Actualités au Moyen Orient

Rappel du premier message :

barbaros pacha a écrit:

C'est reparti...

Citation :

Gaza: une flottille internationale d'aide partira fin juin

Une flottille internationale doit acheminer "vers la fin juin" de l'aide humanitaire à Gaza, malgré l'échec d'une première tentative en 2010 après un raid israélien, qui avait coûté la vie à neuf turcs, a affirmé mercredi une ONG turque, co-organisatrice du projet.

"Nous partirons vers Gaza vers la fin de juin, après les élections" législatives en Turquie, prévues le 12 juin, a souligné à l'AFP Salih Bilici, porte-parole de l'organisation caritative islamiste IHH.

Initialement, le convoi devait partir fin mai, date anniversaire de la première expédition, attaquée par un commando israélien en 2010, dans les eaux internationales, alors qu'il se dirigeait vers Gaza, sous blocus israélien et contrôlé par le mouvement islamiste palestinien Hamas.

L'IHH veut éviter que la mission ne soit compromise par des polémiques liées à la période électorale en Turquie.
Il a aussi indiqué que les autres organisateurs du projet achèveraient leurs préparatifs d'ici fin juin et partiraient ensemble, sans annoncer leur lieu de départ.

Une commission de coordination de l'opération internationale, "Freedom Flottilla II" s'est réunie le week-end dernier à Athènes. Les organisateurs se sont bornés à dire que le convoi appareillerait "d'un pays en Méditerranée".
Le 31 mai 2010, le ferry turc Mavi Marmara --l'un des bateaux qui transportaient une aide humanitaire-- a été pris d'assaut par l'armée israélienne, entraînant la mort de neuf Turcs.

L'assaut a soulevé des condamnations dans le monde et provoqué une grave crise dans les relations turco-israéliennes.
Le Mavi Marmara participera à la flottille cette année aussi, a ajouté M. Bilici.

De source diplomatique, on précise que l'ambassadeur d'Israël à Ankara Gabby Levy s'est entretenu avec un haut responsable du ministère turc des Affaires étrangères et a demandé que la Turquie intervienne pour prévenir une répétition du scénario précédent.

"Nous avons pris note, nous examinerons", s'est contenté de dire un diplomate turc sous couvert d'anonymat.
Le Premier ministre israélien, Benjamin Netanyahu, a demandé à l'Union européenne d'empêcher l'envoi de cette flottille.

http://www.leparisien.fr/flash-actualite-monde/gaza-une-flottille-internationale-d-aide-partira-fin-juin-13-04-2011-1406333.php

L' année dernière suite à l' assaut des assassins, il a été question d' une riposte militaire turque arrêtée au dernier moment par Obama. Qu'est ce qui va se passer cette année ?
Les citoyens turcs auront ils une escorte militaire ? L' évacuation des blessés libyen sous escorte de frégates et de F16 est elle une mission de préparation à ce type de missions ?
Le départ de la flottille a été repoussé à après les élections législatives turques ? Dans quel but ? Pour ne pas que les décisions qui vont êtres prises n' interfèrent sur la campagne électorale ?

Je ne sais pas pourquoi il m'est avis qu'au mois de juin le large de gaza va être en totale ébullition...

Si le Pentagone dit que les USA ont participé aux frappes, encore récemment, dois-je le croire?

l'Egypte aussi a été l'un des premiers à avoir lancé un programme de missiles balistiques dans l'ère Nacer
un pays de plus de 80millions d'habitants doit avoir sa propre dissuasion surtout qu'ils ont pas mal d'experts en nucléaire

Ce sont les moyens qui ne suivront pas, l'Egypte est embourbé dans ses problèmes pour au moin les 5 prochaines années......

Article Israelien

Citation :

Israël, la Grèce, la Turquie ensemble pour bloquer la flottille.
Leur prochaine étape : la déclaration palestinienne à l’ONU.

DEBKAfile Reportage exclusif 2 juillet 2011, 11:50 AM (GMT+02:00)
Adapté par Marc Brzustowski

Pour © 2011 lessakele et © 2011 aschkel.info



http://www.debka.com/article/21080/





Les garde-côtes grecs interceptent le bateau des militants américains.



