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POURQUOI LE MAROC TOURNE LE DOS À LA MER
UN COLLOQUE PORTANT SUR LA QUESTION À L’IRES
UNE STRATÉGIE GLOBALE S’IMPOSE
         
Le Maroc a-t-il vraiment la conscience politique et géopolitique de sa puissance maritime? «Il est gâté par la géographie. Il a deux façades, une méditerranéenne et une atlantique. Cette dernière est une autoroute maritime. Mais cela ne se traduit pas dans la pensée stratégique des décideurs», estime Jamal Machrouh, professeur à l’Université Ibn Tofail à Kénitra. C’est ainsi que la mer, sujet d’un colloque international de l’Institut royal des études stratégiques (IRES), ne semble pas représenter une source de puissance géostratégique pour le Maroc. Le premier argument à cette thèse est que l’on a un ensemble de politiques sectorielles telles que Azur et Halieutis, mais qui restent disparates. Ce qui implique la création d’un département ministériel spécifique qui aura pour rôle la conception et l’exécution d’une stratégie nationale globale. La stratégie devrait remédier à l’absence d’une construction navale. «C’était pourtant le cas dans l’histoire comme à l’époque des Almohades quand le Maroc disposait de 400 navires. A Maamoura (devenue aujourd’hui Kénitra), il y avait une véritable industrie navale qui bénéficiait de l’existence de la forêt de la région», ajoute le chercheur. Depuis, les choses ont empiré avec la disparition de la flotte maritime et de l’unique acteur national Comarit-Comanav, en 2015.
Le chercheur trouve aussi que l’armée marocaine est «moyennement» équipée comparée à ses principales concurrentes à l’échelle régionale. «On reste très loin des niveaux d’équipement de l’Espagne ou encore l’Algérie qui, elle, est munie de sous-marins», insiste-t-il. Ce qui nécessite de doter la marine royale des moyens de rétablir l’équilibre des forces, mais également contrer le risque terroriste, en particulier la piraterie maritime et la prolifération d’activités illicites (trafic de drogues et d’armes, migration clandestine…).
Une stratégie globale pour la mer devrait prendre en compte les changements que connaît le monde. D’une part, la prolifération des flux du commerce international se fait essentiellement (90%) par voie maritime. «Il n’y a plus de guerre sur les territoires dans le monde d’aujourd’hui. La compétition entre les pays concerne surtout les ressources maritimes. Tous les Etats sont dans une course effrénée pour l’appropriation des voies maritimes», tient à préciser Machrouh. Le Maroc sera d’ailleurs miné davantage avec la redéfinition des routes maritimes. «Un chemin se fraye dans le grand nord en Arctique. Ce qui aura pour conséquence une marginalisation de l’Atlantique et le Maroc avec», explique le chercheur.
L’autre volet est la formation de ressources humaines. Il s’agira surtout de juristes pour défendre l’intérêt stratégique du Maroc dans les discussions sur la délimitation des frontières maritimes. L’autre enjeu est de s’insérer dans le commerce mondial en reconstituant le chantier naval. «D’autres pays émergents comme le Brésil et la Corée du Sud ont commencé leur insertion dans le commerce international. Pour nous, les chantiers en cours avec Dakhla et Kénitra devront renforcer l’offre», précise le chercheur.

Sauvegarde de l’environnement maritime

La vulnérabilité des espaces littoraux, aggravée par le réchauffement climatique, place la gestion durable de ces espaces au rang des priorités des politiques publiques. En plus du besoin de la mise en œuvre de règlements adéquats, les spécialistes réunis lors du colloque international de l’Institut royal des études stratégiques s’accordent sur la nécessité de la sensibilisation des acteurs concernés.

M. L.


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A mediter"

Citation :

Abou Hafs: "Mélanger la prédication et la politique mène à l'échec"
Abou Hafs:

Condamné à une peine de 30 ans de prison à la suite des attentats du 16 mai à Casablanca, et libéré après une grâce royale en février 2012, Mohamed Abdelwahab Rafiki, plus connus sous le nom d'Abou Hafs, revient avec Médias 24 sur l'histoire du salafisme au Maroc.

L'occasion également de faire le point sur la participation des différentes formations islamistes présentes sur la scène politique marocaine, sur les raisons de leurs succès et de leurs échecs.

