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| Économie marocaine | |
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Auteur | Message |
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Invité Invité
| Sujet: Re: Économie marocaine Sam 19 Fév 2011 - 15:48 | |
| Rappel du premier message : - Citation :
- La Chine devient le 3e partenaire commercial du Maroc
2011-02-14 08:28:06 xinhua Malgré les effets de la crise financière mondiale, la coopération maroco-chinoise mutuellement bénéfique s'est élargie, à l'occasion de la visite de travail effectuée, les 13 et 14 février au Maroc, par le ministre chinois du Commerce, M. Chen Deming.
Selon un communiqué du ministère marocain du Commerce extérieur, cette visite de deux jours est l'occasion pour les deux pays de poursuivre les discussions qu'ils ont engagées au cours de leur rencontre à Pékin en octobre 2009, afin de renforcer les échanges commerciaux et le partenariat.
Au cours de cette visite, des conventions vont être signées en vue de promouvoir le commerce et l'investissement entre le Maroc et la Chine, précise la même source.
Les relations commerciales maroco-chinoises sont régies par l'accord commercial et économique du 28 mars 1995. La Chine devient le 3e partenaire commercial du Royaume en 2010, après la France et l'Espagne, avec des échanges de 26,8 milliards de dirhams (MMDH), soit 6% des échanges de marchandises réalisés par le Maroc avec l'étranger, relève le communiqué.
Selon l'Office des changes, les exportations de la Chine vers le Maroc ont enregistré, au cours des cinq dernières années, une progression soutenue, passant de 11MMDH en 2006 à plus de 20 MMDH en 2009. Les exportations de la Chine vers le Maroc comprennent l' électroménager, le textile, les articles de haute technologie, le thé, le café, le fer, le plastique..La Chine importe du Maroc des pièces détachées, des engrais chimiques, des articles de cuivre, des produits aquatiques, l'uranium, des agrumes et des fruits secs.
Aussi, la coopération bilatérale dans les secteurs de la pêche maritime, des télécommunications et des infrastructures connaît-elle une évolution très positive. Les investissements chinois réels au Maroc ont atteint 170 millions de dollars. Aujourd'hui, plusieurs entreprises chinoises oeuvrent à étendre leur présence au Maroc sans oublier les experts agronomes envoyés par Pékin pour la mise en oeuvre du programme de coopération agricole avec le Maroc.
Les deux pays tentent de développer les relations bilatérales dans le domaine de la culture du riz, de l'irrigation, de la mécanisation agricole et du dessalement de l'eau. L'industrie automobile chinoise est très présente au Maroc. Des véhicules chinois y sont introduits: des camions, des camionnettes et des voitures. Cette initiative est appréciée par le consommateur marocain. Le coût est moins élevé et la qualité est assurée. Les articles chinois sont toujours compétitifs car moins chers.
Par ailleurs, le nombre de touristes chinois ayant visité le Maroc en 2009, s'est établi à 4660. Selon l'Office national marocain du Tourisme (ONMT), à l'horizon 2020, le potentiel de touristes chinois, susceptibles d'être approchés par la destination Maroc pourrait se situer entre 2,5 et 3,1 millions.
La Chine est aujourd'hui la 4e destination la plus prisée des touristes étrangers, dont le nombre a augmenté ces dix dernières années, passant de 8 à 48 millions annuellement.
http://french.cri.cn/621/2011/02/14/301s238152.htm |
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Auteur | Message |
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docleo Modérateur
messages : 2433 Inscrit le : 03/09/2008 Localisation : de garde Nationalité : Médailles de mérite :
| Sujet: Re: Économie marocaine Mer 22 Juin 2011 - 12:44 | |
| - Citation :
- Agriculture
Maroc : Des agriculteurs réussissent à atteindre des rendements de 70 q/h grâce à l’agrégation
180 céréaliculteurs regroupés dans le groupement Tanmia Filahia sur une superficie de 3 800 hectares. Tanmia Filahia, un groupement d’intérêt économique créé par Charaf-Fertima et les Moulins du Maghreb. La récolte prévisionnelle est estimée à au moins 170 000 quintaux contre 60 000 l’année passée.
L’expérience de l’agrégation, enclenchée depuis la précédente campagne, commence à donner des résultats palpables. Et cela ne concerne pas seulement de grandes institutions comme l’Office de commercialisation et d’exportation (OCE) ou l’Agence de développement agricole (ADA) qui accompagne le mouvement. Des particuliers y ont trouvé leur compte tout comme les agriculteurs qu’ils ont recrutés pour participer à leurs projets devenus réalité.
Parmi les privés qui ont réussi à faire converger leurs intérêts avec ceux des exploitants agricoles, il y a Les moulins du Maghreb et Charaf Fertima. Le groupement d’intérêt économique (GIE) qu’ils ont créé et baptisé Tanmia Filahia dans la région de Berrechid fête aujourd’hui sa deuxième campagne agricole. L’année dernière déjà, ce sont 2 700 h, réunissant 102 agrégés, qui ont été cultivés. Le GIE finançant la campagne et garantissant l’achat du produit de la campagne. La campagne passée, avec un rendement moyen de 35 q/h, ce sont 60 000 q qui ont atterri dans les silos des moulins. Cette année, l’expérience est passée à la vitesse supérieure puisque le nombre d’agrégés est passé à 180 exploitants agricoles pour une superficie de 3 800 h et une récolte estimée à au moins 170 000 q, sans compter le blé dont la qualité a été détériorée par la pluie et la grêle. Le rendement moyen atteint 50 q/h et dépasse même 70 q/h dans certaines exploitations.
Le coût de revient a augmenté mais le rendement améliore le profit
Les agriculteurs ne tarissent pas d’éloges sur la manière dont s’est déroulée la campagne. Même si certains d’entre eux, un peu moins de 30%, ont financé eux-mêmes leur campagne par des crédits contractés auprès du Crédit Agricole, ils estiment y avoir gagné. Saïd Beggar, agriculteur à Berrechid, a réussi un des meilleurs rendements. La campagne passée, il ne s’est engagé dans l’opération que sur 30 h, mais est vite passé à 50. C’est le GIE qui l’a accompagné à tous les niveaux, de la préparation de la terre au suivi de l’itinéraire technique, en passant par l’achat de la semence certifiée et des engrais. Bien entendu, il a vite fait ses calculs et ne le cache pas : «Lorsque je travaillais en comptant sur mes maigres moyens, l’hectare me revenait à 2 500 DH. Aujourd’hui, le coût de revient est passé entre 3 500 et 4 000 DH. Mais je me retrouve au niveau du rendement et de la qualité de ma récolte».
