Actualités Algeriennes

Rappel du premier message :

C'est un problème d'éducation/comportement générale! Et ça impacte l'ensemble des maghrebins ...

mbarki_49 a écrit:

Hocine Ait Ahmed, leader historique du FFS exilé en Suisse, aurait émis le souhait d'être inhumé au maroc après son décès.

Citation :

http://www.algeriatimes.net/algerianews28608.html

Bien sûr son frère et sa sœur ils y sont et il a encore ca famille à Tanger

Franchement quelle est l'utilité d'avoir ce genre d'usine   

Un seul composant sera produit localement, et encore à vérifier

Citation :

La plupart des pièces de rechange nécessaires à la production des voitures qui sortiront de l’usine seront importées. Au démarrage, seules les pièces d’injection plastique seront fabriquées par le sous-traitant local Joktal.

http://www.elwatan.com/economie/la-symbol-made-in-algeria-sortira-d-usine-dans-5-mois-25-06-2014-262441_111.php

Citation :

Frontières algéro-marocaines : L’Algérie autorise l’entrée des réfugiés syriens
Amel Ammari/version française : Rachel  Hamdi                            
2014/06/25 

Echorouk a appris de sources bien informées que les autorités algériennes ont enfin décidé d’autoriser à deux familles syriennes coincées dans le no man’s land entre le Maroc et l’Algérie d’enter dans son territoire.

Enfin le calvaire des deux familles Aïd composées de huit membres, dont un nourrisson est gravement malade coincées depuis un mois, dans le no man’s land entre le Maroc et l’Algérie vient de toucher à sa fin.

Les mêmes sources ont notamment indiqué qu’à travers cette initiative, l’Algérie a fait passer  un message aux autorités marocaines indiquant que l’Algérie ne cesse de mener des actes humanitaires de grande importance qu’elle que soit le statut juridique des réfugiés syriens, dont les autorités marocains sont censés les prendre en charge  après qu’elles les aient donné des récépissés au lieu des cartes de résidences ,avant qu’elles ne décident de les jeter en dehors du sol marocains en raison d’expiration de leurs passeports.

Echorouk a en effet, pu joindre la famille syrienne, installée actuellement à Oran chez un proche, où le père de l’une des familles a dévoilé à Echorouk que : « L’Etat algérien a permis à mes deux frères, leurs épouses et leurs enfants de retourner en Algérie à l’approche du Ramadhan. C’est un acte humanitaire de grande importance, nous en sommes reconnaissant

The_Iceman a écrit:

Citation :

Frontières algéro-marocaines : L’Algérie autorise l’entrée des réfugiés syriens
Amel Ammari/version française : Rachel  Hamdi                            
2014/06/25 

Echorouk a appris de sources bien informées que les autorités algériennes ont enfin décidé d’autoriser à deux familles syriennes coincées dans le no man’s land entre le Maroc et l’Algérie d’enter dans son territoire.

Enfin le calvaire des deux familles Aïd composées de huit membres, dont un nourrisson est gravement malade coincées depuis un mois, dans le no man’s land entre le Maroc et l’Algérie vient de toucher à sa fin.

Les mêmes sources ont notamment indiqué qu’à travers cette initiative, l’Algérie a fait passer  un message aux autorités marocaines indiquant que l’Algérie ne cesse de mener des actes humanitaires de grande importance qu’elle que soit le statut juridique des réfugiés syriens, dont les autorités marocains sont censés les prendre en charge  après qu’elles les aient donné des récépissés au lieu des cartes de résidences ,avant qu’elles ne décident de les jeter en dehors du sol marocains en raison d’expiration de leurs passeports.

Echorouk a en effet, pu joindre la famille syrienne, installée actuellement à Oran chez un proche, où le père de l’une des familles a dévoilé à Echorouk que : « L’Etat algérien a permis à mes deux frères, leurs épouses et leurs enfants de retourner en Algérie à l’approche du Ramadhan. C’est un acte humanitaire de grande importance, nous en sommes reconnaissant

Pourriture que vous êtes, ils étaient en algerie et ont tentés d'entrer frauduleusement au Maroc, la frontiere étant fermée, le Maroc ne les as pas autorisés a entrer et vous avez refusés de les laisser rentrer en Algerie où ils étaient, devant le refus catégorique du Maroc de ceder a votre provocation, vous avez mis 1 mois pour les laisser revenir.

