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| TURQUIE : Economie, politique, diplomatie... | |
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juba2 General de Division
messages : 6954 Inscrit le : 02/04/2008 Localisation : USA Nationalité : Médailles de mérite :
| Sujet: Re: TURQUIE : Economie, politique, diplomatie... Sam 29 Oct 2011 - 22:34 | |
| Rappel du premier message :Collegues avant l'arrivee de l'islam nos ancetres etaient soit Juifs ou chretiens et ne me venait pas me parler et se cacher le pailliens On arrete la diharee panarabiste et l'islam extremiste. | |
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Auteur | Message |
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Inanç Genelkurmay Başkanı
messages : 6351 Inscrit le : 13/07/2009 Localisation : France Nationalité : Médailles de mérite :
| Sujet: Re: TURQUIE : Economie, politique, diplomatie... Dim 1 Avr 2012 - 19:10 | |
| Good news Notons que les exports dans l'industrie de la défense ont augmenté de 93.2 % par rapport à mars 2011 - Citation :
- Turkey's overall exports up by 8.1 pc in March
Turkey's overall exports were up in March 2012 by 8.1 percent to reach 12.6 billion USD over the same period a year earlier, according figures of a union of exporters in Turkey.
Turkey's overall exports were up in March 2012 by 8.1 percent to reach 12.6 billion USD over the same period a year earlier, according figures of a union of exporters in Turkey. Turkish Exporters Assembly (TIM) said exports were up 10.5 percent in the first quarter of 2012 to 34.7 billion USD. TIM said exports over the past 12 months increased 15.9 percent to reach 138.3 billion USD. TIM said automotive sector claimed the biggest share in exports in March with 1.9 billion USD and it was followed by chemicals with 1.6 billion USD and ready-wear sector 1.49 billion USD. Exports to Libya grew by 658 percent after a sharp drop due to the Libyan unrest as exports to the European Union countries decreased 3.5 percent. Exports to African countries was up 59 percent and exports to the Middle East increased 22 percent. http://www.worldbulletin.net/?aType=haber&ArticleID=87978 | |
| | | Inanç Genelkurmay Başkanı
messages : 6351 Inscrit le : 13/07/2009 Localisation : France Nationalité : Médailles de mérite :
| Sujet: Re: TURQUIE : Economie, politique, diplomatie... Dim 1 Avr 2012 - 19:26 | |
| - Baybars a écrit:
Pour le pétrole iranien, c'est un rapport avec la Syrie (Soutien de l'Iran à Bashar), le dossier nucléaire, etc...
Je ne sais plus quoi répondre, Affaire syrienne L'Iran soutient la Syrie depuis le début donc depuis plus d'1 an, pourquoi maintenant alors. Dossier nucléaire Erdogan a dit que les Iraniens ont le droit au nucléaire civil cette semaine et dit être contre une intervention militaire. Les dernières décisions sont prises car c'est des demandes américaines tout comme le radar de l'OTAN. | |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: TURQUIE : Economie, politique, diplomatie... Dim 1 Avr 2012 - 19:40 | |
| A noter la belle progression des exportation vers l'Allemagne, l'Irak et la France en mars par rapport à février. |
| | | Invité Invité
| | | | Invité Invité
| Sujet: Re: TURQUIE : Economie, politique, diplomatie... Dim 1 Avr 2012 - 22:29 | |
| - Baybars a écrit:
Erdogan pensé faire retourner le régime iranien, suite à son discussion avec Khamaney, il est rentré bredouille concernant cette affaire. Je m'en souviens lorsqu' Erdogan été élu pour la 1ere fois en Turquie, la presse iranienne esperée voir une Turquie islamique anti amercaine et plus proche de l'Iran. Or aujourd'hui, Erdogan est vu par tout le monde (ça crève les yeux) comme un valet des Etats-Unis. Concernant le dossier syrien, l'Iran est inflexible mais il ne faut pas espérer qu'erdogan fasse changer l'avis de khamenei surtout quand il sert chaleureusement la main d'Obama 24 heures avant. Erdogan joue à un double jeu, c'est une mauvaise stratégie, il doit choisir son camp et éviter les situations hypocrites sur le plan diplomatique. |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: TURQUIE : Economie, politique, diplomatie... Lun 2 Avr 2012 - 9:49 | |
| La Turquie a eu une croissance de 8,5% en 2011. Le PIB Turc s'établit à 1,3 milliards de livre turque (772,3 milliards $) nominal. La deuxième plus grande croissance mondiale derrière la Chine.