Médias 24: Vous êtes considéré comme l'un des symboles du salafisme au Maroc. Comment ce courant s'est-il introduit au royaume?

Abou Hafs: Il existe plusieurs courants à l'intérieur de ce que l'on appelle la pensée salafiste. Au Maroc, deux genres dominent: il s'agit de l'idéologie salafiste de l'Orient (Machrek) et du salafisme nationaliste.

Dans l'histoire, le premier courant a été importé pour servir les sultans Mohamed Ben Abdellah et Moulay Souleiman pour contrer l'avancée idéologique des différentes zaouias. Le pouvoir de la pensée salafiste à tendance wahhabite s'est accentué au fur et à mesure que le pouvoir se renforçait en Arabie Saoudite, et ce jusqu'à devenir une idéologie dominante dans les différents pays musulmans.

Au Maroc, cette tendance s'est manifestée par l'ouverture de nombreuses écoles coraniques faisant l'apologie de la pensée wahhabite.
Durant les années 90, la guerre du Golfe a permis de voir émerger un nouveau courant au sein du salafisme classique, portant le nom de Salafia Jihadia qui, à son tour, a donné naissance à plusieurs ramifications.
Le deuxième courant salafiste qui s'est installé au Maroc, et qualifié de salafisme nationaliste, est très différent de son prédécesseur. Il s'agit d'un mouvement moralisateur et réformateur qui a servi de base intellectuelle à la lutte anticolonialiste au Maroc, surtout à l'égard du colon français qui instaurait une domination à la fois politique et culturelle.

Le mouvement salafiste nationaliste a beaucoup contribué à l'indépendance du pays, sous l'influence de penseurs tels que Abou Chouaib Doukali et de son disciple Allal El Fassi, ou encore Mohamed Belarbi Alaoui.

-Les observateurs considèrent que le mouvement salafiste au Maroc s'inspire largement de l'idéologie wahhabite, tant sur le volet de la prédication que dans le champ politique. Etes-vous du même avis?

-Il existe une réalité: la plupart des mouvements salafistes existants sont influencés par les idées tirées des prêcheurs wahhabites. Et ce malgré les tentatives de séparation entre le salafisme marocain et le salafisme d'Orient.
En politique, plusieurs tentatives d'intégration ont ou ont eu lieu. Des mouvements comme ceux de Mohamed El Fizazi, Hassan Khattab ou encore le parti (MDS) de l'ancien commissaire Mahmoud Archane conduiront à davantage de dispersions et de scissions. Je reste convaincu que ces mouvements n'ont aucun avenir en politique, ni aucun horizon, pour avoir approché de près ces formations politiques.
A mon niveau, j'ai intégré le parti de la Renaissance et de la vertu après ma libération. J'essaye de jouer un rôle non pas en tant que figure du salafisme au Maroc, mais en tant qu'intellectuel qui souhaite intégrer la vie politique dans son pays.

Les formations qui prétendent entrer en politique par la porte de la pensée salafiste n'auront sans doute aucun succès. D'ailleurs, la plupart des personnes qui ont rejoint ces groupes n'ont aucune vision politique, et ne sont pas prêts. Leur seul objectif est de subvenir à leurs besoins matériels en essayant de s'intégrer dans la société en tournant la page de leurs années de détention.

-Quel diagnostic faites-vous de l'échec du salafisme politique au Maroc?

-En plus du fait que les salafistes ne disposent d'aucun projet de société, il leur manque énormément de références. L'action politique a besoin d'un grand effort d'investissement, d'une vision claire, de moyens adéquats et d'une base populaire.

Actuellement, force est de constater que le courant salafiste au Maroc souffre de l'absence d'un leader capable de fédérer une partie de l'opinion publique. Cette situation n'est pas propre au Maroc. Plusieurs exemples illustrent l'échec du salafisme politique. Certains grands partis dans le monde, et notamment le parti salafiste Nour en Egypte, ont montré leurs limites.
Ce qu'on peut retenir comme conclusion, c'est que le mélange entre la prédication et la politique conduit à un échec certain.
S'ils souhaitent intégrer le paysage politique marocain, les salafistes ont besoin d'un refonte de leur approche et de leur réflexion. Car aujourd'hui, une personne ne peut se considérer salafiste que si elle obéit à un mode de pensée basé sur les préjugés, la catégorisation des différences politiques, le rejet de la coexistence avec de grandes franges de la population...etc.

