Actualités du Sahara Marocain

Rappel du premier message :

zapbox a écrit:

....mais le maroc aura plus a perdre que a gagné en fesan ca donc le maroc le fera jamais

peux-tu développer ta phrase???

dit pas n´importe quoi de grace,quand on sait pas quelquechose on s´abstient de lancer telles choses.
qu´est ce que t´en sait de l´accord de cessez le feu

Yakuza a écrit:

dit pas n´importe quoi de grace,quand on sait pas quelquechose on s´abstient de lancer telles choses.
qu´est ce que t´en sait de l´accord de cessez le feu

allah ister a ba yaku, allah ister

Yakuza a écrit:

dit pas n´importe quoi de grace,quand on sait pas quelquechose on s´abstient de lancer telles choses.
qu´est ce que t´en sait de l´accord de cessez le feu

Spoiler:

wikipedia je peux en trouver d'autre si tu veux

que le Maroc dit ca dans un certain contexte d´une region est une chose,
neanmoins,voici la carte de l´accord,tu pourra differencier entre restricted area et NML "sous control"

Spoiler:

Citation :

“Military Agreement No 1”, regulates the activities related to the monitoring of the ceasefire. It divides Western Sahara into five areas, including a five-kilometers-wide buffer strip east of the berm, two restricted areas (25 kilometers west and 30 kilometers west of the berm) and two areas of limited restriction that encompass the remainder of Western Sahara. Various restrictions on military activities and personnel of the parties apply in these areas

http://minurso.unmissions.org/Default.aspx?tabid=11421&language=en-US

l3ezz
vivement que ca devient la regle

Citation :

Quatre eurodéputés soutenant le peuple sahraoui interdits d'entrée au Maroc

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Une délégation de quatre eurodéputés appartenant à un groupe de soutien au peuple sahraoui a été refoulée mercredi à l'aéroport de Casablanca par les autorités marocaines qui lui ont refusé l'accès au territoire, a indiqué le groupe des démocrates et libéraux au Parlement européen (ALDE), dans un communiqué.

Cette délégation devait recueillir des informations sur le respect des droits de l'homme au Sahara occidental. Elle avait à sa tête le Slovène Ivo Vajgl (membre du groupe ALDE).

A leur arrivée à Casablanca, les quatre députés ont été "débarqués de leur avion et pris en charge par la police locale qui leur a refusé l'entrée dans le pays", indique le communiqué. Ce déplacement avait pourtant été annoncé au préalable aux autorités marocaines, mais "une lettre" indiquant que les députés "n'étaient pas les bienvenus est arrivée seulement après leur départ".

"Sur des questions difficiles et controversées, comme celle de la situation au Sahara occidental, il est primordial qu'il y ait un effort constant pour maintenir le dialogue et construire des ponts", a réagi le chef de file des démocrates et libéraux au Parlement européen, le Belge Guy Verhofstadt, se disant "déçu" par la réaction des autorités marocaines.

"Les membres du Parlement européen ne constituent pas une menace pour les autorités marocaines et leur intérêt pour la région doit être salué et non rejeté en renvoyant les membres de la délégation chez eux après leur arrivé dans le pays", a-t-il souligné.

Le Sahara occidental, ancienne colonie espagnole occupée depuis 1975 par le Maroc qui la considère comme partie intégrante du royaume, est revendiquée par le Front Polisario, qui est soutenu par l'Algérie et réclame un référendum pour déterminer l'avenir du territoire.

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http://www.jeuneafrique.com/actu/20130306T195447Z20130306T195445Z/quatre-eurodeputes-soutenant-le-peuple-sahraoui-interdits-d-entree-au-maroc.html

Citation :

A leur arrivée à Casablanca, les quatre députés ont été "débarqués de leur avion et pris en charge par la police locale qui leur a refusé l'entrée dans le pays", indique le communiqué. Ce déplacement avait pourtant été annoncé au préalable aux autorités marocaines, mais "une lettre" indiquant que les députés "n'étaient pas les bienvenusest arrivée seulement après leur départ".

L'avion a mis 3h max pour venir et la lettre a été envoyé après le décollage de celui ci Il y avait Willy meyer parmi le groupe des non bienvenus ! Ils menaçaient dans un premier temps de venir de Las Palmas et de ce mettre sous protection de la minurso

Un de ses eurodeputés devrait etre Willy Meyer le sauvage qui declara apres le proces de Gdim Izik que l'assassinats des marocains devrait etre consideré comme droit a la legitime defense. Il etait un des observateurs internationaux auxquels le Maroc avait donné l'autorisation d'assisster au procés.

Citation :

La fuerza ocupante marroquí disolvió violentamente el Campamento de la Dignidad a las afueras de El Aaiún, en el territorio no autónomo del Sahara Occidental pendiente de descolonización. Los saharauis ejercieron su derecho a la legitima defensa frente a la fuerza colonial ocupante

SOURCE

Citation :

La force occupante marocaine avait violemment dissous le Camp de la Dignité à l'extérieur de Laayoune, dans le territoire non autonome du Sahara occidental en attente de décolonisation. Les Sahraouis ont exercé leur droit à la légitime défense contre les forces d'occupation coloniale

Un sauvage ce fils de sa mére.

Léo je te savais pas si sanguin Ce qui est sûr c'est que c'est bien le fils de sa mère

Si dans notre forum on ne laisse pas la place a ceux qui veulent legitimiser les excrations commisent en Syrie, comment peut on permettre a ce fils de sa mere de parler du droit à la légitime défense quand on fait reference a d'egorgeurs d'innocents.

