Vers un 2éme gouvernement "Benkirane" ?

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ALERTE - Nouveau gouvernement Benkirane II: beaucoup de femmes?
Crée le : 09 octobre 2013

Il semble que Benkirne tienne à se rattraper: dans le nouveau gouvernement, il y aurait au moins cinq femmes en plus. Si aucun nom n'est avancé pour le PJD, le RNI placerait Fatima Marouane et M'Barka Bouaida. Le PPS enverrait Choukhafat Afilal et le MP, Hakima Haiti.

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ALERTE - Nouveau gouvernement Benkirane II:Mezouar aux Affaires Etrangères?
Crée le : 09 octobre 2013


Le patron du RNI, que l'on attendait aux Finances dans le nouveau gouvernement annoncé (sans confirmation) pour le jeudi 10 octobre, irait finalement aux Affaires étrangères. La campagne de dénigrement qui l'a visé durant les années 2012 et 2013 aura finalement rendue impossible sa réinstallation aux Finances, en dépit de la logique technique de ce choix Rapellons que cette campagne a été lancée par le PJD

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ALERTE - Nouveau gouvernement Benkirane II:Bousaid de retour?
Crée le : 09 octobre 2013


Mohamed Bousaîd (RNI) ferait son retour au gouvernement avec la nouvelle équipe, et ce dans un poste très en vue, à défaut d'être le plus facile: les Finances. Compte tenu de l'état des finances publiques, il faut à ce poste un homme capable d'inspirer la confiance par sa maîtrise technique. Bousaid qui avait fait ses premiers pas avec le regretté Meziane-Belfqih avant d'entrer au RNI, aurait fait consensus après des mois de bataille.

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ALERTE - Nouveau gouvernement Benkirane II: Akhanouch: fortes demandes
Crée le : 09 octobre 2013


Le ministre de l'Agriculture, Aziz Akhanouch, qui assure actuellement l'intérim des Finances, ne conserverait pas ce nouveau portefeuille dans le prochain gouvernment, que les rumeurs annoncent pour le jeudi 10 octobre. Il avait été un temps envisagé de le conserver au Finances, en lui otant l'Agriculture. Mais des messages insistants de la part des professions agricoles souhaité garder le "père" du Plan Maroc Vert, "là où il doit encore accompagner cette strtégie de long terme".

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ALERTE - Nouveau gouvernement Benkirane II: Trois sortants?
Crée le : 09 octobre 2013

Des indications concordantes donnent le nouveau gouvernment pour le jeudi 10 octobre. Rien n'est confirmé pour l'instant. Trois grandes personalités ne seront sans doute pas reprises dans la nouvelle équipe: Souhail (PPS- Emploi), Amara (PJD/industrie) et Othmani (PJD/Affaires étrangères).

Economiste

Fremo a écrit:

mirage a écrit:

El Othmani ne sera plus dans l'équipe

Infos qui vient d'être confirmée par Benky

Le Maroc perde avec cette decision, Fassi Fihri et El Amrani doivent etre content. El Othmani a eu la tres dificil mission de rendre les affaires etrangeres dans les mains du gouvernement meme si en coordination avec le Palais, le gouvernement, representant de la volonte populaire, avait toujours un mot a dire. Bon, un autre pas en arriere et ca continue.

Enfin ! un bon couple à la têtre de notre MAE, Mezouar et Mbraka Bouida

Leo Africanus a écrit:

Fremo a écrit:

mirage a écrit:

El Othmani ne sera plus dans l'équipe

Infos qui vient d'être confirmée par Benky

Le Maroc perde avec cette decision, Fassi Fihri et El Amrani doivent etre content. El Othmani a eu la tres dificil mission de rendre les affaires etrangeres dans les mains du gouvernement meme si en coordination avec le Palais, le gouvernement, representant de la volonte populaire, avait toujours un mot a dire. Bon, un autre pas en arriere et ca continue.

disons nous les choses aussi othmani n'avait pas le niveau, son interview sur aljazeera par exemple était lamentable

Fremo a écrit:

Enfin ! un bon couple à la têtre de notre MAE, Mezouar et Mbraka Bouida

Agree my Admiral,au moins je les ai vus tous les deux performes un au Wall Street,MSNBC et CNN et L'autre a CSPAN ,FOX,CNN.Les deux etaient superbes ils ont montre un Maroc nouveau et avant gardes ils etaient mieux que othmani et encore que Fifi et Amrani,ces derniers etaient lamentables. Allez hop au nouvelle injection,il faut travailler comme cela il faut bouger et changer toujours jusqu'on trouve l'equipe agressive pragmatique,plus de papas et mamans,on devrait faire la meme choses chez nos militaires il est temps pour un nouveau sang et une nouvelle pensee ,l'example c'est les FRA avec le genral Boutaleb c'est une armee jeune high tech et suit le developement aeronautique.

