Moroccan Military Forum alias FAR-MAROC Royal Moroccan Armed Forces Royal Moroccan Navy Royal Moroccan Air Forces Forces Armées Royales Forces Royales Air Marine Royale Marocaine |
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| Économie marocaine | |
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Auteur | Message |
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Invité Invité
| Sujet: Re: Économie marocaine Sam 19 Fév 2011 - 15:48 | |
| Rappel du premier message : - Citation :
- La Chine devient le 3e partenaire commercial du Maroc
2011-02-14 08:28:06 xinhua Malgré les effets de la crise financière mondiale, la coopération maroco-chinoise mutuellement bénéfique s'est élargie, à l'occasion de la visite de travail effectuée, les 13 et 14 février au Maroc, par le ministre chinois du Commerce, M. Chen Deming.
Selon un communiqué du ministère marocain du Commerce extérieur, cette visite de deux jours est l'occasion pour les deux pays de poursuivre les discussions qu'ils ont engagées au cours de leur rencontre à Pékin en octobre 2009, afin de renforcer les échanges commerciaux et le partenariat.
Au cours de cette visite, des conventions vont être signées en vue de promouvoir le commerce et l'investissement entre le Maroc et la Chine, précise la même source.
Les relations commerciales maroco-chinoises sont régies par l'accord commercial et économique du 28 mars 1995. La Chine devient le 3e partenaire commercial du Royaume en 2010, après la France et l'Espagne, avec des échanges de 26,8 milliards de dirhams (MMDH), soit 6% des échanges de marchandises réalisés par le Maroc avec l'étranger, relève le communiqué.
Selon l'Office des changes, les exportations de la Chine vers le Maroc ont enregistré, au cours des cinq dernières années, une progression soutenue, passant de 11MMDH en 2006 à plus de 20 MMDH en 2009. Les exportations de la Chine vers le Maroc comprennent l' électroménager, le textile, les articles de haute technologie, le thé, le café, le fer, le plastique..La Chine importe du Maroc des pièces détachées, des engrais chimiques, des articles de cuivre, des produits aquatiques, l'uranium, des agrumes et des fruits secs.
Aussi, la coopération bilatérale dans les secteurs de la pêche maritime, des télécommunications et des infrastructures connaît-elle une évolution très positive. Les investissements chinois réels au Maroc ont atteint 170 millions de dollars. Aujourd'hui, plusieurs entreprises chinoises oeuvrent à étendre leur présence au Maroc sans oublier les experts agronomes envoyés par Pékin pour la mise en oeuvre du programme de coopération agricole avec le Maroc.
Les deux pays tentent de développer les relations bilatérales dans le domaine de la culture du riz, de l'irrigation, de la mécanisation agricole et du dessalement de l'eau. L'industrie automobile chinoise est très présente au Maroc. Des véhicules chinois y sont introduits: des camions, des camionnettes et des voitures. Cette initiative est appréciée par le consommateur marocain. Le coût est moins élevé et la qualité est assurée. Les articles chinois sont toujours compétitifs car moins chers.
Par ailleurs, le nombre de touristes chinois ayant visité le Maroc en 2009, s'est établi à 4660. Selon l'Office national marocain du Tourisme (ONMT), à l'horizon 2020, le potentiel de touristes chinois, susceptibles d'être approchés par la destination Maroc pourrait se situer entre 2,5 et 3,1 millions.
La Chine est aujourd'hui la 4e destination la plus prisée des touristes étrangers, dont le nombre a augmenté ces dix dernières années, passant de 8 à 48 millions annuellement.
http://french.cri.cn/621/2011/02/14/301s238152.htm |
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Auteur | Message |
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Fahed64 Administrateur
messages : 25540 Inscrit le : 31/03/2008 Localisation : Pau-Marrakech Nationalité : Médailles de mérite :
| Sujet: Re: Économie marocaine Sam 7 Jan 2012 - 17:07 | |
| Il a su très bien maitrisé ses propos et surtout il a joué l'unnité. Non pas le PJD d'un côté et la coalition de l'autre... Il m'a fait une première bonne impression le gendre de 3bibis _________________ Sois généreux avec nous, Ô toi Dieu et donne nous la Victoire | |
| | | RED BISHOP Modérateur
messages : 12303 Inscrit le : 05/04/2008 Localisation : france Nationalité : Médailles de mérite :
| Sujet: Re: Économie marocaine Sam 7 Jan 2012 - 20:01 | |
| quand je pense que certain ici l'on traiter de pistonner, de fils à papa, etc...quand je disait que les lien de consanguinité, n'avait que peu de rapport avec la compétance du gars _________________ | |
| | | FAMAS Modérateur
messages : 7470 Inscrit le : 12/09/2009 Localisation : Zone sud Nationalité : Médailles de mérite :
| Sujet: Re: Économie marocaine Sam 7 Jan 2012 - 20:06 | |
| @mirage: ce n'est pas la compétence du gars qui est mise en cause mais son honnêteté , le voleur est souvent quelqu'un d'ingénieux c'est tout un art
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| | | Fremo Administrateur
messages : 24818 Inscrit le : 14/02/2009 Localisation : 7Seas Nationalité : Médailles de mérite :
| Sujet: Re: Économie marocaine Sam 7 Jan 2012 - 20:19 | |
| - mirage a écrit:
- quand je pense que certain ici l'on traiter de pistonner, de fils à papa, etc...quand je disait que les lien de consanguinité, n'avait que peu de rapport avec la compétance du gars
Avant d'être le gendre de Mr Fassi, Baraka était un cadre du ministère de la finance, c'est là ou il a passé presque la totalité de sa carrière avant d'être nommé ministre dans le gouvernement de son beau père. Concernant son honnêteté, on ne peut pas trancher en absence de preuves, sinon, aujourd'hui nous sommes sous l'ère de l'indépendance de la justice, si on a des preuves sous les mains, ben le citoyen peut se diriger vers la justice sinon, créer un scandale à la presse et là le parquet va ouvrir des enquêtes pour vérifier si c'est exact ou pas ... _________________ | |
| | | Ichkirne Capitaine
messages : 826 Inscrit le : 19/08/2011 Localisation : Paris Nationalité : Médailles de mérite :
| Sujet: Re: Économie marocaine Mar 10 Jan 2012 - 20:22 | |
| - Citation :
- 26 000 nouveaux postes pour 2012 ! Le Maroc compte-t-il trop de fonctionnaires ?
Le Maroc compte seulement 26 fonctionnaires pour 1 000 habitants, contre 44 en Tunisie, 42 en Algérie.. Les dépenses de personnel représentent 10.7% du PIB en 2011 contre 12% en France et 15% en Algérie. Les recrutements sont repartis à la hausse depuis 2008.