La croissance par secteur d'activité:
- Secteur de gros et de détail: 11,4% - Construction: 11,2% - Production: 9,4% - Energie: 8,8% - Agriculture: 5,2%
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| | | Inanç Genelkurmay Başkanı
messages : 6351 Inscrit le : 13/07/2009 Localisation : France Nationalité : Médailles de mérite :
| Sujet: Re: TURQUIE : Economie, politique, diplomatie... Lun 2 Avr 2012 - 12:15 | |
| - LaikTurkiye a écrit:
- Baybars a écrit:
Erdogan pensé faire retourner le régime iranien, suite à son discussion avec Khamaney, il est rentré bredouille concernant cette affaire. Je m'en souviens lorsqu' Erdogan été élu pour la 1ere fois en Turquie, la presse iranienne esperée voir une Turquie islamique anti amercaine et plus proche de l'Iran. Or aujourd'hui, Erdogan est vu par tout le monde (ça crève les yeux) comme un valet des Etats-Unis.
Concernant le dossier syrien, l'Iran est inflexible mais il ne faut pas espérer qu'erdogan fasse changer l'avis de khamenei surtout quand il sert chaleureusement la main d'Obama 24 heures avant. Erdogan joue à un double jeu, c'est une mauvaise stratégie, il doit choisir son camp et éviter les situations hypocrites sur le plan diplomatique. N'oublie qu'il est même allé à Washington avant les élections Evidemment qu'il faut nouer des liens avec l'Orient mais essentiellement économique, je ne suis pas en faveur d'une alliance politique, diplomatique et militaire avec les pays du Golfe (comme le veut Baybars je crois). La seule chose que ramène la politique étrangère d'Erdogan c'est d'organiser les conférences internationales à Istanbul Il y a les exportations qui sont dopées à la limite. | |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: TURQUIE : Economie, politique, diplomatie... Lun 2 Avr 2012 - 15:14 | |
| - Citation :
- La croissance de la Turquie atteint 8,5% en 2011
La Turquie a maintenu un rythme de croissance quasi chinois l'année dernière. La crise de l'eurozone devrait la faire ralentir à seulement 4% en 2012 avant un rebond attendu l'année suivante.
Un petit coup de mou au quatrième trimestre a empêché l'économie turque de faire aussi bien que la Chine en 2011. Elle n'en a pas moins connu une croissance vigoureuse de 8,5% sur l'ensemble de l'année dernière, a annoncé lundi l'institut de la statistique, Tüik, contre 9,2% pour l'Empire du milieu. Le gouvernement tablait sur une croissance d'environ 8,0% en 2011. Sur les trois premiers trimestres, elle s'établissait à 9,6%. Mais elle a ralenti à 5,2% au quatrième.
Le Produit intérieur brut (PIB) per capita a atteint 10.444 dollars (780 euros), soit 365 dollars de plus qu'en 2010, selon le Tüik. "Le taux de croissance est probablement le second plus élevé au monde, juste après la Chine", s'est félicité le ministre des Sciences, de l'Industrie et des Technologies Nihat Ergün, cité par l'agence de presse Anatolie.
