Update: La nouvelle Egypte de l´apres-révolte.

John Stewart critique Morsi et défend Bassem Youssef. De plus en plus de journalistes et blogueurs égyptiens sont poursuivit par le régime des FM, ça dépasse même le régime de Moubarak...

tu t'attendais à quoi de la part des barbouzes, c'est pas comme si personne ne l'avait vu

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First flight from Cairo to Tehran in 34 years takes off


On Sat, 30/03/2013 - 13:12
Al-Masry Al-Youm

The first flight between Egypt and Iran left since the Iranian revolution 34 years ago left Cairo for Tehran Saturday morning.

The flight marched the launch of a new air link between the two countries, which aims in part to increase the number of Iranian tourists visiting Egypt.

Official sources at Cairo airport said on Saturday that the plane belongs to the Air Memphis Company, and that it headed to Tehran as Flight Number 8000, carrying eight Iranian passengers on board, including two diplomats.

The company is likely one that organizes trips between Iranian cities and regional airports in southern Egypt, in accordance with the agreement signed during the recent visit of Egypt’s Tourism Minister Hesham Zaazou to Tehran.

Egypt and Iran cut diplomatic relations after the Iranian revolution in 1979, in part due to former Iranian Shah Mohamed Reza Pahlavi being granted asylum in Egypt by former President Anwar Sadat. Pahlavi died in 1980 in Egypt and is buried in Cairo’s Al-Refai Mosque.

Egyptian President Mohamed Morsy paid a visit Tehran during the 16th Summit of the Non-Aligned Movement in August 2012, a visit that marked the beginning of a resumption in diplomatic relations between the two countries. In February 2013, Iranian President Mahmoud Ahmadinejad visited Cairo.

Edited translation from al-Masry al-Youm

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Les États-Unis se disent «vraiment inquiets» de la direction prise par l’Égypte

Les États-Unis sont «réellement inquiets» de la situation politique, économique et des droits de l’homme en Égypte, a déclaré mardi le secrétaire d’État John Kerry, un mois après une visite au Caire où il avait débloqué une aide de 250 millions $.

«Pour l’Égypte, nous partageons une vraie inquiétude au sein de l’administration Obama quant à la direction que prend apparemment l’Égypte», a déclaré M. Kerry lors d’une conférence de presse aux côtés de son homologue sud-coréen Yun Byung-se.

«Nous espérons qu’il soit encore temps de changer de direction. Mais les dernières arrestations, la violence dans les rues, le fait que l’opposition n’est pas incluse (dans le processus politique), toute cela est une source de préoccupation», a insisté le secrétaire d’État.

Son ministère avait dénoncé lundi les restrictions de plus en plus fortes à la liberté d’expression dans ce pays, à la lumière du cas d’un humoriste égyptien poursuivi pour avoir insulté l’islam et le président islamiste Mohamed Morsi.

M. Kerry s’était rendu au Caire le 2 mars: il y avait exhorté M. Morsi et l’opposition à redoubler leurs efforts pour rétablir la stabilité politique et remédier à la profonde crise économique, tout en apportant 250 millions $ d’assistance. Il avait également poussé Le Caire à trouver un accord avec le Fonds monétaire international (FMI) à propos d’un prêt de 4,8 milliards $.

«Nous avons travaillé très, très dur ces dernières semaines pour tenter de rapprocher le gouvernement égyptien de l’opposition, pour sceller un accord avec le FMI, pour parvenir à un règlement qui permette à l’Égypte de commencer à transformer son économie et améliore la vie de ses citoyens», a rappelé M. Kerry.

