Actualités du Sahara Marocain

Rappel du premier message :

zapbox a écrit:

....mais le maroc aura plus a perdre que a gagné en fesan ca donc le maroc le fera jamais

peux-tu développer ta phrase???

zap faut pas raconter les conneries de vos torchons ici qui ne savent vraiment rien et exagerent pour leur but,la France n´a jamais utilisé le VETO(seule l´USA et la russie dernierement en ont usé depuis des années deja,et ca vient en premier en infos quand c´est usé croit moi),car la question avec le "groupe amis des machins.." ecrit des reso qui passent dans le cadre de CONSENSUS,donc sachant d´avance que ca passera par tout le monde(15).
y´a plus de votes membres(pro/contra)sur le sahara depuis des années..

dans ce consensus,les avis des partis interessés doit etre pris en consideration,et des correctures sont faites apres,par le membre qui prend l´criture en charge,et ca se trouve que dans ce groupe,c´est soit la France soit l´USA qui ecrivent la reso.

voila dis ca a vos torchons.

p.s: votre point fort c´est de fantasmer sans jamais apprendre de l´histoire

Elle a cherché la petite bete partout, en descandant de l'avion elle était remplie d'appriori, elle s'attendais peut etre a etre acceuilli avec des drapeau du polisario mais elle n'a trouvé que des marocains.....

Citation :

Dakhla, Sahara occidental ou Maroc saharien ?

Le conflit du Sahara occidental semble plus que jamais d’actualité lorsque l’on arrive à Dakhla, une des villes des provinces du Sud annexées par le Maroc en 1975. Dynamique et en plein développement, la ville n’a rien des camps de réfugiés de Tindouf.

«Ici on veut tous être Marocains. Ceux qui ne veulent pas l’être partent pour les camps ».

Cette phrase, jetée par Meimouna, accompagnatrice attitrée de la visite de Dakhla habillée du voile sahraoui et chargée de communication, révèle une première vision de la ville de Dakhla, à l’extrême sud du Sahara occidental près de la frontière avec la Mauritanie. Et la question identitaire n’est pas la seule ambiguïté de l’endroit.

En approchant de l’aéroport, on peut déjà voir de l’avion les constructions encore naissantes, financées par l’Etat marocain. Dès l’atterrissage, l’accompagnatrice, native de Dakhla, prend en charge l’unique journée prévue pour la visite. Un programme de choc attend : visite du nouveau port de Dakhla, visite du musée Sahraoui et de la médiathèque, visite des serres de tomates cerise, du site de l’océan vagabond, entretien avec le Wali, gouverneur de la ville et même une rencontre avec le tissu associatif local.

Difficile de caser ne serait-ce qu’une heure de libre dans un programme aussi chargé afin de contacter ceux dont on ne parle pas «les militants revendiquant la libération de ce territoire» ou les membres du POLISARIO.

Une voiture mise à disposition attend, l’accompagnatrice est là pour faciliter les visites et les trajets au cours de cette journée. Passée la vue aérienne, Dakhla est une petite ville où alternent les couleurs des bâtiments peints et le gris de ceux encore en construction.

Très symétriques, les rues sont le cœur de l’activité nocturne ainsi que la corniche qui borde l’océan Atlantique. Installée dans la péninsule du Rio de Oro, la ville est peuplée d’environ 60 000 habitants Elle a un climat désertique équilibré par le vent et la proximité de l’océan. Les restes de la colonisation espagnole datant du 19ème siècle sont encore visibles dans l’énorme fort militaire à l’entrée de la ville.

La ville elle, est neuve, portant les traces du développement récent amorcé par le Royaume du Maroc. Et pourtant Dakhla fait partie des territoires du Sahara occidental et non du Maroc au regard du droit international.

Entre aide au développement et exploitation directe, le Maroc joue sur une frontière fragile ; Dakhla est devenue ainsi une région économiquement «marocaine», mais pas juridiquement.

La pêche, principale richesse
Dimanche matin, le marathon commence, direction : le nouveau port de Dakhla. Fierté locale, le port de pêche de Dakhla a commencé à être construit en 1998. Depuis, deux extensions sont en cours de construction, l’une notamment pour les bateaux pétroliers. Gagné sur la mer, le terre-plein s’étend sur près de 13 ha. Les principales activités du port concernent la pêche pélagique et côtière ainsi que le trafic d’hydrocarbures.

Le port est un point d’échange central avec l’Amérique du Sud, mais aussi avec les pays africains. La pêche représente près de 40% de la production nationale marocaine. L’activité bat son plein le dimanche 17 juin, alors que les pêcheurs réparent leurs filets, des centaines de bateaux de pêche créent un effet de congestion. A qui profitent les bénéfices générés par cette activité portuaire ? Au Royaume du Maroc et à l’Europe selon un accord de partenariat de pêche (APP) signé en 1987 entre l’Union européenne et le Maroc et fréquemment renouvelé.