Les à peine 350 militants subsistants, sur les 1500 prévus à l’origine, qui projetaient d’envoyer neuf bateaux briser le blocus israélien de Gaza – avec, parmi eux Hamoud Tarek, le gendre de Khaled Meshaal, le dirigeant du Hamas– n’ont jamais imaginé que leur expédition serait stoppée en Grèce et en Turquie, avant même que les navires ne se mettent en route. Ils ne pouvaient sûrement pas deviner que leur flottille de la Liberté II servirait de phase fondatrice de l’alliance pro-américaine israélo-gréco-turque. En effet, l’un des objectifs de ses organisateurs était bien de saboter les relations stratégiques étroites entre Israël et la Grèce.



Les organisateurs ont découvert leur erreur, vendredi 1er juillet, quand les vedettes des commandos des garde-côtes grecs ont escorté l’américain « Audace de l’Espoir » et qu’Athènes déclare qu’il arrêtera tout autre navire au départ pour Gaza – même s’il est la propriété d’un citoyen grec.


Pourtant, comment se fait-il que le Premier Ministre grec George Papandreou et ses agences de sécurité puissent encore trouver du temps pour s’occuper de la flottille, à un moment où son gouvernement lutte pour survivre contre les centaines de milliers de manifestants furieux qui s’en prennent aux sévères mesures d’austérité qu’il a imposées dans son combat pour remettre à flots son économie ?



Le gouvernement Papandreou n’a pas agi seul. Le Premier Ministre turc a tranquillement empêché le Mavi Marmara, le navire turc qui dirigeait la première flottille pro-palestinienne, l’an dernier, de prendre part à la seconde flottille. Son agence de sécurité, le MIT, a aussi averti le groupe islamiste turc IHH de ne pas se joindre à l’expédition – même à bord de vaisseaux voguant depuis des ports à l’extérieur du pays. Les navires de la flottille ont été mystérieusement sabotés dans les ports grecs et turcs. Ce plan d’actions méticuleusement coordonné sont le fruit des développements régionaux déterminants, exposés ici par Debkafile :



1. Ce regain de compréhension mutuelle prend sa vitesse de croisière depuis mai, entre deux homes, le Président américain Barack Obama et le Premier Ministre turc Erdogan. Il a commencé à se traduire en actions stratégiques conjointes, ici et là, dans le monde arabe et au Moyen-Orient, de la Libye jusqu’en Syrie et au-delà, vers le royaume pétrolier du Bahreïn, dans le Golfe persique. Obama a récompensé Erdogan par le prix qu’il convoitait depuis longtemps, en tant que courtier dans le conflit israélo-palestinien, ce par quoi le Président américain a tenté de manœuvrer Ankara pour qu’il opère un replâtrage dans sa querelle avec Jérusalem et qu’il restaure les relations militaires vieilles de plusieurs décennies, rompues à l’occasion de la mort de 9 individus sur le Mavi Marmara, l’an passé.



Ce revirement est encore à l’état naissant. Des problèmes d’une importance exceptionnelle assombrissent encore la relation, insistent les sources de Debkafile, comme la collaboration étroite de la Turquie avec l’Iran, sur le plan économique et du renseignement, l’ambition d’Erdogan de diriger le monde arabo-musulman et jusqu’à quel niveau Israël est susceptible de se joindre aux politiques turques qui continuent de lui être hostiles.



Urged by Obama, Erdogan has already taken a major step towards Israel by drawing the fire of the second pro-Hamas flotilla this year.




2. Les mesures anti-israéliennes prises par Ankara, au court de la dernière année, et l’entente du gouvernement Erdogan avec le régime iranien du Président Ahmadinedjad – ainsi qu’un dépouillage conséquent de la présence militaire américano-israélienne en Turquie – ont conduit Israël à renforcer ses liens politiques et militaires avec la Grèce et les nations de l’ancien bloc soviétique sur les rives de la Mer Noire. Aujourd’hui, les forces aériennes israéliennes ont l’autorisation d’opérer depuis les bases de Grèce, de Bulgarie et de Roumanie ; Israël est, patiemment, en train d’aider Athènes à soulager ses maux économiques, par l’entremise de ses réseaux dans la finance internationale. L’Administration Obama vise à coopter la Grèce dans le cadre d’accords stratégiques évolutifs entre Washington, Ankara et Jérusalem. L’opération de police contre la Flottille de la Liberté II, réalisée par le gouvernement Papandreou, était la première action publique d’Athènes, en marque de soutien de cette alliance qui est en train de prendre forme dans l’Est de la Méditerranée.