Allié pendant 30 ans au régime de Hosni Moubarak, Washington marche sur des œufs avec «la nouvelle Égypte», M. Obama semblant privilégier sa relation avec le président égyptien. Pour les Américains, le dilemme est de soutenir les aspirations démocratiques des Égyptiens sans fâcher l’un de ses principaux alliés régionaux, lié à Israël par un traité de paix.

http://www.45enord.ca

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L'Egypte de Morsi s'engage pour la liberté d'expression

La présidence égyptienne a affirmé mercredi 3 avril son engagement pour la liberté d'expression et assuré ne pas être à l'origine des procédures judiciaires contre l'humoriste Bassem Youssef, critique du pouvoir.
"La présidence réaffirme l'importance de la liberté d'expression et respecte pleinement la liberté de la presse", indique un communiqué des services du président islamiste Mohamed Morsi. Le communiqué dément que les procédures judiciaires en cours contre Bassem Youssef, très critique des islamistes et de M. Morsi, aient été engagées à la demande de ce dernier. "La présidence n'a déposé aucune plainte contre Bassem Youssef", assure le communiqué, en soulignant qu'elles émanaient de "citoyens".

"L'Egypte après la révolution [du début 2011] est devenue un Etat de droit avec une justice indépendante. Par conséquent, la convocation par le parquet d'un citoyen quel que soit son titre ou sa notoriété relève du procureur général, qui agit indépendamment de la présidence", ajoute le communiqué.

D'après des sources judiciaires, un avocat a déposé une plainte contre M. Youssef et contre la direction de la chaîne CBC Television, qui diffuse chaque semaine son show satirique, Al-Bernameg, inspiré de la célèbre émission comique américaine The Daily Show de Jon Stewart. Cette plainte accuse Bassem Youssef, un cardiologue devenu comédien, de multiplier les attaques contre les islamistes et indirectement d'appeler à la "guerre civile". Deux journalistes font également l'objet d'une enquête dans le cadre de cette affaire.

INQUIÉTUDE À WASHINGTON ET PARIS

Les Etats-Unis ont affirmé mardi par la voix du secrétaire d'Etat John Kerry être "réellement inquiets" de la situation politique, économique et des droits de l'homme en Egypte. La branche politique des Frères musulmans, dont le président Mohamed Morsi est issu, a accusé mardi les Etats-Unis d'ingérence dans les affaires intérieures de l'Egypte pour avoir émis des critiques sur la liberté d'expression. La porte-parole du département d'Etat, Victoria Nuland, a critiqué lundi le mandat d'arrêt lancé par le procureur général du Caire contre Bassem Youssef.

Paris "soutient le processus démocratique en Egypte", qui passe notamment par des "garanties sur la liberté des médias", a déclaré mardi le chef de la diplomatie française Laurent Fabius à l'issue d'une rencontre avec son homologue égyptien Mohammed Kamel Amr. "Nous soutenons le processus démocratique en Egypte et sommes attentifs au respect des droits", a ajouté M. Fabius, alors que l'opposition et des avocats égyptiens dénoncent des atteintes répétées à la liberté d'expression, et que les procédures judiciaires contre des journalistes ou humoristes se multiplient.

http://www.lemonde.fr/afrique/article/2013/04/03/l-egypte-de-morsi-s-engage-pour-la-liberte-d-expression_3152476_3212.html

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La justice égyptienne ordonne l'annulation de la décision de remise de Qaddaf Dam à la Libye

Un tribunal cairote a ordonné, mercredi, l'annulation de la décision de remise par les autorités égyptiennes du cousin de Mouammar Kadhafi, Ahmed Qaddaf Dam à la Libye.

Arrêté le 19 mars dernier, Ahmed Kaddaf Al-Dam, qui fut émissaire spécial de la Libye à l'ambassade du Caire, avait saisi la justice pour l'annulation de cette décision qui représente "une menace pour sa vie".

La cour a annulé cette décision en se référant aux conventions et chartes internationales, signées par l'Egypte, et qui assurent la protection des étrangers.

Portant la nationalité égyptienne, l'ancien responsable libyen figurait, aux côtés d'Ali Maria, ancien ambassadeur de Libye en Egypte, et Mohamed Ibrahim Mansour, ancien directeur d'un fonds libyen, sur une liste établie par Interpol.