Dans l'extreme gauche espagnole il en a autan de racistes que dans l'extreme droite, et ce genre de commentaires et plus lié au méprit de la vie des marocains en general que du positionement ideologique. C'est pour ce ci que je l'appele fils de sa mere ce deffenseur d'egorgeurs.

Citation :

Kerry Kennedy "manipulée" par le "polisario" à des fins propagandistes (Forbes Magazine)

Washington - La présidente du Centre Robert F. Kennedy, Kerry Kennedy, est "manipulée" par le "polisario" et ses soutiens à des fins propagandistes, écrit Forbes Magazine dans sa dernière livraison.

MAP

c'est ca les réactions qu'on veut ,car etre gentil avec ces energumènes est une trahison ,ils oint eu l'habitude de venir
au maroc loger dans les hôtels de luxe boire le thé et profiter du soleil et à la première occasion nous poignarder dans le dos ,vivement une interdiction à tout les pro polzs ,on a récupérer notre territoire et les autres doivent accepter la réalité du terrain ,qu'ils aillent en Algérie pour qi'ils y soient kidnppé et voir les droits humain du coté de chez les che guevaras

Voila l'article en question :

Citation :

To be sure, Kennedy’s perspective on the conflict is informed by her concern about the human rights of Saharans. She has cited reports of abusive practices by Moroccan security forces. Yet the current reformer king has compensated the victims of police brutality and punished the police who violated the law. More importantly, the kingdom of Morocco has made a series of democratic constitutional reforms over the past decade. Opposition parties now control the government, Moroccan newspapers freely criticize the police and the new constitution has the strongest protections for women and religious minorities (including Jews) in the region. To pretend that Morocco is perfect would be a mistake, but so would pretending that there has no been significant progress.

Kennedy ignores such progress and, more tellingly, ignores the human rights abuses of the Polisario. This disturbing video documents what Kennedy would prefer not to see. It shows a young Polisario activist who has killed a Moroccan soldier, one of six slain in violent demonstrations by Polisario partisans in November 2010. Not content to have murdered the young private, the Polisario fighter urinates on his dead body. Are you proud of your new friends, Ms. Kennedy?

If the Polisario were to succeed in its territorial ambitions, its al Qaeda allies would have a safe haven on Africa’s Atlantic shores. Kennedy could play a constructive role in forging peace and forestalling a terrorist takeover, but re-enacting Jane Fonda’s role for this generation isn’t it.

http://www.forbes.com/sites/richardminiter/2013/03/06/kerry-kennedys-naive-line-in-the-sand-in-our-ongoing-war-on-terror/2/

Citation :

Transcript Providers






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CNN'S AMANPOUR

Documentary on Nomadic People of Western Sahara; Moroccan Ambassador to the UN Interviewed

Aired March 5, 2013 - 15:00:00 ET

THIS IS A RUSH TRANSCRIPT. THIS COPY MAY NOT BE IN ITS FINAL FORM AND MAY BE UPDATED.


CHRISTIANE AMANPOUR, CNN HOST: Good evening, everyone, and welcome to the program. I'm Christiane Amanpour.

Tonight we want to tell you about an important story that almost no one pays attention to or has even ever heard of. In the remote desert land on the northwest side of Africa, a nomadic people see their homes taken from them by an imperial power. Hundreds of thousands are driven away and forced to live as refugees.

This happened in the Western Sahara, a colony of Spain, one of the last colonies in Africa until 1975 when the Moroccans moved in, saying they were reclaiming a territory that had always been theirs.

But the people who live there, known as the Sahrawis, were displaced and they now live under Moroccan rule in Western Sahara or in refugee camps in neighboring Algeria. For years, they've said they're prisoners of a Moroccan occupation, living in dire poverty, sometimes thrown in jail, even tortured in their own country.

To break the stalemate over who controls the Western Sahara, the international community has called for a referendum, a chance for the Sahrawi to vote on independence. And even though Morocco agreed, more than 20 years later, the vote still hasn't happened. This terrible standoff also hasn't received much international attention.

But now finally a spotlight is shining on it, from, of all places, an Oscar-winning actor, a Spanish one, Javier Bardem, who starred most recently as the bad guy in the latest James Bond film, "Skyfall."

As a Spaniard, he says he feels an obligation to set right the humanitarian crisis that his country left behind. He's made a documentary film called "Sons of the Clouds: The Last Colony" to publicize their plight. Take a look.

(BEGIN VIDEO CLIP)

JAVIER BARDEM, ACTOR AND PRODUCER: I come here as an independent citizen. I'm not affiliated with any political group or represent any government.

It is our duty as citizens to remind our leaders of the responsibilities (inaudible) justice. It is an international disgrace that the relations of (inaudible) live and die in these camps and that (inaudible). (Inaudible) this abuse. But journalists and human rights organizations are not allowed in this (inaudible).

(END VIDEO CLIP)

AMANPOUR: Bardem is now taking his film and his fight to the United Nations and from there to congressional leaders on Capitol Hill. And he joins me now.

(BEGIN VIDEO CLIP)

AMANPOUR: Mr. Bardem, welcome to the program.

JAVIER BARDEM, ACTOR AND PRODUCER, "SONS OF THE CLOUDS": Thank you.

AMANPOUR: What was your first encounter with the people of Western Sahara? Why did you even go there?

BARDEM: It was 2008 and there's this film festival in the desert, in the refugee camps, called FISahara. And then I went there and we were living there for 10 days in the refugee camps. And of course, I knew about it; I heard about it. But as usually, when you have a real contact, a direct contact with the reality, it changes your mind.

