Guerre Civile en Syrie

Rappel du premier message :

peur,demoralisation and poor training,c´est typique de ces pays

Samyadams a écrit:

Les sionistes ne sont pas sûrs que les tirs qu'ils auraient subis proviennent des soldats syriens, mais c'est sur eux qu'ils ont tiré...
Les jihadistes devraient en être très reconnaissants ! C'est bizarre, d'ailleurs, qu'ils ne se sentent pas gênés de se battre du même côté que les sionistes

De manière général:
Arrêter d’être obsédés par les sionistes! C'est pas parce que les sionistes ont les memes interets qu'on doit s'abstenir de faire tel ou tel choses, aujourd'hui on doit chercher nos interets dans l'obeissance a dieu, ce que gagne les sionistes ne nous concerne pas, prend exemple sur le Prophète (saws) et les califes bien-guidés qui ont combattu l'empire perse bien que cela arrangé les bizantins!

Michel Kilo 2-0 Qatar

Citation :

A partir de 32:00

Citation :

Ryad a écrit:

Cette phrase me fait rappeler ce discours de Kadhafi
https://www.youtube.com/v/FHgFuPvPr4o

Cette phrase sonne faux dans sa bouche, lui a qui a semer la fitna parmi ses freres et voisins...

ibnbattuta a écrit:

De manière général:
Arrêter d’être obsédés par les sionistes! C'est pas parce que les sionistes ont les memes interets qu'on doit s'abstenir de faire tel ou tel choses, aujourd'hui on doit chercher nos interets dans l'obeissance a dieu, ce que gagne les sionistes ne nous concerne pas, prend exemple sur le Prophète (saws) et les califes bien-guidés qui ont combattu l'empire perse bien que cela arrangé les bizantins!

+1, consequences psycologiques de nos raclees en serie militairement, economiquement, ect...
L'occidental et l'israelien est devenu pour certains un surhomme.
On voit la CIA et Israel partout, au lieu de chercher en nous la cause veritable de nos defaites.

il dit votre tour viendra ; il pensait qu il était hors d atteinte lui

B-9 c'est le spg 9

Citation :

ibnbattuta a écrit:

De manière général:
Arrêter d’être obsédés par les sionistes! C'est pas parce que les sionistes ont les memes interets qu'on doit s'abstenir de faire tel ou tel choses, aujourd'hui on doit chercher nos interets dans l'obeissance a dieu, ce que gagne les sionistes ne nous concerne pas, prend exemple sur le Prophète (saws) et les califes bien-guidés qui ont combattu l'empire perse bien que cela arrangé les bizantins!

Mon rejet des jihadistes ne découle pas en premier lieu de leur alliance avec les sionistes, même si c'est une autre bonne raison de les rejeter, ce sont leurs actes terroristes, dont nous avons été également victimes au Maroc -rappelez-vous un certain 16 mai 2003-, qui justifie ma position à leur égard partout ou ils commettent leurs crimes. Les vidéos ou on les voit en Syrie égorger des prisonniers, mettre un sabre dans les mains d'un gamin et le pousser à trancher la tête d'un prisonnier, ce sont là les raisons qui me poussent à les rejeter. Leur complicité avec les sionistes est d'ailleurs inhérente à leur existence même.
Les propagandistes du jihadisme auront beau tenter de manoeuvrer pour faire coller l'étiquette de pro-Assad à tous ceux qui rejettent les jihadistes, les crimes de ces derniers, d'ailleurs revendiqués haut et fort, font que nombre de musulmans les verront toujours comme des fous dangereux qui ternissent l'image de l'Islam.

le problème avec les jihadistes est qu'ils chercheront toujours un ennemi pour se battre . ils considèrent que le combat est une fin en soi et non un moyen à court terme !

Samyadams a écrit:

ibnbattuta a écrit:

De manière général:
Arrêter d’être obsédés par les sionistes! C'est pas parce que les sionistes ont les memes interets qu'on doit s'abstenir de faire tel ou tel choses, aujourd'hui on doit chercher nos interets dans l'obeissance a dieu, ce que gagne les sionistes ne nous concerne pas, prend exemple sur le Prophète (saws) et les califes bien-guidés qui ont combattu l'empire perse bien que cela arrangé les bizantins!

Mon rejet des jihadistes ne découle pas en premier lieu de leur alliance avec les sionistes, même si c'est une autre bonne raison de les rejeter, ce sont leurs actes terroristes, dont nous avons été également victimes au Maroc -rappelez-vous un certain 16 mai 2003-, qui justifie ma position à leur égard partout ou ils commettent leurs crimes. Les vidéos ou on les voit en Syrie égorger des prisonniers, mettre un sabre dans les mains d'un gamin et le pousser à trancher la tête d'un prisonnier, ce sont là les raisons qui me poussent à les rejeter. Leur complicité avec les sionistes est d'ailleurs inhérente à leur existence même.
Les propagandistes du jihadisme auront beau tenter de manoeuvrer pour faire coller l'étiquette de pro-Assad à tous ceux qui rejettent les jihadistes, les crimes de ces derniers, d'ailleurs revendiqués haut et fort, font que nombre de musulmans les verront toujours comme des fous dangereux qui ternissent l'image de l'Islam.

Amalgames, discours populiste, demagogique....
Tu ferais un bon politicien.

Et toi tu fais honneur à ton éducation de bon musulman

et si tu sortais de vrais arguments ibn battuta, ca serait pas mal, essaye je suis sur que t'aimerais.

les pseudo-religieux me font rire car ils "re"-tombent dans les même schémas politique du 20 éme siècle, ils préfèrent s'allier aux conservateurs d'autres religions pour abattre les progressistes bien de chez eux, le problème est qu'une alliance n'est viable que si les deux alliés sont de forces comparables, pas comme nos enturbannés qui se font bouffer par les occidentaux et avec le sourire en plus, moi je ne me fais pas d'illusion, la prochaine guerre chez nous sera progressistes vs conservateurs, car l'OPA qu'essaient de faire certains barbus sur la région finira par casser les cou***** à des peuples qui veulent une meilleure vie.

