Alger au mille bar, entre terrorisme et bikini..

Bonjour, hier Enquête exclusive sur M6 nous montre un nouveau visage d'Alger, entre alcool qui coule a flot, le terrorisme, la drogue, et enfin les jeunes algériennes qui en bikini rêvent d'avoir une vie occidental..
C'est intéressant, je vous laisse regarder :

http://www.m6replay.fr/#/info/enquete-exclusive/4790

Les journalistes n'ont pas eu les visas pour terminer le reportage!!

Ps: j'ai mis un titre qui correspond au reportage car je l'ai deja vu hier..

Younes a écrit:

Les journalistes n'ont pas eu les visas pour terminer le reportage!!

Ça change du Maroc ou ils peuvent entrer avec une carte d'identité française ...

Younes a écrit:

Bonjour, hier Enquête exclusive sur M6 nous montre un nouveau visage d'Alger, entre alcool qui coule a flot, le terrorisme, la drogue, et enfin les jeunes algériennes qui en bikini rêvent d'avoir une vie occidental..
C'est intéressant, je vous laisse regarder :

http://www.m6replay.fr/#/info/enquete-exclusive/4790

Les journalistes n'ont pas eu les visas pour terminer le reportage!!

Ps: j'ai mis un titre qui correspond au reportage car je l'ai deja vu hier..

Je ne peux pas regarder la video.

Juba, dans ce cas la il faut attendre un peu, la vidéo dera mise prochainement dans les sites de partage de vidéo..

H3, tu trouve comment le reportage ?

j'ai vu le repotage, il met en avant une équipe de la police d'Alger, qui lutte contre les consommateurs de drogue.
Le reportage nous montre également la jeunesse algérienne qui se retrouve dans les club de piscine privée, endroit ou elles peuvent se permettre de mettre un bikini, de faire des calins avec des garçons et de bronzé "fesses en l'air". Ces endroits sont trés apprécier par les algérois car ils sont libre de leurs gestes.
Ce reportage nous montre égalements la vie de pauvres jeunes qui n'ont pour vivre que les quelques dinars gagner a surveillé des voitures, dur contraste.
On nous montre aussi une opération des terroristes.
Des barrages de police...
ce qui m'a le plus choqué, c'est l'alcool qui coule a flot en Algérie, la plus grande usine de Brasserie en Afrique se trouve a Alger, et elle est non pas une société privée, mais public, qui appartient a l'Etat algérien.
Comme le disait un professionnel algérien du domaine, les algériens aiment boire, danser et faire la fête.

Bref c'est un reportage trés bien fait malgré qu'il soit court.
On y apprend beaucoup de vérité que les algériens niaient.

je le conseil.

BOUBOU a écrit:

j'ai vu le repotage, il met en avant une équipe de la police d'Alger, qui lutte contre les consommateurs de drogue.
Le reportage nous montre également la jeunesse algérienne qui se retrouve dans les club de piscine privée, endroit ou elles peuvent se permettre de mettre un bikini, de faire des calins avec des garçons et de bronzé "fesses en l'air". Ces endroits sont trés apprécier par les algérois car ils sont libre de leurs gestes.
Ce reportage nous montre égalements la vie de pauvres jeunes qui n'ont pour vivre que les quelques dinars gagner a surveillé des voitures, dur contraste.
On nous montre aussi une opération des terroristes.
Des barrages de police...
ce qui m'a le plus choqué, c'est l'alcool qui coule a flot en Algérie, la plus grande usine de Brasserie en Afrique se trouve a Alger, et elle est non pas une société privée, mais public, qui appartient a l'Etat algérien.
Comme le disait un professionnel algérien du domaine, les algériens aiment boire, danser et faire la fête.

Bref c'est un reportage trés bien fait malgré qu'il soit court.
On y apprend beaucoup de vérité que les algériens niaient.

je le conseil.

+1!
Cette même personne disait que meme souvent après la mosquée les Algérois buvait de l'alcool.

Pareil j'arrive pas a lire le reportage, mais d'après ce que je lis, les Algériens sont pas bien différents de nous ...

Nous aussi on est producteurs et exportateur de vin il me semble, chez nous aussi c'est les boites, la fête et l'alcool pour certains(es) ...

Sauf que chez nous ... Les barbus se font pas sauter tous les deux jours ...

Certains peuvent penser que la culture occidentale pourrie la jeunesse ... Mais ce qui est sur, c'est que l'ouverture d'esprit est une vertue...

