Sujet: Re: Actualités nationales Jeu 17 Nov 2011 - 17:55
Rappel du premier message :
yassine1985 a écrit:
Mais qui te parle de convictions c'est 'gens' là c'est pas des humanitaires c'est des Business Men planétaire, les conflits comme cela ils en raffolent soit c'est des cartes de pressions qui peuvent se loué aux amis, soit c'est des gisements de $ .
Je te l'accorde à sidi yallah je vais être sympa iwa, ça change quoi? Admettons que ce soit vrai, ça ne change rien.
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Sujet: Re: Actualités nationales Ven 13 Jan 2012 - 0:43
oui je vois , on en a plein chez nous
Northrop General de Division
messages : 6028 Inscrit le : 29/05/2007 Nationalité : Médailles de mérite :
Sujet: Re: Actualités nationales Ven 13 Jan 2012 - 1:04
mirage a écrit:
Rien des illuminés, qui discute avec le Prophéte ( Saws) tous les soirs, des gens qui seraient capable de traverser les murs, des grands voyants, ils ont vus dans leurs boules de cristal la grande révoltes qui aller balayer le pouvoir en....2006...aprés je ne sais pas s'il parlais du calendrier musulman... Ou meme l'invasion du Maroc par l'Espagne en 2007/2008... D'ailleur le vieux prétent que son livre a plus de valeur que....le Noble Coran
Hassan II avait décider de le mettre dans un asile psychatrique, il avait raison...
Il était vraiment sacré Feu H2.
Mais ces gens il ne faut pas les prendre au serieux, défois je prend plaisir a discuter avec eux..
_________________
الله الوطن الملك
RED BISHOP Modérateur
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Sujet: Re: Actualités nationales Ven 13 Jan 2012 - 9:20
Un loser libéré
Citation :
Maroc: un rappeur contestataire libéré
Notre ami, le chanteur attitré des Ratés, qui ne trouve audiance qu'auprés des loser du 20 F, a été libéré, il a enfin la pub qu'il voulais pour qu'on puissent s'intéréser a lui ( c'est mieux que la Star Ac !) Faut aussi dire que notre pote qui a trop regarder 8 Miles, qui se croit en Seine-Saint-Denis ou dans le Bronx, se trouve etre magasinier a Marjane. C'est vrai que magasinier a Marjane, c'est chiant, faut se lever tot, avec les filles c'est pas trop ca, la paie aussi, en plus c'est le tonton qui ma pistoner la dedan, etc. Normal donc que notre pote qui veut etre riche et célebre des.....24 ans. A décider de se lancer dans le rap. Mais comme il chante comme une casserolle, tous le monde s'en fou de lui. Mais bon il y a le printemps arabe ! Pauvre Bouazizi ! Combien de loser profiterons de sa mort pour exister !
Il a pas encore compris que le temps des casquet a l'envers étais fini surtout quand on a 24 ans...
Bref un autre loser
_________________
Invité Invité
Sujet: Re: Actualités nationales Ven 13 Jan 2012 - 10:50
il faut pas dire que c'est un looser, c'est celui qui la mis en prison le looser. meme si le style ne plait pas a tout le monde, personnellement je deteste, ca fais partie de la liberte d'expression, en france ya plein de groupe de rap qui sont parfois dure contre le gouvernement, en algerie il faut ecouter les parole de certain rappeur qui sont tres connu meme a l'international et qui se prive pas de critiqué la police, le president le gouvernement etc et pourtant il risque pas la prison. le maroc est pourtant de loin un pays plus ouvert que l'algerie on doit quand meme avoir le droit d'ouvrir sa gueule
sorius Commandant
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Sujet: Re: Actualités nationales Ven 13 Jan 2012 - 10:54
video chomeurs qui exsigent l integration dans la fonction public et benkirane s engage a les rencontrer pour les ecouter
benkirane devrait faire plusieurs concours au niveau nationale repartie sur l annee ou les deux ou trois ans pour les postes dipos et vote dans la loi de finances ils veulent que le maroc soit composes de fonctionnaire aussi le programme de creation et d aide pour les jeunes (etat banque et privee) doit pousser ces jeunes a vivre une avanture pour eux et leurs pays comme associer leurs jeunes entreprise dans des grand projet, sinon je finirais par croire qu ils sont nuls
en tout je trouve l idee de proposer a ces jeunes la creation pour (un ou plusieurs chomeurs) une entreprise qui va s integret dans un projet etat privee comme l industrie le conseil le batiment et qui va leurs assurer un an de travail apres a eux de se demerder biensur que le nombre de ces entreprises ne doit pas faire de l ombre aux autres existante
donc deux volets, des concours pour la fonction public avec un nombre de place dispo sans passe droit meme eux 'les etudiants' peuvent etre la pour surveiller le deroulement et donc plus de contestation
et des concours ou test ou proposition pour le reste (diplome ou pas, tout chomeurs confendu) qui veulent vivre l aventure dans l entreprenariat,quand au recale, l annee prochaine sera la bonne pour eux 'peut etre" s il revise et travail leurs concours au lieu de passer le temps dans les rues" ou une formation professionnelle dans les centres de formations pour acquerir un metier afin de mieux repreparer un projet dans le cadre que j ai cite precedement ou travailler dans le prive et la boucle et boucle
a ce que je sache un diplome ne veut nulement dire un contrat dans la fonction public garantie
finalement inscrire des l annee prochaine ou meme cette annee au futur diplome que l etat ne garantie pas un travail dans la fonction public si le jeune valide son diplome comme ca c 'est claire dés la premiere annee enfin c'est ma proposition pour benkirane
Dernière édition par sorius le Ven 13 Jan 2012 - 11:24, édité 2 fois
docleo Modérateur
messages : 2433 Inscrit le : 03/09/2008 Localisation : de garde Nationalité : Médailles de mérite :
Sujet: Re: Actualités nationales Ven 13 Jan 2012 - 11:10
zapbox a écrit:
il faut pas dire que c'est un looser, c'est celui qui la mis en prison le looser. meme si le style ne plait pas a tout le monde, personnellement je deteste, ca fais partie de la liberte d'expression, en france ya plein de groupe de rap qui sont parfois dure contre le gouvernement, en algerie il faut ecouter les parole de certain rappeur qui sont tres connu meme a l'international et qui se prive pas de critiqué la police, le president le gouvernement etc et pourtant il risque pas la prison. le maroc est pourtant de loin un pays plus ouvert que l'algerie on doit quand meme avoir le droit d'ouvrir sa gueule
Il a blesse quelque un avec a l appui un certificat médical et des témoins, c est pas le fait de critiquer l Etat, on en a comme ça mais comme d habitude passe inaperçu tellement ils sont ignores par la société.
