Actualités du Sahara Marocain

Rappel du premier message :

gardons la tete froide et ne nous echauffons pas sur cette video vieille de plusieurs années.
Par ailleurs, et meme si je peux comprendre, il n'est pas raisonnable d'appeler a une justice expéditive hors des prêtoires.

Citation :

Le roi Mohammed VI accomplit la prière du vendredi à Dakhla

Le roi Mohammed VI accomplira, ce vendredi, la prière d'Addohr à la mosquée Assalam de Dakhla où le souverain effectue une visite depuis mercredi.

Le roi Mohammed VI accomplira, ce vendredi, la prière d'Addohr à la mosquée Assalam de Dakhla où le souverain effectue une visite depuis mercredi, a appris Le360 de sources concordantes. Une délégation ministérielle comprenant les ministres de l'Intérieur, Mohamed Hassad et Aziz Akhannouch, ont inauguré, jeudi, deux projets liés à la pêche maritime. La visite du souverain dans la deuxième grande ville des provinces du sud est hautement symbolique puisqu'elle coïncide avec l'appel du Maroc à l'ONU au règlement du conflit du Sahara marocain créé artificiellement par l'Algérie.

http://www.le360.ma

Citation :

le Roi reçoit à Dakhla le ministre ivoirien de l'Intérieur et de la Sécurité

Vendredi 18 Avril 2014 modifié le Vendredi 18 Avril 2014 - 16:44

Le Roi Mohammed VI a reçu vendredi en sa résidence à Dakhla, le ministre d'Etat, ministre de l'Intérieur et de la Sécurité de la République de Côte d'Ivoire, M. Hamed Bakayoko.

Cette audience s'est déroulée en présence du ministre de l'Intérieur, M. Mohamed Hassad.

http://www.atlasinfo.fr

Non non y a quelque chose c'est sur.

Soit ils ont peur pour la sécurité du roi, soit le roi les boude, mais il y a quelque chose.

La priére de Jamou3a d'habitude est montrée la où le roi la fait et ensuite il sort voir la population la rien de tout ca et pourtant l'acceuil était la, certes les sahraouis n'étaient pas tous la mais une grande partie etait la.

Y a quelque chose que j'aime pas.

En 2005 sa visite au sahara ne s'était pas passé comme ca.

Gral D. tu a deja dit qu'il y a quelque chose que tu n'aime pas de cette visite. Peut-tu nous dire ouvertement ce que tu pense?
Tu connais bien le dossier, la qu'elle est alors ta pense'e?

Je pense qu'il parle de la faible médiatisation de cette visite...

je pense que c est une visite que le roi rend aux habitants de cette région qui nous est chère, et qu il ne s agit surtout pas de faire le Show. Pourquoi nous mettre en mode paranoïa ???

https://www.youtube.com/watch?v=8XAnNpmX7Sg

here u are guys...

Pour moi la mediatisation est normal du meme type qu a tetouan casa et tanger...il ne faut pas en faire un evenement exeptionel dakhla est une ville marocaine comme les autres

Citation :

La princesse Lalla Salma se promène dans un marché traditionnel à Dakhla

Dakhla : Les habitants de la ville de Dakhla ont été agréablement surpris de voir la princesse Lalla Salma se promener, sans protocole, dans un marché traditionnel de la ville.



ne vidéo amateur a, en effet, filmé la princesse Lalla Salma, lunettes de soleil et chapeau sur la tête, dans un marché populaire de la ville de Dakhla.

Rappelons que la princesse Lalla Salma se trouve dans la ville de Dakhla avec le prince héritier Moulay Hassan et la princesse Lalla Khadija. Le Roi Mohamed VI est arrivé, ce jeudi matin, à cette cité.

lemag.ma

Leo Africanus a écrit:

Gral D. tu a deja dit qu'il y a quelque chose que tu n'aime pas de cette visite. Peut-tu nous dire ouvertement ce que tu pense?
Tu connais bien le dossier, la qu'elle est alors ta pense'e?

Je craignais quelque chose avec les indépendantistes.
Il s'est passé quelque chose a Boujdour apparement un membre de l'escorte blessé avec une pierre.

najib77 a écrit:

https://www.youtube.com/watch?v=8XAnNpmX7Sg

here u are guys...

