messages : 3887 Inscrit le : 15/07/2009 Localisation : ici et la Nationalité : Médailles de mérite :
Sujet: drones naval Ven 26 Nov 2010 - 3:03
Un lien pdf sur ce qui ce fait dans le monde en terme d'usv. http://www.dmilt.com/docs/USV.pdf
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"Nous trouverons un chemin… ou nous en créerons un": Hannibal
jonas General de Brigade
messages : 3370 Inscrit le : 11/02/2008 Localisation : far-maroc Nationalité : Médailles de mérite :
Sujet: Re: drones naval Ven 16 Mar 2012 - 9:16
Citation :
Utilisations actuelles et futures des drones sous-marins
Très discrets aux yeux du public, les drones sous-marins sont pourtant très exploités par le monde civil et commencent à faire parler d’eux dans une plus large mesure. Les grands acteurs militaires se penchent assez attentivement sur la question de leur employabilité dans différents domaines d’actions.
Les drones sous-marins, qu’on retrouve sous la dénomination d’Unmanned Underwater Vehicles (UUV) dans la littéraire anglophone, peuvent être classés selon différents critères. Le premier retenu ici est l’autonomie du véhicule :
ROV: Remotely Operated Vehicle. Un lien physique (un câble) relie le robot à l’opérateur, couramment dans un navire de surface. L’opérateur contrôle entièrement l’engin, l’autonomie décisionnelle est donc nulle. Par contre, l’autonomie énergétique est très élevée ce qui permet d’effectuer de longues missions d’observation ou d’interaction directe avec l’environnement. Ce type d’UUV est souvent utilisé pour des interventions en hauts fonds. AUV : Autonomous Underwater Vehicle. Le robot n’est pas physiquement relié à une base d’opérations. L’opérateur peut contrôler tout ou partie des actionneurs via des communications sans fil. Ces dernières étant très coûteuses dans le milieu sous-marin, l’engin bénéficie en général d’une grande autonomie décisionnelle, pour s’adapter aux éventuels changements de l’environnement.
Le type de propulsion du robot sous-marin est fréquemment contraignant pour certaines missions. Ce critère permet donc d’établir une autre classification des drones sous-marins. La propulsion à hélice (type torpille) est la plus courante car elle permet d’évoluer à bonne vitesse. Le type glider (planeur sous-marin) est plus lent mais très peu couteux en énergie, augmentant d’autant l’allonge. Les bouées sont plus sensibles aux courants, à moins d’être ancrées dans le sol. D’autres types de propulsion sont imaginables et potentiellement étudiés, comme l’utilisation de la cavitation pour atteindre des vitesses très élevées (à l’instar des torpilles russes Shkval). Enfin, la taille ainsi que la masse immergée des engins terminent notre classification. Les drones sous-marins vont du petit robot biomimétique de quelques grammes au sous-marin autonome de plusieurs dizaines de tonnes.
Les utilisations des drones sous-marins dans le monde civil foisonnent, particulièrement en océanographie et dans les grands groupes pétroliers. En tête des missions, on trouve la cartographie sous-marine et l’acquisition de données scientifiques à de grandes profondeurs. Nous pouvons également citer l’inspection de coques, d’oléoducs, l’ensouillage (enterrer une canalisation) de câbles sous-marins ou la lutte contre la pollution en mettant sous surveillance l’épave d’un chimiquier par exemple. Les faits récents concernant le vol AF 447, reliant Rio à Paris, ont démontré l’avantage de l’emploi de ce type d’engins. C’est en effet grâce à des drones sous-marins (REMUS 6000) que l’épave et les boites noires de l’avion ont pu être retrouvées. La zone à explorer ne faisait pas moins de 2000km², par une profondeur de 700 à 4600 mètres.