Quels misérables.

WRANGEL a écrit:

Dialogue stratégique Egypto-algérien

Hada president ?   hada ra2iss dawla ?   

Ya 3ajaba.

On a l'impression que son coeur va lacher d'une seconde a l'autre et il radote, galih n3arfou itabe3 riyada.

Citation :

Algérie – Égypte : Pourquoi Al Sissi est venu à Alger


Kader A. Abderrahim est chercheur à l’Institut de Relations Internationales et Stratégiques (IRIS), spécialiste du Maghreb et de l’islamisme, et Maître de conférences à Sciences-po Paris. Il analyse, dans cet entretien, la visite en Algérie du président égyptien, Al Sissi

Algérie a été la première destination à l’étranger du nouveau chef d’Etat égyptien, Al Sissi. Quelle lecture peut-on en faire ?

C’est sa première visite à l’étranger depuis les élections présidentielles égyptiennes. C’est une visite importante sur le plan diplomatique. D’autant qu’elle n’était pas prévue. Apparemment, il semblerait que le président Al Sissi a été détourné vers Alger, sans mauvais de jeu de mots, avant de se rendre au sommet de l’Union africaine. Visiblement, il y avait des urgences  à discuter, notamment sur le dossier libyen puisque les deux pays ont des frontières communes avec la Libye. L’expertise et l’expérience de l’Algérie dans la lutte contre le terrorisme islamiste peut être utile à l’Egypte. C’est aussi une manière claire de signifier à la communauté internationale que l’Algérie tourne la page du coup d’Etat de juillet 2013 contre le président égyptien, l’islamiste Mohamed Morsi.

Peut-on dire qu’il y a une prise de position algérienne contre les islamismes égyptiens ?

Très clairement. L’élection du frère musulman Morsi en tant que chef d’Etat n’était pas une nouvelle accueillie avec beaucoup de joie par l’Algérie. Le fait que le Président Al Sissi fasse sa première visite à l’étranger en Algérie est important et symbolique et c’est une manière de l’adouber vis-à-vis de la communauté internationale, du monde arabe, juste avant le sommet de l’Union Africaine.

Quel est l’intérêt pour l’Egypte ?

L’Algérie c’est un pays qui compte. Avec l’Afrique du Sud, ce sont les deux géants du Continent.  L’Algérie a beaucoup travaillé pour que l’Egypte soit réintégrée dans les instances de l’Union africaine, qui l’avait suspendue juste après le coup d’Etat contre le président Morsi. L’Egypte lui en est donc reconnaissante.

Quel est l’intérêt pour l’Algérie de recevoir Al Sissi ?

Il s’agit de mettre en commun les informations et les renseignements dont ils disposent pour lutter contre le terrorisme dans la région. Il y a les frontières avec la Libye, un pays qui vit aujourd’hui dans le chaos. L’Egypte et l’Algérie ont un intérêt direct à coopérer pour éviter d’être déstabilisées, notamment l’Egypte. Et puis l’Egypte est un allié stratégique du monde occidental, notamment pour les  Etats-Unis. Elle pourrait être, à son tour, un relais des messages que pourrait lui demander de faire passer l’Algérie. C’est un échange de bons procédés dans les domaines diplomatiques et politiques.

http://www.tsa-algerie.com/2014/06/25/algerie-egypte-pourquoi-al-sissi-est-venu-a-alger/

WRANGEL a écrit:

Dialogue stratégique Egypto-algérien

la mascarade continu   

Citation :

Après le journal El Fadjr, six autres titres sont suspendus: Censure ou commercialité ?


La Société d’impression d’Alger (SIA) a, une nouvelle fois, décidé de suspendre l’impression de nouveaux titres.
Après la suspension d’El Fadjr il y a de cela quatre semaines, ils sont ce matin six titres à être absents des étals. El Adjwaa, dans ses trois versions, le quotidien Algérie news dans ces versions arabophone et francophone en plus de l’hebdomadaire spécialisé Itmag.