Le projet de Loi de finances pour 2012, mis en stand by par le gouvernement sortant, prévoit la création de 25 854 emplois dans la fonction publique. Celui de Abdelilah Benkirane confirmera-t-il ce chiffre ? Très probablement oui. L’Istiqlal, qui fait partie du nouveau gouvernement et à qui a échu le portefeuille de l’économie et des finances, aura à cœur, on l’imagine, de maintenir ces postes budgétaires qu’il avait d’ailleurs lui-même prévus. D’autant plus que le parti, à la tête du gouvernement sortant, avait fait du recrutement dans la fonction publique un des leviers de sa politique de l’emploi et de règlement de la question des diplômés de l’enseignement supérieur. Comme nous l’indiquions dans notre édition du 30 décembre 2011, le gouvernement El Fassi a créé entre 2008 et 2011, en moyenne annuelle, 17 860 emplois dans la fonction publique, soit un total de 71 442 postes en quatre ans. Ceux qui ont l’habitude de critiquer l’administration pour ses «rondeurs», voire son excès de poids en termes de personnel employé et donc de masse salariale distribuée, relativement à son inefficacité supposée, trouveraient matière à jaser si jamais la prévision de recrutement pour 2012 était maintenue. Près de 26 000 postes budgétaires à créer en 2012, c’est une croissance de 37,5% en termes de recrutements par rapport à 2011 et 7,5% en termes de masse salariale. Dans un contexte de resserrement des recettes, les traitements des fonctionnaires atteignant un tel niveau (93,5 milliards prévus pour 2012), c’est plus de la moitié (54,6%) du budget de fonctionnement, c’est 38,2% de l’ensemble des ressources (fiscales et non fiscales) du Budget général et 10,8% du PIB.
90 fonctionnaires pour 1 000 habitants en France et 110 en Norvège
Mais une question n’en finit pas de se poser : y a-t-il trop de fonctionnaires au Maroc ? Ou bien, ceux-ci sont-ils trop payés ? Rappelons d’abord que les pouvoirs publics avaient eux-mêmes jugé que l’administration était pléthorique et que les dépenses de personnel étaient par conséquent trop pesantes. Il fallait donc dégraisser le mammouth, et c’est ainsi que de nombreuses mesures ont été prises ces dernières années pour réduire le poids de la masse salariale. On peut citer à cet égard l’opération des départs volontaires qui s’est soldée par le départ de 38 763 fonctionnaires à la retraite anticipée en 2005/2006 (cf www.lavieeco.com), la suppression des postes budgétaires devenus vacants suite au départ à la retraite pour limite d’âge, l’interdiction des recrutements dans les échelles 1 à 4 et du personnel occasionnel, la limitation des créations de postes budgétaires à la couverture des besoins incompressibles, et enfin l’obligation de passer par un concours pour accéder à la fonction publique. Il se trouve que du fait, justement, de l’opération des départs volontaires, qui a vidé certains services, des besoins sont apparus qu’il importe de combler ; d’où, à nouveau, une croissance des effectifs recrutés, comme le montre le graphe ci-dessus. Face à cette observation, la réponse de l’administration est invariablement la même : c’est vrai, explique-t-on en substance, que l’on s’est remis à recruter davantage qu’avant l’opération des départs volontaires, mais maintenant «on cible mieux les profils, donc on gagne en efficacité».
Aujourd’hui, le nombre de fonctionnaires civils (de l’Etat, des collectivités locales et des établissements publics) est aux environs de 840 000. Cela représente 26,5 fonctionnaires pour 1 000 habitants. Est-ce trop ? Est-ce insuffisant ? En Tunisie, le rapport fonctionnaires/population est de 44 fonctionnaires pour 1 000 habitants ; en Algérie, ce rapport est de 42,1 et il est de 50 en Allemagne. Ne parlons pas des pays de l’Europe du Nord où le nombre de fonctionnaires ressemble à la légendaire Armée rouge du temps de l’Union soviétique : 110 fonctionnaires pour 1 000 habitants en Norvège et 160 pour 1 000 en Finlande. En France, la masse salariale publique représente quelque 12% du PIB et en Algérie 15% du PIB hors hydrocarbures. Mais la Tunisie, avec 44 fonctionnaires pour 1 000 habitants, a une masse salariale quasiment similaire à celle du Maroc en termes de rapport au PIB, alors que le Royaume n’a «que» 26,5 fonctionnaires pour 1 000 habitants. Il faut dire que de nombreuses revalorisations des traitements des fonctionnaires sont intervenues ces dernières années, à la fois au moyen de hausses directes et de baisse de l’impôt sur le revenu. Globalement, donc, la fonction publique au Maroc, contrairement à ce qui se dit un peu précipitamment, n’est sans doute pas pléthorique, mais peut-être…un peu coûteuse.
http://www.lavieeco.com/news/economie/26-000-nouveaux-postes-pour-2012-le-maroc-compte-t-il-trop-de-fonctionnaires--21102.html | |
| | | juba2 General de Division
messages : 6954 Inscrit le : 02/04/2008 Localisation : USA Nationalité : Médailles de mérite :
| Sujet: Re: Économie marocaine Mar 10 Jan 2012 - 20:59 | |
| - Ichkirne a écrit:
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- Citation :
- 26 000 nouveaux postes pour 2012 ! Le Maroc compte-t-il trop de fonctionnaires ?
Le Maroc compte seulement 26 fonctionnaires pour 1 000 habitants, contre 44 en Tunisie, 42 en Algérie.. Les dépenses de personnel représentent 10.7% du PIB en 2011 contre 12% en France et 15% en Algérie. Les recrutements sont repartis à la hausse depuis 2008.
Le projet de Loi de finances pour 2012, mis en stand by par le gouvernement sortant, prévoit la création de 25 854 emplois dans la fonction publique. Celui de Abdelilah Benkirane confirmera-t-il ce chiffre ? Très probablement oui. L’Istiqlal, qui fait partie du nouveau gouvernement et à qui a échu le portefeuille de l’économie et des finances, aura à cœur, on l’imagine, de maintenir ces postes budgétaires qu’il avait d’ailleurs lui-même prévus. D’autant plus que le parti, à la tête du gouvernement sortant, avait fait du recrutement dans la fonction publique un des leviers de sa politique de l’emploi et de règlement de la question des diplômés de l’enseignement supérieur. Comme nous l’indiquions dans notre édition du 30 décembre 2011, le gouvernement El Fassi a créé entre 2008 et 2011, en moyenne annuelle, 17 860 emplois dans la fonction publique, soit un total de 71 442 postes en quatre ans. Ceux qui ont l’habitude de critiquer l’administration pour ses «rondeurs», voire son excès de poids en termes de personnel employé et donc de masse salariale distribuée, relativement à son inefficacité supposée, trouveraient matière à jaser si jamais la prévision de recrutement pour 2012 était maintenue. Près de 26 000 postes budgétaires à créer en 2012, c’est une croissance de 37,5% en termes de recrutements par rapport à 2011 et 7,5% en termes de masse salariale. Dans un contexte de resserrement des recettes, les traitements des fonctionnaires atteignant un tel niveau (93,5 milliards prévus pour 2012), c’est plus de la moitié (54,6%) du budget de fonctionnement, c’est 38,2% de l’ensemble des ressources (fiscales et non fiscales) du Budget général et 10,8% du PIB.
