Israel:Economie, contrats d’armements, R&D, coopération militaire..

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25/11/2012
https://www.lepoint.fr/monde/le-hamas-combien-de-roquettes-25-11-2012-1533303_24.php

Fremo a écrit:

Tel Aviv a déjà été touché par des roquettes "gazaouies".
Alors, l'Iron Dôme a intercepté un des deux roquettes avec succès.
Les Palestiniens semblent en situation de conflit interne, le tir s'est fait alors qu'une délégation des Services de Renseignements Égyptiens se trouvaient en réunion à Gaza pour discuter justement des mesures a renforcer le cessez-de-feu avec Israël.
Les Kassams n'ont pas reconnu la responsabilité sur ces Tirs et ont promis de punir les responsables. Israël a riposté par des raids aériens nocturnes après avoir demandé aux égyptiens de quitter le territoire. Ces raids ont touché plus de 100 cibles sur l'ensemble du territoire Gaza. Tsahal accuse le Hamas d'etre derrière cette escalade.

Disant que la question de Gaza n'est plus à l'actualité depuis des années face a ce qui se passe dans la région ...

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Corruption: enquête en Allemagne sur les sous-marins vendus à Israël


Berlin, 26 mars 2019 (AFP) -

La justice allemande enquête à son tour sur la vente en 2017 de trois sous-marins militaires à Israël, une transaction entourée de soupçons de corruption visant plusieurs proches du Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu, qui est en pleine campagne électorale, a indiqué le parquet mardi.

"L'examen des articles de la presse internationale a conduit à l'ouverture d'une enquête contre X", a déclaré à l'AFP un porte-parole du parquet de Bochum, spécialiste de la délinquance économique et financière, sans plus de précisions.

Le quotidien Handelsblatt avait affirmé lundi que la justice allemande s'était saisie du dossier sur la demande de la justice israélienne, qui mène depuis la fin 2016 une enquête aux ramifications politiques sur ce gros contrat militaire.

L'affaire dite "3.000" porte sur des soupçons de corruption autour de la vente par l'Allemagne à Israël de sous-marins militaires et autres bateaux conçus par le géant industriel allemand ThyssenKrupp, pour une somme d'environ deux milliards de dollars.

Le dernier rebondissement remonte à la semaine passée, avec l'arrestation de l'homme d'affaires qui représentait ThyssenKrupp en Israël, Michael Ganor. Il avait dans un premier temps reconnu avoir touché des pots de vin et accepté de livrer des informations sur d'autres suspects, avant de revenir sur cette version.

Le scandale menace par ailleurs le chef du gouvernement, Benjamin Netanyahu: plusieurs de ses proches sont directement mis en cause, et son principal rival Benny Gantz a réclamé la semaine dernière de nouvelles investigations sur l'implication directe du Premier ministre.

https://www.marine-oceans.com/actualites/17920-corruption-enquete-en-allemagne-sur-les-sous-marins-vendus-a-israel

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Benyamin Nétanyahou échoue à former une coalition, vers de nouvelles élections en Israël
La Knesset a voté sa dissolution, dans la nuit de mercredi à jeudi, provoquant la convocation de nouvelles élections législatives le 17 septembre.

Le Parlement israélien a voté pour sa propre dissolution, dans la nuit du mercredi 29 au jeudi 30 mai, moins de deux mois après avoir été élu et pour de nouvelles élections le 17 septembre, un scénario inédit dans l’histoire du pays.

La Knesset a voté pour sa dissolution en deuxième et troisième lectures par 74 voix pour et 45 contre, à l’instigation du Likoud du Premier ministre Benyamin Nétanyahou. Ce dernier, incapable de former une coalition de gouvernement avec les partis de droite arrivés en tête des législatives du 9 avril, a préféré renvoyer les Israéliens aux urnes pour la deuxième fois en moins de cinq mois plutôt que de voir le président Reuven Rivlin donner sa chance à un autre député.

https://www.lemonde.fr/international/article/2019/05/29/benyamin-netanyahou-echoue-a-former-une-coalition-vers-de-nouvelles-elections-en-israel_5469332_3210.html

Fahed64 a écrit:

Il y a des signes pour ceux qui réfléchissent

Citation :

Benyamin Nétanyahou échoue à former une coalition, vers de nouvelles élections en Israël
La Knesset a voté sa dissolution, dans la nuit de mercredi à jeudi, provoquant la convocation de nouvelles élections législatives le 17 septembre.