La SIA fait valoir à nouveau le motif commercial. Les dits journaux auraient laissé de lourdes ardoises à l’imprimerie du centre sans donner des garanties d’une quelconque intention de les épurer. Selon Abdelkader Mechat, directeur général de la SIA, la suspension n’a d’autres motif que la suspension. "El-Adjawaa qui a un titre en arabe, un autre en français et un troisième sportif, Algérie news et Al Djazaïr news ont été suspendus hier tandis que Itmag a été suspendu depuis quelques jours déjà", précise-t-il.
Une version diamétralement opposée à celle des éditeurs en question. Ces derniers nient en bloc les propos de Mechat.

Les éditeurs démentent et expliquent

Selon Abderrafik Khenifssa, directeur de publication du journal spécialisé Itmag, son hebdomadaire n’a aucun problème avec l’imprimerie. "Nous n’avons aucun problème avec la SIA" , dit-il avant d’expliquer "effectivement nous avons une petite créance chez la SIA et nous leur avons précisé que nous avons toujours payé nos factures".

Il dira aussi que son administration a eu une réunion avec la SIA et qu’ils les avaient informé que la dette sera épurée cette semaine. "Nous leur avons envoyé un fax en leur disant que cela sera fait cette semaine, le temps que les chèques soient encaissés. Cela suit son cours.", note M.Kheniffsa.

"Nous sommes une entreprise. Nous avons eu de légers problèmes de trésorerie d’où le retard de paiement envers notre partenaire d’impression avec laquelle nous travaillons depuis des années. Ce n’est qu’un retard de paiement que nous sommes entrain de résorber. Et c’est ce que nous avons expliqué à nos interlocuteurs de la SIA", tient-il à préciser encore.

Pour Algérie news, M.Mechat a affirmé avoir rencontré H’mida Ayachi, directeur de publication des deux quotidiens, et son staff mercredi. Toujours selon le directeur de la SIA, il aurait signifié au propriétaire de Algérie news qu’il avait du retard de paiement et près de six milliards de centimes de dettes. Il ajoutera "la SIA n’est pas une Zaouia mais une entreprise comme la sienne", tout en soulignant que M.Ayachi lui aurait dit qu’il n’avait pas d’argent et qu’il ne pouvait rien faire. D’où la décision de suspension. Faux, affirme le premier responsable des deux journaux avant de faire parvenir le communiqué explicatif de la situation.

L’Eurl Express News éditrice des deux titres suspendus, y dénonce "les tentatives de certaines officines visant à ôter le caractère politique de l’affaire, lui attribuant un aspect purement commercial, puis actionnant l’imprimerie contre nous, après nous avoir privé de manière unilatérale et injustifiée de publicité institutionnelle émanant de l’Agence nationale d’édition et de publicité (Anep), le 14 avril 2014, et ce, sans préavis ni respect des règles commerciales."
S’agissant de la procédure de recouvrement de créances que la SIA a engagée, l’Eurl Express News est d’autant plus surprise d’apprendre, via le journal électronique TSA, des propos malicieusement attribués par M. Metchat à son Manager général H’mida Ayachi." L’occasion pour la direction d’Algérie news de donner se version des faits. "Au cours de la réunion en date du mercredi 25 juin 2014, avec le directeur de la SIA, des erreurs de comptabilité ont été relevées au niveau de la SIA".

Cela étant souligné, la même source précise que le staff de Eurl Express News a affiché sa "volonté d’assainir la situation, en tenant compte de la crise que traverse le journal après la suppression de la publicité. A l’issue de la réunion un accord de principe a été entériné entre les deux parties sans porter préjudice à aucune des deux sociétés. Il s’agissait : Primo : programmation d’une réunion, dimanche 29 juin, entre les financiers des deux sociétés pour fixer le montant de la dette. Secundo : octroi d’un délai de dix jours à Eurl Express News pour établir un nouvel échéancier et un mode de paiement préservant le gagne-pain d’une centaine de travailleurs, après la suspension de la publicité de l’Anep et de Nedjma".

Tercio, ajoute-t-on de même source, l’Eurl Express News s’était engagée à assainir définitivement sa situation financière, sur la base des promesses émanant des autorités politiques liées au règlement du problème de la publicité.