En fait les barbouzes justifient tout et n'importe quoi par la religion et ils ne se sentent même pas obligés d'être cohérents, la guerre du golf 1 c'est du jihad contre les chiites et Saddam est le nouveau saladin, jusque là rien de choquant, mais retrouver les mêmes personnes te dire la guerre du golf 2 est halal parce que Saddam c'est le nouveau abraha, et légitimer le saccage de l'Irak et son anéantissement, ca me laisse sur le C*L, Israël c'est le plus grand danger de la région, mais il faut combattre les chiites qui combattent Israël, des imams qui prient pour la destruction des Koufars tout les jours, mais qui ne disent rien sur le fait de leur vendre du pétrole ou leur acheter des armes, bref la seule chose qui est cohérente dans l'action du courant religieux, c'est la déstabilisation de tout pays qui ne sont pas leur vassaux, Algérie, Egypte (année 80-90), la somalie actuellement, l'Irak jusqu'à maintenant, le hold up sur la révolution syrienne, le Yémen du temps de la guerre civile, bref dès qu'il y a un mouvement progressiste ils lui coupent la tête, et ils trouveront toujours une batterie de "Oulémas" pour sortir une justification toute prête, alors M ibn battuta si l'histoire ne t'as rien appris évite de donner des leçons aux autres

pyromane a écrit:

et si tu sortais de vrais arguments ibn battuta, ca serait pas mal, essaye je suis sur que t'aimerais.

les pseudo-religieux me font rire car ils "re"-tombent dans les même schémas politique du 20 éme siècle, ils préfèrent s'allier aux conservateurs d'autres religions pour abattre les progressistes bien de chez eux, le problème est qu'une alliance n'est viable que si les deux alliés sont de forces comparables, pas comme nos enturbannés qui se font bouffer par les occidentaux et avec le sourire en plus, moi je ne me fais pas d'illusion, la prochaine guerre chez nous sera progressistes vs conservateurs, car l'OPA qu'essaient de faire certains barbus sur la région finira par casser les cou***** à des peuples qui veulent une meilleure vie.

En fait les barbouzes justifient tout et n'importe quoi par la religion et ils ne se sentent même pas obligés d'être cohérents, la guerre du golf 1 c'est du jihad contre les chiites et Saddam est le nouveau saladin, jusque là rien de choquant, mais retrouver les mêmes personnes te dire la guerre du golf 2 est halal parce que Saddam c'est le nouveau abraha, et légitimer le saccage de l'Irak et son anéantissement, ca me laisse sur le C*L, Israël c'est le plus grand danger de la région, mais il faut combattre les chiites qui combattent Israël, des imams qui prient pour la destruction des Koufars tout les jours, mais qui ne disent rien sur le fait de leur vendre du pétrole ou leur acheter des armes, bref la seule chose qui est cohérente dans l'action du courant religieux, c'est la déstabilisation de tout pays qui ne sont pas leur vassaux, Algérie, Egypte (année 80-90), la somalie actuellement, l'Irak jusqu'à maintenant, le hold up sur la révolution syrienne, le Yémen du temps de la guerre civile, bref dès qu'il y a un mouvement progressiste ils lui coupent la tête, et ils trouveront toujours une batterie de "Oulémas" pour sortir une justification toute prête, alors M ibn battuta si l'histoire ne t'as rien appris évite de donner des leçons aux autres

etre un prgressiste c'est accepeter les boites gay , porno et compagnie

c'est ça le progrès pour toi?

dis laïc mais s'il te plait pas ce mot progressiste qui ne veut rien dire

pyromane a écrit:

et si tu sortais de vrais arguments ibn battuta, ca serait pas mal, essaye je suis sur que t'aimerais.

les pseudo-religieux me font rire car ils "re"-tombent dans les même schémas politique du 20 éme siècle, ils préfèrent s'allier aux conservateurs d'autres religions pour abattre les progressistes bien de chez eux, le problème est qu'une alliance n'est viable que si les deux alliés sont de forces comparables, pas comme nos enturbannés qui se font bouffer par les occidentaux et avec le sourire en plus, moi je ne me fais pas d'illusion, la prochaine guerre chez nous sera progressistes vs conservateurs, car l'OPA qu'essaient de faire certains barbus sur la région finira par casser les cou***** à des peuples qui veulent une meilleure vie.

En fait les barbouzes justifient tout et n'importe quoi par la religion et ils ne se sentent même pas obligés d'être cohérents, la guerre du golf 1 c'est du jihad contre les chiites et Saddam est le nouveau saladin, jusque là rien de choquant, mais retrouver les mêmes personnes te dire la guerre du golf 2 est halal parce que Saddam c'est le nouveau abraha, et légitimer le saccage de l'Irak et son anéantissement, ca me laisse sur le C*L, Israël c'est le plus grand danger de la région, mais il faut combattre les chiites qui combattent Israël, des imams qui prient pour la destruction des Koufars tout les jours, mais qui ne disent rien sur le fait de leur vendre du pétrole ou leur acheter des armes, bref la seule chose qui est cohérente dans l'action du courant religieux, c'est la déstabilisation de tout pays qui ne sont pas leur vassaux, Algérie, Egypte (année 80-90), la somalie actuellement, l'Irak jusqu'à maintenant, le hold up sur la révolution syrienne, le Yémen du temps de la guerre civile, bref dès qu'il y a un mouvement progressiste ils lui coupent la tête, et ils trouveront toujours une batterie de "Oulémas" pour sortir une justification toute prête, alors M ibn battuta si l'histoire ne t'as rien appris évite de donner des leçons aux autres

Si je sortais mes vrais arguments, je me ferais censuré! Mes arguments c'est le Coran et la sunnah! Et j'en ai des tas et des tas, mais les gens tels que toi préfère marcher sans GPS, ou en prenant compte des théories fumeuse sortie tout droit des cerveaux des mécréants, alors que rien n'arrivera de bon, tant que vous continuez a suivre un ou des modèles qui ne sont pas les nôtres!