Bentangi Mohamed, également de Berrechid, participe pour la première fois à l’expérience, avec 25 h. Il a, bien évidemment, fait le même constat mais, pour lui, il se retrouve aussi sur deux niveaux qu’il juge convaincants. «Avec l’accompagnement des techniciens du GIE, dit-il non seulement j’ai appris à mieux travailler mais, au cours de leurs visites, chaque évolution est observée et on peut rattraper les erreurs, les corriger et doser les solutions, à tout moment. Sur le plan de la commercialisation, je vend ma récolte cette année entre 260 DH et 280 DH le quintal, selon la qualité. L’année dernière, j’ai cédé ma moisson à des intermédiaires à 230 DH». Le compte est vite fait.
D’autres agriculteurs rencontrés aux Moulins de Berrechid alors qu’ils livraient leur blé se félicitent d’avoir pris le train en marche. C’est le cas de Hadj Ahmed Idrissi, lui aussi agriculteur à Berrechid. Lui est satisfait du délai de paiement qui, à l’entendre, ne dépasse pas une semaine, après avoir fait peser sa récolte. «Même si je n’ai pas mis un centime dans l’opération, en juin je dois régler certaines dettes ou l’aliment du bétail et je suis bien content de recevoir mon argent pour affronter les dépenses courantes de ma famille», explique-t-il.
La grêle et la pluie ont détérioré la qualité dans certains périmètres
Ceci dit, les agriculteurs qui sont contents des dernières campagnes pluvieuses ont souffert des récentes et inhabituelles perturbations climatiques de fin mai et début juin. La pluie et la grêle ont fait quelques dégâts dans les champs. Il y a d’abord des pertes mais surtout les débuts de germination qui rendent le blé impropre à la consommation humaine -ce qui a fait baisser la récolte potentielle. Le ministère de l’agriculture a d’ailleurs instauré, pour cette campagne, des analyses, pour déterminer le degré de germination. Reda Labazi, directeur général des Moulins de Berrechid, explique : «Nous avons du mal à expliquer à certains agriculteurs que la germination ne se voit pas toujours à l’œil nu. Cela leur fait des pertes mais nous n’y pouvons rien». Un autre problème suscite la réaction du directeur des moulins : l’impossibilité de commencer à emmagasiner le blé avant le début de juin car plus la moisson accuse un retard dans la moisson et les conditions de stockage aléatoires, plus la déperdition de la qualité se fait sentir.
Quoi qu’il en soit, le GIE se félicite des résultats de l’opération «agrégation». Même si quelques agriculteurs n’ont pas totalement joué le jeu. Deux d’entre eux ont bien bénéficié du financement mais sont allés vendre leur récolte ailleurs. Mais, explique Chakib Laâlaj, «d’abord, ils ont compris que ce jeu-là n’est pas dans leur intérêt et ont promis de rentrer dans les rangs. Ensuite, dans toute entreprise, surtout à ses débuts, il y a toujours des brebis galeuses et cela, loin de nous décourager, nous incite à aller de l’avant».
Mohamed El Maâroufi. La Vie éco www.lavieeco.com
2011-06-21 | |
| | | docleo Modérateur
messages : 2433 Inscrit le : 03/09/2008 Localisation : de garde Nationalité : Médailles de mérite :
| Sujet: Re: Économie marocaine Mer 22 Juin 2011 - 19:07 | |
| - Citation :
- CHARTE DE L’INVESTISSEMENT: LE DÉTAIL DU PROJET
RÉGIME CONVENTIONNEL À PARTIR DE 150 MILLIONS DE DH LA PARTICIPATION DE L’ETAT PORTÉE À 10% DU PROJET TRAITEMENT À LA CARTE POUR LES PROGRAMMES DE PLUS DE 2 MILLIARDS DE DH
La future Charte de l’investissement propose un réaménagement du régime conventionnel en trois étages. A côté du régime spécifique, un régime conventionnel transversal et un régime d’investissement de grande envergure sont prévus Trois régimes dérogatoires et un régime de droit commun. C’est le nouveau canevas autour duquel tournera la future Charte de l’investissement. Selon nos informations, le dispositif propose un réaménagement du régime conventionnel mis en place par la Charte de 1995 en trois étages: un régime spécifique qui devrait appuyer les stratégies de développement, un régime d’investissement de grande envergure (IGE) qui s’adresse aux programmes dont le montant dépasse 2 milliards de dirhams et un régime conventionnel transversal. Ce dernier sera dédié aux investissements d’un montant supérieur ou égal à 150 millions de dirhams ou de 100 millions de dirhams quand l’apport est effectué en devises. Le seuil pour transiter par le régime conventionnel sera donc revu à la baisse. Aujourd’hui, il est de 200 millions de dirhams. L’accès aux incitations prévues par le régime conventionnel transversal sera également conditionné par la création de plus de 250 emplois stables, un statut de pionnier, l’importance de la technologie dont l’investisseur assurera le transfert, la recherche et développement ainsi que la protection de l’environnement. Une fois ces conditions remplies, l’investisseur aura droit à une panoplie d’avantages. Il est ainsi prévu de porter la participation de l’Etat à 10% du montant global de l’investissement contre 5% actuellement. Un plafond de cette participation devrait être fixé par le ministère des Finances.
Pour les terrains, l’Etat prendrait en charge 30% du coût contre 20% actuellement. Dans les infrastructures externes, sa contribution serait portée à un maximum de 10% du montant global de l’investissement. Actuellement, elle ne dépasse pas 5%.
Le projet introduit deux nouveaux avantages: la participation de l’Etat dans la limite de 30% dans les coûts de construction et de 10% dans le matériel et l’équipement. Côté formation aucun changement n’est prévu. Le système en vigueur est maintenu, soit une prise en charge qui ne dépasserait pas 20% du coût. Dans son nouveau schéma, la future charte aménage un régime spécial destiné aux investissements de grande envergure. Ce qui permettra de formaliser les négociations ad hoc comme celles menées par le gouvernement dans le cas de Renault à Tanger. Un traitement personnalisé sera donc réservé à l’investisseur qui aura droit à des avantages via la participation de l’Etat dans l’acquisition de terrains, la réalisation des infrastructures hors site, les constructions, le matériel et les équipements. S’y ajoutent des incitations pour la formation et le financement. Pour profiter de ce système, le montant de l’investissement devrait dépasser 2 milliards de dirhams. Ce niveau est ramené à plus de 1 milliard si l’investissement est effectué en devises. Là aussi, l’investisseur sera tenu de créer de l’emploi, soit plus de 1.250 postes stables.
La future charte comportera aussi un régime spécifique dont l’objectif est d’appuyer les stratégies de développement sectoriel et régional. Là, chaque département, dont le Tourisme, l’Industrie et l’Energie, dispose de la possibilité d’élaborer un cadre incitatif formalisé par décret d’application. Les avantages qui y seront prévus ne peuvent être cumulables avec les incitations du régime conventionnel transversal.
Des aides seront également accordées aux secteurs support, en particulier l’infrastructure, dédiées à l’investissement, la formation professionnelle et supérieure et le financement (fonds d’investissement).
Présenté aux différents départements ministériels, le projet de Charte de l’investissement devra bientôt franchir l’étape de validation par le ministère des Finances. Il sera par la suite introduit dans le circuit législatif d’ici fin juillet. Du moins selon le calendrier établi par l’AMDI.
