Israel:Economie, contrats d’armements, R&D, coopération militaire..

Rappel du premier message :

Voila,je commence ce topic par un nouveau contrat d'armement d'Elbit avec l'armée americaine et les coast guard

Citation :

Elbit Systems of America receives $68m ID/IQ contract for US Armed Forces
Elbit Systems of America, LLC, a wholly owned subsidiary of Elbit Systems Ltd. was awarded a 5-year, $68 million Indefinite Delivery Indefinite Quantity (ID/IQ) contract from the US Army Contracting Command in Huntsville, Alabama, to supply the USArmy, Navy, Marine Corps and Coast Guard with AN/AVS-7 Head-Up Display components including the latest Elbit Systems of America Flat Panel Day and Night Head-Up Display units.

Initial delivery orders totaling $23M have been awarded under the new ID/IQ contract. This is a follow-on contract to a $75M ID/IQ contract awarded in September 2005.

The new display units increase situational awareness and safety by allowing pilots to fly "head out of the cockpit" during day and night operations. They are a plug and play upgrade to the legacy SU-180/AVS-7 Display units. The SU-180/AVS-7 Display units have been in operational use by United States Army, Navy, Marines and Air Force rotary wing pilots since the mid-1990's and is installed on most US military utility and cargo helicopter platforms, including the UH-60L, CH-53E, CH-47D, CH-46, H-1, V-22 and others.

Commenting on the award, Elbit Systems of America President and CEO, Raanan Horowitz noted, "This follow-on order attests to our customer's satisfaction with our systems and performance track record. Elbit Systems of America is pleased to provide cutting-edge technology for the warfighter, delivering high quality Helmet Mounted Displays at an accelerated pace, supporting critical missions and needs. The AN/AVS-7 has proven itself by providing situational awareness and added safety to Army aviators on all US Army helicopter platforms and we are proud we can provide now an upgrade to these systems."

Elbit Systems of America

Citation :

La croissance du PIB au troisième trimestre de 2010 est corrigée à la hausse: +4,4% contre +3,8% selon la précédente estimation

Le produit intérieur brut (PIB) d’Israël a progressé de 4,4% en rythme annuel au troisième trimestre de 2010. C’est davantage que l’estimation précédente de 3,8%. Selon les économistes de l’Institut israélien de la Statistique, deux facteurs justifient la bonne tenue du PIB au troisième trimestre: les dépenses publiques et les investissements. Malgré cette correction à la hausse, la croissance du troisième trimestre a été plus faible que celle enregistrée au trimestre précédent (+ 4,9%) ainsi que celle du premier trimestre de 2010 (+ 4,5%).

Au troisième trimestre de 2010, les dépenses publiques se sont accélérées avec un + 8,3 % en rythme annuel. De même, la formation brute de capital fixe (FBCF) a fait un bond de 16% en glissement annuel. Quant aux exportations, elles ont sans doute été les victimes de la surévaluation du shekel: elles se sont tassées au troisième trimestre pour augmenter d’un petit 0,1% seulement.

En revanche, les dépenses de consommation des ménages ont reculé de 0,3% en rythme annuel. Le ralentissement de la demande intérieure s’est traduit par une baisse des importations: celles-ci ont reculé de 2,8% en rythme annuel.

Cette nouvelle estimation du PIB pour le troisième trimestre de 2010 correspond bien au prévisions de croissance de 2010. Il y a quinze jours, l’Institut israélien de la Statistique avait estimé que la croissance du PIB pour toute l’année 2010 serait de 4,5%.

Malgré le léger ralentissement enregistré au troisième trimestre de 2010, la croissance israélienne reste bien plus élevée que celle de ses principaux partenaires européens et américains. A titre de comparaison, le PIB de l’Union européenne a crû de 0,4%, soit une baisse par rapport au 1,0% enregistré au trimestre précédent. Avec 0,7%, la croissance en Allemagne reste relativement solide mais en net recul par rapport au record de 2,3% enregistré au deuxième trimestre de 2010. La croissance du PIB a aussi ralenti en France (0,4%), en Italie (0,2%) et au Royaume-Uni (0,8%). Par contre, elle s’est accélérée au Japon (0,9%) et, très légèrement, aux États-Unis (0,5%).

IsraelValley.com

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RAPPORT EXCLUSIF ET EXCEPTIONNEL SUR "LE CLEANTECH EN ISRAËL" - L’Etat Hébreu a compris l’enjeu majeur que représentent les cleantech, et tout l’intérêt qu’il y a à devenir un leader mondial

PRESENTE PAR LE JCC. AUTEURS : JEREMIE OBADIA, SONIA TUBIANA, DAVID SOUSSAN, SEBASTIEN DERHY. Le Junior Consulting Club de la Chambre de Commerce France-Israël. Association Loi 1901 affiliée à la Chambre de Commerce France-Israël (CCFI), le Junior Consulting Club a été créé par un groupe de huit étudiants venus des Grandes Ecoles Françaises (Polytechnique, HEC, ESCP Europe, Mines de Paris, Centrale Paris, Ponts & Chaussées…).

Selon le site du JCC : "Notre but est d’agir pour le rapprochement économique entre la France et Israël afin de tisser des liens forts entre les deux pays, et de mettre en pratique les connaissances théoriques acquises à travers notre formation académique en réalisant des études économiques dans tous les secteurs : Conseil, Finance, Nouvelles Technologies, Industrie. Le savoir-faire acquis à travers notre enseignement de haut niveau et nos expériences professionnelles nous permettent de fournir un service à forte valeur ajoutée à toutes les étapes de l’implantation d’une activité en France, et en Israël.