_________________ Ne vous demandez pas ce que votre pays peut faire pour vous, mais demandez-vous ce que vous pouvez faire pour votre pays.
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Sujet: Re: Actualités nationales Ven 13 Jan 2012 - 11:16
je serais de la vis de benkirane je lancerais des concours administratif qu'une fois tout les 3 ans et non pas tout les ans . et je balancerais tout le monde vers des fonctions technologiques( industries) et autres .on dirait que le maroc manquait de fonctionnaire pour vous dire que rien pour ce genre de demande montre bien que ces gens là! c'est eux qui freine le maroc et ne laisse pas le maroc avancé. et non pas le maroc lui même qui avance pas! est ce qu'on a vraiment tant besoin de ce monde de fonctionnaires au maroc ? question qui ce pose? le maroc a besoin d'une industrie de tres haute technologie, pour avancé le pays bon de dieu!
Dernière édition par Al joundi le Ven 13 Jan 2012 - 11:35, édité 4 fois
docleo Modérateur
messages : 2433 Inscrit le : 03/09/2008 Localisation : de garde Nationalité : Médailles de mérite :
Sujet: Re: Actualités nationales Ven 13 Jan 2012 - 11:31
c est le post du jour :balkom: al joundi.
Sinon il y a une série d article que je trouve intéressante sur les enjeux et les défis du Maroc pour la prochaine décennie. Les textes sont longs je vais spoiler
Spoiler:
Débat Enjeux et défis du Maroc pour la prochaine décennie
Trois enjeux politiques doivent être pris au sérieux : interpréter et pratiquer de façon positive pour la démocratie le contenu de la nouvelle Constitution, réformer et recomposer le champ politique et réformer le cadre administratif dans le sens de l'efficience et de l'éthique.
I : la relégitimation du champ politique
Parler de défis en ce moment me paraît approprié pour le Maroc puisqu’on vit, à mon sens, au-delà de la réelle alternance démocratique qui vient d’émerger des urnes, la deuxième transition fondamentale d’après-l’indépendance. Après la mise en place des bases de l’Etat et de l’économie de marché, il s’agit pour l’instant de passer à une seconde génération de réformes difficiles et douloureuses destinées à faire fonctionner l’ensemble de façon efficiente et éthique. L’objectif est bien sûr l’émergence avec tout ce que cela suppose comme choix en faveur d’une société de dignité, équilibrée et apaisée à travers, d’une part, l’accès à la liberté par la démocratie et le respect des droits humains, d’autre part, le bénéfice d’une vie décente reposant sur un accès quasi généralisé à l’éducation de base et à la santé ainsi qu’à un logement convenable avec électricité et eau courante. Durant la prochaine décennie, le Maroc doit faire face à deux défis majeurs : la relégitimation du champ politique et la compétitivité, source d’émergence socio-économique.
Relégitimation du champ politique et gouvernance efficiente
Trois enjeux politiques me semblent devoir être pris au sérieux ; il s’agit, d’une part, d’interpréter et de pratiquer de façon positive pour la démocratie le contenu de la nouvelle Constitution ; il importe, d’autre part, de réformer et de recomposer le champ politique marocain ; il s’agit enfin de réformer le cadre administratif dans le sens de l’efficience et de l’éthique.
Concernant l’impératif d’interprétation et de pratique démocratiques de la Constitution, précisons d’abord que l’action du mouvement du 20 Février et la captation créative et calme du message par le Roi Mohammed VI font que la nouvelle Constitution annonce beaucoup de choses positives : la séparation des pouvoirs est clairement établie ; l’Exécutif est désormais entre les mains du chef du gouvernement ; l’armée, le champ religieux et l’arbitrage sont du ressort du Roi. Cette Constitution me semble être positive et préservatrice contre les risques de dérives.
On ne peut cependant manquer de soulever certains points d’interrogation. Il s’agit d’abord de la suppression de l’idée de liberté de conscience qui était pourtant inscrite dans la première mouture présentée par les experts ; il s’agit par ailleurs de la mise en sourdine de la question de la séparation entre le religieux et le politique qui découle de la confirmation sans nuance dans la constitution de l’Islam en tant que religion d’Etat ; il s’agit en troisième lieu du maintien de certaines imprécisions par rapport à la définition des pouvoirs. C’est dans ce cadre qu’on relève la mise en évidence dans la Constitution d’une phase générique héritée du passé qui appelle «au respect des choix fondamentaux du pays» ; une telle affirmation générique, sans expliciter son contenu, peut être annonciatrice de déviances politiques contre les droits humains.
