Update: La nouvelle Egypte de l´apres-révolte.

Rappel du premier message :

kaddafi etait mon ennemi,pas moubarak,normal

Les FM ont cru pendant longtemps que les difficultés de leur pays comme de l'ensemble du monde arabe ne relevaient que d'une simple question de non-respect de règles morales, qu'il suffisait de les appliquer pour que tout aille mieux Ils sont maintenant confrontés à la dure réalité de l'exercice du pouvoir à laquelle ils ne se sont jamais préparés.
Vont-ils maintenant avoir le courage intellectuel d'avouer que leurs conceptions de la gestion de la chose publique ont toujours été erronées ? Mieux encore, vont-ils s'avouer à eux même qu'ils ont essentiellement servis pendant de longues décennies à barrer le chemin aux mouvements progressistes arabes ?
Ça ne doit pas être un sujet de fierté de se rendre compte que sur le plan économique, c'est à dire l'essentiel, ils sont situés exactement du même côté que l'ancien régime honni

Les membres des FM menacent d’encercler et incendier le Media Production City (Madinat al intaj ali3lamy) ce dimanche.

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Concertation égypto-allemande pour le développement des zones urbaines

La première réunion pour la mise en vigueur des programmes de développement des zones urbaines a été tenue au ministère de la Planification.


Cette rencontre marque le point d’élan pour la prochaine période qui connaîtrait l’application des programmes de développement, financés par l’Union européenne (UE) dans le cadre d’un plan global visant à améliorer les conditions de vie et de l’environnement dans les zones non-planifiées au Caire et à Guizeh.
«Ledit programme constitue un modèle exemplaire pour la performance des ministères qui travailleraient de concert pour le développement de ces zones», a lancé le ministre de la Planification et de la Coopération internationale, Dr Achraf Al-Arabi. Le ministre a également exprimé son optimisme quant aux résultats positifs qui découleront, une fois le programme appliqué, et qui répondront de prime abord aux besoins nécessiteux de la société. A noter que le programme de développement des zones urbaines, est le fruit d’une collaboration égypto-allemande pour l’amélioration des conditions de vie des revenus restreins, notamment les jeunes et les femmes. L’UE contribue au projet avec un financement estimé à 20 milions d’euros. Dans un communiqué de presse du ministère de la Planification, reçu par Le Progrès Egyptien, des représentants du ministère égyptien de la Planification et de la Coopération internationale, des gouvernorats touchés, de l’UE et de l’Agence allemande pour le développement, s’étaient réunis afin d’examiner tous les points ayant trait au développement des bidonvilles.

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Le développement du Canal de Suez sur les rails
Dimanche , Mars 24, 2013

Le gouvernement a finalisé les dernières retouches pour la loi du développement du Canal de Suez.
Par Névine Ahmed


Le groupe ministériel législatif devrait réviser le projet de loi pour le soumettre ensuite au Conseil des ministres au cours de sa prochaine réunion. Ce projet de loi dicte la création d’une Autorité générale pour le développement du Canal de Suez, qui dépendrait de la présidence. Les compagnies qui travailleront dans ce projet seront des sociétés par action et le taux de main-d’œuvre égyptienne ne devrait pas être moins de 80%. 60% de la production serait exportée et on y inscrirait : «produit en Egypte».
A chaque région son activité
Ledit projet a établi une vision claire quant au rôle suggéré pour chaque ville de cette région. Al-Charkiya serait «le fournisseur d’alimentation et de main-d’œuvre pour cette zone», comme souligne-t-on dans le projet de loi. Port-Saïd serait le centre logistique mondial, Ismaïlia, un centre pour les industries technologiques, alors que Suez serait un centre pour les industries métallurgiques.
Le Nord-Sinaï serait fameux pour les industries locales et touristiques, au moment où le Sud-Sinaï serait connu pour les activités touristiques avec leurs différentes dimensions, ainsi que pour son pétrole et ses minerais. Les recettes des activités découlant des projets de développement du Canal de Suez seront exemptées d’impôts, et ce afin de pouvoir donner un «push» auxdits projets et encourager les investissements dans la région.

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Plan anti érosion dans le Delta
Lundi , Mars 25, 2013

Le ministère des Ressources hydrauliques envisage divers scénarios et solutions pour faire face aux répercussions des changements climatiques sur les zones côtières de la Méditerranée.
Par Ingi Amr


Le ministre, Dr Mohamed Bahaa Eddine, indique qu’un plan global est élaboré impliquant des mesures liées à la gestion des côtes et la confrontation des changements climatiques. Il s’agit de risque de hausse des eaux de mer, de submersions des côtes, de hausse du taux de sel dans le sol.
Le dit plan est mis au point en coordination avec les instances, gouvernorats et les ministères concernés. Il est financé par le Programme des Nations unies pour le Développement (PNUD).