Le ministre des Finances Mehmet Simsek a pour sa part souligné que le taux était conforme aux attentes du gouvernement, qui dans un contexte économique mondial difficile essaie d'organiser un "atterrissage en douceur" de son économie. "Les chiffres du dernier trimestre montrent que le processus d'atterrissage en douceur continue à un rythme stable, en accord avec les objectifs du gouvernement", a déclaré M. Simsek à Anatolie.
Le gouvernement prévoit une croissance de 4% en 2012 dans la foulée de la crise de l'eurozone mais estime que ce ralentissement sera de courte durée. En 2013 et 2014, Ankara table sur un taux de 5%. "Avec cette bonne performance de la croissance et les politiques de discipline mises en oeuvre le processus d'amélioration des indices de la dette publique turque se poursuit", a commenté le vice-Premier ministre Ali Babacan, cité par l'agence.
"Alors que les inquiétudes grandissent concernant les finances publiques des pays développés, l'amélioration en Turquie des déficits publics et du poids de la dette vont jouer un rôle important pour préserver un climat de confiance et une croissance durable basée sur la demande du secteur privé", a ajouté M. Babacan. La Turquie, pays d'environ 73 millions d'habitants, puissance politique régionale et 17e économie mondiale, avait enregistré une croissance de 8,9% en 2010.
http://lexpansion.lexpress.fr/perspectives/la-croissance-de-la-turquie-atteint-8-5-en-2011_289810.html |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: TURQUIE : Economie, politique, diplomatie... Mar 3 Avr 2012 - 19:17 | |
| Article intéressant - Citation :
"Face à ses responsabilités au Moyen-Orient, la Turquie a du mal à être à la hauteur"
Depuis quelques années, la Turquie multiplie les tentatives de rapprochement avec le monde arabe. Aussi les révolutions arabes n'ont-elles pas marqué de tournant majeur dans la politique extérieure turque. Elles ont seulement mis le pays face à ses responsabilités. Or selon Dorothée Schmid, responsable du programme "Turquie contemporaine", à l’Institut français des relations internationales (Ifri), ces dernières sont difficiles à assumer. Explications.
Lire la suite : http://www.lemondedesreligions.fr/entretiens/face-a-ses-responsabilites-au-moyen-orient-la-turquie-a-du-mal-a-etre-a-la-hauteur-03-04-2012-2403_111.php |
| | | PGM Administrateur
messages : 11678 Inscrit le : 12/12/2008 Localisation : paris Nationalité : Médailles de mérite :
| Sujet: Re: TURQUIE : Economie, politique, diplomatie... Jeu 5 Avr 2012 - 16:29 | |
| - Citation :
- La croissance turque sera-t-elle victime de son succès ?
Le Monde.fr | 05.04.2012 à 13h22 • Mis à jour le 05.04.2012 à 14h02
Sa vigueur est comparable à celle de la Chine et même supérieure aux attentes. Alors que le gouvernement tablait sur environ 8 %, la croissance de la Turquie a atteint 8,5 % du PIB en 2011. Après une progression de 8,9 % en 2010, celle-ci connaît un "atterrissage en douceur" dans un contexte économique mondiale difficile, selon l'expression du ministre des finances, Mehmet Simsek.
Car il ne faut pas oublier que la Turquie a elle aussi souffert de la crise financière, même si le parti au gouvernement (AKP) n'hésite pas à parler de "neuf ans et demi de succès", évoquant la réussite économique du pays depuis son arrivée au pouvoir en 2002, date à laquelle le pays sortait tout juste d'une crise financière qui avait laissé son économie exangue. "La Turquie n'a pas fait exception, la crise financière a, comme pour beaucoup d'autres, fait chuter sa croissance : le PIB s'est contracté de 5 % en 2009, après une quasi-stagnation (+ 0,5 %) en 2008", nuance Céline Antonin, économiste à l'OFCE.