AMANPOUR: But you didn't go to the Western Sahara the first time as a political activist. You went to bring films, to entertain people.

BARDEM: Yes. Yes, and but that's the excuse. In the end, what you go there for is to bring some attention to the conflict.

AMANPOUR: You and your producers found the most incredible video from the archives, showing what they call the Green March, the Moroccans, who, with women, children, unarmed, marched from Morocco straight into the Western Sahara and claimed it.

That was a master stroke, wasn't it?

BARDEM: It's not the march; the march is, of course, it was a great show and a very smart one. It's a very smart move. The problem came after that.

AMANPOUR: One of the issues is what happens next? You know, many of the people of Western Sahara spoke to you and talked about, you know, their hopes for the future and they still hang on. And as you said, they don't have resentment against Spain, that they just want their rights.

But they've seen the Arab Spring. Do they feel that they can ever be part of that?

BARDEM: Well --

AMANPOUR: What do they say to you about that?

BARDEM: And they are very peaceful people, and that's the thing that struck me the most, maybe, that under these horrible circumstances and conditions, they really were able to maintain faith in justice, which sometimes is kind of unnerving, to feel that after 37 years of political malaise (ph), they still believe in it.

AMANPOUR: What do you say with the obvious critics, who'll say, well, you know, here's a movie star, taking on another cause?

BARDEM: Well, I won't say anything. They have the right to say whatever they want. I mean, of course, the thing is beyond -- in any job that we represent, there's a human there and there's a citizen with the right to speak. I mean, it's obvious (ph).

AMANPOUR: And the Moroccans obviously say that, you know, you're biased, that, as you say, you have an opinion, you have an agenda and that you lack the basic facts. What's your answer to that?

BARDEM: Well, I would like to say to that that we -- we've tried for four years in the documentary to have their opinion, the point of view, in the movie. And they canceled every interview that we had. They didn't want to.

We talk with people, very important people, and diplomats and political representatives of Spain, United States, England, France, Austria, South Africa -- I mean, many countries. But not Morocco.

AMANPOUR: When I first met you, when we did an interview before the film was finished how come you took this cause. And you were saying it's a little bit like a hot potato, like nobody wants to discuss it. Do you still feel that way?

BARDEM: Yes, it's a big hot potato because it involves many, many -- I mean, interests, economical interests and realpolitik, as we speak in the movie, you know, which is basically don't do anything about something that you don't know what to do about.

But at the same time, people are dying and people are starving and people are going through a very major crisis of -- crisis of different issues, like human rights, for example. So I just -- I just feel like the movie really show how difficult it is to put people together just to speak about it. No mention the Morocco government, which they didn't even want to be part of it.

AMANPOUR: Well, I very much appreciate you coming in. And as we go out and we will have the Moroccan ambassador to the U.N., I want to play this clip from the documentary, when you were trying to reach the Moroccan ambassador to Spain, to have him participate in your documentary. Look at this clip.

(BEGIN VIDEO CLIP)

BARDEM (from captions): We are going to call Mr. Suleim, Moroccan ambassador to Spain. Let's see what he says.

He is not going to pick up.

UNIDENTIFIED FEMALE (from captions): Maroc Telecom informs you that the voicemail you are calling is disconnected.

(END VIDEO CLIP)

AMANPOUR: Well, you got no response then.

BARDEM: Yes, that's one of the few. And -- but the problem is that I think they betray themselves when you don't speak and it's odd is that you don't want to be part of something that which is very democratic, which is let's put opinions together.

AMANPOUR: Well --

BARDEM: And let's try to make a point out of it. Then you are speaking too loud.

AMANPOUR: We are happy to say that we did manage to get a response. And Morocco's U.N. ambassador will join us with his government's response after a break.

But first, a tale of two maps, the very different way Morocco is viewed from two perspectives.

(BEGIN VIDEO CLIP)

AMANPOUR (voice-over): This is how the U.N. sees Morocco, with the disputed area of Western Sahara as a separate entity. Now look at how Morocco views itself. On its government website, Morocco claims all of the Western Sahara as its own. We'll be right back.

(MUSIC PLAYING)

AMANPOUR: We've just heard from Oscar-winning actor Javier Bardem about a cause that he holds close to his heart. He's highlighting the plight of Western Sahara, a region that's controlled by Morocco. And Bardem says the people have suffered long enough under what he calls an abusive occupation.

Now he couldn't get any Moroccan officials to take part in his documentary. But we have and we hear Morocco's side.

(BEGIN VIDEO CLIP)

CHRISTIANE AMANPOUR, CNN HOST: Mohammed Loulichki is the Moroccan ambassador to the United Nations.

And we are delighted that you could join us. Welcome to the program.

MOHAMMED LOULICHKI, MOROCCAN AMBASSADOR TO THE UN: Thank you very much (inaudible) --

(CROSSTALK)

AMANPOUR: The first thing I have to ask is why on Earth would no Moroccan official appear in Javier Bardem's documentary?

LOULICHKI: Well, I think that when Mr. Bardem called the ambassador of Morocco to Madrid, I think that he pushed the wrong button.

AMANPOUR: Do you think?

LOULICHKI: I -- no, no, no, it's not only that I think but I am sure because, judging from the response, it -- he, instead of calling him on his cell phone or the number of the embassy in Madrid, he called him on his Moroccan cell, and you know that -- and we ambassadors, outside, we don't use this --

(CROSSTALK)

AMANPOUR: All right. Ambassador, that is a nice try. However --

LOULICHKI: No, this is a --

AMANPOUR: I'm sure that's true. I'm sure it is. However, he tried many, many -- and the producers tried many, many different Moroccans to talk to. And many other people involved in this, from your side, and they say quite clearly that obviously they wanted to get the Moroccan view. And why would you not?