Le progrès egyptien

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L'Egypte augmente les droits de douane sur les denrées de luxe

L'Egypte va augmenter les droits de douanes sur les importations de denrées coûteuses, comme les crevettes, le caviar, les ananas, les avocats et les melons, a annoncé dimanche le site du journal al Chourouk.

La hausse des droits de douanes sur ces produits alimentaires, prononcée par un décret signé par le président Mohamed Morsi, atteindra jusqu'à 40%, et concernera également des produits exportés d'Egypte pour y être ensuite réintroduits.

Le site du journal Al Masri al Youm a de son côté précisé que les droits de douanes seraient également augmentés sur certains produits de luxes, tels des lunettes de soleil et des bateaux.

L'Egypte subit une baisse drastique de ses réserves en dollars et une dépréciation continue de sa devise, la livre, qui a baissé de plus de 8% depuis la fin de l'an dernier, ce qui accroît le coût des produits alimentaires.

L'inflation, en partie provoquée par les troubles politiques auxquels est confronté le pays, a notamment touché les prix du blé et d'autres denrées importées et payées en dollars.

Des milliers de partisans et d'adversaires des Frères musulmans se sont encore affrontés vendredi aux abords du siège de la confrérie au Caire, où l'on a dénombré au moins 40 blessés.

http://www.zonebourse.com/actualite-bourse/L-Egypte-augmente-les-droits-de-douane-sur-les-denrees-de-luxe--16568551/

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Libya Transferring $2 Billion to Egypt’s Bank

http://www.nytimes.com/2013/03/25/world/middleeast/libya-putting-2-billion-into-egypts-central-bank.html?_r=0

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Egypt's president hints on Twitter of taking defensive action

Egypt's president warns he may be about to take measures he did not specify to "protect this nation."

Mohammed Morsi's warning came in a series of tweets posted on Sunday, two days after violent clashes between supporters of his Muslim Brotherhood and opposition protesters in Cairo. At least 200 people have been injured, some seriously, outside the Cairo headquarters of the Brotherhood, Egypt's most dominant political group.

An Islamist elected in June, Morsi also warned that "appropriate measures" would be taken against politicians found to be behind Friday's violence, regardless of their seniority. Anyone found to be using the media to "incite violence" will also be held accountable, he added.

Friday's clashes followed an assault a week earlier by Brotherhood supporters on protesters painting hostile graffiti outside the group's headquarters.

http://www.wytv.com/news/world/story/Egypts-president-hints-on-Twitter-of-taking/2QcL717uWEONR7QMmAu3vg.cspx

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Egypte: vives réactions de l'opposition à des menaces de Morsi

L'opposition et plusieurs journaux égyptiens ont vivement réagi lundi à des propos du président islamiste Mohamed Morsi menaçant de prendre des mesures contre les hommes politiques qui seraient responsables de violents affrontements devant le siège des Frères musulmans.

"Si les enquêtes prouvent que certains hommes politiques sont impliqués, des mesures nécessaires seront prises contre eux, quel que soit leur niveau", a dit M. Morsi, dans des déclarations diffusées la veille sur son compte twitter ainsi que par la télévision d'Etat.

"Si je dois faire ce qu'il faut pour protéger ce pays, je le ferai et je crains d'avoir à le faire bientôt", a-t-il poursuivi, ajoutant qu'il "couperait les doigts" de ceux qui chercheraient à porter atteinte à la sécurité du pays.

Ces propos font suite à de violents affrontements vendredi entre manifestants proches de l'opposition et islamistes devant le siège du mouvement des Frères musulmans dans la banlieue du Caire, qui ont fait 160 blessés.

Les deux camps se rejettent la responsabilité de ces événements, qui traduisent les vives tensions politiques qui continuent de diviser le pays deux ans après la chute du président Hosni Moubarak.

M. Morsi, issu des Frères musulmans, n'a pas désigné de personne ou de parti en particulier, mais s'en est pris à "ceux qui voudraient montrer que l'Etat est faible" et se servent de la presse pour "inciter à la violence".

"On peut s'attendre au pire. Les menaces de Morsi signifient la mort de l'Etat de droit. Il démontre qu'il est le président des Frères musulmans seulement", a déclaré à l'AFP Khaled Daoud, porte-parole du Front du salut national (FSN), la principale coalition de l'opposition.