LE RAPPORT DU JCC.
“Cleantech est l’abréviation de clean technology. Littéralement : “technologie propre”. Les technologies propres, ou encore technologies vertes, sont précisément l’art et la manière de concilier efficacité, profitabilité et respect de l’environnement. Par quels moyens ? En utilisant intelligemment notre environnement justement ! Et en matière de cleantech, les exemples ne manquent pas…

Depuis plusieurs décennies déjà, l’Etat Hébreu semble avoir compris l’enjeu majeur que représentent les cleantech, et tout l’intérêt qu’il y a à devenir un leader mondial dans le domaine. Plus d’un million de toitures israéliennes, dans un pays d’environ sept millions d’habitants, sont munies de panneaux solaires qui chauffent l’eau. Cette technologie simple, en plein essor dans les années 70, est même devenue une exigence du gouvernement depuis les années 80. Nombreux aussi sont les kibboutzim soucieux de faire valoir leur « green attitude ». Dernier exemple en date : le kibboutz de Reim, entièrement alimenté à l’énergie solaire, et faisant ainsi de sa communauté une des premières du monde à n’utiliser que de l’énergie propre.

Avant-gardiste l’Etat Hébreu ? Pas tellement. Si les énergies renouvelables sont largement utilisées par la population, elles ne sont que très peu exploitées pour la production d’électricité à grande échelle, représentant seulement 1% de l’énergie produite par les centrales israéliennes, notamment par souci de rentabilité. En effet, début 2002 la Commission Electrotechnique Internationale (CEI) approuvait la construction d’une centrale solaire dans le désert du Negev.

Au mois de septembre de la même année, ils publiaient un rapport concluant que le projet d’une telle centrale n’avait aucun bien fondé économique, compte tenu de la complexité des processus à mettre en œuvre, mais aussi du faible rendement de ces centrales (environ 10%).

Pourtant, le potentiel du pays est des plus remarquables. Israël jouit d’un des taux de radiations les plus élevés du monde et les nombreuses façades maritimes sont exploitables pour l’énergie éolienne et celle des vagues. De plus, le savoir faire technologique des start-up israéliennes en la matière est à son apogée. Les ingénieurs et entrepreneurs israéliens l’ont bien compris : il y a là un marché à exploiter !

Les principaux acteurs du marché
Avec des ressources en eau très limitées et quasiment pas d’énergie fossile à disposition, Israël a toujours su mettre l’accent sur une gestion intelligente de ses ressources. Ce qui explique sans doute le fait qu’Israël soit considéré aujourd’hui comme l’un des pionniers dans le domaine des clean technologies, que ce soit dans le secteur de l’eau, des énergies renouvelables ou encore de l’efficience énergétique.

Ainsi, avec pas moins de 250 entreprises israéliennes fournissant des solutions technologiques innovantes dans le secteur de l’eau, le pays est incontestablement un des leaders mondiaux du secteur. Comme en témoigne le succès fulgurant qu’a connu Netafim ces quarante dernières années ! Fondée en 1965 au sein du kibboutz Hatzerim, cette entreprise spécialisée dans les solutions technologiques de l’irrigation est aujourd’hui le leader mondial de l’ “Irrigation Intelligente” (Smart Irrigation), avec un total annuel des ventes avoisinant les 400 millions de dollar.

Les énergies renouvelables ont également la côte en Israël. On compte aujourd’hui plus de 150 sociétés israéliennes spécialisées dans l’énergie solaire thermique, le photovoltaïque, l’éolien ou encore dans le stockage d’énergie. Ce dynamisme étant principalement dû à un éveil des consciences des dirigeants israéliens sur le sujet datant de la période de la création de l’Etat!

Les débuts de l’énergie solaire domestique en Israël, par exemple, remontent à 1953 avec la création de NerYah Company, le premier fabriquant israélien de chauffe-eau solaires. Il faudra ensuite compter avec d’autres pionniers dès les années 1960, comme Chromagen (1962), puis plus tard avec Solel Solar Systems (1992) ou encore Arava Power (2006).

Ce n’est donc pas un hasard si Israël brille dans les classements internationaux. Il y a tout juste quelques mois, paraissait le classement Global Cleantech 100. Ce classement élaboré conjointement par The Guardian et Cleantech Group distingue les cent start-up les plus prometteuses au monde dans le domaine des technologies propres.

Israël y décroche une quatrième place (juste derrière les Etats-Unis, le Royaume Uni et l’Allemagne), confirmant ainsi sa position d’acteur mondial dans le domaine. Avec cinq entreprises classées, opérant toutes dans un secteur différent, Israël devance même la Suède et la France. En effet, AqWise est spécialisé dans le traitement des eaux usées, EnStorage dans le stockage d’énergie, Solel est un champion de l’énergie solaire (racheté en Octobre 2009 par Siemens pour 418 millions de dollar), IQWind innove dans les technologies de l’éolien, et quant à Better Place…

Est-il encore besoin aujourd’hui de présenter l’entreprise fondée en 2007 par l’Israélien Shai Agassi, et qui ambitionne de révolutionner le secteur automobile en développant un vaste réseau d’infrastructures destinées aux véhicules électriques ?

L’engouement que connaît aujourd’hui Israël pour les cleantech est sans précédent : les start-up foisonnent, les projets innovants abondent et les investisseurs étrangers, eux, sont aux aguets, avec l’intime conviction que le Google de demain sera « vert ». Ces investisseurs étrangers sont en général ce que l’on appelle des Capital Risqueurs (Venture Capitalists en anglais), c’est-à-dire des investisseurs qui repèrent les start-up innovantes très prometteuses et leur apportent les fonds et l’expérience nécessaires afin de pouvoir se développer. Il y aurait aujourd’hui plus de 80 fonds de capital-risque en Israël (dont la plupart sont américains), gérant en tout plus de 10 milliards de dollar, dont une part croissante réservée aux entreprises cleantech.

Et d’ailleurs, avec ses 125 entreprises cotées, Israël est le premier pays hors Amérique du Nord représenté au NASDAQ (le marché d’actions américain de référence en matière de nouvelles technologies). On comprend maintenant pourquoi les start-up vertes israéliennes attirent autant les investisseurs !

