messages : 6954 Inscrit le : 02/04/2008 Localisation : USA Nationalité : Médailles de mérite :
Sujet: Économie marocaine Ven 8 Fév 2013 - 5:55
Rappel du premier message :
JSOW a écrit:
ait atta a écrit:
Citation :
juba2 a écrit:
Il n'y a rien pour etre fier de cet argent,il faut compter sur soit meme,cette somme peut etre gagner en diminuant le budger des ministre en leur donnant qu'une seule voiture de service avec un chauffeur seulement, rien pour madame la ministre et les enfant ministres,pas de cuisnier.pas de maison ni de vouture au dessous du ministre.les parlementaires pas de voitures,pour les generaux une voitures ,pas pas de cuisinier ni de femmes de menage au dessous du general nad rien que le salaire mais correcte,a la retaraite en leur retire tout pour vivre comme citoyen normale,least but last diminuer a grand echelle le budget du palais et le nombre des conseillers .En additinant tout cela il y aura diminussionn automatic des frais de deplacement et tout ce qui vient avec.Je vous promet que'a la fin vous trouverais entre 3 et 4 milliards de dollars. A vous les calculs.Faisant tous des recherches comme des vrais patriotes et ouvrons topic special comment economiser dans le bdget de l'etat .
Juba, comme d'habitude, ton racism anti arabe te fait dire des stupidities. Ils nous donnent 2.5mrds et toi tu dis qu'il suffit de reduire les budgets de fonctionnement des ministers pour trouver le meme montant? STUPIDE Nous avons besoin de devises et de profondeur strategique a l'Est et au Sud. Nous avons besoin d'investisseurs qui comprennent que nous sommes dans le meme bateau et nous ne pouvons pas compter sur les Europeens (pas d'argent) Alors arretes un peu ton Arabs bashing, nous connaissons tous ta tendance Amazigh chretien. Merci
salam nous sommes tous musulmans la n'est pas le débats, juba signale juste le gachis qui est fait avec l'argent des marocains(arabes,juifs,imazighnes)un exemple trouve -tu normale qu'un caïd qui est bien payé a un logement de fonction, une voiture de fonction et monsieur le caid de tazarine dans la régions de draa se permet de commencer sa journée a 11h00 trouve tu cela normale? alors que les citoyens l'attende depuis 8 h 30.
et comme les petits ruisseaux fonts les grandes rivière effectivement notre chère mère patrie devrait aisément économiser ceux quelle va demander au CCG .
pas tous dans ce forum nous sommes musulmans mon ami,il ya vraiment des Juifs sionistes qu'ils cachent leur véritable identité parmi nous dans ce forum,salam.
Typiquement mentalité obscure et dictatoriale si tu n'est pas d'accord avec nous Tu es un sioniste, juif, chretienne,atheist etc. C'est pour cela que tous les pays arabes sans exception et musulman inclus le mien ne se developeront jamais car il sont condamnes a suivre une ideè, comme j'ai display avant une nation see develope avec un debat constructif avec differentes ideè Allah yestar.
Auteur
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RED BISHOP Modérateur
messages : 12327 Inscrit le : 05/04/2008 Localisation : france Nationalité : Médailles de mérite :
Sujet: Re: Économie marocaine Mer 22 Jan 2014 - 12:07
Le Tourisme au Maroc a rapporter a peut prés 59 Milliard de DH soit 7 Milliard de Dollars ce qui est progression ( c'est aussi la première fois qu'on dépasse l'Egypte : 5,9 Milliard)
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Invité Invité
Sujet: Re: Économie marocaine Mer 22 Jan 2014 - 16:34
messages : 12327 Inscrit le : 05/04/2008 Localisation : france Nationalité : Médailles de mérite :
Sujet: Re: Économie marocaine Mer 22 Jan 2014 - 23:12
ALERTE Le HCP pense qu'il n'y aura que 2,4 % de croissance en 2014 Bref on est toujours lent...
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mbarki_49 Colonel-Major
messages : 2512 Inscrit le : 13/12/2010 Localisation : Casablanca Nationalité : Médailles de mérite :
Sujet: Re: Économie marocaine Mer 22 Jan 2014 - 23:56
Après la Centrale laitière et Lesieur, le holding royal, SNI, continue son désengagement des secteurs vitaux de l'économie nationale : il a cédé aujourd'hui sur le marché des blocs de la bourse de Casablanca, 1 027 490 actions, soit 24,50 % de la Cosumar qui détient le monopole de la production de sucre, au prix unitaire de 1 900 DH/action. Ces actions ont été cédées à un groupe d'investisseurs institutionnels marocains constitué essentiellement par les compagnies d'assurance marocaine. Montant de la transactions 1,90 milliard de DH, à l'issue de laquelle la SNI ne conserve plus que 9,10 % du capitale de Cosumar.
Sujet: Re: Économie marocaine Ven 24 Jan 2014 - 0:42
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MAATAWI Modérateur
messages : 14757 Inscrit le : 07/09/2009 Localisation : Maroc Nationalité : Médailles de mérite :
Sujet: Re: Économie marocaine Ven 24 Jan 2014 - 12:08
Citation :
Réserves de change, 4 mois et 10 jours d’importations
Les réserves internationales de change nettes ont atteint 150,3 MMDH en 2013. Le ministère de l'Économie et des finances maintient qu'une inversion de tendance s'est opérée après les ponctions successives enregistrées depuis 2010. Aujourd'hui, les réserves internationales de change représentent 4 mois et 10 jours d’importations de biens et services grâce essentiellement à la réduction du déficit commercial, la progression importante des investissements directs étrangers et l'intensification de la mobilisation des financements extérieurs concessionnels auprès des partenaires bilatéraux et multilatéraux du Maroc.
http://www.leseco.ma
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RED BISHOP Modérateur
messages : 12327 Inscrit le : 05/04/2008 Localisation : france Nationalité : Médailles de mérite :
Sujet: Re: Économie marocaine Ven 24 Jan 2014 - 13:52
Guerre des chiffres à propos de l'économie marocaine
Citation :
Le match des prévisions, quel taux de croissance au Maroc en 2014 ? Par Nasser Djama - Publié le 24 janvier 2014, à 06h00
Le Haut-commissariat au plan (HCP) vient tout juste de prévoir 2,4% de croissance pour le Maroc en 2014, quand le gouvernement Benkirane table lui sur 4,2% dans son budget 2014. La plupart des prévisionnistes internationaux se situent entre les deux. L'Usine Nouvelle fait le point.