"Le président Morsi s'active toujours quand les Frères musulmans sont sous pression, mais ne fait rien quand ce sont ses partisans qui attaquent des opposants", estime quant à lui Abdel Ghafar Shokr, un des dirigeants du FSN.

Plusieurs journaux indépendants ont dénoncé dans les propos de M. Morsi une menace de prendre des mesures exceptionnelles contre la presse et les responsables de l'opposition.

Pour le quotidien al-Watan, ils sont une "menace pour opposition", tandis que le journal al-Masry al-Youm accuse le président de vouloir "prendre des mesures d'exception" contre ses opposants et de chercher à intimider les médias.

http://www.slateafrique.com/121989/egypte-vives-reactions-de-lopposition-des-menaces-de-morsi

Début du nettoyage.

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Egypte: 5 militants arrêtés

Le procureur général d'Egypte a ordonné aujourd'hui l'arrestation de cinq militants politiques en vue, accusés "d'incitation à la violence" en lien avec les heurts qui ont éclaté vendredi aux abords du siège du mouvement des Frères musulmans.

Des heurts avaient opposé vendredi des milliers de partisans et d'adversaires des Frères musulmans aux abords du siège de la confrérie au Caire, où l'on avait dénombré 40 blessés.
Parmi les cinq dont l'arrestation a été ordonnée figure le blogueur Alaa Abd El-Fattah. Ils sont accusés d'incitation à l'"agression contre la population, de destruction de biens et de troubles à l'ordre public", dit le parquet dans un communiqué. Ils "ont interdiction de quitter le pays et leur nom a été placé sur une liste de personnes interdites de voyage en raison des investigations", a précisé l'agence Mena.

http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2013/03/25/97001-20130325FILWWW00584-egypte-5-militants-arretes.php

Citation :

Egypt, Ethiopia Headed For War Over Water

In the coming years, Egypt and Ethiopia may be forced to fight a “water war” because Ethiopia’s ambitions contradict Egypt’s historical and legal rights in the Nile waters. Ethiopia can only be deterred by the regional and international balance of powers, which in recent years has favored Ethiopia.

For any Egyptian government, Egypt’s water share and securing the Nile’s headwaters are the top national security priorities, irrespective of the Egyptian government’s ideology or domestic policies. This fact is dictated by geography. For thousands of years, Egyptian rulers have been aware how important water is for Egypt. Water is the lifeline of Egypt (97.5% of Egypt is barren desert). Egyptian rulers have always used any means to defend their country’s historic rights to the Nile waters. As Greek historian Herodotus said, "Egypt is the gift of the Nile.” Egyptian civilization, which is one of history’s greatest civilizations, depends on the Nile. To illustrate the Nile’s importance, we should remember that Egypt is the largest desert oasis in the world. Life in Egypt is concentrated on the river banks where 90 million people live. In short, any Egyptian government should have one eye on the Horn of Africa — on Ethiopia, where the source of the Nile lies — and another eye on the Sinai Peninsula and the Levant, and the balance of power there. History has shown that most of Egypt’s invaders entered through that door.

Egypt’s sentries against the country’s internal and external foes have been sleeping on the job. Their first eye failed to notice the developments at the Blue Nile’s source in Ethiopia (the Blue Nile constitutes 86% and the White Nile 14% of the Nile water volume. The two tributaries meet in Sudan before flowing to Egypt). Their second eye had lost the ability to distinguish friend from foe. Now, with the worsening economic crisis and the political deterioration between the ruling Muslim Brotherhood and the opposition, the balance of power is more and more tilting toward Ethiopia, which may unilaterally increase its water usage. That will affect Egypt’s historic rights of the Nile water and cause a serious threat.

In the report below, we will try to shed light on the Nile conflict and on why Ethiopia’s negotiating position toward Egypt has improved. We will end with a recommendation.

The conflict over the Nile waters

The two groups fighting over the right waters are as follows: the first group are the downstream countries, it includes Egypt and Sudan. The other group are the upstream countries which includes Ethiopia, Eritrea, Uganda, Congo, Burundi, Tanzania, Southern Sudan, Rwanda and Kenya.

Egypt depends on the Nile River for 95% of its water needs for drinking, agriculture and electricity generation. The growing Egyptian population is increasingly dependent on Nile water. Egypt has historical rights to these waters under the Nile Water Agreement signed with Britain in 1929. It gave Egypt the right to veto any project in upstream countries affecting Egypt’s share of water flowing to it. It is worth mentioning that the 1929 agreement is binding for the three upstream countries — Tanzania, Kenya and Uganda — on the grounds that Britain, which colonized these countries, was their legal representative and could sign binding international agreements on their behalf.