So, again, why did nobody, not just the Moroccan ambassador in Madrid, why did no Moroccan answer their call to at least participate, have your views put in the program?

LOULICHKI: We have all our views put, not only in the United Nations, but on all over the world.

But when you have -- when you have a party that have a definitive position that instead of getting all the elements on which you can base your judgment on a given situation, instead you make first your judgments and then you can -- you will try to have the argument to sustain.

AMANPOUR: So you think the best offense is just defensive?

LOULICHKI: No, no; it's not defensive. It's a conviction that when the possibility of really having a real dialogue with people that know the history of the issue, that know what is at stake --

AMANPOUR: Have you seen the -- have you seen the documentary?

LOULICHKI: No, no, I didn't see it.

AMANPOUR: Oh. You should see it before you make statements about it, because it -- they do actually have a huge number of people in it.

And I am not making a judgment about it. I'm simply saying that there are a lot of interviews in there, from all sides, except for the Moroccan side.

However, we're not going to solve this dispute here.

What I really want to know is, really from your side, what about the referendum, what about the status and the rights of the people in the Western Sahara?

LOULICHKI: We did accept a referendum and we did cooperate with the United Nations to implement a referendum between 1991 and 2000. In 2000, the impossibility of getting the electoral body conducted the United Nations to state and to conclude that the referendum is not applicable for obvious reasons.

First, when you cannot identify the electoral body, you cannot have a genuine referendum. Secondly, a referendum is not the route when it comes to dealing with these issues.

AMANPOUR: Wait, wait, wait, you agreed to it, the Kingdom of Morocco agreed to it and it's never been implemented and, look, we can talk about not knowing how many electors there are. We can talk about all sorts of logistics.

But in the end, those are details. The real question is why wasn't this referendum that was agreed by the king, by the parties, by the United Nations, supported by the United States of America, the president talked about what a courageous act it was for the king of Morocco, hasn't been implemented.

And let me play you then a sound bite, a part of an interview from this documentary, from the person who was heading the organization set up to monitor and implement this referendum. This is what he says about the Moroccans, that actually you didn't want to have the referendum and did everything possible not to have it. Listen to what he said, then you can respond.

LOULICHKI: OK.

(BEGIN VIDEO CLIP)

FRANK RUDDY, DEPUTY CHAIRMAN MINURSO REFERENDUM FOR WESTERN SAHARA: There's certain words that the -- that the Sahrawis use that the Moroccans cannot pronounce. They set up training facilities to teach the Moroccans how to say these words in the Sahrawi fashion so that they could pose as Sahrawis and then, you know, get themselves enrolled as voters and things like that.

The number of dirty tricks and absolutely unethical and unscrupulous things that the Moroccans did is amazing.

(END VIDEO CLIP)

AMANPOUR: That's a pretty harsh indictment. What's your response to that?

LOULICHKI: Well, I think I guess -- I think it's not -- it was Mr. Frank Ruddy?

AMANPOUR: Yes, it was, yes.

LOULICHKI: But if you go back to his declaration that he made immediately after the MINURSO, the declaration that he made in the first committee, I think you can -- you can --

AMANPOUR: What are you saying?

LOULICHKI: -- what his position -- I think he left Salayun (ph) with lots of bitterness and he has a fixed idea on how things will be conducted. And when things did not go his way, I think he has taken a certain position, hostile to Morocco. AMANPOUR: Here there was a referendum decided for this issue. And you have Frank Ruddy, who was in charge of the organization for a number of years.

You have John Bolton, who was a very strong U.S.-U.N. ambassador, who says that, you know, the Moroccans flooded the Western Sahara; King Hassan determined it would not happen. You know, they signed it but they never implemented it. So I guess, at this point --

LOULICHKI: Sorry. We did not flood the Sahara.

AMANPOUR: Are you saying they're lying?

LOULICHKI: Absolutely.

No, no, I know what I'm talking about. You cannot conduct a referendum with 51 percent and leave the 49 percent. It's the -- it's the recipe for civil war and we don't want this to happen.

We want a negotiated settlement in which we will apply -- we will apply (inaudible) determination (ph). We will negotiate and at the end of the day, we will go to the population and put the results of our negotiation and say, do you accept this outcome?

This is what we want to achieve because in our part of the world, we have so many challenges that do not challenge only Morocco, Algeria, Tunisia and the Sahara countries, but also challenge Europe and the United States. Terrorism is gaining ground in this part of Africa that is neighboring to Morocco.

And we want to take all the necessary measures. And one of them, one of them is to speed up the negotiations to end the ordeal of the population in (inaudible), because we want to have them back.

AMANPOUR: Ambassador, are you not worried that if this is not dealt with in a just way, that you're going to have people who have no faith anymore in politics? That you're going to have young people from the Western Sahara who decide to take up arms, as some of them have said they will?

Is this not simply self-defeating for Morocco?

LOULICHKI: Do you think that we are not sensitive to the humanitarian situations? They are brothers and sisters of me, my wife and my children.

AMANPOUR: Well --

LOULICHKI: And we want them to come back to contribute to building the new democratic Morocco where all human rights for all will be guaranteed and --

(CROSSTALK)

AMANPOUR: You talk about human rights, but obviously human rights is not part of the resolution in MINURSO, and there are many people who criticize that and don't understand why that would be the case.

LOULICHKI: We have 15 peacekeeping operations in the United Nations; six of them do not have a human rights (inaudible) --

AMANPOUR: And one of them is yours. Is that something to be proud of?

