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| La politique américaine comme si vous y étiez... | |
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rafi General de Division
messages : 9496 Inscrit le : 23/09/2007 Localisation : le monde Nationalité : Médailles de mérite :
| Sujet: La politique américaine comme si vous y étiez... Dim 11 Mar 2012 - 20:39 | |
| Rappel du premier message : - Citation :
- Ce militant démocrate qui défie Barack Obama
Candidat à la présidence, Darcy Richardson exprime la frustration d’une partie des progressistes états-uniens face au bilan du président sortant. Il participe aux primaires démocrates afin de «r amener,dit-il, Obama à gauche ».
Il n’a eu droit qu’à quelques entrefilets
dans deux, trois journaux mais le New York Times ne l’a pas cité une seule fois dans
l’un de ses articles. Il ne collecte que quelques milliers de dollars de-ci, de-là. Il ne bénéficie donc ni de la puissance financière ni de la couverture médiatique, éléments indispensables à toute campagne électorale
aux États-Unis. Pourtant Darcy Richardson
est bel et bien candidat à la présidence des
États-Unis (www.darcy2012.com). Mieux
même, il est le seul à défier Barack Obama
dans plusieurs États. Même si le barnum ultradroitier des républicains l’a occulté,
il n’en reste pas moins que le Parti démocrate organise lui aussi un processus de désignation
de son candidat.
« Je suis le premier à admettre que je n’ai aucune chance de battre, voire d’inquiéter le président sortant », répète Darcy Richardson en
préambule des rares interviews que des chaînes locales lui accordent. Même si Eugene
McCarthy constitue sa référence politique
(les deux hommes ont notamment milité ensemble au début des années quatre-vingt-dix dans l’aile gauche du Parti démocrate), ce féru d’histoire sait que 2012 n’est pas 1968. Cette année-là, le sénateur progressiste du Minnesota, Eugene McCarthy, avait défié, au nom
du mouvement antiguerre, Lyndon Johnson, président depuis 1963, embourbé dans
son escalade militaire au Vietnam. Après
des premières primaires très serrées,
Johnson renonça finalement à se représenter.
Pourquoi dès lors se lancer dans une telle
bataille à cinquante-six ans ? Parce qu’Obama
doit répondre de son bilan, rétorque en substance cet ancien assureur devenu auteur et bloggeur (www.battleground.com). « Il n’a accompli aucune des choses dont il a parlé en 2008. L’administration Obama est un cas d’école de l’influence corruptrice de l’argent de Wall Street dans la politique américaine. Le président a abandonné sans mener le combat. » L’accusation est rude mais le ton toujours posé. Il cite : renoncement de la réforme du système bancaire et de Wall Street et de la création d’un véritable système public de santé, poursuite de la guerre en Afghanistan, reconduction des réductions d’impôts pour les plus riches votés sous
George Bush. « Les frustrations et les déceptions de l’électorat démocrate sont immenses, ajoute-il. De plus en plus de gens se rendent compte que
le premier mandat d’Obama est en fait un
troisième mandat de Bush. Nous ne voulons pas d’un quatrième mandat de Bush. »
Darcy Richardson a reçu le soutien
de la Nouvelle Alliance progressiste (www.newprogs.org), organisation créée par le philosophe noir Cornel West, très critique envers l’hôte
de la Maison-Blanche et qui avait appelé
à une candidature unifiée pour défier
Obama. Aucune des personnalités évoquées
depuis plusieurs mois (Jeffrey Sacks, Robert Reich, Bernie Sanders, Dennis Kucinich…)
n’a relevé le gant. Darcy Richardson, si.
Son slogan de campagne : « Un démocrate progressiste pour président. » Et son espoir : « Ramener Obama à gauche. » http://www.humanite.fr/monde/ce-militant-democrate-qui-defie-barack-obama-491746 - Citation :
Aux États-Unis, il n’y a pas que Lyndon LaRouche pour accuser Obama d’avoir trahi ses promesses. Bien que boudé par la grande presse, le démocrate progressiste Darcy Richardson défie le président Barack Obama dans plusieurs États dans la course à la présidentielle. Car, même si le barnum ultradroitier des républicains l’a occulté, il n’en reste pas moins que le Parti démocrate organise lui aussi un processus de désignation de son candidat.
Pour Darcy Richardson, qui mène lui aussi campagne pour rétablir la séparation des banques d’affaires des banques de dépôt (retour au Glass-Steagall Act), le bilan du mandat d’Obama est plus que calamiteux : « Il n’a accompli aucune des choses dont il a parlé en 2008. L’administration Obama est un cas d’école de l’influence corruptrice de l’argent de Wall Street dans la politique américaine. Le président a abandonné sans mener le combat. »
Et comme le précise un article paru dans l’Humanité du 8 mars : « L’accusation est rude mais le ton toujours posé. Il cite : renoncement de la réforme du système bancaire et de Wall Street et de la création d’un véritable système public de santé, poursuite de la guerre en Afghanistan, reconduction des réductions d’impôts pour les plus riches votés sous George Bush. "Les frustrations et les déceptions de l’électorat démocrate sont immenses, ajoute-il. De plus en plus de gens se rendent compte que le premier mandat d’Obama est en fait un troisième mandat de Bush. Nous ne voulons pas d’un quatrième mandat de Bush." »
La référence politique de Darcy Richardson reste Eugene McCarthy (rien à voir avec l’anti-communiste Joseph McCarthy). Ce sénateur progressiste du Minnesota avait défié en 1968, au nom du mouvement contre la guerre du Vietnam, Lyndon Johnson, président depuis 1963. Eugene McCarthy était aussi en très bonnes termes avec Lyndon LaRouche et s’était fait remarquer en 1988 en faisant campagne en faveur de l’Initiative de défense stratégique (IDS), initiative anti-guerre initié par LaRouche et caricaturé par la presse comme « la guerre des étoiles ». Il avait également signé l’appel pour un Nouveau Bretton Woods de LaRouche.
Aujourd’hui, Darcy Richardson dispose du soutien de la Nouvelle Alliance progressiste, organisation créée par le philosophe noir Cornel West, très critique envers l’hôte de la Maison-Blanche et qui avait appelé à une candidature unifiée pour défier Obama. Le slogan de campagne de Richardson : « Un démocrate progressiste pour président. » Son espoir : « Ramener Obama à gauche. » http://www.solidariteetprogres.org/Le-candidat-democrate-progressiste-Darcy-Richardson-Obama-c-est-Bush-III_08678 | |
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Auteur | Message |
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jf16 General de Division
messages : 41614 Inscrit le : 20/10/2010 Localisation : france Nationalité : Médailles de mérite :
| Sujet: Re: La politique américaine comme si vous y étiez... Mer 30 Jan 2019 - 14:19 | |
| - Citation :
- 30.01.2019
235 millions de $ et bientôt 550: coup de fusil à la frontière mexicaine!
Déployer des troupes à la frontière entre les USA et le Mexique coûte certainement moins cher qu'un déploiement en Irak ou en Afghanistan mais la facture s'allonge.
Selon le vice-amiral Michael Gilday, directeur des opérations du Joint Staff, la facture s'élèverait actuellement à 235 millions de $. Les coûts seraient de 132 millions pour les soldats d'active et de 102 millions pour les unités de la Garde nationale engagés dans des opérations en soutien du DHS au Texas, en Arizona et en Californie.
L'amiral pense qu'à la fin de l'année fiscale 2019 (fin septembre), date prévue actuellement pour le démontage de ce dispositif militaire, à ce rythme, les coûts atteindront les 550 millions de $.