BOUBOU a écrit:

et elle est non pas une société privée, mais public, qui appartient a l'Etat algérien.

faux , la plus grande appartient a Heineken suivi du groupe Castel , l'Etat a quasiment tout privatisé /cedé/fermé . Pour le reste et a par les grosses conneries habituelles de Younes , j'ai bien aimé comment le flic maitrise le dealer

Edit YKZ:tu surveille ton language avec les membres,c´est pas les egyptiens ici

reese a écrit:

BOUBOU a écrit:

et elle est non pas une société privée, mais public, qui appartient a l'Etat algérien.

faux , la plus grande appartient a Heineken suivi du groupe Castel , l'Etat a quasiment tout privatisé /cedé/fermé . Pour le reste et a par les grosses conneries habituelles de Younes , j'ai bien aimé comment le flic maitrise le dealer

Je le r'écrit, la plus grande usine de biére en Afrique du Nord est a Alger.
C'est une usine d'Etat qui produit le plus, c'est l'ONCV.

il y a le reportage sur dailymotion:
parti 1/1:https://www.dailymotion.com/video/xb8r2t_alger-entre-la-fete-et-la-peur-13_travel
parti 2/2:https://www.dailymotion.com/video/xb8qvt_alger-entre-la-fete-et-la-peur-23_travel
parti 3/3:https://www.dailymotion.com/video/xb8qnb_alger-entre-la-fete-et-la-peur-33_travel

[quote="BOUBOU"]

reese a écrit:

BOUBOU a écrit:

et elle est non pas une société privée, mais public, qui appartient a l'Etat algérien.

Je le r'écrit, la plus grande usine de biére en Afrique du Nord est a Alger.
C'est une usine d'Etat qui produit le plus, c'est l'ONCV.

c'est encore faux , l ONCV c'est l'entreprise Nationale qui ne s'occupe que du vin . Je te dit et je te repete que a plus grande usine de biere d'Algerie c'est l'ex usine Tango a Rouiba qui a été rachetée recemment par Heineken , tu n'as tout de meme pas la pretention de me montrer ce qui ce passe dans mon propre pays quand meme ...

Citation :

Filière vitivinicole

Les Français s’intéressent toujours aux vins d’Algérie

«Malgré les potentialités et les apports économiques que pourrait engendrer la filière vitivinicole, en Algérie, celle-ci continue de faire face à la précarité des installations et des techniques de cultures», selon le constat établi par des investisseurs français

qui souhaiteraient investir dans cette filière.

L’Algérie fournit toute une gamme de vins qui peut se classer en quatre grandes catégories: les vins de plaine, les vins de coteaux, les vins de montagne, les vins de liqueur et les mistelles, selon des experts. Toutefois, une source française, ayant requis l’anonymat, a affirmé que «les Français conditionnent cet investissement direct avec un cadre juridique qui garantit les règles du jeu favorisant l’ouverture du secteur aux investissements étrangers et mettant fin au monopole de l’Etat». En effet, insiste cette source, les investisseurs de l’Hexagone à plus d’un titre s’intéressent à la vitiviniculture en Algérie. Elle dira : «Il y a trois ans de cela, j’ai été à la tête d’un groupe d’investisseurs français en mission dans l’Oranie afin de visiter des vignobles et discuter avec les exploitants avec l’objectif de voir les opportunités d’investissement dans cette filière.» «Les agriculteurs nous ont exhortés à les aider pour faire de leurs vins un produit exportable», a-t-elle raconté, en ajoutant que «cela n’est pas possible pour le moment puisque le vin algérien souffre d’un manque de traçabilité. Cela est donc impossible vu la concurrence et les exigences accrues du marché mondial des vins élaborés dans d’autres pays à travers le monde, à l’image de l’Australie, la Chine, l’Argentine, l’Afrique du Sud, le Chili et d’autres pays aussi». Ceci dit, notre interlocutrice n’exclut pas l’éventualité de revenir à la charge, «à condition de limiter le monopole imposé par l’Office national de commercialisation des produits vitivinicoles (ONCV)». En effet, les campagnes de vendanges sont pilotées par l’ONCV et le gouvernement finance à hauteur de 60 % des coûts associés à l’achat de nouvelles variétés de raisin pour améliorer la qualité et la compétitivité des vins exportables. A cet effet, l’ONCV achète le raisin à des tarifs attractifs aux exploitants. Le marché du vin en Algérie n’intéresse pas uniquement les Français puisqu’un projet de partenariat prévu pour la création d’une société mixte algéro-espagnole, entre l’ONCV et le groupe espagnol Business Unio-Cellers, dont les représentants ont visité les installations de vinification ainsi que les superficies du vignoble de l’office au niveau de la wilaya d’Aïn Témouchent. Par ailleurs, les Allemands manifestent leur intérêt pour ce créneau, selon le DG de la chambre algéro-allemande de commerce et d’industrie (AHK), dans un entretien accordé au Jour d’Algérie. Le sujet devrait alimenter la future visite du ministre allemand de l’Agriculture en Algérie.