Aussi, l’EUR a été surprise par la décision de la SIA suspendant l’impression des deux titres et réclamant un chèque de 3 millions de dinars pour reprendre l’impression.
Quand au journal El Adjwaa que nous n’avons réussi à joindre, M.Mechat affirmera avoir envoyé une mise en demeure restée sans réponse. "J’ai envoyé une mise en demeure à El-Adjwaa mais je n’ai eu aucune réponse", dit-il en guise d’explication de la suspension.

Le directeur de la SIA qui affirme avoir réussi à établir un échéancier avec 20 autres titres, soutient que la suspension n’a touché que les journaux avec qui aucune solution n’a été trouvé. Une affirmation que démentent encore les directeurs des journaux suspendus.

Le journal électronique TSA qui a pu joindre des responsables du ministère de l'information et affirme que ces derniers lui ont précisé que la SIA était dans son droit et qu'il était temps de recouvrir ses créances auprès des journaux. une explication qui écarte toute explication politique et qui justifie les décisions de la SIA par des motivations purement commerciales.

Pour rappel, la SIA a déjà suspendu le quotidien El Fadjr le 2 juin dernier. Sa directrice, militante active du mouvement Barakat, avait expliqué alors la suspension de son journal par une mesure punitive contre sa propre personne. Son opposition au quatrième mandat serait à l’origine de ses déboires avec l’imprimerie.

http://www.huffpostmaghreb.com/

Bravo à l'équipe d'Allemagne pour sa qualification en quart de final !   

Il faut rester fair play. L'algérie a bien joué face à la "machine allemande" bravo !

mbarki_49 a écrit:

Il faut rester fair play. L'algérie a bien joué face à la "machine allemande" bravo !

a 11 derriere plutot et ça à failli payé bien joué quand même ils se sont battu avec leurs armes c'est déjà pas mal   

arsenik a écrit:

mbarki_49 a écrit:

Il faut rester fair play. L'algérie a bien joué face à la "machine allemande" bravo !

a 11 derriere plutot et ça à failli payé bien joué quand même ils se sont battu avec leurs armes c'est déjà pas mal   

ah bon ce n'ai pas l'avis des spécialistes ...sacrée jalousie d'arsenik ...allah ghaleb on ne peut rien rabi chafi mon ami   



ps demande yak de te traduire les articles de la presse allemande de ce matin tu auras une idée plus claire ....

nos joueurs méritent leurs noms de guerriers ...est-ce le cas pour vos lions ? !!!   

un plaisir à voir jouernotre équipe pour les grands du foot du monde

annabi a écrit:

arsenik a écrit:

mbarki_49 a écrit:

Il faut rester fair play. L'algérie a bien joué face à la "machine allemande" bravo !

a 11 derriere plutot et ça à failli payé bien joué quand même ils se sont battu avec leurs armes c'est déjà pas mal   

ah bon ce n'ai pas l'avis des spécialistes ...sacrée jalousie d'arsenik ...allah ghaleb on ne peut rien rabi chafi mon ami   



ps demande yak de te traduire les articles de la presse allemande de ce matin tu auras une idée plus claire ....

nos joueurs  méritent leurs noms de guerriers ...est-ce le cas pour vos lions ? !!!    

un  plaisir à voir jouernotre équipe pour les grands du foot du monde

ou est la jalousie relis bien l'algérie a joué la défense et à procédé par contre que y a t il de choquant dedans? car c'est la vérité

j'ai bien dis bien joué plus haut non je vois pas ou est la jalousie j'ai simplement commenté ce que j'ai vu relis bien

et pour les lions de l'atlas ne parle pas trop parce que vu le 4-0 de la dernière fois(avec a peu près la même équipe que ce mondial) tu devrai faire profil bas   

Ce n'est pas seulement l’équipe algérienne qui a bien jouer non, pas du tout l’équipe algérienne s'en est sortie tête haute en profitent de la faiblesse de l’équipe adverse ni plus ni moins!  puisqu'on a bien vue dans ce match beaucoup d'occasion on était raté par cette fameuse équipe algérienne que je qualifié pas d'une équipe qui jouent mieux que d'autres équipes. si vraiment elle serait forte elle aurait dû marqué pleins de but sans aucun problème contre l'équipe adverse. non je dirais pas qu’elle était forte mais plutôt elle a profité de la faiblesse de l’équipe adverse tout simplement.

annabi a écrit:

arsenik a écrit:

mbarki_49 a écrit:

Il faut rester fair play. L'algérie a bien joué face à la "machine allemande" bravo !

a 11 derriere plutot et ça à failli payé bien joué quand même ils se sont battu avec leurs armes c'est déjà pas mal   

ah bon ce n'ai pas l'avis des spécialistes ...sacrée jalousie d'arsenik ...allah ghaleb on ne peut rien rabi chafi mon ami   



ps demande yak de te traduire les articles de la presse allemande de ce matin tu auras une idée plus claire ....

nos joueurs  méritent leurs noms de guerriers ...est-ce le cas pour vos lions ? !!!    

un  plaisir à voir jouernotre équipe pour les grands du foot du monde

Vos attaques personnelles,vous vous les gardez !
Je rapelle que nous sommes dans un forum marocain et que la plupart qui lisent ou suivent les topic sont des marocains..
Si tu veux nous narguer ou nous mettre mal a l'aise,j'ai le regret de te dire que le lieu n'est pas adequat..
Nous ne sommes ni jaloux ni quoique ce soit .... Du respect svp

Annabi n'a rien dit de mal, quelle attaque personnelle ?

Nous n'avons pas d'équipe de foot seulement des danseuses à nous de le reconnaitre. Ils savent être des lions seulement contre nos voisins mais à quoi bon au final ?  

L'Algérie a fait un beau parcours tant mieux pour eux, point de jalousie, j'ai hâte de voir le prochain Maroc-Algérie  

dans mon quartier ils ont allumé des fumigenes rouges devant les immeubles ces sauvages a 1h du matin il y a un algerien qui a pendu un drapeau de 20m de sa fenetre le long de l'immeuble    un peuple bizarre a vrai dire

Ils ont commencé à attaquer leur matelas de devise   

Citation :

Recul de 20% des recettes de la fiscalité pétrolière

Le solde global du Trésor enregistre un important déficit de plus de 623 milliards de dinars au 30 avril 2014. Les dépenses budgétaires ont augmenté de 35% durant les quatre premiers mois de l’année.


L ’exercice budgétaire 2014 ne semble nullement commencer sur des résultats concluants. Bien au contraire. Les chiffres publiés par le ministère des Finances et concernant les grands agrégats fixés au 30 avril 2014 sont, à ce titre, sans équivoque. Ainsi, contrairement à l’exercice précédent, le solde global du Trésor enregistre un important déficit, et ce, dès le début de l’année. Si, en avril 2013, celui-ci affichait un solde positif de 387 892 millions de dinars, la tendance s’est rapidement inversée, cette année, avec un déficit de plus de 623 milliards de dinars enregistré au 30 avril 2014.

Une situation alimentée par deux facteurs : le recul de 12% des recettes budgétaires et une envolée de 35% des dépenses de l’Etat durant les quatre premiers mois de l’année. Le niveau des recettes a d’ailleurs été fortement impacté par le recul des recouvrements de la fiscalité pétrolière de près de 20%. Aussi, même si les recettes ordinaires inscrivent une légère hausse (+16%), elles demeurent marginales par rapport au budget de l’Etat et restent caractérisées par le poids toujours aussi important de l’IRG sur les salaires, lequel compte pour plus de la moitié des produits des contributions directes et le quart de la fiscalité ordinaire.

Impact sur le recouvrement

Cela risque, de ce fait, de mettre à mal les objectifs gouvernementaux fixés dans le cadre de la loi de finances 2014, qui prévoit une hausse de 10,4% des recettes budgétaires ou encore la couverture de 50% des dépenses budgétaires par la fiscalité budgétisée. Ceci, d’autant que les dépenses budgétaires sont clairement revues à la hausse.

Selon les chiffres de la direction générale de la prévision et des politiques relevant du ministère des Finances, les dépenses budgétaires ont augmenté de 35% durant les quatre premiers mois de l’année, notamment alimentées par une légère hausse des dépenses de fonctionnement et des dépenses d’équipement ayant quasiment doublé. Cela s’inscrit, d’ailleurs, dans les objectifs gouvernementaux ayant prévu un objectif de croissance des dépenses budgétaires de 11,3%.