En cette fin janvier, 2 100 soldats d'active (ils ont été 5 900 au plus fort du déploiement) et 2 350 Gardes nationaux sont déployés.
Mardi, Patrick Shanahan, le secrétaire d'Etat à la Défense par intérim, a estimé qu'il faudrait "plusieurs milliers d'autres soldats", surtout si Donald Trump recourt à la loi sur l'urgence nationale.
http://lignesdedefense.blogs.ouest-france.fr/archive/2019/01/30/235-millions-de-et-bientot-550-coup-de-fusil-a-la-frontiere-mexicaine.html | |
| | | jf16 General de Division
messages : 41614 Inscrit le : 20/10/2010 Localisation : france Nationalité : Médailles de mérite :
| Sujet: Re: La politique américaine comme si vous y étiez... Mer 20 Fév 2019 - 16:31 | |
| - Citation :
- Trump précise la structure de la future force spatiale américaine
Washington, 19 fév 2019 (AFP) -
Le projet de force spatiale voulue par Donald Trump avance: le président américain a ordonné mardi au Pentagone de rédiger un projet de loi créant une "Space Force" comme sixième entité des forces armées américaines.
"Nous devons être prêts", a déclaré Donald Trump en signant dans le Bureau ovale la quatrième directive spatiale de son mandat, qui décrit en détails l'organisation et les pouvoirs voulus pour cette nouvelle entité. "Mon gouvernement a fait de la création d'une force spatiale une affaire de sécurité nationale".
"Nos adversaires sont dans l'espace, que cela nous plaise ou non. Ils le font, et nous aussi. Et ce sera une grande partie des activités défensives et même offensives de notre pays mais restons gentils et parlons de la défense de notre pays", a dit le président américain.
Cette force spatiale vise par exemple à protéger les satellites américains contre toute attaque physique (par collision avec un autre objet, ou par un missile), ou toute tentative de piratage ou de brouillage par des adversaires, ainsi qu'à développer des capacités militaires offensives dans l'espace.
Elle aura pour responsabilité de protéger les intérêts américains et de "dissuader toute agression" contre les Etats-Unis ou leurs alliés, selon le texte présidentiel qui parle tant de moyens défensifs qu'offensifs.
Donald Trump a annoncé en juin 2018 son intention de créer une force "séparée mais égale" aux cinq autres (US Army, US Air Force, US Navy, Marine Corps et Garde-côtes). Mais le processus est long et dépend du Congrès, qui devra adopter la réorganisation, ce qui donne lieu à une féroce bataille militaro-bureaucratique.
Dans un premier temps, la "Space Force" prendra la forme d'un commandement militaire au sein de l'armée de l'air. Puis, avec l'aval du Congrès, elle deviendra une force à part entière avec son propre chef d'état-major et un sous-secrétaire à l'Espace mais toujours dans le giron de l'armée de l'air, comme le corps des Marines qui opère au sein de la Navy.
L'ensemble des personnels militaires et civils qui travaillent dans le domaine spatial au sein du Pentagone (satellites, fusées, armes, technologies...) seront regroupés sous un commandement unique.
Le texte présidentiel évoque l'indépendance de la force spatiale par rapport à l'armée de l'air dans un avenir indéterminé.
"Nous avons beaucoup d'armes nouvelles défensives et offensives créées spécialement pour cela et nous allons désormais commencer à les exploiter", a dit Donald Trump.
https://www.marine-oceans.com/actualites/17707-trump-precise-la-structure-de-la-future-force-spatiale-americaine | |
| | | rafi General de Division
messages : 9496 Inscrit le : 23/09/2007 Localisation : le monde Nationalité : Médailles de mérite :
| Sujet: Re: La politique américaine comme si vous y étiez... Ven 22 Fév 2019 - 10:55 | |
| Les néocons de l’administration Trump lancent la croisade contre l’Iran...
https://solidariteetprogres.fr/chroniques-strategiques/Iran-neocons-Varsovie-attentats-Mike-Pence.html | |
| | | jf16 General de Division
messages : 41614 Inscrit le : 20/10/2010 Localisation : france Nationalité : Médailles de mérite :
| Sujet: Re: La politique américaine comme si vous y étiez... Sam 2 Mar 2019 - 15:43 | |
| - Citation :
- Le projet de "Force de l'espace" envoyé au Congrès américain pour approbation
Washington, 1 mars 2019 (AFP) -
Le Pentagone a annoncé vendredi avoir envoyé au Congrès son projet de loi établissant une "Force de l'espace", conformément à la volonté du président Donald Trump, un projet qui pourrait se heurter à une forte opposition.
"Ceci est un moment historique pour notre pays", a jugé le ministre de la Défense par intérim Patrick Shanahan dans un communiqué. "La proposition de loi du ministère de la Défense est une avancée stratégique destinée à sécuriser les intérêts nationaux vitaux des Etats-Unis dans l'espace".
Dans un premier temps, la "Space Force" prendra la forme d'un commandement militaire au sein de l'armée de l'air. Puis, avec l'aval du Congrès, elle deviendra une force à part entière avec son propre chef d'état-major et un sous-secrétaire à l'Espace mais toujours dans le giron de l'armée de l'air, comme le corps d'élite des Marines qui opère au sein de l'US Navy, la marine américaine.
L'ensemble des personnels militaires et civils qui travaillent dans le domaine spatial au sein du Pentagone (satellites, fusées, armes, technologies...) seront regroupés sous un commandement unique.
Le projet prévoit que la force de l'espace pourrait regrouper quelque 15.000 militaires, soit une petite fraction des forces armées américaines (1,2 million d'hommes et femmes) et que sa création coûtera 2 milliards de dollars sur 5 ans.
Si elle est approuvée par le Congrès, la Force de l'espace sera le premier service créé par l'armée américaine depuis l'US Air Force en 1947.
Mais des élus -- et certains responsables du Pentagone -- ont critiqué ce projet, jugeant qu'il ajouterait trop de bureaucratie alors que le ministère de la Défense est critiqué pour la lenteur de sa capacité de réaction aux changements technologiques, justement à cause de sa lourde bureaucratie.
https://www.marine-oceans.com/actualites/17768-le-projet-de-force-de-l-espace-envoye-au-congres-americain-pour-approbation | |
| | | jf16 General de Division
messages : 41614 Inscrit le : 20/10/2010 Localisation : france Nationalité : Médailles de mérite :
| Sujet: Re: La politique américaine comme si vous y étiez... Dim 10 Mar 2019 - 17:34 | |
| - Citation :
- Budget : Trump devrait demander 8,6 milliards de dollars pour le mur
AFP 10/03/2019
Donald Trump a prévu de demander 8,6 milliards de dollars dans le budget 2020 pour financer le mur qu'il veut construire à la frontière avec le Mexique, a indiqué dimanche son conseiller économique Larry Kudlow.
Questionné sur la chaine Fox News sur l'opposition prévisible du Congrès au chiffre de 8,6 milliards de dollars pour le mur qui circulait dans la presse américaine, M. Kudlow a répondu "je suppose que ce sera le cas".
Selon le Washington Post, dans son budget pour l'année fiscale 2020 qui sera dévoilé lundi, M. Trump veut diriger 5 milliards de dollars du budget du ministère de la Sécurité intérieure et 3,6 milliards de celui du Pentagone vers son projet de mur frontalier destiné à empêcher l'immigration clandestine.
Ces chiffres feront l'objet d'âpres négociations entre la Maison Blanche et les parlementaires.