Le problème posé par cet accord concerne l’espace où les navires européens peuvent pêcher. L’appréciation de cet espace est laissée à la libre interprétation du Maroc, or, Dakhla n’appartient pas juridiquement au Maroc, il est seulement sous «contrôle» marocain. Selon un rapport du Conseil des droits de l’homme des Nations Unies datant du 22 février 2010 (Le pillage des ressources halieutiques au Sahara occidental), le Maroc n’a jamais été reconnu par les Nations Unies comme une puissance administrante du territoire.

C’est pourquoi le rapport stipule bien que d’un point de vue légal, le Maroc n’a pas le droit d’exploiter, vendre ou marchander par le biais de l’octroi de licences les ressources de ce territoire.» L’accord de pêche se baserait sur une violation du droit international, car le Maroc a ouvert la possibilité à ces navires européens de pêcher dans les eaux bordant la zone du Sahara occidental sans déclarer sa juridiction sur les eaux. 119 navires européens de 11 pays membres naviguent ainsi sur ces eaux, reste à savoir s’ils vont jusqu’à utiliser le port de Dakhla comme point d’ancrage.

Sur place, pas de drapeau européen à l’horizon. Ces accords de pêche sont sans cesse l’objet de négociations lors de leur reconduction et une manière pour le Maroc d’affirmer à chaque fois la légitimité de sa «souveraineté» sur le territoire. La manière dont le peuple sahraoui profite de ces richesses est plus ambigüe. Un des ingénieurs du port de Dakhla déclare que 10 000 habitants travaillent au port sans donner d’autres détails.

La culture des tomates cerise, monopole français
Vient ensuite la visite des fameuses serres de tomates cerises qui s’étendent sur 60 hectares, dans la ferme de Tawarta et dont le principal client est aussi le marché européen. Le secteur de l’agriculture est la deuxième richesse de la ville de Dakhla.

Les tomates arrivent en France où elles sont redistribuées dans divers pays européens, avec le label «en provenance du Maroc» ou «sud du Maroc». La société française Azura cultive aussi des tomates cerises sur près de 76 ha du territoire.

Selon un rapport de l’ONG Western Sahara Ressource Watch, en 2012 un nouvel accord de libre-échange entre l’Union européenne et le Maroc libéralise encore plus les échanges entre les deux pays, alors qu’un autre accord commercial entre les Etats-Unis et le Maroc exclut clairement la zone du Sahara occidental. Plus encore, le ministère de l’Agriculture et de la pêche marocain a estimé que près d’un million d’hectares étaient exploitables pour l’agriculture. En 2009, près de deux mille hectares étaient exploités ou équipés dans diverses fermes et des projets d’extension sont prévus d’ici 2013.

La majorité des récoltes seront destinées à l’exportation. La plupart de ces extensions seront faites sur des zones habitées auparavant par des sahraouis qui sont partis pour les camps de Tindiouf lors de la guerre, selon le rapport de l’ONG Western Sahara Ressource Watch. Parmi les 11 domaines exploités pour l’agriculture autour de Dakhla, tous appartiennent au roi Mohamed VI, à des hommes d’affaires marocains ou à des multinationales françaises. Aucun n’appartient à un sahraoui.


Dans Dakhla, l’impasse du conflit est ainsi visible dans chaque parcelle du développement de la ville : le Maroc considère bien que le territoire lui appartient et agit donc en toute légalité selon ses officiels. Excepté qu’aux yeux des sahraouis, les choses ne sont pas si simples.

L’identité sahraouie en question
A la radio régionale de Dakhla, le directeur nous accueille en costume traditionnel Sahraoui. Même le dimanche, l’équipe travaille. Créée en 2005, la radio couvre des sujets culturels, politiques et religieux, organise des débats entre les notables et les citoyens. Mais quand il s’agit de la question du Sahara occidental, les sujets sont traités d’une certaine manière.

Le directeur dit avoir parlé sur l’antenne des récents évènements comme le retrait de confiance à l’envoyé spécial de l’ONU, Christopher Ross mais quand on lui demande s’il est allé demander le point de vue de ceux qui revendiquant l’indépendance, ce dernier déclare, qu’il n’y a pas à sa connaissance de «sahraouis indépendantistes ou séparatistes» à Dakhla. La journée se terminera par une rencontre avec le «tissu associatif de la ville» composé de nombreuses femmes sahraouies très impliquées.

Association pour les femmes et le développement, association pour l’enfance, etc. Les problèmes dont parlent ces femmes portent sur le manque d’«espaces verts», ou d’infrastructures pour les écoles.

Tous revendiquent le fait «d’être des Marocains à part entière », aucun acteur des associations militantes pour l’indépendance n’est présent. Une vieille dame témoigne du calvaire qu’elle a du endurer dans les camps de Tindiouf ayant déjà subi la torture dans les prisons espagnoles. Elle déclare être venue se «rallier» à Dakhla n’en pouvant plus des conditions de vie du camp de Tindiouf.

Dakhla, la ville où tout le monde se dit «marocain» servirait-elle donc à légitimer l’annexion de ces territoires par le Maroc ? C’est ainsi qu’est présentée l’histoire au petit musée Sahraoui de Dakhla.