Encore une fois tu mélange tout, tu passe de Saddam à la Syrie en passant à la Somalie, comme si toutes ces situations se ressemblait ou était les mêmes. Je connais cette technique dans un débat, noyé l'adversaire (et donc le debat) par des arguments conjectures tout azimut qui n'ont rien a voir les uns et les autres. Je te renvoi donc ton conseil: Sort de vrais arguments, suivi de preuves et tu appréciera!

Les chiites sont plus dangereux que les israéliens, car Israël = ennemi identifié, les chiites sont des ennemis de l’intérieur, tu devrais savoir que les califes bien guidés ont d'abord combattu les tribus hérétique après la mort du prophète avant de s'attaquer a l'empire perse et byzantins!
Si tu avais étudier la vie de Khalid ibn walid, modèle de stratège par excellence, tu aurais su qu'il ne laissait jamais son flanc a un potentiel ennemi de l’intérieur. Il traitait d'abord la menace, avant de s'attaquer au gros morceaux.

Je n'apprend pas de l'histoire mon cher ami, mais de celui qui fait l'histoire: Ton seigneur. Lui nous a expliquer la raison de tout cela. Mais tu reste sourd. Je ne peux rien pour toi
Tu parles de vendre du pétrole a nos ennemis, comme si c’était interdit, sais tu que le prophète faisait du commerce avec ses ennemis? Était il un imbécile? Apprend d'abord ta religion ET l'histoire de nos califes puis viens me donner des leçons après ça.

Sortir des arguments d'autorité restera l'ultime recours du courant religieux, dieu a dit et le prophète a dit, suivi de toute une série d’interprétation qu'ils ne prennent même la peine d'en vérifier la cohérence, moi je préfère ne pas avoir de GPS qu'à avoir un GPS jammé, Notre histoire nous apprend que les plus grands empires de notre civilisation se sont construit dans un climat de liberté de conscience et de tolérance, et pas en transposant à la lettre des interprétations qui datent du 7eme siècle, un abou nawass, un maarri ou un Ibn Rochd n'auraient jamais pu écrire ou penser dans une société comme nous proposent nos frères salafistes, nous avons été puissant car notre civilisation était inclusive et tolérante, et s'occupait plus d'instruire le peuple que de couper les mains des voleurs, et même la renaissance moderne est née dans l’Égypte ouverte du 19éme siècle et pas dans le désert des wahhabites, si on compare les bilans des pays de la région on voit un clair succès des pays qui ont opté pour une société civile ou la religion n'est qu'une partie mais pas le tout, connais tu des scientifique saoudiens, qataris, omanais .... ?? par contre des égyptiens, des syriens ou des irakiens se ramassent à la pelle, c'est grâce au coran peut être ?? Non car tout simplement le Coran n'a jamais prétendu être la solution à tous les problèmes, si moi je propose de s'inspirer de modèle venus de chez les "mécréants " tout ce que t'as à m'opposer c'est un modèle qui date du 7ème siècle, et tu oses me dire dans les yeux que c'est LA solution (sans trembler du menton ), en ayant pour seul argument ton interprétation des textes sacrés, le fait que ca soit ta croyance n'en fait pas un argument, même le prophète écoutait les conseils des experts en tout domaine de la vie, et la fois ou il a contredit les conseils des ansars, les musulmans se sont pris une raclée à ouhoud, donc un peu d'humilité de la part des religieux ne nous ferait pas de mal, au lieu de crier à tout le monde qu'ils détiennent toute la vérité et tout le savoir.

Messieurs,

Si vous transformez ce topic en Medersa, nous allons le clore.
Conflit syrien et rien d'autre
Et il n'est pas question que vous poursuiviez cet échange sur un autre topic.

PGM

Citation :

Regional rivalries driving Syria's opposition divides

Divisions in the ranks of Syria's opposition are being driven by rivalries between two powerful regional axes -- one led by Turkey and Qatar and the other by Saudi Arabia backed by Washington, experts say.
Competition over money and weapons is adding to the growing tension between the two camps, they say.
Syrian opposition chief Ahmad Moaz al-Khatib, speaking at an Arab League summit in Doha on Tuesday, lashed out at regional attempts to steer the uprising against President Bashar al-Assad's regime.

"Our people are paying for their freedom with blood," said Khatib, head of the opposition Syria National Coalition.
"The people of Syria will decide [their future], not any other state in this world," he added, as the opposition for the first time took up Syria's vacant seat in the Arab League.
His comments came on the same as some 70 prominent Syrian dissidents criticized the role of the Muslim Brotherhood in the Coalition and accused regional governments of "hegemony" over the body.

Both Qatar and Saudi Arabia, which back rebels on the ground in Syria fighting Assad's forces, have been accused of interfering in the Coalition's decisions.
Without explicitly mentioning the Brotherhood, the dissidents criticized "the conflicts between Coalition leaders, the dictatorial control exercised by one of its currents over its decisions and actions, and the flagrant hegemony of diverse Arab and regional players."

Ziad Majed, Paris-based professor of political science, ascribed the tension to "two pro-revolt axes... which play an essential role in providing arms and other support".
"The Qatari-Turkish axis backs the Muslim Brotherhood, and the Saudi axis is in harmony with the United States. This has an impact on the political opposition and on the armed groups' loyalties," Majed said.