Le procureur général égyptien avait ordonné leur placement en détention provisoire pour une période de 30 jours "en attendant une enquête portant sur plusieurs chefs d'accusation".

Le cousin de Kadhafi est recherché pour contrefaçon, faux, fraude et blanchiment d'argent, alors que Mansour pour corruption.

http://www.atlasinfo.fr/La-justice-egyptienne-ordonne-l-annulation-de-la-decision-de-remise-de-Qaddaf-Dam-a-la-Libye_a40913.html

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Egypte : 400 millions $ d’investissements indiens attendus dans la filière plastique

Deux entreprises indiennes se préparent à investir 400 millions $ dans le secteur de la plasturgie en Egypte.

Sanmar Group qui finalise un projet industriel de production de soude caustique et de PVC évalué à 1,3 milliards $, envisage d’injecter 300 millions $ supplémentaires en vue d’ériger à Port Said une zone industrielle dédiée à la production de produits à base de composants plastiques.

Egyptian Indian Polyester Company SAE, joint venture indo-égyptienne, prévoit 100 millions $ pour étendre ses lignes de production de son usine de production de polyester situé dans la ville de Ain Sokhna.

320 entreprises indiennes opèrent en Egypte dans les secteurs de la pétrochimie, des nouvelles technologies de l’information, etc.

http://www.agenceecofin.com/investissement/0304-9966-egypte-400-millions-d-investissements-indiens-attendus-dans-la-filiere-plastique

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Le président égyptien se rendra au Soudan jeudi
Le président égyptien Mohamed Morsi se rendra au Soudan jeudi pour sa première visite officielle dans ce pays depuis sa prise de fonctions en juin 2012, a rapporté mercredi l'agence de presse officielle MENA.

Au cours de sa visite de deux jours, M. Morsi s'entretiendra avec son homologue soudanais Omar al-Béchir, ainsi que des hauts responsables soudanais, des questions relatives au commerce, aux investissements et à la contribution des sociétés égyptiennes à des projets de développement au Soudan pour cimenter les relations bilatérales entre les deux pays, selon MENA.

La visite reflète aussi le souci de l'Egypte d'établir un partenariat économique réel avec le Soudan d'une manière qui permet d'atteindre la croissance et la prospérité.

http://french.cri.cn/621/2013/04/04/461s319360.htm

tentative de viol d'1 copte et takbir, sickos, 18+

https://youtu.be/1YnnyXNItqk

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Algeria’s Lesson for Egypt’s Mohamed Morsi: Let the Satirist Be
By Vivienne WaltApril 09, 2013



Under the title "The Arab Spring is not finished" there's an Algerian everyman tugging at the beard of a conservative Islamist -- a reference to the rise of Islamist politicians after the Arab Spring revolutions. Dilem says, "I drew this when the first demonstrations started happening in Egypt against the new Muslim Brotherhood government."
PHOTOS: Ali Dilem’s controversial cartoons


If Egyptian President Mohamed Morsi needs pointers in how to deal with the wildly popular TV satirist Bassem Youssef—who was charged last week with insulting the president and mocking Islam—he might find them in a nearby North African country: Algeria. There, the autocratic regime of President Abdelaziz Bouteflika and his powerful military generals have suffered years of vicious skewering by one of the region’s best-known cartoonists, Ali Dilem. But after countless attempts at shutting down Dilem’s work, Algeria’s government seems to have come to the conclusion that Dilem cannot be halted, or at least, that stopping him would be too damaging for the country’s image. “Even the judges know that it is not a good time for them to go after me,” Dilem says. He says the government’s tacit rule now is: “You can talk, you can shout, so long as you don’t risk the country’s stability.”