Accompagné d’une médiathèque, le musée commence par les photos des différentes visites du roi Mohamed VI dans les provinces du Sud, puis vient l’histoire en cartes de la colonisation hispano-française. Le saut historique vers le 6 novembre 1975 et le serment de la marche verte organisée par le roi Hassan II semblent être le pivot de l’histoire sahraouie dans ce musée. Les Marocains considèrent cet évènement «pacifique» comme une récupération de leurs territoires historiques contrairement à la Cour internationale de justice. Celle-ci a déclaré, dans un traité du 6 octobre 1975, qu’il existait bien des liens juridiques d’allégeance entre le sultan du Maroc et certaines tribus du Sahara, mais que cela n’était pas suffisant pour établir un lien de souveraineté territoriale entre le Sahara occidental et le Royaume du Maroc.

Très peu d’allusions au Polisario ou à une autre date historique, celle de la proclamation de la République arabe sahraouie démocratique (RASD) le 27 février 1976. L’identité culturelle sahraouie, elle, semble être préservée à travers ce musée qui présente le costume traditionnel et son évolution à travers les âges, les techniques de coiffures, la tente bédouine. Mais peu d’éléments sur l’histoire réelle des sahraouis avec par exemple une étude des tribus qui composent le peuple : d’un côté les Ouled Dhims, de l’autre, les Rguibats. Pour Meimouna, c’est la permanence d’une société tribale qui rend impossible l’indépendance «vous savez, même si on avait l’indépendance, ces tribus se battraient chacune de leu côté pour régner. Et je ne suis pas sûre que cela serait souhaitable».

Dakhla, eldorado marocain ?
Pour le wali de la région d’Oued Eddahab Lagouira, Hamid Chabar, le conflit au Sahara occidental est désormais un problème diplomatique, «un conflit idéologique qui l’emporte sur le reste». A Dakhla, son ambition est claire : «faire de la région un pôle de prospérité à la porte de l’Afrique subsaharienne avec un flux d’échanges important» ; il base le dynamisme sur l’énergie éolienne afin de préserver l’écosystème particulier de la région et parle de nombreux projets pour le développement du tourisme. Son avis sur le Sahara Occidental semble partagé par le délégué du ministre des Affaires étrangères à Rabat, Youssef Amrani : «le Maroc attend aujourd’hui les évaluations du secrétariat des Nations Unies et un nouveau médiateur qui puisse nous aider à aller de l’avant.» Pour lui comme pour le gouverneur de Dakhla, c’est le «manque d’implication de l’Algérie» qui empêche le compromis. Quant au plan d’autonomie du Maroc, jugé illégal par un barreau d’avocats à New York (voir encadré) le ministre délégué préfère privilégier l’avis des Nations Unies qui ont jugé le plan «sérieux et crédible».

Dakhla semble donc bien être une ville «marocaine» aux yeux de tous. Youssef Amrani prend bien soin de préciser que les Marocains n’emploient pas la terminologie Sahara occidental, mais «Maroc Saharien» ou «sud du Maroc» ou encore Sahara».


Aujourd’hui, en quittant Dakhla, certes bien différente de Tindiouf, une question demeure et génère un malaise, qu’en est-il du peuple sahraoui dans ces consultations internationales ou même dans la manière dont le Maroc gère entièrement la ville ? En arrivant à joindre par mail, quelques sahraouis d’un autre avis que celui présenté lors de la visite à Dakhla, le constat est bien différent.

Mohamed El Beikom, un sahraoui, déclare qu’en plus de ne pas pouvoir s’exprimer librement, les revendications d’autodétermination du peuple sahraoui sont sans cesse étouffées. Les cas de violations des Droits de l’homme envers les activistes sahraouis reste encore difficiles à aborder au Maroc. Mais le plus révoltant selon ce sahraoui reste la question du «pillage» des ressources.

«Ce n’est pas le peuple sahraoui qui profite de ces richesses, aussi bien au niveau de la pêche, où peu de pêcheurs locaux sont bénéficiaires des ressources engendrées tout comme dans le secteur de l’agriculture.»

Lui et d’autres sahraouis dénoncent le manque d’emploi pour les locaux. Pour le Wali de la ville, ce manque est plutôt du à un problème de formation pour certains travaux apparus avec l’urbanisation de Dakhla, il déclare «mettre en œuvre un travail de sensibilisation afin de changer les mentalités. Pour certains locaux, les travaux de ferme sont considérés comme dégradants, il faut que nous changions cela.» En attendant, le développement de la ville et l’exploitation des ressources continuent…
http://www.realites.com.tn/dakhla-sahara-occidental-ou-maroc-saharien-ij,158,26861,1

Citation :

Son avis sur le Sahara Occidental semble partagé par le délégué du ministre des Affaires étrangères à Rabat, Youssef Amrani : «le Maroc attend aujourd’hui les évaluations du secrétariat des Nations Unies et un nouveau médiateur qui puisse nous aider à aller de l’avant.» Pour lui comme pour le gouverneur de Dakhla, c’est le «manque d’implication de l’Algérie» qui empêche le compromis. Quant au plan d’autonomie du Maroc, jugé illégal par un barreau d’avocats à New York le ministre délégué préfère privilégier l’avis des Nations Unies qui ont jugé le plan «sérieux et crédible».