Alors qu'Abdelilah Benkirane, le Chef du gouvernement marocain va intervenir ce 24 janvier à Davos pour discourir de la situation, notamment économique de l'Afrique du nord, la bataille des prévisions fait rage à propos de la croissance 2014 du PIB au Maroc.
Dans la loi de finances adoptée fin décembre, le gouvernement avance un taux optimiste de 4,2%. Le Haut-commissariat au plan, une institution publique mais indépendante, vient de prévoir le mercredi 22 janvier un tout petit 2,4%, quant les organismes internationaux pronostiquent 3,6% pour la Banque mondiale ou 3,8% pour le FMI (voir tableau).
Fin 2013, la banque centrale, Bank Al Maghrib, avait livré un pronostic de croissance plutôt médiocre pour 2014 avec une prévision de 2,5 à 3,5% dans l'hypothèse d'une production céréalière moyenne de 70 millions de quintaux.
Dans tous les cas, il s'agit d'une décélération comparée à la croissance 2013 qui aura sans doute dépassée 5% selon le FMI, du fait d'une très bonne année agricole dans un pays où ce secteur compte encore pour plus de 15% du PIB.
"La croissance demeure, en outre, tributaire des fluctuations des cours internationaux des phosphates (dont le Maroc est le 1er producteur et exportateur mondial) et des hydrocarbures importés." rappelle, par ailleurs, la Coface dans un commentaire récent sur le Maroc. En 2013, les exportations de phosphates ont chuté en valeur de 23,3%.
Lors d'une conférence de presse ce 22 janvier à Casablanca, le Haut-commissaire au plan, Ahmed Lahlimi Alami a justifié la faiblesse de sa prévision qui doit se traduire par un taux de chômage qui passerait de 9,1% à 9.8% malgré la création de 60 000 postes.
Selon lui, les projections du HCP pour l'année 2014 ont été établies sur la base d’un scénario moyen pour la production agricole durant la campagne 2013/2014, et sur les nouvelles dispositions fiscales et budgétaires de la loi de finances 2014.
Selon le HCP "la contribution de la demande intérieure à la croissance globale serait (..) moins favorable (...) [qu'en 2013 NDLR]. La consommation domestique ralentirait sous l’effet d’une baisse des revenus ruraux et d’un repli de l’offre de produits agricoles".
Le HCP a aussi tenu compte de la dépendance du Maroc à la santé de l'économie mondiale, au premier chef la zone euro dont la récession en 2013 a affecté l'élan de l’économie marocaine. Pour l'année 2014, la plupart des économistes s'attendent à un redémarrage progressif de l'économie en Europe et une croissance mondiale en reprise (3,7% en 2014 contre 3% en 2013, dixit le FMI), ce qui devrait tirer les exportations marocaines. C'est ce que confirme le HCP, en estimant que l’année sera marquée "par une hausse de la demande mondiale adressée au Maroc de 4,7% au lieu de 1,6% en 2013".
Pour rappel, en 2013, la croissance non agricole devrait s'établir autour de 2,6% (2,2% au premier semestre et 2,8% au second selon la banque centrale).
Face au scénario de fort ralentissement du HCP, ce jeudi, le ministère de l'économie et des finances, dont le titulaire est Mohamed Boussaid, a réagi et confirmé dans un communiqué les données clés de la loi de finances 2014, rapporte l'AFP.
Reprenant l'hypothèse "d'une année agricole moyenne", la croissance devrait selon le ministère de l'économie tourner "autour de 4%" cette année. Ce taux, selon lui, "permettra de stabiliser (celui du) chômage à son niveau actuel, autour de 9%", notant que le déficit public a été ramené à 5,4% du PIB à fin 2013 contre 7,3% en 2012.
Pour le FMI, qui a mené une consultation approfondie du pays mi-décembre (article IV), la croissance en 2014 pourrait atteindre près de 4% (3,8% selon la prévision publiée) si les secteurs non agricoles progressent plus vite et en tenant compte de l'hypothèse que la production de céréales revienne à des niveaux moindres.
Généreux en conseils, l'institution de Bretton Woods encourage le gouvernement marocain de continuer les réformes pour rééquilibrer les comptes budgétaires et extérieurs, renforcer la compétitivité, assurer une croissance plus forte et plus créatrice d'emplois et améliorer la protection sociale des plus démunis de la population.
Pour compléter ce tableau, selon la prévision de la BERD (Banque européenne pour la reconstruction et le développement) datant de cette semaine, la croissance du Maroc aurait été de 4,4% en 2013 mais devrait ralentir à 4% en 2014 là encore dans l'hypothèse d'une production agricole moyenne.
Interrogé en décembre 2013 par L'Usine Nouvelle, Mohamed el-Kettani, PDG d'Attijariwafa Bank première banque du Maroc déclarait "les prévisions pour 2014 tablent sur 4% à 4,5%. Ce chiffre me semble réaliste, car au travers de ses stratégies sectorielles, le Maroc est proactif pour diversifier ses sources de création de richesses."
Une analyse plutôt partagée par la Coface qui dans ses commentaires récents assure prévoir "un renforcement de l'activité économique non agricole, tirée par la reprise attendue en Europe. La montée en puissance de l’usine automobile Renault/Dacia de Tanger dope les exportations et l'expansion du port de Tanger Med contribue à la croissance des services."