Egypt codified its legal status in an agreement with Sudan in 1959. The agreement gave Cairo 55.5 billion cubic meters of water (or 66% of the total water flow), which would go to the Aswan Dam, and Sudan received 18.5 billion cubic meters (22%). The remainder, 12%, is lost to evaporation.

The downstream countries argue that they were not a party to those agreements at the time, and therefore do not recognize their legitimacy. The upstream countries want to modify the water-sharing agreement and keep more of the water by building dams, which will directly affect the water share of the downstream states, Egypt and Sudan.

The problem is compounded by the projected large population increase in the Nile basin. The UN projects that the population in the 11 basin states will reach 860 million people by 2050. This is pressuring both sides to try to improve their positions in the conflict over the Nile waters.

In May 2010, Ethiopia drafted the Entebbe Agreement to modify the historical and legal basis for the sharing of water. Most upstream countries supported the agreement but Egypt and Sudan refused it. It is true that the Entebbe Agreement is not legally binding for Egypt and Sudan, but it does show that Ethiopia is aware of the balance of power and its ambition to impose facts on the ground regarding the construction of dams, which will necessarily affect Egypt’s share in the Nile waters and thus represent an existential threat to Egypt. It is true that Ethiopia cannot force Cairo to sign, but the Entebbe Agreement shows that a major crisis between Cairo and Addis Ababa is on the way. What follows is an explanation of the Ethiopian diplomatic attack on Egypt and Sudan.

The geopolitical framework strengthens Ethiopia’s position

In recent years, the geopolitical framework has clearly shifted in Ethiopia’s favor, and it shifted the balance of power between Ethiopia and Egypt. The geopolitical changes that favor Ethiopia can be seen in six key indicators:

First, the disintegration of Somalia, Ethiopia’s traditional rival with which it fought a tough war over the Ogaden region, removed the geopolitical balance facing Ethiopia’s political ambitions in the region. Ethiopia exploited Somalia’s disintegration to strengthen its regional presence in the Horn of Africa. For years, Ethiopia has been “fighting terrorism” emerging from Somalia. Ethiopia has been doing that under an American umbrella from 2006 to 2009 and then again since 2011 until now.

The second indicator is represented by the partition of Sudan into two states: Sudan and South Sudan. That development has weakened Sudan (and thus Egypt) in the Horn of Africa and allowed Ethiopia to participate, since 2012, in the UN peacekeeping forces in the Abyei region, which is disputed between Sudan and South Sudan.

The third indicator is the following: the weakening of Sudan has shifted the balance of power in Ethiopia’s favor. The crisis in Darfur and the international isolation of the Sudanese president (an international arrest warrant was issued against him by the International Court of Justice in The Hague in 2009) has significantly limited Khartoum’s ability to maneuver in the Nile conflict.

The fourth indicator is the improved relationship between Ethiopia and the West in general, and between Ethiopia and the US in particular, after Addis Ababa emerged as a reliable partner in the Horn of Africa. Every year, Ethiopia gets $4 billion in military, development and food assistance. But the matter is not limited to direct aid. The West has started looking at Ethiopia differently in regard to development projects, such as the construction of dams in Ethiopia. The West had opposed such projects for decades because they were considered a threat to regional security.

The fifth indicator is about China. China is Ethiopia’s primary trade partner and Beijing has expressed willingness to finance a dam construction in Ethiopia and offered Chinese expertise in building large dams. China wishes to have a foothold in the region. There is oil in South Sudan and the Congo has mineral resources.

The sixth indicator is the weakening of Egypt’s political weight in the Horn of Africa. Egypt has no role in Somalia and was not even a key party in the negotiations between Sudan and South Sudan. Egypt’s preoccupation with internal matters is weakening its ability to confront regional and international players, such as China. Even though Egypt is the biggest market for Chinese goods among the 11 basin countries, China has favored other considerations over Egyptian priorities and Egypt’s rights in the Nile waters. So much so that China has offered its technological expertise in constructing dams, which is a complete disregard to Egyptian rights. What will Egypt do about all that? Only God knows.

A recommendation

In the coming years, Egypt and Ethiopia may be forced to fight a “water war” because Ethiopia’s ambitions contradict Egypt’s historical and legal rights in river waters. Ethiopia can only be deterred by the regional and international balance of powers, which in recent years has favored Ethiopia.