Depuis, l'économie turque s'est refait une santé, portée par la consommation, l'investissement et son commerce extérieur. "L'économie turque est basée sur le crédit, les taux sont actuellement bas et donc facilement accessibles aux particuliers et aux entreprises - ce qui permet de financer la consommation et l'investissement. Mais, l'épargne des ménages étant faible, le crédit est essentiellement alimenté par des capitaux étrangers. Or la majorité d'entre eux sont à court terme et peuvent se tarir du jour au lendemain : ce n'est donc pas une croissance pérenne", prévient Mme Antonin.
Ce scénario, la Turquie l'a déjà expérimenté au plus fort de la crise financière. "En 2009, la Turquie enregistrait 3 milliards de dollars d'investissements de portefeuille, quand ils atteignent 19 milliards en 2011. Certes, ils sont revenus, mais jusqu'à quand ?", s'interroge l'économiste.
"RISQUE D'INSOLVABILITÉ"
Autre problème pour le pays, sa grande dépendance à la zone euro, dont les économistes jugent son état quasi-catastrophique. "Un tiers des exportations turques sont destinées à la zone euro - Allemagne, France et Royaume-Uni en tête -, et quasiment la moitié si l'on prend les 27 pays de l'Union européenne", précise Céline Antonin. "Par ailleurs, un quart des exportations du pays sont destinées au monde arabe, où le risque de conflit avec l'Iran inquiète. Mais dans ce cas, on parle seulement de 'risque', alors que dans celui de la zone euro, il est avéré", fait-elle valoir.
Ce risque est d'ailleurs anticipé par le gouvernement, dont la prévision de croissance en 2012, à 4 %, est deux fois plus modeste que l'année précédente. De son côté, le Fonds monétaire international, qui table sur 2,3 % de croissance, se montre bien plus pessimiste... et réaliste, selon l'économiste. "La crise de la zone euro va avoir pour conséquence le retrait de capitaux à court terme, ainsi qu'un tarrissement des investissements directs à l'étrangers [IDE] européens, qui représentent 12 milliards de dollars sur les 15 milliards d'IDE du pays", souligne Mme Antonin.
Par conséquent, "dans la mesure où le pays doit financer une balance courante fortement déficitaire, la principale menace pour la Turquie viendrait alors du risque d'insolvabilité qui, s'il se matérialisait, pourrait provoquer une grave crise économique", estime l'économiste.
"BULLE SPÉCULATIVE"
Dernier gros handicap pour le pays - et non des moindres, au regard des dépendances économiques précédemment évoquées -, son faible ressort de croissance autonome. "L'industrie turque ne possède pas de forte valeur ajoutée. Par exemple, elle n'a pas de grands constructeurs automobiles et fait essentiellement de la sous-traitance, pour Renault ou Volkswagen notamment", explique Céline Antonin. C'est pourquoi certains n'hésitent pas à surnommer le pays "la Chine de l'Europe" - à tort selon elle, qui rappelle que le géant asiatique "possède plusieurs champions nationaux".
D'où la nécessité pour le pays, affaibli par une balance commerciale qui risque de se faire de plus en plus déficitaire, de monter en gamme sa production industrielle et d'investir dans une industrie à forte valeur ajoutée, mais également de réduire sa dépendance à l'Union européenne, en se tournant vers le monde arabe pour amorcer un relais de croissance.
En attendant, la Turquie doit faire face à l'explosion de son inflation, qui atteint 10,4 % en mars en glissement annuel. Si l'entrée de capitaux à court terme et le risque pétrolier peuvent expliquer en grande partie ce phénomène, la politique monétaire de la banque centrale turque joue un rôle clé, selon Mme Antonin. "Dans beaucoup de pays émergents, les banques centrales ont augmenté leurs taux d'intérêts pour éviter la création d'une bulle spéculative, alors qu'en Turquie, ils sont très bas pour porter la consommation... au risque de fabriquer une bulle."
le Monde PGM | |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: TURQUIE : Economie, politique, diplomatie... Jeu 5 Avr 2012 - 18:09 | |
| - Citation :
Le Royaume-Uni réitère son soutien à la demande turque d'adhésion à l'UE
Le gouvernement britannique a réitéré, mercredi, son soutien à la demande turque d'adhésion à l'Union européenne (UE), soulignant que l'accession de la Turquie à l'espace européen serait bénéfique sur les plans économiques et sécuritaires.