Dès lors, il faut rappeler que les Constitutions sont importantes aussi bien par leur forme que par leur esprit et une pratique saine. Partant de là, le challenge à relever pour l’avenir est le suivant : il s’agit de faire en sorte que les classes politique et civile s’emparent publiquement du contenu de la Constitution afin d’en fournir des interprétations favorables à l’esprit des démocraties parlementaires. A titre d’exemple, concernant l’option pour l’Islam, religion d’Etat, ce référentiel devrait être compris en termes de valeurs et non de normes et règles de fonctionnement de la société qui relèveraient alors du champ individuel et par certains aspects de l’alternance politique.
Le deuxième challenge à relever concerne la refonte et la recomposition du champ politique marocain. A ce propos, force est de constater qu’on vit actuellement une sorte de cercle vicieux. On ne réforme pas les partis à cause du profil des élites au pouvoir ; et les élites au pouvoir ne changent pas à cause du mode de fonctionnement des organisations concernées. Ne nous leurrons pas, le problème n’est pas uniquement une question de génération, c’est aussi une problématique culturelle : une bonne partie des dirigeants et jeunes des partis et cercles de pouvoir reste souvent assez conservatrice. De plus, l’on ne voit pas émerger de leaderships multiples en mesure de se concurrencer et de changer les choses.
Le challenge, pour les partis, consiste à renforcer le processus de recomposition qui semble en cours de cogitation, notamment par la mise sur pied d’un système électoral qui permet de dégager des majorités claires contrairement au système actuel qui émiette le champ politique, génère des alliances hors nature et handicape aussi bien l’action des gouvernements que l’émergence de pôles politiques cohérents. L’objectif consiste donc à encourager encore plus la mise en évidence des trois courants fondamentaux en compétition au Maroc : la mouvance libérale, la social-démocratie et la démocratie musulmane. Au delà du système électoral, le processus me semble se heurter aussi bien à des reflexes antidémocratiques héritées du passé qu’à un jeu d’ambitions fondé beaucoup plus sur un fort enracinement de l’opportunisme que sur la compétence et le sens de l’éthique. Il souffre enfin fondamentalement de difficultés de clarification idéologique. Le courant libéral n’a pas encore intégré les implications socio-économiques de ce choix. On semble appréhender les enjeux économiques du libéralisme, mais pas encore ses dimensions politiques et socioculturelles.
Quant au mouvement socio-démocrate, il fait encore face aux contradictions objectives entre les socio-libéraux et les socialistes radicaux, mais également aux difficultés découlant des animosités historiques et souvent subjectives entre les socialistes et les communistes marocains qui sont en fait plus libéraux qu’on ne le pense. Globalement, on peut dire que beaucoup de composantes de la sociale-démocratie au Maroc ne semblent pas encore bien assimiler les impératifs de la globalisation.
Enfin, le mouvement démocrate musulman, malgré une certaine évolution positive en la matière, souffre encore à mon avis de deux difficultés majeures. D’une part, certaines de ses composantes, notamment un certain nombre de tendances au sein de l’Istiqlal, n’assument pas encore leur enracinement fondamentalement conservateur et semblent considérer, à tort, que cette sensibilité est forcément négative, ce qui les a peut-être incitées à réclamer une alliance avec le PPS. Par ailleurs, au-delà des luttes de leadership entre l’Istiqlal et le PJD, ce courant, particulièrement pour ce dernier, ne semble pas encore avoir franchi le pas vers une certaine forme de sécularité, en admettant par exemple que l’Islam constitue la religion de l’Etat en termes de valeurs, tout en acceptant pour les normes et les règles de fonctionnement de la société une séparation entre le politique et le religieux. Visiblement, l’expérience turque n’a pas encore suffisamment déteint sur nos mouvements conservateurs. Il faut espérer qu’avec leur arrivée au pouvoir, le pragmatisme l’emportera sur l’orthodoxie et que des succès éventuels les dégageraient du complexe vis-à-vis des mouvements qui se situent à leur droite. C’est alors qu’on parlera de démocratie musulmane et non de parti islamiste.
Une Administration dont l’encadrement reste réfractaire à la logique de marché
Concernant enfin l’efficience administrative, force est de constater que malgré les multiples plans de réforme de l’Administration, des problèmes majeurs subsistent. Certains vont pouvoir être réglés dans le cadre de la nouvelle Constitution puisque les grands commis de l’Etat et directeurs qui, du fait du processus actuel de leur nomination, peuvent ne pas s’inscrire dans la logique définie par le gouvernement, seront désormais proposés par le Premier ministre. Mais indépendamment de cette question, la principale problématique réside, au delà des questions organisationnelles, éthiques et managériales, dans le fait que malgré des discours favorables à l’ouverture économique, l’encadrement supérieur reste encore réfractaire à la logique du marché et de la globalisation régnantes. En fait, le capital n’est pas encore légitimé dans les esprits. Le grand challenge de l’avenir consiste donc à pourvoir l’Administration d’un encadrement moderne, compétent et ouvert sur les grands choix du pays et le jeu «d’opportunités-contraintes» ouvert par la mondialisation.
Le dernier objectif, mais néanmoins peut-être le plus important, consiste à concilier démocratie et Etat fort. En effet, il ne s’agit pas de confondre démocratie et droits humains avec des comportements de type anarchique. L’Etat doit être en mesure de générer des lois justes et de les appliquer.
Le futur leadership devrait donc travailler dans la logique de l’action des hommes d’Etat qui réforment et non de ceux qui prennent peur de perdre leur électorat.