Ces idées bousculent toute tentative d'intégration du salafisme politique dans la société.

-Par analogie, comment le PJD, qui est né d'un mouvement de prédication proche idéologiquement du courant des frères musulmans en Egypte, a-t-réussi son ascension politique? Et ce malgré le fait que plusieurs de ses membres adoptent un discours qui exclut les différences.

-Comme vous le savez, les courants islamistes dans le monde ne suivent pas tous le même référentiel. Mais on peut dire que dans le monde arabe, deux partis d'inspiration "frériste" ont réussi leur introduction en politique. Il s'agit des mouvements islamistes en Tunisie et au Maroc.
La raison principale de ce succès est due au fait que ces formations politiques sont plus développées que les autres, malgré le fait que certaines personnes prônent à l'intérieur du parti un discours de rejet. On peut dire que le discours du parti est relativement plus ouvert que ceux des autres partis appartenant au même courant.
Il est vrai que le PJD est né à partir d'un organisation de prédication, mais la transition vers la vie politique ne s'est pas faite du jour au lendemain. Un courant important au sein du parti a poussé à la séparation entre le volet de la prédication et de l'action politique. C'est ce qui a fait le succès du parti.
D'ailleurs, j'ai assisté à une conférence organisée par la jeunesse du PJD la semaine dernière. Les propos tenus par des dirigeants du parti étaient très courageux, et tendaient vers l'instauration d'un système qui sépare le civil du religieux, la politique de la prédication.

-Pensez-vous que la revendication de la laïcité est une preuve de maturité de la scène politique en général, et des partis islamistes en particulier?

-Le mouvement islamistes est passé par plusieurs étapes qui lui ont permis de murir petit à petit. Le problème réside dans la connotation du terme "laïcité".

Les modernistes ainsi qu'une grande frange des islamistes la revendiquent sans pour autant la nommer. Ils sont d'accord pour l'instauration d'un droit positif, pour l'abandon des règles religieuses désuètes, voire même à contextualiser certains textes législatifs que contient le Coran.
Mais l'utilisation du terme laïcité est quasi-prohibée, surtout dans les milieux islamistes. Car durant longtemps, ce mot a été associé dans leur imaginaire au combat anti-religieux, à la déliquescence des valeurs ou à l'athéisme.
En pratique, on constate que le Parti de la Justice et du Développement s'éloigne des règles religieuses et agit selon un référentiel qui se rapproche des préceptes de la laïcité, et ils en sont conscients. Il y a quelques années encore, et il faut le noter, ces mêmes personnes déclaraient qu'elles étaient forcées à avoir recours à la laïcité pour continuer d'exister, mais aujourd'hui, je pense qu'ils sont conscient que c'est une nécessité. Ils en sont convaincus, au delà des simples calculs stratégiques.

-En islam, le principe de "taqia" donne le droit aux musulmans de dissimuler leur foi ou d'adapter leurs discours en fonction du contexte et du public. Dans ce cas, qui nous garantit que les islamistes ne couperont pas l'herbe sous les pieds des démocrates une fois qu'ils auront une base populaire plus large?

-Je pense que l'angle de vue a changé, il était possible d'avoir cette crainte avant mais après le printemps arabe les choses ont changé. Ces choses pouvaient être craintes lorsque la structure du pouvoir était verticale, ou lorsqu'il n'y avait pas d'opposition ou de contestation possible.

Actuellement, je n'accuse pas les formations politiques d'inspiration religieuses et ne les dédouane pas non plus. Quoi qu'il en soit, il s'agit aujourd'hui d'une nouvelle configuration où plusieurs forces influencent et observent le travail politique. La société civile s'est renforcée et s'est dotée des outils qui lui permettent de dénoncer, le cas échéant, les écarts des responsables politiques, aidée pour cela des réseaux sociaux.
Une chose est sûre en tout cas; aucun parti politique islamiste ne peut survivre aujourd'hui sans faire preuve de flexibilité. On constate d'ailleurs que ces opinions d'ouverture dépassent le cadre du discours politique.