De fait, malgré sa prévision globale pessimiste, le HCP table malgré tout lui aussi sur un redémarrage net des activités non agricoles, dans l'industrie et surtout les services, à +3,6 % en 2014, contre +2% en 2013. Selon le Haut commissariat, "l’investissement, notamment en travaux publics, poursuivrait son ralentissement et celui du secteur industriel progresserait à un rythme modéré et régulier". Espérons.
Même le PIB ont ne sait pas exactement quel est sa valeur....
Yakuza Administrateur
messages : 21656 Inscrit le : 15/09/2009 Localisation : 511 Nationalité : Médailles de mérite :
Sujet: Re: Économie marocaine Ven 24 Jan 2014 - 14:35
l´historique montre que Lahlimi tire plus vers le bas que le gouvernement,et que le gouvernement a eu raison,le temps ou on lance n´importe quoi est fini,ils sont sous la loupe. Lahlimi veut se demarquer comme independant et non beniouioui ca le pousse a lancer tjs les chiffres alarmistes
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romh General de Division
messages : 4193 Inscrit le : 09/09/2009 Localisation : Royaume Uni Nationalité : Médailles de mérite :
Sujet: Re: Économie marocaine Ven 24 Jan 2014 - 15:41
Yakuza a écrit:
l´historique montre que Lahlimi tire plus vers le bas que le gouvernement,et que le gouvernement a eu raison,le temps ou on lance n´importe quoi est fini,ils sont sous la loupe. Lahlimi veut se demarquer comme independant et non beniouioui ca le pousse a lancer tjs les chiffres alarmistes
le département de lahlimi est l un des plus crédible au Maroc les cadres dont il dispose et les moyens qu il utilise sont les plus performants au Maroc tout les ministères et les bureau d études utilisent ses études même la banque mondial ,alors que celui du ministère des finances dépend beaucoup des tendances du gouvernement et vous n avez qu a faire une petite comparaison entre les études publiées ultérieurement par les deux organisme et les chiffres enregistres après pour voir la différence
PGM Administrateur
messages : 11678 Inscrit le : 12/12/2008 Localisation : paris Nationalité : Médailles de mérite :
Sujet: Re: Économie marocaine Ven 24 Jan 2014 - 16:14
romh a écrit:
Yakuza a écrit:
l´historique montre que Lahlimi tire plus vers le bas que le gouvernement,et que le gouvernement a eu raison,le temps ou on lance n´importe quoi est fini,ils sont sous la loupe. Lahlimi veut se demarquer comme independant et non beniouioui ca le pousse a lancer tjs les chiffres alarmistes
le département de lahlimi est l un des plus crédible au Maroc les cadres dont il dispose et les moyens qu il utilise sont les plus performants au Maroc tout les ministères et les bureau d études utilisent ses études même la banque mondial ,alors que celui du ministère des finances dépend beaucoup des tendances du gouvernement et vous n avez qu a faire une petite comparaison entre les études publiées ultérieurement par les deux organisme et les chiffres enregistres après pour voir la différence
Pas tout à fait romh :
Citation :
Maroc : La ‘guerre’ des taux de croissance prévisionnels éclate
Le haut commissariat au plan (HCP) a choqué hier, en produisant une prévision de croissance économique en 2014 des plus ternes au Maroc, ne la faisant dépasser guère les 2.4%.
Cette petite croissance prévisionnelle du PIB marocain pour l’année 2014, prédite par le HCP, aurait enragé à l’extrême, le gouvernement d’Abdelilah Benkirane, qui s’est attelé à produire un cadrage économique ‘contre-attaque’ pour l’année 2014, prévoyant une croissance économique de 4% légèrement plus basse que le taux de 4.2% prévu à la loi de finance.
Mais ce Ping-pong d’annonces de taux de croissances prévisionnelles pour l’exercice 2014 au Maroc, n’est pas propre uniquement au gouvernement Benkirane et au très indépendant HCP, perçu par la majorité gouvernementale, comme un adversaire.
Il pleut sur le royaume une flopée de prévisions de taux de croissance pour l’année 2014, aussi différentes les unes des autres, provenant d’institutions économiques marocaines et étrangères.
Ainsi, dés décembre 2013, la première institution et non des moindres, Bank Al Maghrib, avait, fourni une prévision de croissance économique pour 2014, très basse, la situant proche de celle du HCP, à 2.5%.
Les institutions internationales les plus grandes, la Banque mondiale et le FMI, pour leurs parts avaient joué le juste milieu, en livrant eux aussi, deux taux, certes se rapprochant, mais non moins différents, 3,6% pour la Banque mondiale ou 3,8% pour le FMI.
L’ONU, quant à elle, prévoit pour la croissance économique au Maroc en 2014, 4%, l’assureur français Coface l’a situé à 3.8%, alors que le centre marocain de conjoncture, présidé par le leader socialiste Habib El Malki, la voit autour de 2.7%.
Entre l‘ultra-optimisme du gouvernement 4.2% et l’ultra-pessimisme du HCP 2.4%, tranchera le ciel avec ses pluies, puisque l’économie marocaine est toujours contrainte à être dépendante de la qualité de la saison agricole, elle-même dépendante des aléas climatiques.
Au vu de cette situation se pose légitimement la question, à quoi bon des indicateurs prévisionnels pour une économie, assisse sur autant d’incertitudes ?
Sujet: Re: Économie marocaine Sam 25 Jan 2014 - 10:07
usinenouvelle.com
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MAATAWI Modérateur
messages : 14757 Inscrit le : 07/09/2009 Localisation : Maroc Nationalité : Médailles de mérite :
Sujet: Re: Économie marocaine Mer 29 Jan 2014 - 17:46
Citation :
WINXO investit 3 milliards de DH
CMH devient WINXO. Le groupe se donne les moyens de ses ambitions.
