Armée Turque/Turkish Armed Forces/Türk Silahlı Kuvvetleri

Rappel du premier message :

Citation :

Baku, Ankara Start Joint Military Exercises in Turkey




BAKU (Sputnik) – Baku and Ankara are holding joint military drills in Turkey, the Azerbaijan Defense Ministry said Monday.
"According to the military plan of bilateral cooperation, Azerbaijan and Turkey launched the ISIK-2016 military drills," a  press release from the ministry reads.

According to the Azerbaijani Defense Ministry, three Mil Mi-17 military transport helicopters and three Mil Mi-35 attack helicopters left Azerbaijan for a Turkish military base in the central city of Konya.

The exercises, that according to media reports will reportedly involve troops from Hungary, Romania, Saudi Arabia and Northern Cyprus, are due to last until June 30.


http://sputniknews.com/world/20160620/1041618122/turkey-azerbaijan-joint-military-exercises.html

pyromane a écrit:

Les drones sont une piste intéressante, mais dans des conflits de haute intensité, avec une grande densité et DCA, aviation EW, je ne pense pas que c'est raisonnable de compter sur eux, car pour cela il faut franchir les cap de l'IA très performante, et pour l'instant on est a un stade embryonnaire de cette technologie. peut être dans 50 ans, d'ici là il faut bien remplacer vos F-16, sinon vous risquez de perdre l'avantage technologique face à l'Iran, l'Egypte ou la Syrie, et d'être encore plus distancé par les israéliens.

Pour la Syrie, vu l'état de leur armée je ne pense pas, l'armée syrienne est loin de contrôler toute la Syrie, cela risque de durer encore du temps et même si la paix revient, ils seront plus préoccupé par la reconstruction de leur pays que de provoquer une guerre avec la Turquie.

Pour l'Egypte, il n'y a pas de danger avec un pays qui a -11.5% de déficit budgétaire et une situation économique catastrophique, je ne pense pas qu'ils achèteront d'autres avions.

Pour l'Iran, il faut redouter plus leur puissance balistique que leur aviation.

On doit développer notre programme AA avec le projet Hisar et l'arme laser (YGLS d'Aselsan). L'IA évolue plus rapidement que prévu, aujourd'hui un drone peut atterrir et décoller sans l'intervention de l'humain, récemment les chercheurs turcs ont mit au point une technologie aux drones de se communiquer sans l'intervention de l'humain.

Citation :

La Turquie a développée une intelligence artificielle pour les drones. Ce logiciel donnera la capacité aux drones une prise de décision qui pourra être partager avec les autres drones sans que l'humain intervienne. Les drones pourront se communiquer sur la démarche a suivre. Aussi le logiciel permet de telechargé le programme et les missions de vol sans que l'humain intervienne qui renforcera la surveillance les convois militaires avex précision avec plusieurs drones simultanément. Le logiciel aussi permet de renforcer le décollage et l'atterrissage automatique.

Logiciel développé grace a l'institut de recherche TUBITAK, Aselsan et STK.

Sinon si on veut garder une flotte d'avions piloté par les humains, on peut penser à moderniser les F-16 en format V = F-16 block 70.

Prochainement, Aselsan veut essayer de transformer les avions de transport (C-160) en drone de transport.

Le but doit être de mettre de coté le facteur humain et de centraliser l'IA via un centre à Ankara qui pourra communiquer entre les différents drones à disposition de l'armée turque.

Ce n'est pas convaincant ta réponse sur l'IA, quand le ciel grouillera d'avion ennemis et de DCA ca ne sera pas suffisant, sans parler des risques de sécurité informatique que posent ce genre de système, je ne suis pas sur qu'une armée veuille d'escadron qu'on peut désactiver avec un bouton quand à l'Iran vu leur besoins actuels en avions ca ne m'étonnerait pas s'il passe un petit contrat du siècle avec les russes d'ici la fin de l'année, sans oublier biensur leur capacité balistiques.

pyromane a écrit:

Ce n'est pas convaincant ta réponse sur l'IA, quand le ciel grouillera d'avion ennemis et de DCA ca ne sera pas suffisant, sans parler des risques de sécurité informatique que posent ce genre de système, je ne suis pas sur qu'une armée veuille d'escadron qu'on peut désactiver avec un bouton quand à l'Iran vu leur besoins actuels en avions ca ne m'étonnerait pas s'il passe un petit contrat du siècle avec les russes d'ici la fin de l'année, sans oublier biensur leur capacité balistiques.

Le travail repose sur la sécurité du réseau et de la communication. On est loin des premières brouillages des début des années 2000. Le réseau est plus sécurisé avec l'intégration d'un Satcom et de Data Links crypé et sécurisé. L'US Army remplace petit à petit toute sa flotte de reconnaissance par des drones.