The government of Hisham Qandil (an irrigation expert, not a diplomat, legal expert or strategist) seems unable to manage such a complex issue with legal, political, economic, military and international aspects. His government is unable to solve everyday problems that are less complex, such as security, traffic, and fuel and food supplies. This portends dire consequences for Egypt.

What is needed is a way to manage the crisis and use Egyptian soft power toward Ethiopia, especially the Coptic Orthodox Church, which is the Ethiopian Church’s mother church. It is necessary to form a fixed Egyptian team to manage this highly sensitive issue. The team should go beyond party affiliation and include leading Egyptian Nile specialists. Ideological or religious affiliation should not be a factor in choosing that Egyptian crisis team. What is important should be the capabilities and competencies of the team members, who will come from the “clay” of the country, not from a particular group, party or political current. Clay, to those who don’t know, is what Egyptians call their country’s soil, which is a fertile soil resulting from the mixing with the Nile water.

Will Egyptian President Mohammed Morsi realize the seriousness of the situation and deal with that issue as a major national matter and quickly implement the required policies and procedures, or will he hesitate, as usual, and go down in history as someone who squandered the historic rights of Egypt and its future generations?

http://www.al-monitor.com/pulse/politics/2013/03/egypt-ethiopia-water-war.html

Citation :

Nouveau projet pétrochimique à Kafr el-Cheikh
Mardi , Mars 26, 2013

Dans le cadre de la politique du gouvernement visant à exécuter de nouveaux projets contribuant à accroître la valeur ajoutée aux ressources naturelles de l'Egypte et l'octroi de nouvelles offres d'emploi.
Par Farouk Abdel Aziz



Le ministre du Pétrole, l'ingénieur Oussama Kamal, et le gouverneur de Kafr el Cheikh, l'ingénieur Saad el-Husseini, ont assisté à la signature d'un mémorandum d'entente entre la compagnie holding de pétrochimie et les compagnies des usines de production de sucre de betterave, pour fournir la mélasse servant à alimenter le projet de production de bioéthanol en cours de fondation dans la région de Motobas, et la transformation du bioéthanol en éthylène et ses dérivés. Outre l'usage de l'éthanol comme carburant pour les voitures, après l'avoir mélangé avec l'essence, assurant une source d'énergie alternative et pure.
L'Egypte mise sur l'industrie pétrochimique, dévoilant un programme nécessitant des investissements d'une dizaine de milliards de dollars qui, espèrent ses concepteurs, devrait dégager vers 2020 des rentrées annuelles de sept milliards de dollars et créer 100 000 emplois. L'Egypte a suffisamment de réserves de gaz naturel, principale matière première de la pétrochimie, pour mettre à exécution un "plan directeur de développement" de cette industrie, projet dont la conception a commencé en l'an 2000. Les compagnies chimiques internationales ont été appelées à investir dans le développement de cette industrie en Egypte. L'Egypte est riche en gaz, le plan existe, il porte sur 20 ans, il vise à produire 15 millions de tonnes par an de produits pétrochimiques d'une valeur de 7 Mrds $ ". La moitié de la production sera écoulée sur le marché intérieur, et l'autre moitié sera exportée. Les réserves prouvées de gaz naturel en Egypte sont en progression continue, et atteignaient 1 656 milliards de mètres cubes en octobre 2002. Le plan prévoit la création de quatorze nouveaux complexes en six emplacements, tous ayant une façade maritime pour permettre l'exportation, a-t-il ajouté. Quatre de ces emplacements sont sur la Méditerranée - El Beheira, Kafr El-Cheikh, El-Dahakliya et Damiette - un est près de Suez, sur le golfe de Suez, et un à Ismaïliya, sur le canal de Suez.

Le progrès egyptien

Ryad a écrit:

Citation :

Libya Transferring $2 Billion to Egypt’s Bank

http://www.nytimes.com/2013/03/25/world/middleeast/libya-putting-2-billion-into-egypts-central-bank.html?_r=0

1- Les frères musulmans livrent bientôt Qaddaf Dam au Lybie en contre partie de 2 milliards de dollars. Pourtant Qaddaf Dam a une nationalité égyptienne et la loi du pays interdit de livrer un égyptien a un pays étranger. Les frères musulmans ont besoin de liquidité pour repousser le cauchemar de la crise économique et ont donc fait un deal.


2- Le procureur général ikhwani a ordonné l'arrestation de cinq militants politiques, ils s'agit d'activistes qui ont appelé à la révolution contre Mubarak, parmi eux Alaa Abdelfattah qui voté Morsi au 2ème tour des élections présidentielle.