Nous estimons que l'adhésion de la Turquie serait bénéfique pour le Royaume-Uni et pour l'UE et "contribuerait à notre prospérité, notre sécurité et notre stabilité", a dit le ministère britannique des Affaires étrangères dans un communiqué commentant la publication d'un rapport de la Chambre des Communes (chambre basse du parlement de Westminster) sur la Turquie.
Le Foreign Office s'est félicité, dans ce contexte, du soutien exprimé, dans le rapport, à la position officielle britannique, appuyant la demande turque d'adhésion à l'UE.
Le Royaume-Uni ?uvre étroitement avec le gouvernement turc ainsi qu'avec l'UE en vue de préparer l'intégration d'Ankara au sein de l'espace européen en tant que membre à part entière, a ajouté le ministère, mettant l'accent sur l'importance de la coopération entre Londres et Ankara au sujet des questions internationales, notamment la question syrienne, le dossier nucléaire iranien, la Somalie, l'Afghanistan et les Balkans.
Sur le plan économique, le Foreign Office a rappelé l'engagement du Premier ministre, David Cameron, à doubler le volume des échanges commerciaux anglo-turcs durant les cinq prochaines années.
Ces échanges ont totalisé 9,1 milliards de livres Sterling en 2011, soit une hausse de 40 pc depuis 2009.
http://www.aufaitmaroc.com/actualites/monde/2012/4/4/le-royaume-uni-reitere-son-soutien-a-la-demande-turque-dadhesion-a-lue |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: TURQUIE : Economie, politique, diplomatie... Jeu 5 Avr 2012 - 21:55 | |
| - Citation :
Le ministre des affaires étrangères portugais fait l’éloge de l’économie turque
Le ministre des affaires étrangères portugais Paulo Portas, qui est en visite officielle à Ankara, a fait l’éloge de l’économie croissante de la Turquie.
Portas a dit « 8.5% de croissance est un indicateur de votre place en Europe. »
Le ministre des affaires étrangères portugais portas a premièrement rencontré le ministre des affaires étrangères Ahmet Davutoğlu.
Les deux ministres ont déclaré un accord pour l’amélioration des relations.
Le ministre des affaires étrangères Ahmet Davutoğlu a dit qu’il a repris l’affaire de visa et qu’il est heureux de voir le soutien du Portugal sur l’affaire.
Le ministre des affaires étrangères du Portugal, qui est entrain de lutter dans la crise sérieuse, a dit « nous félicitons la croissance de 8.5% que vous avez réalisé, ça indique votre place en Europe ».
Portas a dit qu’il croit que la Turquie est un bon acteur et a souligné la longueur du temps entre la candidature de la Turquie à l’UE en 1999 et 2012. Le ministre des affaires étrangères portugais a dit que l’union doit adopter une attitude qui permet de trouver la solution.
Plus tard, Portas a effectué une visite au palais présidentiel de Çankaya et a rencontré le président Abdullah Gül.
http://www.trtfrancais.com/fr/informations/detail/turquie/1/le-ministre-des-affaires-etrangeres-portugais-fait-leloge-de-leconomie-turque/2427 |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: TURQUIE : Economie, politique, diplomatie... Jeu 5 Avr 2012 - 22:00 | |
| Au moment où le gouvernement turc ne parvient pas à se rapprocher de ses voisins orientaux, les relations avec les pays de l'UE semblent se redynamiser - Citation :
Belgique et Turquie vont tenter de progresser sur des questions bilatérales
La Belgique et la Turquie organiseront en novembre prochain à Bruxelles une réunion interministérielle "trilatérale" pour discuter de coopération concrète entre les deux pays, notamment en matière d'immigration, dans la perspective d'une possible adhésion à l'Union européenne, a annoncé jeudi le ministre belge des Affaires étrangères, Didier Reynders.
