Actualités Algeriennes

Citation :

Bouteflika VIENT DE quitter la clinique de Grenoble

13h45. Le président Bouteflika « Vient de quitter le Groupe hospitalier mutualiste de Grenoble, avec un convoi d’une demi-douzaine de véhicules, escortés par les motards de la police nationale », annonce le Dauphiné Libéré.


Le départ du président de la République de la clinique Alembert de Grenoble, où il est hospitalisé depuis jeudi, serait imminent, rapporte ce samedi le Dauphiné Libéré citant des « sources concordantes ». Le journal ne précise pas la destination du chef de l’État.
« Le président algérien, Abdelaziz Bouteflika, hospitalisé depuis jeudi dans le service de cardiologie et de maladies vasculaires du Groupe hospitalier mutualiste de Grenoble, est sur le point de quitter la clinique », écrit le journal français sur son site internet. « D’importantes forces de sécurité sont toujours positionnées autour de la clinique. Le départ du président algérien serait imminent ».
Á Alger, la présidence de la République observe toujours le silence sur cette hospitalisation. Hier, des sources proches de la présidence avaient démenti l’information. Mais en France, de nombreux médias l’ont confirmée, sans toutefois apporté de précisions sur les raisons de cette hospitalisation.
Un communiqué de la présidence de la République pourrait être publié aujourd’hui.

TSA

dan a écrit:

Citation :

Bouteflika VIENT DE quitter la clinique de Grenoble

13h45. Le président Bouteflika « Vient de quitter le Groupe hospitalier mutualiste de Grenoble, avec un convoi d’une demi-douzaine de véhicules, escortés par les motards de la police nationale », annonce le Dauphiné Libéré.


Le départ du président de la République de la clinique Alembert de Grenoble, où il est hospitalisé depuis jeudi, serait imminent, rapporte ce samedi le Dauphiné Libéré citant des « sources concordantes ». Le journal ne précise pas la destination du chef de l’État.
« Le président algérien, Abdelaziz Bouteflika, hospitalisé depuis jeudi dans le service de cardiologie et de maladies vasculaires du Groupe hospitalier mutualiste de Grenoble, est sur le point de quitter la clinique », écrit le journal français sur son site internet. « D’importantes forces de sécurité sont toujours positionnées autour de la clinique. Le départ du président algérien serait imminent ».
Á Alger, la présidence de la République observe toujours le silence sur cette hospitalisation. Hier, des sources proches de la présidence avaient démenti l’information. Mais en France, de nombreux médias l’ont confirmée, sans toutefois apporté de précisions sur les raisons de cette hospitalisation.
Un communiqué de la présidence de la République pourrait être publié aujourd’hui.

TSA

Allahi tawal aamrou j'espere qu'il va tenir durant son 4eme mandat.

http://www.lexpressiondz.com/actualite/205463-un-plan-orsec-pour-l-algerie.html a écrit:

LES

PRIX DU PÉTROLE S'ENFONCENT SOUS LA BARRE DES 80 DOLLARS

Un "plan Orsec" pour l'Algérie?

Les niveaux atteints par les cours de l'or noir indiquent que le recours aux coupes budgétaires n'est plus une vue de l'esprit alors que se pose désormais objectivement la question du gel des augmentations des salaires tous azimuts.

En effet, malgré une amélioration de la demande en 2015 qui devrait croitre de 1,1 million de barils par jour pour la propulser à 93,6 millions de barils par jour, le bras énergétique de l'Ocde (l'Organisation de coopération et de développement économiques) ne croit pas à une amélioration des prix.
«Nos prévisions d'offre et de demande montrent que, sauf nouvelle rupture d'approvisionnement, la pression baissière sur les prix pourrait s'accentuer au cours du premier semestre de 2015», prévient l'Agence internationale de l'énergie. Alarmant.

«Si les cours du pétrole se maintiendraient longtemps à leur faible niveau actuel, l'excédent budgétaire global des pays exportateurs pourrait se transformer en déficit dès l'année prochaine», avait laissé entendre le 28 octobre Masood Ahmed, directeur du département Moyen-Orient et Asie centrale du FMI, lors de la présentation du nouveau rapport de l'institution de Bretton Woods sur les perspectives économiques de cette région. Ce scénario ne rentre pas dans les plans du gouvernement qui a probablement minimisé la dégringolade des prix du pétrole.

Le «wait and see» de l'Algérie

Les niveaux atteints par les cours de l'or noir indiquent que le recours aux coupes budgétaires n'est plus une vue de l'esprit alors que se pose désormais objectivement la question du gel des augmentations des salaires tous azimuts. «Il faut être très prudent sur les salaires, parce que si on va au-delà, on met en difficulté l'avenir de nos équilibres budgétaires» avait averti, le 9 mai 2013, Karim Djoudi, l'ex ministre des Finances en marge d'une séance de questions orales à l'Assemblée nationale.
Des mises en garde au moment où ont été décidées des hausses de salaires pour les députés, des revalorisations des pensions militaires et des retraites alors que le personnel du secteur de la santé revendiquait la révision de son statut particulier et de son régime indemnitaire (Voir L'Expression du 11 mai 2013). Il faudra ajouter aujourd'hui les promesses faites aux policiers, aux travailleurs de la Protection civile...et le coût induit par la suppression de l'article 87 bis du Code du travail.
Des dépenses qui nécessitent un «plan Orsec» en cette période de vaches maigres. La seule alternative repose sur le recours au Fonds de régulation des recettes et au fabuleux matelas financier de quelque 200 milliards de dollars constitué grâce à des niveaux élevés du prix du pétrole.
En gardant l'espoir que la saignée ne durera pas trop longtemps.