Débat Enjeux et défis du Maroc pour la prochaine décennie (2ème partie)
Depuis l'Indépendance, et particulièrement au cours des douze dernières années, le Maroc a franchi un grand pas vers le développement économique, mais il lui reste à se doter de courage politique pour faire ce saut qualitatif qui ferait réellement de lui un pays émergent.
II : la compétitivité économique
Parler de défis en ce moment me paraît approprié pour le Maroc puisqu’on vit, à mon sens, au delà de la réelle alternance démocratique qui vient d’émerger des urnes, la deuxième transition fondamentale d’après-l’indépendance. Après la mise en place des bases de l’Etat et de l’économie de marché, il s’agit pour l’instant de passer à une seconde génération de réformes difficiles et douloureuses destinées à faire fonctionner l’ensemble de façon efficiente et éthique. L’objectif est bien sûr l’émergence avec tout ce que cela suppose comme choix en faveur d’une société de dignité, équilibrée et apaisée à travers, d’une part, l’accès à la liberté par la démocratie et le respect des droits humains, d’autre part, le bénéfice d’une vie décente reposant sur un accès quasi généralisé à l’éducation de base et à la santé ainsi qu’à un logement convenable avec électricité et eau courante. Durant la prochaine décennie, le Maroc doit faire face à deux défis majeurs : la relégitimation du champ politique et la compétitivité, source d’émergence socio-économique.
La compétitivité, fondement de l’émergence socio-économique
Inutile de rappeler que la croissance est génératrice d’enrichissement global et de relèvement du niveau de vie, donc d’opportunités de lutte contre la pauvreté et les inégalités, à condition évidemment de mettre en œuvre des mécanismes judicieux d’ascenseur social et de redistribution tout en préservant les équilibres fondamentaux.
S’agissant d’abord de la dynamique sociale, force est de constater qu’après des décennies d’oubli des classes économiquement faibles, un intérêt particulier à la question du développement humain a pris sérieusement forme avec Mohammed VI et les partis historiques se réclamant désormais de la démocratie. Ceci se retrouve aussi bien au niveau du discours et de la sensibilisation aux questions des disparités sociales et de la pauvreté, que sur le plan de l’action, puisque le Maroc a enregistré durant la dernière décennie des réalisations substantielles en la matière comme le relèvement conséquent du Smig, la quasi-généralisation de l’accès à l’éducation fondamentale et à l’assurance maladie, les programmes de logement économique, l’électrification rurale et l’adduction d’eau potable aux zones défavorisées. Précisons cependant que malgré ces acquis, on est encore loin du compte. Les disparités sociales sont encore énormes et ont même tendance à s’accentuer, la pauvreté est là.
Parallèlement à ces acquis et problèmes sociaux, le bilan économique n’est pas moins contrasté. Relevons d’abord le fait que durant les quatre décennies qui ont suivi l’indépendance, le Maroc a pu jeter les fondements d’une économie de marché en ayant opté dès le départ pour cette dernière, même si l’économie publique est restée sans contexte et pendant longtemps dominante. Ajoutons à cela les efforts entrepris en vue de l’émergence d’une classe entrepreneuriale marocaine même si le pouvoir politique ne voyait pas toujours d’un bon œil l’affirmation d’une puissance économique qui puisse lui faire de l’ombre. Mentionnons enfin l’appui à la mise sur pied de pouvoirs sociaux équilibrés représentés par un patronat et des syndicats de travailleurs assez représentatifs. Précisons que tout ceci a été fait durant les premières décennies de l’après-Indépendance dans le cadre d’options sectorielles assez nettes orientées vers l’industrie de transformation, le développement touristique, la modernisation de l’agriculture et l’approvisionnement en eau par les grands barrages. A ces acquis relatifs de l’ère Hassan II, vont s’ajouter ceux, beaucoup plus substantiels, des douze dernières années avec l’alternance consensuelle et l’avènement de Mohammed VI. C’est la phase des grands travaux avec le programme autoroutier, les aménagements urbains, le port Tanger Med, le TGV Tanger-Casablanca… C’est également une vision économique plus cohérente avec les plans Emergence pour l’industrie, Azur pour le tourisme et Vert pour l’agriculture. Résultat : un taux de croissance assez conséquent variant de 4,5 à 5,5%, alors qu’il se situait auparavant dans une fourchette allant de 2,5 à 3,5%. C’est aussi la préservation des équilibres macro-économiques à l’exception des deux dernières années où les comptes publics ont dérapé dans le sillage de la crise mondiale et d’un certain laxisme gouvernemental.
Ainsi donc, globalement, le Maroc manifeste un bilan économique assez satisfaisant. Mais il me semble qu’on souffre encore d’une problématique majeure : il s’agit de la modestie relative et de la volatilité de notre taux de croissance. Aussi correct soit-il, il ne nous permet, ni de nous positionner parmi les pays émergents, ni de rattraper les retards en matière sociale. Le grand questionnement se pose donc par rapport à notre compétitivité qui reste encore largement insuffisante par rapport à nos ambitions. Rappelons que depuis de longues années, nous n’arrivons même pas à couvrir la moitié de nos importations par nos exportations et que le déficit de notre balance commerciale n’est couvert que par les recettes provenant du tourisme, des Marocains de l’étranger et des investissements. Or ces recettes elles-mêmes ont tendance à reculer dangereusement, à telle enseigne que nos réserves en devises ne permettent désormais de couvrir que cinq mois d’importations. Ajoutons à tout cela le creusement significatif du déficit des finances publiques. Partant de cette situation mitigée, pouvant inciter aussi bien à l’optimisme qu’à certaines craintes par rapport à l’avenir, essayons de présenter les grandes lignes du modèle socio-économique qui me semble être adéquat, avant de présenter les composantes de la compétitivité et des réformes qui doivent l’accompagner.