90 fonctionnaires pour 1 000 habitants en France et 110 en Norvège
Mais une question n’en finit pas de se poser : y a-t-il trop de fonctionnaires au Maroc ? Ou bien, ceux-ci sont-ils trop payés ? Rappelons d’abord que les pouvoirs publics avaient eux-mêmes jugé que l’administration était pléthorique et que les dépenses de personnel étaient par conséquent trop pesantes. Il fallait donc dégraisser le mammouth, et c’est ainsi que de nombreuses mesures ont été prises ces dernières années pour réduire le poids de la masse salariale. On peut citer à cet égard l’opération des départs volontaires qui s’est soldée par le départ de 38 763 fonctionnaires à la retraite anticipée en 2005/2006 (cf www.lavieeco.com), la suppression des postes budgétaires devenus vacants suite au départ à la retraite pour limite d’âge, l’interdiction des recrutements dans les échelles 1 à 4 et du personnel occasionnel, la limitation des créations de postes budgétaires à la couverture des besoins incompressibles, et enfin l’obligation de passer par un concours pour accéder à la fonction publique. Il se trouve que du fait, justement, de l’opération des départs volontaires, qui a vidé certains services, des besoins sont apparus qu’il importe de combler ; d’où, à nouveau, une croissance des effectifs recrutés, comme le montre le graphe ci-dessus. Face à cette observation, la réponse de l’administration est invariablement la même : c’est vrai, explique-t-on en substance, que l’on s’est remis à recruter davantage qu’avant l’opération des départs volontaires, mais maintenant «on cible mieux les profils, donc on gagne en efficacité».
Aujourd’hui, le nombre de fonctionnaires civils (de l’Etat, des collectivités locales et des établissements publics) est aux environs de 840 000. Cela représente 26,5 fonctionnaires pour 1 000 habitants. Est-ce trop ? Est-ce insuffisant ? En Tunisie, le rapport fonctionnaires/population est de 44 fonctionnaires pour 1 000 habitants ; en Algérie, ce rapport est de 42,1 et il est de 50 en Allemagne. Ne parlons pas des pays de l’Europe du Nord où le nombre de fonctionnaires ressemble à la légendaire Armée rouge du temps de l’Union soviétique : 110 fonctionnaires pour 1 000 habitants en Norvège et 160 pour 1 000 en Finlande. En France, la masse salariale publique représente quelque 12% du PIB et en Algérie 15% du PIB hors hydrocarbures. Mais la Tunisie, avec 44 fonctionnaires pour 1 000 habitants, a une masse salariale quasiment similaire à celle du Maroc en termes de rapport au PIB, alors que le Royaume n’a «que» 26,5 fonctionnaires pour 1 000 habitants. Il faut dire que de nombreuses revalorisations des traitements des fonctionnaires sont intervenues ces dernières années, à la fois au moyen de hausses directes et de baisse de l’impôt sur le revenu. Globalement, donc, la fonction publique au Maroc, contrairement à ce qui se dit un peu précipitamment, n’est sans doute pas pléthorique, mais peut-être…un peu coûteuse.
http://www.lavieeco.com/news/economie/26-000-nouveaux-postes-pour-2012-le-maroc-compte-t-il-trop-de-fonctionnaires--21102.html dans ce cas la je ne verrais pas comment le PJD va croitre l'economie alors que ses fonctionnaires vont absorber tous les revenues collecter par l'impot.c'et du gaspillage ,quand l'etat commence a creer des postes de travail pas pour le besoin et la necessite de la gerance,cela commence a devenir un perd de temps et de l'argent du citoyen,regarder ce qui s'est passe en europe trop de fonctionnaires amis le feu a la maison ,l'etat n'existe pas pour creer de l'emploit mais faciliter la tache aux entreprises(en creant des lois faciltants les prets a des taux tres bas s'ils creaint des emplois ainsi une ristourne dans l'IR si chaque annee la companie accroit d'un pourcentage en embauche) pour creer des emplois en retour ces employes augmente les revenus de l'etat a travers l'impot sur les salaires. | |
| | | sorius Commandant
messages : 1139 Inscrit le : 18/11/2010 Localisation : france Nationalité : Médailles de mérite :
| Sujet: Le 6ème Salon marocain de l'immobilier Smabxl à Bruxelles en février prochain Jeu 12 Jan 2012 - 19:31 | |
| - Citation :
Le 6ème Smabxl à Bruxelles se tiendra, du 4 au 6 février prochain, pour présenter aux Marocains résidents tant en Belgique que dans les pays voisins l'offre immobilière diversifiée des promoteurs nationaux.
Ce salon ambitionne de présenter aux membres de la diaspora marocaine intéressés par un investissement dans un bien immobilier au Maroc et en quête d'une résidence secondaire, les nouveautés et les projets de développement immobilier de grande envergure que connaît le secteur, ont souligné les organisateurs, mardi soir à Casablanca, lors de la présentation du Smabxl.
Lors de cette édition, le Salon compte offrir des projets nouveaux avec des produits inédits et mettre à l'honneur les provinces du nord, qui constituent une véritable locomotive de développement économique du pays, pour exposer leurs potentialités.
Les organisateurs entendent aussi rendre à l'artisanat marocain ses lettres de noblesse en lui accordant la place de choix et en lui réservant des espaces au sein du Salon afin d'exposer toute sa richesse et le savoir-faire de ses artisans.
Le Salon, qui sera édifié sur une superficie de 3.200 m2, offre aux visiteurs l'opportunité de contacts directs avec des promoteurs immobiliers, mais également des experts allant des architectes, notaires, décorateurs d'intérieur aux conseillers d'opérations bancaires.
Un total de 32.000 personnes a visité le Salon l'année dernière, dont 97% de la diaspora marocaine.
aufait
http://www.aufaitmaroc.com/actualites/economie/2012/1/11/le-6eme-salon-marocain-de-limmobilier-smabxl-a-bruxelles-en-fevrier-prochain | |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Économie marocaine Jeu 12 Jan 2012 - 23:05 | |
| tout depend des secteurs dans lesquels vont etre creer ces postes.des secteurs comme la santé et l'enseignement sans en sous effectif depuis des années.avec les regionalisation avancée des cadres devront etre embauchés puisque dans les collcetivités territoriales le taux d'encadrement est des plus faible. |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Économie marocaine Sam 14 Jan 2012 - 18:24 | |
| - Citation :
- Statut avancé :Le Maroc «chouchou» de l'UE 1,8 milliard de DH en 2010
Statut avancé : Le Maroc «chouchou» de l'UE 1,8 milliard de DH en 2010 et 6 autres sur 3 ans Agriculture, lutte contre la pauvreté, éducation… les programmes
"Le Maroc devient le premier pays du sud et de l'est de la Méditerranée à recevoir le plus d'aides, grâce en partie au statut avancé avec l'UE", a annoncé Eneko Landaburu, ambassadeur, chef de la délégation de l'UE au Maroc.
Un soutien qui vient appuyer les politiques et stratégies de réformes jugées prioritaires au Maroc, notamment celles de la santé, de l'éducation, de l'administration publique et de la lutte contre la pauvreté à travers les programmes de l'INDH. "Nous accompagnons les stratégies que nous considérons utiles pour ce pays.