At a meeting of the Coalition in Istanbul meeting last week, arguments raged between opposition forces who believe it is necessary to set up an interim government in anticipation of Assad's fall, and those who back the idea of creating an executive body with limited powers.
When Ghassan Hitto was chosen as Syria's first rebel premier, several dissidents slammed him as "Qatar's candidate", and a dozen Coalition members suspended their membership in the group.

"Differences over Hitto were not necessarily personal or over the fact that he is unknown both in Syria and abroad," said Majed.
"The US-Saudi axis believed it would be better to take the creation of a government slowly, while the Qatari-Turkish axis pushed for a speedy process and for Hitto's election."
The role played by oil-rich countries and Syria's neighbor Turkey, which dreams of becoming a regional superpower, also impacts military developments on the ground.

"After the Istanbul meeting, the Saudis told opposition members that they were unhappy with Hitto's election, pushing the [mainstream rebel] Free Syrian Army to express its disapproval of the rebel premier," a top dissident told AFP.
Rebels fighting Assad's troops in Daraya near Damascus told AFP that at the start of this year they were about to lose control of their town as the army pressed a blistering offensive.

-- "Arms pouring in' --

"Just then, Khatib proposed engaging in talks with regime officials [to negotiate an end to the conflict], and arms started pouring in," a rebel said.
"That means weapons are ready at the border. As Qatar and Turkey disapproved of Khatib's initiative, they allowed weapons to pour in, provoking an escalation on the ground and delegitimizing Khatib's initiative," he added.
An Arab expert on Syria said weapons shipped by Qatar are mostly being transported via Turkey into the hands of armed groups with links to the Muslim Brotherhood.

The Saudis are meanwhile arming defectors who have set up military councils, "for fear of the growing influence of radical Islamists", the expert said.
The United States backs the Saudi line. Saudi weapons are mostly being shipped into Syria via the Jordanian border.
Extremist fighters such as Al-Nusra Front are meanwhile being backed by individuals and organizations based in other Gulf countries such as Kuwait and the United Arab Emirates, the expert said, requesting anonymity.
The media has also played a significant role in the undeclared regional war, mainly through satellite channels Al-Jazeera, which is based in Qatar, and Al-Arabiya, which is Saudi-funded.

Opponents to Hitto's election now have an open platform in Al-Arabiya, while Al-Jazeera celebrated the "hospitality" with which the rebel premier was welcomed in Aleppo by the Muslim Brotherhood-affiliated Liwa al-Tawhid.
"This conflict shows no signs of dying out after Assad's fall. Who will rule Syria? Will it be the Muslim Brotherhood, as in Egypt and Tunisia? Will it be someone else? Who will influence Syria's foreign policy? Who will win the biggest reconstruction contracts?" asked Majed.

And more than two years into a war that has already killed at least 70,000 people, it appears Syria's civilians will continue to pay the heftiest price.

afp

vipsdesvips a écrit:

"Our people are paying for their freedom with blood," said Khatib, head of the opposition Syria National Coalition.

Que Dieu vous aide , contre les extrémistes , si Assad tombe . le mot freedom est très mièleux , mais ici ...c'est pas "Bravheart" avec Mel Gibson

Citation :

La coalition nationale syrienne salue les efforts du Maroc en faveur de la révolution syrienne


DOHA (Art19) - Un membre de la coalition nationale syrienne, Abdelbasset Sieda, a salué les efforts consentis par le Maroc en faveur de la révolution syrienne et de sa résistance.

« Le Maroc déploie des efforts louables en faveur de la révolution syrienne et nous remercions SM le Roi Mohammed VI et le gouvernement marocain pour les mesures qui ont été prises en vue de garantir la réussite de la réunion du groupe des amis du peuple syrien tenue dernièrement à Marrakech », a déclaré Seida, en marge des travaux de la 24è session ordinaire du Sommet arabe dont les travaux ont commencé mardi à Doha.

« Nous coordonnons avec nos frères au Maroc pour traduire les promesses, exprimées lors de la réunion de Marrakech, en actes concrets », a-t-il ajouté.
Seida a hautement salué la décision de la Ligue arabe d'octroyer le siège de Damas à l'opposition syrienne, la qualifiant d'historique puisqu'elle délégitime le régime de Damas.

La session d'ouverture du Sommet de Doha a été marquée par l'installation de l'opposition syrienne dans le siège de la Syrie pour la première fois depuis sa suspension en 2011, dans un acte qui confirme la rupture définitive avec le régime de Bachar Al Assad.

vipsdesvips a écrit:

Citation :

La coalition nationale syrienne salue les efforts du Maroc en faveur de la révolution syrienne


DOHA (Art19) - Un membre de la coalition nationale syrienne, Abdelbasset Sieda, a salué les efforts consentis par le Maroc en faveur de la révolution syrienne et de sa résistance.

« Le Maroc déploie des efforts louables en faveur de la révolution syrienne et nous remercions SM le Roi Mohammed VI et le gouvernement marocain pour les mesures qui ont été prises en vue de garantir la réussite de la réunion du groupe des amis du peuple syrien tenue dernièrement à Marrakech », a déclaré Seida, en marge des travaux de la 24è session ordinaire du Sommet arabe dont les travaux ont commencé mardi à Doha.

« Nous coordonnons avec nos frères au Maroc pour traduire les promesses, exprimées lors de la réunion de Marrakech, en actes concrets », a-t-il ajouté.
Seida a hautement salué la décision de la Ligue arabe d'octroyer le siège de Damas à l'opposition syrienne, la qualifiant d'historique puisqu'elle délégitime le régime de Damas.

La session d'ouverture du Sommet de Doha a été marquée par l'installation de l'opposition syrienne dans le siège de la Syrie pour la première fois depuis sa suspension en 2011, dans un acte qui confirme la rupture définitive avec le régime de Bachar Al Assad.