Pourquoi Israël en particulier ?
Depuis quelques années, Israël s’est considérablement investi dans les cleantech, c’est-à-dire les technologies environnementales : énergies alternatives, renouvellement de ressources en eau, agriculture respectueuse de l’environnement, entre autres. Israël serait même entré dans le Top 5 des pays du monde en matière d’énergies alternatives, selon les dires du Professeur Avraham Kribus, Professeur à l’Ecole d’ingénierie mécanique de l’université de Tel Aviv.
Comment comprendre cet engouement d’Israël pour les cleantech ? Deux raisons principales semblent se dessiner.

Tout d’abord, Israël ne disposant pas de ressources naturelles a dû chercher à compenser ce manque par des innovations technologiques comme les cleantech. De plus, Israël dispose de la technologie et de la matière grise nécessaires pour être un fleuron de l’innovation. C’est donc d’abord un besoin et ensuite une culture de l’innovation qui a poussé Israël à devenir un vivier de cleantech.

Israël est un pays innovant dont le secteur de la high tech est en croissance rapide depuis plus de dix ans. Les ressources naturelles limitées du pays et le haut niveau d’éducation des israéliens ont participé à cet engouement pour le high tech et plus particulièrement pour les cleantech.

Les contributions israéliennes à la science sont significatives, dans des domaines aussi variés que la médecine, la physique ou l’agriculture. Israël figure au 6e rang mondial en matière de contribution en termes de prix Nobels par habitant. On peut parler d’une culture de la science, d’un attrait pour l’innovation. Israël dispose de prestigieuses universités comme le Technion qui témoigne de son investissement dans les sciences.

La seconde raison concerne une sensibilité progressive d’Israël à l’égard des problématiques environnementales. Israël, depuis sa création, s’est soucié prioritairement, comme il est aisé de le comprendre, des problèmes liés à la sécurité et à sa croissance économique. D’où une aggravation des problèmes environnementaux qui ne sont réellement pris en compte que depuis une vingtaine d’années. Tout en gagnant de plus en plus d’importance dans l’opinion publique, ils restent cependant relégués en bas de liste des priorités nationales : ce n’est qu’aux dernières élections qu’elles ont été inscrites dans les programmes électoraux des partis en lice.

Cependant, certaines associations sont très efficaces dans leur lutte pour la protection de l’environnement, comme la SPN, la Société Protectrice de la Nature d’Israël, une organisation non gouvernementale. Son influence sur les gouvernements successifs a abouti à la création de la Direction de la Nature et des Parcs d’Israël. Ainsi Israël se place dans le peloton de tête des dix premiers pays au monde à avoir aménagé une partie de son territoire en réserves naturelles.

Ainsi, Israël apparaît comme un pays ayant une disposition culturelle et une sensibilité grandissante pour les problèmes environnementaux ainsi que pour la recherche et l’innovation. De là résulte son intérêt de plus en plus vivace pour les cleantech.

La Valorisation des brevets technologiques
Le brevet, titre de propriété industrielle, permet à un inventeur de protéger son invention, en interdisant à un tiers de l’exploiter sans son accord. C’est une véritable arme économique et juridique, qui peut engendrer bien des profits (ou non) selon l’invention sur laquelle elle porte. Les israéliens l’ont bien compris : aujourd’hui, il ne suffit plus d’inventer, il faut aussi savoir exploiter son invention (et bien entendu, la protéger) !

En 2008, selon le rapport de l’OMPI (Organisation Mondiale de la Propriété Intellectuelle), un brevet sur cent dans le monde était israélien. Israël se positionne ainsi 15ème sur les 138 pays que compte cette instance internationale, le trio de tête étant les Etats Unis (30%), le Japon (20%) et l’Allemagne (12%). Le nombre de brevets relatifs à un pays est un très bon indicateur de l’activité de la recherche et du développement dans ce pays. Ainsi, si Israël est une terre d’innovation, c’est essentiellement dû à ses dépenses en R&D, qui sont considérables pour un si petit pays.

Par ailleurs, les applications aux brevets israéliens touchent à tous les domaines : industrie, médical, High-tech …

Récemment, des scientifiques de l’université hébraïque de Jérusalem ont réussi à intensifier génétiquement le parfum des fleurs, voire à en donner à des fleurs qui en sont initialement dépourvues. Cela a permis de multiplier par dix l’odeur de certaines fleurs. Cette découverte a eu des applications commerciales dans de nombreux domaines : l’industrie du parfum, des fleurs coupées, des fruits et légumes…

Dans le domaine médical, des chercheurs israéliens ont découvert que les cellules toxiques de la méduse peuvent servir de minuscules seringues pour injecter des médicaments à travers la peau. Cela a permis à des crèmes médicamenteuses de pénétrer beaucoup plus facilement dans la peau et donc de soigner des gens trop sensibles aux seringues.

En 2004, la société israélienne Given Imaging a créé une capsule qui, une fois ingérée par le patient, émet un signal à chaque fois qu’elle croise un obstacle dans le corps et qui se dissout au bout de deux jours, permettant ainsi une endoscopie en douceur.

Dans un autre style, des scientifiques israéliens ont développé un appareil détectant les signes avant coureurs de l’œdème pulmonaire. Cette invention a reçu en 2004 la médaille d’or à l’exposition internationale IENA en Allemagne.

Des formations surprenantes et stimulantes
Ce n’est pas un hasard si Israël a été l’un des premiers pays à croire aux cleantech. En effet, les formations d’ingénieur proposées par les universités israéliennes sont particulièrement portées sur l’innovation technologique, ce qui explique sans doute que les ingénieurs ayant suivi ces formations ont une forte capacité non seulement à détecter les technologies du futur (typiquement les cleantech), mais parfois même à les créer. Ainsi Israël est aujourd’hui le deuxième foyer mondial à plus forte concentration de start-up high-tech, juste derrière la Silicon Valley.