Les expériences gagnantes des pays émergents comme la Chine, l’Inde ou encore le Brésil et l’Afrique du Sud, semblent reposer, sans états d’âme, sur un choix clair d’insertion dans la mondialisation. Ces pays optent alors pour des modèles originaux dont les grandes lignes sont les suivantes : d’une part, on essaie de faire en sorte que les dimensions économique et sociale ne s’opposent pas comme c’est le cas dans certains pays où la lutte des classes est encore vivace, mais se conjuguent et se complètent en faveur de l’émergence. On part alors du principe que, sans production, on n’a rien à répartir, et que sans exportations pour des pays émergents à faible marché intérieur, on ne peut garantir une demande suffisante pour les productions nationales. Mais en même temps, on prend conscience que sans paix sociale, on ne peut ni construire, ni assurer la productivité nécessaire. Dès lors, on comprend que le marché intérieur doit rapidement rejoindre et compléter la sphère de la demande générée par la demande extérieure, et si on agit substantiellement en faveur des rééquilibres sociaux, on lutte en même temps contre toutes les dérives que l’assistanat non régulé peut générer et qui débouchent sur des rentes sociales indues et des inefficiences généralisées. En effet, la solidarité doit se manifester d’abord à l’égard de ceux qui ne peuvent pas travailler comme les enfants, les personnes âgées et les handicapés ou ceux qui veulent travailler et ne trouvent réellement pas de travail ou enfin ceux qui entreprennent et connaissent des échecs temporaires.
L’expérience a démontré que les sociétés qui réussissent le plus sont celles dont les leaderships optent pour des approches consensuelles où patronat et représentants d’ouvriers se mettent d’accord aussi bien sur les objectifs de croissance et d’emploi que sur ceux de la redistribution. Parallèlement à cette vision sociale des choses, on comprend également que si la dimension économique est déterminante pour l’émergence, il est extrêmement important de veiller à l’éthique des affaires et à la lutte contre toutes les formes de rentes économiques indues qui ne peuvent que générer des inefficiences destructrices de productivité et d’attrait des investissements. Partant de cet équilibre global, ces pays à modèle gagnant semblent s’engager dans un processus volontariste de conquêtes économiques reposant, entre autres, sur la compétitivité au niveau des industries traditionnelles génératrices d’emploi, mais également à travers une politique judicieuse de recherche scientifique.
Tout ceci est donc intimement lié à la compétitivité dont il faut mettre sur pied un plan de promotion courageux. C’est cette logique que semblent suivre les nouveaux pays émergents qui profitent des opportunités offertes par la mondialisation au lieu de se confiner dans des combats d’arrière-garde. A titre d’exemple, si nous partons du cas coréen qui représente une expérience de succès plus ancienne, nous pouvons tirer les conclusions suivantes : comme la Corée du Sud ne dispose pas -comme le Maroc-de ressources naturelles importantes, elle part du principe que la prospérité se crée et ne s’hérite pas. Elle a donc opté pour la valorisation des ressources humaines et après une période transitoire de priorité aux industries intensives de main-d’œuvre, elle est passée progressivement aux industries de savoir-faire parallèlement aux résultats du système éducatif. La Corée a aussi fonctionné par paliers. Elle identifie les contraintes des industries concernées pour les transformer en avantages comparatifs puis en résolvant les problèmes découlant des mesures prises.
Coût des facteurs et environnement des affaires : des réformes à réaliser
Partant de ces considérations, il s’agit donc de mettre en évidence les composantes de la compétitivité avant les plans d’action par paliers destinés à lutter contre les goulots d’étranglement. Comme nous le savons, la compétitivité dépend aussi bien des coûts des facteurs que de l’environnement des affaires.
Or, des deux côtés, des réformes importantes sont à réaliser. Concernant d’abord les facteurs de production, il s’agit fondamentalement des éléments suivants : les ressources humaines avec le problème de la formation et du système éducatif d’une façon générale ; l’accès au financement qui nécessite une réforme du système financier malgré les acquis ; le foncier et la lutte contre la spéculation ; la promotion de l’entreprenariat ; l’accès à la technologie et le challenge de la recherche scientifique ; enfin l’énergie et la question des solutions innovantes.
Par rapport à l’environnement des affaires, il s’agit souvent de réformes douloureuses et difficiles : la justice ; le système éducatif ; la gouvernance ; les rapports sociaux et le rôle des syndicats ; la fiscalité ; les filets sociaux et la question de la compensation ; la lutte contre la corruption et bien sûr la régulation du marché et de la concurrence ainsi que la lutte contre les rentes et toutes les formes de corporatisme.
Précisons que c’est par rapport à ces réformes que nous retrouvons l’essentiel du processus d’harmonisation avec les choix communautaires dans le cadre du statut avancé conclu avec l’Union européenne. Ainsi donc, on peut dire que durant la prochaine décennie, on devrait réfléchir sur chacune de ces composantes de la compétitivité et entreprendre les changements qui s’imposent. Ceci nécessite certains consensus sociaux, mais également et peut-être à défaut, du courage politique et un leadership mobilisateur. Les réformes en question sont de deux types. D’abord celles qu’on pourrait qualifier de managériales sur lesquelles travaillent déjà avec nous en permanence, aussi bien les institutions économiques internationales que les autorités européennes.