http://www.elwatan.com/economie/gros-risques-pour-l-algerie-15-11-2014-277786_111.php a écrit:

Les prix du pétrole en dessous de 80 dollars

Gros risques pour l’Algérie

Le pire est à venir, selon les analystes, et le scénario catastrophe vécu en Algérie dans les années 1980 pourrait ressurgir si rien n’est fait pour limiter les dépenses et relancer réellement la production nationale hors hydrocarbures. En effet, le déclin des prix du pétrole devrait se poursuivre ces prochains mois, en raison d’une demande relativement faible face à une offre abondante

Lorsqu’on met sur la balance,  les 60 milliards de dollars de recettes d’exportation projetées par le ministre de l’Energie et les 110 milliards de dollars de dépenses prévues par la loi de finances 2015,  il y a de quoi s’inquiéter pour les équilibres financiers du pays. Il faut savoir que la baisse du prix du baril de pétrole, qui a perdu 30% de sa valeur depuis le mois de juin 2014, passant de 115 dollars à moins de 80 dollars, pourrait se poursuivre jusqu’en 2015, sauf, retournement inattendu de situation.

La dernière déclaration de Ali Al Nouaïmi, ministre saoudien du Pétrole, n’a rien de rassurant en effet, puisqu’il n’a fait mention d’aucune intention de réduction de la production. Tout ce qu’il a dit c’est qu’«il voulait un marché du pétrole stable, des prix solides et ne pas s’engager dans une guerre des prix»
Autrement dit, tout serait bien à ses yeux, «si les prix se stabilisaient au niveau actuel», estiment les analystes. L’Arabie Saoudite, dont les ventes en hausse peuvent compenser la perte due à la baisse des prix, n’est pas du tout dans la position de pays comme le Venezuela, le Nigeria et l’Algérie, qui risquent un déraillement du déficit et une chute de la croissance si le prix du pétrole se maintient durablement sous la barre des 100 dollars.

WRANGEL a écrit:

Ils ont maximum entre 36 et 48 mois avant de se retrouver à poil.

@Winners a écrit:

WRANGEL a écrit:

Ils ont maximum entre 36 et 48 mois avant de se retrouver à poil.

Oui dans un pays qui gere bien ses finances. En Algerie c'est question de 24 mois au maximum et s'ils sont vraiment optimistes.

WRANGEL a écrit:

@Winners a écrit:

WRANGEL a écrit:

Ils ont maximum entre 36 et 48 mois avant de se retrouver à poil.

Oui dans un pays qui gere bien ses finances. En Algerie c'est question de 24 mois au maximum et s'ils sont vraiment optimistes.

Oui tu as tout à fait raison, je voulais juste rester prudent et ne pas trop m'emballer

Tu as d'autant plus raison qu'un de leur expert a la avoué, il n'ont qu'un an pour se retrouver a poil entre l'hypothese d'un baril a 80 et l'hypothese d'un baril a 100 dollars.

La question n'est déja donc plus de savoir si ils vont taper dans le mur mais quand

@Winners a écrit:

WRANGEL a écrit:

Ils ont maximum entre 36 et 48 mois avant de se retrouver à poil.

Oui dans un pays qui gere bien ses finances. En Algerie c'est question de 24 mois au maximum et s'ils sont vraiment optimistes.

dan a écrit:

On n'accorde pas de crédit a n'importe qui et aussi facilement que tu le penses.

turkish a écrit:

@Winners a écrit:

WRANGEL a écrit:

Ils ont maximum entre 36 et 48 mois avant de se retrouver à poil.

Oui dans un pays qui gere bien ses finances. En Algerie c'est question de 24 mois au maximum et s'ils sont vraiment optimistes.

ils pourront toujours faire credit et quand le petrole sera a la hausse ils vons remboursé par anticipation, 90% des etat dans le monde vive grace a la dette  

Marokko a écrit:

ce qui posera probleme à l'avenir en algérie c'est sa propre consommation interne en énergie

WRANGEL a écrit:

Ils ont maximum entre 36 et 48 mois avant de se retrouver à poil.

yz a écrit:

WRANGEL a écrit:

Ils ont maximum entre 36 et 48 mois avant de se retrouver à poil.

où sont passé les recettes de l'état (hors fiscalité pétroliere) ?

annabi a écrit:

l'avenir des techs se fera aussi en algérie ...

annabi a écrit:

wrangel tu me donnes des maux de tête tu n'existes à travers ce respectueux forum que par le mot ALGERIE ....changes un peu de registre tu verras ça te soulagera du mal de l'algérie ..sans rancune ...oui le maroc aussi avance qui a dit le contraire

Tanguy Pastureau : Bouteflika a complété sa carte de fidélité