Les 4 autres noms :
Nawra Nagm fille du poète populaire Ahmed Fouad Nagm
Ahmed Abdelazim, membre du partie Al dostour (ingénieur en télécommunication et proche d'Al Baradei)
Ahmed Douma (journaliste et ex membre du 6 Avril)
Ahmed Eid (journaliste)

4 ont décidé de ne pas se rendre au procureur et le 5 eme se rendera demain à 12 h mais refuse de parler au procureur.

Citation :

L'Égypte renvoie en Libye deux proches de Kadhafi

LE CAIRE, Égypte – L’Égypte a extradé mardi vers la Libye deux anciens dirigeants du régime de Mouammar Kadhafi.

Il s’agit d’Ali Maria, l’ancien ambassadeur de la Libye au Caire, et de Mohammed Ibrahim Kadhafi.

Un témoin qui a assisté à leur extradition a révélé que les deux hommes ont dû être menottés quand ils ont tenté de résister à leur déportation.

Les deux individus avaient été arrêtés la semaine dernière en compagnie d’un cousin de l’ancien dictateur libyen, Ahmed Qaddaf al-Dam, au terme d’un siège de plusieurs heures à la résidence de ce dernier, au Caire.

Al-Dam est un ancien responsable des renseignements libyens et a coordonné pendant longtemps les échanges entre les dirigeants égyptiens et libyens. Il est toujours détenu par les autorités égyptiennes.

Une délégation libyenne a remis aux Égyptiens, la semaine dernière, les noms de 88 anciens membres du régime Kadhafi qui se terreraient en Égypte.

http://journalmetro.com/monde/281558/legypte-renvoie-en-libye-deux-proches-de-kadhafi/


Al Dam est détenus en Egypte pour trafic d'arme.

Pour ce qui est des 5, qu'il soient contre Moubarak, voté pour Morsi, ayant une Barbe de 5 mètres ils devront respectés la loi.

Citation :

L'Egypte taxe la stéatite

ÉGYPTE. Le ministère égyptien de l’Industrie et du Commerce extérieur a décidé d’imposer une taxe sur la stéatite (Talc), à raison de 250 LE (28,29 €) la tonne.

Ces nouvelles dispositions, explique le ministre Hatem Salah « permettront d’optimiser l’exploitation des matières premières du pays et augmenteront leurs valeurs ajoutées. L'Égypte bénéficierait d’un revenu considérable si toutes ces ressources étaient transformées en produits possédant une grande valeur économique ».

La stéatite est un minerai utilisé essentiellement dans le secteur pharmaceutique, la production de papier, l’industrie chimique et les peintures .L'Égypte possède une seule mine ( Allagui ) d’où est extraite ce minerai.

http://www.econostrum.info/L-Egypte-taxe-la-steatite_a14041.html

Mais qu'il est ambitieux .

Citation :

L'Egypte chercherait à adhérer aux BRICS pour redresser son économie en crise

Le président égyptien Mohamed Morsi doit prendre part à un sommet des BRICS mardi, ce qui alimente les espoirs selon lesquels il chercherait l'adhésion de l'Egypte à l'alliance des économies émergentes. En cas de succès, cela contribuerait à sauver l'économie stagnante du pays après deux ans de troubles politiques.
La participation de M. Morsi au cinquième sommet des BRICS, qui regroupent le Brésil, la Russie, l'Inde, la Chine et l'Afrique du Sud, est considérée par de nombreux économistes comme une "occasion en or" pour l'Egypte de renforcer ses relations avec les économies émergentes, et, avec un peu de chance, faire revenir les investissements étrangers et relancer ses partenariats économiques qui ont été mis entre parenthèses en raison des troubles et de l'instabilité liés à la crise actuelle en Egypte.

"Assister à un sommet qui rassemble les économies émergentes comme le Brésil, l'Inde et bien sûr, le poids lourd qu'est la Chine, donnera une chance à l'Egypte de renforcer les relations économiques bilatérales qui pourraient déboucher sur des accords économiques", a indiqué à l'agence Xinhua Ehab al-Desouki, chef du Centre de recherches économiques de l'Académie de Sadat au Caire, capitale égyptienne.

M. Desouki s'attend à ce que l'Egypte cherche à adhérer aux BRICS, ce qui constituerait une "tentative importante, même en cas d'échec".