Ces fonds s'ajouteraient au financement d'urgence de 6,5 milliards prévus selon la déclaration "d'urgence nationale" annoncée le 15 février, une procédure qui lui permet de contourner le Congrès pour débloquer des financements.
La dernière fois que M. Trump a demandé aux parlementaires d'approuver le financement de son mur frontalier, le bras de fer avec le Congrès a abouti à un "shutdown", une fermeture partielle du gouvernement américain de 35 jours. Il a donc cherché à contourner les élus avec sa déclaration d'urgence nationale mais le Congrès s'apprête à adopter une résolution destinée à annuler ce financement d'urgence.
M. Trump "va garder son mur. Il va garder sa sécurité à la frontière. Je pense que c'est essentiel", a ajouté M. Kudlow.
Le principal conseiller économique de la Maison Blanche s'est en outre déclaré optimiste pour la croissance américaine, assurant qu'elle dépasserait les 3% "en 2019 et après", précisant que le budget 2020 prévoyait une réduction des dépenses publiques de 5%.
https://www.lorientlejour.com/article/1160975/budget-trump-devrait-demander-86-milliards-de-dollars-pour-le-mur.html | |
| | | jf16 General de Division
messages : 41614 Inscrit le : 20/10/2010 Localisation : france Nationalité : Médailles de mérite :
| | | | jf16 General de Division
messages : 41614 Inscrit le : 20/10/2010 Localisation : france Nationalité : Médailles de mérite :
| Sujet: Re: La politique américaine comme si vous y étiez... Dim 24 Mar 2019 - 20:00 | |
| - Citation :
- Oman accorde à l'armée américaine un accès à certains ports et aéroports
Mascate, 24 mars 2019 (AFP) -
Oman a signé avec les Etats-Unis un accord en vertu duquel ce pays du Golfe accordera un accès à certains de ses ports et aéroports aux navires et avions militaires américains, a rapporté dimanche l'agence de presse omanaise ONA.
Un "accord-cadre" a été signé dimanche par les ministères de la Défense des deux pays pour "renforcer les relations militaires omano-américaines", a-t-on indiqué de même source.
L'accord, selon ONA, "va permettre aux forces américaines de profiter des infrastructures à disposition dans certains ports et aéroports du sultanat durant les visites des navires et des avions militaires américains, surtout au port de Duqm".
Le port de Duqm est situé en mer d'Arabie, à quelque 500 km du stratégique détroit d'Ormuz qui contrôle le Golfe et par où passe jusqu'à 30% du pétrole mondial transitant par voie maritime.
Le Golfe est un espace maritime au coeur de vives tensions géopolitiques notamment entre l'Iran et les États-Unis, qui y entretiennent une forte présence militaire.
https://www.marine-oceans.com/actualites/17910-oman-accorde-a-l-armee-americaine-un-acces-a-certains-ports-et-aeroports | |
| | | AIT Victime
messages : 612 Inscrit le : 02/02/2019 Localisation : Ait Hdiddou Nationalité : Médailles de mérite :
| Sujet: Re: La politique américaine comme si vous y étiez... Lun 25 Mar 2019 - 11:21 | |
| https://amp.timeinc.net/thedrive/the-war-zone/8008/a-guide-to-the-pentagons-shadowy-network-of-bases-in-africa?source=dam&xid=twittershare&__twitter_impression=true _________________ ⵜⴰⵢⵔⵉ ⵏ'ⵜⵎⴰⵣⵉⵔⵜ | |
| | | jf16 General de Division
messages : 41614 Inscrit le : 20/10/2010 Localisation : france Nationalité : Médailles de mérite :
| | | | rafi General de Division
messages : 9496 Inscrit le : 23/09/2007 Localisation : le monde Nationalité : Médailles de mérite :
| Sujet: Le Russiagate aux orties, Trump va-t-il saisir la perche ? Sam 30 Mar 2019 - 11:01 | |
| Deux tremblements de terre viennent de secouer simultanément le monde des deux côtés de l’Atlantique : l’adhésion de l’Italie à la Nouvelle Route de la soie, qui enfonce une porte dans la forteresse de l’UE, et la disculpation de Donald Trump dans l’ensemble de l’accusation qui pesait sur lui depuis son élection en 2017 avec l’affaire dite du « Russiagate ».
Un proverbe chinois dit qu’il est difficile de trouver un chat noir dans une pièce sombre, surtout s’il n’y a pas de chat. Après deux ans d’enquête, relayée frénétiquement par la quasi-totalité des grands médias, le procureur spécial Robert Mueller a rendu son rapport, obligé d’admettre qu’il n’avait rien. C’est un « nothingburger », comme on dit aux États-Unis. Aucun commencement de preuve ne permet de dire qu’il y a eu « collusion » entre l’équipe de campagne de Trump et la Russie de Poutine en 2016. Le ministre de la Justice, William Barr, a même définitivement écarté le soupçon d’obstruction à la Justice par Trump, laissé en suspens par Mueller.
Le « mensonge de destruction massive », comme l’a qualifié le journaliste d’investigation Seymour Hersh, s’est subitement évaporé. Le discrédit des Démocrates et des médias, y compris français, pris en plein délire conspirationniste, est total. « La majorité de la presse française le condamnait à l’avance, tuyautée par des sources de l’oligarchie anglo-américaine, écrit Jacques Cheminade sur son compte Twitter. Ses ennemis va-t-en-guerre et le FBI voulaient écarter un obstacle à leurs menées. Ils ont échoué. Tant mieux pour la paix ».
Cette chasse aux sorcières, lancée contre un président en exercice, constitue sans doute le plus grand scandale de l’histoire américaine. Et, quoi que l’on puisse penser de Trump, il faut admettre qu’il a eu le cran et le mérite d’avoir résisté pendant deux ans. Débusquer la bête
Avec l’effondrement du Russiagate, la question des responsables devient désormais brûlante : « Qui a orchestré cela ? Qui a payé ? Qui l’a alimenté ? demande Rudy Giuliani, ancien maire de New-York et avocat de Donald Trump, sur Fox-TV. Il va falloir une enquête pleine et entière, avec au moins autant d’enthousiasme que celle-ci, afin d’établir d’où cette attaque est venue, qui l’a lancée et qui l’a financé ».
Au Congrès américain, de nombreux élus demandent un « day of reckoning », un jour où les responsables soient obligés de rendre des comptes. Lyndsey Graham, qui dirige le Comité judiciaire du Sénat, a appelé à la nomination d’un procureur spécial pour enquêter sur l’illégalité des mandats d’écoute délivrés par la Cour FISA (Foreign Intelligence Surveillance Act) contre les membres de l’équipe de Trump, dont George Papadopoulos et Carter Page. Le chef de la majorité républicaine au Sénat, Mitch McConnel, a apporté son soutien à Graham.
De son côté, le député Devin Nunes, qui occupe un poste important au sein du Comité du Renseignement de la Chambre, a annoncé qu’il allait saisir la justice afin que des poursuites pénales soient engagées contre la corruption politique qui entoure l’ensemble de l’équipe d’enquête de Robert Mueller, ainsi que les anciens responsables du FBI et du Département de la Justice.
L’ancien président Obama est également pointé du doigt. Le journaliste James Freeman écrit dans le Wall Street Journal : « Le rapport Mueller confirme que l’administration Obama, sans preuves, a utilisé les pouvoirs de surveillance du gouvernement fédéral contre la campagne électorale du parti de l’opposition. Soit cet abus historique de l’autorité exécutive a été approuvé par le président Barack Obama, soit il ne l’a pas été. Il est temps que M. Obama dise ce qu’il savait et ne savait pas ».