Le monde militaire utilise depuis longtemps des SONAR robotisés dans la guerre maritime. Mais le développement d’une robotique plus autonome offre la possibilité d’améliorer la discrétion lors d’opération, mais surtout d’éloigner considérablement l’homme d’une menace directe. Les premiers emplois des UUV concernent la guerre des mines. La robotisation permet d’aller au plus près de la menace et d’effectuer une partie de la boucle de déminage (Détection, Classification, Identification, Localisation) sans prendre de risque. La neutralisation des mines, dernière phase et la plus délicate de ce cycle, fait également l’objet de recherche de la robotique sous-marine. L’utilisation de bouées ou de drones du type glider peut servir à l’interdiction de zone, dans le cadre de la protection d’une infrastructure militaire ou lors d’un convoi maritime. De même, des drones silencieux et autonomes offriraient un service de renseignements très efficaces. Enfin, la lutte anti-sous-marine est un domaine où l’emploi des drones est étudié. Un équivalent aux loitering munitions du monde aérien assurerait efficacement la protection d’un groupe aéronaval.
Le domaine scientifique des engins robotisés sous-marins est très large. Il touche l’autonomie énergétique, indispensable à une longue allonge et à un besoin de discrétion, et explore également l’autonomie décisionnelle, comme dans le cadre de REA (Rapid Environmental Assesment) où le drone doit évoluer de façon autonome dans un environnement inconnu. Le projet d’étude amont (PEA) DAURADE, incluant le SHOM (Service Hydrographique et Océanographique de la Marine) et la DGA (Direction Générale de l’Armement), s’intéresse à ces problématiques. La coopération entre l’homme et les machines est un sujet prépondérant dans l’ensemble de la problématique des drones. La DGA a lancé, dans le cadre du Système de Lutte Anti-Mine Futur (SLAMF), le PEA ESPADON, devant lever les risques sur des concepts multi-robots. Dans ce projet, un drone de surface, le Sterenn Du, est leader d’une flottille de petit UUV, dans le cadre d’une mission de guerre des mines.
La France est novatrice dans le domaine de la robotique sous-marine. En plus de promouvoir le domaine auprès des écoles d’ingénieurs et des universités par le biais de concours robotiques, la France dispose d’une base industrielle solide. Parmi ces entreprises, nous comptons Thales Underwarter System, impliqué dans de nombreux projets nationaux (PEA ESPADON) et internationaux, ECA Robotics, qui fournit des drones à la DGA et aux gardes côtes japonais. A cela s’ajoute le tapis de PME, avec entre autres Subsea Tech, qui collabore avec la marine italienne, le groupe Total et également le CNRS. Kongsberg Maritime et Bluefin Robotics se placent en concurrents internationaux dans le domaine.
Bien qu’assez peu présents sur le devant de la scène, les drones sous-marins sont fortement utilisés par la communauté scientifique et océanographique. Ces derniers mois, la plupart des grandes marines du monde se sont équipées en drones sous-marins, soit pour des applications directes, soit à des fins de prospective. La guerre des mines reste actuellement le domaine de prédilection de ces technologies, mais les recherches civiles et militaires ouvrent de plus en plus la voie à de nouvelles utilisations.
http://alliancegeostrategique.org
jonas General de Brigade
messages : 3370 Inscrit le : 11/02/2008 Localisation : far-maroc Nationalité : Médailles de mérite :
Sujet: Re: drones naval Mar 27 Mar 2012 - 7:52
Citation :
Ces robots autonomes et éternels vont vous méduser
La marine américaine a développé une méduse robotique baptisée Robojelly qui produit son énergie quand elle nage, grâce à l’eau. Et tant qu’il y aura de l’eau dans les océans, ce robot pourra effectuer indéfiniment des missions d’exploration de recherche ou de sauvetage. Dévellopé conjointement par la Marine américaine, l’Université du Texas et les chercheurs de Virginia Tech, le Robojelly se sert de muscles artificiels fabriqués à partir de matériaux à base d’alliage à mémoire de forme. Vous pouvez tordre ces matériaux dans tous les sens, ils reviennent toujours à leur forme originelle. Ces matériaux permettent au Robojelly d’effectuer des mouvements d’expansion et de contraction comme ceux des méduses.
Ces alliages artificiels qui imitent les muscles sont enveloppés de nanotubes de carbone et sont recouverts d’une poudre noire en platine. Quand ils sont en contact avec l’oxygène et l’hydrogène présents dans l’eau, une réaction chimique se produit avec la couverture en platine qui produit de la chaleur qui actionne les muscles du Robojelly.
