Moroccan Military Forum alias FAR-MAROC
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Moroccan Military Forum alias FAR-MAROC

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 TURQUIE : Economie, politique, diplomatie...

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jf16
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MessageSujet: TURQUIE : Economie, politique, diplomatie...   TURQUIE : Economie, politique, diplomatie... - Page 40 Icon_minitimeDim 11 Sep 2016 - 21:25

Rappel du premier message :

Citation :
Turquie : 28 maires relevés de leurs fonctions pour des liens présumés avec le PKK ou les gülenistes


AFP 11/09/2016


La Turquie a relevé dimanche de leurs fonctions 28 maires soupçonnés d'être liés aux militants kurdes du Parti des travailleurs du Kurdistan (PKK) ou à l'ex-prédicateur Gülen, accusé d'être à l'origine du putsch avorté de mi-juillet, a annoncé le ministre de l'Intérieur, Suleyman Soylu.

Les 28 élus démis de leurs fonctions ont été remplacés par des administrateurs proches du parti au pouvoir, a précisé le ministre dont les propos ont été reproduits par l'agence de presse Dogan. Les mairies ne peuvent être contrôlées plus longtemps par "les terroristes ou leurs chefs qui donnent des instructions de Qandil (bastion du PKK en Irak)", a estimé M. Soylu.
L'organisation du PKK - considérée par Ankara et ses alliés occidentaux comme un groupe "terroriste" - et l'armée turque ont rompu il y a un an un fragile cessez-le-feu et repris les hostilités, entamées en 1984.

Les mairies concernées sont situées en grande partie dans des régions du sud-est de la Turquie et peuplées en majorité de Kurdes. Certaines d'entre elles, telles Sur et Silvan dans la région de Diyarbakir, Nusaybin dans celle de Mardin, sont connues pour abriter des centres de la rébellion kurde du PKK. 24 des 28 maires sont accusés d'avoir des liens avec la milice kurde et les quatre autres avec la confrérie güleniste, a dit le ministre de l'Intérieur, précisant que 12 d'entre eux étaient déjà emprisonnés.

Cette réorganisation a été mise en oeuvre dans le cadre de l'état d'urgence décrété après la tentative de coup d'Etat du 15 juillet. "C'est une violation des droits de l'homme" et des "traités internationaux", a réagi le parti HDP (Parti démocratique du peuple, prokurde) dans un communiqué. "Il n'y a pas de différences entre bombarder un Parlement élu par le peuple et déloger des élus municipaux" désignés en 2014, a-t-il estimé.

Dans la nuit du 15 au 16 juillet, au moment de la tentative de putsch en Turquie, le Parlement turc avait été bombardé à Ankara. Le HDP a invité le gouvernement à cesser de "profiter" de la situation qui prévaut depuis le 15 juillet, avertissant que ces évictions de maires élus pourraient "amplifier les tensions dans la région".

Des échauffourées ont éclaté entre manifestants, rassemblés devant les mairies d'Hakkari et de Suruç, dans la région de Sanliurfa, et policiers peu après l'annonce de la décision des autorités turques. A Diyarbakir, les forces de l'ordre ont fait usage de canons à eau pour déloger les contestataires, selon un journaliste de l'AFP.
"Etre élu ne donne pas le droit de commettre un crime", a répondu sur le réseau social Twitter le ministre de la Justice Bekir Bozdag, balayant les critiques sur une carence démocratique.

Dans un communiqué, l'ambassade des Etats-Unis s'est dite "préoccupée par les affrontements dans le sud-est de la Turquie", tout en affirmant que "la Turquie a le droit de se défendre" face au "terrorisme" et en espérant l'organisation de nouvelles élections municipales dans ces villes.

http://www.lorientlejour.com/article/1006757/turquie-28-maires-releves-de-leurs-fonctions-pour-des-liens-presumes-avec-le-pkk-ou-les-gulenistes.html
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piro
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MessageSujet: Re: TURQUIE : Economie, politique, diplomatie...   TURQUIE : Economie, politique, diplomatie... - Page 40 Icon_minitimeVen 25 Oct 2019 - 17:19

Alloudi a écrit:
piro a écrit:


Aie aie aie tu leurs fait mal super mal très mal comme dirait l'autre Laughing

c'est toi qui te fait du mal, tu ne vois pas que ton aïeul ne remarque même pas ta présence malgré tes aboiements    TURQUIE : Economie, politique, diplomatie... - Page 40 874558

tu hais mais tu restes parmis nous depuis 9 ans  clown aie un peu de fierté et quitte ce forum de ton propre chef, ça nous fera des vacances

prochaine intervention de ce niveau =====> poubelle

Quelle bassesse tenir ce genre de propos, ca confirme
pour te faire remarquer toi tu as rien trouvé d'autre
Tu te base sur un drapeau collé par vous pour insulter et quand bien même
mes aïeuls et ma descendance serait Turc ou est le problème?
Tu devrais aller faire ton voyage généalogique du coté de Lisbonne ,Madrid ,Paris (liste non exhaustive)etc....
pour t'ouvrir l'esprit car tu as le groin très nécrosé pour couiné de tels choses
enfin retour au sujet car je préfère lire les postes de mon aïeul qui sont bien plus instructifs, correct et intéressent que les tiens
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MessageSujet: Re: TURQUIE : Economie, politique, diplomatie...   TURQUIE : Economie, politique, diplomatie... - Page 40 Icon_minitimeVen 25 Oct 2019 - 23:45

piro a écrit:
Alloudi a écrit:
piro a écrit:


Aie aie aie tu leurs fait mal super mal très mal comme dirait l'autre Laughing

c'est toi qui te fait du mal, tu ne vois pas que ton aïeul ne remarque même pas ta présence malgré tes aboiements    TURQUIE : Economie, politique, diplomatie... - Page 40 874558

tu hais mais tu restes parmis nous depuis 9 ans  clown aie un peu de fierté et quitte ce forum de ton propre chef, ça nous fera des vacances

prochaine intervention de ce niveau =====> poubelle

Quelle bassesse tenir ce genre de propos, ca confirme
pour te faire remarquer toi tu as rien trouvé d'autre
Tu te base sur un drapeau collé par vous pour insulter et quand bien  même
mes aïeuls et ma descendance serait Turc ou est le problème?
Tu devrais aller faire ton voyage généalogique du coté de Lisbonne ,Madrid ,Paris (liste non exhaustive)etc....
pour t'ouvrir l'esprit car tu as le groin très nécrosé pour couiné de tels choses
enfin retour au sujet car je préfère lire les postes de mon aïeul qui sont bien plus instructifs, correct et intéressent que les tiens

pour ce qui est de lisbonne et madrid bah on est restez chez eux 6 siecles donc oui fort probable qu'on a des gènes iberique
pour ce qui est de paris bah t'es algerien mon ami lol! pas besoin que j'en rajoute Laughing
fin du HS

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MessageSujet: Re: TURQUIE : Economie, politique, diplomatie...   TURQUIE : Economie, politique, diplomatie... - Page 40 Icon_minitimeDim 10 Nov 2019 - 13:00

Citation :
Turkey will begin sending ISIS fighters back to Europe 'from Monday', says minister

https://www.euronews.com/2019/11/08/turkey-will-begin-returning-isis-fighters-from-monday-says-minister
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MessageSujet: Re: TURQUIE : Economie, politique, diplomatie...   TURQUIE : Economie, politique, diplomatie... - Page 40 Icon_minitimeMar 12 Nov 2019 - 21:45

Citation :
Chypre : Erdogan rejette les "ultimatums" de l'UE

TURQUIE : Economie, politique, diplomatie... - Page 40 _12f278
Le président turc, Recep Tayyip Erdogan. Photo Murat Cetinmuhurdar/Presidential Press Office/Handout via REUTERS

AFP 12/11/2019


Le président turc Recep Tayyip Erdogan a rejeté mardi les "ultimatums" de l'Union européenne au sujet des forages réalisés par la Turquie au large de Chypre.

L'UE a franchi lundi une nouvelle étape vers l'introduction de sanctions contre la Turquie pour ces forages illégaux, en adoptant officiellement un cadre juridique pour cibler les personnes concernées.

"Vous n'avez pas intérêt à donner des ultimatums à la Turquie concernant nos relations avec Chypre", a déclaré M. Erdogan lors d'une conférence de presse à Ankara. "Nous n'y attachons pas beaucoup d'importance et poursuivrons sur notre voie", a-t-il ajouté. Il a rappelé que la Turquie abritait quelque 4 millions de réfugiés, en majorité syriens, et qu'elle pourrait leur ouvrir les portes vers l'Europe. Il a aussi affirmé que la Turquie continuerait à renvoyer vers leurs pays en Europe des jihadistes étrangers du groupe Etat islamique (EI) qu'elle détient.

La découverte de réserves de gaz et de pétrole en Méditerranée orientale a déclenché un conflit entre Chypre, membre de l'UE, et la Turquie qui occupe la partie nord de l'île.

Mi-octobre, les Européens s'étaient entendus pour sanctionner les activités illégales de forage. Lundi, ils ont entériné le cadre qui "permettra de sanctionner les personnes ou les entités qui sont responsables d'activités de forage non autorisées d'hydrocarbures en Méditerranée orientale ou qui sont impliquées dans ces activités", explique le Conseil de l'UE, qui regroupe les Etats membres, dans un communiqué.

Les sanctions consisteront en une interdiction de pénétrer sur le territoire de l'UE et un gel des avoirs. De plus, il sera interdit de prêter des fonds aux personnes et aux entités inscrites sur la liste.

Seront ciblées toute personne ou entité responsable des activités de forage non autorisées par Chypre dans ses eaux territoriales, ainsi que tous ceux qui leur fourniraient un soutien.

La prochaine étape consistera à nommer ces personnes ou entités visées, mais la procédure peut prendre encore un peu de temps. Les diplomates européens n'ont pas donné de calendrier pour la publication d'une première liste.

https://www.lorientlejour.com/article/1194730/chypre-erdogan-rejette-les-ultimatums-de-lue.html
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MessageSujet: Re: TURQUIE : Economie, politique, diplomatie...   TURQUIE : Economie, politique, diplomatie... - Page 40 Icon_minitimeDim 8 Déc 2019 - 17:30

ratifications des accord de délimitations des frontières maritimes entre la Lybie et la Turquie par les deux parties.
la délimitation de la ZEE Turque sera officialisé demain à l'ONU...

les points F et E sur la carte. 29,9 km.

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MessageSujet: Re: TURQUIE : Economie, politique, diplomatie...   TURQUIE : Economie, politique, diplomatie... - Page 40 Icon_minitimeLun 9 Déc 2019 - 8:44

Il circule sur es réseau sociaux une photo d'un pilote grec ayant " locker" un navire turc avec un Mirage 2000, missile Exocet ...

C'est une kake news... C'est une vielle photo déjà publié en octobre 2018, et il s'agit d'une photo prise lors de leurs entrainements avec leur propre navire ..

https://www.takvim.com.tr/guncel/2019/12/09/yunan-pilot-turk-savas-gemisine-kilitlendi-iddiasi-yalan-cikti
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MessageSujet: Re: TURQUIE : Economie, politique, diplomatie...   TURQUIE : Economie, politique, diplomatie... - Page 40 Icon_minitimeMer 11 Déc 2019 - 21:59

Citation :
"En cas de sanctions américaines, le statut de la base d'Incirlik pourrait être remis en cause"

- "Les membres du Congrès doivent comprendre qu'ils n'arriveront à rien avec des pressions", a notamment déclaré le Chef de la diplomatie turque, concernant d'éventuelles sanctions américaines contre Ankara.