Aye! Le Maroc suit les sionistes!

ibnbattuta a écrit:

vipsdesvips a écrit:

Citation :

La coalition nationale syrienne salue les efforts du Maroc en faveur de la révolution syrienne


DOHA (Art19) - Un membre de la coalition nationale syrienne, Abdelbasset Sieda, a salué les efforts consentis par le Maroc en faveur de la révolution syrienne et de sa résistance.

« Le Maroc déploie des efforts louables en faveur de la révolution syrienne et nous remercions SM le Roi Mohammed VI et le gouvernement marocain pour les mesures qui ont été prises en vue de garantir la réussite de la réunion du groupe des amis du peuple syrien tenue dernièrement à Marrakech », a déclaré Seida, en marge des travaux de la 24è session ordinaire du Sommet arabe dont les travaux ont commencé mardi à Doha.

« Nous coordonnons avec nos frères au Maroc pour traduire les promesses, exprimées lors de la réunion de Marrakech, en actes concrets », a-t-il ajouté.
Seida a hautement salué la décision de la Ligue arabe d'octroyer le siège de Damas à l'opposition syrienne, la qualifiant d'historique puisqu'elle délégitime le régime de Damas.

La session d'ouverture du Sommet de Doha a été marquée par l'installation de l'opposition syrienne dans le siège de la Syrie pour la première fois depuis sa suspension en 2011, dans un acte qui confirme la rupture définitive avec le régime de Bachar Al Assad.

Aye! Le Maroc suit les sionistes!

Le Maroc suit la majorité du peuple Syrien, quant aux "sionistes", laissons les à part ..!!!

Ben si c'est dans nos interets , pourquoi pas ? De plus , ceux qui pensent que tout sa est dans l'interet d'Israel , ils se trompent lourdement . Bashar et son régime son le toutou idéal de l'etat sioniste , il est innofensif , parle beaucoup et n'agit jamais , lorsque ils bombardent des installations "nucléaires" en pleine Syrie , Mr ne pipe pas un mot et fait l'autruche , et quand il agit , c'est pour massacrer son peuple , en somme , le chef d'etat arabe idéal et qui ne reprensente aucun danger pour l'etat d'israel . Je dirait meme que c'est tout le contraire , les Israeliens doivent avoir les chocotes de voir tout ces Jihadistes affluait de partout , et se dire que dans peu de temps ils seront au pouvoir , tout sa n'est pas du tout dans l'interet d'Israel.

Quant au Maroc il travaille pour ses interets et Basta ! Tu veux qu'on suivent les "non sionistes" qui nous meneront droit dans un mur ? Pour moi le régime syrien actuel est un "ennemi type" de notre pays , et dans sa forme politique , il ressemble a beaucoup de nos ennemis qui n'ont pas aretté de nous mettre des batons dans les roues depuis des années (Algérie, Lybie ...) , donc on doit contribuer a sa chute , c'est aussi simple que sa, et ont doit soutenir le camp qui servira le plus nos interets , c a d l'Axe Sunnite (A.S , Turquie , Quatar ... )

C'est triste a dire , mais les pays musulmans en sont arrivé a se degommer les uns les autres pour leur interets , l'un trahit l'autre , ce qui crée des tensions et des haines , résultat , a la moindre occasion de faire mal au camp adverse , ils le font sans se faire prier , et c'est ce qui se passe aujourdhui .

marques a écrit:

ibnbattuta a écrit:

vipsdesvips a écrit:

Aye! Le Maroc suit les sionistes!

Le Maroc suit la majorité du peuple Syrien, quant aux "sionistes", laissons les à part ..!!!

C'etait ironique!

Citation :

Qui a tué Al Bouti, qui est responsable et pourquoi est-il mort ?

Le régime syrien a depuis longtemps pour habitude, au moment de se débarrasser de ceux dont il n'attend plus aucun service ou qui finissent par constituer pour lui une gêne, de les utiliser une dernière fois d'une autre manière avant de les "jeter". C'est l'aventure que vient de connaître l'un des plus fidèles et des plus anciens serviteurs de Hafez Al Assad puis de son héritier, le cheykh Mohammed Saïd Ramadan Al Bouti.

Devenu une figure incontournable de la scène religieuse syrienne, grâce à un habile mélange de rigidité doctrinale et de servilité politique, il avait perdu en quelques mois de Révolution l'audience populaire dont le régime lui avait facilité la conquête en reconnaissance pour les services rendus. Son mépris pour les manifestants pacifiques, son autorisation de s'incliner pour la prière sur une photo du chef de l'Etat, sa justification de la répression menée par le régime et sa comparaison aventureuse entre militaires de l'armée régulière et compagnons du prophète Mohammed, avaient détourné de lui, de ses leçons et de ses prêches télévisés, une partie de la communauté sunnite syrienne. Non seulement elle ne prêtait plus attention à ses vaticinations en faveur du pouvoir, alors que des dizaines de cheykhs et d'oulémas avaient choisi de se taire ou pris le risque de se ranger du côté du peuple, mais elle éprouvait face à son comportement un mélange de honte et de mépris. A l'affut de toutes les aubaines, Bachar Al Assad a donc fait en sorte que sa disparition contribue, par son caractère violent et totalement inadmissible, à accroître la peur de nombreux Syriens et à renforcer autour de lui le front des hésitants.

Les exemples de ce comportement ne manquent pas dans l'histoire récente de la Syrie. Le 12 octobre 2005, contraint ou forcé, le suicide du général Ghazi Kanaan, parfaitement informé des tenants et aboutissants de l'attentat commis à Beyrouth, le 14 février 2005, contre l'ancien Premier ministre libanais Rafiq Al Hariri et ses accompagnateurs, a sonné comme un avertissement. Le chef de l'Etat aurait pu, puisqu'il avait des doutes sur la fidélité de son ancien pro-consul au Liban, le placer sous surveillance renforcée ou ordonner son arrestation. Mais une mort violente lui est apparue préférable pour faire comprendre à quoi s'exposeraient ceux qui se montreraient trop loquaces face aux enquêteurs de la Mission d'établissement des faits puis de la Commission d'enquête internationale chargée de faire la lumière sur ce crime.