Toutefois, c’est surtout vers la Grande-Bretagne que les regards vont désormais se tourner, compte tenu du faisceau d’indices et de témoignages accumulés ces derniers mois sur l’implication des services secrets britanniques dans la fabrication du Russiagate contre Trump depuis au moins fin 2015. Nous-mêmes, à Solidarité & progrès, avec nos amis américains du Comité d’action politique de Lyndon LaRouche (LPAC), avons dénoncé dès le départ cette ingérence britannique dans la politique américaine (lire notre article du 15 août 2017 intitulé « Derrière le ‘Deep State’, c’est Londres qui veut destituer Donald Trump »).
George Papadopoulos publie justement un livre dans lequel il explique entre autres comment il avait été approché, lors de ses voyages à Londres en tant que représentant de la campagne de Trump, par toute une série de responsables des milieux diplomatiques et du renseignement britannique. « Le Royaume-Uni est l’épicentre de la tentative de coup d’État des deux dernières années », a-t-il tweeté dimanche dernier....
https://solidariteetprogres.fr/chroniques-strategiques/Mueller-Russiagate-Trump-Russie-collusion.html | |
| | | jf16 General de Division
messages : 41614 Inscrit le : 20/10/2010 Localisation : france Nationalité : Médailles de mérite :
| Sujet: Re: La politique américaine comme si vous y étiez... Mer 3 Avr 2019 - 18:46 | |
| - Citation :
- Le Kremlin contre la volonté américaine de renforcer l'Otan en mer Noire
Moscou, 3 avr 2019 (AFP) -
La Russie voit d'une manière "négative" la proposition américaine d'envoyer de nouveaux navires de l'Otan en mer Noire pour y protéger les bateaux ukrainiens, a déclaré le Kremlin mercredi.
Washington travaille à un plan prévoyant l'envoi de nouveau navires de l'Alliance atlantique en mer Noire en réponse à l'affrontement armé entre les marines russe et ukrainienne en novembre au large de la péninsule annexée de Crimée, a déclaré mardi l'ambassadrice américaine auprès de l'Otan, Kay Bailey Hutchinson.
Cette proposition doit être étudiée mercredi et jeudi à l'occasion d'une réunion à Washington des ministres de la Défense des pays membres de l'Alliance atlantique.
Le Kremlin a indiqué jeudi voir cette proposition américaine "de manière négative". "Nous ne comprenons pas ce qu'il veulent dire par là. La situation dans le détroit de Kertch et de la navigation là-bas est bien connue", a déclaré aux journalistes son porte-parole Dmitri Peskov.
En novembre, les gardes-côtes russes ont arraisonné des navires de guerre ukrainiens qui tentaient de pénétrer dans la mer d'Azov, partagée entre les deux pays, par le détroit de Kertch qui la sépare de la mer Noire. L'incident armé a fait trois blessés 25 marins ukrainiens sont depuis retenus prisonniers.
"Nous allons nous assurer que nous avons les capacités de dissuader une Russie très agressive", a déclaré mardi à la presse Kay Bailey Hutchinson. Elle a assuré que la proposition américaine visait "à assurer qu'il existe un passage en sécurité des navires ukrainiens par le détroit de Kertch".
Avant cet incident naval, Kiev et les Occidentaux accusaient déjà depuis des mois la Russie d'"entraver" délibérément la navigation des navires commerciaux par le détroit de Kertch, dont Moscou revendique le contrôle depuis l'annexion de la Crimée qui lui offre la maîtrise des deux rives.
Le détroit de Kertch permet d'entrer en mer d'Azov, où se trouvent plusieurs ports ukrainiens très importants pour le pays, notamment ceux de Berdiansk ou Marioupol.
https://www.marine-oceans.com/actualites/17975-le-kremlin-contre-la-volonte-americaine-de-renforcer-l-otan-en-mer-noire | |
| | | Adam Modérateur
messages : 6300 Inscrit le : 25/03/2009 Localisation : Royaume pour tous les Marocains Nationalité : Médailles de mérite :
| Sujet: Re: La politique américaine comme si vous y étiez... Ven 5 Avr 2019 - 11:17 | |
| - News agency Inforos a écrit:
Bolton’s influence on Trump might derail US’ deal-making plans
The National Security Advisor’s all-or-nothing attitude to international agreements might ruin the US’ plans all across the world
Reuters reported that February’s Trump-Kim summit in Hanoi was unexpectedly derailed after the American President handed his North Korean counterpart a document demanding Pyongyang’s complete and verifiable denuclearization along the lines of the controversial Libyan model that National Security Advisor Bolton had previously supported. It’s long been speculated that Bolton’s influence on Trump was responsible for spoiling his summit with Kim, and the latest report lends credence to that theory.
It says that the US wanted North Korea to transfer its nuclear weapons to its former adversary just like Libya did with its own “Weapons of Mass Destruction” technology a decade and a half ago, something that would have been totally unacceptable for Pyongyang given its aversion to following in the footsteps of the former Jamahiriya that was later destroyed by NATO once it voluntarily surrendered the instruments that could have otherwise provided it with credible deterrence.
To be sure, North Korea seems serious about denuclearizing, though at its own pace and in exchange for the gradual lifting of sanctions and procurement of economic aid, not unilaterally in the undignified manner of a defeated nation that doesn’t have any guarantees that it’ll receive anything in return. This understanding was held to be “conventional knowledge” by both the public and government officials alike, with it having been written about extensively over the past year since the US-North Korean “thaw” that followed the Trump-Kim “war of words” and ultimately led to their historic summit last summer in Singapore.
Despite this, Bolton evidently used his influence over Trump to convince the President to make unacceptable demands to the North Koreans, knowing full well that they would reject the proposal and that this would therefore ruin the summit, to say nothing of the “Singapore spirit” that the participants were supposedly enthused with.
It’s difficult at this moment in time to analyze why he chose to go that route, let alone what will come next given how unpredictable the president has proven himself to be, but it’s possible to prognosticate just how difficult Bolton’s influence over Trump will make it for the US to fulfill its other deal-making plans elsewhere in the world. Many pundits try to draw a connection between progress or lack thereof on the North Korean front with the Iranian one, though such equivalencies are mostly rhetorical because the US’ relations with both states are very different, as are its modus operandi for getting what it wants from them.
Furthermore, even though Trump’s disrespectful demands to Kim obviously reduce the chances of the Ayatollah ever agreeing to deal with him, it should be noted that the Iranians already rejected any talks with the Americans about their nuclear deal, so it’s inaccurate to imply a “cause-and-effect” relationship between them.
Because of this, it’s extremely unlikely that the US will retreat from its sanctions-driven Hybrid War destabilization strategy against Iran in any case, seeking instead to have the Islamic Republic unilaterally surrender its strategic capabilities in an undignified manner akin to that of a defeated nation, just like what it wants to do with North Korea (at least at this point) but through different means.
Moving beyond that, the next context in which Bolton’s influence over Trump would hamper the US’ deal-making flexibility is with the so-called “Deal of the Century”, the details of which might officially be released sometime this month after next week’s Israeli elections. Just like with North Korea and Iran, however, it’s unlikely that the US will pursue anything other than the unilateral acceptance of its regional vision, though it might attempt to make a pretense of “compromising” on some aspects in order for its “deal” to be more publicly acceptable to some.