Nazlı Yüzbaşıoğlu,Tuğrul Çam,Tuncay Çakmak | 11.12.2019

TURQUIE : Economie, politique, diplomatie... - Page 40 _12f3a59

AA - Ankara - Tuncay Çakmak


Le ministre turc des Affaires étrangères, Mevlut Cavusoglu, a déclaré que la Turquie est prête à remettre sur la table le statut des bases aériennes turques d’Incirlik et de Kurecik, utilisées par l’armée américaine et l’OTAN, si Washington décidait d’imposer des sanctions contre Ankara.

Le Chef de la diplomatie turque a accordé, mercredi, une interview à la chaine d’information privée turque A HABER.

Cavusoglu s’est d’abord exprimé au sujet des réactions à l’accord conclu entre la Turquie et la Libye sur la délimitation de leurs frontières maritimes communes en Méditerranée Orientale.

Il a d’abord expliqué que cet accord est en total respect du droit international.

La Grèce, qui est l’un des pays qui s’oppose le plus à cet accord, remet en cause, dans cette affaire, la légitimité du gouvernement d’entente nationale libyen.

"Le Gouvernement d’Entente Nationale, présidé par Fayez al-Sarraj, est reconnu par les Nations Unies et la communauté internationale. Il est donc en droit de signer des accords avec d’autres gouvernements. La position de la Grèce est donc totalement erronée", a-t-il assuré.

Ainsi, selon le ministre turc, en conséquence de cet accord avec la Libye, personne ne peut faire de forages dans les eaux territoriales turques sans l’aval d’Ankara : "nous l'empêcherons", a-t-il dit.

Mevlut Cavusoglu a ensuite répondu aux questions relatives aux relations avec Washington, notamment sur le sujet des chasseurs F-35, que Washington refuse de vendre à la Turquie, et le sujet des éventuelles sanctions américaines en réponse à l’acquisition des systèmes de défense antiaérienne russe S-400.

"La Turquie continue d’avoir une approche constructive sur ces sujets avec les Etats-Unis, mais certains milieux n’arrivent pas à digérer les choix politiques, stratégiques et militaires de la Turquie. Ils veulent nous garder sous pression. Mais nous ne les autorisons pas à intervenir sur les questions qui découlent de notre souveraineté", a-t-il expliqué.

Et d’ajouter : "Les membres du Congrès doivent comprendre qu'ils n'arriveront à rien avec des pressions".

A la question de savoir quelles pourraient être les réponses de la Turquie à d’éventuelles sanctions, le Chef de la diplomatie turque a répondu : "En cas de sanctions américaines contre la Turquie, le statut des bases d'Incirlik et Kurecik pourrait être remis en cause."

https://www.aa.com.tr/fr/turquie/en-cas-de-sanctions-américaines-le-statut-de-la-base-dincirlik-pourrait-être-remis-en-cause/1670460
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MessageSujet: Re: TURQUIE : Economie, politique, diplomatie...   TURQUIE : Economie, politique, diplomatie... - Page 40 Icon_minitimeVen 13 Déc 2019 - 22:23

Citation :
Ankara convoque l'ambassadeur des Etats-Unis

- Le vice-ministre turc des Affaires étrangères, Sedat Onal, a fait part de la réaction de la Turquie à l'ambassadeur américain, David Satterfield, face à la décision du sénat américain sur les événements de 1915

Nazlı Yüzbaşıoğlu,Ayvaz Çolakoğlu | 13.12.2019

TURQUIE : Economie, politique, diplomatie... - Page 40 _12f2119

AA - Ankara


L'ambassadeur des Etats-Unis à Ankara, David Satterfield, a été convoqué par le ministère turc des Affaires étrangères à la suite de la décision du sénat américain de reconnaitre les événements arméniens de 1915 comme étant un "génocide".

Selon les informations obtenues, vendredi, de sources diplomatiques, le vice-ministre turc des Affaires étrangères, Sedat Onal, a fait part de la réaction de la Turquie à l'ambassadeur américain face à la décision du sénat américain.

"La position de l'Administration n'a pas changé. Nos opinions sont reflétées dans la dernière déclaration de notre Président [Donald Trump] prononcée au mois d'avril" avait indiqué plus tôt dans la journée l'ambassade américaine.


Le 24 avril dernier, le président américain, Donald Trump, avait préféré employé le terme arménien "Meds Yeghern" qui signifie "Grande Catastrophe" au lieu de "génocide" concernant les évènements de 1915.

https://www.aa.com.tr/fr/turquie/ankara-convoque-lambassadeur-des-etats-unis-/1673011
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MessageSujet: Re: TURQUIE : Economie, politique, diplomatie...   TURQUIE : Economie, politique, diplomatie... - Page 40 Icon_minitimeMar 24 Déc 2019 - 17:06

Citation :

La base américaine d’Incirlik en Turquie bientôt rénovée pour 95 millions de dollars© AP Photo / Emrah Gurel
INTERNATIONAL
13:27 24.12.2019URL courte7217
S'abonner
Après s’être retrouvée au cœur d’une dispute entre Washington et Ankara, la base aérienne américaine d’Incirlik sera rénovée. Le Pentagone vient de conclure un accord avec des entreprises turques.

Le Pentagone a signé un contrat avec plusieurs sociétés turques pour mener des travaux de rénovation sur la base aérienne d'Incirlik, dans la province d'Adana, en Turquie.

Le montant du contrat s’élève à 95 millions de dollars. Les travaux devraient être achevés avant fin 2024.