Toujours a mendier de la reconnaissance a gauche, a droite, comme si la solution viendra des occidentaux.
Alors qu'ils ont des avantages certains a nous diviser et qu'ils sont en partie responsable de cette situation.
Franchement on fait de la peine...

vipsdesvips a écrit:

Citation :

Son avis sur le Sahara Occidental semble partagé par le délégué du ministre des Affaires étrangères à Rabat, Youssef Amrani : «le Maroc attend aujourd’hui les évaluations du secrétariat des Nations Unies et un nouveau médiateur qui puisse nous aider à aller de l’avant.» Pour lui comme pour le gouverneur de Dakhla, c’est le «manque d’implication de l’Algérie» qui empêche le compromis. Quant au plan d’autonomie du Maroc, jugé illégal par un barreau d’avocats à New York le ministre délégué préfère privilégier l’avis des Nations Unies qui ont jugé le plan «sérieux et crédible».

Toujours a mendier de la reconnaissance a gauche, a droite, comme si la solution viendra des occidentaux.
Alors qu'ils ont des avantages certains a nous diviser et qu'ils sont en partie responsable de cette situation.
Franchement on fait de la peine...

notre seul but c'est de faire reconnaitre notre intégrité territorial a l'ONU afin d'être définitivement tranquille, donc on a besoin des occidentaux pour cela, meme si on paye les pots cassés de la colonisation et le vice espagnol.
ce sera trés difficile mais le gouvernement est patient et evite de rentrer dans la provocation du polisario, il trouvera une ouverture un jour. inchallah.

a moins que le polisario jette tout en l'air mais peu probable car tant qu'ils ont en otage les sahraoui et le financement algerien, ils peuvent faire les victimes et avoir des soutiens.

vipsdesvips a écrit:

Citation :

Son avis sur le Sahara Occidental semble partagé par le délégué du ministre des Affaires étrangères à Rabat, Youssef Amrani : «le Maroc attend aujourd’hui les évaluations du secrétariat des Nations Unies et un nouveau médiateur qui puisse nous aider à aller de l’avant.» Pour lui comme pour le gouverneur de Dakhla, c’est le «manque d’implication de l’Algérie» qui empêche le compromis. Quant au plan d’autonomie du Maroc, jugé illégal par un barreau d’avocats à New York le ministre délégué préfère privilégier l’avis des Nations Unies qui ont jugé le plan «sérieux et crédible».

Toujours a mendier de la reconnaissance a gauche, a droite, comme si la solution viendra des occidentaux.
Alors qu'ils ont des avantages certains a nous diviser et qu'ils sont en partie responsable de cette situation.
Franchement on fait de la peine...

Non on s en sort avec une armee qui a une experience sur le terrain et qui se modernise et une diplomatie qui a evolue vers le mieux et ceci en ayant eveite une guerre civile et en continuant a faire progreser la nation vers plus de Droit et de libertees, sans ressource naturelle qui vaille la peine d etre mentionnee ($$$ ou poid geopolitique)

lorrsque une apprentie journaliste de SlateAfrique (lilia blaise) est obligee d ecrire un article plus equilibre que la moyenne des ces journaux revolutionnaires populaires etc...ca signifie que l on a fait du chemin.

quel autre alternative tu proposes, qui ne mette pas le maroc face a l UN...

General Dlimi a écrit:

notre seul but c'est de faire reconnaitre notre intégrité territorial a l'ONU afin d'être définitivement tranquille, donc on a besoin des occidentaux pour cela, meme si on paye les pots cassés de la colonisation et le vice espagnol.
ce sera trés difficile mais le gouvernement est patient et evite de rentrer dans la provocation du polisario, il trouvera une ouverture un jour. inchallah.

a moins que le polisario jette tout en l'air mais peu probable car tant qu'ils ont en otage les sahraoui, ils peuvent faire les victimes et avoir des soutiens.

Je crois que l'on doit etudier le cas de figure ou cette voie diplomatique ne nous donne pas gain de cause ou fait trop trainer le dossier. Il faut pas mettre tous ses oeufs dans le meme panier.
On doit avoir au moins un plan b et c, et arreter d'attendre la bienveillance US et europeenne.
Il faut par des mesures ambitieuses sociales et economiques attirer le plus possible de sahraouis au plan d'autonomie.
Apres tout, ils veulent ce que tout le monde veut, a savoir logement, travail et soin de sante.
Il faudrait faire imploser le polisario et lui enlever son statut de representant des Sahraouis.
Honnetement je suis sceptique sur la debouchee de la voie diplomatique seule, si les occidentaux l'avaient voulu ce probleme aurait ete regler au plus tard apres la chute du bloc de l'est.
Analysons comment il y a une levee de boucliers contre la division du Mali, paradigme de l'invention territoiriale francaise...

tshaashh a écrit:

quel autre alternative tu proposes, qui ne mette pas le maroc face a l UN...