Quelques années plus tard, le 1er août 2008, l'assassinat du général Mohammed Sleiman, abattu d'une balle dans la tête sur la terrasse de son "cabanon" de la plage de Tartous par un "snipper israélien" embarqué sur un bateau croisant au large des côtes syriennes, est lui aussi apparu comme une mise en garde. Faute de volonté d'aboutir du responsable de l'enquête, un certain Hafez Makhlouf, personne n'a jamais su quelles fautes ou quelles erreurs avait commises le conseiller militaire et sécuritaire du chef de l'Etat, qui supervisait aussi bien les nominations politiques et militaires que le programme nucléaire syrien et l'approvisionnement en armes du Hizbollah libanais. Mais sa disparition brutale, signée par l'absence de toute personnalité politique de poids à ses obsèques, a été interprétée comme une semonce. Elle s'adressait à ceux qui, ayant connaissance des activités proliférantes et des autres recherches de la Syrie dans des domaines sensibles, seraient tentés de vendre leurs informations ou de laisser sans surveillance dans leur chambre d'hôtel, par mégarde ou à dessein, leur ordinateur et son contenu…

Ceux qui ne se résolvent pas à admettre que, pour se maintenir en place, l'actuel chef de l'Etat est aussi disposé que l'était son défunt père à sacrifier ses amis avant ses ennemis, n'ont qu'à se reporter de quelques mois en arrière. Il leur suffira de lire les aveux de l'ancien ministre libanais Michel Samaha, recruté par le locataire du Palais du Peuple, pour assurer en tandem avec Bouthayna Chaaban la propagande syrienne en direction de la France et d'autres pays "amis du régime syrien", devenus avec la Révolution "amis du peuple syrien". Ils verront le sort que Bachar Al Assad réservait au chef de l'Eglise maronite. Elu patriarche par ses pairs, le 15 mars 2011, le jour même où se mettait en branle à Damas la révolution contre Bachar Al Assad, Mgr Bichara Al Ra'ï aurait pu faire les frais d'une manigance des Syriens. Sa disparition dans un attentat qui n'aurait pu être attribué - évidemment - qu'à des "islamistes radicaux", aurait accéléré une explosion confessionnelle. Le chef de l'Etat en avait besoin - et il en a toujours besoin - en Syrie et au Liban, pour convaincre que, aussi sauvage et dénué de sentiment humain soit-il, il reste, en comparaison avec les "terroristes islamistes", le moindre des deux maux. Quelques mois plus tard, en février 2013, Mgr Al Ra'ï, instruit par le risque auquel il avait échappé, effectuait en Syrie une visite à laquelle son prédécesseur, Mgr Nasrallah Boutros Sfeir, s'était toujours refusé.

Pour en finir avec ces évocations destinées à planter le décor de l'attentat contre le cheykh Al Bouti, on se contentera d'attirer l'attention sur la fidélité sans faille au régime dont font preuve le mufti Ahmed Hassoun et le ministre de la réconciliation nationale Ali Haydar. La signification de la disparition dans des circonstances dramatiques d'un fils de chacun d'entre eux n'a échappé ni à l'un, ni à l'autre... Pas plus que n'avait échappé jadis aux opposants à Hafez Al Assad au sein de la communauté alaouite, le message que leur portaient les assassinats du général Mohammed Omran au Liban, en 1972, et de l'éminent juriste Mohammed Al Fadel en Syrie, en 1976… Pas plus que n'a échappé aux militaires syriens tentés par la désertion, fin 2011, le sort funeste de près de 20 membres de la famille du colonel Huseïn Harmouch… Pas plus que n'a échappé aux journalistes syriens, à la mi-2012, la signification de l'enlèvement et de la liquidation de leur collègue Mohammed Al Saïd…

Le cheykh Al Bouti aurait donc été victime, jeudi 21 mars, en fin d'après-midi, d'un attentat suicide commis par un terroriste. Le kamikaze aurait fait exploser la bombe dont il était porteur, dissimulé parmi les fidèles rassemblés dans la salle de prière de la mosquée Al Iman, au centre de Damas, pour entendre la leçon que le savant donnait là chaque semaine. Quelques minutes après les faits, une chaine de télévision syrienne annonçait la disparition du cheykh ainsi que de l'un de ses petits-fils. Elle faisait état de plus d'une centaine de victimes, parmi lesquelles 42 morts et 84 blessés. Elle diffusait aussitôt une rétrospective en image de la vie et de la carrière du cheykh, qu'elle tenait apparemment prête et à jour, un tel travail nécessitant selon des spécialistes au moins six heures de recherches et de compilation.

Malheureusement, plusieurs de ces éléments ne correspondent pas à ce qu'ont rapporté des Damascènes habitant à proximité de la mosquée. Le bruit qu'ils avaient entendu n'avait rien à voir avec la déflagration provoquée, un mois plus tôt jour pour jour, par l'explosion de deux voitures piégées sur l'avenue de la Révolution, quelques dizaines de mètres plus loin. Etant sortis de chez eux et ayant pénétré dans la mosquée en même temps que les "bons jeunes gens" - un euphémisme utilisé pour désigner les agents des services de renseignements - qui accouraient de tous côtés, ils avaient dénombré une dizaine de morts et une vingtaine de blessés en cours d'évacuation, soit beaucoup moins qu'indiqué par les médias officiels. En revanche, ils n'avaient pas vu le cadavre du cheykh. Les photos de l'attentat postées sur le site Internet de l'agence officielle de presse ne le montrent d'ailleurs pas davantage. Sur les images de ses funérailles on aperçoit son "cercueil", mais aucune photo, encore une fois, ne montre ni le corps, ni même le visage de celui qui a donc doublement "disparu"…