Al hamdoulilah. Merhba o sahla wahla.

Édit modération: supprime car inutile.

3ACHA LMALIK 3ACHET LMAMLAKA LMAGHRIBIYA

Merci Najib Et G. Dlimi pour le partage de ces vidéos !

J'avoue que j'étais stressé de ne pas voir des images. On flippe pas mal f cette période.

Je partage avec vous ma joie, de voir notre roi fouler le sol béni de cet terre de Dakhla

Et je dédie a tout mon peuple, mon grand peuple, cet chanson de Dakhla, wani bikoum kamliiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiine   

KapMajid a écrit:

Merci Najib Et G. Dlimi pour le partage de ces vidéos !

J'avoue que j'étais stressé de ne pas voir des images. On flippe pas mal f cette période.

Y a pas de quoi... et puis dans la région les marocains sont sûrement ceux qui ont le moins de raisons de flipper ;-)

Incroyable mais vrai... regardez le titre du journal espagnol ABC, je suis bouche be.

Citation :

Douze activistes canariens  expulse's du Sahara marocain

J'ai pris un screenshot en cas ou ils decideriaient de changer ce titre. J'en suis sure et certain qu'ils le feront demain matin.




PS: je suis tres malade aujourd'hui. j'en ai une temperature tres eleve', mal a la tete et je n'arrive pas a dormir et pour en finir la fete j'ai decide' de voir la serie americaine:  American Horror Story. J'ai deja vu 4 episodes de la premiere saison. Toutes ses explications c'est juste si vous vous demandez qu'est ce que je fait par ici a ses heures si. Je n'ai pas encore  perdu la tete, je crois.

Bon rétablissement !

Peu être  que ce journal n'a pas eu son chèque encore vu que les crapuleux caporaux d'Alger sont occupés

حرر يومه الجمعة 18 من أبريل2014 بمدينة الداخلة   

KapMajid a écrit:

Bon rétablissement !

Peu être  que ce journal n'a pas eu son chèque encore vu que les crapuleux caporaux d'Alger sont occupés

pas mal   

prompt retablissement Leo   
a l´heure ou j´ecris c´est tjs le meme titre revelateur,l´expression.dz avait aussi péché par la verité une fois..

 Intéressant rappel des faits qui permet de comprendre la nouvelle résolution en cours et Belle analyse professeur  On en conclut que c'est vraiment la dernière ligne droite et à mon avis la fin du conflit est programmé pour 2015 (1975-2015, 40 ans l'âge de la maturité et des bonnes résolutions, même pour un conflit^^)

Citation :

L’ONU et le Sahara: L’impasse diplomatique?
Par le Pr. Mustapha SEHIMI

AVEC récurrence, voilà donc de nouveau le rendez-vous d’avril avec la question du Sahara devant le Conseil de sécurité.

Le jeudi 17 avril courant, le Secrétaire général de l’ONU, Ban Ki-moon, va en effet présenter au Conseil de sécurité son rapport sur ce dossier national. Cinq jours plus tard, le 22 avril, ce sera au tour de son Envoyé personnel, Christopher Ross, de présenter les conclusions de sa dernière tournée dans la région, en date du début du mois de février. Enfin, ce cycle d’auditions sera clos avec un autre rapport: celui de son Représentant spécial, Wolfgang Weisbrod-Webe, chef de la Minurso.
Que va-t-il bien sortir de cet agenda de la haute instance onusienne? En tout état de cause, la position du Maroc vient d’être réaffirmée, avec éclat et force, par le Souverain, dans un entretien téléphonique samedi 12 avril, avec Ban Ki-moon, à savoir:
- l’engagement constant et la coopération constructive de Rabat pour une solution politique définitive,
- l’impératif de préserver et de conforter les paramètres de la négociation tels que définis par le Conseil de sécurité depuis 2007,
- la sauvegarde du cadre et des modalités actuelles de l’implication de l’ONU pour éviter les approches partiales et rigides ainsi que les options périlleuses,
- enfin, la stricte observance de cette voie faute de quoi des conséquences fatales porteraient atteinte à la mission de l’ONU dans ce dossier.