Mais au delà de ces réformes importantes qui semblent assez bien engagées jusqu’à présent, on trouve celles, plus déterminantes pour la croissance, qui se heurtent encore à des résistances idéologiques et d’intérêts. Qu’il s’agisse d’éducation et de promotion des arts et de la culture, de justice, de concurrence, de lutte contre les rentes, de rapports de travail ou de fiscalité, on a l’impression qu’il existe une sorte de cercle à l’intérieur duquel il est difficile d’entrer, mais au delà duquel les réformes périphériques sont possibles. Le Maroc a certes franchi sur ce dernier plan des étapes décisives, mais la problématique fondamentale réside dans le fait que l’émergence réelle est tributaire des réformes difficiles situées dans ce cercle.
En conclusion
On ne peut pas dire que les gouvernements qui se sont succédé depuis l’Indépendance et surtout durant la dernière décennie n’ont pas abordé les grandes problématiques du pays et les réformes qui s’imposent. Le problème c’est que certaines réformes de deuxième génération se heurtent à des difficultés et résistances majeures au Maroc. Nous avons déjà mis en évidence les réformes politiques importantes que le Maroc a entreprises, mais comme souligné précédemment, certaines craintes sérieuses subsistent. Nous avons également parlé des succès enregistrés sur le plan de la croissance, mais relevé en même temps le fait que les taux enregistrés ne permettent pas un réel bond en avant et le rattrapage des retards sociaux. Nous avons enfin insisté sur les acquis sociaux, mais force est de constater que des niveaux substantiels de pauvreté et de disparités subsistent.
Le problème du Maroc, c’est qu’on est peut être resté confiné dans des demi-mesures. Comme je l’ai souligné précédemment, on semble se trouver devant une sorte de cercle renfermant les réformes douloureuses qu’on craint d’affronter et au delà duquel les actions sont possibles. Le constat c’est que ce sont ces réformes de fonds qui conditionnent la réelle émergence. C’est ainsi par exemple qu’on franchit d’importants pas vers la démocratie, mais on hésite à dépasser certains choix institutionnels conservateurs. De même, on n’accompagne pas suffisamment les initiatives privées gagnantes, mais, en même temps, on ferme les yeux sur la persistance de rentes indues à travers des pratiques commerciales déloyales et anti-concurrentielles. Par ailleurs, on maintient un système de compensation qui ne bénéficie pas qu’aux plus démunis et on hésite à prendre les mesures qui s’imposent pour généraliser la sécurité sociale ; enfin, on se plie souvent à des revendications sociales qui ne sont pas toujours légitimes, et en même temps, on ne met pas encore en place un système d’assurance chômage raisonnable de peur de ne pas être en mesure d’en réguler les débordements.
Il est donc grand temps de manifester un certain courage politique dans le cadre d’un Etat démocratique et fort, conscient que les réformes ont toutes un coût politique et qu’il s’agit, d’une part, de combiner stratégies consensuelles et leadership décideur dans la gestion des contradictions, d’autre part, de dépasser les stratégies frileuses actuelles qui semblent dégager des lignes rouges et de se contenter des réformes à la périphérie. Partant de là, il importe d’opter pour un parler vrai aux citoyens et leur dire que, malgré certaines revendications et aspirations légitimes, il s’avère parfois indispensable de mener des politiques qui construisent l’avenir et nécessitent des sacrifices, mais à condition de leur montrer le bout du tunnel en leur donnant l’exemple.
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MAATAWI Modérateur
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Sujet: Re: Actualités nationales Ven 13 Jan 2012 - 16:18
Aller les gars vos sacs et en avant c 10 000DH le gramme..
Citation :
La chute d’une météorite martienne dans la région de Tata
La chute d’une météorite martienne dans la région de Tata est un cadeau de dieu de nouvel an, a souligné le professeur Abderrahmane Ibhi de l'Université Ibn Zohr à Agadir.
L’existence des météorites martiennes dans la région de Tata a été portée à l’attention d’un groupe de scientifiques de la Faculté des Sciences d’Agadir au début du mois de Janvier 2012, par un habitant de Tata qui avait trouvé un petit bloc de 5 gramme dans la région. Aussitôt, une expédition scientifique est arrivée sur les lieux, dotée d'un équipement moderne de navigation et d'instruments de détection ; les membres du Laboratoire de Pétrologie Minéralogie et Matériaux de l’Université Ibn Zohr ont ramassé des débris de cette météorite martienne.
Par ailleurs, les nomades ont expliqué aux scientifiques que les fragments de la météorite martienne de Tata ont été connus et commercialisés depuis le début de l’année 2012. Les premiers échantillons ont une masse allant de quelques grammes à plus de 1 kg. Ils ont indiqué qu'au moins 2 kg ont été acheté par un seul collectionneur étranger et il a été estimé que 15 kg pouvaient être facilement recueillies.
Le professeur Abderrahmane Ibhi a expliqué que la plupart des météorites proviennent de la ceinture d’astéroïdes. Ces derniers pouvant mesurer de quelques centimètres à plusieurs dizaines ou même de centaines de kilomètres, gravitant entre Mars et Jupiter. Cependant, d’autres astéroïdes qui ne suivent pas l’orbite de la ceinture d’astéroïdes vont aller percuter Mars, et arracher des morceaux qui peuvent errer longtemps dans l’espace pour finir leur course sur la Terre et donner des météorites martiennes.
La météorite de Tata reste la première chute observée d’une météorite martienne cette dernière a été examiné et reconnu, il s’agit d’une Shergottite typique d'une roche arrachée de la planète rouge. Le bolide se fragmente en entrant dans l'atmosphère terrestre, projetant des nombreux fragments sur des trajectoires similaires qui vont terminer leur chute sur une zone étendue appelée ellipse de chute a souligné le professeur Abderrahmane Ibhi.