D’ailleurs, on ne compte plus les technologies de notre quotidien qui ont été inventées par des chercheurs israéliens : c’est le cas notamment de la mémoire Flash (présente dans les clefs USB et les cartes mémoires) ou encore du système de codage RSA qui assure aujourd’hui la sécurité des systèmes de transmission de données par carte bancaire dans le monde entier.

Cependant, deux universités se démarquent particulièrement des autres en Israël, de par la variété et la qualité des formations qu’elles offrent : le Technion (à Haïfa) et l’institut Weizmann (à Rehovot). Le Technion est également la plus ancienne université israélienne : il fut inaugurée en 1924 (donc bien avant même la création de l’état d’Israël), par Albert Einstein, qui en était par ailleurs l’un des pères fondateurs.

Le Technion semblait dès sa création prédestiné à l’excellence. Aujourd’hui, l’université propose aux étudiants dix-neuf facultés pour un total de plus de 100 programmes dans les trois cycles d’enseignement supérieur (second cycle, troisième cycle, cycles postdoctoraux). Ces programmes couvrent des domaines d’enseignement très variés, et sont très reconnus à l’échelle mondiale. En termes de cleantech, le Technion propose notamment une formation « Environmental, Water and Agricultural Engineering » portée sur la recherche de nouvelles technologies pour le traitement des eaux. Les élèves vivent ainsi dans un cadre dynamique et motivant, où les professeurs sont eux-mêmes impliqués dans des grands projets de recherche, parfois susceptibles de donner naissance à des révolutions technologiques.

Par exemple, Dan Zavlansky, professeur au Technion est à l’origine du développement du projet « Energy Towers », qui permet de créer de l’énergie en vaporisant de l’eau en haut d’une tour, c’est-à-dire en n’utilisant que des ressources naturelles, à savoir l’eau de mer et le climat sec et chaud d’Israël.

L’institut Weizmann, quant à lui, fut créé en 1934, puis agrandi en 1949. Cette université fait notamment beaucoup parler d’elle en ce moment, puisque le prix Nobel de Chimie 2009 a été attribué à Ada Yonath, professeur à l’institut déjà connue pour avoir fondé le premier laboratoire de cristallographie. Ce prix lui a été attribué pour ses travaux de recherche sur la structure profonde du ribosome, qui ont débouchés sur la découverte des mécanismes précis de traduction du code génétique en protéines.

L’institut possède plus de 2500 étudiants, répartis dans les 17 départements, eux-mêmes regroupés en cinq facultés : Mathématiques et Sciences Informatiques, Physique, Chimie, Biochimie et Biologie. Ici également, les élèves vivent dans un climat qui ne peut que les encourager à développer leur curiosité et leur ingéniosité, comme en témoigne l’accélérateur de particule construit à l’intérieur même du campus.

Ainsi, les formations jouent un rôle crucial dans la place qu’occupe aujourd’hui Israël dans le monde des cleantech, et plus généralement dans le monde des nouvelles technologies. Mais en termes de formation, l’une des plus grandes spécificités d’Israël reste sa formation militaire, qui intervient avant même le début de la formation universitaire, et qui semble réellement faire la différence. En effet, non seulement elle inculque au futurs étudiants des valeurs responsables, et les aide à gagner en maturité, mais elle leur donne surtout le recul nécessaire pour comprendre des enjeux qui dépassent largement le cadre de leur vie privée. Sur ce point, nous autres Européens avons probablement une belle leçon à recevoir…

IsraelValley.com

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India plans use of Israeli spy sats for coastal surveillance

New Delhi, Jan 16 (PTI) Aiming to enhance surveillancecapabilities along the coastline, India is planning to useIsraeli spy satellites to keep an eye over its maritimeboundary with Pakistan.


Under the plan, New Delhi is looking to use the spysatellite coverage over the maritime region off the coast ofGujarat near Kutch, the region which was used by theterrorists involved in the 26/11 terror attacks to enter Indiathrough the sea route, sources told PTI here.

A discussion in this regard between the two sides washeld recently during the visit of a high-level Indian Defence delegation to Israel, they added.

Post 2008 Mumbai attacks, cooperation between Indiaand Israel in anti-terrorism efforts has been on the rise andNew Delhi is taking Tel Aviv''s help in securing its maritimeand land borders with Pakistan.

Once in place, the planned system would help thesea-guarding agencies such as the Navy and the Coast Guard tokeep an eye over a large area and keep a check on the vesselsmoving through the region and also verify their identity, theysaid.

The satellites would also be used to forewarn theauthorities in case of any suspicious movement of ships orsmaller vessels moving from Pakistan towards India.

With the satellites covering all the suspicious routeswhich the terrorists can possibly use in future, it will helpthe Navy and the Coast Guard to locate, check, and ifnecessary, destroy such vessels.

The Navy is going to commission its squadron of itsIsraeli Searcher and Heron unmanned aerial vehicles (UAVs)tomorrow at Porbandar in Gujarat for enhancing itscapabilities to tighten the vigil over the maritime trafficthere.

India has a over 7,500-km long coastline, which wasnot well-guarded till recently and after the Mumbai attacks,several steps are being taken by the Centre to plug the gapsin coastal security.

With an increased threat perception, the Governmenthas sanctioned procurement of equipment including fast attackcraft, offshore patrol vessels and reconnaissance aircraft forthe Navy and the Coast Guard.

The Navy is also raising a new force called the SagarPrahari Bal (SPB) to protect Naval bases and the coastlineareas.

The SPB will be deployed to carry out shallow wateroperations in both day and night for seaward anti-terroristpatrols for security of naval assets, besides interception athigh speeds and perform search and rescue operations.

oneindia.in

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Lufthansa and Israel Aerospace Industries have successfully conducted an operating test for the TaxiBot™ used with a B747-400

Jan 17, 2011
Lufthansa and Israel Aerospace Industries (IAI) have successfully conducted an operating test for the TaxiBot™ used with a B747-400 to demonstrate its ability to tow an airplane from gate to runway and back under typical taxiing conditions. The test was conducted at the Frankfurt International Airport.