Des stratégies qui procèdent à la modernisation et apportent des éléments de croissance et de création d'emplois, indispensables pour le progrès du Maroc", tient à préciser l'ambassadeur. De nouveaux programmes destinés à la lutte contre l'analphabétisme, à l'agriculture solidaire, au désenclavement rural, à l'assainissement ou encore à la dépollution ont également été lancés l'an dernier.
A titre d'exemple, l'agriculture s'est vu allouer une enveloppe de près de 787,5 millions de DH en plus de quelque 618,3 millions pour le désenclavement des régions rurales. En tant que principal bailleur de fonds, "nous voulons avoir une attention particulière sur les populations les plus démunies", insiste l'ambassadeur. Pareil pour l'éducation. L'UE a renforcé son engagement en 2010 en y injectant 202,5 millions de DH. L'alphabétisation et l'assainissement ont été subventionnés à hauteur de 112,4 millions de DH chacun.
Appui à la société civile La majeure partie de la coopération de l'UE au Maroc se déploie dans l'administration publique dans le cadre d'un partenariat continu. L'Union appuie également la société civile via le dialogue, la consultation et la coopération. D'ailleurs, 50 projets sont subventionnés par l'Union, dans les domaines des droits de l'homme. Il s'agit notamment de 6 actions dans la justice, 5 pour la liberté d'expression, 4 pour la lutte contre la corruption et 3 pour la démocratie locale et parlementaire.
Pour 2010, l'Union a mobilisé 1,8 milliard de DH au Maroc. En effet, le montant débloqué par l'UE a enregistré un léger recul par rapport à 2008 où il s'élevait à 2,3 milliards de DH. Sur le plan politique, l'année écoulée a été marquée principalement par la tenue du premier sommet UE-Maroc à Grenade. Une rencontre qui s'est focalisée sur la libre-circulation des biens et des personnes ainsi que sur la possibilité du Maroc de profiter du marché intérieur européen. C'est dans cet esprit qu'une commission parlementaire mixte a été créée. Elle assure un pilotage politique à une relation bilatérale renforcée par le statut avancé. 2010 a été également ponctuée par la signature de deux protocoles d'accord d'association. Ils ont ouvert de nouveaux champs de coopération à travers la participation du Maroc aux programmes européens et la libéralisation du commerce des produits agricoles et de la pêche.
Mohamed AZMANI source:L'Economiste
- Citation :
- Un excédent de 25,7 milliards de DH pour les collectivités locales
Un excédent de 25,7 milliards de DH pour les collectivités locales
Les collectivités locales affichent toujours un excédent financier important. A fin novembre 2011, il s’élevait à 25,7 milliards de DH, en hausse de 4% par rapport à la même période en 2010. Il est constitué principalement des reports d’investissements qui se chiffrent à plus de 20 milliards de DH. Pour ce qui est des recettes de fonctionnement, elles ont atteint 24,8 milliards de DH, en hausse de 6% grâce principalement aux ressources transférées par l’administration centrale. Côté charges, la progression est de 13%, à 16,1 milliards de DH. Quant aux dépenses d’investissement, elles ont totalisé 9,2 milliards, en hausse de 4% par rapport aux onze premiers mois de 2010 mais correspondant à un taux de réalisation de 37% seulement.
La Vie éco |
| | | Ichkirne Capitaine
messages : 826 Inscrit le : 19/08/2011 Localisation : Paris Nationalité : Médailles de mérite :
| Sujet: Re: Économie marocaine Dim 15 Jan 2012 - 1:20 | |
| - Citation :
- Le Roi inaugure l'Institut spécialisé dans les métiers de l'offshoring, des technologies de l'information et de la communication et de l'audiovisuel de Fès
Le Roi Mohammed VI a procédé, samedi au parc Fès-Shore, à l'inauguration de l'Institut spécialisé dans les métiers de l'offshoring, des technologies de l'information et de la communication et de l'audiovisuel (ISMOTICA), réalisé pour un investissement global de 53 millions de dirhams (MDH).
Après avoir dévoilé la plaque commémorative et coupé le ruban symbolique, le Souverain a effectué une tournée à travers les différentes structures et dépendances de ce nouvel établissement destiné à doter la Zone Offshore de Fès en ressources humaines nécessaires, notamment dans les métiers des services et des Technologies de l'Information liés aux activités Offshoring.
La réalisation de l'Institut spécialisé dans les métiers de l'offshoring, des TIC et de l'audiovisuel s'inscrit dans la stratégie de développement du dispositif de formation dans les secteurs porteurs, mise en place par l'Office de formation professionnelle et de la promotion du travail (OFPPT).
Techniques bancaires, assurances, administration des ressources humaines, comptabilité internationale, développement informatique, administration de bases de données, autant de domaines dans lesquels l'ISMOTICA-Fès constituera un partenaire en compétences, que ce soit pour la formation initiale ou continue, pour l'ensemble des entreprises qui s'installeront au niveau de Fès Shore.
En effet, cette zone devrait générer, à terme, 12.000 emplois dont l'essentiel serait pourvu par les lauréats de cet Institut. Les cursus de formation sont mis en place en partenariat avec des institutions internationales spécialisées telles que CISCO, MICROSOFT et Oracle pour les métiers de l'informatique offshoring (ITO), ou encore le CNAM pour le volet relatif à l'externalisation des processus métiers (comptabilité, opérateur de ventes, administrateur du personnel). D'ailleurs, l'ISMOTICA abritera une «CISCO Academy» et une «Microsoft IT Academy», pour la certification des formateurs, des cursus et des stagiaires. A cet effet, pour assurer la formation dans des conditions pédagogiques optimales, l'Institut dispose de locaux et d'équipements modernes: 10 salles de cours, 12 salles spécialisées, un atelier audiovisuel, deux laboratoires de langue, deux salles opérateurs de vente et télé-conseillers, une bibliothèque, deux salles de séminaires, un amphithéâtre - visioconférence, ainsi qu'un Data Center, une salle de maintenance, un bloc administratif et des terrains de sport.
L'Institut spécialisé dans les métiers de l'offshoring, des TIC et de l'Audiovisuel - Fès offre une capacité d'accueil de 2.500 stagiaires annuellement, dans les niveaux Bac+2 et Bac+3, en plus des prestations de formation continue et d'assistance technique aux entreprises.
Construit sur une superficie couverte de 5.700 m2, l'ISMOTICA - Fès a nécessité une enveloppe de 53 MDH dont 47 millions pour les études et travaux de construction et 6 MDH pour l'acquisition des équipements.
Ce nouvel établissement sectoriel vient renforcer le dispositif OFPPT riche de 5 autres établissements similaires réalisés depuis décembre 2005 à Casablanca, Tanger, Rabat et Marrakech.
Le dispositif national dédié par l'OFPPT au secteur permet actuellement d'accueillir 7.400 stagiaires en formation dans les métiers de l'Offshoring et 27.000 jeunes dans les filières TIC.