Comme les méduses sont assez peu intimidantes, la marine américaine sait que ce robot ne va pas effrayer ses ennemies. Mais comme ces méduses peuvent fonctionner de manière autonome avec une source d’énergie quasi-illimitée, l’armée imagine inonder les océans avec ces espions sous-marins inoffensifs. Les Robojelly serviraient alors à repérer les bateaux perdus ou les intrus…
gizmodo
rafi General de Division
messages : 9496 Inscrit le : 23/09/2007 Localisation : le monde Nationalité : Médailles de mérite :
Sujet: Re: drones naval Lun 24 Sep 2012 - 10:59
La Darpa finance un chasseur de sous-marins autonome...
Yakuza Administrateur
messages : 21656 Inscrit le : 15/09/2009 Localisation : 511 Nationalité : Médailles de mérite :
messages : 9496 Inscrit le : 23/09/2007 Localisation : le monde Nationalité : Médailles de mérite :
Sujet: Re: drones naval Lun 24 Sep 2012 - 11:07
Désolé. Mais il y a une belle vidéo publicitaire qui accompagne cette info, ça compte?
Yakuza Administrateur
messages : 21656 Inscrit le : 15/09/2009 Localisation : 511 Nationalité : Médailles de mérite :
Sujet: Re: drones naval Lun 24 Sep 2012 - 11:18
pas de probleme je voulais juste le lier a l´autre mais ca a sa place ici aussi,poste la video te gene pas si tu l´as
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rafi General de Division
messages : 9496 Inscrit le : 23/09/2007 Localisation : le monde Nationalité : Médailles de mérite :
Sujet: Re: drones naval Lun 24 Sep 2012 - 11:24
La vidéo se trouve dan le l'article d'OPEX, je ne sais pas la copier.
Yakuza Administrateur
messages : 21656 Inscrit le : 15/09/2009 Localisation : 511 Nationalité : Médailles de mérite :
Sujet: Re: drones naval Lun 24 Sep 2012 - 11:27
voila,tres interessante
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MAATAWI Modérateur
messages : 14756 Inscrit le : 07/09/2009 Localisation : Maroc Nationalité : Médailles de mérite :
Sujet: Re: drones naval Ven 14 Déc 2012 - 14:17
Citation :
La guerre des mines à l’heure des drones
Le drone de surface Sterenn Ducrédits : MARINE NATIONALE
C’est une véritable révolution qu’est en train de vivre la guerre des mines, avec l’introduction de nouveaux systèmes totalement automatisés. Eloigner les hommes des zones de danger. Voilà l’objectif des développements en cours concernant les futurs moyens de guerre des mines. Pour cela, des systèmes de drones sont actuellement mis au point afin de détecter, classifier, localiser, identifier puis neutraliser les menaces sous-marines. Mondialement réputée pour son savoir-faire dans le domaine de la guerre des mines, la France est très en pointe sur le sujet. Dans le cadre des études de définition du futur programme SLAMF (Système de lutte anti-mine futur), destiné à assurer la succession des actuels chasseurs de mines de la Marine nationale, la Direction Générale de l’Armement (DGA) a lancé en 2009 le Programme d’Etudes Amont ESPADON. Celui-ci vise à évaluer la faisabilité d’un concept basé sur des drones de surface (Unmanned Surface Vehicle - USV), lancés depuis un bateau-mère vers la zone de recherche et capables, une fois sur place, de déployer et récupérer de manière autonome un sonar remorqué (en l’occurrence, ici, un sonar à ouverture synthétique de type DUMB-44), mais aussi différents drones sous-marins (Autonomous Underwater Vehicle - AUV).