Il existe aujourd'hui une grande littérature produite par les intellectuels musulmans qui défend les idées de cohabitation et de vivre ensemble entre les différentes communautés. Ses penseurs appellent à l'abandon de l'ancienne littérature basée sur un référentiel de renfermement et de communautarisme.
En définitive, tout porte à croire que les islamistes n'adoptent pas le discours de tolérance par opportunisme, mais réellement parce qu'ils croient à ses valeurs.

http://www.medias24.com/NATION/POLITIQUE/161282-Abou-Hafs-Melanger-la-predication-et-la-politique-mene-a-l-echec.html#

A Fes, il y a un projet de rénovation des tanneries traditionnelles de la medina. Ces anciennes tanneries obligeaient les ouvriers à travailler dans des conditions horribles et le roi à mandater une des fondations (fondation Mohammed VI ou Mohammed V) pour reconstruire ces tanneries.

Le projet partait d'un bon sentiment et a bien demarré mais malheureusement le résultat intermediaire montre quelques defaillances de taille:

Les ouvriers tanneurs se plaignent de plusieurs points:
- La fondation (Mohammed VI ou Mohammed V) n'a pas pensé à forer de puits et donc les tanneurs se retrouvent sans eau ou à devoir l'acheter à la RADEEF ce qui rend le business non profitable (et qui est inefficient car utiliser de l'eau potable pour nettoyer des peaux me semble etre du gaspillage).
- La fondation n'a pas non plus penser à construire des douches et des toilettes pour ces ouvriers qui travaillent dans des conditions difficiles.
- On leur construit de nouvelles tanneries mais sans station d'essorage... Il n'ont qu'une essoreuse alors que la vieille tannerie en avait 4 ou 5.

Donc, comme d'habitude on a un projet royal qui part d'une bonne idée mais dont l'implémentation est laissée aux conseillers du roi (qui sont soit incompétents soit des affairistes) qui en profite pour tout saboter.

Ces ouvriers avec lesquels je parle quotidiennement essayent de trouver un interlocuteur mais en vain. Personne ne leur répond et personne ne veut les aider.

la fondation mohamed V a un budget colossale des ressources humaines et une carte blache puisqu elle travaille au nom du souverain dire que les conseillers ne font pas leur travail c est se foutre de la gueule du monde s'il depense 700 000€ par jour il doit y avoir un résultat sinon il n a qu a laisser l'argent du contribuable aux ministère de tutelle

Parlant de Fes je vous jure chers compatriotes que l'état de déconfiture du tissu socio économique qu'on arrive à un point critique d'explosion sociale deuxième ville industrielle du pays après casa apres la destruction préméditée et bien organisée de ce tissu l'état social a empiré dans la deuxième ville démographique du pays en plus de la chute de l'immobilier qui la faisait vivoter là elle a besoin d'un massage cardiaque d'une forte injection de capitaux pour redémarrer et recréer un tissu industriel sinon le voyant est au rouge et ce n'est pas une petite ville du pays la deuxième est qui n'est qu'à 180 km du Maroc elmerdi la fameuse bande d'or Tanger Casablanca et puis je dis ça je ne dis rien, cependant il s'agit d'un jeu tres tres tres dangereux

Le Ministre de l'Intérieur avait déja alerté sur l'Etat de sinistre de cette ville (jadis capital du Maroc...)
Il faut un plan d'urgence aussi bien pour Fes que Meknes...
Mais il faut développer un axe intéreur (une autoroute Tanger et Nador-Fes-Beni Mellal-Marrakesh-Agadir, qui deviendrait la colonne vertébral du Maroc) et aussi l'ouverture des frontière avec l'Algérie. Fes reviendrait au centre du jeu.

mourad27 a écrit:

la fondation mohamed V  a un budget colossale des ressources humaines et une carte blache puisqu elle travaille au nom du souverain  dire que les conseillers ne font pas leur travail  c est  se foutre de la gueule du monde s'il depense 700 000€ par jour il doit y  avoir un résultat sinon il n a qu a laisser l'argent  du contribuable aux ministère de tutelle

Gros budget + Pleins pouvoirs = Terreau fertile pour la corruption, le clientelisme, les detournements .... etc.

lemay a écrit:

Parlant de Fes je vous jure chers compatriotes que l'état de déconfiture du tissu socio économique qu'on arrive à un point critique d'explosion sociale deuxième ville industrielle du pays après casa apres la destruction préméditée et bien organisée de ce tissu l'état social a empiré dans la deuxième ville démographique du pays en plus de la chute de l'immobilier qui la faisait vivoter là elle a besoin d'un massage cardiaque d'une forte injection de capitaux pour redémarrer et recréer un tissu industriel sinon le voyant est au rouge et ce n'est pas une petite ville du pays la deuxième est qui n'est qu'à 180 km du Maroc elmerdi la fameuse bande d'or Tanger Casablanca et puis je dis ça je ne dis rien, cependant il s'agit d'un jeu tres tres tres dangereux

Je crois que nous sommes tous d'accord sur le diagnostic de Fes. Quand je vois ce projet de rénnovation des tanneries où on n'installe pas d'essoreuse, je me dis que cela ne peut pas etre de l'incompétence. Le fait est que certains semblent croire que maintenir un certain niveau de tension et de violence au sein de la population est un moyen de préserver le pouvoir et les avantages de ceux qui controlent le systeme. La peur de l'anarchie serait alors un incitant à accepté le fait accompli et le caractère omnipotent du palais.

Le fait est qu'une telle politique (ancienne au Maroc puisque c'est Bled al Makhzen et Bled Essiba) implique des cycles de violence extremes avec de longues periodes d'anarchie et des changement dynastiques fréquents (il suffit de relire nos livres d'histoire du primaire pour le voir).

Il est temps de sortir de cette situation où les fondations Med V et Med VI n'ont aucun compte à rendre à personne et où nous n'avons aucune idée de l'efficacité de ces structures. La Cour des compte doit faire son travail et le palais doit devenir comptable des decisions prises (dans tous les domaines).

D'un point de vue "dévelopement humain" nous n'avançons pas alors que ces "fondations" ont des moyens enormes. J'ai visité plusieurs projets (plusieurs années apres leur innauguration). Les marchés au poisson de El Jadida est vide et dans un état lamentable, le centre de formation pour l'artisanat de Fes est vide, La meme chose à Azrou. Tous ces centres de formations, ces cooperatives et autres projet en faveur du developement humains sont souvent devenus des coquilles vides qui ne servent à rien.

En tous cas, ces pauvres tanneurs de Fes ne savent plus quoi faire. Ils n'ont plus d'eau, ne peuvent pas prendre de douche apres avoir passé toute une journée dans la chaux et les fiantes de pigeon, et ne peuvent meme pas essorer les peaux. Si l'un d'entre vous à un contact auprès de ces "fondations" faites leurs savoir.

Bien dit alphatango chapeau pour ta connaissance de ce dossier explosif qu'est maintenant la ville de Fes qui bouillonnent grave et plus le temps passe plutôt les jours passent plus le point critique approche c'est vraiment tres tres dangereux et brûlant sur le plan socio économique bref il n'y a absolu rien même le tourisme agonise maintenant et si par malheur ça explose allah ister allah ister alors là si vous vous rappelez la pub ancienne de baygon " baygon ! Bye bye al7acharat" il y a une haine sociale et une haine envers ce vivent les autres villes meme plus petite de développement et ici ils ne sont que spectateur bref je ne te fais pas de dessin et puis tu as parlé d'histoire moi je rappèlerai juste l'histoire récente de 90 un vrai ko réglé par l'armée heureusement il n'y avait ni internet ni Facebook maintenant les temps ont changés et ici ils ont tout perdu meme la dignité donc rien à perdre devant cette catégorie de gens tu es perdant d'emblée bref à bon entendeur grouillez vous ce n'est pas bon avec cette crise et cette sécheresse un tissu industriel à zéro les ingrédients de très haute qualité pour