El Othmani s'est grillé dés le début avec sa sortie "algérienne", il avait cru qu'il pouvait tout seul rabibocher le Maroc avec son éternel ennemi ..

en plus il s'est fait baladé par les algériens qui ont bien rigolé alors que lui il croyait réellement qu'il pouvait construire quelque chose avec eux !!

sa grande faute, c’était çà ...

au bout d'un moment, comme il persistait dans son erreur, il a fallu une forte déclaration de Benkirane pour qu'il se calme ...et qu'il s'occupe finalement de faire ce qu'il sait le mieux faire : l'imam ..

Toutes ces remarques sur Othmani comme si on avait des MAE de malade avant lui !! ni même après ... Benkirane imam Othmani Imam .... wait&see Mezouar et companie !

n'oubliez pas que c'est un ministère de souveraineté et qu'aucun MAE n'aura de grandes marges de manoeuvre. Il en est ainsi dans plein de pays. La continuité de l'état exige (sur des dossiers vieux de 30 ans/Sahara/présides/relations stratégiques etc etc) que ce travail soit partagé entre le Cbt royal et le MAE.

PGM

une petite précision, pour moi 95% de la diplomatie marocaine se traite au palais royal ...et çà restera !!

donc le MAE n'est là que pour faire de la figuration mais çà aussi il faut avoir un peu de métier et d'intelligence pour bien le faire  

Pièce de théatre...Les politiciens marocains n'ont aucune morale ila man rahima rabek...le pb est en haut  

Moulay Hafid Alami à la tête du ministère de l'industrie ? Ils peuvent pas être sérieux tout de même ! 
Mais putain on a besoin de gens pour servir nos intérêts nous les marocains de tous les jours, pas des gens qui ne travailleront qu'à s'enrichir encore plus quand même ! Et par pitié ne me sortez pas l'argument de la compétence, parce que cet homme est un vrai businessman prédateur !

c´est bien,mieux que Amara qui ne fait que poser large sur le fauteuil et annoncer ce que Chami a negocié avant lui,rien perdu pour moi depuis Chami que je regrette tjs encore

bref voila la couleur annoncée,il est anglosaxone lui et n´est pas tres fan du modele francais,c´est de ca qu´on a besoin qui parle a l´Intrenational

http://www.lemag.ma/Hafid-El-Alamy-Le-Maroc-doit-abandonner-le-modele-francais-pour-vaincre-sa-crise-economique_a71745.html

Chobham ne t'en fait pas il fera tres bien,tous les grands postes economiques et financieres du gouvernement US etaient diriges depuis toujours par des hommes d'affaires de renom comme Rockfeller/Bernanki etc.en plus come Yakuza a dit ce type est un piranha dans les affaires il n'aime pas perdre on se donne rendez vous dans deux ans et tu verras les resultats.

Citation :

Voici la liste complète des ministres :

- Abdelilah Benkirane : Chef du gouvernement.

- Abdellah Baha : ministre d'Etat.

- Mohamed Hassad: ministre de l'Intérieur.

- Salaheddine Mezouar: ministre des Affaires étrangères et de la Coopération.

- Mustapha Ramid : ministre de la Justice.

- Ahmed Toufiq : ministre des Habous et des Affaires islamiques.

- Driss Dahak : secrétaire général du gouvernement.

- Mohamed Boussaid: ministre de l'Économie et des Finances.

- Mohand Laensar : ministre de l'Urbanisme et de l'Aménagement du territoire national.

- Mohamed Nabil Benabdellah : ministre de l'Habitat et de la Politique de la ville.

- Aziz Akhannouch: ministre de l'Agriculture et de la Pêche maritime.

- Rachid Belmokhtar : ministre de l'Éducation nationale et de la Formation professionnelle.

- Lahcen Daoudi : ministre de l'Enseignement supérieur, de la Recherche scientifique et de la Formation des cadres.

- Aziz Rebbah: ministre de l'Équipement, du Transport et de la Logistique.

- Moulay Hafid El Alamy: ministre de l'Industrie, du Commerce, de l'Investissement et de l'Économie numérique.