Other than the US’ recognition of Israel’s Golan Heights annexation being part of the plan, it’s hard to predict what other aspects it’ll include, but the point here isn’t to speculate on those details but to analyze the larger dynamics of the forthcoming process. So long as Bolton remains the administration’s “Trump whisperer” and is able to strongly influence the president’s behavior as a result, it’ll probably end up being the case that the US will go forth with unilaterally recognizing whatever terms it includes in the “Deal of the Century” irrespective if others follow suit or not.
Bolton’s mantra can be summed up with the cliché that “might makes right”, so all that matters to him in that instance is that the US and its Israeli ally go ahead with whatever is proposed, just as they did with the recognition of Jerusalem as Israel’s capital and the recent Golan Heights declaration.
Putting it all together, it appears as though Trump’s famous deal-making promises basically boil down to other countries (be they North Korea, Iran, or those in the “Mashriq”) doing whatever the US demands of it under the “face-saving” pretense that they “struck a deal” and there were supposedly some “prior negotiations” involved, when it all amounts to a unilateral surrender to America’s strategic interests.
While Trump might have had this in mind all along, it’s impossible at this point to separate his strategy from Bolton’s documented track record of such Libyan-like approaches and proposals, which might actually in hindsight be why he eventually chose him as his National Security Advisor, not wanting to do so beforehand out of concern that this would spook his “deep state” enemies and the public into opposing his choice right away. Therefore, while Trump is undoubtedly under Bolton’s influence, he might actually not have a problem with that at all. _________________ Les peuples ne meurent jamais de faim mais de honte.
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| | | kurahee Colonel-Major
messages : 2475 Inscrit le : 15/02/2014 Localisation : maroc Nationalité : Médailles de mérite :
| Sujet: Re: La politique américaine comme si vous y étiez... Lun 8 Avr 2019 - 0:22 | |
| - Citation :
- Donald Trump annonce le remplacement de sa ministre de la sécurité intérieure
A ce poste depuis octobre 2017, Kirstjen Nielsen sera remplacée par Kevin McAleenan, jusque-là chef du service américain des douanes et de protection des frontières.
Kirstjen Nielsen, le 18 juin 2018, lors d’une session de questions-réponses à la Maison Blanche.
ministre de la sécurité intérieure Kirstjen Nielsen va quitter ses fonctions, et je voudrais la remercier pour son travail », a tweeté Donald Trump, dimanche 7 avril. Il a ajouté qu’il la remplaçait par Kevin McAleenan, jusque-là chef du service américain des douanes et de protection des frontières (CPB).
....I am pleased to announce that Kevin McAleenan, the current U.S. Customs and Border Protection Commissioner, wil… https://t.co/dFkAi7XFku — realDonaldTrump (@Donald J. Trump)
Mme Nielsen avait rejoint l’administration de Donald Trump en janvier 2017 en tant que collaboratrice de son premier ministre en charge de ce portefeuille, John Kelly. Lorsque M. Kelly a été nommé chef de cabinet de la Maison Blanche en juillet 2017, elle y est devenue son adjointe. Puis elle a été nommée ministre de la sécurité intérieure en octobre 2017.
La loyauté primait
A ce poste, elle est devenue le visage de la politique d’immigration du chef de l’Etat, y compris dans la mise en œuvre très critiquée de séparer les enfants migrants de leurs parents. Les relations de Mme Nielsen avec M. Trump ont depuis longtemps été perçues comme difficiles. Mais alors qu’on disait que le président se plaignait constamment de son travail, elle restait fermement loyale.
Le mois dernier, elle a défendu la déclaration d’urgence nationale décrétée par le président visant à assurer le financement d’un mur à la frontière avec le Mexique, une promesse électorale phare du candidat Trump. https://www.lemonde.fr/international/article/2019/04/08/donald-trump-annonce-le-remplacement-de-sa-ministre-de-la-securite-interieure_5447071_3210.html | |
| | | jf16 General de Division
messages : 41614 Inscrit le : 20/10/2010 Localisation : france Nationalité : Médailles de mérite :
| Sujet: Re: La politique américaine comme si vous y étiez... Jeu 9 Mai 2019 - 17:02 | |
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| | | jf16 General de Division
messages : 41614 Inscrit le : 20/10/2010 Localisation : france Nationalité : Médailles de mérite :
| Sujet: Re: La politique américaine comme si vous y étiez... Ven 10 Mai 2019 - 13:42 | |
| - Citation :
- Il risque 50 ans de prison pour des fuites sur un programme d'assassinats ciblés sous Obama
Par: rédaction 9/05/19 - 22h41 Source: Belga
© ap.
Un ancien analyste des services de renseignement américains a été inculpé jeudi pour avoir transmis à la presse des informations sur un programme militaire secret d'assassinats ciblés par drones sous l'administration de Barack Obama, a annoncé le ministère de la Justice.
Daniel Everette Hale est accusé d'avoir volé des documents sur ce programme et de les avoir fournis à un journaliste. Celui-ci n'est pas nommé dans l'acte d'accusation, mais les détails permettent d'identifier Jeremy Scahill, du site d'informations en ligne The Intercept qui avait révélé le scandale en 2015.
Il encourt 50 ans de prison Hale, 31 ans et qui a été arrêté jeudi matin à Nashville (Tennessee), est la troisième personne inculpée dans cette affaire de fuites. Il encourt 50 ans de prison. Membre des services de renseignement de l'armée de l'Air, il était employé par l'agence de surveillance américaine (NSA) entre 2009 et 2013 en Afghanistan, où il a participé à de nombreuses frappes de drones.
Rencontre avec une journaliste Après avoir quitté l'armée, il a travaillé au sein de la National Geospatial-Intelligence Agency (NGA), chargée de collecter du renseignement géospatial à partir d'imagerie satellitaire. Il aurait rencontré le journaliste dans une librairie de Washington en avril et juin 2013, une période pendant laquelle Scahill faisait la promotion de son livre "Dirty Wars".
Documents confidentiels Pendant un an, alors qu'il travaillait à la NGA, il aurait remis au journaliste des documents confidentiels qui ont servi de base à une grande enquête publiée par The Intercept en octobre 2015. Intitulée "The Drone Papers", elle révélait un programme d'assassinats ciblés par drones au Yémen, en Afghanistan et en Somalie.
Punition des "traîtres" Depuis, le gouvernement américain, sous Barack Obama comme sous Donald Trump, a multiplié ses efforts pour punir les responsables de fuites, qualifiés de "traîtres" par M. Trump. En octobre 2018, un agent du FBI a été condamné à quatre ans de prison pour avoir divulgué des informations confidentielles sur les méthodes de recrutement de la police fédérale. Avant lui, une ancienne sous-traitante de la NSA avait été condamnée à plus de cinq ans de prison pour avoir divulgué un rapport top secret sur les piratages russes lors de la présidentielle de 2016.
Lanceurs d'alerte La rédactrice en chef de The Intercept, Betsy Reed, a dénoncé l'utilisation de la loi fédérale sur l'Espionnage "pour poursuivre les lanceurs d'alerte qui permettent aux journalistes de révéler les actes honteux, immoraux et inconstitutionnels commis en secret par le gouvernement américain".
https://www.7sur7.be/7s7/fr/1505/Monde/article/detail/3528684/2019/05/09/Il-risque-50-ans-de-prison-pour-des-fuites-sur-un-programme-d-assassinats-cibles-sous-Obama.dhtml | |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: La politique américaine comme si vous y étiez... Mar 14 Mai 2019 - 0:23 | |
| - Citation :
-
Un soldat d'élite américain bientôt jugé pour des crimes de guerre en IrakAFP Publié le 27/04/2019 à 07:13 | AFP
Prisonnier adolescent poignardé à mort, jeune fille et vieillard abattus au fusil de précision, zones résidentielles visées à la mitrailleuse lourde sans raison apparente: un sous-officier des forces spéciales américaines va prochainement être jugé pour des crimes de guerre commis lors de missions en Irak.