A l’opposé du Hamas et de ses alliés gauchistes occidentaux, organisateurs de la seconde flottille, le Président de l’Autorité Palestinienne, Mahmoud Abbas s’est vite aperçu de l’émergence de ce nouveau bloc mondial, qui harmonise ses vues et de son potentiel à peser sur ses propres projets. Il a, par conséquent, rendu visite au Premier Ministre turc le 24 juin pour un test préliminaire, lui permettant de goûter la température de l’eau et voir si les Palestiniens pourrait la trouver à leur goût et pour quel bénéfice.





Le dirigeant palestinien en est revenu plongé dans un profond dilemme : s’il poursuit jusqu’à terme son projet de reconnaissance d’un état palestinien en septembre, il se devra de composer avec un bloc puissant conduit par les Etats-Unis, la Grèce, la Turquie et Israël, renforcés par 40 autres nations déterminées à ce qu’il en aille de son initiative comme il en a été de la « flottille de la liberté ».



Sa seconde option est d’abandonner son plan à l’ONU et voir s’il ne pourrait pas quémander un tour de manège au sein de l’alliance américano-turque, aux côtés d’Israël et de la Grèce.



Une telle décision d’Abbas, d’abandonner son option unilatérale à l’ONU, ne soulignerait pas seulement l’efficacité de cette nouvelle alliance à geler préventivement la flottille, mais elle tirerait un trait sur les espoirs des détracteurs du gouvernement Netanyahou – à l’intérieur et à l’extérieur du pays- qui comptaient sur le stratagème onusien pour déclencher une tempête et semer l’instabilité autour du Premier Ministre israélien, de façon à le noyer pour de bon.

( si l'information se confirme ) Bravo aux turques pour ce sabotage organisé, ont ils déjà oublié leurs 7 citoyens lâchement tués par Tsahal ? pathétique... C'est pas demain que le Turquie se débarrassera de sa triste réputation de pays ' "girouette"...

9 citoyens. Pas 7. 8 de nationalité turc et 1 de nationalite US d' origine turc.

Non on les oublie pas. D' ailleurs Israel va payer des dédommagements à leurs familles...

Esad a écrit:

9 citoyens. Pas 7. 8 de nationalité turc et 1 de nationalite US d' origine turc.

Non on les oublie pas. D' ailleurs Israel va payer des dédommagements à leurs familles...

c'est le minimum syndical, si je peux me permettre...

farewell a écrit:

Esad a écrit:

9 citoyens. Pas 7. 8 de nationalité turc et 1 de nationalite US d' origine turc.

Non on les oublie pas. D' ailleurs Israel va payer des dédommagements à leurs familles...

c'est le minimum syndical, si je peux me permettre...

Oui c'est le minimum. Mais c'est aussi le maximum. Quant tu te retrouves seul au mois de mars face à tous, y compris les Arabes, tu comprends que certaines causes ne valent peut être pas forcément qu'il y ait plus de confrontation.

Nous avons fait ce que nous pouvions pour nos frères palestiniens. Nous avons permis que le blocus de gaza soit allégé. Nous avons permis une couverture médiatique planétaire en payant cette couverture de la vie de 9 ressortissants.

Que faire de plus ? La guerre à Israel ? Pourquoi ?

et les excuses officielles que demandait la Turquie?

Sa sera des "regrets" de l'état d'Israel

C'est le seul point qu'il reste à régler. Les Israéliens disent que si ils présentent des excuses ils reconnaitraient de facto l'illégalité de leur intervention. Ils veulent présenter des regrets pour les victimes.

Il faut que les familles des victimes prennent position. Si des regrets et une indemnisation atténue leur souffrances suite à la perte d' un proche alors on s' en contentera.

La Realpolitik... encore et toujours...

Esad a écrit:

La Realpolitik... encore et toujours...

Ce qui peut se comprendre, la Turquie a d'énorme intérêt avec les US, car il faut pas se voiler la face se sont eux qui ont fait pression pour éviter à Israel de rester isoler dans la région

ce sont vos ognions ca,si vous turcs pensez que c´est bon alors on a rien a dire
c´est ce qu´on disait au debut de la campagne Libye,faut pas moraliser,mais faire realpolitics,si c´est dans l´interet du pays.
reste a voir si debka est credible sur ce coup..

Esad a écrit:

farewell a écrit:

Esad a écrit:

9 citoyens. Pas 7. 8 de nationalité turc et 1 de nationalite US d' origine turc.