Ce n'est que le début des Data Liks sécurisé et crypté.

http://www.inmarsat.com/wp-content/uploads/2013/10/Inmarsat_APC_2013_21_Cahon_Systems.pdf

Je suis d'accord avec l'article en question, les robots et les drones vont changer l'art de la guerre, il faut intégrer le drone pour la guerre à haute intensité, c'est tout le challenge:

http://robots.blog.lemonde.fr/2017/01/19/davos-les-robots-vont-changer-lart-de-la-guerre/

Pour l'Iran, je suis pas assez optimiste que toi, il faudrait voir ce que fera Trump.

Je suis chercheur en informatique, quand je parle d'IA pas suffisante c'est bien parce que je rencontre des gens qui travaillent dessus tous les jours, et je sais ce qu'ils sont capables de faire ou non. Le gap est encore trop large et aucun chercheur sérieux n'affirmera ce que tu dis.
Cependant je suis d'accord que si on résout les problèmes technologiques cela révolutionnera la guerre. Pour l'Iran je ne suis pas optimiste, je remarque juste qu'ils n'ont plus de sanctions aussi drastiques qu'avant et ca leur permettra surement de ré-équiper leur armée.

Citation :

Turkey to Receive New Hurkus-C Light Ground Attack Aircraft in 2018

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Feb 16, 2017



Turkey’s military is on track to receive its first Hurkus-C light ground attack aircraft in 2018.

That was reported by Turkish Ministery of Defence.

The Hurkus-C is an armed version of Hurkus basic trainer aircraft developed by Turkish Aerospace Industries (TAI). The armed Hurkus-C variant is fitted with a more powerful 1,600 hp Pratt and Witney engine, and can carry 1.5 tonnes of payload across seven hardpoints.

The Hurkus-C will also be equipped with a tactical data-link system, electro-optical and infrared (EO/IR) system, self-protection system, and an armour reinforced airframe.

As the Hurkus-C will be capable of operating from unprepared runways, it could also attract export orders, TAI believes. The Turkish Army has expressed interest in the Hurkus-C to provide support for its attack helicopters.



http://defence-blog.com/news/turkey-to-receive-new-hurkus-c-light-ground-attack-aircraft-in-2018.html

En parlant de l'Hurkus, un vol en dessus des côtes turques.





Et la version armée:

Citation :

Grèce: l'armée dénonce une violation turque "sérieuse" en Egée


Athènes, 17 fév 2017 (AFP) -

Un patrouilleur militaire turc a procédé vendredi matin à des tirs dans les eaux grecques, au large de l'île de Pharmakonissi, dans le sud-est de l'Egée, a indiqué l'état-major grec, qualifiant l'incident de "sérieux".

Le patrouilleur turc a quitté la zone après l'intervention de la frégate grecque Nikiforos, qui lui a adressé tous les avertissements d'usage, a précisé une source de l'état-major.

"Il s'agit d'un incident sérieux, qualitativement différent" de ce que la Grèce dénonce comme des récurrentes violations turques de ses zones de souveraineté en Égée, a-t-il ajouté.

La marine militaire grecque restait vendredi matin en état de "surveillance renforcée" après l'incident, a-t-il ajouté.

Selon lui, la Turquie avait émis jeudi soir un avis de manoeuvres dans la zone, qui avait été rejeté par la Grèce car il "engageait une zone dans les eaux grecques".

Sur fond de tensions accrues entre les deux voisins, un bref face-à-face avait déjà impliqué le 29 janvier des navires de guerre grecs et turcs en mer Égée dans les eaux grecques, à proximité d'îlots grecs qu'Ankara revendique.

En dépit de la normalisation engagée à la fin des années 90, et de la coopération bilatérale pour couper les flux migratoires en Égée, les relations gréco-turques restent soumises à des accès de tension, nourris par l'absence de règlement des différents bilatéraux de souveraineté en mer Égée, et à Chypre.

Le climat a viré à l'aigre début février, après le refus de la Cour suprême grecque d'extrader huit militaires turcs accusés par Ankara d'implication dans le putsch manqué du 15 juillet.

http://www.marine-oceans.com/actualites-afp/14260-grece-larmee-denonce-une-violation-turque-qserieuseq-en-egee

L'armée de l'air turque négocie pour acheter 3-4 systèmes S-400 à la Russie..

Citation :

Grèce: deux nouveaux militaires turcs demandent l'asile


AFP 23/02/2017

Deux militaires turcs, qui seraient recherchés par la Turquie pour avoir participé au coup d'Etat manqué de juillet dernier, ont été arrêtés par la police grecque après avoir demandé l'asile dans le pays, a-t-on appris jeudi de source policière.

Les deux officiers, accompagnés de leur avocat, se sont présentés le 17 février au commissariat d'Orestiada, petite ville près de la frontière gréco-turque, et ont déposé une demande d'asile le 20 en indiquant que leur vie était "en danger" en Turquie.
La police grecque n'a pas révélé les noms des militaires et n'a donné pour le moment aucune autre information sur l'affaire.


