messages : 11663 Inscrit le : 11/12/2008 Localisation : paris Nationalité : Médailles de mérite :
Sujet: TURQUIE : Economie, politique, diplomatie... Jeu 27 Mar - 10:24
Rappel du premier message :
Baybars a écrit:
Ce sont les bureaux du MAE qui ont été écouté. Des têtes doivent tomber pour trahison des secrets de l'état. Les fedayin de Gülen sont derrière cette action a coup sur.
une simple confrérerie, si puissante soit-elle ne dispose pas des moyens techniques de brancher un MAE ou Fidan. Comme dit Inanç, je crois que certains (USA/Israel), disposant de la technologie adéquate, ont donné aux Gulenistes le petit coup de pouce qui va bien. Dans ce dossier, pour moi, le Cemaat n'est qu'un véhicule pour des forces étatiques. Je crois que d'avoir balancer aux iraniens l'identités des agents du mossad opérants chez eux, est en train d'etre payé par le MIT.
Et même si le gouvernement Turc faisait du commerce avec Israël. Qu'est ce peut leur faire? A ma connaissance, il n'y a pas d'embargo et la Turquie fait parti du G-20, OCDE et OMC.
Il sera soit ministre de l'intérieur, des affaires étrangères ou de la défense ou même premier ministre.
Un ex-fonctionnaire compétent. Il ressemble beaucoup au parcours de Vladimir Putin.
Citation :
Hakan Fidan, le gardien des secrets de la Turquie, sort de l'ombre
Ankara - Depuis des années, il est l'homme de confiance, de l'ombre et des missions difficiles du président Recep Tayyip Erdogan. Patron des services de renseignement turcs (MIT) depuis près de cinq ans, Hakan Fidan s'apprête à quitter ses fonctions pour continuer à servir, cette fois en pleine lumière, le maître de la Turquie.
M. Fidan a donné sa démission vendredi au chef du gouvernement Ahmet Davutoglu pour se présenter au scrutin législatif du 7 juin sous les couleurs du parti islamo-conservateur au pouvoir.
Discret, puissant et redouté, cet ancien sous-officier est à 47 ans au coeur de tous les dossiers sensibles en Turquie, dont il rend directement compte au seul chef de l'Etat.
Nommé en 2010 à la tête des services secrets, c'est lui qui pilote les délicats pourparlers de paix ouverts il y a plus de deux ans avec le chef historique des rebelles du Parti des travailleurs du Kurdistan (PKK), Abdullah Öcalan, dans son île-prison d'Imrali.
C'est lui aussi qui tire les ficelles de la politique syrienne de la Turquie, devenant notamment l'artisan de liens très controversés avec les jihadistes les plus radicaux, dont ceux du groupe Etat islamique (EI), qui combattent le régime du président syrien Bachar al-Assad, la bête noire d'Ankara.
En 2012, M. Erdogan, alors Premier ministre, lui avait rendu un hommage public aussi rare qu'appuyé. "C'est un fonctionnaire très efficace", avait-il souligné, "il est le gardien de mes secrets, le gardien des secrets de l'Etat".
Comme le veut la discrétion imposée aux maîtres espions, la biographie officielle d'Hakan Fidan postée sur le site internet du MIT est réduite à sa plus simple expression.
Né en 1968 à Ankara, Hakan Fidan commence sa vie professionnelle au bas de l'échelle de l'armée turque, en tant que simple sous-officier. Il y remplit quelques missions liées au renseignement, avant de quitter les forces armées en 2001.
- Premier confident -
Diplômes en poche, il dirige l'agence publique de coopération internationale (TIKA) turque, très active dans les ex-républiques soviétiques turcophones, en Afrique et dans nombre de pays musulmans où Ankara cherche depuis une dizaine d'années à prendre pied dans le cadre de sa stratégie de puissance régionale.
Hakan Fidan poursuit son ascension dans les sphères du pouvoir en entrant au cabinet du Premier ministre Erdogan, avec le titre de sous-secrétaire d'Etat adjoint.