TaxiBot™ is a joint development by IAI's Lahav Division and Airbus of an innovative environmentally-friendly pilot-controlled semi-robotic towing system. The Taxibot™ Dispatch Towing system, designed by IAI, allows airplanes to taxi to and from the airport gate to the runway without the need to operate their jet engines.

During the demonstration, following TaxiBot™ push-back, all taxiing processes were controlled by the aircraft's pilots from the cockpit, using the normal tiller and braking pedals just as in regular airplane taxiing. The TaxiBot's™ special control system controlled the load on the aircraft's Nose Landing Gear (NLG) in real time, maintaining it within a pre-calculated envelope, such that there is an insignificant fatigue effect on the NLG. Despite the severe weather conditions which prevailed during the Frankfurt test, the demonstrator system showed excellent capabilities and successfully maintained the defined envelope.


After the test, Bernd Pfeffer, a Lufthansa B747 pilot said: "The overall impression is very good, and better than I expected. Steering the aircraft using the TaxiBot™ with all kinds of turns was absolutely to my liking in addition to the accelerating and braking capabilities that were good. A big advantage of using the TaxiBot™ is on icy or slippery surfaces where traction is now better, and safety is increased when turning. I wouldn't change anything at all".

Itzhak Nissan, IAI's CEO said:" The TaxiBot™ development is naturally integrated in IAI's policy regarding new business areas such as ground robotics, and renewable energy "

The test, conducted on a Lufthansa commercial B747-400 aircraft, followed a test in Toulouse on an Airbus A340-600 test aircraft, conducted by Airbus and IAI during the second quarter of 2010 that showed promising results.

Yehoshua (Shuki) Eldar, IAI's Corporate VP, Business Development and Subsidiaries, commented: "The successful B747-400 Frankfurt test joins the Toulouse A340 test in showing that IAI’s innovative concept can help airliners save large amounts of fuel and help airports around the world reduce their annual fuel costs, noise and CO2 emissions by a significant margin."

With the conclusion of the B747 test, the TaxiBot™ demonstrator showed that it can successfully perform dispatch towing missions with both Airbus and Boeing aircraft, which represent the bulk of commercial aircraft in current use.

The Frankfurt test is a further milestone in the TaxiBot™ program which was launched in mid-2008 with the contribution of a Lufthansa LEOS Krauss-Maffie TPS-1 which became IAI's base vehicle for the TaxiBot™ concept demonstrator.

From the start of the program, Lufthansa LEOS supported the TaxiBot™ team consisting of IAI, Airbus, TLD, a French world leader in the manufacture of Ground Support Equipment (GSE) and Ricardo (a British vehicle engineering designer) and it was therefore only natural that the TPS-1 vehicle would return to its home base, with its new design and state-of-the-art technologies, to lead the way in proving the concept of such an innovative program as TaxiBot.

Current work is continuing to develop a TaxiBot™ prototype vehicle for Narrow Body airplanes, such as the A320 and B737 families.

Further demonstrator tests on Airbus aircraft are scheduled for the second quarter of 2011, to allow various operational and technical conclusions to be reached regarding prototype development and bring the system design to maturity prior to serial production.

The TaxiBot™ prototype is scheduled to get certification for the first airplane during 2012 and deliveries of the first units to customers should begin before the end of that year

IAI

La Guinée equatorial prend livraison a haifa de ses deux OPV d'Israel Shipyard de 62 m de long et d'environ 400 tonnes

Citation :

The crew of the two new 62m OPV that are already staying at Israel Shipyards Ltd. for intensive operational and maintenance training, had a visit of a Ministerial delegation from Guinea Equatorial.

The delegation included Admiral Vicente Eya Olomo – Vice-Minister of National Defence, Admiral Roberto Ndong – General Manager (Secretario General) of Ministry of National Defence and Admiral Joaquin Ndong Nve – Naval Chief of staff. They have inspected the Offshore Patrol Vessel that will shortly be delivered to Guinea Equatorial Navy.

During the visit, the launching ceremony of the second OPV was held, and the two vessels are now being prepared for the delivery to the customer.

Citation :

Nouveaux immigrants venus d’Ethiopie

Près d’un mois et demi après la décision du gouvernement de faire monter des Falashmourahs, 174 nouveaux immigrants d’Ethiopie ont atterri en Israël. Ils sont arrivés lundi matin à l’aube à l’aéroport Ben Gourion. On attend encore 350 Olim qui devraient être accueillis dans les jours qui viennent dans le pays. Selon les estimations, cette Alya, programmée depuis un certain temps, devrait s’achever en quelques semaines : au total, elle fait venir près de 8 000 personnes appartenant à cette communauté.

Israel7.com

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Défense aérienne: essai réussi

Le ministère de la Défense et la société Rafaël (industrie militaire israélienne) ont testé la semaine dernière le système « Baguette magique », en tirant sur des roquettes dans le cadre d’un entraînement. Les spécialistes de l’armée de l’air estiment que ce système sera opérationnel à grande échelle dans les deux ou trois années à venir. L’officier Nir Houkima a raconté au journal Bemahané que les armes de défense employées avaient réagi conformément à son attente.

Ce système de défense est polyvalent. Entre autre, il doit protéger les populations civiles contre les attaques de missiles de portée moyenne. Afin que ce système devienne concrètement efficace, l’armée de l’air doit suivre certains préparatifs. Le « Dôme de fer », quant à lui, est destiné à protéger les civils des attaques de missiles de courte portée, ou de roquettes, comme les Kassams tirés depuis la bande de Gaza. Le développement des systèmes de défense contre les missiles de toutes sortes s’effectue sur deux plans: le développement technologique, d’une part, et la formation de soldats appelés à manipuler les nouveaux appareils et le matériel de pointe, d’autre part.