Ce PEA, qui implique industriellement DCNS, Thales et ECA, a vu la réalisation du démonstrateur Sterenn Du (nom breton signifiant Astre Noir), un USV de 17 mètres de long, 7.5 mètres de large et 25 tonnes de déplacement. Mis à l’eau fin 2010, le Sterenn Du a, depuis, réalisé de nombreux essais, notamment avec un AUV de la DGA, le GDM, réalisé en 2006 dans le cadre de précédentes recherches. Pour l’heure, les résultats d’Espadon sont très concluants, notamment au niveau de son système de lancement et de récupération automatique (Launch and Recovery System - LARS) d’AUV. Conçu par ECA, qui l’a breveté, ce dispositif critique est composé d’un portique, qui déploie et récupère une cage sous-marine dans laquelle vient se loger l’AUV. Ce portique dispose d’un système d’amortissement qui permet de stabiliser la cage par des mers formées et, ainsi, faciliter la rentrée de l’AUV.
Alors que l’USV doit pouvoir travailler dans des conditions météo difficiles (jusqu’à mer 4), les AUV, au retour de mission, détectent (au moyen d’un sonar et des algorithmes spécialement développés par ECA) le câble d’accroche leur permettant de pénétrer dans la cage et, ainsi, d’être récupérés. Ce câble est capturé par des bras déployables, qui se referment une fois cette « ligne » physiquement détectée. Alors remorqué, le drone est ravalé vers la cage et positionné dans un chariot, puis ramené vers l’avant de la cage et, une fois immobilisé, l’ensemble remonte vers le Sterenn Du. On notera que la configuration de l'équipement de mise à l'eau et de récupération diffère selon le système employé (sonar remorqué, AUV d'indentification ou AUV de détection de classification et de localisation).
Deux types de drones sous-marins peuvent être embarqués. Le premier, doté d’un sonar latéral et chargé de quadriller de vastes zones à la recherche de menaces potentielles (mines de fond et à orin), est appelé AUV DCL (Détection, Classification, Localisation). Intervient ensuite un AUV I (Identification), manoeuvrant et doté d’un sonar haute résolution ainsi que de quatre caméras pour avoir plusieurs angles de vue. Ce drone permet aux opérateurs de confirmer l’identité de la mine. A l’automne 2012, le Sterenn Du a démarré des tests avec l’AUV I conçu par ECA. On notera qu’à terme, un système de sonar suffisamment précis pourrait voir le jour pour compléter les moyens vidéo offerts par les caméras, qui présentent le désavantage d’être inutilisables si l’eau est trop trouble.
Développé par ECA pour le véhicule et Thales pour le sonar, un nouvel AUV DCL effectuera quant à lui ses essais en mer en 2013 et 2014. Ce drone sera équipé d’un sonar à ouverture synthétique de nouvelle génération, ainsi que du système de traitement associé. Il présentera une endurance très importante, soit près de 30 heures d’autonomie, contre 7 à 8 heures seulement pour le GDM. Pour y parvenir, Thales et ECA ont mené un important travail pour diminuer la consommation énergétique du sonar et de la propulsion, tout en concevant une batterie nettement plus puissante.
Il restera enfin une ultime étape, celle de la neutralisation, avec le déploiement depuis l’USV d’engins de type « Mine Killer », des robots télé-opérés dotés d’une charge et se faisant exploser au contact de la mine.
Déploiement à une trentaine de milles du bateau mère
En matière de transmissions de données, les AUV, après avoir balayé le fond marin, remontent à la surface pour transférer leurs images au moyen d’ondes hertziennes directement vers le bateau-mère ou via le Sterenn Du, qui peut servir de relais de communication. Les ondes acoustiques sont également utilisées pour communiquer avec les AUV, mais elles ont une portée de quelques kilomètres seulement. Le débit étant aujourd’hui trop faible pour la transmission en temps réel d’images sonar ou vidéo, les ondes acoustiques servent uniquement à connaitre les paramètres des drones (position, charge de la batterie, phase de la mission…) et à reconfigurer ces engins en cours de mission.
Au niveau du rayon d’action, l’USV devrait pouvoir être déployé à une vingtaine de milles du bateau-mère et les AUV à une dizaine de milles de l’USV, permettant au bateau-mère et à son équipage de rester loin de la menace, ce qui est aussi un avantage tactique, par exemple pour éclairer discrètement une zone en amont d’un débarquement. On notera d’ailleurs que le Sterenn Du bénéficie de formes furtives et d’une livrée camouflée dans la perspective de pouvoir intervenir en toute discrétion.