SM le Roi, que Dieu L'assiste, s'est, à cette occasion, informé de l'état d'avancement des travaux de réalisation du parc Fès-Shore, qui mobilise des investissements de l'ordre d'un milliard de dirhams.
De nouvelle génération, le parc Fès-Shore s'étend sur une superficie globale de 20 hectares, dont une surface de 130.000 m2 destinée aux bureaux et aux services.
Fès Shore, dont la fin des travaux est prévue en 2016, abritera un parc «Wold Class» qui comportera un parc privé fermé et sécurisé, des plateaux bureaux prêts à l'emploi et une boucle télécoms en fibre optique.
Il offrira des services diversifiés aux entreprises et aux collaborateurs, à travers notamment un guichet administratif unique, un centre de formation sur site, un business center, outre des espaces commerciaux et de restauration.
Il permettra à terme la création de près de 12.000 emplois sur site.Les travaux d'aménagement du site se sont achevés an mars 2011, alors que la première tranche du projet (Batiments), qui porte sur une superficie globale de 16.096 m2, sera livrée au deuxième trimestre de 2012. Les gros oeuvres ont été réalisés à hauteur de 95 pc, alors que les travaux d'aménagement des lots secondaires sont à 75 pc.
Pour la promotion et la commercialisation du parc, des actions commerciales seront entreprises auprès des clients déjà installés au Maroc, ainsi qu'une série de road show en France et en Espagne.
Aufait Maroc | |
| | | prince09 sergent
messages : 231 Inscrit le : 20/07/2010 Localisation : Germany Nationalité :
| Sujet: Saphir 650 : Le premier Smartphone 100% Marocain Dim 15 Jan 2012 - 20:58 | |
| Saphir 650 : Le premier Smartphone 100% Marocain [img] [/img] [img] [/img] [img] [/img][img] [/img] - Citation :
- Saphir Smartphone est la toute première marque de smartphones nationale qui sera bientôt sur le marché avec son premier mobile porteur du nom de Saphir 650.munis du système ANDROID
La marque marocaine a affirmé via son profil Facebook que le premier smartphone sera commercialisé courant le premier trimestre 2012 le Saphir 650 à un prix qui reste assez moins cher par rapport aux smartphones sur le marché actuel qui est de : 2.190Dhs.
Les caractéristiques du SAPHIR 650 : - Écran tactile capacitif 4.3″, WVGA (480×800) multipoints, 16 millions de couleurs. - Processeur MTK6573 double cœur 650 MHz. - Android 2.3.4 Gingerbread. - Mémoire vive 512 Mo extensible jusqu’au 32 Go. Mémoire ROM 512 Mo - Double camera, arrière (3.2 MP) et avant (0.3 MP). - Double SIM (GSM et 3G ). - GPS, Wifi,fonction télé analogique, etc.
Commercialisé avec une micro SD 4 GO et un étui de protection + les accessoires standards (câble micro USB, Kit main libre, 2 batteries 1500 mAh, chargeur).
Le SAPHIR 650 sera commercialisé avec une carte mémoire micro SD d’une capacité de 4 Go … offerte (et non pas 2 Go comme ce qui a été prévu initialement). http://achnoo.com/2012/01/14/voici-saphir-650-le-premier-smartphone-100-marocain/ | |
| | | RED BISHOP Modérateur
messages : 12303 Inscrit le : 05/04/2008 Localisation : france Nationalité : Médailles de mérite :
| Sujet: Re: Économie marocaine Dim 15 Jan 2012 - 21:11 | |
| comme quoi le Maroc ne produit pas que des tomates et des oranges... _________________ | |
| | | BOUBOU General de Division
messages : 4848 Inscrit le : 07/08/2008 Localisation : en territoire hostile Nationalité : Médailles de mérite :
| Sujet: Re: Économie marocaine Dim 15 Jan 2012 - 21:50 | |
| intéressant. Si quelqu'un saurait ou se proccurer ce téléphone en France, je suis preneur, je vais changer de smartphone. _________________ L'homme sage est celui qui vient toujours chercher des conseils dabord, des armes on en trouve partout.
feu Hassan II.
https://www.youtube.com/watch?v=AbjNQ_5QvgQ
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| | | juba2 General de Division
messages : 6954 Inscrit le : 02/04/2008 Localisation : USA Nationalité : Médailles de mérite :
| Sujet: Re: Économie marocaine Dim 15 Jan 2012 - 22:21 | |
| Bravo!!!!!!!! finalement | |
| | | yassine1985 Colonel-Major
messages : 2948 Inscrit le : 11/11/2010 Localisation : Marrakech Nationalité : Médailles de mérite :
| Sujet: Re: Économie marocaine Dim 15 Jan 2012 - 22:24 | |
| - prince09 a écrit:
- Saphir 650 : Le premier Smartphone 100% Marocain
Je ne sais pas pour l'histoire des 100% mais je leur souhaite une très bonne chance, je vais surement l'acheter des que sa sera disponible ... en espérons qu'il feront des versions Windows phone. question : je ne trouve aucune information sur la société ? qlq en sait plus ? _________________ ."قال الرسول صلى الله عليه وسلم : "أيما امرأة استعطرت فمرّت بقوم ليجدوا ريحها فهي زانية
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| | | leadlord Colonel-Major
messages : 2787 Inscrit le : 11/07/2010 Localisation : montreal Nationalité : Médailles de mérite :
| Sujet: Re: Économie marocaine Lun 16 Jan 2012 - 0:27 | |
| hélas il est trop chère un galaxy mini avec les même caractéristique coute 1200 dh android 2,3 aussi seul la taille de l'écran le galaxy sumsung est en 3,8" mais bon c'est un pas géant pour le maroc de produire un telle technologie sur les tablètte on sera bcp mieux car un tablette a 4000dh sera vraiment un produit bonne marché face au galaxy tap ou ipad _________________ Pro rege, saepe, pro patria semper اقسم بالله العظيم ان اكون مخلصا لله و لملكي و ان اتفانى في خدمة وطني و دفع كل خطر يهدده و ان انفد اوامرقائدي الاعلى صاحب الجلالة | |
| | | bendari 2eme classe
messages : 13 Inscrit le : 25/03/2009 Localisation : france Nationalité :
| Sujet: Re: Économie marocaine Lun 16 Jan 2012 - 21:23 | |
| - prince09 a écrit:
- Saphir 650 : Le premier Smartphone 100% Marocain
Si seulement c'était vrai. C'est certainement un produit 0 % marocain: Hardware : 100% chinois Logiciel : 100 % Américain (google) et en plus c'est la version basique d'android 2.3.4 (sans aucune customisation). | |
| | | BOUBOU General de Division
messages : 4848 Inscrit le : 07/08/2008 Localisation : en territoire hostile Nationalité : Médailles de mérite :
| Sujet: Re: Économie marocaine Lun 16 Jan 2012 - 21:40 | |
| - bendari a écrit:
- prince09 a écrit:
- Saphir 650 : Le premier Smartphone 100% Marocain
Si seulement c'était vrai.