Israel7.com

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Israël : Ehud Barak fonde un nouveau parti




Par Thomas Vampouille
17/01/2011 | -[Bouton_s_abonner_apartir8]-[]-[SELECT]-[Bouton_haut_article]]

Le nouveau parti d'Ehud Barak s'appelera Hatzmahout («Indépendance» en hébreu). Crédits photo : BAZ RATNER/REUTERS

L'influent ministre israélien de la Défense a annoncé lundi matin son départ du Parti travailliste, qu'il dirigeait, pour créer une nouvelle formation politique avec quatre autres parlementaires travaillistes.


Ehud Barak prend ses distances avec sa famille politique. Le ministre israélien de la Défense a annoncé lundi son départ du Parti travailliste (centre-gauche), qu'il dirigeait, pour fonder une nouvelle formation politique. «Nous créons aujourd'hui un groupe (parlementaire), un mouvement et par la suite un parti qui sera centriste, sioniste et démocratique dans la lignée de Ben Gourion», a déclaré le ministre de la Défense lors d'une conférence de presse à la Knesset (le Parlement israélien). Le nouveau parti s'appelera Hatzmahout («Indépendance» en hébreu).
Ehud Barak est accompagné dans sa démarche du vice-ministre de la Défense Matan Vilnaï, du ministre de l'Agriculture Shalom Simhon et de deux autres députés de l'aile droite du parti, Einat Wilf et Orit Noked. «Notre mot d'ordre est ‘tout ce qui est bon et juste pour l'Etat d'Israël'», a expliqué Ehud Barak en dénonçant «le glissement à gauche, toujours plus à gauche» du Parti travailliste. «Le Parti travailliste est devenu invivable. Il a oublié qu'il était un parti sioniste et juif», a également déclaré Einat Wilf à la radio.

Le Parti travailliste a gouverné Israël sans interruption pendant 30 ans, au point de s'identifier pendant longtemps avec l'État. Dirigé par Ehud Barak depuis 2007, il avait enregistré son pire score lors des dernières élections début 2009. Plusieurs de ses membres avaient toutefois intégré la majorité et le gouvernement de droite de Benyamin Nétanyahou (Likoud) dans le cadre d'une large coalition, atténuant l'image d'un gouvernement très ancré à droite. Jusqu'à présent, le Parti travailliste comptait ainsi quatre ministres et treize députés sur 120 à la Knesset.
Barak restera ministre de la Défense




Mais depuis des mois, les travaillistes se déchiraient autour des conclusions à tirer du blocage du processus de paix avec les Palestiniens. Une partie de ses ministres et députés estimaient qu'il fallait fixer un ultimatum à Benyamin Nétanyahou pour la reprise des négociations, menaçant en cas d'échec de quitter la coalition. Selon la radio militaire, le premier ministre leur a d'ailleurs fait porter la responsabilité de l'échec des négociations dimanche, lors du conseil des ministres. De son côté, Ehud Barak prônait le maintien à tout prix au sein du gouvernement. Désormais, selon le vice-ministre de la Défense Matan Vinai, la formation d'un nouveau parti va permettre à ses membres de faire avancer le processus de paix «sans chronomètre».
Selon la radio militaire israélienne, Benyamin Nétanyahou était au courant de l'initiative d'Ehud Barak. Celui-ci aurait obtenu du chef du gouvernement l'assurance qu'il resterait ministre de la Défense et que ses compagnons conserveraient également leur poste ministériel.
Le ministre des Affaires sociales, Yitzhak Herzog, a en revanche annoncé lundi sa démission du gouvernement. «Il s'agit d'une démission personnelle mais j'ai discuté avec mes amis également ministres (travaillistes) Binyamin Ben Eliezer (Industrie et Commerce) et Avishaï Braverman (chargé des Minorités), et je suis convaincu qu'ils feront comme moi car ils comprennent bien la réalité et veulent avec d'autres camarades sauver le Parti travailliste», a expliqué ce rival d'Ehud Barak. Les autres ministres et députés travaillistes n'ont toutefois pas encore annoncé leur décision. Quoi qu'il en soit, même en cas de défection, Benyamin Nétanyhou conservera une majorité de 66 députés.

lefigaro

bonne nouvelle,Rafael et IMI vont fusionner.

Citation :

Rafael seen taking over IMI
The idea of privatizing Israel Military Industries has been dropped.
17 January 11 12:59, Yuval Azulai
After completing several weeks of staff work, it appears that the Ministry of Finance and Ministry of Defense plan to merge Israel Military Industries Ltd. (IMI) with Rafael Advanced Defense Systems Ltd.. Officials from the two ministries worked together with the Histadrut (General Federation of Labor in Israel) on the plan.
The teams examined various aspects of a merger of IMI with one of the two government defense companies, Rafael and Israel Aerospace Industries Ltd. (IAI) (TASE: ARSP.B1). Both companies expressed interest in acquiring IMI, and both companies told the work teams of the considerable synergy between their activities and the activities of IMI.

Sources said today that the Ministry of Finance and Ministry of Defense intend to announce their decision in a few days. The longstanding plan to privatize IMI will be dropped, and the company will be merged with Rafael, which is considered a profitable and financially sound company.

In recent weeks, Elbit Systems Ltd. (Nasdaq: ESLT; TASE: ESLT) has also expressed strong interest in acquiring IMI.

Over the next two days, the Ministry of Finance is scheduled to hold a preparation meeting ahead of an official announcement of the decision about the IMI merger.

Globes

GlaivedeSion a écrit:

bonne nouvelle,Rafael et IMI vont fusionner.

Citation :

Rafael seen taking over IMI
The idea of privatizing Israel Military Industries has been dropped.

Ça va faire un mastodonte qui fera parler de lui
Une idée sur le poids financier du nouveau groupe ? Capitalisation, CA, etc
Puis le cumul de savoir faire technologique que ça représente

Samyadams a écrit:

GlaivedeSion a écrit:

bonne nouvelle,Rafael et IMI vont fusionner.

Citation :

Rafael seen taking over IMI
The idea of privatizing Israel Military Industries has been dropped.