Globalement, c’est l’évaluation d’une nouvelle approche prônée par Christopher Ross qui est à l’ordre du jour: celle de consultations bilatérales et de navettes diplomatiques. Cette procédure a été retenue par le Secrétaire général de l’ONU et par le Conseil de sécurité en avril 2013. Elle devait s’articuler autour de trois points. Le premier était de prendre langue avec chaque partie et d’inviter à des négociations mutuelles dans un esprit de compromis et ce, avec des “idées concrètes sur la nature et les éléments d’un règlement”. S’en suivrait une période de “diplomatie de la navette” ayant pour objet et finalité d’enrichir le processus de négociation. Le deuxième axe, lui, visait à demander à chaque partie un nouveau recadrage de sa proposition en vue de la réunion en face-à-face en soulignant ce que celle-ci pouvait offrir comme avantages pour l’autre partie.
Enfin, le dernier point se proposait d’inscrire ce processus négociatoire dans le temps. Dans cette ligne, Christopher Ross prend en compte le fait que le statut final du Sahara ne pourra pas se faire à court terme; et qu’il convient, dans ces conditions, de réaliser un accord sur les conditions et les modalités de la gouvernance – une sorte d’articulation institutionnelle. Cette formule devrait ensuite conduire à la finalisation d’un accord sur un règlement définitif dans le cadre d’une dernière réunion entre les parties.
Mais il y a plus. Parce qu’il n’ignore pas le contexte régional dans lequel s’est posé le problème du Sahara depuis près de quatre décennies, l’envoyé personnel de Ban Ki-moon fait d’autres propositions de nature à améliorer le climat dans lequel devrait se dérouler le processus de négociation. C’est ainsi que, là encore, trois idées supplémentaires sont mises en avant. L’une regarde son redoublement d’efforts pour la normalisation des relations entre Alger et Rabat amorcée alors par des visites ministérielles entre les deux pays. (on commence à comprendre que sans négociations directes avec l'Algérie, il n'a pas de solution au conflit) L’autre est de multiplier et d’élargir, sous l’égide du HCR, les contacts entre les Sahraouis des provinces marocaines et ceux réfugiés dans les camps de Tindouf. Enfin, celle-ci: la redynamisation de 1’UMA, ce qui ne pourrait qu’activer le rôle de celle-ci dans la recherche d’uns solution qui demeure le principal conflit dans cette région.
Un an après, où en est-on dans ce programme de travail? Les éléments déjà rendus publics, contenus dans le rapport du Secrétaire général devant être présenté aux quinze membres du Conseil de sécurité, permettent d’arriver pratiquement à un constat: celui de l’impasse diplomatique et ce malgré les mesures prises par le Royaume dans le cadre des engagements pris. Recevant  l’AMDH à Laâyoune, en octobre 2013, Christopher Ross avait alors fait part de son sentiment: «Je suis patient.