Des centaines des gents ont envahi la région d'El Galâb et des dizaines de fragments ont été ramassées par des nomades, des marchands et des chasseurs qui ont acquis un savoir faire dans le domaine des roches extraterrestres. Ces débris extraterrestres sont devenus une source de revenu et cela s’explique par la valeur marchande de ces roches, il semble que le prix ait atteint les 10000 dirhams pour un gramme.
aeronautique
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Sujet: Re: Actualités nationales Ven 13 Jan 2012 - 16:32
Citation :
Tripoli souhaite la participation des opérateurs économiques marocains aux chantiers ouverts en Libye
Vendredi 13 Janvier 2012 modifié le Vendredi 13 Janvier 2012 - 14:39
Une délégation libyenne de haut niveau, en visite au Maroc, a fait part de son souhait de voir les opérateurs économiques marocains participer aux chantiers ouverts en Libye.
Lors d'une rencontre lundi dernier à Casablanca avec l'Association marocaine des exportateurs (ASMEX), la délégation libyenne a informé l'ASMEX des chantiers ouverts dans le pays, invitant les opérateurs marocains à se positionner par rapport à ces projets, indique l'ASMEX dans un communiqué.
La délégation libyenne a fait état de besoins urgents en matière d'infrastructures aéroportuaires, d'habillement militaire et de médicaments, ajoute la même source.
Pour sa part, l'ASMEX a indiqué que le marché libyen a toujours été au centre des préoccupations des exportateurs marocains, exprimant sa disposition à oeuvrer de concert avec la partie libyenne pour que les échanges commerciaux et l'investissement reprennent entre les deux pays.
Les deux parties ont convenu, lors de cette rencontre, d'organiser, en mars prochain, une mission de haut niveau en Libye. Et en vue de permettre à l'ASMEX d'être au même niveau que ses concurrents directs sur le marché libyen, l'idée de la conclusion d'un accord de libre-échange a été avancée par les deux parties, soit dans un cadre bilatéral, soit dans le cadre de l'accord d'Agadir.
Cette rencontre s'inscrit le cadre des consultations lancées à l'initiative de l'ASMEX pour la redynamisation des relations économiques et commerciales entre le Maroc et la Libye.
Ont pris part à cette réunion, outre le président et les membres du Bureau exécutif de l'ASMEX, le président du conseil d'affaires maroco-libyen et les représentants des différents secteurs d'activité intéressés par le marché libyen, notamment, textile et habillement, l'agro-industrie, la pêche, la pharmacie et les NTIC.
Avec MAP atlasinfo.fr
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Sujet: Re: Actualités nationales Ven 13 Jan 2012 - 21:32
mirage a écrit:
Rien des illuminés, qui discute avec le Prophéte ( Saws) tous les soirs, des gens qui seraient capable de traverser les murs, des grands voyants, ils ont vus dans leurs boules de cristal la grande révoltes qui aller balayer le pouvoir en....2006...aprés je ne sais pas s'il parlais du calendrier musulman... Ou meme l'invasion du Maroc par l'Espagne en 2007/2008... D'ailleur le vieux prétent que son livre a plus de valeur que....le Noble Coran
Hassan II avait décider de le mettre dans un asile psychatrique, il avait raison...
En Turquie, on jugeait ce genre d'individu au sein des tribunaux révolutionnaires, et tous les zaouwiya ont étaient fermés. Il faut que le gouvernement doit faire face à ce genre de personne.
Concernant les fonctionnaires, pour avoir moins de fonctionnaire, il faut tout privatiser.
Invité Invité
Sujet: Re: Actualités nationales Ven 13 Jan 2012 - 21:52
privatisation a commencé deja par la poste (PTT) & en suite ONCF .
juba2 General de Division
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Sujet: Re: Actualités nationales Sam 14 Jan 2012 - 6:25
Al joundi a écrit:
privatisation a commencé deja par la poste (PTT) & en suite ONCF .
deux choses que tu ne privatise jamais en tant que strategique la poste et les chemin de fer
leadlord Colonel-Major
messages : 2787 Inscrit le : 11/07/2010 Localisation : montreal Nationalité : Médailles de mérite :
Sujet: Re: Actualités nationales Sam 14 Jan 2012 - 11:54
juba2 a écrit:
Al joundi a écrit:
privatisation a commencé deja par la poste (PTT) & en suite ONCF .
deux choses que tu ne privatise jamais en tant que strategique la poste et les chemin de fer
ils sont pas privatisé , c'est maroc télécom mais l'état garde 53% des actions en bourse qui l'est m , oncf est un établissement 100%publique d'ailleurs c'est un office et la forme juridique de office est bien public tout comme la RAM, ocp la poste et onmt OEP, ONE,ONEP ,ONDA ONHYM, ONP,ONT,OC et liste est long avec tout les offices nationaux ...
la RAM est une entreprise mais 100% propriété de l'état , par contre autoroute du maroc c'est pas le cas , l'ex régis du tabac privatisé ect
il est interdit constitutionnellement de vendre la poste car l'état droit garantir le service et gardé le secret et la sécurité et la gratuité des envois de lettre .
en plus d'être un établissement public est il est un établissement de droit pulic .