- Mohamed Ouzzine: ministre de la Jeunesse et des Sports.

- Lahoucine Louardi : ministre de la Santé.

- Mustapha El Khalfi: ministre de la Communication, porte-parole du gouvernement.

- Abdelkader Amara: ministre de l'Énergie, des Mines, de l'Eau et de l'Environnement.

- Lahcen Haddad: ministre du Tourisme.

- Bassima Hakkaoui : ministre de la Solidarité, de la Femme, de la Famille et du Développement social.

- Ahmed Amine Sbihi : ministre de la Culture.

- Anis Birou : ministre chargé des Marocains résidant à l'étranger et des affaires de la migration.

- El Habib Choubani : ministre chargé des Relations avec le parlement.

- Fatema Marouane : ministre de l'Artisanat, de l'Économie sociale et solidaire.

- Abdesslam Seddiki : ministre de l'Emploi et des Affaires sociales.

- Abdeltif Loudyi : ministre délégué auprès du chef du gouvernement chargé de l'Administration de la Défense nationale.

- Cherki Draiss : ministre délégué auprès du ministre de l'Intérieur.

- Mbarka Bouaida : ministre déléguée auprès du ministre des Affaires étrangères et de la Coopération.

- Mohamed El Ouafa : ministre délégué auprès du chef du gouvernement chargé des Affaires générales et de la Gouvernance.

- Mohamed Abbou: ministre délégué auprès du ministre de l'Industrie, du Commerce, de l'Investissement et de l'Économie numérique, chargé du Commerce extérieur.

- Abdeladim Guerrouj: ministre délégué auprès du ministre de l'Éducation nationale et de la Formation professionnelle.

- Soumiya Benkhaldoun : ministre déléguée auprès du ministre de l'Enseignement supérieur, de la Recherche scientifique et de la Formation des cadres.

- Mohamed Najib Boulif: ministre délégué auprès du ministre de l'Équipement, du Transport et de la Logistique, chargé du Transport.

- Idriss Azami Idrissi : ministre délégué auprès du ministre de l'Économie et des Finances, chargé du Budget.

- Mohamed Moubdii : ministre délégué auprès du Chef du gouvernement, chargé de la fonction publique et de la modernisation de l'administration.

- Hakima El Hiti : ministre déléguée auprès du ministre de l'Énergie, des mines, de l'eau et de l'environnement, chargée de l'environnement.

- Charafat Afilal: ministre déléguée auprès du ministre de l'Énergie, des mines, de l'eau et de l'environnement, chargée de l'eau.

- Mamoun Bouhadhoud : ministre délégué auprès du ministre de l'Industrie, du Commerce, de l'investissement et de l'économie numérique, chargé des petites entreprises et de l'intégration du secteur informel

J'ai énormément d'estime envers la nouvelle équipe franchement, avec un seul point noir à mon sens .. le retour de Belmokhtar à la tête de l'éducation nationale  

6 femmes c'est pas mal
De meme pas mal de technocrate dans l'équipe...le Chef de Tanger Med est Ministre de l'Intérieur...

Pas mal le gouvernement,Fremo wait and see may be the man learned from his mistake what it is good thing,peut etre il reviendra un homme aguerri. Maintenant il faut les laisser faire leur travail,ils sont en retards et ils doivent se rattraper.

Presque 40 ministres...Incroyable...quel message veut-on donner après ça?
Benkirane aurait du appeler a des elections anticipées...son parti est le plus grand perdant après cette composition à moyen terme...je crois qu'il a été piègé de manière terrible (3assroh)  

Encore une chose : certains ministères sont copier / coller du gouvernement français (économie sociale, PME/PMI par exemple)

Je me demande pourquoi garder El Ouafa et envoyer Boulif vers une ministère déléguée au Transport  
4 ministère pour l'éducation, l'enseignement et la formation ...  

Mbarka Bouaida article dans The journal of international security affairs.Pas mal

Citation :

The Promise of a United Maghreb
Mbarka Bouaida
CASABLANCA–The Arab Maghreb Union (AMU) can claim some successes since its inception on February 17, 1989. Yet much still remains to be done to integrate the countries of the Maghreb. True regional unity, and the prosperity that flows from it, will require an examination of future challenges facing the North African region: Mauritania, Morocco, Algeria, Tunisia, and Libya.