Ça va faire un mastodonte qui fera parler de lui
Une idée sur le poids financier du nouveau groupe ? Capitalisation, CA, etc
Puis le cumul de savoir faire technologique que ça représente

A la base le projet devais unir IAI,RAFAEL et IMI mais cela ne c'est pas fait je crois que si Rafael et IMI s'unissent il serons un truc comme le 20 plus gros groupes mondial en termes de chiffres d'affaires,déja que IMI a un carnet de commande de 1.3milliards de dollards alors que l'entreprise est censer aller mal,je voudrai bien vous ce que la fusion va donner

..une sorte de Raytheon ou Thales israelien,en tout cas un big player qui gagnera encore plus de parts de marchés

le plus important c'est le cumul de savoir faire qui va en découler ... un truc monstrueux je dirais

Cocorico ou plutot blanc bleu comme on dit en Israel,Intel va investir 2.7 milliard de dollard et crée plus de 1000 nouveaux emplois dans son usine de kyriat gat cerise sur le gateau israel sera le deuxiéme pays au monde a fabriqué des composants technologique de seulement 22 nanométre chose qui me ravie encore plus Intel a choisit israel plutot que son autre site en irlande

Citation :

Intel Israel to hire 1,000 new employees
General manager Maxine Fassberg: We are going to invest $2.7 billion in the next two years in 22 nanometer technology.
18 January 11 13:14, Tzahi Hoffman
Intel Israel Ltd. is to recruit 1,000 new employees in 2011 to develop and produce 22 nanometer technology.
Intel Israel currently has 7,057 employees and general manager Maxine Fassberg said that the company indirectly employs an additional 20,000 people.

Intel Israel exported $2.7 billion in 2010, down from $3.4 billion in 2009 but up from $1.39 billion in 2008, and $1.54 billion in 2007. Intel Corporation (Nasdaq: INTC) had revenue of $43.6 billion in 2010.

In 2010, Intel implemented $264 million in reciprocal procurements in Israel, and also purchased production machinery worth $52 million.

Fassberg said, "We are going to invest $2.7 billion in the next two years in 22 nanometer technology. We will undertake it in our clean room with additional workforce but without building another factory. There will be an exchange of machinery that will lower the pace of production while we are bringing in the machinery with new technology at the same time."


Globes

Tsahal va déployé ses armes stratégiques et ses equipements de grandes valeurs dans plusieurs bunkers creusés dans la montagnes,les emplacements seront classés secret,on apprend aussi que la base aérienne de hatzor a plus que doublé ses exercices de ravitaillement de jet de combat sous le feu ennemies entre 2009 et 2010,soit 12 exercices pour 2009 et 25 pour 2010

Citation :

IDF to protect equipment, arms in mountain bunkers

Exclusive: Army studies methods of using topography to safeguard critical supplies against incoming missiles
In an effort to protect sensitive equipment and advanced munitions, the IDF has drawn up intricate plans to dig massive bunkers inside mountains throughout the country to thwart enemy missile fire, The Jerusalem Post has learned.

The multi-million-dollar plan was created by the IDF’s Logistics and Technology Directorate, and is set to receive a dedicated budget from the General Staff in the military’s next multi-year plan – expected to go into effect in 2012.

Under the plan, next year the IDF will begin building a relatively small bunker of several thousand square meters inside a mountain whose location is classified. If the project is successful, it will enter the next phase, which includes building several more bunkers over the next few years.

Following the Second Lebanon War against Hizbullah in 2006 – and amid predictions that IDF bases will be targeted in a future conflict – the Logistics and Technology Directorate formulated the plan, dubbed “Operational Continuity.” Its primary objective is to disperse important equipment into mountain bunkers across the country.

“We work under the assumption that in the next war, IDF bases will be targeted,” a senior officer said on Monday.

“At the same time, we need to be able to continue to supply troops who will be operating behind enemy lines, and have a limited amount of supplies with them.”

The army will also bolster protection of sensitive locations – such as warehouses where advanced weapons are stored. Bunkers inside mountains could serve as an alternative to open bases, the officer said.

An IDF delegation recently visited a number of countries that uses similar bunker systems, including South Korea.

The IDF plans to issue a contract to civilian companies to build the new facility.

“The advantage of building bunkers inside mountains is that this way trucks – which come to load up on supplies – will not be doing so out in the open, but will be able to drive into the bunker where they will be protected, and then exit when it is safe again,” the officer said.

The IDF has also begun holding seminars to prepare soldiers to continue operating if enemy missiles strike bases.

Israel Air Force bases, which are considered prime targets, have significantly increased the number of training exercises they hold. At the Nevatim Base southeast of Beersheba on Monday, for example, commanders held drills simulating missile attacks on the base, as well as emphasizing the need to continue loading weapons on fighter jets.

Airmen at the Hatzor Base near Ashdod have prepared by carrying out over 25 drills last year, compared to 12 in 2009

jpost.com

Voila le fameux taxibot economie de kéroséne assuré.

D'autres Hermes 450 pour le Bresil,Elbit ce porte bien et essaye par tous les moyens de racheter IMI,au lieu de Rafael.

Citation :

Elbit Systems wins Brazilian Air Force UAV contract

The deal is part of a Brazilian project to establish independent UAV capabilities.
Elbit Systems Ltd. (Nasdaq: ESLT; TASE: ESLT) has won a Brazilian Air Force contract subsidiary for unmanned aerial vehicles (UAV). The company's Brazilian subsidiary Aeroeletrônica Ltda. will supply the Hermes 450 UAVs. Elbit Systems said that the value was not material to the company.
The UAVs are part of a Brazilian Air Force project to establish independent unmanned aerial systems capabilities, allowing for self-reliant operation and development of UAVs in the country. Based in Porto Alegre, Aeroeletrônica carries out a range of projects for the Brazilian military.

Aeroeletrônica will utilize technological capabilities of Elbit Systems to develop the future Brazilian UAV capability.