Ne cherchez plus une station CMH ! La société pétrolière, vieille de 65 ans, change son identité et devient WINXO. L’annonce de ce changement a été faite, mardi, par le top management présidé par Hassan Ageznai. "CMH atteignait ses limites à tous points de vue. Son logo, ses couleurs et sa dénomination eux-mêmes ne reflétaient plus la réalité d’un groupe tel qu’il s’est transformé, et qui a décidé de se diversifier et de développer des projets innovants au-delà de son activité traditionnelle de distribution des produits pétroliers", souligne-t-on auprès du management.
Méga-investissement Le groupe WINXO affiche de grandes ambitions. Il étend ses investissements pour ne citer que la construction à Jorf Lasfar du plus grand terminal d’importation, de stockage et d’exportation de carburants du Maroc d’une capacité de 600.000 m3, soit une hause de plus de 50% des capacités totales actuelles de stockage de carburants du pays (hors raffinerie), à la réalisation en cours à Casablanca de lotissements industriels et de projets immobiliers à travers le pays. On apprend que l’enveloppe globale dédidée à ces nouveaux investissements s'élève à 3 milliards de dirhams.
http://www.le360.ma
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moro Colonel
messages : 1507 Inscrit le : 17/04/2008 Localisation : France Nationalité : Médailles de mérite :
Sujet: Re: Économie marocaine Ven 31 Jan 2014 - 13:43
Maroc : Le centre "Casablanca Finance City" pourrait créer 80.000 emplois
messages : 12327 Inscrit le : 05/04/2008 Localisation : france Nationalité : Médailles de mérite :
Sujet: Re: Économie marocaine Sam 1 Fév 2014 - 13:38
Ca y est ! On a atteint les 10 millions de Tourismes qui ont apporter prés de 7 milliards de dollars
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mbarki_49 Colonel-Major
messages : 2512 Inscrit le : 13/12/2010 Localisation : Casablanca Nationalité : Médailles de mérite :
Sujet: Re: Économie marocaine Sam 1 Fév 2014 - 19:21
on y est arrivés avec 3 ans de retard : selon la "vision 2010" on devait y être en 2010, mais c'est vrai que la crise et le printemps arabe sont passés par là. Espérons qu'on réalisera l'objectif de la nouvelle "vision 2020", 20 millions de touristes en 2020 !
mbarki_49 Colonel-Major
messages : 2512 Inscrit le : 13/12/2010 Localisation : Casablanca Nationalité : Médailles de mérite :
Sujet: Re: Économie marocaine Sam 1 Fév 2014 - 20:54
Le FMI salue la résilience de l'économie marocaine en 2013 :
messages : 945 Inscrit le : 21/07/2010 Localisation : loin !! Nationalité : Médailles de mérite :
Sujet: Re: Économie marocaine Dim 2 Fév 2014 - 2:09
Une start'up Marocaine qui explose à New York !!
liens : http://fr.wamda.com/2014/01/enigma-leve-45-millions-success-story-marocaine
MAATAWI Modérateur
messages : 14757 Inscrit le : 07/09/2009 Localisation : Maroc Nationalité : Médailles de mérite :
Sujet: Re: Économie marocaine Mar 4 Fév 2014 - 13:38
Citation :
Zones franches : La Fédération mondiale choisit Tanger pour un rendez-vous important
Posté le mardi, 04 février 2014 - 9:53 am
(www.infomediaire.ma) - La ville du Détroit accueillera, les 5 et 6 février 2014, la 1ère édition du Forum des zones franches de la Méditerranée, placée sous le thème "Quelles attractivités représentent les zones franches pour les investisseurs et les promoteurs ?". Cette rencontre, organisée par la Fédération mondiale des zones franches (FEMOZA), en partenariat avec Tanger Free Zone (TFZ) et l’Association des investisseurs de la zone franche d’exportation de Tanger (AIZFE), se veut un rendez-vous important pour débattre des avantages des zones franches et mettre en relation les différents acteurs économiques du pourtour méditerranéen. Selon un communiqué des organisateurs, les investisseurs, les entreprises intéressées, les décideurs et les firmes d’ingénierie pourront découvrir les attractivités qu’offrent les zones franches. Il s’agit aussi d’échanger avec les entreprises présentes dans les zones franches et de favoriser des retours d’expériences ainsi que des opportunités d’affaires entre clients et fournisseurs.
http://www.infomediaire.ma
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mbarki_49 Colonel-Major
messages : 2512 Inscrit le : 13/12/2010 Localisation : Casablanca Nationalité : Médailles de mérite :
Sujet: Re: Économie marocaine Mar 4 Fév 2014 - 16:33
Après le canadien Bombardier, le Maroc essaie de convaincre le brésilien Embraer, 4ème constructeur aéronautique mondial, de d'implanter au Maroc :
Citation :
La semaine dernière, des journalistes brésiliens, visitant le site de TFZ à Tanger, eurent confirmation des contacts du Maroc avec Embraer; une responsable commerciale à TFZ, Ilham Khalil, leur a assuré, selon ANBA, que des rencontres avec le top Management d’Embrarer se sont faites plusieurs fois, ce qui atteste du grand intérêt de la firme brésilienne pour la place Maroc et particulièrement pour Tanger.
‘‘Je crois que le Maroc les intéresse’’ affirme pour sa part Hamid Benbrahim El Andaloussi, président du GIMAS, qui assure que ‘‘la décision de créer une base industrielle au Maroc est une question stratégique, cela prend du temps, mais une entreprise internationale comme Embraer ne peut pas ignorer le Maroc. Si vous souhaitez être compétitifs et pouvoir pénétrer le marché européen aisément, vous devez être au Maroc. Nous avons le meilleur rapport coût-bénéfice’’ a-t-il conclu.
Embraer (Empresa Brasileira de Aeronáutica) est un constructeur aéronautique brésilien, spécialisé dans les avions civils de petite et de moyenne taille, utilisés dans l'aviation régionale, d'affaire et agricole, il construit également des avions militaires comme des avions de chasse, de télédétection et de transport d'autorités.