Pour l’heure, des opérateurs jugent le projet «assez clair» par rapport au texte actuel. Pour autant, certaines remarques sont relevées telles que l’absence de nouvelles mesures d’encouragement en faveur de l’export. «Il faut aussi penser aux investisseurs qui sont déjà implantés et qui ont des projets d’extension de leur activité par exemple», soutient Enrique Egea Paradel, président de la commission Investissement à la CGEM et également vice-président de la Chambre de commerce espagnole.
Certains opérateurs estiment que les avantages proposés ne sont pas assez «importants». «Le Maroc aurait pu s’inspirer de ce qui se fait par les pays les plus agressifs», estime un industriel. L’AMDI qui a réalisé un benchmark avec des pays comme la Tunisie, l’Egypte ou encore la Turquie, a également rappelé dans ses propositions que le droit commun fixe un cadre global favorisant le climat des affaires pour tous les projets. Khadija MASMOUDI l'économiste | |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Économie marocaine Mar 28 Juin 2011 - 14:04 | |
| - Citation :
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MAROC/AFRIQUE: Selon M.Maazouz(ministre du commerce exterieur) "le montant global investi par le Maroc en Afrique ces (trois dernieres années) s éleve a DEUX MILLIARDS et trois- cents millions de $ (2,3 MM$) dont 1,7MM$ pour le secteur privé et 592 M $ par des institutions étatiques. MAROC/RME :Chasseurs de "tetes" cherchent MRE. 10% des MRE ont poursuivi des études avancées et occupent des postes dans dans de grandes entreprises etrangéres. On se souvient des pérégrinations de Driss Guerraoui et Feu Meziane Belfquih (conseillers de Feu Hassan 2),prospection qui nous a valu entre autres autres Mustapha TERRAB,Amina BENKHADRA,Mourad CHERIF,Saad BENDIDI,BAKKOURI, Abdeslam AHIZOUNE,AKHANNOUCHE, AKHCHICHINE ...... Mais c est au debut des années 2000 que les organismes publiques et le secteur privé ont pris conscience de l importance du retour des compétences marocaines etablies a l étranger pour participer aux chantiers de developpement engagés res- olument par le pays. A l etranger il existe un vivier de quelque CENT MILLES marocains qui peuvent piloter des structures marocaines quelle que soit leur dimension.Mieux ils peuvent aporter un regard neuf et une grande technicité qui fera gagner quelques an- nées au planning de réalisation.Cela sans parler de l apport en terme de networking et ouverture surde nouveaux marchés. LES PROFILS RECHERCHES: Actuellement les profils recherchés par les structures marocaines sont généralement des dirigeants et cadres supérieurs; souvent ils sont recrutés pour des fonctions techniques dans le secteur de la banque d investissement et de financement les activités de marché,le private equity,les industriesde la mode et de luxe,le secteur de l infrastructure,de l immobilier ou de l énergie. Les entreprises proposent aussi des postes opérationnelsou fonctionnels pour assurer la reléve. Noter enfin que les cadres a haut potentiel rentré au pays n est pas suffisant au regard des besoins de notre pays surtout avec la regionnalisation prochaine..... REF "LES ECHOS" (quotidien marocain)du 28/06/11) Edit Fahed64: Avec des citations c'est encore mieux |
| | | lida Colonel-Major
messages : 2195 Inscrit le : 01/11/2008 Localisation : maroc Nationalité : Médailles de mérite :
| Sujet: Re: Économie marocaine Mar 28 Juin 2011 - 19:25 | |
| - Citation :
- Le Maroc sauve le textile espagnol
Les productions de textile espagnoles dont notamment des marques très connues comme Adolfo Dominguez et STL ont décidé de se détourner de la Chine et de produire au Maroc. La raison de ce changement et toute simple. La hausse des coûts de production et de transport a poussé les grands groupes à se détourner de l’empire du milieu qui a perdu en compétitivité. Ainsi, ces derniers mois, plusieurs délégations espagnoles se sont rendues en prospection à Tanger, Fès, Rabat et Casablanca pour chercher des producteurs. D’après un homme d’affaires marocain, la main d’œuvre au Maroc reste bon marché et la proximité géographique a un impact sur les coûts de transport des marchandises. Le différentiel entre la production en Chine et au Maroc était il y a deux ans de 45 %, alors qu’aujourd’hui, il atteint à peine 15 %. En outre, les usines chinoises, en raison d’une forte croissance de la consommation interne, ont cessé d’accepter les commandes de petites tailles. Rappelons qu’il y a quelques années, le groupe galicien Inditex s’était déjà adressé aux industriels marocains afin d’assurer la production de ses marques Zara.
http://www.maghreb-intelligence.com/economie/1398-le-maroc-sauve-le-textile-espagnol.html | |
| | | ready Capitaine
messages : 945 Inscrit le : 21/07/2010 Localisation : loin !! Nationalité : Médailles de mérite :
| Sujet: Re: Économie marocaine Mar 28 Juin 2011 - 23:04 | |
| - lida a écrit:
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- Citation :
- Le Maroc sauve le textile espagnol
Les productions de textile espagnoles dont notamment des marques très connues comme Adolfo Dominguez et STL ont décidé de se détourner de la Chine et de produire au Maroc. La raison de ce changement et toute simple. La hausse des coûts de production et de transport a poussé les grands groupes à se détourner de l’empire du milieu qui a perdu en compétitivité. Ainsi, ces derniers mois, plusieurs délégations espagnoles se sont rendues en prospection à Tanger, Fès, Rabat et Casablanca pour chercher des producteurs. D’après un homme d’affaires marocain, la main d’œuvre au Maroc reste bon marché et la proximité géographique a un impact sur les coûts de transport des marchandises. Le différentiel entre la production en Chine et au Maroc était il y a deux ans de 45 %, alors qu’aujourd’hui, il atteint à peine 15 %. En outre, les usines chinoises, en raison d’une forte croissance de la consommation interne, ont cessé d’accepter les commandes de petites tailles. Rappelons qu’il y a quelques années, le groupe galicien Inditex s’était déjà adressé aux industriels marocains afin d’assurer la production de ses marques Zara.
http://www.maghreb-intelligence.com/economie/1398-le-maroc-sauve-le-textile-espagnol.html sa c tout bon !! | |
| | | Samyadams Administrateur
messages : 7134 Inscrit le : 14/08/2008 Localisation : Rabat Maroc Nationalité : Médailles de mérite :
| Sujet: Re: Économie marocaine Mer 29 Juin 2011 - 3:01 | |
| [quote="AMEDEUS"] - Citation :
- MAROC/RME :Chasseurs de "tetes" cherchent MRE.