Selon M. Desouki, M. Morsi pourrait inviter les président chinois et indien à effectuer des visites officielles en Egypte dans un avenir proche, ce qui pourrait déboucher sur des partenariats et des projets conjoints. "Un pays comme la Chine cherche à aider l'Egypte, mais en attendant le bon moment pour lancer des projets géants en Egypte, une fois le pays redevenu stable", analyse-t-il.

Mohamed Abdel-Aziz Hegazy, professeur en finances à l'Université américaine au Caire, a indiqué à Xinhua que "c'est une bonne occasion pour le président (Morsi) de rassurer les membres des BRICS sur la situation en Egypte et faire revenir les investisseurs".

Certains observateurs économiques, dont M. Hegazy, estiment que les membres des BRICS représentent des modèles dont l'Egypte pourrait s'inspirer, ayant eux-mêmes fait face à des problèmes économiques similaires à ceux de l'Egypte.

M. Hegazy s'est déclaré optimiste au sujet de l'intention de l'Egypte d'adhérer au groupe des BRICS. "Je m'attends à ce que la demande soit acceptée, l'Egypte offrant un environnement prometteur pour la mis en place de nombreux projets, particulièrement ceux liés au tourisme, au Canal de Suez et à la production de gaz", a-t-il expliqué à Xinhua.

M. Morsi doit s'entretenir séparément avec les divers leaders politiques participant au sommet des BRICS sur la coopération économique bilatérale en Afrique du Sud, a indiqué l'agence de presse sud-africaine MENA.

Toutefois, certains analystes ne considèrent pas l'Egypte comme étant prête à s'engager sur le moindre accord économique majeur.

"Ce n'est pas une bonne décision pour M. Morsi d'assister à un sommet rassemblant les économies importantes avant d'avoir restauré la stabilité politique sur son territoire, une étape préalable indispensable pour aboutir à des partenariats économiques", a indiqué à Xinhua Farag Abdel-Fattah, professeur en économie à l'Université du Caire.

Selon le professeur, l'Egypte serait incapable de procurer des garanties adéquates pour tout accord économique futur avec les pays des BRICS, en raison des "graves problèmes politiques et économiques actuels".

M. Abdel-Fattah a également minimisé l'importance pour l'Egypte de devenir membre des BRICS dans le contexte actuel. "L'Egypte est déjà membre de nombreuses alliances commerciales importantes dont elle n'a pas pu tirer profit à cause de son instabilité politique", a indiqué le professeur.

Après deux ans de crise politique, l'Egypte est confrontée à un déficit budgétaire inquiétant et à un niveau trop bas de réserves de devises étrangères. Le pays s'efforce toujours d'obtenir un prêt de 4,8 milliards de dollars du Fonds monétaires international et de nouer des partenariats avec des puissances économiques afin de surmonter la crise actuelle.

http://french.cri.cn/621/2013/03/26/562s318231.htm

Personne n’échappe à la loi.

Citation :

Egypte : condamné à mort pour le meurtre de coptes

Un tribunal égyptien a condamné, lundi 25 mars, à la peine de mort Mahmoud Abdel Nazir. Ce musulman de 50 ans a été reconnu coupable du meurtre de deux coptes en 2011. Le verdict a été prononcé par le tribunal criminel de Sohag, situé à 500 km au sud du Caire.

M. Nazir a également été reconnu coupable d’avoir blessé trois autres coptes et incendié des biens appartenant à cette communauté chrétienne du pays, qui représente près de 10 % de la population

Il aurait agi de la sorte pour venger le meurtre de son frère tué par un copte, a-t-il expliqué.

Le jugement de sa condamnation à mort a été transmis au grand mufti d’Al-Azhar, la plus haute autorité religieuse du pays et plus haute autorité sunnite du monde musulman, qui doit encore confirmer cette peine, selon les procédures pénales en Egypte.

S’il est confirmé, ce jugement pourrait envoyer un signal fort à la minorité copte du pays qui se plaint d’injustices, de discriminations et de violences gratuites.

http://www.saphirnews.com/Egypte-condamne-a-mort-pour-le-meurtre-de-coptes_a16495.html

Citation :

Egypte: La chambre haute du Parlement approuve un nouveau projet de loi électorale

Le président du Conseil de la Choura, Ahmed Fahmi a demandé aux députés de soumettre les modifications au projet de loi avant le 3 avril avant son approbation finale.

Les élus islamistes, les principaux supporters du président Mohamed Morsi, travaillent sur le projet de loi qui devrait réglementer les prochaines élections législatives.