Le 26 janvier, la justice grecque a rejeté la demande d'extradition vers la Turquie de huit militaires turcs, qui avaient fui en Grèce le 16 juillet, quelques heures après le putsch manqué, et y avaient demandé l'asile.
La décision de la cour grecque, invoquant l'absence de garantie sur leur sécurité en Turquie, a irrité les autorités turques qui ont alors émis un mandat d'arrêt contre ces huit militaires et une nouvelle demande d'extradition.

L'affaire a mis à l'épreuve les relations entre les deux voisins alors qu'ils doivent coopérer étroitement depuis un an pour stopper le flux migratoire qui transite par la mer Egée, dans le cadre de l'accord UE-Ankara.

Comme dans plusieurs pays européens, des dizaines de fonctionnaires et familles turcs ont fui en Grèce depuis le 15 juillet, pour demander l'asile et échapper aux vastes purges ordonnées par le président Recep Tayyip Erdogan. Plus de 41.000 personnes ont été arrêtées en Turquie jusqu'ici.

https://www.lorientlejour.com/article/1036904/grece-deux-nouveaux-militaires-turcs-demandent-lasile.html

Kursad2 a écrit:

L'armée de l'air turque négocie pour acheter 3-4 systèmes S-400 à la Russie..

La carte est un peu bête car ca n'a pas de sens de déployer le S400 à l'est car en cas de conflit avec les russes ce système ne servira à rien

par contre un déploiement au sud est pourrait fournir une protection contre les iraniens et les israéliens.

Le système électronique sera fourni par Aselsan. Cela sera un système plus autonome pour la Turquie.

Deux drones MALE, ANKA-S seront livrés à l'armée turque en mars.. Dont à partir de demain..

Hurkus-C . Autonomie de 4h. Équipé de Umtas, Cirit, BDU33 et MK106. Ainsi que deux mitrailleuses 12,7

Prévue pour rejoindre l' inventaire courant 2018.

L'armée de terre turque a reçu récemment:

- 100 Kirpi:



- 80 Ejder:



- 90 Cobra II:

La Jandarma (Gendarmerie turque) réceptionne 6 drone TB-2, dont 2 armé annonce le ministère de la défense turc.

Citation :

Turkish army has deployed new Cobra II 4x4 armoured vehicle on Turkish-Syrian border.


According to pictures released on Twitter, Turkish army has deployed new Cobra 2 4x4 armoured vehicle on the Turkish-Syrian border. The new Cobra 2 seems to be equipped with radar, a target detection system and a thermal camera to perform reconnaissance and observation missions.





http://worlddefencenews.blogspot.com/

La Turaf commande 26 F-35. La Turaf devrait recevoir ces premiers F-35 à la fin de cette année.

Le projet TF-X avance bien. 10 000 ingénieurs turcs travailleront sur le projet. BAE coopère avec TAI et Aselsan.

Le TF-X1 devrait voler en 2023, pendant le centenaire de la République.

Citation :

FNSS Develops New Amphibious Assault Vehicle


09 Maret 2017



Zırhlı Amfibi Hücum Aracı (ZAHA) amphibious assault vehicle (image : FNSS)


Turkey orders new amphibious assault vehicle for use on new TCG Anadolu amphibious ship

Turkish company FNSS Savunma to develop a new Zırhlı Amfibi Hücum Aracı (ZAHA) amphibious assault vehicle for use on new TCG Anadolu amphibious assault ship.

According to Undersecretariat for Defence Industries of Turkey’s Ministry of National Defence, Turkey has awarded a contract to FNSS Savunma to build 23 amphibious armored assault vehicles, 2 amphibious assault command vehicle and 2 amphibious assault rescue vehicles for the Turkish Armed Forces.

The new ZAHA  amphibious assault vehicle will be used to land the surface assault elements of the landing force and their equipment in a single lift from assault shipping during amphibious operations to inland objectives and to conduct mechanized operations and related combat support in subsequent mechanized operations ashore.

The new Turkish ZAHA amphibious assault vehicle most likely to be developed on Kaplan chassis. The Kaplan has a low silhouette, and with its twin 6 road wheeled tracks, has the ability operate in hot/cold weather conditions at high speed not only on asphalt and stabilized highways, but also in soft soil, muddy and rough terrains.


http://defense-studies.blogspot.fr/2017/03/fnss-develops-new-amphibious-assault.html  

Kursad2 a écrit:

La Turaf commande 26 F-35. La Turaf devrait recevoir ces premiers F-35 à la fin de cette année.

Le projet TF-X avance bien. 10 000 ingénieurs turcs travailleront sur le projet. BAE coopère avec TAI et Aselsan.