L'auteur de l'article a dû oublier que le Maroc a raté, il y a quelques années, son projet "Tokten", qui aurait pu stimuler recherche scientifique et croissance économique. Le pouvoir envoie ses "chasseurs de têtes" lui ramener des profils conformes à ses moeurs politiques, des gens qui ne risquent pas de dénoncer ses combines d'enrichissement illicite, auxquels certains d'entre eux ont pris activement part. A l'exception notable de Terrab, ils se sont tous "servis" bien plus qu'ils n'ont servis. Le cas de Mourad Chérif, récemment décoré en Grande Bretagne, est emblématique à ce sujet. Personne n'a oublié quand il s'est octroyé une généreuse prime de licenciement, après que Feu Hassan II l'ait chassé de la tête de ce groupe. Mais s'il lui a été refusé de continuer de sévir au sein de la holding, il lui a été permis de le faire à la tête de l'OCP... Mais il est vrai que l'OCP est un groupe publique. Ce n'est que l'argent du peuple... [quote="lida"] - Citation :
- Le Maroc sauve le textile espagnol
Quand Mézouar était le président de l'association des textiliens marocains, l'AMITH, il avait commandité une étude dont les résultats prédisaient déjà les effets le raz de marée chinois sur le secteur et recommandaient aux opérateurs de développer une filière intégrée, en amont par la production des tissus, et en aval, par la promotion de marques marocaines, outre la diversification de la production, le textile, ce n'est pas seulement l'habillement. Cette étude avait également préconisé la célérité dans la réalisation des commandes, la volatilité de l'effet de mode favorisant les producteurs à proximité du marché européen capable d'exploiter cet avantage compétitif à bon escient. Les prix du transport maritime avait baissé à l'époque du fait de la construction de très gros navires porte-conteneurs, prix qui sont redevenus chers à cause du renchérissement du prix du pétrole. Mais il vaut mieux, à mon avis, ne pas tabler sur cette perte passagère de compétitivité des producteurs chinois et appliquer les recommandations de l'étude précitée. _________________ | |
| | | Fremo Administrateur
messages : 24818 Inscrit le : 14/02/2009 Localisation : 7Seas Nationalité : Médailles de mérite :
| Sujet: Re: Économie marocaine Jeu 30 Juin 2011 - 14:10 | |
| - Citation :
Les investissements extérieurs réalisés au Maroc de janvier à octobre 2010 dépassent 20 milliards de dh (ministre)
Rabat, 30/06/11- Le volume des investissements extérieurs engagés au Maroc durant la période allant de janvier à octobre 2010 a totalisé 20,2 milliards de dh, contre 17,5 milliards durant la même période de 2009, soit une hausse de 15,6 pc, a indiqué mercredi le ministre de l'Industrie, du commerce et des nouvelles technologies, M. Ahmed Réda Chami.
Répondant à une question orale à la Chambre des représentants sur le recul des investissements extérieurs au Maroc, M. Chami a précisé que la baisse de 52 pc de ces investissements enregistrée durant les premiers mois de 2010 par rapport à la même période de 2009, est due à deux "opérations exceptionnelles".
La première concerne la prise de participation de la société koweitienne "Zine" dans le capital du groupe ONA, et la seconde opération a trait à la prise de participation du Groupe Crédit Mutuel dans le capital de BMCE-Bank.
Le montant de chacune de ces deux opérations s'élève à 2,5 milliards de dh.
Abordant la question des zones franches à valeur ajoutée, le ministre a expliqué, dans sa réponse lue en son nom par M. Khalid Naciri, ministre de la Communication, porte parole du gouvernement, que la Zone Franche de Tanger, à titre d'exemple, réalise des investissements de 500 à 600 millions d'euros, outre la création d'environ 50 mille emplois stables.
Selon le magazine britannique Foreign Direct Investment, la Zone Franche de Tanger a été classée au huitième rang à l'échelle mondiale pour l'année 2010, deuxième dans la catégorie "Meilleurs ports", troisième dans la catégorie "Meilleurs aéroports" et huitième dans la catégorie "Meilleures installations".
Concernant les mesures prises pour renforcer la compétitivité du Maroc, M. Chami a rappelé les différentes stratégies sectorielles lancées par SM le Roi Mohammed VI, tels le Plan Maroc vert, le Plan Maroc Bleu, le Plan Azur, la stratégie énergétique du Maroc et le Plan national de décollage industriel. MAP _________________ | |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Économie marocaine Sam 2 Juil 2011 - 20:57 | |
| - Citation :
- L'activité économique réalise un taux de croissance du PIB en volume de 4,9 pc lors du 1er trimestre 2011
Rabat, 01/07/11- L'activité économique nationale a réalisé un taux de croissance du PIB en volume de 4,9 pc lors du premier trimestre 2011, alors que l'inflation mesurée par le prix implicite du PIB a enregistré une légère hausse de 1,1 pc, indique le Haut Commissariat au Plan (HCP).
Selon une note d'information du HCP sur les comptes nationaux au premier trimestre 2011 par rapport au premier trimestre 2010, l'activité économique nationale a réalisé un taux de croissance du PIB en volume de 4,9 pc après celui de 5,4 pc enregistré dans la même période de 2010.
A prix courants, le PIB s'est accru de 6 pc générant une légère hausse de 1,1 pc de l'inflation mesurée par le prix implicite du PIB, ajoute la même source, précisant que la valeur ajoutée du secteur agricole s'est accrue de 3,7 pc au lieu de 0,6 pc et le PIB du secteur non agricole de 5,1 pc au lieu de 6,1 pc.
Dans le secteur non agricole, parmi les activités qui ont connu une accélération de leur croissance figurent les industries de transformation avec 2,7 pc au lieu de 1,8 pc, le commerce avec 3,8 pc au lieu de 2,8 pc, les services des postes et télécommunications qui sont en nette reprise avec 7,7 pc au lieu de 2,1 pc et les services financiers et assurances avec 4,3 pc au lieu de 1,2 pc.
Parmi les activités du même secteur qui, en revanche, ont connu une décélération relative de leur croissance figurent en particulier le bâtiment et travaux publics avec 2,5 pc au lieu de 5,9 pc, les transports avec 5,5 pc au lieu de 11,7 pc, l'électricité et eau avec 2,3 pc au lieu de 5,1 pc et les activités minières avec 13,7 pc au lieu de 74,7 pc.
Au plan des principaux emplois du PIB, les dépenses de Consommation finale des ménages se sont accrues de 6,3 pc au lieu de 1,3 pc et celles des Administrations publiques de 2,1 pc au lieu de 0,5 pc.
La formation brute de capital fixe a augmenté de 3,8 pc au lieu de 2,3 pc, alors que les exportations de biens et services en volume enregistrent une amélioration de 11,1 pc au lieu de 19,8 pc et les importations une augmentation de 9,8 pc au lieu de 6,2 pc.