For Dilem, 45, it is a delicate dance. He has been prosecuted at least 50 times over the past 11 years for insulting Algeria’s leaders—an offense that came into law in 2001, when Bouteflika signed the so-called “Dilem amendment,” allowing for sentences of up to 12 months in jail and 250,000 dinars ($3,177) fines for journalists who insult the president and military generals. Since those insults are the core of Dilem’s cartoons, he has been charged repeatedly under the provision. His sentences are invariably reduced on appeal, and Dilem has so far not been jailed, despite his merciless put-downs of the country’s most powerful figures. The Algerian newspaper Liberté, which publishes his work, pays his legal fees. Asked how many times he has been convicted, Dilems laughs. “That’s an easy question,” he says. “I have never won a case.”

Dilem’s cartoons also draw a wide audience online, with their depictions of pumped-up dictators and corrupt generals resonating strongly in the rest of the Middle East. No one’s feelings, no matter how powerful the person, are spared in his drawings. Bouteflika is shown as a diminutive statue on a giant pedestal—a president whose power rests on pomp and ceremony, rather than true leadership. The country’s intelligence chief General Mohamed Mediène, or “Toufik” as he’s commonly known—who is rarely seen in public and whom Algerians dare not criticize—is depicted as a rotund, wild-eyed figure with stubble and an empty dog’s bowl at his feet with the word “people” written on it. During one trial, the judge demanded to know why Gen. Mediène appeared to be “fat and ugly,” Dilem says. “I told him, ‘believe me, if I meet a slim, handsome general, I will draw him too. But every general in Algeria is fat and ugly, with a mustache.’”

(MORE: Why the censure of Bassem Yousseff is no laughing matter.)

Hauled into police stations and before judges regularly, Dilem’s ongoing legal travails have been a regular feature of his life for years; he addresses his lawyer, Ali Meziane, simply as “le misérable.” And yet, about two years ago, just as the Arab Spring was beginning to erupt, Algeria’s government seemed to shift its tough stance against Dilem, and the prosecutions grew far less frequent. Dilem’s last trial was in early 2012. Meziane says the government concluded that the trials were making Algeria look bad, and indeed, that they were counter-productive, since they had hugely expanded Dilem’s popularity—a sure lesson for Egypt’s rulers as they go after Bassem Youssef. “It is evident that the government is deliberately not intervening,” Meziane said by phone from Algiers. “The government is trying to give some freedom of expression,” he says. “That is solely for them to take care of the image of the country.”

Dilem says he began cartooning almost by accident when, at 21, a newspaper editor approached him saying they had heard he had been secretly sketching cartoons of then president Chadli Benjadid as a donkey; Dilem had made the drawings for friends, he says. “I was really scared, I didn’t think I was any good,” he says. “So I drew the president with a tennis racket saying, ‘I love this racket’”—a pun on corruption. He was hired, and has not stopped drawing since, despite years of war and intense crackdowns on the press.

Over the years, Dilem has faced threats not only from the regime, but from conservative Islamists, too; he went into hiding through much of the 1990s, during Algeria’s devastating civil war between the military and hardline Islamic groups, which killed about 200,000 people. In recent years, he has spent periods in Paris, and during times when he has felt in danger, he has hidden for months—even from his mother—within the city of Algiers itself.

In countless cartoons, Dilem has savaged Islamic leaders for their attitudes, and in several has fingered men with long beards as being the biggest risk to the Middle East. Yet he says he would never lampoon the Prophet Muhammad, fearing that there could be violent repercussions, as happened when a Danish newspaper published cartoons of the Prophet in 2005, setting off a wave of attacks across the Muslim world. “I am working in a very unstable country, and I know that there is a threat on my head,” he says. “Is it really worth it? To my mind, this is not a matter of courage when I hurt the feelings of 90% of Algerians.”