Non on les oublie pas. D' ailleurs Israel va payer des dédommagements à leurs familles...

c'est le minimum syndical, si je peux me permettre...

Oui c'est le minimum. Mais c'est aussi le maximum. Quant tu te retrouves seul au mois de mars face à tous, y compris les Arabes, tu comprends que certaines causes ne valent peut être pas forcément qu'il y ait plus de confrontation.

Nous avons fait ce que nous pouvions pour nos frères palestiniens. Nous avons permis que le blocus de gaza soit allégé. Nous avons permis une couverture médiatique planétaire en payant cette couverture de la vie de 9 ressortissants.

Que faire de plus ? La guerre à Israel ? Pourquoi ?

je parlais des israeliens quand je disais c'est le minimum syndical, concernant les turcs rien a leur encontre...

cordialement

Citation :

Egypt: Explosion hits gas pipeline in northern Sinai


Continue reading the main story A pipeline carrying gas from Egypt to Israel and Jordan has been hit by an explosion, officials have said.

The blast happened at a pumping station at Nagah, in the Bir al-Abd region of the North Sinai governorate.
One security source told the AFP news agency that the pipeline had been bombed by saboteurs.
If confirmed, it would be the third attack on a pipeline in Sinai since February, when a popular uprising toppled President Hosni Mubarak.
The security source told AFP that a car parked near the pipeline shortly before the blast. Previous attacks have been blamed on armed gangs.
The explosion sent flames into the sky and cut the flow of gas.
Emergency services have been deployed to the area to try to bring the fire under control. There have so far been no reports of any casualties.
Jordan depends on Egyptian gas to generate 80% of its electricity, while Israel gets 40% of its natural gas from its neighbour.
Egypt began supplying Israel with gas in 2008 under a 20-year deal, despite widespread public opposition because of Israel's blockade of the Gaza Strip and claims that Israel was being offered preferential rates

.bbc.co.uk

Citation :

En bloquant la flottille, Athènes réchauffe ses relations avec Israël


La décision de la Grèce d'empêcher l'appareillage de la flottille d'aide pour Gaza, vendredi 1er juillet, est le dernier signe visible du rapprochement entre la Grèce et Israël amorcé durant l'été 2010. Dans un communiqué publié par le ministère des affaires étrangères grec, dimanche 3 juillet, Athènes a justifié l'interception du bateau américain Audacity of Hope par ses garde-côtes en se disant "principalement préoccupée par la protection de la vie humaine". Le ministre des affaires étrangères israélien, Avigdor Lieberman, a quant à lui estimé dimanche que le blocage de la flottille était le fruit de "l'action diplomatique" d'Israël, notamment auprès des Grecs.



La Grèce, qui a attendu 1991 pour reconnaître officiellement l'Etat d'Israël et qui a longtemps été pro-arabe, a équilibré sa politique étrangère vis-à-vis de l'Etat hébreu au début des années 2000. Ministre des affaires étrangères à cette époque, l'actuel premier ministre grec, Georges Papandréou, avait alors multiplié les tentatives de médiation dans le conflit israélo-palestinien. L'été 2010 a marqué une étape supplémentaire dans les relations bilatérales entre les deux pays. M. Papandréou a ainsi d'abord effectué en juillet un voyage officiel en Israël. Puis, le mois suivant, c'est le premier ministre israélien, Benyamin Nétanyahou, qui se rendait à Athènes. Un déplacement historique puisqu'il s'agissait de la première visite officielle d'un chef de gouvernement israélien en Grèce.

COOPÉRATION ACCÉLÉRÉE DEPUIS LE FROID ISRAÉLO-TURC

"La Grèce a maintenant rééquilibré ses relations avec Israël, surtout depuis que, de son côté, la Turquie a refroidi ses relations avec l'Etat hébreu. C'est un équilibre à trois", estime Paolo Odorico, directeur du Centre d'études byzantines, néo-helléniques et sud-est européennes. La visite de M. Nétanyahou à Athènes s'est en effet produite au moment où les relations diplomatiques se sont refroidies entre Israël et la Turquie, rival traditionnel de la Grèce et allié stratégique d'Israël dans la région, mais dont neuf ressortissants ont trouvé la mort, le 31 mai 2010, lors du raid israélien contre la flottille d'aide humanitaire qui se dirigeait vers Gaza.