MAP |
| | | Yakuza Administrateur
messages : 21656 Inscrit le : 15/09/2009 Localisation : 511 Nationalité : Médailles de mérite :
| Sujet: Re: Économie marocaine Mar 5 Juil 2011 - 22:41 | |
| - Citation :
- Télécoms
Des téléphones portables made in Morocco fabriqués à Bouskoura
Ils seront assemblés à partir de composants importés d'Asie, notamment de Hong-Kong. 1,5 million de téléphones à produire pour un marché marocain où se vendent 15 à 20 millions d'unités par an. Ils coûteront entre 160 et 240 DH l'unité et seront équipés d'une caméra et de bluetooth et permettront la navigation internet.
Une usine de fabrication de téléphones portables au Maroc ! La première du genre. La Vie éco a appris de sources bien informées que la société Data Plus a décidé de se lancer dans ce projet qui n’est pas dénué d’intérêt, même si son management, contacté par nos soins, n’a pas souhaité commenter cette information. En attendant, l’on connaît déjà les premiers contours de ce projet ambitieux. Détail important : l’usine fera de l’assemblage à partir de composants importés et elle sera implantée au sein du parc industriel de la Chambre française de commerce à Bouskoura. L’infrastructure qui sera développée est une construction sur 6 niveaux occupant un terrain d’une superficie de 1 300 m2. La chaîne, qui nécessitera un investissement initial de 4 MDH, assemblera en fait des téléphones à partir de composants importés de pays asiatiques et principalement de Hong-Kong. Pour la première année d’activité, les promoteurs du projet tablent sur une production de 1,5 million de téléphones portables, sachant que chaque année ce sont entre 15 et 20 millions de téléphones qui sont écoulés sur le marché marocain. Si le nom sous lequel seront commercialisés ces portables made in Morocco n’est pas encore connu pour l’instant, l’on sait en revanche que le premier constructeur local de téléphones mobiles a choisi de se positionner sur l’entrée de gamme avec des téléphones qui seront vendus entre 160 et 240 DH l’unité, sans abonnement. Pour autant, le téléphone ne sera pas pauvre en équipements avec notamment un écran couleur, une caméra, un dispositif bluetooth. Il permettra de naviguer sur internet et sera doté de la 3G. Il reste à savoir par quel circuit seront vendus les téléphones et chez quel opérateur, puisque la loi ne permet pas au fabricant d’écouler directement ses produits sur le marché. Pour l’instant, aucune information n’est disponible à ce sujet si ce n’est que des pourparlers ont été ouverts avec les trois opérateurs de télécoms. Selon nos sources, les détails concernant le réseau de distribution feront l’objet de négociations prévues au mois d’octobre et novembre, le temps pour le management de Data Plus de finaliser le volet technique et de sécuriser l’approvisionnement. Pour ce qui est du démarrage effectif de l’unité, il est programmé avant la fin 2012, sachant que les travaux de construction de l’usine et son équipement, qui sera conforme aux standards internationaux, seront lancés au plus tard début 2012.
Des caméras pour portables fabriqués à Rabat
Le projet de Data Plus sera certes le premier en son genre, mais une partie de la technologie est déjà expérimentée au Maroc. L’on sait par exemple que la société Nemotek Technologies, filiale de la CDG, fabrique dans son usine de 12 000 m2 située au Technopolis Rabat des caméras pour téléphones portables, et ce, depuis 2008. La capacité de production de ce site est de 100 millions de caméras par an. De même, il y a quelques années, Maroc Télécoms et Méditel avaient tenté tous les deux une expérience de téléphones portant leurs propres marques mais importés. Avec un marché marocain où les grandes marques sont toutes présentes et en force, d’aucuns se posent la question sur les chances qu’aurait une marque locale de percer ? Pour les analystes du secteur des nouvelles technologies au Maroc, rien n’est impossible et un marché similaire, celui des ordinateurs, est un bon exemple. Quand, il y a quelques années, un constructeur local, en l’occurrence DBM, décidait de lancer sur le marché des ordinateurs de marque Accent assemblés dans l’usine de Mohammédia, personne n’y croyait. Pourtant, 12 ans plus tard, et malgré la présence de géants comme HP et Dell, Accent écoule pas moins de 20 000 ordinateurs par an et se positionne désormais comme une marque leader. Tout comme Accent, il y a quelques années, le téléphone portable made in Morocco arrive à un moment où le marché continue de croître, même si ce n’est pas au rythme effréné des débuts. De fait, la maturité du marché elle-même en fait un bon gisement pour les ventes de mobiles. A fin mars dernier on comptait 33,37 millions de clients du réseau mobile et le taux de pénétration était de 105%. Si le marché compte entre 15 et 20 millions d’appareils vendus par an c’est que les Marocains et particulièrement les jeunes sont friands de nouveautés en appareils téléphoniques et pas seulement… Ils communiquent de plus en plus. Les Marocains ont parlé durant 6,4 milliards de minutes (appels sortants) sur leur portable entre janvier et avril 2011 contre 3,4 milliards de minutes à la même période en 2010, soit une hausse de près de 88%. Entre 2006 et 2010, le trafic annuel est passé de 5,8 à 13,9 milliards de minutes. Et ce n’est pas tout car il ne faut pas également oublier l’export. Le téléphone assemblé au Maroc peut parfaitement percer sur des marchés africains encore en pleine croissance.
Podium : Un portable sur 4 vendu dans le monde signé Nokia
Un marché mondial dominé par Nokia et Samsung. Sur 428 millions de téléphones portables vendus dans le monde durant le premier trimestre 2011, le premier en a vendu 107 millions (25% de parts de marché) et le second 69 millions. Loin derrière, suivent LG avec 24 millions d’unités et Apple (avec ses Iphone) qui en a vendu 17 millions.
M.C. La Vie éco www.lavieeco.com
2011-07-05 _________________ | |
| | | Nano Colonel
messages : 1650 Inscrit le : 18/05/2009 Localisation : Brest - Rabat Nationalité : Médailles de mérite :
| Sujet: Re: Économie marocaine Mer 6 Juil 2011 - 10:57 | |
| - Citation :
- Conjoncture
Les prévisions de croissance pour 2011 revues à la hausse
Le taux de croissance sera proche de 5% au lieu des 4,5% prévus en début d'année. Agriculture, industrie, mines, BTP et télécoms affichent tous de bonnes progressions. La consommation des ménages dopée par les effets du dialogue social. http://www.lavieeco.com/news/economie/les-previsions-de-croissance-pour-2011-revues-a-la-hausse-19904.html | |
| | | Yakuza Administrateur
messages : 21656 Inscrit le : 15/09/2009 Localisation : 511 Nationalité : Médailles de mérite :
| Sujet: Re: Économie marocaine Mer 6 Juil 2011 - 11:59 | |
| avec tout le "printemps" et le tourisme boitant,pourquoi j´y crois pas.. _________________ | |
| | | leadlord Colonel-Major
messages : 2787 Inscrit le : 11/07/2010 Localisation : montreal Nationalité : Médailles de mérite :
| Sujet: Re: Économie marocaine Mer 6 Juil 2011 - 13:36 | |
| - Yakuza a écrit:
- avec tout le "printemps" et le tourisme boitant,pourquoi j´y crois pas..