Il s'agit d'une des plus grandes compagnies exportatrice du Brésil. Son siège se situe dans la ville de São José dos Campos, dans l'État de São Paulo mais possède aussi diverses filiales à l'étranger dont une en Chine, Harbin Embraer.
En 2013, Embraer compte près de 373 avions commerciaux en commandes fermes. Son principal concurrent est le canadien Bombardier.
messages : 2512 Inscrit le : 13/12/2010 Localisation : Casablanca Nationalité : Médailles de mérite :
Sujet: Re: Économie marocaine Mar 4 Fév 2014 - 18:19
Knowledge@wharton, groupe d'analyse de la Wharton School de l'université de Pensylvanie, commente les possibilités de développement de Casablanca Finance City en comparaison avec Dubai :
Citation :
Sur les pas de Dubaï, le Maroc irait, observent les analystes Jed Halfon et Mohammad Rustom, membres du ’The Lauder Class of 2015’.
Dans une analyse publiée dans le site Your Middle East, sous le titre ‘Can Casablanca Become the next Dubaï ? ’, les deux analystes ont mis en comparaison, les deux métropoles, et leurs centres financiers, la CFC de Casablanca et le Dubai International Financial Centre (DIFC).
Selon cette analyse, à l’image de la DIFC de Dubaï, devenu centre de gravité financière du moyen orient et concurrençant mondialement, des places prestigieuses comme celles de Pékin ou de Moscou, la CFC de Casablanca est, à sa mesure, sur la même voie, pour s’imposer comme la place de la finance africaine, même si, souligne les deux chercheurs, le management de la CFC, le Morocco Finance Board (MFB), insiste modestement sur son ambition géographiquement réduite à l’Afrique francophone, la zone appelée par le MFB : GNWA pour (Greater North West Africa).
Mais les différences entre Dubaï et Casablanca sont monumentales, relèvent les deux auteurs, observant que Casablanca et plus en général, le Maroc, ont encore un long chemin à parcourir, sur un marché fortement concurrentiel. Dubaï, a nombreux avantages, à commencer par sa très forte visibilité de centre touristique international, qui rivalise, souligne Knowledge@Wharton, avec des destinations mondiales phares, comme Barcelone, Rome, Vienne et Los Angeles; cette visibilité fait défaut au Maroc, dont le standing touristique à l’international reste très moyen.
Autre élément de taille à l’avantage de la DIFC, est son management ainsi que son environnement réglementaire.
Ainsi, au moment où le gouvernement marocain insiste pour que la CFC soit assujettie aux stricts contrôles de Bank Al Maghrib, du ministère des finances, du régulateur des marchés de capitaux CDVM et du régulateur du marchés des assurances DAPS, le DIFC de Dubaï a été doté d’une législation spécifique y compris au niveau judiciaires et de tribunaux.
Il s’agit, pratiquement, d’une zone autonome à l’intérieur de Dubaï, qui a ses propres lois et ses propres tribunaux, choses qui favorisent l‘attraction vers elle, des firmes financières internationales, alors que la CFC casablancaise peine, indique Knowledge@Wharton, à décoller, trop alourdie par une législation n'évoluant qu’à petits pas et des contrôles se multipliant, tout comme les acteurs les pratiquants.
Knowledge@Wharton conclut qu’autant le Maroc et les Emirats ont un avantage précieux dans la région, à savoir la stabilité politique et sécuritaire, mais à vitesses différentes, les deux pays avancent ; la CFC est sur le bon chemin pour se déployer mais pas à grand échelle, à condition que le bon exemple de Dubaï, n’inspirent les responsables marocains.
messages : 1507 Inscrit le : 17/04/2008 Localisation : France Nationalité : Médailles de mérite :
Sujet: Re: Économie marocaine Jeu 6 Fév 2014 - 9:58
CEGELEC-MAROC: Un bon exemple pour les sociétés Marocaines à pénétrer les marchés africains des pays anglosaxons
Citation :
Sierra Leone News: CEGELEC-MOROCCO connects 161 KV ADDAX Power Line with Bumbuna
Sierra Leone News: CEGELEC-MOROCCO connects 161 KV ADDAX Power Line with Bumbuna
ADAXCEGELEC-MOROCCO, contractor for ADDAX Bioenergy Ethanol has completed the building of a sub-station and connection of power lines to the Bumbuna power grid. The 14km power transmission line from the substation will feed into the High Voltage Bumbuna tower piers. The construction started from the ADDAX factory at Mabailafu to Makoth in the Makarie Gbanti Chiefdom. The project, according to the CEGELEC Project Engineer, Amine Bennani, covers the construction of 161 Kilo Volt (KV) Power Line with 39 high voltage towers from ADDAX Mabailafu factory site to the Freetown-Bumbuna Power Lines. He said the construction process started in April 2013 and was completed Wednesday, 15th January 2014 and connection to the existing national grid was completed on Thursday, 30th January 2014. Mr. Bennani said this is the first project to be undertaken by CEGELEC-Morocco in West Africa which according to him was quite challenging to complete, taking into consideration the climatic challenges especially during the rainy season. He also mentioned the challenge of the culture of the people along the transmission line. The Morrocan electrical engineer explained that CEGELEC-Morocco is a subsidiary of VINCI Energies since 2010, which has seen the company grow to become a leader in electrical engineering in Africa. He said that over the years the company has diversified into several markets and serving industry, infrastructure, services and telecommunications sectors, making it 63rd on the list of Morocco’s 500 largest companies. Upon completion of construction of the substation and connection of power transmission lines to the national grid, officials of the ADDAX Bioenergy ethanol company were pleased and satisfied by the effectiveness of the work done by CEGELEC-Morocco regarding respect of time schedule, quality and safety requirements. CEGELEC-Morocco has been in full operations since 1948 with expertise in four major fields including, electrical power supply, information and communication technologies, heating, ventilation, air conditioning (HVAC) and mechanical engineering. The Project Engineer said that presently they intend to expand to other West African countries such as Senegal, la Cote d’Ivoire, Cameroon. He said they intend to go into many other electrical projects in Sierra Leone and expressed determination to participate in the development process of Sierra Leone. The Engineer maintained that their company also does business unit design, install and maintain systems for industry, infrastructure and the service sector, especially in high-demand sectors such as energy and electricity, oil and gas, building, civil engineering and maintenance.