C'est certainement un produit 0 % marocain: Hardware : 100% chinois Logiciel : 100 % Américain (google) et en plus c'est la version basique d'android 2.3.4 (sans aucune customisation). En effet, je pense que c'est un entrepreneur marocain qui a émis un appel d'offre en Chine pour la fabrication d'un téléphone pour l'écouler dans le marché marocain. chose courante. seul le design est différent, mais le produit est déjà sur les marchés asiatique et tiers-mondiste. _________________ L'homme sage est celui qui vient toujours chercher des conseils dabord, des armes on en trouve partout.
feu Hassan II.
https://www.youtube.com/watch?v=AbjNQ_5QvgQ
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| | | docleo Modérateur
messages : 2433 Inscrit le : 03/09/2008 Localisation : de garde Nationalité : Médailles de mérite :
| Sujet: Re: Économie marocaine Lun 16 Jan 2012 - 21:56 | |
| - Citation :
- COFACE maintient la note du Maroc à A4, risque assez faible
Le spécialiste de notation du risque-pays pour les entreprises et les investisseurs, l'ancienne compagnie française d'assurance pour le commerce extérieur (COFACE) a maintenu la note A4 pour le Maroc, aussi bien pour l'évaluation risque-pays que pour l'environnement des affaires.
Dans le rapport annuel "Risque pays 2012" de COFACE, rendu public lundi à Paris, le Maroc voit ainsi sa note inchangée depuis 2009, sans surveillance négative, ni reclassement.
Quant à la cotation moyen terme, le Maroc est décrété pays au risque "assez faible".
Les notes de la COFACE sur le risque moyen d'impayé des entreprises par pays se situent sur une échelle de sept niveaux, de A1 (la meilleure) à D. La Syrie, en raison de la crise politique prolongée, se voit dégradée à la plus mauvaise note.
La Tunisie reste au niveau A4 (seulement depuis mars 2011) mais sous surveillance négative, l'Algérie accuse une mauvaise appréciation de l'environnement des affaires (B) et l'Egypte est dégradée de B à C.
Dans les faits, et en dehors de ces pays du Maghreb et du monde arabe où "le risque politique" a pesé sur la notation, le Maroc se retrouve au même rang que l'Espagne et l'Italie.
COFACE a abaissé d'un cran, à A4, l'évaluation de l'Italie et de l'Espagne, deux grandes économies d'Europe du Sud où cet organisme a constaté, depuis le début de l'année 2011, une "montée d'environ 50 % des incidents de paiement des entreprises des deux pays".
Les notes de la COFACE, mises à jour chaque trimestre, tiennent compte des perspectives économiques, politiques et financières de chaque pays, de l'environnement des affaires et des incidents de paiement.
Pour étayer ses évaluations sur le Maroc, COFACE retient que la croissance a été soutenue en 2011, et que les effets directs et indirects sur l'économie des soulèvements dans divers pays arabes ont été "été limités", dans le cas du Maroc.
Cet organisme spécialisé dans l'assurance-crédit et la gestion des garanties publiques des créances à l'export pour le compte de l'Etat français, prévoit que la croissance au Maroc restera "correcte" en 2012 en dépit de la "dépendance du Maroc vis-à-vis de l'Union européenne où l'activité sera atone".
Elle sera néanmoins "fragile" car elle est tributaire des aléas climatiques pour le secteur agricole et des fluctuations du prix du pétrole.
Au chapitre macro-économique, les experts relèvent "l'assainissement récent" des finances publiques qui a conduit à un endettement public domestique "gérable". Les rallonges budgétaires destinées à "atténuer les tensions sociales" (augmentation des salaires et subventions de la Caisse de compensation), "risquent d'entraîner un creusement du déficit budgétaire et une hausse de la dette publique".
Ils estiment toutefois que la dette extérieure "d'un poids supportable, est remboursable à des conditions concessionnelles, donc avantageuses". Quant aux exportations, la faiblesse de la demande de l'UE et le niveau élevé des prix du pétrole vont "peser sur la balance commerciale".
Mais, dans une situation financière mondiale "mouvementée, le Maroc dispose d'une certaine capacité de résistance à un retrait brutal de capitaux", grâce notamment à des financements peu volatils, un niveau de réserves correct et un système bancaire "le plus développé d'Afrique (hors Afrique du Sud)" qui demeure "bien capitalisé et rentable".
Sur le plan politique et institutionnel, COFACE retient comme un des "points forts" du Royaume, où le Souverain "reste populaire", les réformes politiques engagées, notamment la réforme constitutionnelle qui vise un "rééquilibrage" par un renforcement des pouvoirs du Premier ministre et du Parlement, une plus grande indépendance de la justice et une régionalisation accrue.
Après la formation du gouvernement de coalition dirigé par M. Abdelilah Benkirane, "beaucoup dépendra de la mise en oeuvre de la nouvelle Constitution, mais aussi des progrès vers une plus grande justice sociale, par le biais d'une réduction de la pauvreté, des inégalités et du chô mage", soulignent les experts de COFACE.
Lundi 16 Janvier 2012 - 20:40
Source MAP _________________ Ne vous demandez pas ce que votre pays peut faire pour vous, mais demandez-vous ce que vous pouvez faire pour votre pays.
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| | | RED BISHOP Modérateur
messages : 12303 Inscrit le : 05/04/2008 Localisation : france Nationalité : Médailles de mérite :
| Sujet: Re: Économie marocaine Mar 17 Jan 2012 - 19:43 | |
| - Citation :
- Notation, risque pays : Le Maroc devenu aussi sûr que plusieurs pays européens ?
17.01.2012 | 14h11 Article lu 1488 fois Réagissez à cet article Par Mohamed Ezzouak
Le ministre des Finances marocain a dû suivre avec anxiété l'annonce de la perte du triple A de notre principal partenaire économique, la France. Si une détérioration de la situation financière de l'hexagone pourrait impacter négativement l'investissement au royaume, des menaces pèsent également sur notre notation BBB-. L'Europe a été giflée par l'agence de notation Standard & Poors. Le Fond européen de stabilité financière FESF vient d’être dégradé d’un cran (AA+) . Mais vendredi dernier, c’était l'Autriche et la France qui sont toutes deux descendues de leur piédestal AAA. C'est évidemment la douche froide pour les Français et surtout le président, Nicolas Sarkozy, qui avait fait du maintien de la note une question de survie... politique.
Les pays d’Europe du sud « rattrapent » le Maroc Liens économique et politique aidant, le Maroc suit avec attention la dégradation de la note française. Pourtant, il y a un autre événement qui mérite d'être souligné : plusieurs pays européens sont en train de "rattraper" le Royaume chérifien suite aux dégradations successives. Ainsi l'Espagne est aujourd’hui plus proche du Maroc (4 crans au dessus) que de sa note maximale AAA qu’elle avait encore fin 2008. L'Italie quant à elle n'est plus qu'à deux crans du Maroc passant à BBB+. Qui aurait pu imaginer il y a quelques mois que la signature de la 6ème puissance économique au monde soit de dans la catégorie « qualité moyenne ou inférieure » avec bon nombre de pays émergents ? Pis, après la Grèce aujourd'hui classée en « junk bonds » (obligations pourries), Chypre (BB+) et le Portugal (BB) passent en catégorie spéculative, c'est à dire en dessous du Maroc qui reste classé en « Investment grade ». Une situation des plus étonnantes mais qui n'est que la résultante d'une violente dégradation du déficit publique de ces pays qui devaient faire face à une crise bancaire et un ralentissement économique inédits depuis de nombreuses décennies.