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Extreme28 Aspirant
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Sujet: Re: Actualités nationales Sam 14 Jan 2012 - 19:09
juba2 a écrit:
Al joundi a écrit:
privatisation a commencé deja par la poste (PTT) & en suite ONCF .
deux choses que tu ne privatise jamais en tant que strategique la poste et les chemin de fer
et l'armée
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leadlord Colonel-Major
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Sujet: Re: Actualités nationales Sam 14 Jan 2012 - 19:49
Extreme28 a écrit:
juba2 a écrit:
Al joundi a écrit:
privatisation a commencé deja par la poste (PTT) & en suite ONCF .
deux choses que tu ne privatise jamais en tant que strategique la poste et les chemin de fer
et l'armée
en us ya des armée privé a qui en délègue des taches , de la police privé enfin toute la police chez eux est géré comme une entreprise tu sors de l’académie de police tu présentes ton cv a la commissariat de ton choix tu passe un teste et tes recruté et c'est pas sur que tu le soit pas comme chez nous , si non tu peux travaillé avec un procureur comme enqueteur ou avec une entreprise d'avocat ou un bureau privé d'enquete , même chose pour les juges avocat pompier ect ...
ya une sous traitance a l'éducation , santé bref l'état le plus light du monde c'est Us tout privé tout libéral .
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thierrytigerfan Colonel-Major
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Sujet: Re: Actualités nationales Dim 15 Jan 2012 - 0:52
l'état le plus light? avec le déficit des usa c'est pas tout a fait la réalité un deficit incalculable que les usa ne pourront jamais payé une éducation privée qui coute horriblement cher et que la majorité ne sait pas se payer des armées privées qui font le travail d'une armée nationale avec toutes les dérives qui y sont rattachées, une armée nationale en pleine delicquesence sans fierté et qui ne connait plus honneur et discipline franchement je ne vois pas ce que les usa ont de mieux
sorius Commandant
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Sujet: Re: Actualités nationales Dim 15 Jan 2012 - 0:54
un etat qui exporte son defificite le dollare la planche a billet
leadlord Colonel-Major
messages : 2787 Inscrit le : 11/07/2010 Localisation : montreal Nationalité : Médailles de mérite :
Sujet: Re: Actualités nationales Dim 15 Jan 2012 - 12:32
thierrytigerfan a écrit:
l'état le plus light? avec le déficit des usa c'est pas tout a fait la réalité un deficit incalculable que les usa ne pourront jamais payé une éducation privée qui coute horriblement cher et que la majorité ne sait pas se payer des armées privées qui font le travail d'une armée nationale avec toutes les dérives qui y sont rattachées, une armée nationale en pleine delicquesence sans fierté et qui ne connait plus honneur et discipline franchement je ne vois pas ce que les usa ont de mieux
chèr thierry j'ai pas dit que c'est bien , je suis pour le contrôle de l'état sur le peuple et le peuple sur l'état un état de droit mais de devoir aussi un libéralisme relative pas sauvage . si non les idées américaine de tout se gère par soit même par nature sa a prouvé ses limites , état unie est tellement puissante avec un PIB 3 a 4 fois plus que celui du pays juste après soit total des pib de au moins les 20 puissances suivante , le budget même chose . que sa chut sera énorme sa tout le monde le sais au fond de lui même , l'Us ne pourront jamais gardé une croissance soutenu regarde la rien que une stagnation de leurs économie a causé la crise la plus grande de tout les temps imagine une décroissance ?
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Fremo Administrateur
messages : 24818 Inscrit le : 14/02/2009 Localisation : 7Seas Nationalité : Médailles de mérite :
Sujet: Re: Actualités nationales Dim 15 Jan 2012 - 13:43
Le Tout Puissant a entendu nos prières
Des pluies sont prévues à partir de cette soirée
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Invité Invité
Sujet: Re: Actualités nationales Dim 15 Jan 2012 - 14:56
sorius a écrit:
video chomeurs qui exsigent l integration dans la fonction public et benkirane s engage a les rencontrer pour les ecouter
benkirane devrait faire plusieurs concours au niveau nationale repartie sur l annee ou les deux ou trois ans pour les postes dipos et vote dans la loi de finances ils veulent que le maroc soit composes de fonctionnaire
Pour faire le ménage et choisir des personnes à des postes clé il faut forcement recruter la nouvelle géneration. Voit ça dans ce sens. TU peux pas changer une burocratie que vous pensez corrompus d' après ce que j' ai pu comprendre sans changer les personnes. Il faut des nouvelles personnes avec une mentalité différente des anciens en place.
Fremo Administrateur
messages : 24818 Inscrit le : 14/02/2009 Localisation : 7Seas Nationalité : Médailles de mérite :
Sujet: Re: Actualités nationales Lun 16 Jan 2012 - 10:50
Prochain pas du genre, atlasonline, tu essayeras l'effet du MU90 ...c'est un avertissement
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FAMAS Modérateur
messages : 7470 Inscrit le : 12/09/2009 Localisation : Zone sud Nationalité : Médailles de mérite :
Sujet: Re: Actualités nationales Lun 16 Jan 2012 - 14:40
sorius Commandant
messages : 1139 Inscrit le : 18/11/2010 Localisation : france Nationalité : Médailles de mérite :
Sujet: Re: Actualités nationales Lun 16 Jan 2012 - 15:55
YASSINE Capitaine
messages : 899 Inscrit le : 21/12/2008 Localisation : FRANCE Nationalité : Médailles de mérite :
Sujet: Re: Actualités nationales Mar 17 Jan 2012 - 7:18
Bonjour, des news de la comanav, ils sont arrivés à une solution ou pas encore? c'est le black out total aucune info ne filtre et plusieurs son de cloche c'est intolérable de jouer avec avec des milliers de concitoyens a ce jour aucune route maritime entre la France et le Maroc