MM. Nétanyahou et Papandréou ont notamment discuté d'une coopération militaire qui a abouti, en octobre 2010, à des exercices conjoints dans le sud de la Grèce entre les aviations israélienne et grecque. Selon un responsable de l'armée israélienne citée par le magazine Israel Defense, "les Grecs sont très certainement heureux de prendre la place de la Turquie en tant qu'allié [d'Israël] dans le bassin est de la mer Méditerranée".

Les relations entre la Grèce et Israël ne se limitent pas aux questions militaires. La visite à Athènes, du 12 au 16 janvier 2011, du ministre des affaires étrangères israélien, Avigdor Lieberman, l'a démontré. A l'issue de sa rencontre avec son homologue grec, Dimitris Droutsas, la création d'un conseil de coopération a été annoncée. Celui-ci doit couvrir des domaines aussi variés que l'économie, le tourisme, la culture, l'énergie, le développement agricole ou les hautes technologies. Et compte tenu de sa situation économique, "la Grèce ne veut surtout pas mettre à mal sa relation avec Israël", affirme Denis Bauchard, conseiller pour le Moyen-Orient à l'Institut français des relations internationales (IFRI).

Romain Brunet, avec AFP

Le Monde

PGM

Apparemment la Turquie aurait renoncé aux excuses publique en échange d'une minimalisation du soutient gouvernementale à IHH;

Citation :

Ya'alon to discuss flotilla report with Turks

Minister heads to New York to meet Turkish, US officials ahead of Palmer report's publication

Attila Somfalvi
Published: 07.05.11, 09:37 / Israel News


Minister Moshe Ya'alon will meet Turkish and American representatives in New York this week to discuss the Palmer report on the 2010 flotilla raid which will be published Thursday.



The parties will try to reach an understanding whereby Israel will not be required to apologize to Turkey and in exchange will not highlight aspects reflecting poorly on Ankara. They will also consider the possibility of setting up a Turkish fund for victims of the Marmara raid which Israel will finance.


State officials said that should the parties reach understandings Israel will help Turkey render the report irrelevant, particularly by avoiding addressing aspects of the report which touch upon on Ankara's ties with the IHH and involvement in the flotilla.


It was also suggested that Israel is interested in improving its relations with Turkey and wishes to arrange a meeting with high-ranking officials, apparently referring to Defense Minister Ehud Barak. Barak stated he seeks reconciliation with Ankara.



Meanwhile, Prime Minister Benjamin Netanyahu has tasked Internal Security Minister Yitzhak Aharonovitch with handling the planned pro-Palestinian fly-in to the Ben Gurion Airport.



"The decision was made for the purpose of coordinating the activity of government offices and professional elements which enforce law and order."

http://www.ynet.co.il/english/articles/0,7340,L-4091156,00.html

Citation :

Chypre: 12 morts dans l'explosion dévastatrice d'une cargaison d'armes

- Publié le 11/07/2011 à 20:17



Chypre: 12 morts dans l'explosion dévastatrice d'une cargaison d'armes

Un comité du Conseil de sécurité des Nations unies avait conclu en mars dernier que cette cargaison était en violation avec l'embargo sur les armes imposé à l'Iran dans le cadre des sanctions de l'ONU sur Téhéran en raison de son programme nucléaire controversé.

L'explosion d'une cargaison d'armes iranienne a fait 12 morts et 62 blessés, dont deux graves, lundi matin sur la principale base navale du sud de Chypre, l'accident militaire le plus grave depuis l'invasion du nord de l'île par la Turquie en 1974.

Le commandant de la marine chypriote, Andreas Ioannides, et le commandant de la base, Lambros Lambrou, ont été tués, ainsi que quatre officiers et six pompiers. Le gouvernement a décrété un deuil national de trois jours.

L'explosion a fortement endommagé la principale centrale thermique de l'île, quasi attenante à l'enceinte militaire, qui a stoppé net sa production alors qu'elle fournissait 60% de l'électricité de Chypre.

Les réparations pourraient prendre des semaines, voire des mois, entraînant sur toute l'île d'importantes coupures d'électricité, ainsi que d'eau, dans la mesure où les usines de dessalinisation, très énergivores, ont été arrêtées.

Dans ce contexte, la Bourse de Nicosie a plongé de plus de 7% lundi.

La déflagration a aussi endommagé des véhicules et des bâtiments et soufflé toutes les fenêtres dans les villages de Mari et de Zygi, très prisés des touristes pour leurs restaurants de poissons. Certains habitants ont été évacués dans la matinée mais ont pu regagner leur maison.