oui mais avec la hausse de salaire sa crée de la croissance rapide . _________________ Pro rege, saepe, pro patria semper اقسم بالله العظيم ان اكون مخلصا لله و لملكي و ان اتفانى في خدمة وطني و دفع كل خطر يهدده و ان انفد اوامرقائدي الاعلى صاحب الجلالة | |
| | | marques General de Brigade
messages : 3969 Inscrit le : 05/11/2007 Nationalité : Médailles de mérite :
| Sujet: Re: Économie marocaine Mer 6 Juil 2011 - 13:38 | |
| - Yakuza a écrit:
- avec tout le "printemps" et le tourisme boitant,pourquoi j´y crois pas..
khouya Yakuza une bonne récolte comme celle de 2011 , très supérieure à celle de 2010, a un impact économique 10 fois plus important que le tourisme .. ne jamais oublier que le tourisme ne pèse que 6% du PIB Marocain .. , alors que l'agriculture pèse plus de 30% ... il vaut mieux pour le Maroc des bonnes années de pluie , que des touristes | |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Économie marocaine Jeu 7 Juil 2011 - 13:56 | |
| - Citation :
- Tanger Med: Hausse de 82 PC du trafic global par rapport au premier semestre 2010
Rabat, 07/07/11- Le port Tanger Med a traité au titre du 1er semestre 2011 un trafic global de 16,3 millions de tonnes, soit une progression de 82 PC par rapport à la même période de l'année précédente.
Selon l'autorité portuaire de Tanger Med, cette hausse s'explique par deux principaux facteurs: la poursuite de la dynamique de croissance des terminaux à conteneurs du port Tanger Med et le transfert de l'activité roulier et fret du port Tanger Ville vers Tanger Med, initié en mai 2010.
Le trafic de conteneurs s'est, lui, établi à 1.246.321 EVP (Equivalent Vingt Pieds) au titre du premier semestre 2011, marquant une progression de 43 pc par rapport à la même période de l'année précédente, indique un communiqué de l'autorité portuaire.
Ce trafic est porté essentiellement par trois routes maritimes majeures à savoir, les lignes Asie-Europe, celles reliant l'Europe du Nord à l'Amérique du Sud et celles en provenance et à destination des ports d'Afrique Atlantique. A ce titre, la même source explique que le trafic du port avec cette partie de l'Afrique a connu une progression de près de 50 pc, tirant sa force des bons indicateurs macro-économiques relevés depuis quelques années sur cette région.
A la fin du premier semestre, le port Tanger Med était ainsi relié à 125 ports.
Au cours du premier semestre, le trafic domestique de conteneurs a été multiplié par trois et a concerné 60.983 EVP en transbordement sur le port de Casablanca et 30.713 EVP en import/export traités au port Tanger Med.
S'agissant de l'activité passagers, elle a connu un rythme soutenu compte tenu du transfert de la totalité du trafic international routier (TIR) au port Tanger Med Passagers en mai 2010.
Au cours de la première moitié de l'année en cours, 95.764 unités TIR ont transité par Tanger Med, soit une multiplication par trois du trafic TIR par rapport au premier semestre 2010.
Le trafic import/export de TIR sur le détroit a connu une progression soutenue de 12pc, une performance probablement stimulée par l'amélioration de l'infrastructure (ouverture de l'autoroute Marrakech-Agadir - ouverture du port Tanger Med Passagers).
Ainsi, 590.390 passagers ont transité au port Tanger Med Passagers au 30 juin 2011, dont 153.818 depuis le démarrage de la campagne Transit le 5 juin 2011.
Enfin, ajoute-t-on, conséquence directe de la continuité de progression et de consolidation des activités du port Tanger Med, le chiffre d'affaires de l'Autorité portuaire de Tanger Med est estimé à près de 493 millions de dirhams au 30 juin 2011, soit une progression de 96 pc par rapport à la même période de 2010.
MAP |
| | | Yakuza Administrateur
messages : 21656 Inscrit le : 15/09/2009 Localisation : 511 Nationalité : Médailles de mérite :
| Sujet: Re: Économie marocaine Jeu 7 Juil 2011 - 18:46 | |
| esperons comme ca on profitera tous de la "revolution du jasmin" - Citation :
- Tunisie : Yazaki menace de transférer ses activités au Maroc
L'activité économique dans le gouvernorat de Gafsa a connu des perturbations ces derniers jours en raison des sit-in organisés constatés dans différentes structures de production et de services publics.
Le groupe japonais Yazaki, spécialisé dans la fabrication de faisceaux de câbles, est parmi les sociétés qui menacent de fermer leurs usines à cause de ces revendications. L’entreprise compte transférer ses activités au Maroc si les risques s’accumuleront dans la région. Yazaki dispose de 5 usines : 3 implantés à Gafsa, une unité à Om Laarayes et une autre à Metlaoui. Environ 2200 employés travaillant dans ces ateliers. MM. Abdelaziz Rassaa et Abderazzak Zouari, ministres de l’industrie et de l’énergie et du développement régional, ont rencontré mercredi 6 juillet 2011 MM. Zafer Uran Zaman, directeur général du groupe et Philippe Sclinger, directeur général de la société Yazaki Tunisie. La réunion a pour objectif de trouver une solution à cette problématique délicate. M. Lazhar Akremi, secrétaire d’Etat chargé des réformes auprès du ministre de l’intérieur, a effectué une visite de travail à la région de Gafsa. Il a mené des négociations avec les habitants de plusieurs gouvernorats de la zone. Le but est de mettre fin aux sit-in et à la « fragilité sécuritaire » dans la région. Le secrétaire d’Etat a proposé également, de constituer des comités et des groupes de sages. Le but est d'identifier des solutions au problème du chômage dans la région et de les soumettre aux autorités publiques. http://www.investir-en-tunisie.net/index.php?option=com_content&view=article&id=10686 _________________ | |
| | | juba2 General de Division
messages : 6954 Inscrit le : 02/04/2008 Localisation : USA Nationalité : Médailles de mérite :
| Sujet: Re: Économie marocaine Jeu 7 Juil 2011 - 20:57 | |
| comme on dit ici "what's bad for you becomes good for me". | |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Économie marocaine Jeu 7 Juil 2011 - 21:04 | |
| - leadlord a écrit:
- Yakuza a écrit:
- avec tout le "printemps" et le tourisme boitant,pourquoi j´y crois pas..
oui mais avec la hausse de salaire sa crée de la croissance rapide . Peut être, mais cela créer l'inflation et le déficit commercial du pays peut encore se creusé. Au contraire, faut savoir baisser les salaires tout en s'assurant que le pouvoir d'achat ne diminue pas (désinflation voir même déflation). Cela créera une plus grande compétitivité. La production doit se tournée vers l'exportation. |
| | | leadlord Colonel-Major
messages : 2787 Inscrit le : 11/07/2010 Localisation : montreal Nationalité : Médailles de mérite :
| Sujet: Re: Économie marocaine Ven 8 Juil 2011 - 0:31 | |
| - Baybars a écrit:
- leadlord a écrit:
- Yakuza a écrit:
- avec tout le "printemps" et le tourisme boitant,pourquoi j´y crois pas..
oui mais avec la hausse de salaire sa crée de la croissance rapide . Peut être, mais cela créer l'inflation et le déficit commercial du pays peut encore se creusé. Au contraire, faut savoir baisser les salaires tout en s'assurant que le pouvoir d'achat ne diminue pas (désinflation voir même déflation). Cela créera une plus grande compétitivité.