L'occasion pour lui de travailler en étroite collaboration avec le futur ministre des Affaires étrangères et Premier ministre Ahmet Davutoglu, concepteur de la diplomatie "néo-ottomane" de la Turquie, alors universitaire et conseiller du chef du gouvernement.
C'est dans ce cadre qu'Hakan Fidan participe dès 2009 aux discussions de paix secrètes d'Oslo avec des chefs du PKK. Nommé en 2010 à la tête du MIT, il poursuit ses efforts jusqu'en 2011, lorsque des informations publiées dans la presse turque sur ces négociations les font capoter.
Cet épisode met le chef des tout-puissants "services" sur la sellette lorsqu'en 2012, des procureurs le soupçonnent d'avoir outrepassé son mandat dans ses discussions avec le PKK et le somment de s'expliquer.
Pour le protéger, M. Erdogan n'hésitera pas à faire voter par le Parlement qu'il contrôle une loi dispensant les agents du MIT de répondre aux requêtes de la justice.
En 2013, il est accusé par un journaliste américain d'avoir vendu à Téhéran l'identité d'espions israéliens opérant en Iran. Les autorités démentent ces allégations et lui renouvellent leur confiance.
Début 2014, plusieurs de ses agents sont interpellés à la frontière syrienne avec un camion d'armes apparemment destiné à des rebelles syriens radicaux. L'affaire fait scandale mais est vite oubliée, lorsque le MIT réussit en septembre à faire libérer, après négociations, 46 Turcs pris en otages en Irak par les jihadistes de l'EI.
Sous son mandat, les services de renseignement sont devenus un des piliers du régime de M. Erdogan.
Désormais, Hakan Fidan semble promis aux plus hautes fonctions. Certains lui promettent celui de ministre des Affaires étrangères, voire de Premier ministre. "Il s'imposerait comme étant le meilleur à n'importe quel poste", a récemment dit de lui M. Davutoglu.
La Turquie et la Russie ont définit le tracé du "Turkish Stream".. Pour rappel, le projet "South Stream" a été annulé vers l'UE. Avec le projet TANAP, la Turquie jouera un rôle central dans l'approvisionnement du gaz et du pétrole vers l'UE.
La Turquie sera vendeur de gaz sans en produire, bravo.
Citation :
Gazprom trace son gazoduc avec la Turquie
Le géant gazier russe Gazprom a annoncé samedi avoir défini les grandes lignes d'une partie du tracé de son nouveau gazoduc vers la Turquie avec le ministre turc de l'Energie, Taner Yildiz.
Le gazoduc, qui devrait dès la fin de 2016 compenser l'abandon du projet South Stream vers l'Union européenne, traversera la mer Noire avant de passer par la ville de Lüleburgaz, dans l'extrême nord-ouest de la Turquie, et franchir la frontière gréco-turque au niveau de la ville d'Ipsala, a indiqué Gazprom dans un communiqué.
La première branche de ce gazoduc, long de 900 km, aura au total une capacité de 15,75 milliards de mètres cubes par an, mais à terme, quatre branches livreront 63 milliards de m3. Ces volumes seront disponibles pour les pays européens, mais Gazprom les a prévenus mi-janvier qu'ils devraient construire à leurs frais des gazoducs, car elle n'a plus l'intention de les approvisionner via l'Ukraine.
Le groupe russe a précisé mardi qu'il installerait lui-même la partie sous-marine de "Turkish Stream" et que la partie terrestre en Turquie serait mise en place avec la société turque Botas.
La Russie cherche à montrer qu'elle parvient à trouver de nouveaux clients aux frontières de l'Europe, en Turquie, et au-delà, en Chine.
Turquie : Une application aide les réfugiés syriens à s’intégrer
Une application mobile qui aide les Syriens en exil à s’adapter au mode de vie en Turquie connaît un succès grandissant. Dénommée « Ghorbetna », un mot arabe qui désigne les personnes étrangères au pays où elles vivent, cette application propose plusieurs services comme la consultation d’offres d’emploi, des lois turques ou encore les actualités en Turquie.
Le Président Erdogan est en Amérique du Sud, il a visité la Colombie, Cuba et le Mexique, et a signé une dizaine d'accord avec ces pays dans presque tous les domaines..