Avec Espadon, la France a donc lancé un projet particulièrement ambitieux, faisant intervenir le meilleur de la robotique sous-marine, des moyens de détection sonar et des systèmes de traitement de données. Ces travaux pionniers devraient non seulement servir à la définition du futur SLAMF français, mais peut-être à la réalisation d’un nouveau système de guerre des mines européen particulièrement novateur. Dans le cadre des accords de Lancaster House, signés en décembre 2010, la Grande-Bretagne a, en effet, décidé de se rapprocher de la France sur ce sujet. Et d’autres pays de l’UE pourraient s’associer à un futur programme.
Quant aux plongeurs démineurs, même si ces systèmes de drones deviennent opérationnels dans les prochaines années, leur emploi perdurera. Dans certaines conditions, notamment par petits fonds ou dans le cadre de la récupération d’une mine pour étude, une intervention humaine sera toujours nécessaire. C’est pourquoi la France prévoit non seulement de renouveler ses chasseurs de mines, mais également de commander de nouveaux bâtiments bases de plongeurs démineurs.
KONGSBERG, Norway, 6 Jan. 2014. Unmanned systems experts at Kongsberg Maritime AS in Kongsberg, Norway, are introducing the MUNIN unmanned underwater vehicle (UUV) for offshore surveillance and survey.
The MUNIN UUV is designed to collect high resolution sonar data geo-referenced by a survey grade positioning system. It has a modular structure that provides the ability to install extra batteries to extend operational scope for missions lasting to 24 hours at depths nearly to 5,000 feet.
The UUV is 10 to 14 feet long depending on configuration, 14 inches in diameter, and weighs 662 pounds in air. Company designers have combined their experience in developing and manufacturing the HUGIN and REMUS UUVs.
Related: Navy asks Hydroid to build large and small unmanned submersibles in $36.3 million contract
MUNIN can carry a subsea sensor payload. Its rigid design integrates the navigation systems and acoustic payload sensors in one mechanical housing.
Its S-44 sensor payload includes a custom version of the EM2040 multibeam echo sounder operating at 200-400 kHz with a 1-by-1-degree beam width with a swath of 120 degrees. It also has an EdgeTech side scan sonar operating at 230/540 kHz and forward-looking sonar with advanced terrain following and collision avoidance.
Related: Navy asks Hydroid to upgrade UUV with WiFi networking and new onboard computer
Also included is an NBOS conductivity and temperature sensor with specifiable sub-bottom profiler and still image cameras. Communication is via Kongsberg Maritime's cNODE acoustic command and data link, Wi-Fi and Iridium.
The Kongsberg Maritime NavP aided inertial navigation system (AINS) with Honeywell HG9900 inertial measurement unit (IMU) have within the navigation system alongside optional cNODE and HiPAP for acoustic positioning.
Related: Navy moves large, long-endurance UUV project forward with machine autonomy contract to Hydroid
"The offshore survey industry has long sought a capable tool that can be operated from smaller vessels," says Geir Schmidt, vice president of UUVs at Kongsberg Maritime.
In Norse mythology, MUNIN (Muninn) and HUGIN (Huginn) are a pair of ravens that fly around the world of Midgard, collecting information for the Norse God Odin.
http://www.militaryaerospace.com
_________________ Le Prophéte (saw) a dit: Les Hommes Les meilleurs sont ceux qui sont les plus utiles aux autres
jf16 General de Division
messages : 41614 Inscrit le : 20/10/2010 Localisation : france Nationalité : Médailles de mérite :
Sujet: Re: drones naval Ven 12 Fév 2016 - 18:49
Shugan188 Modérateur
messages : 5665 Inscrit le : 12/05/2015 Localisation : Maroc Nationalité : Médailles de mérite :
New Navy Fire Scout Drone-Mounted Mine Detector Operational- LCS
Scout Warrior
The Navy's helicopter-like Fire Scout drone can now operate an advanced sensor giving it increased ability to detect and destroy enemy mines and submarines from a Littoral Combat Ship, service officials said.