messages : 14757 Inscrit le : 07/09/2009 Localisation : Maroc Nationalité : Médailles de mérite :
Sujet: Re: Économie marocaine Jeu 6 Fév 2014 - 16:00
Citation :
Ports : Tanger Med explose ses chiffres en 2013
(www.infomediaire.ma) - Le trafic enregistré au port Tanger Med pendant l’année 2013 est en nette progression par rapport à l’année 2012. Cette progression concerne l’ensemble des activités du port. Le tonnage de marchandises réalisé a atteint les 34 900 000 Tonnes. Le trafic conteneurs a connu une hausse de 40% en EVP et de 61% en tonnage par rapport à l’année 2012 dépassant la barre des 2 500 000 EVP et de 26 150 000 tonnes. Le trafic véhicules au terminal Renault a enregistré une croissance de 81% par rapport à l’année 2012. 181 500 véhicules ont été manutentionnés au port Tanger Med dont 93 700 véhicules à l’export provenant de l’usine Renault Melloussa et 35 000 véhicules en transbordement. L’activité hydrocarbures a connu à sa 2ème année d’exploitation un trafic de 4 100 000 tonnes, dont 2 050 000 tonnes de produits de soutage. Enfin, le port Tanger Med Passagers a atteint un trafic de 198 000 unités TIR correspondant à 11% de croissance par rapport à l’année 2012, et une légère augmentation du trafic passagers et véhicules légers avec 2 150 000 passagers et 700 000 véhicules soit une croissance respective de 2% et de 3%.
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Yakuza Administrateur
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Sujet: Re: Économie marocaine Jeu 6 Fév 2014 - 18:42
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Barrages: un taux de remplissage de 69,3% au 6 février 2014
Les retenues des principaux barrages du Royaume, tous usages confondus, ont atteint 10,97 milliards de m3 à la date du 6 février 2014 avec un taux de remplissage de 69,3%, contre 12,48 milliards de m3 en 2013 et un taux de remplissage de 79%, selon le ministère de l'Energie, des mines, de l'eau et de l'environnement.
En dépit de cette baisse dans les retenues, une progression notable des taux de remplissage a été toutefois constatée essentiellement au barrage Bouhouda et Garde Sebou qui sont passés respectivement de 97,6% et 56,8% le 6 février 2013 à 100% le même jour de 2014, Asfalou (de 63,7% à 81,3%) et Moulay Hassan Ben Al Mahdi (de 79,4% à 83,5%).
De leur côté, les barrage de Sidi Said Maachou et Nakhla, ont pu, quant à eux, conserver leur niveau optimal avec un taux de remplissage de l'ordre de 100%, précise la même source.
Le département relève, toutefois, des reculs des réserves d'eau dans certains barrages, dont celui de Mokhtar Soussi (passé de 100% à 37,3%), Ibn Battouta (passé de 100% à 52,2%), Oued ZA (passé de 100% à 86,6%) et Ait Messaoud (passé de 92% à 69,9%).
Le 2 janvier dernier, les retenues des principaux grands barrages du Royaume avaient atteint 10,17 milliards de m3 avec un taux de remplissage de 64,4%, contre 11,67 milliards de m3 en 2013.
(MAP)
Citation :
Etain: Les ressources du gisement d’Achmmach revues à la hausse
Selon Proactive Investors Australia, média spécialisé en information économique et financière, la compagnie australienne Kasbah Resources a effectué des nouveaux forages qui ont révélé des ressources de 53% supérieures aux dernières estimations concernant le gisement d’étain d’Achmmach, situé à 40 km de Meknès.
Le gisement initialement évalué à 144.000 tonnes à une teneur de 0,9% d’étain, se révèle plus prometteur avec des nouvelles estimations atteignant les 220.000 tonnes à une teneur de 0,95%.
La longueur de minéralisation précédemment évaluée à 200 m passe à 220 m pour une largeur de 8 m et une profondeur de 150 m au lieu de 40.
Kasbah Resources prévoit de démarrer sa production d’étain en 2015.