Distribution massive de terrains, developement d'un secteur de la peche ou le citoyen profite des richesses, hopitaux, ecoles, routes au standard quasi-europeen, demographic engineering,... En gros, une politique ambitieuse d'investissement, la population des provinces du sud est minime et tres urbanisee donc c'est pas impossible et hors de budget !
Et puis la dangerosite de la situation nous impose a etre pro-actif.
Comme on dit : Ta mouch ma kayehrab men dar l3arss.
Wa laho a3lam.

ps: je connais ici un sahraoui pro-polisario de laayoune qui obtenu l'asile politique. Il nous bassinait avec les betises habituelles, fuera marruecos, vous nous avez envahi, on a des armes, blabla... Il voulait pas que l'on dise qu'il est marocain.
Jusqu'au jour ou le gouvernement lui a donner un terrain a tantan plage. Depuis il a mis de l'eau dans son vin, mais alors la un seau d'eau. La canaille est devenu sahraoui du Maroc et ne se mele plus de politique. Il se concentre sur la caillasse et le zelij de sa maison.

HS, mais pour étayer la stupide doléance d'Alger sur les Droits de l'hommes.

Charité bien ordonnée commence par soi-même :

Citation :

Alger critique le rapport de l’ONU sur la liberté d’opinion et d’expression en Algérie

L’Algérie n’a pas caché son agacement après les conclusions du rapport de Frank La Rue, rapporteur spécial des Nations unies sur la promotion et la protection du droit à la liberté d’opinion et d’expression. Dans ses observations, rapportées par l’agence APS, le gouvernement algérien a déploré « l’appréciation très partielle » du rapporteur spécial qui « ne rend pas justice », selon lui aux progrès « significatifs et encourageants » enregistrés en Algérie en matière de promotion et de protection du droit à la liberté d'opinion et d'expression.

Frank La Rue, qui a effectué une visite en Algérie du 10 au 17 avril 2011, a publié un rapport très critique vis‑à‑vis du gouvernement algérien, notamment en matière de restrictions aux libertés. Selon ce rapport, la nouvelle loi sur l’information est plus restrictive que la précédente.

Selon le représentant algérien à Genève, « en s'éloignant des missions et des procédures spéciales du Conseil des droits de l'Homme qui lui font obligation de faire respecter l'équilibre entre le droit à la liberté d'expression et le droit de protection des victimes, le rapporteur spécial a opté pour une approche sélective ». À ce titre, il relève quelques manquements, loin d’être exhaustifs, précise-t-il : « le rapport de M. La Rue omet de mentionner l'absence du droit à la protection des victimes de diffamation et du droit à la protection de la vie privée, consacrés par la législation algérienne en vigueur ».

Le gouvernement algérien relève également que le rapport s'étale sur le droit de réunion et d'association pacifique, alors que cette question ne relève pas du mandat du rapporteur spécial. Autre manquement, selon Alger : « le rapport aborde de façon "préconçue" la loi relative à l'information, adoptée en janvier 2012 sans même en connaître ses effets sur le terrain de la mise en œuvre puisque la mission de M. La Rue en Algérie, s'est déroulée en avril 2011 ».

« Les nombreuses insuffisances et lacunes relevées dans le rapport de M. La Rue, plaide pour une approche équilibrée, impartiale et objective, respectueuse du code de conduite des détenteurs de mandats du Conseil des droits de l'Homme », estime Alger qui rappelle toutefois qu’il est toujours disposé à recevoir les rapporteurs de l’ONU. « Le gouvernement algérien, qui a engagé un processus de réforme d'envergure pour l'élargissement du bien‑être de sa population et la consolidation de l'État de droit, réaffirme sa volonté de poursuivre le dialogue et la coopération traditionnels avec les organes et mécanismes de promotion et de protection des droits de l'Homme », est‑il écrit dans ces observations.

http://www.tsa-algerie.com/divers/alger-critique-le-rapport-de-l-onu-sur-la-liberte-d-opinion-et-d-expression-en-algerie_21281.html

PGM

vipsdesvips a écrit:

ps: je connais ici un sahraoui pro-polisario de laayoune qui obtenu l'asile politique. Il nous bassinait avec les betises habituelles, fuera marruecos, vous nous avez envahi, on a des armes, blabla... Il voulait pas que l'on dise qu'il est marocain.
Jusqu'au jour ou le gouvernement lui a donner un terrain a tantan plage. Depuis il a mis de l'eau dans son vin, mais alors la un seau d'eau. La canaille est devenu sahraoui du Maroc et ne se mele plus de politique. Il se concentre sur la caillasse et le zelij de sa maison.