Bardé de médailles, Edward Gallagher, vétéran de 39 ans, fait encore figure de héros patriotique aux yeux de nombreux Américains et de la chaîne de télévision Fox News, prisée des conservateurs, au risque de devenir un enjeu électoral.
Une quarantaine d'élus républicains du Congrès ont ainsi écrit une lettre demandant sa remise en liberté jusqu'à son procès. Et le président Donald Trump s'est fendu d'un tweet le mois dernier pour annoncer qu'il était intervenu afin d'assouplir les conditions de détention de ce sulfureux militaire, "en reconnaissance des services rendus à notre pays".
Le procès de M. Gallagher, commando dans les célèbres "Navy SEALs", unité d'élite de la Marine américaine, doit s'ouvrir le 28 mai devant un tribunal militaire dans la base navale de San Diego (Californie) où le soldat, arrêté en septembre dernier, est maintenu aux arrêts.
Ce sont des hommes placés sous ses ordres, horrifiés par les actes de leur supérieur, qui ont donné l'alerte malgré l'opposition de leur hiérarchie au sein des SEALs, selon des documents confidentiels divulgués cette semaine par le Navy Times, un média spécialisé dans la marine de guerre américaine, et le New York Times.
Edward Gallagher devra notamment répondre de meurtre avec préméditation, tentative de meurtre et obstruction à la justice.
Les faits qui lui sont reprochés auraient été commis en 2017 à Mossoul, en Irak, où des troupes américaines avaient été déployées aux côtés des forces irakiennes pour reprendre des quartiers de la ville aux mains des combattants du groupe Etat Islamique (EI).
Le militaire, qui risque la prison à vie s'il est condamné, dément toutes les accusations portées contre lui.
Sollicité par l'AFP, son avocat n'a pas réagi.
"Propagande tombée du ciel"
Selon des déclarations lues lors d'une audience préliminaire en novembre, certains membres du peloton "Alpha" commandé par M. Gallagher étaient si bouleversés par son comportement qu'ils ont trafiqué son fusil de sniper pour le rendre moins précis et tiré des coups de semonce pour faire fuir les civils avant que leur chef n'ait le temps d'ouvrir le feu sur eux.
"Ils ont dit avoir passé plus de temps à protéger les civils qu'à combattre l'EI", a assuré au tribunal l'agent Joe Warpinski du NCIS, service d'enquêtes criminelles de la Navy.
Leur chef se vantait notamment du nombre de gens qu'il avait tués, y compris des femmes, affirme le rapport d'enquête cité par le New York Times.
En mai 2017, les forces irakiennes avaient ainsi capturé un combattant ennemi blessé, qui semblait âgé d'environ 15 ans.
D'après les témoignages de deux membres des SEALs, alors qu'un médecin était en train d'administrer des soins au jeune homme, le chef Gallagher s'est approché sans un mot et a poignardé le prisonnier à plusieurs reprises dans le coup et la poitrine avec un couteau de chasse.
Quelques minutes plus tard, M. Gallagher et son officier commandant, le lieutenant Jacob Portier, avaient rassemblé des commandos présents pour une séance de photo près du corps, comme un trophée.
Selon le dossier d'accusation, des soldats du peloton ont tenté à plusieurs reprises d'alerter leur hiérarchie au sein des SEALs sur ces actes constitutifs de crimes de guerre, en vain. Sept d'entre eux disent même avoir été menacés de mesures de rétorsion s'ils rendaient l'affaire publique et ont finalement obtenu gain de cause en portant l'affaire à un niveau supérieur.
Le lieutenant Portier est lui-même poursuivi pour n'avoir pas signalé ces faits et pour destruction de preuves, mais aucun autre officier des SEALs.
Pour Chris Czaplak, procureur de la Marine, "le chef Gallagher a décidé d'agir comme le monstre que les terroristes nous accusent d'être". "Il a fourni à l'EI une propagande tombée du ciel", avait-il dénoncé lors d'une audience préliminaire.
https://www.lepoint.fr/monde/un-soldat-d-elite-americain-bientot-juge-pour-des-crimes-de-guerre-en-irak-27-04-2019-2309744_24.php |
| | | jf16 General de Division
messages : 41614 Inscrit le : 20/10/2010 Localisation : france Nationalité : Médailles de mérite :
| Sujet: Re: La politique américaine comme si vous y étiez... Ven 24 Mai 2019 - 22:10 | |
| - Citation :
- L'administration Trump annonce des ventes d'armes à Ryad en contournant le Congrès
Washington, 24 mai 2019 (AFP) - L'administration américaine de Donald Trump a "formellement informé le Congrès" de nouvelles ventes d'armes à l'Arabie saoudite et aux Emirats arabes unis en contournant la possibilité dont disposent normalement les parlementaires de bloquer ce type de contrat, a annoncé vendredi un sénateur démocrate.
Le gouvernement a "invoqué une obscure disposition" législative sur les exportations de munitions à guidage de précision pour passer outre l'avis du Congrès au nom de la menace iranienne, a déploré Bob Menendez, numéro deux de la commission des Affaires étrangères du Sénat, dans un communiqué.
Le sénateur ne précise ni la nature ni le montant de ces contrats.
Cette décision intervient alors que les tensions se sont intensifiées depuis début mai entre les Etats-Unis et l'Iran, grand rival de l'Arabie saoudite au Moyen-Orient.
Evoquant des menaces d'attaques "imminentes" de la part de Téhéran ou de ses alliés régionaux contre les intérêts américaines, Washington a multiplié les déploiements militaires, dépêchant dans le Golfe un porte-avions, des bombardiers B-52, un navire de guerre et des missiles Patriot.
Le président Trump a aussi annoncé vendredi l'envoi de 1.500 soldats supplémentaires au Moyen-Orient de manière "préventive".
"L'administration n'identifie même pas quel mécanisme légal elle pense utiliser, décrit des années de comportement néfaste de la part de l'Iran mais sans expliquer clairement ce qui constitue aujourd'hui une urgence", a estimé le sénateur Menendez.
Il a déploré une mesure "sans précédent" et dit redouter son impact sur les civils au Yémen, où l'Arabie saoudite et les Emirats dirigent une coalition militaire contre les rebelles Houthis soutenus par l'Iran.
- "Urgence humanitaire" au Yémen -
"Une fois de plus, l'administration Trump ne donne pas la priorité à nos intérêts de sécurité nationale de long terme et ne défend pas les droits humains, préférant accorder des faveurs à des pays autoritaires comme l'Arabie saoudite", a-t-il déclaré.
Le Congrès américain avait adopté en avril une résolution exigeant du président "le retrait des forces armées américaines des hostilités" au Yémen, à l'exception des opérations visant Al-Qaïda. Donald Trump y a mis son veto.
La procédure habituelle veut que le département d'Etat notifie au Congrès les ventes d'armes, qui ne peuvent se concrétiser que si les parlementaires ne s'y opposent pas dans un délai de 90 jours.
"J'ai empêché l'administration Trump de vendre des dizaines de milliers de bombes à guidage de précision à l'Arabie saoudite et aux Emirats arabes unis tant qu'elle ne sera pas en mesure de prouver que l'assistance américaine et les ventes d'armes améliorent" leur "respect des droits humains au Yémen et sont conformes aux intérêts de sécurité nationale des Etats-Unis", a insisté Bob Menendez.