Les citoyens Turcs détiendraient 3 500 tonnes d'or en épargne, ce qui fait aux alentours de 120 milliards $ d'épargne-or, sans parlé des autres épargnes en devise, ou en livre turque.
C'est énorme.. C'est vrai que l'or est très important en Turquie, valeur refuge de référence depuis le roi mythique Midas.
La Turquie espère être le 1er marché d'or au monde. Les banques Islamiques l'ont bien comprises.
Citation :
En Turquie, la nouvelle ruée vers l'or des particuliers
De l'extérieur, rien ne distingue ce guichet automatique des autres qui pullulent dans les rues d'Istanbul. Sauf qu'en plus de billets, celui-ci distribue aussi de l'or, un métal précieux prisé dans la tradition turque et très convoité par les banques du pays.
Les estimations évaluent à 3.500 tonnes les réserves de métal jaune détenues par les Turcs.
Depuis des siècles, il se transmet sous forme de bijoux ou de pièces à la faveur des mariages ou des naissances. Mais surtout il se garde "sous l'oreiller" en prévision des jours difficiles, même à l'heure des assurances-vie et autres plans d'épargne.
En 2007, la banque Kuveyt Türk a donné le coup d'envoi d'une nouvelle ruée vers l'or, avec l'ambition de mettre la main sur cette manne.
"Nous avons réfléchi au meilleur moyen de réintégrer tout ça dans le système et décidé d'ouvrir des comptes en or", explique Seda Yilmaz, qui a lancé le projet. "Nous avons donc acheté 1 kg d'or et, dès le premier jour, nos clients nous en ont demandé 3 kg. C'était la preuve que nous avions pris une bonne décision".
Huit ans plus tard, la banque islamique héberge 200.000 comptes où ses clients peuvent déposer leur or et a lancé une gamme de produits qui permettent d'en acheter ou d'en vendre en payant par chèque, virement ou téléphone portable.
Et, première mondiale, elle dispose d'un réseau de 300 distributeurs qui, en plus de billets, permettent de retirer des pièces d'or de 1 ou 1,5 gramme.
La réussite de la Kuveyt Türk a suscité bien des convoitises. Aujourd'hui plusieurs autres banques turques exploitent le même filon. De 2 tonnes en 2007, le poids des réserves d'or déposées dans leurs coffres est passé à près de 250.
Comme les établissements financiers, le gouvernement a lui aussi vite compris l'intérêt de mobiliser une partie du bas de laine de ses citoyens.
En 2011, la banque centrale a donné un coup de fouet à tout le secteur en autorisant les établissements commerciaux à détenir une partie de leurs réserves obligatoires en or et en leur permettant d'en collecter auprès des particuliers. Succès garanti.
- Un marché très prometteur -
"Grâce à cette mesure, notre chiffre d'affaires a bondi de 85% l'an dernier", se réjouit Aysen Esen, qui dirige la plus ancienne raffinerie d'or du pays. "Sur les deux dernières années, les banques ont récupéré 40 tonnes d'or qui dormaient sous les oreillers", salive-t-elle, "et ce n'est qu'une toute petite partie des réserves".
Dans le pays où vivait le légendaire roi Midas, qui transformait en or tout ce qu'il touchait, l'industrie minière turque a le vent en poupe, elle aussi. De 2 tonnes en 2002, sa production a fait un bond à 33,5 tonnes d'or en 2013. Là aussi, l'avenir s'annonce très prometteur, avec des réserves de son sous-sol sont évaluées à 6.500 tonnes.
"La principale raison de cette expansion, c'est qu'il n'existe pas de taxes sur les transactions d'or brut", se réjouit Ali Bulut, le PDG d'Altinbas, numéro 1 de la vente d'or en Turquie, "et je suis très optimiste sur l'état de la demande à long terme".
Même si les variations des cours pèsent encore sur l'activité et les bénéfices, les Turcs sont solidement installés au 4e rang des consommateurs mondiaux de métal jaune, avec une moyenne de 181 tonnes par an, et au 2e rang de ses exportateurs.