As for the current prosecution in Egypt of Bassem Youssef, Dilem says he can understand the government’s tough response to Youssef’s TV show, which lampoons Morsi and other powerful figures. “It doesn’t surprise me at all that Egypt’s new regime reacted the way it did,” Dilem says. “In our tradition, no one makes fun of big, powerful people.” Nonetheless, he believes Egypt’s leaders will have to get used to being ridiculed, now that Youssef has opened the way for a new form of political satire. “Since it is the first time, the regime will really panic,” he says. “But then, others will follow.”

http://world.time.com/2013/04/09/algerias-lesson-for-egypts-mohamed-morsi-let-the-satiricist-be/

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L’Italie va transférer 25 usines vers l’Egypte

ÉGYPTE / ITALIE. Le ministre de l’Industrie et du commerce extérieur égyptien, Hatem Salah a insisté, lors de sa rencontre avec le nouvel ambassadeur italien en Egypte, Maurizio Massari, sur l’importance des relations entre les deux pays : “Au plan commercial, l’Italie est considérée comme notre premier partenaire européen. Tous reste encore à entreprendre pour développer et approfondir ces échanges, particulièrement dans les domaines du transport, des ports et des énergies renouvelables ».

Le ministre de l’Industrie a abordé le projet de construction d’une zone industrielle égypto-italienne d'une surface de 10 millions de m² à Al Alamein. Elle dispose d'une capacité d'accueil de 2 000 usines. Vingt-cinq usines italiennes pourraient s'y délocaliser. Un protocole entre les deux pays sera signé vers la mi-mai 2013 afin de faciliter ces délocalisations.

Les discussions ont porté, également, sur une étude présentée par l’Italie concernant le développement du rail (matériels, système de signalisation et barrières de sécurité), au moment où l'Égypte souffre d’une véritable déliquescence de ce secteur.

Les échanges commerciaux, entre les deux pays, ont atteint environ 4,7 mrds € durant la période de janvier à novembre 2012.
Le pétrole et ses dérivés, les produits agricoles, le textile, le fer, le cuir (matière première) constituent les principaux produits exportés vers l’Italie. L'Égypte importe essentiellement des machines, des produits chimiques et pétroliers, des moteurs de voitures…

http://www.econostrum.info/L-Italie-va-transferer-25-usines-vers-l-Egypte_a14176.html

De sources sures, Huawei va transférer son siège régional de l’Égypte vers le Maroc.

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Un parc éolien au Golf de Suez
Mercredi , Avril 10, 2013

Dans le cadre de la stratégie du ministère de l’Electricité à soutenir le recours aux énergies renouvelables, un appel d’offre sera lancé pour la construction d’un parc éolien avec une capacité de 250 mégawatts au Golf de Suez.
Par Ingi Amr


Le projet sera établi selon le système de BOT (Build, Operate and Transfer c’est à dire construire, opérer et devenir propriétaire).
Il est à rappeler que le ministère de l’Energie avait lancé deux appels d’offres pour la mise en place des équipements électriques du gigantesque parc éolien établis à Gabal Al Zeit en Mer Rouge. Parc dont la capacité s’élève à 200 mégawatts.
Dans le même contexte, le secteur de l’électricité vise également la mis en place de parcs éoliens sur le Littoral de la Mer Rouge avec des capacités estimées à 1000 Mégawatts.
Ceci dans le cadre du plan visant à produire 20% de l’énergie à partir de ressources renouvelables dont 12 % à partir de fermes éoliennes.

Le progrès egyptien

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Le Qatar va acheter des obligations égyptiennes pour 3 milliards de dollars

DOHA - Le Qatar, riche pays gazier du Golfe, va acheter des obligations égyptiennes pour 3 milliards de dollars, qui vont s'ajouter à une assistance financière de 5 milliards de dollars, a annoncé mercredi le Premier ministre du Qatar, cheikh Hamad Ben Jassem Al-Thani.

Nous avons décidé d'ajouter des obligations du gouvernement égyptien d'une valeur de trois milliards de dollars, a déclaré cheikh Hamad, lors d'une conférence de presse avec son homologue égyptien Hicham Qandil, en visite à Doha.

Le Qatar a déjà fait don d'un milliard de dollars au Caire et placé quatre milliards de dollars en dépôt à la Banque centrale égyptienne.

Cheikh Hamad a indiqué que son pays était également disposé à coopérer avec Le Caire dans le domaine du gaz naturel et à aider l'Egypte, notamment en été, à honorer ses engagements envers ses clients à l'étranger.