Aller demander au parti de l'istighlal,ce partis chaque fois qu'il prend en main quoi que ce soit c'est le desastre ,analyser leur travaille dans le gouvernement depuis l'independance .ce partis est le meme que le FLN algerien meme culture meme ideologie,Ce PI doit disparaitre ainsi que ces dirigeants.je ne signifie pas ce que vous pensez

arretes stp juba là je t'arrete avec ta haine viscerale envers ce parti et le panarabisme qu'il a defendu moi je te parle d'une ville alors que ce parti non seulement il a dirigé plusieurs mais à participer à la gestion du pays dans plusieurs gouvernement comme le mouvement populaire de aherdane et laansar bghiti nouaslou lhad bssala hchouma moi je ne pourrais pas cracher mon venin à chaque fois que ça parle d'arabe.
moi je parle de l'état calamiteux quasi explosif de la deuxieme ville du maroc et toi tu me sors itiqlal rah c'est driss basri et apres lui tu sais qui qui ont preparer organiser et executer la deconfiture de toute une ville non toute une region fes meknes taza et leurs regions ceci a necessité des outils chabat par exemple en faisait parti de là à dire que istiqlal c'est arriver un jour et dire que c'est ce parti que tu cherie qui a tué jesus, juba rah c'est tout le systeme qui a et qui organise cette annhilation de cette region est ce que nous vivons une volonté de changer la demographie l'avenir meme d'un pays en vidant des regions pour peupler d'autres en main d'oeuvre cependant les manipulations genetique peuvent creer aussi des monstres des virus mortels ont été crée ainsi
et de grace de grace arrete d'attaquer tout se qui a attrait à l'arabe ce meme arabe qui est une partie integrante de notre entité marocaine faite de l'amazigh l'arabe le sahraoui l'andalou le juif et l'africain moi en tant que marocain je suis tout ça pas que

lemay quel est le titre de chabat a fes et a quel partis il appartient,le pI a palce depuis l'independance ses disciples dans des postes cles et jusqu;a maintenant en plus ils sont et ils ont ete dans le diwane malaki.Comme meme allal avait plus de pouvoir que le roi,soyons raisonable.Qui a cree ce climat calamiteux.Desolais mais a ce point je ne parle pas d'arabe c'est vous qui l' a enmene a la discussion et mes respect ,si vous lisez mes postes je ne veux aucune ethnie prendre le Maroc comme hotage,je suis pour un etat nation la seule survie de la monarchie et de la nation Marocaine,si on commence a dire arabe,imazigh saharawi etc on est foutu ,on est tout d'abord Africain avant tout le positionement de notre nation Marocaine le prouve sur google et tout le reste ce n'est que de la fumee.

Stp essaies juste de lire les écrits sur lemakhzen qui est une invention extraordinaire des saadiens et non pas des alaouines très intéressant
Deuxio l'état actuel des choses n'est pas de se dire aaaaahhhhh c'est le PI allah ihdik le PI rah il domine meme Sahara le problème est plus grave et complexe explosif c'est une ville la deuxième en mort socio économique et pour toi cette ville et ses régions doivent payer allah ihdik rah khatar had lhala vraiment khataaarrr

lemay a écrit:

Stp essaies juste de lire les écrits sur lemakhzen qui est une invention extraordinaire des saadiens et non pas des alaouines très intéressant
Deuxio l'état actuel des choses n'est pas de se dire aaaaahhhhh c'est le PI allah ihdik le PI rah il domine meme Sahara le problème est plus grave et complexe explosif c'est une ville la deuxième en mort socio économique et pour toi cette ville et ses régions doivent payer allah ihdik rah khatar had lhala vraiment khataaarrr

La tu m"as convainque Lemay rien a dire. Mais il faut m'expliquer qui est entrain de la tuer,vraiment je voudrais bien analyse de ta part,je suis serieux.Moi je ne vis pas la bas.

Lemay tu as vu le b747 yak .... c'est le plus intéressant dans ce pays.. le reste who cares ...
Awdiii

oui on l'a vu le b474... so who cares !?
je rajoute mon awediii aussi

Qu'est ce qui se passe à l'université de Marrakec ?