Cette réunion rassemblera les ministres des Affaires étrangères, de la Justice et de l'Intérieur belges et turcs, a-t-il indiqué par téléphone à l'agence BELGA depuis Istanbul, où il terminait une visite de deux jours en Turquie à l'invitation de son homologue turc, Ahmet Davutoglu. Elle sera précédée en mai par une réunion préparatoire, qui se tiendra à Ankara. La Belgique reste favorable à l'adhésion de la Turquie à l'Union européenne, malgré la lenteur des négociations, entamées en 2005, mais pratiquement au point mort depuis des mois. Les pourparlers entre Ankara et l'UE sont notamment bloqués par le refus turc d'appliquer l'union douanière à la République de Chypre, sous administration chypriote-grecque, qui a rejoint l'UE en 2004 mais que la Turquie ne reconnaît pas. Ankara soutient la République turque de Chypre nord (RTCN), autoproclamée et non reconnue internationalement, et a déployé des troupes dans la partie nord de l'île depuis 1974. La France et l'Allemagne freinent aussi les pourparlers d'adhésion, par crainte de l'entrée dans l'Union d'un pays de 71 millions d'habitants, presque tous musulmans. "Aucune avancée majeure n'est à attendre" d'ici la fin de l'année, car la présidence tournante de l'UE sera assurée au second semestre par Chypre, a souligné M. Reynders, qui a réclamé davantage de progrès d'Ankara, notamment en matière de respect du droit des minorités (y compris kurde) et de la presse. Pour éviter un blocage total des relations avec la Turquie, stratégiquement importante car aux portes du Proche-Orient, l'UE a proposé un "dialogue intensifié" avec Ankara sur des sujets comme les visas, la mobilité et les migrations, de même que sur des questions commerciales importantes. C'est dans ce cadre que se situe la réunion trilatérale belgo-turque, qui portera notamment sur la signature souhaitée d'un accord de réadmission par Ankara et sur la facilitation de l'octroi de visas, notamment pour des hommes d'affaires, selon M. Reynders. "La Belgique a déjà fait beaucoup d'efforts, notamment pour faciliter les procédures" en matière de visas, a souligné le chef de la diplomatie belge. Il a par ailleurs confirmé aux responsables turcs - dont le président Abdullah Gül, qu'il a rencontré mercredi à Ankara - la visite en Turquie en octobre prochain d'une mission économique présidée par le prince Philippe. Cette mission devrait permettre d'évoquer une coopération entre entreprises belges et turques sur des marchés comme l'Asie centrale ou l'Afrique. MM. Reynders et Davutoglu ont enfin discuté d'une éventuelle visite d'Etat des souverains belges l'an prochain en Turquie, à une date et selon des modalités qui restent à fixer.
http://www.7sur7.be/7s7/fr/1505/Monde/article/detail/1419548/2012/04/05/Belgique-et-Turquie-vont-tenter-de-progresser-sur-des-questions-bilaterales.dhtml |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: TURQUIE : Economie, politique, diplomatie... Jeu 5 Avr 2012 - 22:31 | |
| Avec l'Europe pour pas longtemps, en juillet, les relations seront gelés jusqu'en 2013. |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: TURQUIE : Economie, politique, diplomatie... Jeu 5 Avr 2012 - 23:34 | |
| - Baybars a écrit:
- Avec l'Europe pour pas longtemps, en juillet, les relations seront gelés jusqu'en 2013.