En été, l'Egypte pourrait connaître une pénurie de gaz, que nous étudions pour la combler, a-t-il dit, ajoutant: Le gaz égyptien ira au marché local (...) et nous assurerons les besoins de l'Egypte pour ses exportations durant une période bien déterminée.

Depuis 2011, le gazoduc égyptien alimentant Israël et la Jordanie a été visé par 15 attentats, entraînant des ruptures dans l'approvisionnement.

L'Egypte, confrontée à des difficultés économiques et à une une fonte de ses réserves de change, négocie avec le Fonds monétaire international (FMI) un prêt de près de 5 milliards de dollars. Une équipe du FMI était arrivée le 3 avril au Caire dans le cadre des discussions sur ce projet de prêt.

En septembre, le Qatar, qui entretient d'excellentes relations avec le président égyptien Mohamed Morsi, issu des Frères musulmans, avait fait part de son intention d'investir 18 milliards de dollars au cours des cinq prochaines années en Egypte pour aider ce pays.

Le Qatar entend participer à tous les projets que proposera le gouvernement égyptien, a assuré mercredi son Premier ministre.

Il a indiqué avoir évoqué avec M. Qandil les perspectives d'investissement, notamment dans le secteur de la sidérurgie et dans des zones industrielles. La partie qatarie va participer aux appels d'offre relatifs à de tels projets, a-t-il dit.

M. Qandil a minimisé la présence du Qatar dans l'économie égyptienne, exagérée selon lui par les médias qui soupçonnent ce petit pays du Golfe de chercher à s'ingérer dans les affaires de l'Egypte.

Le Qatar se classe autour du 20e rang en matière d'investissements étrangers en Egypte, a déclaré M. Qandil, ajoutant vouloir promouvoir davantage les investissements du Qatar, pays très courtisé dans le monde.

Le soutien du Qatar (à l'Egypte) est motivé par des considérations fraternelles (...) et sans contrepartie, a affirmé pour sa part cheikh Hamad, indiquant que les campagnes de presse hostiles n'entameront pas la volonté du Qatar à coopérer avec les frères en Egypte.

Les projets d'infrastructure, que le Qatar entend réaliser sur son territoire à coups de milliards de dollars en prévision du Mondial 2022 qu'il va accueillir, offre de grandes opportunités pour les sociétés égyptiennes, a indiqué M. Qandil.

Le Qatar, qui détient les troisièmes réserves mondiales de gaz naturel et qui a une capacité de production de gaz naturel liquéfié de 77 millions de tonnes par an, entend diversifier son économie en multipliant et en diversifiant ses investissements dans le monde, notamment en Occident.

http://www.romandie.com/news/n/_Le_Qatar_va_acheter_des_obligations_egyptiennes_pour_3_milliards_de_dollars76100420131553.asp?

Citation :

La Libye accorde à l'Egypte un prêt sans intérêt de 2 milliards de dollars

La Libye va accorder à l'Egypte un prêt sans intérêt de deux milliards de dollars, a rapporté la presse égyptienne jeudi, citant un responsable du ministère des Finances.
Le gouvernement "a signé mercredi un accord définitif avec le gouvernement libyen par lequel il obtient un prêt sans intérêt de deux milliards de dollars dans le but de soutenir le budget de l'Etat et les réserves de devises étrangères", a indiqué ce responsable qui n'a pas été identifié.
"Le prêt sera remboursé sur cinq ans avec une période de grâce de trois ans", a-t-il ajouté.
L'Egypte, confrontée à des difficultés économiques et à une fonte de ses réserves de change, négocie avec le Fonds monétaire international (FMI) un prêt de près de 5 milliards de dollars. Une équipe du FMI était arrivée le 3 avril au Caire dans le cadre des discussions sur ce projet de prêt.
Le Qatar, riche pays gazier du Golfe, a annoncé mercredi qu'il allait acheter des obligations égyptiennes pour 3 milliards de dollars, qui vont s'ajouter à une assistance financière de 5 milliards de dollars.
Le Qatar a déjà fait don d'un milliard de dollars au Caire et placé quatre milliards de dollars en dépôt à la Banque centrale égyptienne.