"Au lieu de résister à ceux qui ont assassiné Jamal Khashoggi et travaillent contre les intérêts américains, l'administration Trump a décidé de contourner le Congrès et peut-être aussi la loi", a-t-il ajouté, au sujet du journaliste saoudien tué en octobre dans le consulat de son pays à Istanbul. Le Sénat américain a unanimement désigné le prince héritier saoudien Mohammed ben Salmane comme "responsable" de ce meurtre, mais Donald Trump a réaffirmé son attachement à l'alliance avec Ryad.
Sollicité par l'AFP, le département d'Etat n'a pas fait de commentaire.
C'est le sénateur démocrate Chris Murphy qui avait le premier alerté sur un tel projet, avant la notification formelle au Congrès.
"J'entends dire que Trump pourrait utiliser une faille dans la loi sur le contrôle des armes" pour permettre "une nouvelle vente d'envergure de bombes à l'Arabie saoudite", avait-il tweeté.
"Trump prétendrait que la vente est une +urgence+, ce qui veut dire que le Congrès ne pourrait voter contre. Elle se produirait automatiquement", avait-il ajouté. Or "il n'y a aucune urgence à vendre des bombes à l'Arabie pour qu'elle les lâche sur le Yémen", avait-il lancé.
https://www.marine-oceans.com/actualites/18291-l-administration-trump-annonce-des-ventes-d-armes-a-ryad-en-contournant-le-congres | |
| | | jf16 General de Division
messages : 41614 Inscrit le : 20/10/2010 Localisation : france Nationalité : Médailles de mérite :
| Sujet: Re: La politique américaine comme si vous y étiez... Ven 31 Mai 2019 - 13:18 | |
| - Citation :
- Le chef du Pentagone rencontre le ministre chinois de la Défense
Singapour, 31 mai 2019 (AFP) - Le chef du Pentagone Patrick Shanahan a rencontré vendredi à Singapour le ministre chinois de la Défense Wei Fenghe pour tenter d'améliorer les relations entre les armées des deux pays, dans un contexte de tension en mer de Chine méridionale.
La rencontre, qui a duré une vingtaine de minutes en marge du sommet de défense régional Shangri-La Dialogue, a été "constructive et positive", a indiqué un porte-parole du ministre américain de la Défense par intérim, le lieutenant-colonel Joe Buccino.
Les deux dirigeants ont discuté des moyens d'approfondir les relations militaires entre les deux pays afin de "réduire les risques de malentendus et d'erreurs de jugement", a ajouté le porte-parole.
Ils ont également évoqué comment "mieux coopérer pour faire respecter les sanctions de l'ONU" imposées à la Corée du Nord pour la faire renoncer à son programme d'armement nucléaire, a-t-il ajouté.
Les Etats-Unis, qui reprochent à Pékin la militarisation de la mer de Chine méridionale, mènent régulièrement des opérations dites de "liberté de navigation" dans le Pacifique, en survolant l'espace aérien international ou en faisant naviguer des navires de guerre près des archipels disputés.
https://www.marine-oceans.com/actualites/18333-le-chef-du-pentagone-rencontre-le-ministre-chinois-de-la-defense | |
| | | jf16 General de Division
messages : 41614 Inscrit le : 20/10/2010 Localisation : france Nationalité : Médailles de mérite :
| Sujet: Re: La politique américaine comme si vous y étiez... Sam 1 Juin 2019 - 13:35 | |
| - Citation :
- Washington appelle la Chine à cesser "d'éroder la souveraineté des autres pays" (chef du Pentagone)
Singapour, 1 juin 2019 (AFP) -
Les Etats-Unis ont appelé samedi la Chine à "cesser d'éroder la souveraineté des autres pays" et annoncé d'importants investissements dans les cinq prochaines années pour maintenir leur suprématie militaire dans la région.
"La Chine peut et doit avoir des relations de coopération avec le reste de la région", a déclaré le chef du Pentagone Patrick Shanahan à Singapour. "Mais les comportements qui érodent la souveraineté d'autres nations et qui sèment la méfiance à l'égard des intentions chinoises doivent cesser".
"Les Etats-Unis ne recherchent pas les conflits, mais nous savons qu'avoir les capacités de gagner une guerre est le meilleur moyen de les éviter", a ajouté le ministre américain de la Défense par intérim, lors d'un discours devant le forum de sécurité Shangri La Dialogue.
Les Etats-Unis reprochent à Pékin d'avoir militarisé plusieurs îlots de la mer de Chine méridionale revendiqués par d'autres pays de la région. Ils mènent régulièrement des opérations dites de "liberté de navigation" dans le Pacifique, en survolant l'espace aérien international ou en faisant naviguer des navires de guerre près des archipels disputés, ce qui provoque régulièrement la colère de Pékin.
"Quand un pays fait une promesse et ne la respecte pas, il faut se méfier. Quand le même pays ne fait aucune promesse, il faut vraiment se méfier", a-t-il ajouté en référence à la promesse que le président chinois Xi Jinping avait faite à Barack Obama de ne pas militariser les archipels sous le contrôle de Pékin en mer de Chine méridionale.
Parmi les autres risques pour la sécurité de la région, il a notamment mentionné la Corée du Nord, qui "reste une menace extraordinaire et requiert une vigilance permanente".
"Aucune nation ne peut - ni ne doit - dominer la région Indo-Pacifique", a-t-il souligné. "Il est dans notre intérêt à tous de coopérer pour bâtir un avenir commun, un avenir meilleur que celui que chacun de nos pays pourrait bâtir seul".
A cette fin, M. Shanahan a rappelé que le budget du Pentagone, qui doit encore être approuvé par le Congrès, prévoyait des dépenses de recherche et développement de 104 milliards de dollars.
Le Pentagone "investit beaucoup au cours des cinq prochaines années dans des programmes cruciaux pour une région indo-pacifique stable et sûre", a-t-il ajouté, mentionnant notamment la défense anti-missile, un domaine dans lequel Pékin a massivement investi ces dernières années.
La région indo-pacifique est notre théâtre d'opérations prioritaire", a-t-il conclu. "Nous investissons dans la région. Nous investissons en vous et avec vous".
https://www.marine-oceans.com/actualites/18335-washington-appelle-la-chine-a-cesser-d-eroder-la-souverainete-des-autres-pays-chef-du-pentagone | |
| | | jf16 General de Division
messages : 41614 Inscrit le : 20/10/2010 Localisation : france Nationalité : Médailles de mérite :
| Sujet: Re: La politique américaine comme si vous y étiez... Sam 1 Juin 2019 - 14:01 | |
| - Citation :
- Washington subventionne six pays européens pour les qu’ils se débarrassent de leurs matériels militaires russes
par Laurent Lagneau · 1 juin 2019
Les forces armées de plusieurs pays européens, pour certains membres de l’Otan et/ou de l’Union européenne [UE] , mettent encore en oeuvre des équipements militaire hérités de la période soviétique. Ce qui n’est pas toujours simple pour ce qui concerne l’interopérabilité.
D’où l’initiative prise par l’administration Trump, qui consiste à accorder des subventions à quelques uns de ces pays afin de les inciter à se débarrasser de leurs équipements à la fois anciens et de facture russe. Appelée « European Recapitalization Incentive Program » [ERIP], elle est dotée d’une enveloppe de 190 millions de dollars.