La Cour suprême constitutionnelle avait rejeté le 18 février le projet de loi électorale présenté et l'avait renvoyé au Conseil de la Choura pour réexamen, notant que certains articles du projet étaient anticonstitutionnels.

Un tribunal administratif avait décidé le 6 mars de suspendre la décision du président Morsi d'organiser les élections législatives le 22 avril et avait renvoyé le texte à la Cour suprême constitutionnelle pour qu'elle se prononce sur la constitutionnalité du texte.

Les élus islamistes ont rédigé par la suite un nouveau projet de loi électorale en tenant en compte le verdict de la Cour suprême constitutionnelle.

http://www.afriquinfos.com/articles/2013/3/26/egypte-chambre-haute-parlement-approuve-nouveau-projet-electorale-220791.asp

Citation :

Les photos époustouflantes de touristes fous sur les pyramides

http://tempsreel.nouvelobs.com/photo/20130326.OBS5366/les-photos-epoustouflantes-de-touristes-fous-sur-les-pyramides.html

Très belles photos merci pour le partage.

Comment ca se fait qu'ils le ont laisser grimper ?

De rien Samy.

Citation :

Comment ca se fait qu'ils le ont laisser grimper ?

Citation :

les voyageurs ont escaladé les édifices monumentaux après avoir échappé à l'attention des gardes, quelques heures après la fermeture du site de Gizeh au public.

http://tempsreel.nouvelobs.com/photo/20130326.OBS5366/les-photos-epoustouflantes-de-touristes-fous-sur-les-pyramides.html

Du temps des pharaons, les pyramides du plateau de Gizeh étaient recouvertes et présentaient des surfaces lisses et brillantes, visibles de très loin, il n'aurait pas été alors possible de les grimper, mais les pillards se sont servis jusqu'à ne plus rien laisser de ces parements.

Monument dont la construction reste une enigmes ( sublime les photos )

Alloudi a écrit:

Monument dont la construction reste une enigmes ( sublime les photos )

beaucoup disent que c'est pas les pharons fils de imlak et de masraim eux même petit fils de noé qui les ont construite mais que ils ont été construite avant le déluge par les géants qui vivait longtemps aussi et que après les civilisations post déluge sont venu s’installer laba . c'est un peu tiré par les cheveux je sais mais la version des historiens est plus stupide .

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Egypte : la justice ordonne le retour du procureur limogé par Morsi

La cour d'appel du Caire a ordonné mercredi 27 mars l'annulation du limogeage par le président Mohammed Morsi de l'ancien procureur général Abdel Meguid Mahmoud et le retour de ce dernier à son poste.

M. Morsi avait démis M. Mahmoud de ses fonctions en novembre dans une "déclaration constitutionnelle" lui accordant des pouvoirs exceptionnels et l'avait remplacé par Talaat Abdallah. Cette décision avait provoqué une levée de boucliers chez les magistrats, qui avaient dénoncé une ingérence de l'exécutif dans les affaires de la justice. Le président avait finalement fait marche arrière sur son décret, mais maintenu le nouveau procureur général.

VERS UNE NOUVELLE ÉPREUVE DE FORCE

Le jugement de la cour d'appel va probablement être à l'origine d'une nouvelle épreuve de force entre la présidence et le pouvoir judiciaire. "Nous sommes face à un obstacle. Le jugement doit être appliqué [mais les décisions découlant de] la déclaration constitutionnelle sont protégées" par la Constitution adoptée en décembre, a expliqué à l'AFP l'avocat Khaled Abou Bakr.

Suite http://www.lemonde.fr/afrique/article/2013/03/27/egypte-la-justice-ordonne-le-retour-du-procureur-limoge-par-morsi_3148659_3212.html

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Egypte: Le blogueur Alaa Abd al Fattah laissé en liberté

Alaa Abd al Fattah, blogueur égyptien et figure de la révolution du Nil, a été laissé en liberté ce mardi après s'être livré aux autorités.

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«En général, je refuse de répondre à toutes les questions, parce que le procureur général n'est pas neutre», écrit Alaa Abd al Fattah sur son compte Twitter. «Il n'y a pas de témoins, pas d'enquête, pas de faits, rien», poursuit-il. Les quatres autres militants visés sont Ahmed Douma, Karim al Chaer, Hazem Abdel Azim et Ahmed al Sahafi. Selon leur avocat Tamer Gomaa, interrogé par Reuters, ils refusent de se présenter au procureur général.

http://www.20minutes.fr/ledirect/1126181/20130326-egypte-blogueur-alaa-abd-al-fattah-laisse-liberte