afp

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Egypte : un soldat hongrois enlevé pendant quelques heures au Sinaï, libéré

Un soldat hongrois appartenant à la Force Multinationale d’Observateurs (FMO) au Sinaï en Egypte a été enlevé pendant quelques heures jeudi par des bédouins armés, selon la police. Il a été libéré après une intervention de leaders tribaux, a-t-elle précisé, en soulignant que les auteurs du rapt n’avaient pas réalisé qu’ils avaient enlevé un membre de la FMO. La Force multinationale a confirmé sa libération. (Agences).

Citation :

Egypt launches its first locally produced smart tablet

gypt unveiled on Thursday its first locally produced smart tablet, under the trademark 'Inar.'


The exact details about the device's capabilities have not revealed yet.

The state-owned electronics firm Katron, which will produce the Egyptian tablet, plans to manufacture 20 million units.

The units worth LE2 billion will be manufactured over the next four years, Minister of Telecommunications and Information Techonology Atef Helmy said on Thursday during the forum to launch Egypt’s ICT Strategy (2013- 2017).

Greater Cairo-based Katron was established in 1964.

Helmy added that the first 10,000 smart units will be produced before the end of this year.

http://english.ahram.org.eg/NewsContent/3/12/69020/Business/Economy/Egypt-launches-its-first-locally-produced-smart-ta.aspx

Ryad a écrit:

Egypt launches its first locally produced smart tablet

gypt unveiled on Thursday its first locally produced smart tablet, under the trademark 'Inar.'

Rassemblé en Egypte et pas produit à 100%, si même Apple importe des semi-conducteurs de Samsung.

Citation :

Deux Frères musulmans vont être jugés pour torture

Deux membres des Frères musulmans vont être jugés à Damanhour, une ville du delta du Nil, pour avoir selon l'accusation enlevé et torturé des étudiants d'opposition en marge des manifestations de novembre dernier, a-t-on appris dimanche auprès du parquet.

Les faits se seraient déroulés au siège du mouvement islamique dans cette ville du nord de l'Egypte.

De grandes manifestations avaient été organisées en novembre dernier par l'opposition pour dénoncer un décret du président Mohamed Morsi, issu des Frères musulmans, interdidant toute contestation judiciaire de ses décisions dans l'attente de l'élection du nouveau Parlement. Le chef de l'Etat avait annulé ce décret le mois suivant.

http://www.zonebourse.com/actualite-bourse/Egypte-Deux-Freres-musulmans-vont-etre-juges-pour-torture--16685986/

atlasonline a écrit:

Ryad a écrit:

Egypt launches its first locally produced smart tablet

gypt unveiled on Thursday its first locally produced smart tablet, under the trademark 'Inar.'

Rassemblé en Egypte et pas produit à 100%, si même Apple importe des semi-conducteurs de Samsung.

+1000 atlas 90% the IPhone contient des produits de Samsung.I y a certain n'ont pas encore atterient

c´est comprehensible,les gens comparent ce qui etait et ce qu´ils endurent avec la deception actuelle,la nostalgie s´installe,un sondage local sur son retour n´interesserait fort

Yakuza a écrit:

c´est comprehensible,les gens comparent ce qui etait et ce qu´ils endurent avec la deception actuelle,la nostalgie s´installe,un sondage local sur son retour n´interesserait fort

mais mon ami ils devraient patienter un peu ....il reste avec sa famille un grand voleur et dictateur et responsable après 30 ans de pouvoir de ce que vit l'egypte actuelle

Quand on remarque les 48% qui ont voté pour Chafik il y a pas photo actuellement l'Egypte est infesté de contre-révolutionnaire, il va falloir tout nettoyer.