Le Parlement israélien a voté pour sa propre dissolution, dans la nuit du mercredi 29 au jeudi 30 mai, moins de deux mois après avoir été élu et pour de nouvelles élections le 17 septembre, un scénario inédit dans l’histoire du pays.

La Knesset a voté pour sa dissolution en deuxième et troisième lectures par 74 voix pour et 45 contre, à l’instigation du Likoud du Premier ministre Benyamin Nétanyahou. Ce dernier, incapable de former une coalition de gouvernement avec les partis de droite arrivés en tête des législatives du 9 avril, a préféré renvoyer les Israéliens aux urnes pour la deuxième fois en moins de cinq mois plutôt que de voir le président Reuven Rivlin donner sa chance à un autre député.

https://www.lemonde.fr/international/article/2019/05/29/benyamin-netanyahou-echoue-a-former-une-coalition-vers-de-nouvelles-elections-en-israel_5469332_3210.html

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La justice de l'UE valide l'étiquetage "colonies israéliennes", au grand dam d'Israël


Photo d'illustration AFP

AFP 12/11/2019

Les denrées alimentaires originaires des Territoires occupés par Israël doivent le mentionner et préciser si elles proviennent d'une colonie israélienne, a décidé mardi la justice européenne au nom de l'information des consommateurs, une décision rejetée par Israël mais qui ne va pas assez loin pour les Palestiniens.

Selon la Cour, la mention du territoire d'origine de ces denrées est obligatoire au vu d'un règlement européen de 2011 "afin d'éviter que les consommateurs ne puissent être induits en erreur quant au fait que l'Etat d'Israël est présent dans les territoires concernés en tant que puissance occupante et non pas en tant qu'entité souveraine". A l'origine de ce jugement, dont la portée concerne tous les Etats membres, figure une décision contestée du ministère français de l'Economie en novembre 2016 obligeant à un étiquetage différencié des produits provenant des Territoires occupés par Israël. Elle avait été prise en application du règlement européen sur l'information des consommateurs.

En 2015, la Commission avait publié une "notice interprétative" sur l'indication d'origine des marchandises en provenance des Territoires occupés par Israël depuis juin 1967 et approuvé la mise en oeuvre de l'étiquetage controversé.

La décision du ministère français avait été dénoncé comme "discriminatoire" par le Conseil représentatif des institutions juives de France (Crif) au motif qu'il aurait renforcé le mouvement palestinien BDS (Boycott, Désinvestissement, Sanctions).

Saisi d'un recours en annulation par l'Organisation juive européenne (OJE) et la société de vins casher Psagot, le Conseil d'Etat français s'en était remis à la justice européenne. La Cour européenne a suivi l'avis favorable à un tel étiquetage de l'avocat général. Ce dernier avait fait valoir qu'outre les critères sanitaires ou écologiques d'un produit, les "considérations éthiques" sont également susceptibles d'"influencer le choix des consommateurs". Un argument repris par la Cour mardi. Elle a souligné que l'information des consommateurs doit leur permettre de "se décider en toute connaissance de cause et dans le respect non seulement de considérations sanitaires, économiques, écologiques ou sociales mais également d'ordre éthique ou ayant trait au respect du droit international".

L'UE contre le boycott

L'arrêt de la Cour "confirme, comme le dit la notice de la Commission, que les indications d'origine des produits provenant des colonies doivent être exactes et ne pas induire en erreur le consommateur", a réagi une porte-parole de la Commission. Elle a rappelé que la mise en oeuvre de cet étiquetage relevait des Etats membres. Elle a dans le même temps souligné que l'UE ne "soutient aucune forme de boycott ou de sanctions contre Israël" et qu'elle rejetait les actions du mouvement BDS en vue d'"isoler" ce pays.