Le magazine spécialisé Defense News précise que ce « nouvel outil » a été élaboré par le département d’État et le commandement militaire américain pour l’Europe [US EUCOM]. Pour le moment, six pays sont concernés : la Bosnie-Herzégovine [qui n’est membre ni de l’Otan, ni de l’UE], la Macédoine du Nord [processus d’adhésion à l’Otan en cours], l’Albanie [membre de l’Otan et processus d’adhésion à l’UE en cours], la Croatie, la Slovaquie et… la Grèce [membres de l’Otan et de l’UE].
Curieusement, l’Ukraine ne figure pas sur cette liste, pas plus que la Géorgie… Sans doute s’agit-il de ne pas froisser davantage Moscou. À moins que ces deux pays soient prochainement concernés étant donné que l’ERIP pourrait être étendu à d’autres alliés des États-Unis… La Hongrie, la Pologne, la République tchèque ainsi que les États baltes sont cités.
Pour Washington, le calcul est simple : grâce à cette initiative, les pays bénéficiaires sont donc incités à moderniser leurs forces armées tout en étant en quelque sorte encouragés à se tourner vers l’industrie américaine. Résultat : il n’y aura plus besoin de sous-traitants russes sur les bases de l’Otan pour soutenir leurs anciens équipements et l’interopérabilité ne pourra qu’être renforcée. En outre, les États-Unis gagnent en influence, comme dans les Balkans.
Évidemment, le montant de l’aide accordée à chacun de ces six pays est trop modeste pour envisager des achats importants. Mais l’idée est de leur mettre le pied à l’étrier… Par exemple, si l’un d’eux commande seulement 4 hélicoptères auprès d’un industriel américain avec la subvention qui lui a été accordée, il n’aura pas l’intention de se tourner vers une autre fournisseur quand il s’agira de passer à la vitesse supérieure.
Selon l’International Institute for Strategic Studies [IISS], cité par Defense News, les subventions allouées sont plus en moins importantes en fonction des priorités et des capacités de chaque pays. Ainsi, la Slovaquie aurait bénéficié de 50 millions de dollars pour remplacer ses hélicoptères multi-rôles Mi-17 tandis que la Grèce et la Croatie auraient reçu 25 millions chacune pour retirer du service leurs véhicules blindés BMP-1 et BVP M-80.
Reste que ce programme a un autre effet : celui d’écarter les industriels européens de marchés potentiels. D’où l’importance de Coopération structurée permanente [CSP/PESCO] et du Fonds européen de Défense [FEDef], ce dernier ne devant pas bénéficier aux groupes américains.
http://www.opex360.com/2019/06/01/washington-subventionne-six-pays-europeens-pour-les-quils-se-debarrassent-de-leurs-materiels-militaires-russes/ | |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: La politique américaine comme si vous y étiez... Sam 1 Juin 2019 - 14:11 | |
| Des leçons de souveraineté à la Chine, C est l'hôpital qui se fou de la charité
L'administration Trump, c'est des pressions économiques diplomatiques ou militaires, embargos, frappes sur
L' Union Européenne La Chine La Russie l'Iran Le Mexique Le Venezuela Le Canada Les pays du Golfe La Syrien La Turquie La Corée du nord ... |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: La politique américaine comme si vous y étiez... Sam 22 Juin 2019 - 22:30 | |
| L'applaventrisme ne paie pas toujours - Citation :
- Les Etats-Unis ajoutent l’Arabie saoudite et Cuba à leur liste noire sur le trafic d’êtres humains
https://www.lemonde.fr/international/article/2019/06/21/les-etats-unis-ajoutent-l-arabie-saoudite-et-cuba-a-leur-liste-noire-sur-le-trafic-d-etres-humains_5479885_3210.html |
| | | Fahed64 Administrateur
messages : 25540 Inscrit le : 31/03/2008 Localisation : Pau-Marrakech Nationalité : Médailles de mérite :
| Sujet: Re: La politique américaine comme si vous y étiez... Sam 22 Juin 2019 - 22:52 | |
| Ça va leur coûter combien en armement ? _________________ Sois généreux avec nous, Ô toi Dieu et donne nous la Victoire | |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: La politique américaine comme si vous y étiez... Dim 23 Juin 2019 - 1:00 | |
| Pour commencer, eux et leurs copains du coin devront trouver 50 milliards d'ici Mardi - Citation :
-
Proche-Orient : le plan de paix américain veut lever 50 milliards pour les Palestiniens
Par LEXPRESS.fr avec AFP , publié le 22/06/2019 à 19:26 , mis à jour à 19:52
Le plan américain vise à réformer l'économie palestinienne et de la lier à ses voisins. L'objectif est de doubler le PIB palestinien en une décennie.
Les Etats-Unis ont annoncé ce samedi que leur plan de paix pour le Proche-Orient, dont le volet économique doit être présenté la semaine prochaine à Bahreïn, visait à lever plus de 50 milliards de dollars pour les Palestiniens et à doubler leur PIB en une décennie.
Donnant pour la première fois des détails sur ce plan, l'administration de Donald Trump a précisé que l'initiative allait tenter de réformer l'économie palestinienne et de la lier à ses voisins, afin de lever d'énormes investissements internationaux.
La conférence de mardi et mercredi à Manama, emmenée par le gendre et conseiller du président américain Jared Kushner, sera l'occasion de présenter ce plan attendu de longue date, qui inclura plus tard un volet politique selon des responsables.
"Transformer la Cisjordanie et Gaza de manière fondamentale"
Mais l'Autorité palestinienne boycotte cet atelier intitulé "De la paix à la prospérité", estimant que l'administration Trump, qui affiche son soutien à Israël, cherche à acheter les Palestiniens et à les priver d'un Etat indépendant. Une responsable palestinienne, Hanane Achraoui, a rejeté ce samedi les premiers détails du plan, estimant que Washington doit d'abord oeuvrer à mettre fin au "vol par Israël" des terres palestiniennes.
La Maison Blanche présente le plan, qui doit être discuté en détail à Bahreïn avec des responsables financiers de riches Etats arabes du Golfe, comme étant historique. Il "représente l'effort international le plus ambitieux et le plus complet pour le peuple palestinien jusqu'ici", dit la Maison Blanche dans un document rendu public samedi.
"Il peut transformer la Cisjordanie et Gaza de manière fondamentale et ouvrir un nouveau chapitre dans l'histoire palestinienne, un chapitre défini non par les épreuves et les pertes, mais par la liberté et la dignité", selon l'exécutif américain.
Doubler le PIB
L'objectif est de lever plus de 50 milliards pour les Palestiniens au cours de la prochaine décennie et de doubler leur PIB. Selon la Maison Blanche, l'initiative peut transformer l'économie palestinienne en créant plus d'un million d'emplois.
Et au risque de provoquer la colère des dirigeants palestiniens, l'exécutif américain indique que l'argent levé sera géré par une banque de développement internationale afin d'assurer une meilleure gouvernance et pour éviter la corruption.
https://www.lexpress.fr/actualite/monde/proche-moyen-orient/proche-orient-le-plan-de-paix-americain-veut-lever-50-milliards-pour-les-palestiniens_2085704.html |
| | | Fox-One General de Division
messages : 8023 Inscrit le : 20/09/2007 Nationalité : Médailles de mérite :
| Sujet: Re: La politique américaine comme si vous y étiez... Sam 29 Juin 2019 - 10:08 | |
| Trump avalé sa salive, il vient de renoncer à ses précédentes sanctions contre Huawei.
La menace chinoise de ne plus faire ses échanges en dollars à it ses effets | |
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