ça m'a rappelé une anecdote qui m'a particulièrement marqué :

En 2007 le ministère de jeunesse avait organisé un grand meeting de jeunesse marocaine pour élire la délégation qui représentera le Maroc dans un grand événement de jeunesse mondiale au Québec.

Parmi les personnes présentes y'avait un sahraoui (il s'appelait Lahbib) avec un groupe de sahraouis de Layoune, c'était des gens très sympathiques, pro marocains, et animaient chaque nuit la salle avec des chants sahraouis.....

Lahbib a été élu parmi la délégation pour représenter le Maroc, arrivé au Québec tous s'est bien passé, lorsque tout est terminé et l'heure de retour a sonné, le sahraoui (Lahbib) est allé au autorités canadienne pour demander ASILE, prétextant qu'il est pourchassé au Maroc et que l'on bafoue ses droits humains!

Nous étions choqué, lui, il a obtenu son asile politique.

[quote="General Dlimi"]Elle a cherché la petite bete partout, en descandant de l'avion elle était remplie d'appriori, elle s'attendais peut etre a etre acceuilli avec des drapeau du polisario mais elle n'a trouvé que des marocains.....[quote]

j'aimerais bien la voir à Tindouf en train de faire un article du même type, essayant par exemple d'expliquer pourquoi là-bas on retrouve les seuls camps de "réfugiés" du monde administrés par des gens en armes

vipsdesvips a écrit:

Je crois que l'on doit etudier le cas de figure ou cette voie diplomatique ne nous donne pas gain de cause ou fait trop trainer le dossier. Il faut pas mettre tous ses oeufs dans le meme panier.
On doit avoir au moins un plan b et c, et arreter d'attendre la bienveillance US et europeenne.
Il faut par des mesures ambitieuses sociales et economiques attirer le plus possible de sahraouis au plan d'autonomie.
Apres tout, ils veulent ce que tout le monde veut, a savoir logement, travail et soin de sante.
Il faudrait faire imploser le polisario et lui enlever son statut de representant des Sahraouis.
Honnetement je suis sceptique sur la debouchee de la voie diplomatique seule, si les occidentaux l'avaient voulu ce probleme aurait ete regler au plus tard apres la chute du bloc de l'est.
Analysons comment il y a une levee de boucliers contre la division du Mali, paradigme de l'invention territoiriale francaise...

Le probléme des indépendantistes c'est qu'ils nous detestent vraiment, leur noyau dur ne se considerera jamais comme marocain a moins que le polisario abdique et encore, ils prendront tout ce que l'état marocain leur offrira mais continueront a detester le Maroc.

Aprés il y a ceux qui sont avec les indépendantistes pour gagner leur vie, profiter de ce que pourrait leur offrir ce statut, des aides marocaines, des maisons, des terres ou ceux qui soutiennent les indépendantistes moralement parce qu'ils sont sahraoui comme eux, solidarité ethnique...mais qui ne sont pas de vrai indépendantistes en tout cas pas a 100%.

Ensuite il y a les sahraoui patriotes.

La voie diplomatique est un passage obligé car le polisario ne reprendra jamais la guerre et il a bien compris que faire la victime est la meilleur stratégie possible car il n'a jamais été autant considéré que depuis qu'il met en avant "les pauvres sahraoui victimes de la repression marocaine ou réfugiés en Algerie en attendant de retrouver leur terre libre".

Malheuresement, la voie diplomatique officielle est la solution la moins bonne pour nous puisqu'il faut constamment se justifier vu que le territoire nous appartient.

Et reprendre unilatéralement la guerre nous serait fatal au niveau de la communauté internationale.

Il faut être réaliste le statut quo va durer encore longtemps, le seul moyen de le faire bouger c'est la guerre; le ralliement du polisario ou sa chute.

atlasonline a écrit:

vipsdesvips a écrit:

ps: je connais ici un sahraoui pro-polisario de laayoune qui obtenu l'asile politique. Il nous bassinait avec les betises habituelles, fuera marruecos, vous nous avez envahi, on a des armes, blabla... Il voulait pas que l'on dise qu'il est marocain.
Jusqu'au jour ou le gouvernement lui a donner un terrain a tantan plage. Depuis il a mis de l'eau dans son vin, mais alors la un seau d'eau. La canaille est devenu sahraoui du Maroc et ne se mele plus de politique. Il se concentre sur la caillasse et le zelij de sa maison.

ça m'a rappelé une anecdote qui m'a particulièrement marqué :

En 2007 le ministère de jeunesse avait organisé un grand meeting de jeunesse marocaine pour élire la délégation qui représentera le Maroc dans un grand événement de jeunesse mondiale au Québec.

Parmi les personnes présentes y'avait un sahraoui (il s'appelait Lahbib) avec un groupe de sahraouis de Layoune, c'était des gens très sympathiques, pro marocains, et animaient chaque nuit la salle avec des chants sahraouis.....

Lahbib a été élu parmi la délégation pour représenter le Maroc, arrivé au Québec tous s'est bien passé, lorsque tout est terminé et l'heure de retour a sonné, le sahraoui (Lahbib) est allé au autorités canadienne pour demander ASILE, prétextant qu'il est pourchassé au Maroc et que l'on bafoue ses droits humains!