Et quelles perspectives pour le Maroc ? Le Maroc a quant à lui, fait preuve de résilience malgré la crise économique et financière mondiale et les révoltes arabes. Mais la situation reste fragile et l'objet de nombreuses inquiétudes. Comme nous l'avions déjà souligné sur Yabiladi.com, la situation du déficit budgétaire du pays s'est beaucoup détériorée en 2011. Les concessions (création de postes de fonctionnaires et augmentation de nombreux corps de l'administration) pour calmer la rue qui pouvait emboîter le pas aux autres pays arabes, le poids grandissant de la caisse de compensation subventionnant les produits de premières nécessités (blé, sucre) et pétroliers (carburant, gaz) et la détérioration presque inexorable de la balance commerciale, rendent délicate toute manœuvre financière pour le nouveau gouvernement.
Malgré tous ces événements de l'année écoulée, la note marocaine n'a pas été touchée. Ainsi, fin 2011, Standard & Poor’s a maintenu inchangée la note du Maroc BBB- avec une perspective stable. Mais si la perte de notre triple B serait moins dramatique que celle du triple A de la France du fait de sortie beaucoup plus rare sur les marchés internationaux, il n'en demeure pas moins que le statut « Investment grade », si difficilement acquis, assure au Maroc une crédibilité des plus précieuses au niveau des acteurs économiques étrangers. COFACE estime que le Maroc est aussi sûr que l’Espagne ou l’Italie Le mouvement des notes des pays européens endettés, se confirment également au niveau de l’évaluation du risque pays analysée par COFACE. L’Espagne et l’Italie ont ainsi été dégradées d’un cran et se retrouvent aujourd’hui au même niveau que le Maroc dont la note est resté inchangée depuis 2009 soit la note A4, c'est-à-dire un risque assez faible. Si le Maroc n’améliore pas sa note, il a le mérite de résister dans un contexte régional (politique) et mondial (économique) des plus incertains. La dégradation de la note française, un risque pour le Maroc ? La dégradation de la note française va-t-elle avoir une quelconque conséquence sur le Maroc, la France étant le premier partenaire économique du royaume ? Pour rappel, les échanges commerciaux entre la France et le Maroc ont totalisé 6 milliards d’euros en 2009. « C’est sûr que le Maroc sera touché, la France n’est plus un modèle », lance Mohamed Harakat, économiste. « Par exemple tous les projets de développement signés avec la France vont être certainement mis entre parenthèse. Comment un pays dont la dette représente plus de 78% de son PIB peut-il être un partenaire fiable pour notre pays », poursuit-il. Selon Mohamed Harakat, pour éviter que le Maroc ne soit pris également dans le tourbillon que subit la France, il doit penser diversification. « Le pays s’en ait déjà rendu compte mais il doit chercher à avoir plus de partenaires économiques différents avec notamment les pays arabes, africains et les pays émergents afin de limiter les risques », poursuit-il. Yabiladi Analyse Miragienne: La monde a bien changé ! On l'avait compris... Et cette crise nous montre que les pays européen qui ont toujour cru qu'ils serait puissant pour l'éternités nous montre la vérité de la mondialisation que ces meme européens ont construit et qui s'est finalement retourner contre eux... Maintenant pour le Maroc je croit que c'est une bonne occasion peut etre meme l'unique occasion de retrouver notre indépendance totale... En effet plus de 55 ans aprés la fin du protectorat, le Maroc est toujour rester coller a la France ( et a l'Espagne) économiquement. Il serait temps de maintenant de mettre fin a cette mentalité de colonisé de voir ailleur. Je ne dit pas de mettre fin au relation avec la France et l'Espagne...Mais de diversifier les partenaire et non plus de dépendre de l'Europe de cette manière. On peut jouer la carte de la CCG ou de l'Amérique du Nord, ou meme les BRIC, la Turquie, le Mercosur, etc _________________ | |
| | | RED BISHOP Modérateur
messages : 12303 Inscrit le : 05/04/2008 Localisation : france Nationalité : Médailles de mérite :
| Sujet: Re: Économie marocaine Mar 17 Jan 2012 - 19:58 | |
| - Citation :
- Automobile
Renault Kangoo, champion des ventes au Maroc en 2011
3112 099 voitures particulières et véhicules utilitaires légers écoulés en 2011, soit 8.3% de plus qu'en 2010. Près de la moitié des ventes porte sur des voitures françaises et le groupe Renault se positionne en leader.
Le marché de l’automobile a bien repris en 2011. Au total, 112 099 nouvelles immatriculations y ont été enregistrées, en hausse de 8,3% en comparaison avec 2010. Ce chiffre inclut les voitures particulières et les véhicules utilitaires légers (VUL). Il est cependant loin du record réalisé en 2008 où les ventes avaient totalisé 121 511 unités. Mais si l’on tient compte de la crise économique qui sévit depuis 2008, cette progression peut se lire comme une véritable performance, en particulier pour les voitures particulières dont les ventes ont frôlé les 100 000 unités (99 733 exactement). Et ce sont les marques françaises qui dominent toujours le marché avec 55 591 unités vendues.
Dacia Duster confirme avec une 4e place en à peine 3 ans
Le groupe Renault caracole en tête grâce à quatre modèles qui se placent en haut du tableau des dix meilleures ventes. Le Kangoo de la marque au losange arrive premier avec 11 666 nouvelles immatriculations, détrônant ainsi la Logan, modèle de sa filiale Dacia. Ce VUL transformé en ludospace avec deux portes coulissantes et vitrées à l’arrière et des équipements de confort ne doit pas cette place à ses ventes qui n’ont pas beaucoup changé par rapport à 2009. Il la doit plutôt à la régression sur le marché marocain de la voiture à bas prix de Dacia qui a concédé un repli de 24,6%, à 10 698 unités. Il n’empêche que la marque est loin de s’essouffler. D’autres modèles mieux équipés et relativement bon marché se sont vite imposés. A peine trois années qu’il est introduit sur le marché que le Sandero détient déjà la troisième place des meilleures ventes avec 6 007 unités. Et le Duster a fait mieux encore. Ce 4x2 a séduit les Marocains qui en ont acquis 5 619 unités en 2011 contre 1 085 en 2010, année de son lancement. Et selon les observateurs, il risque de damer le pion à tous ses concurrents pour occuper bientôt la première place. Le succès est tel que le concessionnaire a eu du mal à faire face à la forte demande des clients. Ces derniers devaient attendre deux à trois mois pour être livrés. Mais à partir de 2012, ce délai de livraison sera raccourci grâce notamment au lancement de la production de la nouvelle usine de Renault à Tanger où sera fabriqué, en grandes quantités, ce 4x2 économique.