Le TF-X1 devrait voler en 2023, pendant le centenaire de la République.

Et voici le patch..

Accord entre la Turquie et la Russie pour la vente de 3 systèmes S-400 à la Turquie avec intégration de composants turcs. C'est un achat urgent de la part de la Turquie et le système n'intégrera pas le système OTAN.

Confirmation du secrétaire du Kremlin.

Citation :

L’Allemagne veut garder la Turquie au sein de l’Otan


Posté dans Otan par Laurent Lagneau Le 15-03-2017



Pour avoir empêché plusieurs ministres turcs de venir sur leur territoire pour des meetings électoraux en vue du référendum visant à renforcer les prérogatives de l’exécutif turc, l’Allemagne et les Pays-Bas ont suscité la colère d’Ankara.

Le président de la Turquie, Recep Tayyip Erdogan, n’y est pas allé de main morte, en accusant Berlin d’utiliser des méthodes « nazies » et de soutenir les « terroristes » du PKK. Les Pays-Bas ont aussi eu droit au même traitement, avec, en plus, des menaces de « représailles » et une évocation de leur rôle dans l’affaire de Srebrenica (Bosnie-Herzégovine), en 1995. Affaire qui est encore vécue comme un traumatisme par les Néerlandais.

Puis, le 14 mars, Mevlut Cavusoglu, le ministre turc des Affaires étrangères, qui a pu tenir un meeting en France quelques jours plus tôt, y est allé de son couplet en accusant l’Union européenne d’alimenter « la xénophobie et les sentiments anti-turcs » pour avoir simplement demandé à Ankara de « s’abstenir de toute déclaration excessive ».

« J’ai été scandalisé par ce qui a été dit par la Turquie sur les Pays-Bas, l’Allemagne et d’autres (pays) et je n’accepterai jamais cette comparaison entre les nazis et les gouvernements actuels », a réagi Jean-Claude Juncker, le président de la commission européenne.

Cela étant, la Turquie est un membre important de l’Otan. Et certains se demandent si cette dernière y a encore sa place, en raison de sa proximité de plus en plus grande avec la Russie et sa dérive autoritaire. L’ancien chef de la diplomatie américaine, John Kerry, avait posé la question à mots couverts, devant l’ampleur de la répression ayant suivi le coup d’État manqué du 15 juillet.

« L’Otan a également des exigences en termes de démocraties. […] Beaucoup de gens ont été arrêtés, et arrêtés très rapidement. Le niveau de vigilance et d’observation va évidemment être élevé dans les jours à venir. J’espère que nous pourrons travailler de manière constructive et éviter un retour en arrière », avait-il dit.

Cela étant, pour Berlin, exclure Ankara de l’Alliance atlantique ne serait pas une bonne option. « La Turquie ne nous facilite pas la tâche au sein de l’Otan », a déclaré, ce 15 mars, Ursula von der Leyen, la ministre allemande de la Défense. « Mais personne ne doit s’imaginer qu’une Turquie en dehors de l’Otan nous écouterait mieux, ou serait plus facile à vivre, qu’une Turquie restée dans l’Otan », a-t-elle prévenu.

Et, a-t-elle expliqué, c’est « précisément » parce que les membres de l’Otan font partie d’une « alliance » qu’ils peuvent « discuter plus facilement de (leurs) principes concernant la démocratie et l’ouverture de la société – même dans la controverse. » Et d’ajouter : « Nous ne devons pas abandonner les nombreux Turcs qui ne veulent pas d’un élargissement des pouvoirs du président. »

Cela étant, la Turquie occupe une place particulière dans l’Otan. Sa position géographique lui permet de contrôler les détroits du Bosphore et des Dardanelles, et donc de verrouiller, le cas échéant, l’accès de la flotte russe de la Mer noire à la Méditerranée. En outre, l’Alliance y dispose de plusieurs facilités sur son sol, dont la base d’Incirlik, le radar d’alerte avancée de Kürecik et le centre de commandement à Izmir [Allied Land Forces Southeastern Europe].

http://www.opex360.com/2017/03/15/lallemagne-veut-garder-la-turquie-au-sein-de-lotan/

Les livraisons à la Turaf d'une vingtaine d'Hürkuş-C débuteront en avril 2017 par TAI:

Kursad2 a écrit:

Accord entre la Turquie et la Russie pour la vente de 3 systèmes S-400 à la Turquie avec intégration de composants turcs. C'est un achat urgent de la part de la Turquie et le système n'intégrera pas le système OTAN.

Confirmation du secrétaire du Kremlin.

A-t-on une confirmation de la date de livraison de ces systèmes ?

Le drone armé Anka-SIHA a passé avec succès son premier test annonce le ministre de la défense turc. Le drone intègre un CATS FLIR, Satcom, Radar SAR, 2 ou 4 roquettes.