a wddi plus marocain que moi il n'y en a pas plus patriote aussi à part vous et moi qui cherissons cette devise allah alwatan almalik moi je ne suis pas contre que tanger casa kenitra meme de se developper c'est mon maroc mais le probleme terrasser aneantir l'ex deuxieme ville industrielle du pays il n'y a meme pas vingt ans et le pire c'est aussi la deuxieme bombe nucleaire demographique du pays à quelques 180 km du maghrib nafi3 c'est tres tres dangereux le savent ils je crois que oui il y a des lobbys oui la preuve se qui se passe à tanger la region la presidence du pam et j'en passe mais tuer x pour enrichir y c'est grave faites un tour à marjane rabat le simple fonctionnaire sort avec un caddy que je ne peux me permettre ici à fes ya hasra je plafonne dans la fonction publique alors que rabat industrie zero mais pour un simple papier dans n'importe quel ministere il faut tmizi ceci n'est qu'un simple exemple et dans quelque mois ou annees ici à fes ca sera trop trop tard pire que ça un autre exemple tu dis à un patient qui habite la ville de fes de venir à l'hopital pour controle de sa maladie il ne paye rien absolument rien il te dit c'est difficile pourquoi ? difficile d'avoir l'argent du taxi pour venir vous voyez l'etat parler de la région c'est pire je me dis est ce qu'on se fout de notre gueule est ce qu'ils sont fou à ce point sinon quand meme makhzen kayn pour dire stop c'est dangereux et pour lui et pour le pays cet etat de deconfiture socio economique et pour ceux qui veulent priviligier une region pour leurs inetrets si l'etat continue comme ça ils n'auront meme pas le loisir d'en profiter lorsque ça tournera au vinaigre comme l'a dit dernierement benkirane ils prendront l'avion
awddi neskout awla idirouli dmiljat "menottes" hhhhhhhh lwa9t khaiba ila ghtert aalikoum chi ousbou3 saoulou f khoukoum

Enfin une chaine d'infos en continu au Maroc.
Medi1tv se transforme en chaine d'infos en continu.
http://www.medias24.com/MEDIAS-IT/161428-Une-premiere-au-Maroc-et-dans-la-region-Medi1-tv-bascule-vers-l-info-en-continu.html

Une bonne décision à mon avis :

Citation :

Le roi Mohammed VI désigne un comité de la COP 22

ORGANISATION – À dix mois de la COP 22 organisée à Marrakech, le Maroc passe à la vitesse supérieure. Citant des sources gouvernementales, notre confrère Le360 rapporte que le Roi Mohammed VI a approuvé la nomination d'un comité de pilotage de la COP 22.

Présidé par le ministre des Affaires étrangères Salaheddine Mezouar, ce comité e pilotage a tenu sa première réunion de travail fin de la semaine précédente, à Rabat, afin de finaliser la feuille de route de l'événement, rapporte Le360.

Outre Salaheddine Mezouar, le comité est composé de la ministre chargée de l'Environnement Hakima El Haité, en tant qu'envoyée spéciale du Maroc, du haut commissaire aux Eaux et forets Abdelaadim El Hafi, au poste de commissaire de la COP 22, du président du Conseil économique, social et environnemental (CESE) Nizar Baraka comme président du comité scientifique de la COP 22, de l''ancien ambassadeur du Maroc aux Etats-Unis, Aziz Mekouar, comme ambassadeur-négociateur, et du président du Conseil national des droits de l'homme (CNDH) Driss Yazami comme chargé des relations avec la société civile. L'ancien wali de la région de Marrakech Abdessalam Bikrat, lui, sera en charge des aspects afférant à la logistique de l'événement. En plaçant des acteurs apolitiques au coeur de l'organisation de la conférence internationale sur le climat, le Maroc règle le dilemme COP 22/élections législatives.

LIRE AUSSI: COP22: Les entreprises marocaines se mobilisent

La création de ce comité de pilotage vient résoudre le dilemme qui se posait aux décideurs, en raison de l'organisation de la COP 22 un mois après les élections législatives. La nomination des ministres Salaheddine Mezouar et de Hakima El Haité au sein du comité de pilotage les mettra, semble-t-il, à l'abri d'un éventuel changement de gouvernement au lendemain des législatives d'octobre 2016, pour leur permettre de se consacrer à l'organisation de cet événement. Ce qui semble aller de soi, vu qu'ils ont représenté le Maroc lors de la COP 21, tenue à Paris, et assurent, depuis, le suivi du dossier.