L’ONCV, pour sa part, dispose d’une dizaine de zones d’Appellation d’origine contrôlée (AOC) avec des labels au nom de Coteaux de Mascara, ancêtre des vins d’Algérie, Côteaux de Tlemcen, Médéa ville antique, Côteaux du Zaccar, Monts du Tessala, Dahra et Aïn-Bessem (Bouira). L’intérêt des étrangers à la filière en Algérie n’est pas nouveau puisque le richissime acteur français, Gérard Depardieu avait déjà manifesté son intention d’acheter des vignobles. Il avait même effectué des visites sur sites, dans les wilayas d’Aïn Témouchent, Tlemcen. A l’époque de la colonisation française, le vignoble algérien a atteint 350 000 ha pour une production annuelle de vin allant de 14 à 18 millions d’hectolitres. Depuis l’indépendance, la plus grande partie de ce vignoble a été arrachée. Malgré le plan de relance de la filière, les vignobles destinés à la production de vin ont atteint, en 2007, une superficie de 50 000 hectares pour une production de 400 000 hectolitres, dont 20 % à l’export.

Par Hafid M.

source:lejourd'algerie

C'est franchement etonnant, le gouvernement algérien essaye de cacher une jeunesse qui aime boire, fleurter, bronzer presque nue.. c'est pour cette raison que les visas sont refuser!

Je n'ai pas pu voir la vidéo, mais à lire les commentaires de ceux qui ont pu visionner l'émission, c'est la même chose qu'au Maroc, à la différence près que les autorités marocaines ne cherchent pas à le cacher. Ici aussi, certains gosses de riches n'ont d'autre chose à faire que la fête presque tous les jours. Alcool, Haschich, Cocaïne, Ecstasy, ça se défonce dur et sa gaspille de l'argent par milliers de dirhams par soirée. Les boîtes de nuit multiplient les attractions pour attirer cette riche clientèle et l'ambiance est à la luxure. Les raves party sont très rares, mais il y en quand même qui sont organisées de temps en temps. Ceux qui ont eu l'occasion de voir le film très critiqué, "Marrock", de la réalisatrice Leïla Marrakchi, ont pu se faire une petite idée sur ce monde de fric et de luxure. Et ce n'est qu'une partie de la vérité. A voir le rythme auquel certains marocains claquent du fric, on ne peut s'empêcher de se demander quelle sont ces activités qui leur permettent de gagner des tonnes de fric pour pouvoir en dépenser autant. J'ai vu une fois un rifain balancer plus de dix mille dirhams au groupe de musique dans un cabaret de Rabat, "te3lak". Sans compter les bouteilles de whisky, vodka et champagne qui encombraient sa table, à laquelle était assise une bonne dizaine de filles. Quand on travaille honnêtement pour gagner juste de quoi vivre décemment, je ne vous cache pas le sentiment d'écœurement devant un tel spectacle. Surtout quand on apprends que ce genre de flambeurs n'est pas rare et se comporte ainsi tout le temps. Ils se font même la concurrence, qui va flamber le plus pour que l'on dise de lui que c'est le plus riche.
De l'autre côté du gouffre social, ceux qui n'ont quasiment rien, les quelques cinq millions de marocains qui vivent avec moins de dix dirhams par jour, selon les chiffres officiels de la Direction de la statistique. Je n'oublierai jamais un peintre en bâtiment de plus de 70 ans qui cherche du travail tous les jours dans un "mouqaf" de Rabat. Comme il est assez vieux, personne ne veut plus l'embaucher et ça fait prés d'un an qu'il n'a pas travaillé. Ce qui ne l'empêche pas d'aller quand même tous les matins à ce "mouqaf" tenter sa chance. Et il ne mendie pas. Heureusement pour lui, ses enfants ont grandi et il ne vit plus qu'avec sa femme. Au cours d'un entretien avec ce vieil homme aux traits creusés, il m'a expliqué qu'il ne parvenait à survivre que grâce à la solidarité des autres travailleurs journaliers du mouqaf, qui le considèrent comme leur doyen et lui offrent tous les jours un verre de thé et un bout de pain. Plein de dignité, ce n'est qu'au terme de notre entretien qu'il m'a sorti comme un cri de désespoir, la gorge noué : "J'ai faim". Je me suis senti plein de honte et de rage. Le temps que l'INDH produise tous ses effets, la plupart de ces vieilles personnes seraient mortes dans la misère, sans que l'on ait pu leur venir en aide.
Désolé pour ce long H.S, puisqu'il s'agit d'un topic sur l'Algérie, mais il fallait bien préciser que des deux côtés de la frontière, ce sont les mêmes inégalités sociales criardes qui ne cessent de se creuser. Certains crament du fric par paquet, d'autres ont de la peine à survivre.

dans le meme genre (alcool...) http://www.telquel-online.com/262/couverture_262_1.shtml

Quelle est le probleme,les jeunes algeriens et algeriennes veulent se defouler laisser les tranquilles,ils sont jeunes apres toutes ces annees de terrorisme,ils ont droit a cela comme meme.La meme chose chez nous,les jeunes s'amusent.Boire ou ne pas boire allez al mosque ou pas,cela est le choix de chacun.Ils ne derangent personne,ils ne tuent personnes.Ceux qui sont contres qu'ils n'aillent pas aux piscine ni a ses bars,mais une chose est sure ils aimeraient biebn mettre la main sur ces corps.