La production doit se tournée vers l'exportation. je sais j'avait proposé baisse des impots au lieux de hausse des salaires , mais bon l'infalation au maroc reste a 1,3% c'est tres bas . tant que sa dépasse pas les 3% sava _________________ Pro rege, saepe, pro patria semper اقسم بالله العظيم ان اكون مخلصا لله و لملكي و ان اتفانى في خدمة وطني و دفع كل خطر يهدده و ان انفد اوامرقائدي الاعلى صاحب الجلالة | |
| | | klan General de Brigade
messages : 3864 Inscrit le : 22/05/2010 Localisation : France Nationalité : Médailles de mérite :
| Sujet: Re: Économie marocaine Sam 9 Juil 2011 - 13:38 | |
| - Citation :
- Visite à Rabat du ministre français de l'Industrie axée sur la coopération dans le domaine de l'énergie
Paris, 09/07/11- Le ministre français de l'Industrie, de l'Energie et de l'Economie numérique, M. Eric Besson devra signer, au cours de sa visite lundi et mardi prochains à Rabat, des accords et des déclarations bilatérales avec ses homologues marocains relatives à l'énergie, aux PME et à la compétitivité numérique, a-t-on appris auprès de son ministère.
Dans le domaine de l'énergie, M. Besson aura des entretiens avec la ministre de l'Energie, des Mines, de l'Eau et de l'Environnement, Mme Amina Benkhadra et avec le Président de l'Agence marocaine pour l'énergie solaire (MASEN), M. Mustapha Bakkoury.
Il devra signer à cette occasion une déclaration ministérielle pour un Pacte énergétique euro-méditerranéen que la France veut promouvoir dans le cadre de l'Union pour la Méditerranée (UpM) et un accord de coopération entre le Syndicat français des Energies Renouvelables et l'Association Marocaine des Industries Solaires et Eoliennes (AMISOLE), a-t-on indiqué de même source.
Sa rencontre, mardi, avec le ministre de l'Industrie, du Commerce et des Nouvelles technologies, M. Ahmed Reda Chami, sera marquée par la signature d'une déclaration ministérielle portant sur l'innovation et les PME en Méditerranée ainsi que d'un accord de coopération entre le pôle de compétitivité Systemàtic de Paris-région et Maroc Numeric Cluster.
MAP _________________ | |
| | | mox Capitaine
messages : 949 Inscrit le : 27/07/2010 Localisation : France Nationalité : Médailles de mérite :
| Sujet: Re: Économie marocaine Sam 9 Juil 2011 - 18:06 | |
| - Citation :
- Le Maroc réhabilite les dettes d'eau d'irrigation et porte le taux d'accès à l'eau potable à 92% en milieu rural
RABAT (Xinhua) - Au Maroc, l'irrigation connaît un grand élan et un développement soutenu. Les superficies aménagées par les soins de l'Etat dans les périmètres d'irrigation, qui ne dépassaient guère les 150.000 hectares en 1960, sont passées à plus de 1.016.000 aujourd'hui.
L'initiative privée n'a pas été en reste et plus de 441.000 ha ont été aménagés par des fonds privés.
Aussi, d'importantes infrastructures ont-elles ainsi été réalisées pour le transport, la distribution de l'eau d'irrigation et son utilisation au niveau des exploitations agricoles.
Ces réalisations d'extension de l'irrigation ont eu des effets notoires sur la sécurité alimentaire du pays et la lutte contre la pauvreté en milieu rural et sur l'économie nationale de manière générale.
En effet, l'irrigation a permis d'améliorer substantiellement les rendements et de diversifier et d'intensifier la production agricole qui a enregistré, dans les grands périmètres d'irrigation, un accroissement moyen annuel de 8% depuis 1960.
Ainsi, on estime que les zones irriguées, bien qu'elles ne représentent que 15% de la superficie agricole utile, contribuent à hauteur de 45% de la valeur ajoutée agricole en année moyenne et plus de 70% en année sèche. Ces zones contribuent également, pour plus de 75% des exportations des produits agricoles et pour un tiers de l'emploi en milieu rural.
Vendredi dernier, l'Etat marocain a décidé de prendre en charge 220 millions de dirhams (MDH) de créances au profit de 63.000 petits agriculteurs dans le cadre de l'opération de réhabilitation des dettes d'eau d'irrigation.
Un communiqué du ministère marocain de l'Agriculture et la Pêche maritime précise que les petits agriculteurs ont profité de l'exonération des frais d'eau d'irrigation au titre des campagnes agricoles antérieures à 2008 à concurrence de 10.000 DH avec l'exonération des intérêts et le rééchelonnement des créances dépassant ce montant sur une période pouvant atteindre 7 ans, précise le ministère dans un communiqué.
Cette mesure va permettre de redresser la situation des agriculteurs auprès des Offices régionaux de mise en valeur agricole (ORMVA) qui pourront bénéficier des recouvrements à venir pour renforcer leurs investissements dans les opérations d'aménagement et de réhabilitation des infrastructures et des réseaux d'irrigation, indique la même source.
Sur un autre plan, l'Office national de l'eau potable (ONEP) du Maroc a annoncé, pour 2011, un programme d'investissements d'environ 4,8 milliards DH (MMDH), visant, entre autres, à porter le taux d'accès à l'eau potable à 92% en milieu rural.
Ces investissements se traduiront par l'intervention dans 18 nouveaux petits centres dotés d'une population totale de près de 160.000 habitants et la réalisation des travaux d'assainissement liquide dans 105 villes moyennes et centres.
A la fin de l'année 2010, précise-t-on, le taux de desserte a atteint 91% en milieu rural.
http://www.afriquinfos.com/articles/2011/7/9/brevesdafrique-182041.asp
- Citation :
- Excédent de plus de 16 MMDH de la balance des échanges de services à fin mai 2011
Le commerce des services du Maroc avec le reste du monde a dégagé un excédent de plus de 16 MMDH à fin mai dernier contre 14,03 MMDH à fin mai 2010, a indiqué l'Office des Changes. Les recettes au titre de ces services portant sur les voyages, le transport, les communications et les centres d'appel, se sont élevées à quelque 41,69 MMDH durant les cinq premiers mois de 2011 contre 37,76 MMDH durant la même période de l'année précédente, soit une hausse de 10,4 pc, précise l'Office qui vient de publier les indicateurs mensuels des échanges extérieurs du Maroc. MAP
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| | | mox Capitaine
messages : 949 Inscrit le : 27/07/2010 Localisation : France Nationalité : Médailles de mérite :
| Sujet: Re: Économie marocaine Lun 11 Juil 2011 - 2:39 | |
| - Citation :
- Le Maroc, "le marché le plus attractif" pour les investisseurs en Afrique du Nord
Le Maroc émerge comme le marché "le plus attractif" et "le plus stable politiquement" pour les investisseurs dans la région d’Afrique du nord, notamment pour ce qui est des télécommunications, estime vendredi le cabinet de consulting américain "Pyramid Research".