. et je tiendrai jusqu’à faire parvenir l’affaire du Sahara à bon port». Sept mois après, l’état de ce dossier, tel qu’il est, n’atteste pas que cette patience a été payante: tant s’en faut. La «diplomatie itinérante» avec les parties et les pays concernés a été marquée par quatre tournées dans la région, lesquelles ont prolongé pas moins de neuf sessions de négociations depuis août 2009, entrecoupées de quatre rendez-vous à Manhasset entre 2009 et 2010.
Ban Ki-moon a pris la mesure de cette situation et il va proposer le 17 avril que des discussions aient lieu avec le Conseil de sécurité, dans un semestre, en octobre 2014. Il se donne ainsi un délai pour faire une première évaluation de nature à apprécier les résultats de la nouvelle approche mise en œuvre par son Envoyé personnel. Il recentre le dossier autour de deux questions présentées comme étant fondamentales: le contenu d’une solution politique et la forme de l’autodétermination. (plus bas on comprendra que la seule forme d'autodétermination valable est la proposition Marocaine de la rge autonomie)
Le contenu, c’est quoi? Qu’y a-t-il sur la table? En premier, bien entendu, le projet marocain d’autonomie présenté le 11 avril 2007 salué par la majorité de la communauté internationale et les puissances influentes comme une avancée majeure à cet égard. Dans son rapport au Conseil de sécurité en date du 8 avril 2013, Ban Ki-moon en fait état. Toutes les résolutions de la  haute instance onusienne adoptées depuis 2007 ont salué ce texte. La dernière en date – la 2099 du 25 avril 2013 – s’est expressément félicité «des efforts sérieux et crédibles faits par le Maroc pour aller de l’avant vers un règlement» alors qu’elle s’est bornée à prendre «note également de la proposition du Front Polisario du 10 avril 2007». Dans un considérant de cette même résolution, le Conseil de sécurité se déclare «conscient et se félicitant des mesures que le Maroc a prises pour renforcer les commissions du CNDH à Dakhla et Laâyoune et du dialogue qu’il entretient avec les titulaires de mandats relevant des procédures spéciales du Conseil  des Droits de l’Homme de l’ONU».
Tout au long de l’année 2013 et des premiers mois de 2014, le Maroc continue dans cette voie pour honorer ses engagements, comme l’a souligné le ministre des Affaires étrangères et de la Coopération, Salaheddine Mezouar, dans une lettre au secrétaire général de l’ONU en date du 1er avril courant. Il y explique qu’il convient de donner une impulsion au processus de recherche de solution politique au différend régional sur le Sahara; et il l’invite à tenir dûment compte dans son rapport au Conseil de sécurité des mesures prises par le Royaume:
- rapport du CESE sur un nouveau modèle de développement pour les provinces du Sud,
- renforcement du rôle et de l’efficacité du CNDH  avec l’instruction des quelque 50.000 plaintes, notamment celles émanant de Laâyoune et Dakhla dans un délai maximun  de trois mois,
- interaction des  départements ministériels avec le CNDH,
- totale coopération pour l’application des procédures spéciales du Conseil des Droits de l’Homme de l’ONU,
- dépôt des instruments de ratification du Protocole facultatif à la convention contre la torture (OPCAT),.

Cette volonté politique  constructive et substantielle de Rabat met à nu, en creux, l’immobilisme et la paralysie en Algérie ainsi que chez les séparatistes du Polisario. C’est ainsi que malgré les multiples appels du Conseil de sécurité – réitérés dans  la résolution 2099 du 25 avril 2013 –, l’Algérie se refuse encore à l’identification et au recensement des populations des camps de Tindouf. Si bien que personne ne sait qui est qui et que celles-ci ne peuvent guère bénéficier de la protection des conventions internationales pertinentes en la matière par suite d’une situation de «non-droit». En tant qu’Etat hôte, l’Algérie est ainsi fortement interpellée pour assumer ses responsabilités, et pour faire montre de son engagement résolu dans un processus de négociation conséquent. C’est à cette aune-là, celle des actes et non d’une rhétorique de propagande, qu’il importe d’évaluer l’engagement du Maroc et des autres parties.
Le document du Secrétaire général de l’ONU soulève aussi une autre question: celle de l’exploitation des ressources naturelles du Sahara. Il indique à ce sujet ce qui suit: «A la lumière de l’intérêt accru dans les ressources naturelles du Sahara occidental, il est opportun de faire appel à tous les acteurs concernés à reconnaître le principe que les intérêts des habitants de ces territoires sont primordiaux». N’est-ce pas déjà le cas? Il conviendrait peut-être de publier un jour la balance des comptes publics dans cette région depuis quarante ans pour appréhender comme il se doit l’immense effort d’investissement, de développement et de progrès social engagé pour faire justice, là encore, d’une propagande insidieuse. L’ajustement des politiques publiques pour plus d’efficience, proposé par le CESE dans son rapport d’octobre dernier, est bien l’illustration d’un nouveau modèle éligible à une régionalisation qualitative avancée.
Voici un an, le Conseil de sécurité avait reconnu que «le maintien du statu quo n’est pas acceptable»; et que les progrès dans les négociations étaient essentiels, «sans conditions préalables et de bonne foi». Mais force est de relever que le processus n’avance pas. La communauté internationale accuse une lassitude à cet égard, tout en mesurant la nature et les conséquences de la persistance de ce conflit dans l’équation sécuritaire qui prévaut dans l’espace sahélo-saharien.