un gel de 6 mois... Si Sarkozy perd les élections, les relations vont surement se détendre avec l'UE. Le principal objectif du gouvernement turc est l'assouplissement voir la suppression des visas pour les citoyens turcs. |
| | | Inanç Genelkurmay Başkanı
messages : 6351 Inscrit le : 13/07/2009 Localisation : France Nationalité : Médailles de mérite :
| Sujet: Re: TURQUIE : Economie, politique, diplomatie... Ven 6 Avr 2012 - 15:12 | |
| Comment ils ont acquis de tels moyens les terroristes - Citation :
- April 5, 2012: On March 11 a team of Turkish police commandos conducted a raid into northern Iraq, going ten kilometers across the border to capture five PKK (Turkish Kurdish separatists) encryption experts. Also captured were laptops and a lot of data and software used to encrypt PKK messages. The encryption team had caused a lot of problems for Turkish intelligence, which could track PKK groups via their wireless transmissions, but could not read the encrypted transmissions. This indicated the use of high-quality encryption, and implied the presence of PKK members who knew this technology and how to use it. Cryptography (or "crypto") is the science of developing and using secret codes to convert text into incomprehensible gibberish, then convert it back (decrypt) it into readable text.
Turkish intelligence sought to identify the PKK encryption team, which appeared to be getting messages from PKK commanders in northern Iraq (delivered by hand, or USB memory stick), then encrypting them and transmitting them to PKK member in Turkey and throughout northern Iraq and parts of Syria. The Turks spent several months tracking down the encryption team, using UAVs as well as electronic monitoring equipment (on the ground and in the air.)
There is a lot of encryption software available on the Internet and commercially. But Turkey, as a nation and NATO member, has access to tools for cracking (decrypting) a lot of these widely available encryption methods. The PKK encryption team appears to have been using high grade encryption that was difficult to decrypt. Thus the capture of the encryption team weakened, for a while, the PKK ability to communicate wirelessly without the Turks reading the messages.
Then again, maybe not. Of the many secrets intelligence agencies keep, those dealing with encryption (and the ability to decrypt) are kept most secret of all. The PKK encryption team may be one of several. Capturing documents and taking the PKK team alive (allowing for interrogation) will reveal much of this to the Turks, but you won't read about the results in the media. http://www.strategypage.com/htmw/htintel/articles/20120405.aspx | |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: TURQUIE : Economie, politique, diplomatie... Ven 6 Avr 2012 - 15:46 | |
| Erdogan demande de faire au moins 5 enfants par femme. Allez bismillah... |
| | | jonas General de Brigade
messages : 3370 Inscrit le : 11/02/2008 Localisation : far-maroc Nationalité : Médailles de mérite :
| Sujet: Re: TURQUIE : Economie, politique, diplomatie... Ven 6 Avr 2012 - 15:50 | |
| - Baybars a écrit:
- Erdogan demande de faire au moins 5 enfants par femme. Allez bismillah...
non franchement il est sérieux ?? | |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: TURQUIE : Economie, politique, diplomatie... Ven 6 Avr 2012 - 15:53 | |
| - jonas a écrit:
- Baybars a écrit:
- Erdogan demande de faire au moins 5 enfants par femme. Allez bismillah...
non franchement il est sérieux ?? Oui, sinon la Turquie va faire venir des millions d'étrangers d'ici 2030. La Turquie a grandement besoin de main d'oeuvre pour les années a venir. Actuellement, la Turquie compte 75 millions d'habitants et le gouvernement veut atteindre 100 millions d'habitants en 2050. |
| | | jonas General de Brigade
messages : 3370 Inscrit le : 11/02/2008 Localisation : far-maroc Nationalité : Médailles de mérite :
| Sujet: Re: TURQUIE : Economie, politique, diplomatie... Ven 6 Avr 2012 - 16:01 | |
| c'est abusé quand même il part du principe que la Turquie aura les mêmes proportions de croissance et d’investissement et donc elle aura besoin d'une main d’œuvre importante !!! ce serais un erreur même si sincèrement je vous le souhaite et bien plus encore mais la il rêve il les feront pas les 5 enfant par femmes a moins de recourir a l’insémination forcée (alias viol ) !!! | |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: TURQUIE : Economie, politique, diplomatie... Ven 6 Avr 2012 - 16:07 | |
| - jonas a écrit:
- c'est abusé quand même il part du principe que la Turquie aura les mêmes proportions de croissance et d’investissement et donc elle aura besoin d'une main d’œuvre importante !!! ce serais un erreur même si sincèrement je vous le souhaite et bien plus encore mais la il rêve il les feront pas les 5 enfant par femmes a moins de recourir a l’insémination forcée (alias viol ) !!!