Il est vrai que la loi de finances 2014 table sur une stabilisation des dépenses de fonctionnement et une hausse des dépenses d’équipement, lesquelles devraient croître de plus de 15%. La finalité étant de finir les «restes à réaliser» dans le cadre de l’ancien programme d’investissements publics et de financer la réalisation de nombreuses structures de développement social, notamment la réalisation de logements. Le budget 2014 rompt toutefois avec la prudence affichée durant l’exercice précédent.

Le prix du baril devant garantir l’équilibre du budget de l’Etat, se situe à plus de 110 dollars, largement au-dessus du prix moyen du pétrole algérien, lequel se situe à un peu plus de 109 dollars, selon les chiffres du ministère de l’Energie. Le recul des recouvrements de la fiscalité pétrolière risque, dans ce cas précis, de creuser un peu plus le déficit, dont le financement ne saurait se passer de décaissements plus importants sur les ressources économisées dans le Fonds de régulation des recettes.

Roumadi Melissa

Tous les organes de presse sérieux s'accordent a dire que l'Algérie va avoir des problèmes financiers en 2020

Elle commence déjà a fortement entamer son matelas de devises..

Baisse de 20 % des exportations gaz et pétrole..etc etc
Éclosion des importations : 65 milliards. Dollars !!!

....

Fahed64 a écrit:

Annabi n'a rien dit de mal, quelle attaque personnelle ?

Nous n'avons pas d'équipe de foot seulement des danseuses à nous de le reconnaitre. Ils savent être des lions seulement contre nos voisins mais à quoi bon au final ?  

L'Algérie a fait un beau parcours tant mieux pour eux, point de jalousie, j'ai hâte de voir le prochain Maroc-Algérie  

Oui , bravo a cette équipe courageuse et performante...  

  

Citation :

Les smartphones interdits pour les cadres de l'Etat
Mardi 01 Juillet 2014 - Lu 240 fois

Pas de choix pour les cadres supérieurs de l'Etat. Ces derniers seront appelés à utiliser des téléphones simples. Les smartphones sont déconseillés pour eux. Des instructions fermes ont été données aux cadres de l'Etat pour ne pas utiliser cette gamme de mobiles pour les communications effectuées sur les lieux de travail, et ce, en guise de précaution. Les personnes usant des smartphones peuvent facilement faire l'objet d'espionnage. Sur la base des informations faisant état que le Maroc se base sur un système d'espionnage à travers les smartphones, les autorités algériennes ont pris l'initiative d'alerter les hauts fonctionnaires de l'Etat en leur conseillant d'utiliser les portables de première génération, à savoir GSM.
http://www.lexpressiondz.com/autres/de_quoi_jme_mele/197702-les-smartphones-interdits-pour-les-cadres-de-l-etat.html

  Vraiment ils sont malades ces gens la , quoique je pense que sa doit être faisable d'espionner effectivement les smartphones de personnes "non marocaines" , a l’intérieur du pays c'est sur , mais a l’extérieur va savoir .

Finalement après mure réflexion , ils peuvent effectivement se méfier   

en vérité ils ont un avantage et un inconvenant ces algériens en profitent chez eux du carburant a bas prix pour leurs population si vraiment leurs généraux mafieux arrêtent de leurs pompé sur le budget de l'etat et arrêtent de détourner de l'argent public vers des banques extérieurs suisse et autres. il s'en sortiront pas mal et se porteront a merveille. faut dire ce qui y est de l’Algérie. ils ont une meilleur autoroute a trois voies mieux que la notre a deux voies qui y est mal construite d'ailleurs. si on est rajoutent zéro dette extérieurs plus des milliards de dollars stocké du cote pour un éventuel nécessité.

Citation :

"Histoire : Il y a 22 ans était assassiné Mohamed Boudiaf, le plus marocain des présidents algériens

Il y a trois jours, le Maghreb commémorait le 22ème anniversaire de la mort du président algérien Mohamed Boudiaf. C'était le 29 juin 1992, lors d'un meeting politique à Annaba. Le plus marocain des  présidents algériens était profondément convaincu de la construction de l’Union du Maghreb et avait, même, préparé l’ébauche d’une solution au conflit du Sahara occidental. Un engagement, aggravé par des entretiens à Rabat avec Hassan II, a précipité son assassinat.