Ils avaient également observé que la majorité des victimes semblaient avoir été atteintes uniquement à la tête. Ils n'auraient pas été étonnés d'apprendre qu'elles avaient en réalité été tuées par balles. D'ailleurs, si les traces de sang étaient nombreuses sur les tapis et sur le mur de la qibla, et si l'explosion avait été suffisamment puissante pour démembrer quelques corps, elle n'avait provoqué aucune excavation dans le sol. Elle n'avait causé à l'intérieur du bâtiment que des dégâts somme toute limités, "réparables en deux ou trois jours". Ils n'avaient pas vu de gravats, ni de débris de mur ou de plafond. Les vitres avaient volé en éclats, les conditionneurs d'air avaient été démantelés, mais le "bureau" du cheykh n'avait été que partiellement détruit. Comme par miracle, certains lustres et des ventilateurs étaient restés intacts. Tout comme le micro que le cheykh utilisait pour se faire entendre. Plus étrange encore, l'explosion n'avait pas provoqué le moindre incendie. Et, si les tapis portaient des traces de sang, ils n'avaient nulle part été brûlés.




Intérieur de la mosquée Al Iman après l'attentat

Les activistes qui se sont donné pour mission, depuis le premier attentat intervenu à Damas le 23 décembre 2011, d'analyser les images des télévisions publiques et privées du régime, n'ont pas tardé à faire d'autres observations intéressantes. Ils ont d'abord noté la présence sur les lieux, dans la mosquée dans laquelle ils prétendaient se trouver pour entendre le cheykh, de jeunes gens portant sur le poitrail des tatouages de corps féminins... peu habituels chez les pieux musulmans. Qui plus est, leur l'accoutrement rendait improbable leur présence dans une mosquée, même pour une leçon...



Un "témoin" mal en accord avec le lieu

L'un d'entre eux au moins avait déjà été repéré à de multiples reprises dans l'environnement immédiat du "chabbih polyvalent", autrement dit de l'agent des moukhabarat chargé de délivrer aux chaînes syriennes et autres la bonne version des faits et les leçons à tirer de chaque attentat.


S'agissant de ce dernier, justement, il est apparu dès le lendemain, dans la mosquée des Omeyyades, répondant aux questions de la chaîne Al Maydin, créée au Liban sur fonds syriens pour suggérer autonomie et indépendance vis-à-vis de ceux dont elle est à la solde. L'individu qui répond au nom de Souheïb Cha'ib s'était manifesté pour la première fois devant les micros et les caméras le 6 janvier 2012, lors de l'attentat du Midan. Il s'était alors présenté comme "un habitant du quartier". Quelques semaines plus tard, le 10 février, il était à Alep lors du premier attentat commis dans cette ville. Il s'était encore présenté comme un témoin résidant près des lieux. Depuis lors, il avait toujours été "présent dans les bons coups". Avant d'être sur place, le 21 février 2013, lors l'attentat du quartier d'Al Mazraa à Damas, il avait déjà fait 18 apparitions dans des circonstances similaires. Avec l'attentat de la Mosquée Al Iman, il en est donc à sa 20ème figuration !


Le "chabbih polyvalent" à sa 20ème apparition

On ne s'étonnera pas de constater que, devant cette accumaltion d'éléments troublants, certains Syriens pensent savoir "qui a tué Al Bouti, qui est responsable et pourquoi il est mort". Ils croient inutiles de chercher une réponse à de nombreuses autre questions :

- Comment être certain que le cheykh est bien décédé, puisque personne n'a pu apercevoir son cadavre ?

- Pourquoi les "terroristes" ont-ils choisi la solution la plus compliquée en tuant le cheykh Al Bouti dans sa mosquée, alors qu'il aurait été aisé de l'abattre chez lui ou dans son quartier de Rukneddin, "économisant" par le fait même le kamikaze pour une autre opération ?

- S'il s'agissait d'entretenir la peur parmi les Syriens, à qui ce sentiment profite-t-il davantage et qui a intérêt à rassurer sur ses intentions et ses méthodes ?

- Pourquoi l'enregistrement de la leçon que Mohammed Saïd Ramadan Al Bouti était en train de donner lors de l'explosion n'a-t-il été ni diffusé par la télévision syrienne, ni mis en ligne sur le site du ministère des Awqafs, ni posté sur le site du cheykh ?

- Que faisaient les chaussures que l'on aperçoit intactes au milieu des cadavres, alors que les victimes auraient dû les laisser à l'emplacement prévu à cet effet à l'entrée du lieu saint ?

- L'absence d'une liste officielle des noms des victimes ne serait-elle pas destinée à empêcher de constater que, comme dans l'affaire des "cadavres du Qouweiq" à Alep, la plupart d'entre elles étaient détenues par les moukhabarat ?

- Est-ce par un simple hasard de calendrier que le cheykh, dont l'origine kurde est connue, a été exécuté un 21 mars, jour de la fête du Nawruz qui marque, pour les Kurdes, le début de la nouvelle année ?

Les Syriens, qui ont eu tout le loisir de constater, depuis deux ans, que les capacités de manipulation du régime surpassent ce qu'ils avaient observé au cours des 50 années écoulées, sont donc nombreux à considérer que le cheykh a été liquidé par ceux dont c'était en Syrie la spécialité... bien avant l'apparition dans le paysage du Jabhat al-Nusra et des autres groupes "islamistes-salafistes-jihadistes-wahhabites-terroristes" derrière lesquels ils tentent désormais de se dissimuler. Le bruit a en effet circulé que le cheykh Al Bouti songeait à fuir son pays, où il était devenu prisonnier du système qu'il avait trop longtemps servi. Certains croient savoir qu'il avait refusé de signer la fatwa récemment émise sous l'autorité du cheykh Ahmed Hassoun. D'autres auraient entendu dire qu'il avait exprimé des réserves, voire des critiques, pour certains agissements du régime qu'il avait précédemment couverts.