La circulation sur l'unique autoroute reliant la capitale Nicosie, dans le centre de l'île, à Limassol, la deuxième ville du pays, sur la côte septentrionale, a été coupée plusieurs heures, la route passant à moins d'un kilomètre de la base militaire.

Les automobilistes qui s'y trouvaient lors de la série d'explosions ont raconté avoir vu des débris voler dans les airs. Des habitants des villages voisins ont dit avoir entendu une énorme explosion, qu'ils ont d'abord attribuée à un accident d'avion pour certains ou à un tremblement de terre.

L'accident, provoqué par des feux de broussailles partis de la campagne environnante, s'est produit à 5H50 (2H50 GMT) dans un local du camp Evangelos Florakis, où étaient entreposés 98 conteneurs de poudres à canon qui faisaient partie d'une cargaison d'armes saisie en mer en 2009 sur un navire en provenance d'Iran et à destination de la Syrie.

Le souffle a été tel qu'il ne reste plus aucune trace du dépôt d'armes, seulement un cratère, a raconté le président du Parlement, Yiannakis Omirou, après s'être rendu sur les lieux dont l'accès est interdit à la presse. Depuis la route, seule une tour de garde semblait avoir résisté à l'explosion.

Les munitions iraniennes qui ont explosé avaient été saisies en janvier 2009 sur un navire battant pavillon chypriote qui faisait route vers la Syrie. L'ONU a conclu en mars qu'elles étaient en violation avec l'embargo imposé à l'Iran dans le cadre des sanctions liées à son programme nucléaire controversé.

Il s'agit d'une "tragédie aux dimensions bibliques", a commenté le ministre chypriote du Commerce, Antonis Paschalides, sur la radio publique, tandis que l'opposition s'est déchaînée contre cette catastrophe annoncée.

Le ministre de la Défense, Costas Papacostas, et le commandant de la Garde nationale, Petros Tsaliklides, ont démissionné. Selon la radio publique et l'agence chypriote CNA, de haut gradés de la Garde nationale s'étaient récemment inquiétés des conditions d'entreposage de cette cargaison d'armes.

L'Union européenne et l'ONU ont proposé leur aide. La Grèce a envoyé des experts en explosifs pour aider à l'enquête et promis deux générateurs pour soutenir la production d'électricité.

Les autorités ont appelé la population au civisme pour limiter la consommation d'électricité, exhortant en particulier à limiter l'usage des climatiseurs, alors que les températures oscillent entre 35 et 40 degrés celsius en cette saison sur l'île.

A Paris, l'office du tourisme chypriote a diffusé un communiqué assurant que les aéroports, les hôtels et les sites touristiques fonctionnaient normalement, tout en appelant les touristes à limiter eux aussi l'usage des climatiseurs.

http://www.lepoint.fr/monde/chypre-12-morts-dans-l-explosion-devastatrice-d-une-cargaison-d-armes-11-07-2011-1351696_24.php

Enfin, elle le dit..

Citation :

Hillary Clinton érige la Turquie en modèle pour le printemps arabe

Hillary Clinton, chef de la diplomatie américaine, et le Premier ministre turc Tayyip Erdogan lors d'une rencontre au Palais de Dolmabahce à Istanbul, le 16 juillet 2011

ISTANBUL - Hillary Clinton, chef de la diplomatie américaine, a érigé samedi la Turquie en modèle pour le monde arabe en mutation, reconnaissant son rôle croissant dans la région, mais déplorant des atteintes à la liberté de la presse.

"La région, et les peuples du Moyen-Orient et de l'Afrique du Nord en particulier, veulent retirer les leçons de l'expérience de la Turquie. Il est vital qu'ils apprennent les leçons que la Turquie a apprises et qu'elle met en pratique tous les jours", a déclaré la secrétaire d'Etat lors d'une conférence de presse à Istanbul avec son homologue Ahmet Davutoglu.

"L'histoire de la Turquie rappelle que le développement démocratique dépend de dirigeants responsables", a-t-elle ajouté: "Il est important que ces dirigeants responsables se fassent les mentors de la nouvelle génération de dirigeants dans ces pays".

Après la réunion du Groupe de contact sur la Libye vendredi, Mme Clinton a consacré à des entretiens bilatéraux et à une interview télévisée de près d'une heure le second et dernier jour de sa visite en Turquie.

Elle en a profité pour affirmer haut et fort la vigueur des liens "solides" entre Washington et l'unique pays musulman membre de l'Otan.