Nous étions choqué, lui, il a obtenu son asile politique.

Voila.

Tant que le conflit durera au sahara, ils profiteront de la situation, c'était une occasion en or pour lui de rester au Canada.

Le jour ou il voudra rentrer au Maroc, il inventera une histoire, on m'a embrigadé, on m'a raconté des bétises ou j'ai vu la vérité, grace au ina lwatan ghafour ou rahim.

Ce sera pareil avec le polisario ou le Maroc, tant qu'ils peuvent gagner quelque chose avec l'un ou l'autre, ils n'hésiteront pas a renier l'un ou l'autre a la moindre possibilité.

Il faut dire les choses comme elles sont, ils profitent de la situation.

Et c'est une des raisons pour lesquel les sahraoui du nord (guelmim....) commencent a les imiter, pour gagner sa vie ou la changer il faut etre malin, le Maroc c'est beau mais tu gagnes plus en donnant une image de pro polisario au Maroc (meme si tu prends des risques) qu'en étant unioniste, en tant que sahraoui.

General Dlimi a écrit:

Aprés il y a ceux qui sont avec les indépendantistes pour gagner leur vie, profiter de ce que pourrait leur offrir ce statut, des aides marocaines, des maisons, des terres ou ceux qui soutiennent les indépendantistes moralement parce qu'ils sont sahraoui comme eux, solidarité ethnique...mais qui ne sont pas de vrai indépendantistes en tout cas pas a 100%.

C'est sur ces gens-la qu'il convient de se concentrer. Il faut leur montrer qu'ils ont plus a gagner dans le Maroc qu'en etant independant.
Les purs et durs du polizebel sont irrecuperables.

General Dlimi a écrit:

Et c'est une des raisons pour lesquel les sahraoui du nord (guelmim....) commencent a les imiter, pour gagner sa vie ou la changer il faut etre malin, le Maroc c'est beau mais tu gagnes plus en donnant une image de pro polisario au Maroc (meme si tu prends des risques) qu'en étant unioniste, en tant que sahraoui.

Point important que tu as soulever la. Tant que cette situation durera, beaucoup pencheront du cote des independentistes.
Il faut combattre le feu par le feu. Et le cupide par l'appat du gain.
Toi qui connais bien les provinces du sud, peux tu m'informer s'il y a encore des bidonvilles et que recoit un sahraoui lambda lorsqu'il regagne la mere patrie? Quelles sont les aides sociales, les aides au logement, ect...
Merci d'avance.

vipsdesvips a écrit:

C'est sur ces gens-la qu'il convient de se concentrer. Il faut leur montrer qu'ils ont plus a gagner dans le Maroc qu'en etant independant.
Les purs et durs du polizebel sont irrecuperables.

Exactement !

vipsdesvips a écrit:

Point important que tu as soulever la. Tant que cette situation durera, beaucoup pencheront du cote des independentistes.
Il faut combattre le feu par le feu. Et le cupide par l'appat du gain.
Toi qui connais bien les provinces du sud, peux tu m'informer s'il y a encore des bidonvilles et que recoit un sahraoui lambda lorsqu'il regagne la mere patrie? Quelles sont les aides sociales, les aides au logement, ect...
Merci d'avance.

Je crois que la seule ville dans le sahara récupéré en 75 où les gens habitent encore quelques bidonvilles est Smara et c'est des gens venus du nord, normalement plus pour longtemps.

Pour les sahraoui de tindouf quand il reviennent je crois savoir qu'ils recoivent un logement, une kartiya, et puis ils essayent de lui trouver un travail afin de s'inserer dans la société.

Mais meme la il y a des arnaqueurs, une cousine me racontait la derniére fois qu'un jeune était revenu seul un jour, avait recu un logement et tout ce qu'il faut, qu'au bout de quelques mois il l'a vendu et il est retourné avec l'argent dans les camps de tindouf, mais quand c'est des familles le retour est sincére.

il est retourné se sequestré de lui meme a Tindouf ? je croyai que c'été invivable, il devait etre completement fou ce gar la .

zapbox a écrit:

il est retourné se sequestré de lui meme a Tindouf ? je croyai que c'été invivable, il devait etre completement fou ce gar la .

non il est reparti voler du fric au généraux

arsenik a écrit:

zapbox a écrit:

il est retourné se sequestré de lui meme a Tindouf ? je croyai que c'été invivable, il devait etre completement fou ce gar la .

non il est reparti voler du fric au généraux

+ 1

@ Zap

Ils rentrent en Mauritanie pas à Tindoufistane.

zapbox a écrit:

il est retourné se sequestré de lui meme a Tindouf ? je croyai que c'été invivable, il devait etre completement fou ce gar la .

C'est le meme genre d'idiots que ces algeriens qui recoivent un appart, du betail ou de materiel du gouvernement et qui le revendent ensuite a demi-prix...

zapbox a écrit:

il est retourné se sequestré de lui meme a Tindouf ? je croyai que c'été invivable, il devait etre completement fou ce gar la .