«Un contrat d'une valeur de 95 millions de dollars a été signé avec huit entreprises turques à un prix fixe», indique un communiqué publié sur le site du Pentagone.


Menace de fermeture


La base aérienne d'Incirlik, dans la province d'Adana, dans le sud de la Turquie, est utilisée par l'US Air Force pour assurer l'appui aérien des opérations militaires américaines dans la région. Selon les experts, elle abrite une cinquantaine de têtes nucléaires.
Son avenir a été remis en question par les autorités turques depuis l'achat par Ankara de systèmes de défense russes S-400 malgré l'opposition de Washington qui les considère incompatibles avec l'armement de l'Otan.


https://fr.sputniknews.com/international/201912241042651872-la-base-americaine-dincirlik-en-turquie-bientot-renovee-pour-95-millions-de-dollars/



edition : source à la source : listes des entreprises turques ayant signés le marché :

https://www.defense.gov/Newsroom/Contracts/Contract/Article/2046982/
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MessageSujet: Re: TURQUIE : Economie, politique, diplomatie...   TURQUIE : Economie, politique, diplomatie... - Page 40 Icon_minitimeMer 25 Déc 2019 - 9:11

https://www.trt.net.tr/francais/turquie/2019/12/24/le-president-erdogan-souhaite-un-bon-noel-a-tous-les-chretiens-1328449 a écrit:
Le président Erdogan souhaite un bon Noël à tous les chrétiens


« Inspiré par notre vieil héritage, nous accordons une grande importance à ce que nos citoyens vivent librement leur culture, religion et tradition sans faire de distinction en termes d’origine, race, confession et croyance » a déclaré Erdogan
24.12.2019 ~ 25.12.2019

Le président Erdogan souhaite un bon Noël à tous les chrétiens



Le président Recep Tayyip Erdogan a souhaité un joyeux Noël à tous les chrétiens.

L’Office de Communication a fait savoir que le président Erdogan a publié un message destiné aux citoyens de confession chrétienne à l’occasion de Noël.

« Inspiré par notre vieil héritage, nous accordons une grande importance à ce que nos citoyens vivent librement leur culture, religion et tradition sans faire de distinction en termes d’origine, race, confession et croyance » a déclaré Erdogan.

Il a précisé percevoir les diversités comme une richesse. « Nous progressons en sachant que la tolérance, le respect et la justice constituent la base de notre union et solidarité. Nous préservons notre détermination à construire un avenir commun en toute paix sur cette géographie » a souligné le président turc.

Le message se poursuit en ces termes : « Je souhaite que la fête de Noël célébrée selon leur croyance par nos citoyens chrétiens de différentes confessions, traditions et églises, contribue au développement de la solidarité et de la tolérance. Je souhaite également un joyeux Noël à nos citoyens ainsi qu’à tous les chrétiens du monde. »
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MessageSujet: Re: TURQUIE : Economie, politique, diplomatie...   TURQUIE : Economie, politique, diplomatie... - Page 40 Icon_minitimeJeu 26 Déc 2019 - 22:04

Citation :
Turkish Aerospace Inaugurates First Office in Pakistan

01:05 PM, December 26, 2019


TURQUIE : Economie, politique, diplomatie... - Page 40 _12f3b61

Turkish Aerospace Industries (TAI) has set up a new office in Pakistan, weeks after Islamabad hosted a Turkish defense exhibition on its soil for the first time.

"We have launched our new office at Pakistan's National Science & Technology Park. It is great to be the first Turkish Defense Industry company at Technopark in Pakistan," TAI said in a Twitter post.

In October, Islamabad hosted "5th Defense Port Turkey" that saw both countries showcasing military equipment including ammunition, artillery, tanks, heavy-duty trucks, tanks, soon after India cut down its defense exports to Turkey amid growing Turkey-Pakistan relations.

This year, Turkey surpassed the United States to become Pakistan’s second biggest arms supplier, after China.

In mid-2019, Pakistan managed to avoid being placed on the Financial Action Task Force (FATF) blacklist following support from Turkey, China and Malaysia. The FATF charter mandates support of at least three member states to avoid the blacklisting.


https://www.defenseworld.net/news/26073/Turkish_Aerospace_Inaugurates_First_Office_in_Pakistan#.XgUewKbbLIU
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MessageSujet: Re: TURQUIE : Economie, politique, diplomatie...   TURQUIE : Economie, politique, diplomatie... - Page 40 Icon_minitimeVen 27 Déc 2019 - 22:34

Citation :
La Turquie envisage d’établir une base navale dans le nord de Chypre

par Laurent Lagneau · 27 décembre 2019


TURQUIE : Economie, politique, diplomatie... - Page 40 _12f450

Déjà qu’elles étaient très compliquées, les relations entre la République de Chypre et la Turquie se sont passablement dégradée depuis la découverte de réserves importantes de gaz naturel dans la zone économique exclusive chypriote. En effet, Ankara prétend vouloir faire profiter la République turque de Chypre Nord [RTCN, la partie septentrionale de l’île qu’elle occupe depuis 1974] de cette manne.

Ces dernières semaines, la tension est montée d’un cran avec la signature d’un protocole d’accord sur les frontières maritimes par Ankara et le Gouvernement d’union nationale libyen [GNA], installé à Tripoli. Accord qui permettrait à la Turquie d’étendre de 30% la superficie de son plateau continental, ce qui empêcherait Athènes, Nicosie et Le Caire de trouver une entendre pour délimiter leurs zones maritimes respectives et qui torpillerait les projets relatifs à l’exploitation de ces réserves de gaz [dont le projet de gazoduc EastMed].