LOULICHKI: No, it's not to be proud of.

AMANPOUR: OK. Let me play you --

(CROSSTALK)

LOULICHKI: The United Nations is saying that Morocco has a mechanism for protection of human rights (inaudible) --

AMANPOUR: -- let me play you this sound bite, because human rights activists and officials say that it is one of the most oppressive occupations ever, the Moroccan occupation of Western Sahara, with wholescale human rights violations.

Let me play you a part of an interview of a woman from Western Sahara that talks about it.

LOULICHKI: Yes.

(BEGIN VIDEO CLIP)

AMINETU HAIDAR, HUMAN RIGHTS ACTIVIST (from captions): The stripped me from my family's home at 3:30 am and went missing for four years in a secret place. During this period, you can't even imagine. We were blindfolded for four years, day and night. We couldn't sleep at night because of the fear caused by constant attempts of rape. It was very hard to be mistreated, insulted, tortured.

(END VIDEO CLIP)

AMANPOUR: Well, you saw that picture of this lady, who had been beaten up and abused by your forces there.

And she says that that wasn't the worst of it, that there was a young man in a nearby cell, who was tortured to death, simply, she says, for refusing to accept, as she says, that Western Sahara was Moroccan, and for refusing to hail the king. "The king is not my king," he said, and he was tortured to death, she says.

I mean, that's not peaceful. That's not human rights.

LOULICHKI: I'm not dismissing a possible violation of human rights. It happens all over the world. But what it doesn't happen is that these violation are not redressed. Morocco in 1999 went through scrutinizing 50 years of violation of human rights.

We had the Truth Commission (ph) that compensated tens of thousands of people, including -- including Ms. Aminetu Haidar. She got $60,000 in terms of compensations and she got a job also in terms of compensations. So I think one has to see the --

AMANPOUR: But you're not denying that there are massive abuses?

LOULICHKI: I am not -- I am not denying that there are isolated -- I'm not saying that there were no gross violations in Morocco, including in the Sahara.

AMANPOUR: Well, that's not what the human rights community says; it's not what the U.N. says. And right now, the U.S. -- especially the Congress -- appears to be getting more and more sensitized to this. And since 2011, the United States has started to link aid to Morocco, military aid, to improvements in the Western Sahara.

Now, they haven't been specific and I'm sure they haven't, you know, enacted any punitive actions.

Do you think they will? Are you worried that eventually you'll lose, that you'll lose U.S. support, because they are your big backers in all of this, in the U.N. and everywhere?

LOULICHKI: I'm not worried, because I know what are the achievements of my country for the last 10 years, that Morocco has developed a culture of human rights, that Morocco is making progress and that we can trust the mechanism, the domestic mechanisms, of human rights in Morocco to deal with any violations.

AMANPOUR: Ambassador, it's good of you to have come in; you didn't want to take part in the other documentary, and I'm very glad that you were able to talk to us. And we will keep watching this situation.

LOULICHKI: I'd be always ready to come back and discuss with you --

AMANPOUR: Excellent. We will watch and we will continue to report from on the ground there.

LOULICHKI: Thank you very much.

AMANPOUR: And while Morocco is feeling the winds of change that have swept across North Africa, there is one enduring image of that country that lives on. It's on the silver screen. That story in a moment.

(MUSIC PLAYING)

(COMMERCIAL BREAK)

AMANPOUR: And finally tonight, we've focused on the struggle for self-determination in Western Sahara as depicted in a documentary by Oscar- winner Javier Bardem.

But an earlier film put Morocco's largest city, Casablanca, on the map many, many years ago in the Hollywood classic that stars Humphrey Bogart and Ingrid Bergman. It was a time of war and refugees as well, also desperate characters.

(BEGIN VIDEO CLIP)

CLAUDE RAINS, ACTOR, "CAPTAIN LOUIS RENAULT": Everybody to leave here immediately. This cafe is closed until further notice. Clear the room at once.

(MUSIC PLAYING)

HUMPHREY BOGART, ACTOR, "RICK BLAINE": How can you close me up? On what grounds?

"RENAULT": I'm shocked, shocked to find that gambling is going on in here.

UNIDENTIFIED MALE: Your winnings.

"RENAULT": Oh, thank you very much.

Everybody out at once.

AMANPOUR (voice-over): That was fiction. But Casablanca was also the site of a wartime conference between Winston Churchill and Franklin Delano Roosevelt. It was there that the Allies agreed to fight on until Nazi Germany's unconditional surrender.

(END VIDEO CLIP)

AMANPOUR: It is that kind of determination and leadership that's required now to end the crisis in Western Sahara for all sides.

That's it for tonight's program. Meantime, you can always contact us on our website, amanpour.com. Thanks for watching and goodbye from New York.

END

http://transcripts.cnn.com/TRANSCRIPTS/1303/05/ampr.01.html

L'embassadeur US Kaplan partira dans deux mois et sera remplace par un autre embassadeur.Que choisira Obama? ,il faut se mefier.?

Citation :

Christopher Ross à une cérémonie pro-polisario : ‘Malheureux que le Maroc refuse le référendum au Sahara’

Mauvaises fréquentations de l’Algérie et éradication de ses alliés au Nord Mali par l’armée tchadienne
Voilà une analyse qui résume tout( bonne lecture ).

Citation :

Le fer de lance de ses mauvaises fréquentations, outre la Syrie, l’Iran et la Corée du Nord, sont les groupes narco-islamo-terroristes qui pillulent en Algérie et au Sahel mais également leur force d’appoint qu’est le polisario.