Kia Picanto, première voiture non européenne
D’autres modèles, bien qu’anciens sur le marché, ont également contribué à l’amélioration des résultats du groupe français. Il en est ainsi de la Megane qui y maintient sa présence avec 1 708 unités vendues (à la 14e place). Et surtout de la Clio, qui effectue un retour en force avec 1 696 nouvelles immatriculations contre seulement 644 en 2010. Ces résultats ont dopé le bilan de Renault avec ses deux marques (sans compter les réalisations de sa marque Nissan considérée comme historiquement asiatique). Il consolide davantage sa position avec 41 501 ventes totales dont 40 102 de voitures particulières et 37% de parts du marché. Les autres marques françaises essayent tant bien que mal de lui tenir tête. Citroën et Peugeot, commercialisées au Maroc par le même concessionnaire, en l’occurrence Sopriam, détiennent un peu plus de 15% avec 17 014 unités commercialisées. Le Citroën Berlingo cartonne toujours avec 3 253 nouvelles immatriculations, lui assurant la cinquième place des meilleures ventes par modèle. Il est suivi par Partner (Peugeot) dont 3 074 unités ont été vendues. Fait notable : on commercialise de moins en moins les versions montées localement de ces VUL adaptés en voitures de tourisme. En 2011, seuls 435 Berlingo et 295 Partner assemblés dans les usines marocaines ont été écoulés sur le marché, contre respectivement 1 512 et 1 873 unités en 2010. Peugeot améliore sa place par le biais des ventes d’un modèle qui séduit encore le consommateur marocain. Ayant subi des liftings qui lui ont donné un coup de jeune et grâce à une politique tarifaire judicieuse, la 206 rencontre un franc succès et totalise le record de 2 932, en hausse de 31% par rapport à l’année d’avant. Grâce à la diversité de ses modèles comme, entre autres, la 207 et l’arrivée de la 507, la marque au lion s’adjuge la première place du tableau de ventes des voitures particulières importées montées, avec 10 034 unités et près de 14% des parts de marché sur ce segment. Première voiture non européenne en termes de vente, la Picanto opère son come-back. La micro citadine qui a fait le bonheur de Kia entre 2006 et 2008 où ses ventes avaient culminé à 4 481 unités, soit la troisième place pour cette année-là, reprend doucement. La nouvelle version lancée il y a quelques mois commence à séduire les Marocains. Il s’en est vendu quelque 2 793 pièces, représentant 61% des ventes totales de la marque sud-coréenne qui ont atteint 4 575 unités. Ford est également en train de réussir son retour avec des modèles séduisants. Elle est parvenue, pour la première fois, à placer deux modèles dans le tableau des 10 meilleures ventes. Et c’est la Focus, première dans le segment des compactes, qui devance la citadine Fiesta à la neuvième position avec 2 316 unités, en hausse de 52% ; sa cadette, elle, a réalisé 2 115 ventes, 3,2% de mieux qu’en 2010.
Automobile : Le Hilux de Toyota domine dans le segment des VUL
Cinq marques trustent le marché des véhicules utilitaires légers sur lequel 12 366 unités ont été écoulées en 2011, en stagnation comparativement avec l’année d’avant. Grâce notamment à son modèle phare Hilux (2 018 ventes, 16% du total des ventes), Toyota arrive en tête avec 2 099 véhicules commercialisés. Il est suivi par Mitsubishi avec 1 664 véhicules dont 1 569 de son modèle L200. Ford occupe la troisième place avec 1 447 ventes dopées essentiellement par le Ranger et le Transit (respectivement 921 et 524 unités). Renault est quatrième avec 1 367 nouvelles immatriculations en tête desquelles se placent Kangoo (989) et Master (377). Quant au Hyundai, il arrive en cinquième place grâce aux ventes de pick-up et de H1 avec respectivement 823 et 454 unités.
Hakim Challot. La Vie éco Les marocains sont des vrais patriotes... Top 5 des voitures vendus Renault Kangoo ( made in Somaca) Dacia Logan (made in Somaca) Dacia Sandero (made in Somaca) Dacia Duster Citroen Berlingo (made in Somaca) _________________ | |
| | | Fremo Administrateur
messages : 24818 Inscrit le : 14/02/2009 Localisation : 7Seas Nationalité : Médailles de mérite :
| Sujet: Re: Économie marocaine Mar 17 Jan 2012 - 20:04 | |
| à SOMACA ont fait le Montage des voitures de Dacia et Renault seulement et ce depuis 2004 ou 2006.
Depuis l'été dernier, La Chaine fait le Montage de 3 Types de Voitures :
- Kangoo ( en 2 versions, l'une pour le Marché Locale et l'export et une spécialement dédiée au marché français )
- Logan ( en versions différentes dont une portant l'emblême de Renault déstinée au marché égyptien
- Sandero et et la Sandero StepWay ( même chose que la Logan )
à noter que les prix pour les voitures exportées et beaucoup moins chère que celui des voitures écoulées dans le Marché marocain à travers la société Renault Maroc _________________ | |
| | | RED BISHOP Modérateur
messages : 12303 Inscrit le : 05/04/2008 Localisation : france Nationalité : Médailles de mérite :
| Sujet: Re: Économie marocaine Mar 17 Jan 2012 - 20:12 | |
| La Sandero serait excelente pour équiper la Sureté Nationale la Sandero Stepway elle serait pas mal pour la Gendarmerie sur autoroute par exemple de meme que les Duster ( s'il sont fabriquer a Tanger) équiperait bien a la fois la Sureté Nationale et la Gendarmerie
En passant ils devrait aussi penser a changer la sérigraphie ( surtout la GR...) _________________ | |
| | | Fremo Administrateur
messages : 24818 Inscrit le : 14/02/2009 Localisation : 7Seas Nationalité : Médailles de mérite :
| Sujet: Re: Économie marocaine Mar 17 Jan 2012 - 21:57 | |
| La Logan est utilisé par la Police en fait _________________ | |
| | | leadlord Colonel-Major
messages : 2787 Inscrit le : 11/07/2010 Localisation : montreal Nationalité : Médailles de mérite :
| Sujet: Re: Économie marocaine Mar 17 Jan 2012 - 22:01 | |
| - mirage a écrit:
- La Sandero serait excelente pour équiper la Sureté Nationale
la Sandero Stepway elle serait pas mal pour la Gendarmerie sur autoroute par exemple de meme que les Duster ( s'il sont fabriquer a Tanger) équiperait bien a la fois la Sureté Nationale et la Gendarmerie
En passant ils devrait aussi penser a changer la sérigraphie ( surtout la GR...) duster chez les far actuellement il a été utilisé durant le africom pour transport de certain officier . si non duster ne sera pas fabriqué au maroc , il aura dacia lodgy le nouveau monospace et la nouvelle berline catégorie C et la chaine de montage pour remplacement de la dacia logan il aura la nouvelle logan en 2012 ou 2013 _________________ Pro rege, saepe, pro patria semper اقسم بالله العظيم ان اكون مخلصا لله و لملكي و ان اتفانى في خدمة وطني و دفع كل خطر يهدده و ان انفد اوامرقائدي الاعلى صاحب الجلالة | |
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