« Le protocole d’accord entre la Turquie et la Libye sur la délimitation des juridictions maritimes en mer Méditerranée viole les droits souverains d’États tiers, est contraire au droit de la mer et ne saurait avoir de conséquences juridiques pour les États tiers. Le Conseil européen réaffirme sans équivoque sa solidarité avec la Grèce et Chypre en ce qui concerne ces actions de la Turquie », a cependant fait valoir l’Union européenne, le 12 décembre dernier.

Quoi qu’il en soit, et après avoir annoncé le déploiement d’un drone tactique Bayraktar TB2 à Gecitakle, près de Famagouste, la capitale de la RTCN, la Turquie aurait l’intention d’accroître ses capacités navales dans la région.

En septembre 2018, et alors qu’Ankara venait d’annoncer un renforcement de sa présence militaire sur le territoire de la RTCN, le président turc, Recep Tayyip Erdogan, avait rejeté l’idée d’y installer une base navale.

TURQUIE : Economie, politique, diplomatie... - Page 40 _12f520

« Nous n’avons pas besoin de construire une base là-bas » étant donné que la marine turque peut y intervenir « en quelques minutes », avait expliqué M. Erdogan. Cependant, avait-il continué, cela aurait une « dimension psychologique ». Et de conclure : « Si nous en ressentons le besoin, nous le ferons. »

Apparemment, ce besoin s’est fait sentir… En effet, selon le quotidien Milliyet, une équipe d’expert, composée de « membres des forces armées turques », a été envoyé en RTCN afin d’évaluer la possibilité d’installer une base navale à Gazimağusa.

La base navale turque la plus proche de Chypre est celle d’Aksaz. En construire une nouvelle en RTCN serait utile pour soutenir les opérations de la marine turque tout en « permettant le déploiement à long terme d’éléments navals et aériens », explique Milliyet.

Actuellement, les frégates turques escortent les navires envoyés par Ankara dans la ZEE de la République de Chypre pour y mener des activités de prospection, malgré les avertissements de l’Union européenne et des États-Unis.

http://www.opex360.com/2019/12/27/la-turquie-envisage-detablir-une-base-navale-dans-le-nord-de-chypre/
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MessageSujet: Re: TURQUIE : Economie, politique, diplomatie...   TURQUIE : Economie, politique, diplomatie... - Page 40 Icon_minitimeDim 29 Déc 2019 - 18:45

Citation :
ADP indemnisé pour la fermeture anticipée de l'aéroport Atatürk d'Istanbul

Par Fabrice Gliszczynski | 29/12/2019, 10:26 | 599 mots

TURQUIE : Economie, politique, diplomatie... - Page 40 _12f2a68
(Crédits : PHILIPPE WOJAZER)


Le gestionnaire aéroportuaire turc TAV Airports, dont ADP détient 46,12%, sera indemnisé à hauteur de 389 millions d'euros pour la fermeture de l'aéroport d'Istanbul-Atatürk le 6 avril dernier alors que la concession dont bénéficiait TAV courait jusqu'au 2 janvier 2021.

C'est l'épilogue d'une histoire qui se termine bien pour ADP, mais qui aurait pu très mal tourner. Alors que les relations sont tendues entre la France et la Turquie, Ankara a respecté son engagement pris il y a six ans de dédommager TAV Airport, le gestionnaire aéroportuaire turc contrôlé par ADP à hauteur de 46%, pour avoir transféré en avril dernier l'activité de l'aéroport Atatürk à d'Istanbul, dont TAV était le concessionnaire jusqu'au 2 janvier 2021, vers un nouvel aéroport dont la gestion a été confiée, après un appel d'offres, à un autre opérateur. S'élevant à 389 millions d'euros, cette indemnisation, acceptée par TAV, couvre ainsi le manque à gagner correspondant à ces 21 mois d'activité perdus.

"Par décision des autorités turques, tous les vols commerciaux ont été transférés vers le nouvel aéroport d'Istanbul" depuis le 6 avril 2019, entraînant la fermeture anticipée pour les vols commerciaux de l'aéroport d'Atatürk, un peu moins de deux ans avant la fin du contrat de concession octroyé à TAV, a rappelé ADP dans un communiqué.

Depuis, l'aéroport Atatürk ne reste ouvert que pour les vols cargos.

ADP "se félicite que le gouvernement turc ait tenu ses engagements" et précise que "l'impact de cette indemnité sur le résultat net" du groupe ADP pour l'exercice 2019 "devrait être très légèrement positif". Les effets comptables seront précisés lors de la publication des résultats annuels d'ADP le 10 février.

Histoire hallucinante

Cette histoire était rocambolesque. En mai 2012 en effet, ADP, à l'époque dirigé par Pierre Graff, avait déboursé plus de 700 millions d'euros pour acheter 38% du capital de TAV, la plus grosse acquisition de son histoire. Mais trois mois après, en août 2012, l'Etat turc annonçait le lancement à venir d'un appel d'offres d'ici à la fin de l'année pour construire en 2015 un troisième aéroport à Istanbul et répondre à la saturation de l'aéroport d'Atatürk. La congestion de l'aéroport turc était connue d'ADP quand ce dernier a commencé à regarder le dossier TAV, mais il était question, selon le groupe français, d'y répondre par une piste de décollage ou d'atterrissage supplémentaire à la charge de l'Etat, et non par un nouvel aéroport, du moins pas avant 2021. Plus tard, ADP fit condamner la banque conseil pour ne pas avoir intégré ce risque dans l'étude du dossier, qui transpirait pourtant dans la presse turque.

Les risques étaient de deux ordres pour ADP : soit TAV remportait l'appel d'offres pour le nouvel aéroport mais ADP se retrouvait face à un investissement colossal au regard de sa taille (2,5 milliards d'euros de chiffre d'affaires en 2011) qu'il n'avait pas prévu et qui se serait ajouté à celui de l'acquisition de TAV. Soit il le perdait et le retour sur investissement de TAV partait en fumée si l'aéroport voyait bel et bien le jour en 2015-2016 comme les autorités turques l'envisageaient.