The new sensor, designed for combat and surveillance missions in littoral waters, is called the Coastal Battlefield Reconnaissance and Analysis, or COBRA. The technology has formally achieved Initial Operational . ..........
Shugan188 Modérateur
messages : 5665 Inscrit le : 12/05/2015 Localisation : Maroc Nationalité : Médailles de mérite :
C'est la meilleure façon pour nous de sécuriser nos côtes rapidement et à moindre coût
Effectivement avec 3500kms de côtes à protéger, et avec le budget de notre marine un choix intelligent, rapide et peux couteux serait de s'intéresser à ce type de drones ! notamment quand on connaît l'importance stratégiques des ports : Tanger, Nador, Safi, Casa, Daklah !
Il faut en mettre un peu partout autour des axes stratégiques à défendre avec un mix de version classiques & ASW pour couvrir l'ensemble des menaces dans la région !
Les Turcs ont bien avancé sur le sujet :
Citation :
La variante ASuW de l’USV armé ULAQ, équipé de missiles à guidage laser L-UMTAS et Cirit Agence Anadolu
ULAQ est le nom de marque de la famille de produits de véhicules de surface sans pilote (USV) développée par ARES Shipyard et Meteksan Defence, qui couvre une variété de types de plates-formes, de capacités et de rôles.
Il a une portée de 400 km, une vitesse de 65 km/h, des capacités de vision jour/nuit, une infrastructure de communication cryptée, qui peut être exploitée à partir de véhicules mobiles, de quartiers généraux de la marine ou de plates-formes maritimes telles que des porte-avions ou des frégates. Ses missions comprennent le renseignement, la surveillance, la reconnaissance, la guerre de surface, la guerre asymétrique, les missions d’escorte, la protection des infrastructures stratégiques.
Le prototype (également une variante ASuW) porte un lanceur pour quatre missiles Cirit à guidage laser et deux missiles antichars à longue portée à guidage laser (L-UMTAS) produits par le fabricant de missiles turc Roketsan.
L’ULAQ a été dévoilé au public pour la première fois en octobre 2020. Après le lancement au début de 2021, le premier USV armé de Turkiye, l’ULAQ, a terminé les essais en mer au premier trimestre de 2021 . Au cours de l’exercice Denizkurdu 2021, qui a eu lieu en mai 2021, l’ULAQ a tiré un missile sur une cible terrestre , atteignant une capacité opérationnelle initiale.
La JV a également travaillé sur d’autres variantes de l’ULAQ USV. La variante de sécurité portuaire, qui est armée d’une station d’armes à distance (RWS) de 12,7 mm, a effectué un test de tir réel en janvier 2022. La JV a présenté des variantes de sécurité portuaire et de guerre anti-sous-marine à l’exposition DIMDEX 2022 .
ULAQ est actuellement en production de masse.
Spécifications principales ULAQ USV Longueur : 11 mètres Vitesse : 35 nœuds Portée : 400 kilomètres Armement : ASuW - 4x missiles Cirit et 2x UMTAS Protection de base/port – 12,7 mm RWS ASW – 2x torpilles légères Station de contrôle : peut être contrôlée à partir de stations terrestres et maritimes
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Shugan188 Modérateur
messages : 5665 Inscrit le : 12/05/2015 Localisation : Maroc Nationalité : Médailles de mérite :
La compagnie Andruil (qui a obtenu de gros contrats avec le gouvernement américain ces dernières années, surtout dans la surveillance des frontières) propose un USV intéressant pour des usages militaires & civils, le Dive-LD.
Citation :
The Dive-LD has a flexible & unique architecture capable of rapid integration of complex payloads or multi-sensor suites. It is ideal for a variety of missions such as undersea battlespace intelligence, surveillance and reconnaissance, mine counter-warfare, anti-submarine warfare, seafloor mapping and more. [...]
Prioritizing payload flexibility, low-logistics, pier launched capability, and long endurance the Dive-LD is tailor made for littoral and deep-water survey and inspections.