Dans un cas comme dans l'autre, en raison de sa personnalité et du soutien qu'il avait toujours apporté au pouvoir en place, cette trahison aurait constitué pour Bachar Al Assad un coup autrement plus rude que la défection du Premier ministre Riyad Hijab. En prenant les devants et en le supprimant avant qu'il ne mette son projet à exécution, il a donc fait d'une pierre deux coups : il a prévenu son initiative et il a mis une nouvelle fois en accusation le "terrorisme" des révolutionnaires.

Mais qui le croit encore aujourd'hui ?

http://syrie.blog.lemonde.fr/2013/03/26/qui-a-tue-al-bouti-qui-est-responsable-et-pourquoi-est-il-mort/

Spoiler:

ibnbattuta a écrit:

marques a écrit:

ibnbattuta a écrit:

Aye! Le Maroc suit les sionistes!

Le Maroc suit la majorité du peuple Syrien, quant aux "sionistes", laissons les à part ..!!!

C'etait ironique!

ok khouya...j'avais pas saisi ..

2 mots m'enervent splendidement : "sionistes" et "makhzen" , ces 2 mots sont la tarte à la créme que certains balançent à tout va !!!

Au Royaume Unie aujourd'hui on denonce comment les trés rigoristes hommes de l'Arabie Saudite et du Qatar sont a la chasse des jeunes et vierges filles des camps de refugiés syriens en Jordanie. Moyanant une somme rondant les 100 euros, ces hommes demandent en mariage ses jeunes filles et les divorces apres quelque jours.

Regardez les temoiniages d'hommes et femmes syriens sur les videos qu'accompagnent l'article.

Citation :

Rape and sham marriages: the fears of Syria's women refugees

Thousands of Syrians fled to Jordan's Zataari refugee camp to escape violence at home. But now women and children live in fear of kidnap, rape and sham marriages in the camp meant to keep them safe.
If agony has a sound, it is the cry to God made by 100-year-old Shatwah, as she sits broken and bereft in the Zaatari refugee camp in Jordan.

In her black hijab, she raises her hands to the sky, almost unable to make sense of her own distress. "Bashar, Bashar," she keeps crying. "Why are you butchering us?"

Shatwah (pictured above) is one of a hundred thousand Syrians whose home is now the sprawling, tented city of Zataari. They fled the fighting to seek shelter and safety. But for many women the camp has offered them anything but.

"Three girls in our camp were kidnapped," explains Israa Mohammed. "They raped them. Then they brought them back to the camp. The Jordanian guys, they come to harass Syrian girls from the age of seven or six."

They see we don't have money. They want to exploit us. Give me your daughter for 200,000 lira or 100,000 lira. It's exploitation. Abu Sanad, father

Such reports of women being kidnapped, assaulted or raped abound around the camp. Women say security is non existent. They are too afraid even to go to the toilet at night alone.

"I come with my daughter, she enters and I stand here waiting for her," says Um Hammad. "There are girls who don't come to the toilet at night. We stay until the morning, holding it in."

The marriage market
As well as the fear of attack , there is another more insidious assault on the women and girls of Zaatari. Men - usually from Saudi Arabia and other gulf states - are given free rein at the camp. Coming in the guise of benefactors offering charity, in return many want a wife.

But these are marriages of convenience - for the men at least. So called "pleasure marriages", they give cover - a sheen of respectability - to what is often wealthy men exploiting vulnerable women for sex.

Abu Sanad is the father of two daughters. "People from Jordan, from Saudi Arabia, from Qatar, they come and ask: 'Do you want to give your daughters for marriage?'" he said.

"What do they see us as? A market place for selling? Like selling sheep. They see we don't have money. They want to exploit us. 'Give me your daughter for 200,000 lira or 100,000 lira'. It's exploitation."

The men often promise the earth. "Lama" says she was told she would "live like a princess." But the reality often means a few days or weeks out of the camp, then they are dumped alone in Jordan, or left to come back to Zaatari, humiliated and abused.

Gallery: Inside Jordan's Zaatari refugee camp


Um Majed is a Syrian housewife from Homs. She says she understands the refugee families and women who give into the demands of the men from the Gulf offering desperately needed cash. These are "dark days" for Syrians, she offers up by way of reasoning.

She has chosen her own way to deal with such bleak times. She has become a marriage broker, offering Syrian girls for sex.

"He comes for a coffee and he sees her with her hijab, he pays the 100 dinar and leaves," says Ms Majed, outlining the charges. "If he wants to marry her, he has to pay 1,000 or more. He has to sign a marriage agreement and he takes her and even after one hour they can get divorced. It's none of my business."

Vigilantes
Frustrated by the authorities' inability to deal with this problem, residents of the camp are forming vigilante groups. They patrol the area, they say to protect their women. They mete out their own justice on the men they decide are the perpetrators.

It is one of many problems the authorities now face. Young men, angry, frustrated and bored are running out of control. Several riots have broken out in the camp.

The United Nations says it is working hard with the Jordanian government to set up a proper policing structure and have announced a new security initiative.

But it may never ease the pain of the women refugees. That will only be soothed when they are allowed to go back to their beloved Syria.

Um Majed throws her head back and sighs. "I wish to go back to Syria. I wish to breathe the air of my country. Inshallah, I will go back."

But it is more in hope than expectation. She recognises what their future might hold.

"I hope we don't have the same destiny of the Palestinians who went out of their country and never went back."

CHANNEL 4 UK

Leo it is not a secret those pedophils have no dignity or integrity ,they are savages and frustrated ,still living in the cave in their minds.they are the ones who are destroying the islamic religion. the arabic culture tyranic culture it came from there.islamic teaching of our prophet Mohammed(SAAWS) came to educate them and to lead them to the sirat al moustakim,but their tribal culture is not going no where they love it.