Pas autant que les algeriens riches de pétrole et du gaz et qui sautent dans une barque pour faire 48h de croisiére pour le sud de l'espagne, il y a des fou partout

quel est belle l'algerie

http://mw2.google.com/mw-panoramio/photos/medium/138602.jpg

Si les algériens sont si riches pourquoi ils prennent des barques pour le nord el generale?? Réponse parce que tu confonds le peuple et les nantis... Tu vOis il faut avoir une grille de lecture et donc d'analyse suffisante pour quel se répercute sur les propos malheureusement le mélange des genres est la règle dans tes convictions


Cordialement

Actualités du Sahara Marocain
GD change la cassette..

Mustapha Salma Ould Sidi Mouloud goes on hunger strike after more that 1 year lapsed sine he's been kiddnapped and detained by the polisario and then sought asylum in Mauritania...Mustapha salma still doesn't have access to his family

ولد سلمى وبعد صمت طويل في موريتانيا ، يعلن إضرابه عن الطعام

http://www.hibapress.com/details-26687.html?utm_source=twitterfeed&utm_medium=twitter


google translate

Citation :

After more than a year and a half on the presence of exiled Sahrawi - from his family - in Mauritania because of the actions unjust taken by the Polisario and Algeria in the right, which began kidnapping near the town of "Amheriz" desert on the evening of September 21, 2010, and then arrest and enforced disappearance for 71 days in conditions harsh natural, and the end of deportation and delivery of the High Commissioner for Refugees Relief in the open on the northern border of Mauritania morning on 31 Novbmr 2010.

High Commissioner for Refugee Aid, represented by their office in Geneva and the proposed exit to Mauritania as a temporary solution pending the settlement of his position permanently.

Atfaji Mr. Moustapha Ould Salma abandonment by the Commission on all their previous commitments, and disclaims responsibility in the search for a settlement of the Odeith, which pays its toll sons palace, Osraa corresponded in the month of January 2012 through its office in Mauritania, but he has not received any response to decide and then silence as long as months and days , which date back causes as stated to the unjust conditions approved by at the time of the dust of Mauritania, which include the reduction of his media and political over the territory of Mauritania until the settlement of his situation, which is no longer able to observe it because of the abandonment of the Commission on its promises, and caused its survival Permanent within the country of Mauritania, who renews his permanent respect its laws.

And that, according to his owners the issue of right and indeed the duty to contribute all the possibilities available to search them for a settlement, all this led him to the announcement of Ataadadh Tak I will take all the measures that will enable him to deliver his grievance to the world via all forms of struggle, starting on Tuesday, 03 July 2012 and will be The first is on a hunger strike sentinel on 03 and 04 July 2012, to the Office of the High Commissioner for Refugees Relief, starting at ten in the morning. And if not heeded, it would take more drastic measures starting on Monday 09 July 2012.

On the other hand of the Action Committee for the Support of Mustafa Salma Ould Sidi Mouloud and after reaching the news of the feet was born Selma to engage in a hunger strike announced that it stands and its support for militant Mustafa Salma Sidi Mouloud fully in the battle for access to documents being able to travel and movement, like every human being free in our Hmama we hold to the international community the responsibility for full all that is exposed to it from neglect and the confiscation of the natural rights of every human being on the globe, heading to all the liberals of the world, international organizations and national political ones, and civil and human rights to intervene to enable Mustafa Selma to obtain their goal of the rights guaranteed to him by international law, as well as to the Moroccan people to stand up and stand by one man in order to solve the problem of Morocco on hunger strike for the same country from Tangier to Lagouira.

UNRA double standards

J'ai pas compris pourquoi il est en Mauritanie et pas au Maroc?

vipsdesvips a écrit:

J'ai pas compris pourquoi il est en Mauritanie et pas au Maroc?

C'est une histoire bizzare mais sa serait parce que le polisario lorsqu'il la libéré de sa détention l'a jeté dans le nord mauritanien, et lui en tant que réfugié il exige qu'on le ramene aux camps de tindouf depuis où on l'a pris donc la Mauritanie.

Il impute la faute sur le HCR qui est le tuteur des réfugiés et qui ne fait rien pour s'opposer a ce que lui a fait le polizbel.

En gros il démontre que les camps de tindouf ne sont pas des camps de réfugiés mais plutot une sorte d'état totalitaire où le polisario fait sa propre loi et accepte qui il veux.

Si sa famille veut quitter Tindouf, qu'ils le disent au HCR. Ou ca ne se passe pas ainsi ?

vipsdesvips a écrit:

Si sa famille veut quitter Tindouf, qu'ils le disent au HCR. Ou ca ne se passe pas ainsi ?

Le but est de médiatiser l'affaire, profiter de cet histoire pour montrer la vraie face du polisario.

Sinon, il aurai pu rentrer au Maroc, il aurait une maison, un bon poste et puis on en parle plus.