Très vite, les autorités turques se sont engagées à indemniser TAV. Restait à voir si elles tiendraient parole.
Au final, les retards dans la construction du nouvel aéroport et l'excellente performance de TAV depuis la prise de contrôle d'ADP (supérieure aux prévisions) ont permis au groupe français de ne pas être pénalisé en Turquie. S'il a perdu son vaisseau amiral, TAV Airport gère par ailleurs 15 aéroports dans le monde, dont ceux d'Ankara Esenboga en Turquie, Tbilissi (Géorgie), ou encore Zagreb (Croatie), pour un trafic total ayant atteint 152 millions de passagers en 2018.

https://www.latribune.fr/entreprises-finance/services/transport-logistique/adp-indemnise-pour-la-fermeture-anticipee-de-l-aeroport-d-istanbul-ataturk-836144.html
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MessageSujet: Re: TURQUIE : Economie, politique, diplomatie...   TURQUIE : Economie, politique, diplomatie... - Page 40 Icon_minitimeJeu 2 Jan 2020 - 18:38

Citation :
Intervenir en Libye, un enjeu régional pour Erdogan


Par RFI Publié le 02-01-2020 • Modifié le 02-01-2020 à 10:17


Le Parlement turc est appelé, ce jeudi 2 janvier, à débattre d’une motion autorisant le déploiement de soldats en Libye. Le président Recep Tayyip Erdogan, qui avait signé fin novembre un accord militaire avec le Premier ministre libyen Fayez el-Sarraj, compte ainsi renforcer son soutien au gouvernement de Tripoli face à l'offensive du maréchal Khalifa Haftar, l’homme fort de l’Est libyen.

Avec notre correspondante à Istanbul, Anne Andlauer


Une menace pour « les intérêts de la Turquie dans le bassin méditerranéen et en Afrique du Nord », c’est ainsi que la résolution soumise au vote des députés turcs décrit l’offensive contre le gouvernement d’union nationale libyen et sa capitale, Tripoli. Et c’est ainsi que Recep Tayyip Erdogan justifie auprès des Turcs son intention de déployer des soldats dans ce pays, « au sol, sur mer et dans les airs si nécessaire », selon les mots du chef de l’État.

Pour la Turquie, l’enjeu est donc régional. Il s’agit de ne pas laisser le champ libre – militairement et, par conséquent, diplomatiquement – à des pays qu’elle considère comme des rivaux et qui ont choisi de soutenir les forces de Khalifa Haftar. « Que viennent-ils faire en Libye ? », dénonçait il y a quelques jours Recep Tayyip Erdogan, en citant notamment l’Égypte et les Émirats arabes unis.

Cette projection de puissance turque vise aussi à défendre des intérêts économiques et stratégiques majeurs. Ankara n’aurait jamais conclu d’accord de coopération militaire avec le gouvernement de Tripoli si ce dernier n’avait pas consenti à signer simultanément un accord maritime. Cet accord permet à la Turquie de faire valoir des droits sur de vastes zones de la Méditerranée orientale riches en hydrocarbures et disputées par la Grèce, l’Égypte, Chypre et Israël.

Pas de solution en Libye sans la Turquie, affirme Erdogan

Face aux grands soutiens internationaux et régionaux de Khalifa Haftar (Russie, Égypte, Émirats arabes unis, Arabie saoudite et France), la Turquie a tenté de rallier à ses côtés deux pays voisins de la Libye : la Tunisie et l'Algérie. Or, depuis 2011, Tunis adopte la neutralité face au conflit libyen. Alger, quant à elle, est plus proche du gouvernement de Fayez el-Sarraj et s'oppose catégoriquement à toute intervention militaire en Libye.

Les deux pays ont opposé une fin de non-recevoir à Ankara qui cherche des alliés frontaliers à la Libye avant d'envoyer ses troupes. Pourtant, la Tunisie, l'Algérie et la Turquie avaient protesté contre leur exclusion de la conférence de Berlin prévue en février.

Quant à l'Égypte, dont les intérêts sont très menacés par une éventuelle intervention en Libye, elle a multiplié les contacts internationaux pour contrer Ankara. Le président al-Sissi a prévenu : « La Libye, c'est une question de sécurité nationale égyptienne ». Le Caire et Paris ont mis en garde contre une escalade régionale.

Le projet de l'islam politique

Ankara, qui s'était opposée à l'intervention de l'Otan en Libye en 2011, veut aujourd'hui faire partie de la solution. « Toute solution qui n'inclurait pas la Turquie n'a aucune chance d'aboutir », a affirmé le président turc.

Avant 2011, Ankara investissait 30 milliards de dollars en Libye. Le marché libyen est une porte vers l'Afrique pour la Turquie. Il lui est donc inconcevable de perdre ce marché. Ankara veut même accroître ses investissements et ses exportations vers la Libye. L'État turc affiche également sa volonté de participer à la reconstruction du pays.

Enfin, Recep Tayyip Erdogan est un soutien des Frères musulmans dans les pays arabes. Le projet de l'islam politique a échoué en Tunisie, en Égypte, au Soudan et en Syrie. En appuyant le gouvernement d'union nationale soutenu par les islamistes, Ankara espère aussi sauvegarder ses intérêts en Libye.

Ankara a déjà commencé à acheminer des combattants syriens en Libye

Le soulèvement de 2011 en Syrie a vu naître une « Armée syrienne libre » (ASL) réunissant des combattants rebelles en lutte contre l'armée de Bachar el-Assad, avec le soutien de l'Occident, de pays du Golfe et de la Turquie. Après une série de conquêtes, l'Armée syrienne libre a été progressivement vaincue par les troupes de Damas appuyées par les forces russes et iraniennes. L'ASL a aussi été concurrencée par les organisations jihadistes, tel que le groupe État islamique.