Son homologue Ahmet Davutoglu a renchéri à ses côtés, décrivant une "relation bilatérale parmi les mieux structurées au monde". Le ministre turc a aussi encensé "un partenariat moderne" allant plus loin que le simple lien d'intérêt stratégique et insisté sur les investissements économiques croisés entre les deux pays, qui ont encore progressé de 50% depuis le début de 2011.

Ces protestations d'amitié succèdent à plusieurs controverses qui avaient suscité des commentaires inquiets aux Etats-Unis sur une possible "dérive vers l'Est" de la Turquie.

Ankara est resté en froid avec Israël, l'un des alliés les plus proches des Etats-Unis, depuis la querelle de la flottille d'aide pour Gaza en 2010, dont neuf membres turcs ont été tués dans une opération de l'armée israélienne.

La Turquie avait aussi vivement contesté, l'année dernière, l'imposition par l'ONU de nouvelles sanctions à l'Iran en raison de son programme nucléaire.

Le pays, qui bénéficie d'une croissance de plus de 10% par an, a respecté les sanctions, tout en continuant de développer son commerce avec l'Iran.

Sous la houlette du gouvernement islamo-conservateur de Recep Tayyip Erdogan, la diplomatie turque n'hésite pas à faire entendre sa différence et pèse de plus en plus sur les principaux dossiers régionaux, de l'Iran au processus de paix israélo-palestinien, en passant par la Syrie et au Liban.

Au printemps, Ankara a par exemple critiqué les frappes aériennes occidentales contre la Libye, avant de durcir sa position contre le régime libyen. Et en mai, M. Erdogan a appelé le colonel Kadhafi à quitter le pouvoir.

Washington a par ailleurs été impressionné par l'accueil récent de milliers de réfugiés syriens à la frontière turque.

Mme Clinton a reconnu cet impact samedi en qualifiant la Turquie de "leader dans la région et au-delà, un allié de valeur face aux défis mondiaux les plus pressants".

Elle a aussi contesté l'idée que la Turquie ait à choisir entre l'Occident et l'Orient, et réaffirmé le "soutien entier et enthousiaste" de Washington à l'entrée de la Turquie dans l'Union européenne.

Seule ombre dans ce tableau laudateur, la secrétaire d'Etat a froncé les sourcils à propos des arrestations de journalistes --plus de 50 depuis le début de l'année--, une tendance qu'elle a jugée "préoccupante" et "incohérente avec toutes les avancées de la Turquie".

"Je ne pense pas qu'il soit nécessaire, ni dans l'intérêt de la Turquie, de réprimer les journalistes, les blogeurs ou l'internet", a-t-elle dit.

Par AFP

Faut pas exagérer, je respecte la Turquie pour son développement rapide et efficace, mais delà à dire que c'est un modèle, il y a un pas que je ne franchirait pas....de toute manière Clinton dis ce genre de truc pour avoir des contrat avec la Turquie...à la realpolitick...

snak-boss a écrit:

Faut pas exagérer, je respecte la Turquie pour son développement rapide et efficace, mais delà à dire que c'est un modèle, il y a un pas que je ne franchirait pas....de toute manière Clinton dis ce genre de truc pour avoir des contrat avec la Turquie...à la realpolitick...

Je partage ton point de vue. Finalement, les arabes trouveront le choix parmi plusieurs modèles à suivre pour leur printemps, les occidentaux eux tardent à trouver les siens. Par ce qu'il faut pas trop se voiler la face, les cessations de paiement comme aboutissement de la crise économique pour ces pays s'avèrent imminentes.

snak-boss a écrit:

Faut pas exagérer, je respecte la Turquie pour son développement rapide et efficace, mais delà à dire que c'est un modèle, il y a un pas que je ne franchirait pas....de toute manière Clinton dis ce genre de truc pour avoir des contrat avec la Turquie...à la realpolitick...

L'Egypte et la Turquie sont des vitrines et des jumeaux, on a eu les mêmes problèmes socio-politique, l'armée est dirigé plus ou moins le pays, les frères musulmans des deux pays été en opposition et la répression des mouvements politiques en dehors du parti au pouvoir ont étaient intense, les deux pays se reposer sur le nationalisme-socialiste, dans les deux pays, on a renversé les monarchies corrompus et laxiste à l'ordre de l'Occident, des idées révolutionnaires nationalistes ont circuler dans les deux pays, etc... Tout le monde sait, que Nasser à été inspirer par Atatürk dans sa politique nationaliste, c'est bizarre, le nassérisme et le kémalisme se ressemble beaucoup.