That task has never been more crucial. The current international environment and the proliferation of multiple crises–financial, economic, food, energy-related or other–makes the removal of impediments to effective development more important than ever. The Kingdom of Morocco has blazed a trail in this regard, spearheading the drive for a strong, united, and mutually beneficial Maghreb. It has done so not only due to shared history, language (Arabic and Amazigh), and religion, but also because it is a necessity dictated by our shared destinies and aspirations. Quite simply, North African integration is a duty that we cannot ignore in the face of globalization.

More than ever before, the well-being of the citizens of the Maghreb hinges on the free circulation of people, services, goods, merchandise, and capital in a North African common market–one that will eventually lead to a monetary and economic union that contributes to robust, revitalized trade among the countries of the region.

Such a dream is achievable. Increasing national growth rates by just two points, admittedly an ambitious goal in these difficult economic times, would make regional states powerful, complementary, and competitive–and make North Africa a hub for domestic and international investment. With growing competencies across a range of business capabilities, the opportunities inherent in African markets will contribute to international attention, and regional development.

And with greater coordinated responses to cross-border opportunities, we could begin thinking bigger. North African states would be able take advantage of Euro-Mediterranean cooperation via the Mediterranean Union, and expand contacts with other parts of Africa and the Middle East to more effectively deal with transnational threats, be they financial, economic, food, energy-related or environmental.

Indeed, North African integration can serve as a model for joint action and effective cooperation across the Arab and Islamic worlds, both on the African continent and beyond it. It would offer to Arab, Islamic, and African countries a unique cultural model that underscores common values like the respect for diversity, and serve as a source of inspiration to neighboring nations.

The first step along this path is a return to the region’s rich shared cultural heritage. Revisiting our history, our language, and religion is key to recalling that what joins us together is more important than what separates us.

But our march toward a modern Maghreb should not stop with these memories. Rather, we should focus on the potential complementarities emerging in our region. By keeping close watch on various strategies to develop North African agriculture, tourism, the deployment of networks (oil and gas pipelines, electrical cables, telecommunications, transportation, etc.), and the opening of free trade to other Maghreb countries, we will successfully embrace the challenge of the Maghreb integration.

By making our countries more business friendly, via the harmonization of legal, administrative, and financial measures that create a favorable climate for inter-Maghreb transactions and investment, and by lifting impediments to trade, in particular the logic-defying closure of the Moroccan-Algerian border, the road to a Greater Maghreb could be paved. At the same time, by opening up a common regional market of more than 80 million consumers, large enough to attain economies of scale, North African corporate entities could boost their competitiveness in a globalized environment, and improve the living conditions of local populations.

But a strategy for regional integration will only succeed if local leaders make intelligent use of the many opportunities that are afforded to them. It is far more effective for the North African counties to speak and negotiate with their global partners with one voice. In turn, dealing with a single regional policy and purpose is more attractive to international partners interested in investing in the Maghreb. To put a modern twist on an old adage, the countries of the Maghreb today have a clear choice: they can prosper together, or they can stagnate separately.


Ms. Mbarka Bouaida is a member of the Moroccan Parliament, and chair of its Committee of Foreign Affairs, National Defense and Religious Affairs. She also represents Morocco in the Euro-Mediterranean Parliamentary Assembly.

http://www.securityaffairs.org/issues/2010/19/bouaida.php

Fremo a écrit:

Je me demande pourquoi garder El Ouafa et envoyer Boulif vers une ministère déléguée au Transport  
4 ministère pour l'éducation, l'enseignement et la formation ...  

Benkirane a été obligé d'agir ainsi...c'est un gouvernement qui a répondu d'abord a des exigences politiciennes...il va perdre de la crédibilité en interne (au sein de son parti) et vis à vis des marocains.
Je ne veux pas etre pro-complot mais il me semble qu'il a été piégé de manière extraordinaire. Il aurait du appeler a des elections anticipée.
Wait & see.

juba2 a écrit:

Mbarka Bouaida article dans The journal of international security affairs.Pas mal

Excuse moi Juba je viens de lire cet article...mais je ne vois aucun génie la dedans bien au contraire un article assez superficiel - pas profond (au niveau du contenu).

Fremo a écrit:

Je me demande pourquoi garder El Ouafa et envoyer Boulif vers une ministère déléguée au Transport  
4 ministère pour l'éducation, l'enseignement et la formation ...  

Benki est tres malin il lui a donne ce poste pour connaitre le rouage du PI ,en le mettant la Benki prepare pour les prochaines elections pour terminer avec Chabat et le PI.Il faut toujours garde ton ennemie tres pres