Enfin, la nomination d'un comité de pilotage répond aussi aux interrogations qui se posaient concernant les instances qui se chargeront de l'organisation de la COP 22, et se rapproche de la proposition faite par une personnalité d'un parti de l'opposition, qui a suggéré la création "d'une sorte de haut-commissariat de la COP 22", qui contribuera "activement à la réussite de la COP 22, aux cotés de l'éventuel nouveau gouvernement qui, en raison de sa récente nomination, ne pourra vraisemblablement pas se consacrer à 100% au suivi de l'événement."

http://www.huffpostmaghreb.com/2016/02/01/story_n_9131206.html?utm_hp_ref=maroc

il youra surment de grand contrat leur de la vizite du roi en russie
http://www.le360.ma/ar/politique/74203

visiblement la VOIP est de retour au Maroc selon almohtarif

450 millions $ de don du MCC américain (2ème tranche)

Citation :

LE MILLENIUM CHALLENGE II APPROUVÉ PAR LE GOUVERNEMENT

Le Conseil de gouvernement, réuni mercredi à Rabat, sous la présidence du chef du Gouvernement, Abdelilah Benkirane, a adopté le projet de loi No 05-16 comportant un article unique approuvant le Compact du Millenium Challenge, conclu le 30 novembre 2015, entre les gouvernements du Royaume du Maroc et des Etats-Unis d’Amérique, à travers le Millenium Challenge Corporation (MCC), et ses annexes.

Après le succès du premier Compact, il a été procédé à la signature de la convention relative au deuxième programme de coopération bilatérale (Compact II) en vertu de laquelle le MCC accorde un don de 450 millions de dollars, auquel s’ajoute une contribution du gouvernement du Royaume du Maroc de 67,5 millions de dollars en tant que seuil minimum, soit 15 pc de la contribution américaine, a indiqué le ministre de la Communication, porte-parole du Gouvernement, Mustapha El Khalfi, lors d’un point de presse à l’issue de ce conseil.

Cette charte sera consacrée au financement de deux projets: « Education et formation pour l’employabilité des jeunes » et « Productivité du foncier ».

Le projet « Education et formation pour l’employabilité des jeunes » comporte deux volets, le premier concerne l’enseignement secondaire collégial et qualifiant, alors que le second a trait à la formation professionnelle.

Le premier volet de ce projet, relatif à l’enseignement secondaire, vise à élaborer un modèle intégré en vue d’améliorer les établissements scolaires et à l’appliquer dans une première étape dans une centaine d’établissements répartis sur trois régions.

Le deuxième volet de ce projet vise à améliorer l’employabilité des jeunes en soutenant le système de formation professionnelle à travers la mise en application de certaines réformes préconisées par la stratégie nationale pour la formation professionnelle, en particulier celles relatives à la révision du système de financement et de gestion de la formation professionnelle par le biais de partenariat entre les secteurs public et privé.

Dans ce contexte, il sera procédé à la création de nouvelles institutions, la restructuration et la rénovation d’autres institutions publiques qui seront gérées à travers une implication effective du secteur privé en vue d’adapter l’offre à la demande.

Ce volet entend également intégrer des mécanismes modernes de financement de l’emploi des jeunes, fondés sur la performance des résultats obtenus, outre la mise en place d’un système intégré pour évaluer le marché du travail afin d’aider les autorités gouvernementales dans la prise de décision appropriée et l’adaptation des politiques publiques en la matière.

Quant au deuxième projet, relatif au domaine foncier, il vise à augmenter la productivité du foncier destiné aux secteurs industriel et agricole et comporte trois axes à savoir: « la gouvernance du foncier », en soutenant les efforts du gouvernement visant la modernisation et le renforcement des cadres juridique et institutionnel et les volets de procédure et d’incitation afin d’améliorer la gouvernance du foncier et la coordination entre les différents acteurs.

Le deuxième axe concerne le foncier agricole dans la mesure où le projet vise à établir des procédures et mécanismes plus efficaces pour l’appropriation des terres collectives situées à l’intérieur des périmètres d’irrigation au profit des ayants droit, alors que l’axe du foncier industriel consiste au changement de la méthodologie d’intervention de l’Etat dans ce cadre pour que l’aménagement de ce foncier soit basé sur la demande réelle du marché.

http://lnt.ma/le-millenium-challenge-ii-approuve-par-le-gouvernement/

Après l'inauguration de Noor 1 à Ouarzazate, le roi devrait aller à Laayoune pour une visite qui durerait 3 jours (suite de la visite du 6 Novembre dernier) et où il devrait y présider un conseil des ministres

Citation :

http://www.hespress.com/politique/293557.html