Oui, la Turquie peut être un modèle pour l'Egypte et la Syrie, concernant la Libye, notre passé historique et culturelle influencera la politique libyenne.

D'autre exemple? Le parti EnNahda en Tunisie à le soutien plus ou moins de l'AKP, pareil pour le PJD au Maroc et les frères musulmans en Egypte.

La Turquie a fait réunir l'opposition syrienne à Istanbul, et la crise politique en Irak à été résolu par la Turquie.

Baybars a écrit:

snak-boss a écrit:

Faut pas exagérer, je respecte la Turquie pour son développement rapide et efficace, mais delà à dire que c'est un modèle, il y a un pas que je ne franchirait pas....de toute manière Clinton dis ce genre de truc pour avoir des contrat avec la Turquie...à la realpolitick...

L'Egypte et la Turquie sont des vitrines et des jumeaux, on a eu les mêmes problèmes socio-politique, l'armée est dirigé plus ou moins le pays, les frères musulmans des deux pays été en opposition et la répression des mouvements politiques en dehors du parti au pouvoir ont étaient intense, les deux pays se reposer sur le nationalisme-socialiste, dans les deux pays, on a renversé les monarchies corrompus et laxiste à l'ordre de l'Occident, des idées révolutionnaires nationalistes ont circuler dans les deux pays, etc... Tout le monde sait, que Nasser à été inspirer par Atatürk dans sa politique nationaliste, c'est bizarre, le nassérisme et le kémalisme se ressemble beaucoup.

Oui, la Turquie peut être un modèle pour l'Egypte et la Syrie, concernant la Libye, notre passé historique et culturelle influencera la politique libyenne.

D'autre exemple? Le parti EnNahda en Tunisie à le soutien plus ou moins de l'AKP, pareil pour le PJD au Maroc et les frères musulmans en Egypte.

La Turquie a fait réunir l'opposition syrienne à Istanbul, et la crise politique en Irak à été résolu par la Turquie.

le seul point faux dans ton raisonnement est que la guerre froide est fini , ce qui a profité a la turquie économiquement , que il été alier des USA , contrairement a l'égypte qui est ennemie de israil , et pas que politique d'état mais populairement .

leadlord a écrit:

le seul point faux dans ton raisonnement est que la guerre froide est fini , ce qui a profité a la turquie économiquement , que il été alier des USA , contrairement a l'égypte qui est ennemie de israil , et pas que politique d'état mais populairement .

L'Egypte et Israël sont en paix. Les deux pays (Egypte & Turquie) sont alliés au Américains et les deux pays contrôle des voies maritimes stratégique pour les Usa. Ou encore, les deux pays coopère plus ou moins avec Israël.

Le plus important, l'Egypte et la Turquie sont des voisins maritimes.

Baybars a écrit:

L'Egypte et la Turquie sont des vitrines et des jumeaux, on a eu les mêmes problèmes socio-politique, l'armée est dirigé plus ou moins le pays, les frères musulmans des deux pays été en opposition et la répression des mouvements politiques en dehors du parti au pouvoir ont étaient intense, les deux pays se reposer sur le nationalisme-socialiste, dans les deux pays, on a renversé les monarchies corrompus et laxiste à l'ordre de l'Occident, des idées révolutionnaires nationalistes ont circuler dans les deux pays, etc... Tout le monde sait, que Nasser à été inspirer par Atatürk dans sa politique nationaliste, c'est bizarre, le nassérisme et le kémalisme se ressemble beaucoup.

Oui, la Turquie peut être un modèle pour l'Egypte et la Syrie, concernant la Libye, notre passé historique et culturelle influencera la politique libyenne.

D'autre exemple? Le parti EnNahda en Tunisie à le soutien plus ou moins de l'AKP, pareil pour le PJD au Maroc et les frères musulmans en Egypte.

La Turquie a fait réunir l'opposition syrienne à Istanbul, et la crise politique en Irak à été résolu par la Turquie.

De quel soutien tu parles ! pour renverser le régime? C'est bien de rêver mais pas trop, ça risque de devenir ridicule. A présent le recrutement de 500 000 soldats par l'armée turc n'avait pas pour but d'absorber le chômage mais pour se préparer à envahir ses voisins arabes.