En Algérie, le 22ème anniversaire de l’assassinat du président Mohamed Boudiaf est passé presque inaperçu, à part quelques brèves parues sur les colonnes de certains supports papier et dans des sites d’actualité en ligne. Et pourtant, cet ancien exilé politique au Maroc, de 1979 à 1992, était présenté par les auteurs de l’arrêt brutal du processus électoral de janvier 1992 et la destitution de Chadli Benjedid qui s'en est suivi, comme la solution miracle.
Aux yeux des généraux, Boudiaf était le candidat idéal, remplissant tous les critères exigés pour le propulser à la magistrature suprême. Il était l’un des chefs historiques de la guerre de libération, une victime politique de Houari Boumediene et surtout il était loin de tout clivage politique ou régional, il n'appartenait ni au clan d'Oujda ni à celui des généraux du BTS (du nom des trois villes Batna, Tibissa et Souk Lahrass). En proposant son nom, les militaires voulaient un président fantoche qui règnerait sans toutefois gouverner.

Boudiaf part en guerre contre la corruption

Le 15 janvier 1992, un avion atterri à l’aéroport d’Alger en provenance de Rabat, transportant Mohamed Boudiaf et son épouse, Fatiha. L’accueil était des plus chaleureux, certains diront même trop. L'Etat algérient avait déroulé le tapis rouge pour l’ancien exilé depuis plus de 27 ans. Toute la classe politique, bien entendu à l’exception du FIS (Front islamique du salut), les militaires et les hommes d’affaires avaient répondu présent pour l'accueillir.
Mohamed Boudiaf a également joué le jeu.  Sa réplique dans la salle d’attente de l’aéroport, a consisté à dénoncer devant la presse, le projet des islamistes du FIS qui visait à s’accaparer le pouvoir. Le premier jour s’était ainsi déroulé comme prévu. Les généraux Nizar et Kafi, les véritables meneurs du coup d’Etat contre Benjedid, étaient satisfaits de la prestation de leur candidat. Mais, ils allaient vite déchanter.
Dans son premier discours au peuple algérien, Boudiaf promettait une lutte sans merci contre la corruption qui gangrène le pays et l’instauration de la justice. Mieux encore, il demandait aux Algériens de l’aider à accomplir sa mission. Des paroles concrétisées plus tard sur le terrain. Mai 1992, Boudiaf ordonne l’arrestation du général-major Mustapha Belloucif et son incarcération à la prison de Blida pour détournement de milliards de dollars alors qu’il était l’homme de confiance de l’ancien Chadli Benjedid.

Sa rencontre avec Hassan II a précipité son assassinat

L’interpellation de Belloucif n’était pas aussi grave. Certes, depuis quelques temps, les têtes pensantes du Haut conseil d’Etat ne voyaient pas d’un bon œil les initiatives trop personnelles du président mais elle a permis, sans aucun doute, aux généraux Khalid Nizar, Ali Kafi ou Larbi Belkheir de se débarrasser d’un redoutable adversaire.  
Par contre, c’est sur le dossier des relations avec le Maroc que Boudiaf et les trois généraux avaient des positions diamétralement opposées. Le projet du voyage du président à Kenitra pour visiter sa famille a été la pierre d'achoppement. Au début, les militaires s’y opposaient farouchement. Face à l’intransigeance de Boudiaf, ils ont fini par lâcher du lest à condition que le président évite tout contact avec le roi Hassan ou ses proches conseillers.
Une fois à Rabat, il s'est tout de même entretenu avec le roi Hassan II. Des sources algériennes avançaient même que Boudiaf aurait promis au roi une solution du conflit du Sahara occidental qui serait bénéfique pour le royaume. De retour à Alger, il accorda un entretien à une équipe de 2M qui réalisait un reportage sur son parcours de Kénitra au palais Al Mouradia. Son approche était logique. Avec une dette à l’époque estimée à 30 milliards de dollars, les finances de l’Algérie pouvaient difficilement continuer à soutenir le Polisario. Pour lui la question du Sahara était « secondaire » par rapport au sauvetage de toute l’Algérie.
Le 29 juin 1992, alors qu’il animait une conférence avec des associations de jeunes à Annaba, un de ses gardes a tiré plusieurs balles sur le corps de Boudiaf. Il est décédé sur le champ. Sa présidence n’aura duré que cinq mois et 13 jours.

Mohammed Jaabouk
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