Sans surprise, la décision de la Cour a été "rejetée fermement" par Israël, tandis que les Palestiniens souhaitent aller plus loin en interdisant ces produits. "Le seul but de la décision est de cibler Israël et d'appliquer deux poids deux mesures contre lui", a critiqué le ministère israélien des Affaires étrangères.

L'Organisation de Libération de la Palestine (OLP), elle, a salué la décision de la Cour basée à Luxembourg, appelant "tous les pays européens à mettre en oeuvre cette obligation légale et politique", et souhaitant que ces produits "soient bannis des marchés internationaux".
"L'étiquetage des produits ne suffit pas. Nous demandons l'interdiction de ces produits sur le territoire européen", lui a fait écho BDS France.

Le Crif a regretté une "décision discriminatoire et intolérable". "On sait qu'il existe d'autres types de conflits territoriaux, par exemple entre le Tibet et la Chine, et Israël est le seul pays pour lequel on demande un double étiquetage. Une telle décision va renforcer le mouvement BDS qui va l'utiliser pour dire sa haine de l'Etat d'Israël", a-t-il déploré.

Selon l'UE, cet étiquetage est obligatoire pour les fruits et légumes frais, le vin, le miel, l'huile d'olive, les œufs, la volaille, les produits d'origine biologique et les cosmétiques.

L'Union européenne est le premier partenaire commercial d'Israël, avec des échanges se montant à environ 36,2 milliards d'euros en 2017. Les importations d'Israël vers l'UE se sont elles montées à environ 14,7 milliards d'euros la même année. La Commission n'a pas de statistiques officielles sur les importations en provenance des colonies, mais estime qu'elles représentent "moins de 1%" du volume total.

https://www.lorientlejour.com/article/1194720/la-justice-europeenne-valide-letiquetage-colonies-israeliennes.html

Citation :

https://lepetitjournalmarocain.com/2020/05/21/video-le-fils-dun-general-israelien-explique-en-quoi-larmee-israelienne-est-une-organisation-terroriste/

Haaretz a écrit:

AI Is the Next National Security Frontier, but Israel May Be Losing Its Edge

A new national defense study recommends setting up an agency like the National Cyber Directorate to take charge of integrating artificial intelligence into the defense establishment and make sure Israel doesn't fall behind

Developing a national strategy for artificial intelligence, including its ethical aspects, is critical for Israel’s future security, a study published last week by the Institute for National Security Studies argued.

“Proper management of the field of artificial intelligence in Israel holds great potential for preserving and improving national security,” wrote Dr. Liran Antebi, an INSS research fellow, in the Hebrew-language study, which was prepared with assistance from experts in the high-tech industry, the defense establishment, the government and academia.

Titled “Artificial intelligence and Israeli national security,” the study starts from the assumption that AI will eventually be of decisive importance worldwide in terms of both economics and security, especially if predictions that AI’s capabilities will someday exceed human ones prove accurate.

“Artificial intelligence will create a new industrial revolution of the greatest scope in history,” Antebi wrote. And this will naturally widen the gaps between countries with high technological capabilities and those that are left behind.

Drones & big data

The study detailed numerous military applications, both extant and future, for AI. One example is autonomous weapons systems like robots and drones that are capable of searching for, identifying and attacking targets independently, with almost no human involvement.

But the revolution won’t take place only on the battlefield, the study noted. Other examples include intelligence systems capable of processing vast quantities of video footage to identify targets autonomously; autonomous vehicles; drone swarms; improved logistics systems; cyberwarfare and cyber-defense; planning, decision making, command and control; and brain-machine interface (controlling machines and computers via the brain).

Therefore, the study argued, Israel must define AI as a strategic goal. To keep Israel from being left behind, decision makers must become familiar with the field and set policies that will enable it to cope with the enormous competition that is emerging and preserve its competitive advantage.