Le conflit qui se déroule actuellement dans le septentrion malien a mis a nu les desseins malfaisants des autorités algériennes et confirmé de manière implacable la présence d’élements du polisario dans les rangs des narco-terroristes.

Une présence confirmée, outre par le Ministre malien des Affaires Etrangères, Tiéman Coulibaly, mais également par les prisonniers détenus par l’armée tchadienne qui mène avec succès des opérations de «dératisation» dans les environs de Tigharghar au Nord Mali, près de la frontière algérienne.

D’ailleurs, le très sérieux magazine américain «Forbes» indique que l'exacerbation des conditions de vie dans les camps des séquestrés de Tindouf, sur fond de répression et de détresse, et la montée en puissance des activités criminelles du groupe terroriste d'Al-Qaida dans le Maghreb Islamique (AQMI) font que le polisario, avec l’assentiment des autorités algériennes, sert de force d'appoint aux franchises de la nébuleuse terroriste dans la région.

Ce magazine, à fort tirage et dont la crédibilité des informations qu’il diffuse ne peut être mise en doute, affirme que l'implication de plus en plus évidente des membres du polisario au sein des groupes terroristes dans la région, s'inscrit dans le cadre d'une tendance encore plus large qui avait vu des éléments polisariens s'engager aux côtés des milices du régime Kadhafi pour réprimer la révolution libyenne et combattre les forces de l'OTAN et constitue une option dangereuse pour la communauté internationale.

Ainsi donc, ce que les autorités algériennes, relayées par la presse locale, qualifiaient de rumeurs non fondées et de mensonges, sont ainsi corroborées non pas de sources marocaines, mais de sources étrangères n’ayant aucun lien direct avec le conflit du Sahara marocain.

Ces éléments de preuves matériels ne laissent point de doute sur le fait que le polisario constitue désormais un des bras armés du terrorisme sahélo-saharien, avec plus 700 hommes, et le paravent d’une politique algérienne visant la déstabilisation de toute la région et en tête, son voisin marocain, et confirment les nombreux rapports officiels et officieux, qui alertaient depuis l’éclatement de la crise nord-malienne, de la forte trouble implication du polisario, dans les combats et les renforcements des groupes terroristes algériens et sahéliens sévissant dans la région.

A ce sujet, Habib Ould Issouf, un nigérien responsable du MUJAO à Gao, avait, lui-même, vanté dans une déclaration à l’AFP, le «précieux soutien de ses frères polisariens».

Pour sa part, le journaliste et spécialiste des questions de défense, Pio Pompa, dans son article paru dans le quotidien italien «Il Foglio» du 1er mar 2013, confirmait également l’existance de liens entre chefs d’AQMI, du MUJAO et d'Ansar Dine et le Département algérien du Renseignement et de Sécurité (DRS).

Il confirme également que le chef du commando de la prise d’otages sanglante d’In Amenas était un élément du polisario qui travaillait pour les services secrets algériens.

C’est pourquoi, son identité n’a jamais été révélée afin de ne pas compromettre définitivement aussi bien l'image du polisario, devenu pour les islamistes une des principales sources de recrutement, que la stratégie désinvolte adoptée par les services secrets algériens pour affirmer leurs propres prérogatives dans toute l'Afrique du Nord et le Sahel.

Enfin, toujours sur ce sujet, on relèvera qu’un rapport publié le 28 février 2013 à Washington par le Centre International des Etudes sur le Terrorisme, relevant du Potomac Institute, met en garde contre la menace AQMI et ses liens avec des organisations criminelles locales, dont le polisario, en soulignant que cette menace pose des défis à la fois tactiques et stratégiques pour la communauté internationale.

Ce même rapport fait état de liens avérés entre AQMI et les cartels latino-américains en vue d’acheminer leurs cargaisons de drogues vers l’Europe, en contrepartie d’armes, et ce par le biais des réseaux terroristes de trafic au Sahel, y compris des membres du polisario.

Une dangerosité qui a fait que les Etats-Unis ont ajouté, le 26 février 2013, à leur liste antiterroriste le chef touareg, très proche du régime algérien, Iyad Ag Ghali, le chef du mouvement islamiste Ansar Dine, en raison de ses liens étroits avec AQMI.

Sur ce chapitre, on ne peut passer sous silence le courage, la bravoure et le professionnalisme des forces armées tchadiennes qui combattent implacablement les ennemis de la liberté, de la démocratie et de la tolérance au Nord Mali afin de restaurer l’intégrité territoriale et la souveraineté du pays amis qu’est le Mali.

Une armée tchadienne qui est en passe de réussir ce que l’armée algérienne, avec tout son armement dernière génération, acheté coup de milliards de dollars, a été incapable faire, à savoir mettre fin aux activités des leaders d’AQMI et autres groupes terroristes qui circulaient, et circulent toujours, dans leur territoire et jusqu’aux portes d’Alger pour traumatiser la population algérienne, notamment Kabyle et touareg, et etouffer tout mouvement de protestations social et politique.

Pour peu que l’armée tchadienne donnent une raclée aux soldats algériens, comme en 1987, où, tout simplement équipée de Toyota Land Cruiser, il avait défait une armée libyenne super équipée en blindés, avions de chasse et hélicoptères de combat, nul ne s’en étonnera.

Jamais, au cours de son histoire militaire, l’armée libyenne n’avait essuyé un échec aussi cinglant et humiliant ! C’est ce qui pend au nez de l’Algérie aujourd’hui, si elle persiste à rester dans cette voie sans issue.

Face ce fiasco, les stratèges algériens ont donc décidé de s’en prendre directement au Maroc.