medias24.com
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moro Colonel
messages : 1507 Inscrit le : 17/04/2008 Localisation : France Nationalité : Médailles de mérite :
Sujet: .. Ven 7 Fév 2014 - 8:01
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Winxo va construire le plus grand terminal pétrolier du Maroc à Jorf Lasfar
La société pétrolière marocaine Winxo va lancer la construction d'un terminal sur 22 hectares pour une capacité de 600 000 m3 à Jorf Lasfar au sud de Casablanca. Deux autres projets sont également au programme pour un investissement global d'environ 270 millions d'euros. C'est l'année de tous les investissements pour l'ancienne Compagnie marocaine des hydrocarbures (CMH), devenue Winxo depuis le 1er janvier 2014 : un terminal pétrolier à Jorf Lasfar à 110 km au sud-ouest de Casablanca, un centre emplisseur de gaz à Mohammedia au sud de Rabat, des lotissements industriels et des projets immobiliers dans tout le pays. Le total de ces investissements est estimé à 270 millions d'euros financés pour 40% en fonds propres. "Ce sera le plus grand terminal d’importation, de stockage et d’exportation de carburants au Maroc. Il sera doté d’une capacité de 600 000 m3. Ce qui représente plus de 50% des capacités totales actuelles de stockage de carburants du pays, hors la raffinerie de la Samir", a déclaré Hassan Agzenaï, président fondateur de Winxo group, lors d'une conférence de presse le 28 janvier à l'hôtel Hyatt Regency à Casablanca. EXPORT VERS LES PAYS AFRICAINS "Les projets sont en train de passer les étapes des différentes études et des autorisations nécessaires qui sont en cours d'obtention. Le démarrage des travaux devrait s'effectuer d'ici la fin de l'année", a précisé à L'Usine Nouvelle Youssef Zaidi, directeur d'exploitation du groupe pétrolier marocain. Sur un terrain de 22 hectares situé sur la zone extra-portuaire de Jorf Lasfar sera construit le plus grand terminal d’importation, de stockage et d’exportation de carburants du Maroc. Il va nécessiter un investissement de 88,8 millions d'euros. Ce terminal pourra accueillir des tankers pour le transport de liquides en vrac d’une capacité supérieure à 100 000 m3. "Une bonne partie des flux de carburants réceptionnés par le futur terminal pétrolier ira à l’export, notamment vers des pays africains", a aussi annoncé Hassan Agzenaï. Deuxième projet : Winxo affirme vouloir installer un nouveau centre emplisseur de gaz butane à Mohammedia dans la région du grand Casablanca à proximité de la Société marocaine de stockage (Somas) qui possède des cavités souterraines salines pour le stockage de gaz. FAIRE PASSER LA PART DE MARCHÉ DE 8 À 12% Le groupe vend aujourd'hui 423 000 m3 de carburants et 9 000 tonnes d'une large gamme de lubrifiants qu'il commercialise sous licence BP. Sur un marché représentant deux millions de tonnes de gaz butane consommés chaque année, Winxo compte faire passer sa part de marché en distribution pétrolière de 8 à 12% à l'horizon 2017. Il s'appuie pour cela sur un réseau de 200 stations-services et de 1 200 pompistes arborant progressivement les nouvelles couleurs de Winxo. Le groupe pétrolier dispose en outre d’une flotte d’une centaine de camions de transport et de livraison à Casablanca, Mohammedia, Sidi Kacem au nord-ouest et Nador sur la côte méditerranéenne au nord-est. Le groupe marocain veut aussi "se développer et se diversifier dans de nouveaux métiers innovants, en dehors de son activité traditionnelle de distribution des produits pétroliers", poursuit Hassan Agzenaï. C'est la raison pour laquelle, le troisième projet du plan d’investissement a pour objectif le développement d'un pôle immobilier avec la construction de lotissements industriels à Casablanca et le lancement d'autres projets au Maroc. Winxo a réalisé un chiffre d’affaires de 5,1 milliards de dirhams en 2012 en augmentation de 8,24%. Il occupe la 21e place au classement des plus grandes entreprises marocaines derrière les deux mastodontes locaux que sont la Société anonyme marocaine de l'industrie du raffinage (Samir) (2e) et Vivo Energy Maroc (7e). WINXO DÉCLINE AUSSI SON NOM EN NOUVEAUX SERVICES "CMH atteignait ses limites à tous points de vue. Son logo, ses couleurs et sa dénomination eux-mêmes ne reflétaient plus la réalité d’un groupe", a indiqué dans un communiqué Hassan Agzenai, pour justifier cette nouvelle évolution. Sur ce plan, Winxo décline aussi son nom en nouveaux services comme "Winshop", boutique en service continu 24h/24, "WinAuto" pour la vidange, le lavage ou le gonflage de pneus et "Winfood" qui comprend restaurants, cafés, ou cafés-snack en fonction de la taille de l'emplacement.
Dernière édition par Yakuza le Ven 7 Fév 2014 - 8:55, édité 1 fois (Raison : plus approprié ici,ca n´a rien a voir avec l´autre topic !!!)
Invité Invité
Sujet: Re: Économie marocaine Dim 9 Fév 2014 - 4:08
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Oxford Business Group vendredi 7 février 2014 10:01
Maroc – Une meilleure performance économique en 2013, selon Oxford Business Group
Mohamed BoussaidMohamed Boussaid, ministre de l'économie et des finances: une bonne année 2013
En dépit de difficultés, la performance économique du Maroc s’est considérablement améliorée en 2013, écrit Oxford Business Group, avec une croissance du PIB de 5%.
Si la demande européenne est demeurée faible, le dynamisme de la production agricole et des investissements directs en provenance de l’étranger ainsi que les mesures de diversification des marchés à l’export et de rééquilibrage du budget ont permis au pays d’augmenter son PIB de 5 %. Les indicateurs financiers des dernières années se sont dégradés à mesure que le déficit commercial s’est creusé. Dans sa recherche de revenus, le gouvernement s’est alors tourné vers l’extérieur et les marchés obligataires. Mais le budget prévu pour 2014 fait la part belle aux investissements en construction d’infrastructures et de logements. Si l’on ajoute à ceci la bonne santé du secteur industriel, le Maroc devrait renouer cette année avec une croissance solide se chiffrant entre 2.5 % selon les autorités du pays et 4 % selon les estimations du FMI.