Dans un rapport consacré aux secteurs des télécommunications, des médias et des technologies au Maroc, les analystes de ce cabinet basé au Massachussetts (nord-est des Etats-Unis) prévoient que le Royaume va maintenir une "position solide" dans le secteur des télécommunications en comparaison aux autres marchés d’Afrique du Nord, du Moyen Orient et d’Afrique.
Ces analystes prévoient aussi que les "revenus globaux du secteur devront connaitre au cours des cinq prochaines années un taux de croissance annuel moyen de 4,1 pc, en passant d’une projection de 4,47 milliards de dollars en 2010, à 5,47 milliards en 2015".
"Malgré la conjoncture que connait l’Afrique du Nord, le Maroc se positionne en tant que marché le plus stable politiquement et, de ce fait, le plus attractif pour les investisseurs dans la région", explique dans cette étude, Majd Hosn, analyste chez "Pyramid Research".
Les PME-PMI opérant dans le secteur des télécommunications au Maroc représentent un "large réservoir regorgeant de possibilités et d’opportunités" pour les investisseurs étrangers, poursuit-il dans ce rapport, qui prévoit que les prochaines années seront marquées par une forte croissance des opérations d’opérateurs du secteur, chose qui devra renforcer l’importance et le rôle des petits fournisseurs de services spécialisés et les rendre davantage plus sollicités par les investisseurs étrangers.
http://france-moyenorient.com/spip.php?article6376
| |
| | | PGM Administrateur
messages : 11677 Inscrit le : 12/12/2008 Localisation : paris Nationalité : Médailles de mérite :
| Sujet: Re: Économie marocaine Mar 12 Juil 2011 - 14:22 | |
| - Citation :
- Attijariwafa Bank, principal organisme de crédit en Afrique de l'Ouest
Londres -Le groupe bancaire marocain Attijariwafa Bank s'est confirmé comme le principal organisme d'octroi des prêts en Afrique de l'Ouest, grâce à son programme d'expansion et à ses opérations d'acquisition de plusieurs institutions bancaires en Afrique, écrit lundi le quotidien britannique, Financial Times.
Le quotidien des milieux d'affaires relève sur son site web qu'Attijariwafa a su profiter des difficultés financières qui handicapent certaines banques européennes présentes en Afrique pour
élargir ses opérations dans les pays de l'Afrique centrale et de l'ouest où le secteur bancaire demeure sous-développé.
Le groupe est devenu dernièrement la plus grande institution bancaire au Sénégal en s'appropriant 29 pc du marché avec 49 agences, suite à la fusion d'Attijari Senegal avec la Compagnie bancaire de l'Afrique occidentale, rappelle le quotidien.
Il s'arrête également sur l'acquisition par le groupe marocain, en 2009, des actions de Crédit Agricole dans les banques de l'Afrique de l'ouest pour garantir des actions majoritaires dans des banques au Sénégal, au Congo, en Cô te d'Ivoire, au Gabon et au Cameroun.
"L'élargissement du groupe en a fait le principal organisme de prêts et la plus importante institution financière en terme d'action dans l'ensemble de l'Union économique et monétaire ouest -africaine", relève le journal.
Le groupe possède actuellement 400 agences en Afrique avec un effectif de 4.000 employés au service d'un million de clients, affirme le Financial Times, ajoutant que ses activités à l'étranger lui ont valu 22 pc de ses revenus en 2010.
Poursuivant cet élan de développement, le groupe entend lancer des produits adaptés au client africain, indique le journal, citant le Président Directeur général d'Attijariwafa bank, Mohamed El Kettani, qui affirme que les produits dits islamiques s'ajouteront également à la gamme de produits du groupe.
Selon El Kettani, Attijariwafa bank est décidé à étendre son développement au-delà des pays arabes et francophones pour inclure des pays comme la Guinée Equatoriale et l'Angola, mais également des pays africains anglophones.
Au niveau national, le groupe avait annoncé l'ouverture prochaine de 200 nouvelles agences à travers le Royaume afin de capitaliser sur le boom urbanistique que connaît le Maroc, rappelle le journal, notant d'Attijariwafa bank compte aujourd'hui 1.400 agences au Maroc. e.marrakech PGM | |
| | | marques General de Brigade
messages : 3969 Inscrit le : 05/11/2007 Nationalité : Médailles de mérite :
| Sujet: Re: Économie marocaine Mer 13 Juil 2011 - 10:49 | |
| l'ONA , par l'intermédiare de la SNI, a revendu Lesieur Cristal à Sofiprotéol qui est est l’entreprise financière et industrielle de la filière française des oléagineux (colza, tournesol…) et des protéagineux (pois féveroles). un grand professionnel du domaine des huiles ..Le desengagement du holding Royal de l'économie marocaine est lancé ... - Citation :
- Les huiles Lesieur se développent au Maroc
Le numéro un français des huiles alimentaires rachète 41% du groupe marocain Lesieur Cristal pour 115 millions d'euros.
Le numéro un français des huiles alimentaires Lesieur se développe au Maroc en rachetant 41% du groupe marocain Lesieur Cristal pour 115 millions d'euros, et ambitionne de créer une filière agroalimentaire dans le bassin méditerranéen, rapportent Les Echos.
Sofiprotéol, l'établissement financier de la filière huiles et protéines végétales (Prolea), la maison mère de Lesieur, a pris le contrôle de Lesieur Cristal coté à la Bourse de Casablanca car il disposera désormais de la majorité au conseil d'administration, écrit le journal.
Le flottant est de 39%, le capital restant est aux mains d'institutionnels marocains.
http://www.challenges.fr/actualites/entreprises/20110713.CHA7496/les_huiles_lesieur_se_developpent_au_maroc.html | |
| | | Yakuza Administrateur
messages : 21656 Inscrit le : 15/09/2009 Localisation : 511 Nationalité : Médailles de mérite :
| Sujet: Re: Économie marocaine Mer 13 Juil 2011 - 14:42 | |
| ca aidera a reduire les maux gastriques des marocains,quand les prix augmentent et que la gamila sera moins huilée _________________ | |
| | | dan Capitaine
messages : 936 Inscrit le : 02/11/2010 Localisation : FRANCE Nationalité :
| Sujet: Re: Économie marocaine Mer 13 Juil 2011 - 17:04 | |
| en quoi cette privatisation va t'elle profiter au peuple marocain? | |
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