Le gouvernement incite les hommes Turcs a aller chercher leur femme a l'étranger. L'histoire des marocaines de Mardin est bien connu, ces hommes Turcs qui ont cherchés leur deuxième épouse au Maroc. Ou l'histoire des femmes d'Europe de l'est et de Russie qui sont de nombreuses a épousée des hommes Turcs. Pareil pour les femmes Iraniennes et d'Asie Centrale. Ces femmes ont la nationalité turque après 3 ans de mariage. Le gouvernement distribue la nationalité assez facilement. Vivre 5 ans en Turquie suffit pour avoir la nationalité. |
| | | jonas General de Brigade
messages : 3370 Inscrit le : 11/02/2008 Localisation : far-maroc Nationalité : Médailles de mérite :
| Sujet: Re: TURQUIE : Economie, politique, diplomatie... Ven 6 Avr 2012 - 16:10 | |
| le problème ce n'est pas de trouvé des femmes mais est ce que le pays pourrai absorbé cette augmentation rapide de la population !!!ne serais ce pas un danger pour l’économie personnellement je suis très sceptique et retissent a l'idée que des couple ais plus de 3 enfant maximum | |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: TURQUIE : Economie, politique, diplomatie... Ven 6 Avr 2012 - 16:16 | |
| - jonas a écrit:
- le problème ce n'est pas de trouvé des femmes mais est ce que le pays pourrai absorbé cette augmentation rapide de la population !!!ne serais ce pas un danger pour l’économie personnellement je suis très sceptique et retissent a l'idée que des couple ais plus de 3 enfant maximum
Il n'y aucun danger, la Turquie est grande pour absorber autant de population. Selon un rapport, la Turquie peut nourrir plus 250 millions de personnes si elle modernise d'avantage l'agriculture. |
| | | Inanç Genelkurmay Başkanı
messages : 6351 Inscrit le : 13/07/2009 Localisation : France Nationalité : Médailles de mérite :
| Sujet: Re: TURQUIE : Economie, politique, diplomatie... Ven 6 Avr 2012 - 17:08 | |
| - Baybars a écrit:
- jonas a écrit:
- le problème ce n'est pas de trouvé des femmes mais est ce que le pays pourrai absorbé cette augmentation rapide de la population !!!ne serais ce pas un danger pour l’économie personnellement je suis très sceptique et retissent a l'idée que des couple ais plus de 3 enfant maximum
Il n'y aucun danger, la Turquie est grande pour absorber autant de population. Selon un rapport, la Turquie peut nourrir plus 250 millions de personnes si elle modernise d'avantage l'agriculture. C'est pas son business, le nombre d'enfants par couple. Les gens font des enfants parce qu'ils le veulent, pour concrétiser leur amour. J'imagine un homme qui a dit à sa femme "tu vas accouché de 5 enfants sinon l'économie ira mal". Vraiment marre des c**neries d'Erdogan | |
| | | Inanç Genelkurmay Başkanı
messages : 6351 Inscrit le : 13/07/2009 Localisation : France Nationalité : Médailles de mérite :
| Sujet: Re: TURQUIE : Economie, politique, diplomatie... Ven 6 Avr 2012 - 19:18 | |
| Des combats ont lieu actuellement à Siirt contre des terroristes du PKK.
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