Aussi, ils ont mobilisé un groupe de cinq eurodéputés, de l'intergroupe parlementaire pour le Sahara, groupe formant lobby algéro-polisarien au Parlement de Strasbourg, pour mener une opération de provocation anti-marocaine et tenter de forcer l’entrée de la ville de Laayoune, le 06 mars 2013 pour dénoncer une prétendue situation des droits de l'homme dans les provinces sahariennes.

Ce groupe est conduit par l’eurodéputé espagnol Willy Meyer, un récidiviste névrosé notoirement connu pour son engagement aux côtés du polisario auprès duquel il trouve probablement sa réponse dans une alchimie subtile dont l’ossature principale était l’axe Tripoli-Alger-Tindouf, des escales exotiques que l’eurodéputé espagnol semblait fréquenter assidument, au nom d’une certaine conception de la révolution qui voudrait que l’on se range du côté de ceux qui affirment les droit universels des autres mais refusent d’appliquer ces maximes à leur propre peuple. Un individu qui refuse encore aujourd’hui de reconnaître son engagement aux côtés de Kaddafi, principal soutien, avec l’Algérie, aux terroristes du polisario.

Ils ont, d’ailleurs, été expulsés vers Madrid dès leur arrivée à sur le territoire marocain.

En complément à cette stratégie, les experts algériens ont également décidé de provoquer le Maroc sur le plan militaire.

Ainsi, il a été signalé deux incidents à la frontière terrestre algéro-marocaine.

Le premier a eu lieu fin férier 2013, lorsque des gardes frontières ont tiré à la kalachnikov sur 10 citoyens marocains, habitants à la région d’Aârja dans la province de Figuig, pour leur voler les truffes qu’ils avaient ramassées.

Le second incident est intervenu également fin février 2013 lorsque les soldats algériens ont tenté de provoquer des soldats marocains à la frontière algéro-marocaine près du village de Cherarka en tirant en l’air.

Des provocations auxquelles le Maroc a répondu par une ignorance dédaigneuse.

Enfin, le summum de la mauvaise fréquentation des autorités algérienne est sans nul conteste le chef du polisario, Mohamed Abdelaziz, dit Marrakchi.

En effet, dans sa dernière édition, datée du 06 mars, le très sérieux magazine américain Forbes Magazine décrit l'obscénité du faste de Mohamed Abdelaziz, dans des camps de Tindouf où règne le désespoir des populations sahraouies, privées de leurs droits les plus élémentaires.

Ainsi Richard Miniter, auteur de cet article, confirme que le chef des séparatistes dispose d'un complexe construit en béton armé dans les camps de Tindouf, mais dispose en plus de résidences secondaires somptueuses aussi bien en Espagne que dans d'autres pays d'Europe.

Un faste qui n’a d’égal que l'indigence la plus abjecte des conditions de vie dans des habitats de fortune, sans accès à l'eau potable dont souffrent les populations sahraouies des camps de Tindouf, à l'exception du cercle rapproché de Mohamed Abdelaziz, et qui prouve le détournement mafieux des aides accordées aux séquestrés de Tndouf.

C’est donc bien ce genre de fréquentations algériennes qui nuit à la sécurité régionale et internationale et porte atteinte à la sécurité nationale, à la stabilité, la souveraineté et l’intégrité territoriale de ses voisins et confirme l’adage : «dis moi qui tu fréquentes, je te dirais qui tu es». Un adage qui sied bien l’Algérie !

Quant au Royaume du Maroc, je citerai la déclaration faite le 05 mars 2013 par Madame Carmen Romera, porte-parole de l'OTAN, selon laquelle il est «un partenaire stratégique clé du Dialogue méditerranéen et joue un rôle très actif pour la sécurité régionale et internationale». Une déclaration amplement suffisante et qui se passe de tout commentaire.

C’est pourquoi, malgré toutes ces évidences, le polisario et Alger multiplient les plans média pour essayer d'occulter les liaisons dangereuses entre les éléments séparatistes et les terroristes islamistes ayant occupé le Nord du Mali.

Aussi, acculés au dos du mur, les autorités algériennes et le polisario, s'accrochent à une théâtralisation criarde des questions des Droits de l'Homme en maquillant des principes nobles pour servir de vils desseins.

Il est plus que temps qu’Alger comprenne que son activisme suicidaire ne changera rien à la réalité sur le terrain et au soutien, maintes fois réitéré, par la communauté internationale au plan marocain d'autonomie et aux derniers développements portés par le Printemps Arabe qui ont fini par avoir raison du régime Kaddafi, soutien de la première heure du polisario, dont l'extinction annonce celle du polisario qui se rapproche inexorablement, en droite ligne d'une vérité historique irréfragable.

Telle est la conclusion de ce papier.



Farid Mnebhi.

http://www.leral.net/Mauvaises-frequentations-de-l-Algerie-et-eradication-de-ses-allies-au-Nord-Mali-par-l-armee-tchadienne_a76451.html

Citation :

Tindouf : Le Polisario fait commerce des cartes du HCR

Citation :

Quatre eurodéputés soutenant le peuple sahraoui interdits d'entrée au Maroc

certains eurodeputés ou autre européen (ong...) se croient au Maroc en pays conquis
il faut etre ferme avec eux, EXPUSLSION, (voir meme garde a vue un peu musclé pour certain pour leur faire passé l envie de revenir nous chercher des poux)

pareille pour les US, accepté les personne qui apporte des solutions pour reglé le conflit, mais ceux qui prennent partie et viennent provoqué... LBAB!! (la porte)

li hcham fi ma daro chitane gharo (il est question de satan et de honte, trop dur a traduire )

Alloudi a écrit:

Citation :

Quatre eurodéputés soutenant le peuple sahraoui interdits d'entrée au Maroc

certains eurodeputés ou autre européen (ong...) se croient au Maroc en pays conquis
il faut etre ferme avec eux, EXPUSLSION, (voir meme garde a vue un peu musclé pour certain pour leur faire passé l envie de revenir nous chercher des poux)

lol: )

Les routes sont meurtrieres au MAROC? c'est bien connu..................

je trouve nos services gentils ..............