Elbit Systems president and CEO Joseph Ackerman said that he hopes that the new project will further strengthen the cooperation between the subsidiary and the Brazilian Air Force, as well as other Brazilian customers.

Elbit Systems' share price rose 0.5% on Nasdaq yesterday to $54.25, giving a market cap of $2.32 billion, and rose 0.5% in early trading on the TASE to NIS 192.60.

Globes

Les russes veulent acheter du gaz a Israel.

Citation :

Gazprom in talks to buy into Isramco gas licenses

The Russian giant is not deterred by Prime Minister Benjamin Netanyahu's support for the Sheshinski committee recommendations.
At least one major international natural gas company is apparently undeterred by Prime Minister Benjamin Netanyahu's statement that he will support the Sheshinski committee recommendations and the warnings by Israeli oil and gas exploration companies and investors that foreign energy companies will abandon the country. Sources inform ''Globes'' that Russia's OAO Gazprom (Nasdaq: OZGPY; LSE: OGZD; DAX: GAZ; RTS: GAZP) is in talks with Isramco Ltd. (Nasdaq: ISRL; TASE: ISRA.L) to acquire part of the rights in its gas licenses. Isramco owns 28.7% of the Tamar gas field, which is due to begin gas deliveries to Israel Electric Corporation (IEC) (TASE: ELEC.B22) in the first half of 2013.
Isramco also owns rights in the Shimshon and Daniel offshore licenses. Analysis of the 3D seismic survey of Shimshon points to 1.5 trillion cubic feet of natural gas with a 15% chance of geological success. The results of the seismic survey of the Daniel license have not yet been published.

Isramco CEO Yossi Levy told "Globes", "According to the markets, Gazprom is in talks with all the companies. We neither confirm nor deny rumors."

In the past, the Russian media has reported that Gazprom was considering acquiring stakes in Ratio Oil Exploration (1992) LP's (TASE:RATI.L) Gal licenses, but nothing ever came of it.

Isramco's share price fell 6.2% by mid-afternoon on the TASE today to NIS 0.394, giving a market cap of NIS 4.76 billion

Globes

[quote="GlaivedeSion"]Les russes veulent acheter du gaz a Israel.

Citation :

Gazprom in talks to buy into Isramco gas licenses

Glaive, la Russie est un pays exportateur de gaz, je ne vois vraiment pas pourquoi elle va en importer Mais la traduction google de ton article est si mauvaise que je n'y ai pas compris grand chose

[quote="Samyadams"]

GlaivedeSion a écrit:

Les russes veulent acheter du gaz a Israel.

Citation :

Gazprom in talks to buy into Isramco gas licenses

Glaive, la Russie est un pays exportateur de gaz, je ne vois vraiment pas pourquoi elle va en importer Mais la traduction google de ton article est si mauvaise que je n'y ai pas compris grand chose

La Russie n'est elle pas même le premier fournisseur de gaz naturel vers l'Europe ?
En cherchant un peu sur le net j'en suis venu à conclure que Gazprom cherche à acheter des droits d'exploitation de gisements de gaz détenus par Isramco.

[quote="Samyadams"]

GlaivedeSion a écrit:

Les russes veulent acheter du gaz a Israel.

Citation :

Gazprom in talks to buy into Isramco gas licenses

Glaive, la Russie est un pays exportateur de gaz, je ne vois vraiment pas pourquoi elle va en importer Mais la traduction google de ton article est si mauvaise que je n'y ai pas compris grand chose

Samy ne le prend pas mal ,mais tu est un piétre économiste,que la Russie ai du gaz,cela ne change rien,il s'agit pour elle de controler une partie du gaz israélien en lui achetant des licenses,sachant que le gaz israelien sera vendu a l'europe en cas de crise avec cette méme europe les russes aurons de quoi faire pression ou du moin de quoi négocieren position de fore.
L'europe importe son gaz de russie et d'algérie,un approvisionnement d'israel et d'algérie pourrai considérablement réduire les capacités de nuisances russes;or les russes le savent c'est pour cela qu'ils veulent s'associer avec les israeliens,sachant qu'il reste encore en israel 16 champs de gaz trés prometteur,cela reléve de la guerre economique et de la géopolitique,en gros les russes sont trés intelligent ils connaissent et exploitent le point faible de l'europe a savoir le gaz souviens toi de la crise ukrainienne,polonaise ayant des incidences sur toutes l'europe de l'est et l'allemagne.

Il est donc question d'acheter des licences d'exploitation de puits de gaz, pas de gaz
Le meilleur des économistes ne peut donner un avis pertinent s'il raisonne sur la base de fausses données.

Samyadams a écrit:

Il est donc question d'acheter des licences d'exploitation de puits de gaz, pas de gaz
Le meilleur des économistes ne peut donner un avis pertinent s'il raisonne sur la base de fausses données.

Excuse moi de te poser cette question,mais ne comprend tu donc pas l'anglais? de toute maniére license s'ecrit pareil en francais.
Bref les russes veulent controlé d'une maniére ou d'une autre l'approvisionnement des européens

Pourrais-tu me donner une approximation du potentiel gazier israélien GlaivedeSion ?
Merci

GlaivedeSion a écrit:

Excuse moi de te poser cette question,mais ne comprend tu donc pas l'anglais? de toute maniére license s'ecrit pareil en francais.
Bref les russes veulent controlé d'une maniére ou d'une autre l'approvisionnement des européens

Il n'y a aucun mal, Glaive, à poser ta question. Et non, je comprends assez difficilement l'anglais et je suis souvent obligé de passer par google traduction. Tu n'as pas dû remarquer que je réponds toujours en français, même aux posts rédigés en anglais. Dans le cas de figure, la traduction était totalement incompréhensible.
Et non, je ne me contente jamais de comprendre un seul mot pour en déduire le reste. Tant que je ne suis pas capable de situer ce mot dans son contexte, je m'abstiens de tirer des conclusions hâtives.