Affaiblie, perdant ses subsides venus du Golfe et d'Occident, l'Armée syrienne libre s'est muée en une force au service des objectifs turcs dans la région. Rebaptisée « Armée nationale syrienne », elle a été en première ligne des différentes incursions militaires turques dans le nord de la Syrie avec cette fois pour ennemi les Kurdes syriens, bête noire d'Ankara.

Désormais, c'est donc sur le théâtre libyen que ces supplétifs syriens font parler d'eux, toujours comme instruments des ambitions régionales de la Turquie.

http://www.rfi.fr/afrique/20200102-intervenir-libye-enjeu-regional-erdogan
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MessageSujet: Re: TURQUIE : Economie, politique, diplomatie...   TURQUIE : Economie, politique, diplomatie... - Page 40 Icon_minitimeJeu 2 Jan 2020 - 20:44

Citation :
Trump a mis en garde Erdogan contre toute "interférence étrangère" en Libye

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Le président américain, Donald Trump. Photo AFP / Nicholas Kamm

AFP 02/01/2020



Le président américain Donald Trump a mis en garde jeudi son homologue turc Recep Tayyip Erdogan contre toute "interférence étrangère" en Libye au moment où le Parlement turc a autorisé ce dernier à déployer l'armée dans ce pays en guerre.

"Les deux dirigeants ont évoqué des questions bilatérales et régionales. Le président Trump a souligné que l'interférence étrangère compliquait la situation en Libye", a indiqué la Maison Blanche dans un bref compte-rendu de l'appel.

La Libye est devenue le théâtre d'une lutte d'influence entre deux camps: d'un côté, la Turquie et le Qatar, qui appuient le Gouvernement d'union nationale (GNA), et de l'autre l'Arabie saoudite, les Emirats arabes unis et l'Egypte, qui soutiennent les forces de l'homme fort de l'Est libyen, le maréchal Khalifa Haftar, qui s'efforce de prendre Tripoli.

https://www.lorientlejour.com/article/1200618/trump-a-mis-en-garde-erdogan-contre-toute-interference-etrangere-en-libye.html
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MessageSujet: Re: TURQUIE : Economie, politique, diplomatie...   TURQUIE : Economie, politique, diplomatie... - Page 40 Icon_minitimeDim 5 Jan 2020 - 18:48

Citation :
The Ottomans are back - what does that mean for Israel?

Tracing regional dynamics over the last century is vital to understanding the combustible situation today.

By SETH J. FRANTZMAN JANUARY 1, 2020 20:10

The Ottomans are back




The Ottomans are back


In late November, Turkey set its sights on a new goal.
In Libya, a long-forgotten civil war was raging. The government in Tripoli, often called the Government of the National Accord, was losing ground to the Libyan National Army, led by a man named Khalifa Haftar, whose forces were based in eastern Libya.

Turkey supports Tripoli; Egypt supports Haftar. It is part of a much wider struggle that represents
Turkey’s attempt to revive influence not seen since the end of the First World War. A century ago, the European powers thought that the Ottoman Empire could be easily chopped up and its territories given away.



Today Turkey is back, moving into areas like northern Iraq, northern Syria, Libya and even the Gulf and Somalia.

The Paris Peace Conference that ended in January 1920, 100 years ago, helped the stage for many of the issues still facing the Middle East. It is hard to remember now, but much of what we take for granted regarding the borders of the Middle East is in some ways arbitrary. They were decided on partly after World War I in a series of treaties, such as the Treaty of Sevres of 1920 and Treaty of Lausanne of 1923.

Why is Hatay province, once called Alexandretta, in Turkey, when it could have been in Syria? Why is Mosul in Iraq and not in Turkey, as Turkey once claimed it? Why do the Kurds lack a state? The recent tensions in the Middle East, the unresolved questions from Lebanon to Iraq, Libya, Turkey and Gaza, are all part of this.

LET US begin where Turkey now ends its recent ambitions – in Libya. Libya was once the setting for a quiet proxy war that reflects divisions in the Muslim world between the Muslim Brotherhood, which Turkey’s ruling party has roots in, and countries that oppose the Brotherhood.

Turkey’s ruler President Recep Tayyip Erdogan has increasingly global ambitions. Embattled Libya could be a key to them, thought Turkish leaders around Erdogan. Turkey was already sending drones and armored vehicles to Tripoli. But they had not stemmed the tide. Haftar vowed in November to take Tripoli and rid the country of “terrorists” and “militias.” Turkey responded that the “warlord” Haftar would have to be stopped.


But Turkey wanted something in return for helping to stop him. It wanted rights to the Mediterranean between Turkey and Libya.
If you draw a line from Libya to Turkey, you run into Greek islands like Crete. But if you draw a line from eastern Libya, there is a passage between Cyprus and the Greek islands that narrowly links Turkey to Libya. It is here that Turkey made a bold chess move. In exchange for sending some fighters to bolster the Tripoli government, Turkey would get an exclusive economic zone that splits Cyprus from Greece by sea and gives Turkey rights to explore for natural gas. It also sinks the dreams of Greece and Cyprus to invite companies like ENI to explore for natural resources under the sea.

The play by Turkey has muscle behind it. Ankara has been sending its navy out to conduct drills around Cyprus, showing the flag and its power. Turkey has new sea-based missiles. It is buying new drilling ships. Cyprus thought it was ahead of the curve, signing deals with Egypt in 2003, Lebanon in 2007 and Israel in 2010. But Turkey has thrown down a gauntlet.