Un endettement enlevé mais soutenable
Selon le rapport d’évaluation publié par le FMI en décembre, l’endettement du pays demeure soutenable bien qu’élevé et le déficit budgétaire devrait être endigué grâce aux mesures prises par le gouvernement pour mettre un frein à ses dépenses. Réduction des salaires, réforme du régime de retraites sous-financé, et refonte des subventions à l’alimentation et au carburant qui ont pesé sur le budget 2013 à hauteur de 42 milliards de dirhams (3.73 milliards d’euros) : autant de mesures témoignant d’une volonté d’assainissement budgétaire. En place et lieu du système actuel de subventions généralisées, le gouvernement optera pour un mécanisme ciblant plus efficacement les couches les plus défavorisées de la société, même si certains retards dans la mise en place de ce système sont à déplorer. En effet, la baisse des subventions de l’essence avait divisé la coalition au pouvoir et donné lieu à un remaniement ministériel en octobre. Mais les progrès se font sentir, et le budget 2014 vise à une réduction du déficit annuel de 5.5 % du PIB en 2013 à 4.9 % en 2014. Malgré ce redéploiement, le Haut-Commissariat au plan (agence gouvernementale en charge de la planification économique) estime qu’en 2014 il faudra avoir recours à des sources extérieures pour financer l’équivalent de 7.4 % du PIB. Grâce à l’accord signé avec la Banque mondiale en décembre, le Maroc bénéficiera de prêts à hauteur de 4 milliards de dollars (2.9 milliards d’euros) pour financer les projets publics en énergie et infrastructures, à raison d’une enveloppe annuelle pouvant aller jusqu’à 1 milliard de dollars (732 millions d’euros) entre 2014 et 2017. A titre de comparaison, pour la période 2011-2013 les prêts s’étaient élevés à 600 millions de dollars (439 millions d’euros). C’est donc un véritable témoignage de confiance envers le programme de réforme économique du Maroc. Le gouvernement cherche également à donner une nouvelle impulsion à l’économie et aux finances publiques par le biais du marché international de la dette. Selon des rapports datant de novembre dernier, le Maroc pourrait se défaire prochainement d’euro-obligations à hauteur d’un milliard d’euros, devenant ainsi le deuxième plus grand émetteur d’euro-obligations souveraines en Afrique. En mai dernier, le Maroc a levé 750 millions de dollars (549 millions d’euros) par le biais d’une opération d’émission de titres de créance. Les obligations ont été accueillies favorablement tout au long de l’année, les acteurs du marché ayant regagné en confiance au vu du contingentement des subventions. Alors que la crise de la zone euro et l’accentuation des déficits publics ont affecté les liquidités disponibles, les banques marocaines se sont elles aussi tournées vers les marchés des capitaux. Les trois plus grandes banques, Attijariwafa Bank, Banque centrale populaire et BMCE Bank ont toutes annoncé leurs projets de levée de fonds à l’étranger en 2013. La première fut BMCE Bank, avec une émission fin novembre de 300 millions de dollars (220 millions d’euros) sur cinq ans à un taux de 6.5 %. Le même mois, Attijariwafa s’est assuré du soutien de son assemblée générale pour une opération d’émission d’obligations susceptible d’atteindre un milliard de dollars (732 millions d’euros) sur le marché national ou international selon un rapport de Reuters. Mais pour l’instant aucune date n’a été annoncée.
11,3 milliards d’euros pour l’investissement
Si le gouvernement travaille à l’assainissement de ses comptes, il n’en oublie pas pour autant la croissance à long terme. Le budget 2014 consacrera 126.7 milliards de dirhams (11.3 milliards d’euros) à l’investissement, soit une hausse de 4.6 % en glissement annuel. Les grandes entreprises publiques se tailleront la part du lion, notamment les agences routière, ferroviaire et portuaire du Maroc. Al Omrane, l’opérateur spécialisé de l’Etat dans le secteur de l’habitat et l’aménagement, prévoit de lancer plus de 156 000 chantiers en 2014, parmi lesquels figureront des projets de logements et de constructions urbaines. A ceux-ci viendront s’ajouter 23 000 chantiers réalisés en partenariat avec le privé. Quant à l’Office national de l’électricité et de l’eau, il prévoit de consacrer 7 milliards de dirhams (622 millions d’euros) à l’amélioration de la capacité de production électrique du pays. De fait, le secteur de l’énergie devrait particulièrement concentrer les investissements tant marocains qu’étrangers en 2014. Plusieurs projets de développement de l’infrastructure d’énergie solaire et éolienne sont en cours d’élaboration. Le potentiel pétrolier offshore du Maroc n’est pas en reste non plus, puisqu’il suscite un intérêt grandissant. Les réserves estimées sont modestes et bien inférieures à celles de l’Algérie voisine, mais les compagnies pétrolières indépendantes, de petite et grande envergure, ont acquis des licences pour un certain nombre de concessions pétrolières au cours des 18 mois. D'ailleurs, les dernières découvertes de producteurs alternatifs partout ailleurs en Afrique expliquent en partie cette évolution.
Des investissements pour l’exploration hydrocarbures
Les missions exploratoires au Maroc sont pour l’instant limitées, mais les exploitants commencent déjà à accélérer le rythme. Jusqu’à 10 puits devraient être forés d’ici au début du 2e semestre 2015, soit près du double des forages réalisés au cours des 20 dernières années. Selon un rapport de Reuters, les investissements ainsi engagés pourraient s’élever entre 500 millions et 1 milliard de dollars (366 à 732 millions d’euros). De telles sommes représenteraient un bond significatif pour une région qui reste pour l’instant relativement inexplorée. On relèvera également une montée en puissance des investissements étatiques dans les énergies renouvelables en accord avec le plan national d’augmentation des capacités de production d’énergie solaire et éolienne, l’objectif étant d’atteindre les 4 GW d’ici à 2020. Dans le cadre du programme d’énergie solaire, lancé par l’état en 2009, cinq grandes centrales solaires seront construites dans tout le pays. En 2013, les travaux ont commencé pour la première de ces installations, une centrale d’une capacité de 160 MW à Ouarzazate. Le contrat avait été remporté par un consortium mené par ACWA Power International, une entreprise d’Arabie Saoudite. La MASEN a lancé un nouvel appel d’offres fin 2013 pour deux centrales solaires supplémentaires, qui à elles deux ajouteront 300 MW au complexe d’Ouarzazate. Fin octobre, le Maroc a d’ailleurs obtenu un emprunt de 654 millions d’euros de la banque d’Etat allemande KfW en soutien à ces deux projets. En 2014, les projets de développement des infrastructures nationales et des capacités de production électrique contribueront à l’essor d’un certain nombre d’industries et de l’économie en général. Reste encore quelques défis à surmonter, notamment liés à la croissance atone en Europe et à la réforme des subventions, mais les initiatives en cours constituent une base solide à la future croissance.