"En 2013, la production, la consommation et le recyclage de l'or ont généré l'équivalent de 3,8 milliards de dollars de chiffre d'affaires pour l'économie turque", résume Alistair Hewitt, auteur d'un récent rapport publié par le World Gold Council, qui représente les acteurs mondiaux de l'or.
"C'est une contribution très importante", ajoute M. Hewitt, de l'ordre de 4,6% du produit intérieur brut (PIB) turc.
Un peu jaloux du succès rencontré par les banques sur un marché qui leur était jusque là largement réservé, les bijoutiers turcs ont signalé leur intention de prendre, eux aussi, leur part dans cette profitable chasse au trésor.
"Nous sommes un peu déçus aujourd'hui", admet Sarp Tarhanci, de la Chambre des bijoutiers d'Istanbul. "Il faudrait adopter une nouvelle loi qui permette aux bijoutiers, plutôt qu'aux banques, de collecter l'or", plaide-t-il, "les bijoutiers ont la confiance avec leurs clients, ils pourraient faire entrer encore plus d'or dans le système".
"Nous n'en sommes qu'au début, les perspectives sont très, très alléchantes", pronostique Alistair Hewitt, "la Turquie dispose de tous les atouts pour s'imposer rapidement comme un carrefour régional du marché de l'or".
La Turquie continue son ouverture vers l'Amérique Latine. La Turquie a décidée d'ouvrir un ambassade au Guatemala. La Turquie intègre en tant qu'observateur le SICA (Système d'intégration centraméricain).
Des dizaines d'accords signé avec le Guatemala, Nicaragua, Panama, Salvador, Costa Rica, Mexique, Colombie et Cuba.
La Turquie diversifie ainsi son commerce et sa coopération.
Ici au Mexique:
juba2 General de Division
messages : 6954 Inscrit le : 02/04/2008 Localisation : USA Nationalité : Médailles de mérite :
Maintenant je peux dire qu'au lieu que RTE et M6 font de la competition pour l'afrique et l'amerique du sud,il vaudra mieu que le Maroc et la Turquie forme une force politico economique pour penetrer l'afrique et l'amerique du sud.Les deux ont des outils differents et c'est positive de les mettre ensemble avec honnetete et integrite pour travailler les deux nations.
Débat actuellement en Turquie sur la peine de mort, après le meurtre d'un étudiante frappée, violée et brûlée par 3 hommes dans le sud du pays à Tarsus. Ils ont jeté son corps dans une forêt.
juba2 General de Division
messages : 6954 Inscrit le : 02/04/2008 Localisation : USA Nationalité : Médailles de mérite :
C'est horrible Baybars.Moi je suis pour,si un criminel tue quelqu'un je veux qu'il reste en prison toute sa vie comme cela il se torture lui meme et vivre avec sa conscience tumultueuse,lui faire payer cela en lui donnant la peine capitale c'est lui rendre un service.
C'est horrible Baybars.Moi je suis pour,si un criminel tue quelqu'un je veux qu'il reste en prison toute sa vie comme cela il se torture lui meme et vivre avec sa conscience tumultueuse,lui faire payer cela en lui donnant la peine capitale c'est lui rendre un service.
Je suis pour la peine de mort par la guillotine. C'est une peine de mort qui terrorise les futurs criminels, pas douloureux, rapide et simple d'utilisation. Sinon, la chambre à gaz.
Je suis contre le vaccin, agonie longue et douloureuse.
Suite a ce meurtre, un autre débat enflamme la société turque, le débat concernant les transports roses, des wagon de métro ou de train dédié que pour les femmes, des bus que pour femme.
En Turquie, les arrestations pour insulte au président pleuvent http://www.lorientlejour.com/article/911696/en-turquie-les-arrestations-pour-insulte-au-president-pleuvent.html
Une autre opportunité et occasion contestataire pour ceux qui veulent la téte d'Erdogan , Bayb@ il est claire que l'étranger (OTAN) veulent ça téte ,et je pense qu'ils vont l'avoir ,d'une façon ou d'une autre ,et si jamais ils arrivaient a le dégommer ,le conflit au MO sera de ce faite connecter a l'europe oriental ,donc ,au reste du monde . n'oublie pas la prise de la ville des deux rives