants de je ne sais quoi, ce qui est une possibilité? Je suppose que tu trouves normal qu'une bande gars en jeep poursuivis par des forces spéciales françaises, un avion de reconnaissance, les forces de sécurité nigériennes, puisse en plus de leur forfait blesser gravement, eux qui sont des amateurs de la guerre ou du crime organisé, deux super commandos français? Je suppose que tu penses que tout ceci est une réussite totale qui démontre la supériorité tactique du COS contre une bande organisée.

Je suppose que tu as aussi oublié de lire ce commentaire qui s'interroge sur qui a monté l'opération...

Citation :

L'identité des ravisseurs n'est pas formellement établie d'après le colonel Thierry Burkhard, porte-parole de l'état-major des armées à Paris. Mais d'autres sources militaires affirment qu'il s'agit de l'une des deux katiba concurrentes dans l'Aqmi, celle de Mokhtar Belmokhtar. Pour des sources proches du renseignement français, Abdelhamid Abou Zeïd (assassin de l'otage britannique Edwin Dyer en 2009, ravisseur du Français Michel Germaneau mort en juillet 2010 et geôlier des otages d'Arlit) n'est pas concerné par l'enlèvement.

http://www.lepoint.fr/chroniqueurs-du-point/jean-guisnel/otages-tues-au-niger-les-dessous-d-une-operation-meurtriere-09-01-2011-128431_53.php

Je suppose tout cela mais toi,rafi,dés que le mots France apparait tu fais une fixette dessus ,excuse mais tu compares l'Armée Française avec ces làches
Pour la reflexion tu repasseras
Alors la téte ,toujours pas mieux cela m'inquiéte......

Parce que ce n'est pas lâche de couler le Raimbow Warrior? Parce que ce n'est-ce pas lâche de torturer des civils dans les Colonies? Parce que ce n'est pas lâche de ta part de chercher à m'insulter alors que moi je ne t'insulte pas? Pourquoi crois-tu que je ne cherche pas à t'insulter? C'est simple, c'est pour ne pas m'abaisser à un niveau que je réprouve et parce que j'ai reçu une éducation qui tend à m'interdire ce genre de réaction, par respect pour l'opinion d'autrui, quelle qu'elle soit, tu comprends ce que je veux dire?

Je ne t'insulte pas ,d'ou te viens ce raisonnement
C'est juste que j'essaie de voir les motivations (pécunniéres,religieux) de ces groupes mafieux endoctrinés aprés de là a faire une comparaison avec l'armée Française ,Vichy,il n'y a qu'un pas que tu franchis.....allégrement.
C'est cela qui m'inquiéte,c'est tout.

Gémini a écrit:

Je ne t'insulte pas ,d'ou te viens ce raisonnement

De tes deux commentaires ci-dessous...

Gémini a écrit:

ça va la tete

Gémini a écrit:

Alors la téte ,toujours pas mieux cela m'inquiéte......

Je n'ai pas dit un mot sur Vichy, je n'ai donc fait aucun pas en avant dans quoi que ce soit, par contre je t'ai parlé de la lâcheté qu'il y à commettre le crime qui a conduit un Etat qui se considère comme une démocratie à couler le Raimbow Warrior et à tuer. Je t'ai aussi parlé de la lâcheté qu'il y a à insulter les autres alors que les autres ne t'insultent pas. Je suppose que tu ne sais pas non plus que de traiter quelqu'un de dingue, par écrit, ce qui est une circonstance aggravante, est une insulte. Je ne suis pas un petit gars de la rue élevé à la va vite, et si je l'avais été je ferais tout pour apprendre l'art de vivre en bonne intelligence, car rien n'est jamais figé.

Rafi

Citation :

Un sous-officier français tué en Afghanistan



Par lefigaro.fr


Des soldats français patrouillent dans le secteur de Tagab, où le militaire a été tué. Crédits photo : JOEL SAGET/AFP
Un sous-officier français a trouvé la mort samedi après-midi au cours d'une opération dans la région de Tagab. Ce décès porte à 53 le nombre de soldats français morts dans le pays depuis fin 2001.

Le sous-officier français tué samedi en Afghanistan était un caporal-chef aguerri du Régiment d'infanterie de chars de marine (RICM), basé à Poitiers, a indiqué dimanche le service de presse des armées. Agé de 42 ans, le caporal-chef Hervé Guinaud participait à une opération dans le sud de la Kapisa, dans le nord-est de l'Afghanistan, quand le véhicule blindé «qu'il guidait pour effectuer un dépannage a été touché par une explosion». «Touché par la déflagration», il a succombé à ses blessures. Deux autres soldats français ont été très légèrement blessés lors de cette mission.

Le sous-officier décédé était arrivé en Afghanistan en décembre dernier. Engagé dans les troupes de marines en 1990, après son service militaire, il avait notamment servi deux fois en ex-Yougoslavie, puis en Albanie. En 22 ans de service, il avait également participé à de nombreuses missions à Djibouti, au Sénégal ou en Côte d'Ivoire. Marié et père d'un enfant, le caporal-chef Guinaud est le 53e soldat français tué en Afghanistan depuis le déploiement de forces françaises fin 2001.

L'Elysée a annoncé samedi soir la mort du sous-officier français. Nicolas Sarkozy a réaffirmé «son soutien au peuple afghan et aux autorités afghanes», et exprimé «la détermination de la France à continuer d'oeuvrer au sein de la Force internationale d'assistance à la sécurité». «Cette force, mandatée par l'ONU, a reçu la mission de contribuer au retour de la stabilité, au rétablissement de la paix et au développement en Afghanistan», a-t-il conclu.

Adressant «ses sincères condoléances à la famille de la victime et à ses proches», Alain Juppé a réaffirmé, dans un communiqué, «tout son soutien aux forces françaises actuellement engagées dans la lutte contre le terrorisme en Afghanistan».

Par lefigaro.fr