Surtout le Javier Bardem la , je trouve que il dépasse un peu les borgnes a aller sur tout les plateaux de télé américain raconter des conneries sur le Maroc et prononcer un discours lénissant sur le Polisario et ses sbires , un empoisonement au Polonium ou une queue de poisson sur une route déserte , et sa messe est dite ...

marokino78000 a écrit:

Surtout le Javier Bardem la , je trouve que il dépasse un peu les borgnes a aller sur tout les plateaux de télé américain raconter des conneries sur le Maroc et prononcer un discours lénissant sur le Polisario et ses sbires , un empoisonement au Polonium ou une queue de poisson sur une route déserte , et sa messe est dite ...

Bardem fait son travail grace a l'argent de l'algerie,ma question est: ou est notre roi,son equipe de savants et de conseillers dans la matiere de la defense de notre sahara dans les instances internatonales,ou est nos ambassadeurs incapables de defendre le pays ou est le ministere des affaires etrangeres et toute la clique des profiteurs.Notre diplomatie est nulle et hadicape incapable de rien faire.j'arrette la.

Les amis arrêtez ces posts d'incitations au meurtre, nous ne sommes pas des vaincus désespérés, pour en arriver là.

Ils nous attaquent par les mots, faisons de même, l'on dépense des fortunes pour des lobby aux USA qui ne parlent qu'aux politiques, on devrait parler à ceux qui les élisent, alors pensons à faire notre promotion, sur les médias US, et profitons en pour y gagner aussi sur les plans économiques et touristiques.

Adam a écrit:

Les amis arrêtez ces posts d'incitations au meurtre, nous ne sommes pas des vaincus désespérés, pour en arriver là.

Ils nous attaquent par les mots, faisons de même, l'on dépense des fortunes pour des lobby aux USA qui ne parlent qu'aux politiques, on devrait parler à ceux qui les élisent, alors pensons à faire notre promotion, sur les médias US, et profitons en pour y gagner aussi sur les plans économiques et touristiques.

Nous travaillons sans arret ici aux USA mais nous avons nos dirigeants qui ne foutent rien pour aider,ils jouent des jeux passives et attendent a ce que la merde (sorry) eclate pour qu'ils viennent faire du nettoyage et nous demandent de le faire pour eux,il faut mettre des gens capables,comme j'ai dit avant nos dirigents sont des pompiers qui viennent atteindre le feu et partir,ils ne previennent pas ce feu de de pas s'allumer.
Une question pour nos cher dirigents comme me l'a suggere un ami US."si Bardem a projete son film ,pourquoi le maroc n'a pas demande aux producteurs australien de projeter le film sur l'esclavage a tindouf ,c'est fairplay.

Here is the trailer of the documentary:
www.youtube.com/.../

Interview with the filmakers on ABC:
www.youtube.com/.../

Here is the documetary "Stolen" in full:
www.youtube.com/.../

Adam a écrit:

Les amis arrêtez ces posts d'incitations au meurtre, nous ne sommes pas des vaincus désespérés, pour en arriver là.

Ils nous attaquent par les mots, faisons de même, l'on dépense des fortunes pour des lobby aux USA qui ne parlent qu'aux politiques, on devrait parler à ceux qui les élisent, alors pensons à faire notre promotion, sur les médias US, et profitons en pour y gagner aussi sur les plans économiques et touristiques.

il ne s'agit pas d'incitation aux meurtres !!!!!!!!!!!!!!!!

Mais dans tout pays, dés lors que l'on touche aux interêts supprêmes de l'etat, on s'expose........


et en démocratie encore plus qu'ailleurs.....les sections "action " ..tu crois que c'est pour le fun !!!!!!!!!!!!!!!

Combien d 'hommes celebres ou important ont subi les foudres des etats visés..etc etc


L'affaire MATTEI dans les années 50 ou 60

l'affaire KENNEDY ( et il y a un forum US la dessus, pas piqué des vers....allah yster )

L' affaire PIAT

CELLE DE L4INGENIEUR NUCLAIRE IRAKIEN assassiné à PARIS par le mossad

ETC

messieur vous donnez beaucoup d'importance a des gens qui ne le vallent pas

On a affaire a qui ? a de Grande puissance ? Non ! A de grand homme d'affaire ? Non ! A des hommes de grandfe influence ? Non plus

C'est quoi ? 4 député européens ( mec payer qui ne servent a rien, ou qui ont echouer au élection nationale donc il se cherche un poste ailleurs) sur les 754 que compte le PE....Mdrrrr
Normal que ces guignols se manifeste surtout aprés que les gars qui compte, c'est a dire Barosso, a effectuer une visite au Maroc...et pas dans "la puissance régionale"

Ensuite qui ? un acteur raté, qui ne doit sa réputation qu'a la liaison qu'il a avec un vrai actrice, et qu'il a pistonner pour faire le méchant homosexuel dans le dernier 007 et alors ? en France on ne le connait que pour ca et non pas pour ses histoire de Sahara, ou du soutien au régime de Castro, surtout qu'en il a soutenu la mort des greviste de la fin labas...

Pas la peine de se prendre la tete pour ca...