Minurso et droits de l’Homme

BAN Ki-moon, dans son rapport, s’est félicité de la volonté du Royaume de permettre aux enquêteurs spéciaux du Conseil des droits de l’Homme de visiter les provinces sahariennes. Il a également relevé, avec satisfaction, la «volonté des autorités marocaines d’institutionnaliser les bonnes pratiques» ainsi que toutes les mesures décidées par Rabat pour améliorer l’efficacité du CNDH.
Il a encore repris une recommandation déjà formulée l’année dernière, à savoir que l’objectif final est l’instauration d’un «mécanisme de surveillance des droits humains soutenu, indépendant et impartial». Cet organe ad hoc serait pratiquement une composante des droits de l’homme adjointe à la Minurso. Or cette mission décidée par la résolution 690 du  Conseil de sécurité du 29 avril 1991 a une double attribution: d’une part, celle de l’accord de cessez-le-feu entre le Maroc et le Polisario; d’autre part, la préparation du référendum sur le statut final du Sahara.
Le Maroc met en relief toutes les mesures prises pour la protection des droits de l’homme qui sont autant d’engagements qu’il a tenus alors que les séparatistes à Tindouf n’ont guère emprunté la même voie et que la répression qui frappe les populations réfugiées est pratiquement la forme privilégiée de gouvernance in situ. Si le Royaume est toujours disposé à continuer à améliorer davantage le dispositif de protection des droits de l’Homme – dans ses provinces sahariennes comme dans le reste du territoire national – il n’entend pas pour autant écorner les attributs régaliens de sa souveraineté nationale.
Et en face? Dire que le HCR n’arrive même pas à enregistrer individuellement les populations réfugiées de Tindouf pour pouvoir ensuite  s’atteler à la situation des droits dans les camps! Alors ? Ban Ki-moon  a raison de fixer un ultime délai d’un an pour sortir de cette impasse. Si aucun progrès n’est réalisé avant octobre 2015, il a déclaré que «le temps sera alors venu pour engager les membres du Conseil de sécurité à procéder à une révision totale du cadre du processus des négociations qu’il avait fourni en avril 2007» au Maroc et au Front Polisario. On appelle cela le délai de péremption d’un conflit artificiel périmé.

http://www.leconomiste.com/article/935661-l-onu-et-le-sahara-l-impasse-diplomatiquepar-le-pr-mustapha-sehimi

Citation :

Le 'Majliss' du Kazakhstan déclare soutenir la 'marocanité du Sahara

Astana : Le (Majliss) du Kazakhstan est la chambre des représentants Kazakh, son président Kabybulla Jakupov, a déclaré, mardi à Astana, le soutien de son pays à l'intégrité territoriale du Royaume et aux efforts déployés par le Maroc afin de parvenir à un règlement pacifique de ce différend.
Recevant une délégation conduite par le président de la Chambre des conseillers, Mohamed Cheikh Biadillah, Jakupov a souligné l'importance de la coopération politique et économique entre le Kazakhstan et le Maroc, saluant la coordination entre les deux pays au sein des instances régionales et internationales.

Il a mis l'accent sur la nécessité de développer la coopération économique entre les deux pays à tous les niveaux et de renforcer le partenariat bilatéral dans les domaines industriel, agricole et énergétique.

A cette occasion, Jakupov a passé en revue l'expérience parlementaire de son pays et l'action de la Chambre des représentants composée de 109 députés.

Pour sa part, Biadilah a donné un aperçu sur l'expérience démocratique et le modèle de développement du Royaume. Il a mis en exergue les efforts du Maroc sur la voie de la réforme de l'économie et de la justice, l'élargissement du champ des droits et libertés et la lutte contre la corruption.

Concernant la question de l'intégrité territoriale du Royaume, le président de la Chambre des conseillers a rappelé les circonstances politiques et historiques du conflit artificiel autour du Sahara, mettant en relief l'importance de la proposition marocaine d'autonomie en tant que seule solution durable capable de mettre fin à ce différend.

Cette proposition d'autonomie est de nature à insuffler une nouvelle vie à l'Union du Maghreb arabe, comme regroupement régional qui permettra de relever les défis sécuritaire et de développement et de construire un avenir commun, selon lui.

Se félicitant de l'évolution constante des relations de coopération entre le Royaume du Maroc et la République de Kazakhstan, Biadillah a souligné le rôle de la diplomatie parlementaire dans le renforcement de ces relations.