One should understand Turkey’s treatment of the Greeks and Cypriots historically. Turkey invaded Cyprus in 1974 claiming to help protect members of the Turkish minority. Turkey has stayed ever since, recognizing Northern Cyprus as a country. No one else recognizes it, but Turkey says Northern Cyprus has widespread rights to explore for gas around Cyprus. Turkey has sent drones to Cyprus to show that it will police those waters it claims.

For Turkey, the Cyprus operation was a way to show it would not be removed from more islands in the Mediterranean – for instance, the Dodecanese Islands, near Rhodes, were taken by Italy during a war with the Ottoman Empire in 1912. Rhodes also was held by Italy, then by Germany during World War II, and finally became part of Greece in 1947. Turkey today says that these islands, even though they are part of Greece technically, cannot be used by Greece to determine its rights to the waters off the islands. Instead, the continental shelf that extends from Turkey gives Erdogan’s country rights to the sea.

TURKEY’S DECISION to revive its claims to the sea and send forces to Libya should be seen in light of a century of Turkey’s policies since the fall of the Ottoman Empire. The Ottomans lost Libya to the Italians in 1912. Now, the Turks are back.
Turkey has flirted with various policies since the end of the Ottomans. For a few years in the 1920s, it looked like the country would be dismantled. However, Turkey pushed the Greeks out of modern-day Turkey and embarked on a campaign of Turkish nationalism and secularism that supplanted European rule in Istanbul and created the current borders. But Ankara was never entirely satisfied. It felt that its formerly powerful role had been reduced.

During the Cold War, Turkey was an ally of the US and also suffered its own internal troubles and coups. At the time, Turkey’s neighbors seemed to be advancing. Syria under Hafez Assad, father of the current embattled president, was trying to be an Arab socialist paradise. Borrowing heavily from secular nationalist traditions of European fascism blended with socialism and Arab nationalism, the Assadist regime was brutal to dissenters, but treated loyalists decently. It wanted to modernize and look like an eastern European state, with the Communist-style brutalist high-rises and lots of Soviet tanks and other assorted accoutrements. It left to fester the questions that arose after 1920. For instance, what about the Kurds in eastern Syria? The Assadist Ba’athist regime treated them like they didn’t exist, suppressing them and denying many citizenship.

The Assad regime also ignored large Arab tribes along the Euphrates. Those tribes sometimes looked to Saddam’s Iraq across the border for cultural relations with other tribes in Anbar province. Saddam Hussein, like the Assads, was a product of the Arab nationalist revolutionary era. All these regimes, from Assad to Saddam to Nasser’s Egypt, were products of a reaction against the colonial era of the British and French mandates. They had replaced the old system of kings and colonials and sheikhs. They wanted modernity.

In some way, they were reactions also against the Jewish nationalism of Zionism, which they hated, and also the secular Turkish nationalism of Ataturk. If there were to be Jewish and Turkish states, so there would be an Arab nationalist group of states as well.

Iraq never worked out the problems the British colonials had saddled it with. The British wanted to include Mosul in Iraq so there would be more Sunni Arabs to support the Hashemite king they had chosen. The king was from what is now Saudi Arabia and a brother of the king of Jordan at the time. But for Iraq, he became the first Iraqi.

That didn’t mean much to Kurds in the north, who also wanted freedom and independence. It is sometimes forgotten that a brief independent Kurdish state called the Republic of Mahabad had arisen in 1946 after World War II. Like the changeover in power of Rhodes, or the question of whether Hatay would be part of Turkey, this republic was a byproduct of unresolved questions from the 1920s.

Kurds wanted freedom and rights. Instead, they were forced to be part of states that didn’t recognize or want them. They were told to be Arab nationalists or Turkish nationalists, not Kurds. For the colonial powers, this didn’t matter. For the nationalist regimes, they were a headache. For the US and Soviets in the Cold War, they were tools to be used and discarded.

This system that arose in the 1920s and then in the 1960s revolved around questionable states like Iraq, Syria and Lebanon. Egypt was an ancient state, but Damascus had its own ambitions. At one point, the Arab Revolt had sought to hold Damascus as part of a greater Arab state. The British and French said no to that. Instead, the Kingdom of Jordan became a Bedouin kingdom. The kingdoms that were created in the 20th century may have seemed weak at the outset, but they had more staying power than the nationalist regimes. Instead, the regimes – from Gaddafi in Libya to Saddam in Iraq and Ali Abdullah Saleh in Yemen – were overthrown. The Nassserist regime, too, fell apart in 2011 when the Arab Spring broke out. Zine el-Abidine Ben Ali of Tunisia was also forced out. So too the Algerian regime.

Why did some of the monarchies survive and not others? The British helped shepherd to power the kingdom of Egypt of Farouk. King Idris of Libya appeared a more formidable ruler, but he was pushed from office in 1969 while away for medical treatment in Turkey. The Gulf monarchies, by contrast, and the Moroccan and Jordanian monarchies, have survived. Likely because their states are either more homogenous or because of their traditions of rule, they have had more success.
THE PAST 10 years have witnessed an extraordinary reversal, as most of the Arab countries have been torn apart from within. Where monarchies or Arab nationalism failed, a rising religious extremism preyed on weak states. But even this Islamist terrorist rise did not supplant the new states.

ISIS came and went. Even the Muslim Brotherhood, briefly rising in Gaza and even in Tripoli or other areas, and seeking election in Tunisia, Jordan and other places, has not been the success that some thought. Political Islam is not winning.

What has happened is that the historically powerful periphery states, Turkey and Iran, have risen to grab influence throughout the Middle East. These states, as the Ottoman Empire and Persian Empire, were weakened in 1920 and European powers supplanted their historic role. But now, with Europe looking more insular, these countries are rising again.

Turkey’s expedition to Libya is just one symbol of that new world order in the Middle East.









https://www.jpost.com/Middle-East/The-Ottomans-are-back-what-does-that-mean-for-Israel-612789

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