The study’s main recommendation is to draft a national strategy and then set up an agency to manage its implementation, based on a multiyear plan that includes funding allocations.

“A field this important shouldn’t be left to market forces,” Antebi wrote. “Israel can’t allow itself to delay, because a failure in this field may well have serious ramifications.”
In recent years, two committees have been established with the goal of developing a national strategy and attendant policies for AI. The first was headed by Orna Berry and the second by Isaac Ben-Israel and Eviatar Matania. But the latter committee’s preliminary conclusions were harshly criticized by several government agencies after being reported in the media.

Antebi argued that it’s essential to set up an operative agency similar to the National Cyber Directorate, with a special emphasis on integrating AI into the defense establishment.
Many countries – primarily China, the United States and some European states – have already developed national strategies for AI and allocated funding for them, the study noted. As one example, Antebi cited the Joint Artificial Intelligence Center set up by the U.S. Department of Defense in 2018 to coordinate efforts to develop and apply AI systems.

In 2019, U.S. President Donald Trump signed an executive order for the American AI Initiative, whose goal is to promote AI technology. The Defense Department said that by 2023, it will invest $2 billion in projects in this field.

Haaretz has also reported in the past that the United Arab Emirates is trying to position itself as leader in this field and even have an AI minister.

National security multiplier

The study argued that Israel must encourage greater integration of AI capabilities in the defense establishment – the army, other security agencies and defense industries – in fields such as cyber, drones and intelligence.

“Israel has a comparative advantage in technological fields, among other things in unmanned vehicles and cyber, which are significant defense fields,” it said. “Integrating them with AI as a force multiplier could greatly assist Israel in preserving and augmenting its national security, both through military means and due to its other economic and international ramifications.”

Nevertheless, the study warned, the army and the defense establishment are having trouble keeping up with changes in the field. This is primarily due to the small amount of defense funding earmarked specifically for AI, as well as the difficulty of retaining high-quality personnel due to competition from the private sector.

Moreover, Antebi noted, there is bureaucratic resistance within the defense establishment to rapid technological change – a problem typical of many large organizations. This is evident in its reliance on “legacy” systems that it has used for many years. Such systems are very hard to replace.

She therefore recommended creating structural models that will enable the defense establishment to keep up with the pace of change – something that will require the system to be more flexible.

She also advised investing in training designated personnel and allocating funding to incentivize talented people to stay in the army. In addition, she wrote, it’s necessary to train people who aren’t high-tech experts to ensure that the spine of the army’s chain of command is acquainted with AI.

A competitive advantage

Antebi’s study poses a challenge that may come as a surprise to many people. The defense establishment, she wrote, “Does almost no independent research and development that creates a basis for future capabilities.” Instead, it relies on technology developed by commercial companies and academia.

Consequently, she recommended that the defense establishment invest more resources in basic research in general, and particularly in research and development in areas of AI where Israel already has a competitive advantage, like drones and cyber.

Another recommendation was to set up an orderly system for monitoring and analyzing the progress different players have made on AI and encouraging information sharing within the defense establishment.

The prospect of AI being integrated into the defense establishment naturally rouses quite a few fears. We’re all familiar with the horrific scenarios from science fiction films – smart systems that get out of control and do things for their own reasons. That isn’t likely to happen anytime soon, but the study did warn against integrating AI into the army too quickly, without any ability to understand the system and the factors that lead it to make decisions.

For instance, albeit in the context of the police rather than the army, it has become clear in recent years that existing facial recognition technologies discriminate against minorities. Very troubling scenarios obviously arise if smart weapons or intelligence systems were to be encoded with the same biases against minorities.

The study also discussed the moral dilemmas inherent in war in this regard. It noted that some people believe AI would be able to make better and more accurate decisions during combat, since it wouldn’t be influenced by fear, fatigue or other emotions (like hatred) that affect human beings. But others argue that without human emotions, it’s impossible to make proper moral decisions about the use of the military, such as refraining from attacking civilian targets and not employing disproportionate force against the enemy.