La délégation marocaine, qui était accompagnée de l'ambassadeur du Maroc en Kazakhstan avec résidence à Moscou, Abdelkader Lachab, comprend notamment Mohamed Ansari, président du groupe istiqlalien de l'Unité et de l'égalitarisme, Abdelhamid Saadaoui, président du groupe haraki et Mohamed Alami, président du groupe socialiste.  

http://www.lemag.ma/Le-Majliss-du-Kazakhstan-declare-soutenir-la-marocanite-du-Sahara_a82667.html

Réaction du polz à la visite du ministre ivoirien de l'intérieur à Dakhla :

Citation :

Polisario : l’Ivoirien qui a mis Abdelaziz hors de lui
par Khalid Ibrahim Khaled | publié: 23 avril 2014 0 Commentaire
abdoLa réaction indignée du chef du Polisario à la visite du ministre ivoirien de l’Intérieur dans la ville de Dakhla, a été davantage une riposte pour marquer le coup plus qu’autre chose, selon des sources bien informées à Tindouf, qui assurent que Mohamed Abdelaziz s’est résigné à voir de tels messages venant d’Afrique se reproduire plus souvent à l’avenir.
Si la visite du ministre ivoirien Hamed Bakayoko dans la deuxième ville du Sahara occidental a jeté l’émoi dans les rangs du Polisario, elle a encore plus été vécue comme un drame chez les responsables algériens, selon les mêmes sources. Aussitôt la visite du ministre ivoirien de l’Intérieur annoncée, ordre a été transmis par Alger au chef du Polisario de riposter, ne serait-ce que pour ne pas laisser passer l’affront, selon les mêmes sources. En fait, la réaction d’Alger par Polisario interposé à la visite du ministre ivoirien au Sahara occidental, cachait une autre sur laquelle les responsables algériens ne pouvaient se prononcer au risque de se trahir. Alger a été en effet déconcerté par le déplacement du roi Mohammed VI en personne dans la ville saharienne de Dakhla. Un voyage d’autant plus symbolique qu’il intervenait au moment même où le Polisario et l’Algérie essayaient de faire monter les enchères dans les coulisses de l’Onu sur la question des droits de l’homme au Sahara occidental.
Avec un message aussi limpide du Maroc, il est devenu évident pour le Polisario et davantage par Alger, que désormais rien ne sera plus comme avant dans l’affaire du Sahara occidental. Le Maroc revient en force sur la scène africaine, où de nombreux pays considèrent que ce conflit régional monté de toutes pièces a assez duré. La fictive république sahraouie et le Front Polisario sont deux faces d’une même pièce mise en circulation en pleine guerre froide. Aujourd’hui, les responsables du Polisario, jadis exaltés par les pétrodollars distribués généreusement par Boumediene et Kadhafi pour rallier certaines capitales africaines, sont convaincus que ce temps est révolu, commentent imperturbablement les mêmes sources à Tindouf.

http://www.polisario-confidentiel.com/1019-polisario-livoirien-qui-a-mis-abdelaziz-hors-de-lui.html

Citation :

16 Sahraouis refusent de retourner à Tindouf Venus à Dakhla dans le cadre de l’opération d’échange de visites familiales

Un groupe de 16 personnes appartenant à quatre familles venues des camps de Tindouf dans le cadre des visites familiales que supervise le HCR, ont décidé de rester à Dakhla. Arrivés dans cette ville vers la fin de la semaine dernière, ces Sahraouis qui devaient repartir hier mercredi, ont présenté une demande au HCR, exprimant leur volonté de rester dans leur pays, le Maroc.
L’un des membres du groupe a déclaré à ce propos que ses compagnons et lui en ont assez de vivre dans le mensonge qui perdure depuis bientôt 40 ans et de contribuer indirectement à faire la fortune des dirigeants du Polisario.
Il a également indiqué que les dernières mesures répressives initiées par l’armée algérienne interdisant aux habitants des camps tout déplacement et l’absence de réaction de la direction séparatiste aux meurtres et enlèvements de Sahraouis perpétrés par cette même armée, ont démontré que le Polisario est une marionnette dont l’Algérie tire les ficelles.

http://www.libe.ma/16-Sahraouis-refusent-de-retourner-a-Tindouf_a49438.html

Report de la réunion du Conseil de sécurité de l'ONU pour discuter le dossier du Sahara.

c'est le moment de foutre dehors la minurson avant la semaine prochaine.Ainsi que de demander le retour de tous les casques bleus Marocains a travers le monde,