Therefore, the study recommended that standards and supervisory mechanism be based on ensuring safety – i.e., on ensuring that any AI tools developed comply with existing norms and principles. This should include drafting a code of ethics for the defense establishment’s use of AI, Antebi said.

She also recommended focusing research and development into AI on tools that assist people rather than replacing them until the safety and reliability of the technology has been proven. Finally, she advised that the administrative and legal questions arising from the use of AI systems be addressed as soon as possible.

Earlier today, Rafael announced that it was awarded a $200 million contract to provide SPICE 2000 air-to-surface systems, SPIKE ATGMs, and the BNET communications system to an Asian country.

— RAFAEL Defense Systems (@RAFAELdefense) December 23, 2020

The EurAsian Times a écrit:

Israel Delivers Second Batch Of Iron Dome Missile Defense Systems To The United States

According to the information published by the Israeli Ministry of Defense, the United States has received the second battery of the Iron Dome air defense systems from Israel, in accordance with a deal signed by the two countries.

The US had signed a deal in September last year for the procurement of two Iron Dome batteries for evaluation and subsequent deployment to defend its critical installations from aerial threats under the name Iron Dome Defense System Batteries (IDDS-A).

The systems delivered are specifically tailor-made according to the American requirements. The first battery was delivered back in September last year.

“I am confident that the system will assist the US Army in protecting American troops from ballistic and airborne threats as well as from developing threats in the areas where US troops are deployed on various missions,” Defense Minister Benny Gantz said in a statement.

The Iron Dome is a mobile all-weather air defense system co-developed by the Israeli companies Rafael and IAI and is a part of a multi-layered Israeli air defense system which includes Arrow missiles, Iron Beam, Barak-8 and David’s Sling.

While the ‘layers’ are being developed, the Iron Dome practically serves as the country’s primary air defense system.

The system is designed to intercept and destroy short-range rockets and even artillery shells fired from distances of 4 kilometers to 70 kilometers away and whose trajectory would take them to an Israeli populated area.

Much like other systems, Iron Dome also features three primary units; a detection radar, battlefield management & fire control system, and missile-firing units.

However, contrary to a conventional system where all these three systems are placed together to function as one unit, Iron Dome is built to deploy in a scattered pattern.

Each launcher, containing 20 interceptors, is independently deployed and operated remotely via a secure wireless connection. Reportedly, each Iron Dome battery is capable of protecting an urban area of approximately 150 square kilometers.

Iron Dome went from the drawing board to combat readiness within less than four years, a remarkably short period of time for a weapons system designed from scratch, according to military experts.

The system is perhaps the most efficient in its category, with intercepting over 85% of the targets against which it was used.

Within a decade of service, Iron Dome has intercepted over 2,400 projectiles, which could have otherwise landed in populated areas and kill hundreds. Israel faces continuous artillery attacks from its troubled borders with Syria and Gaza.

According to The Times of Israel, Rafael announced that it was partnering with the American defense contractor Raytheon to open an Iron Dome production line in the United States, a sign that further US deals were in the offing.

https://twitter.com/IDF/status/1367827185352970246 a écrit:

מפא"ת, זרוע היבשה בצה"ל ואלביט מערכות השלימו לאחרונה סדרת ניסויי ירי מוצלחת בפצצת מרגמה מדויקת מונחית לייזר ו-GPS. הסדרה חותמת את שלב הפיתוח של הפצמ"ר, "עוקץ פלדה", לקראת המסירה לצה"ל. הפצמ״ר נועד לאפשר אש מדויקת וקטלנית בשטחים פתוחים ובמתחמים אורבניים, תוך צמצום נזק היקפי. pic.twitter.com/CJscK2zBbw

— משרד הביטחון (@MoDIsrael) March 14, 2021

https://twitter.com/EdyCohen/status/1371489657184268293 a écrit:

https://www.lepoint.fr/monde/legislatives-en-israel-le-likoud-de-benjamin-netanyahu-en-premiere-place-23-03-2021-2419114_24.php a écrit: