Actualités du Sahara Marocain

Rappel du premier message :

Cette decision aura des consequences importantes et negatives sur l'extension de notre ZEE dans le sud. Notre dossier ne peut plus etre accepter et nos objections au dossier espagnol ne sont plus acceptables non plus puisque nous n'avons pas autorité sur ces eaux.

Le petrole de ces zones est donc espagnol.

Comme le big boss est à l'hopital, je suppose que nos ministres ne reagirons pas et attendrons en silence.

Comme cela à ete dit plus haut, j'espere que la Marine Royale est prete à faire son travail car les Espagnols vont s'en donner à coeur joie. Lorsque vous verrez les premieres plateformes espagnoles sans autorisation de l'Onhym on verra si il en a qui disent que cette decision est "rien de nouveau".

Dans cette histoire les deux camps viennent de perdre et l'Europe vient de gagner l'equivalent de la Belgique en eaux territoriales.

Je sais pas si l'accord de sser le feu de 91 prevoit aussi l'interdiction de toute tation politique meme civile sur le no mans land. Si c'est pas le cas, lf maroc doit l'exiger pour eviter de tirer sur des soit disant civils algériens.

Fox-One a écrit:

Je sais pas si l'accord de sser le feu de 91 prevoit aussi l'interdiction de toute tation politique meme civile sur le no mans land. Si c'est pas le cas, lf maroc doit l'exiger pour eviter de tirer sur des soit disant civils algériens.

Tu sais ce qu'ils vont te répondre ? Annuler et arrêter le passage des civils dans le secteur de Guergaratte et nous ferons de même.

C'est des vicieux, de plus l'ONU ne nous aide pas, en déclarant qu'il n'y a pas de mouvement de troupes dans le secteur !!

Encore une fois il faudra y aller sur des œufs

C'est tous les ans la même. Tamtam, bendir, derbouka...
quelques vidéos de transports de troupes et véhicules blindés, des articles de journaux enflammés...et pour finir, des déclarations va-t-en guerre.

Le polisario est presque mort, et nous on le résussite à cette occasion!
Même l'Algérie semble vouloir pousser le polisario à la faute pour en finir avec...

Relisez 1984.

Pour réduire les pressions internes, il n'y a rien de tel qu'un ennemi externe.

Si le Maroc (qui que ce soit qui dirige ce dossier en ce moment) voulait vraiment regler le probleme, cela aurait été fait: Le POLISARIO est déclaré entité terroriste, le cessez-le-feu est annulé, les FAR bougent le mur jusqu'aux frontieres. Au meme moment, on ouvre les frontières avec l'Europe pour leur faire comprendre qu'il n'ont pas interet à bouger (quelques milliers de sans papiers suffiront).

Aucune puissance ne réagira (des paroles et rien d'autre) car il y bien plus grave qui se passe ailleurs. L'Algerie? elle va faire quoi? la guerre? Ils n'en n'ont pas les moyens. Leur armée n'a plus les moyens d'acheter suffisament de munitions pour tenir plus que un mois.
L'UA? qu'ils crient et on leur dit qu'ils abritent des terroriste contre qui nous avons lancé des mandats d'arrets.

on va sur 50 ans de conflit  et 30 ans de cessez le feu

30 ans qui n ont rien donné en face il ne veulent pas discuter, le pourrissement sa leur va trés bien comme situation eux

un moment il va falloir trancher

un jour ou l autre, les FAR devront reprendre ce qui reste de nos territoire au delà du mur, laissés au mains des ennemis,

Franchement, si le Sri Lanka peut le faire pourquoi pas nous?

Citation :

Franchement, si le Sri Lanka peut le faire pourquoi pas nous?

sur le volet diplomatique, beaucoups de pays règlent aujourd'hui leurs problèmes en faisant parler la poudre (Colombie avec les ex FARC, Sri Lanka avec les ex TIGRES, les turcs sont en Syrie jusqu  aux portes de HAMA et occupent une bonne moitié du Nord syriens, les US sont présent à Manbij, les russes sont en Crimée, les chinois prennent possession de la mer de  Chine, les saouds ont la main sur le Yemen...)


sur le volet militaire, les français dératisent le Sahel avec 4000H, les irakiens reprennent des métropole de la taille de Casablanca (Mossoul) occupées par des milliers de fanatiques, les syriens dératisent leur villes et leur désert de dizaines de milliers d adversaires à coup de T-55 surannés et de SU-25 Butagaz..


juste pour mettre en perspectives meme si cela ne signifie pas qu une intervention sera une promenade de santé loin de là.

......et nous on envoi des lettres de protestations au CS..........

QuickShark a écrit:

......et nous on envoi des lettres de protestations au CS..........

Oui mais le jour ou l'on passera à l'offensive militaire, on ne nous reprochera pas de ne pas avoir prévenu!

Au delà de l'action ferme à prendre vis à vis de ces sandalos, les plus hautes instances de ce pays doivent montrer une stature forte, et éviter des sorties médiatiques hasardeurses ou people.

Tu veux dire par là éviter de se prendre en photo dans une pharmacie ou une bibliothèque sur le champs ?

Oubliez ça sous M6 il n'y aura jamais de conflit armée ou d'intervention direct !

Il faudra attendre H3, il a un regard qui me plaît beaucoup !

Socket-error a écrit:

bradli23 a écrit:

Fox-One a écrit:

Une vingtaine de cobras ah-1z aurait ete la bien venu a ces moments precis.

ca fait des années qu'on parle dans ce forum sur la nécessite d’acquérir d'hélicos digne de ce nom, mais rien n'est fait. je ne comprends pas pourquoi les FAR ont tardé à faire l'acquisition de cet arsenal indispensable pour traiter certains menaces. c'est légitime et réaliste on ne demande pas des A-10 thunderbolt ou autre avion du genre. L'Espagne ont des Tigre nous voisins possèdent une dizaines de MI 24 et Mi 28. ce qui me désole c'est que meme s'il y a une acquisition maintenant ca prendra des années pour dompter ces engins par nos pilotes.

Je penses que des drones armés seraient plus efficace pour les neutralisés et avoir des données en temps réel du terrain, ainsi qu'éviter toute perte humaine.

Les hélicoptères sont des proies facile de nos jours, avec des missiles sol air portables.

premièrement à ce que je sache on ne dispose pas de drones armés. ni un nombre important de drones.

deuxièmement les drones ne remplaceront jamais les hélicos d'attaque au moins à moyen terme ( les drones armés est l'invention des USA et Tsahal pour traiter des cibles importantes et généralement statiques ( dirigeants d'Alqaida au Yémen, somalie... ou d'autres terroristes...). mais ne peuvent pas contrer une avancée rapide de blindés et troupes sur un terrain vaste.

troisièmement, les hélicos offrent une panoplie d'armement que les drones ne peuvent embarquer (canon, basquette pour roquettes,..)

quatrièmement, une acquisition d'hélicos d'attaques ( cobra AH-1, Apache, ou autre ) va envoyer un message sans équivoque aux séparatistes qu'on est paré à toute éventualité ( le fait de ne pas faire d'acquisition d'hélicos, pousse les sandalos à croire qu'on à l'aise avec le status quo et qu'on ne pense pas à la guerre)

bradli23 a écrit:

Socket-error a écrit:

bradli23 a écrit:

ca fait des années qu'on parle dans ce forum sur la nécessite d’acquérir d'hélicos digne de ce nom, mais rien n'est fait. je ne comprends pas pourquoi les FAR ont tardé à faire l'acquisition de cet arsenal indispensable pour traiter certains menaces. c'est légitime et réaliste on ne demande pas des A-10 thunderbolt ou autre avion du genre. L'Espagne ont des Tigre nous voisins possèdent une dizaines de MI 24 et Mi 28. ce qui me désole c'est que meme s'il y a une acquisition maintenant ca prendra des années pour dompter ces engins par nos pilotes.

Je penses que des drones armés seraient plus efficace pour les neutralisés et avoir des données en temps réel du terrain, ainsi qu'éviter toute perte humaine.

Les hélicoptères sont des proies facile de nos jours, avec des missiles sol air portables.

premièrement à ce que je sache on ne dispose pas de drones armés. ni un nombre important de drones.

deuxièmement les drones ne remplaceront jamais les hélicos d'attaque au moins à moyen terme ( les drones armés est l'invention des USA et Tsahal pour traiter des cibles importantes et généralement statiques ( dirigeants  d'Alqaida au Yémen, somalie... ou d'autres terroristes...). mais ne peuvent pas contrer une avancée rapide de blindés et troupes sur un terrain vaste.

troisièmement, les hélicos offrent une panoplie d'armement que les drones ne peuvent embarquer (canon, basquette pour roquettes,..)

quatrièmement, une acquisition d'hélicos d'attaques ( cobra AH-1, Apache, ou autre ) va envoyer un message sans équivoque aux séparatistes qu'on est paré à toute éventualité ( le fait de ne pas faire d'acquisition d'hélicos, pousse les sandalos à croire qu'on à l'aise avec le  status quo et qu'on ne pense pas à la guerre)

Je partage complétement votre avis sur l'importance des hélicos dans une guerre conventionnelle.

Notre cible à court voir à moyen terme c'est les agitations des sendalos. Je vois mal les Sendalos attaqués avec une colonne de chars !

Je penses que des drones armés sont une priorité pour notre cas, par exemple prendre des drones chinois Wing Loong II nous donnera pas mal d'avantages :

1- Éviter les blocages politiques et restriction d'armes des pays occidentaux
2- Le coût de revient et d'entretien faible
3- Une meilleure couverture du terrain grâce au temps de vol de 20h
4- Neutraliser les chars ennemies grâce aux missiles antichars à guidage laser, nous pouvons même mettre des missiles sol-air pour les autres cibles

je pense que nos responsables ont eu des informations sures que les sandalos ont l'intention d'occuper le NML (Bir la hlou, Tifariti , Mahbes...) ca peut être une volonté de la junte militaire de se débarrasser de ce dossier et les pousser à quitter Tindouf ( chose qui est peu probable, car ca va etre trop risqué si on arrive à rapatrier toute la population dans une action militaire , les sandalos ainsi que les caporaux vont perdre leur carte de chantage ( les réfugiés).

je pense que nos responsables ont flairer le stratagème des sandalos ( occuper petit à petit les localités avec quelques familles, avec le temps et avec le laxisme de l'ONU et la politique molle de nos dirigeants , ils vont quitter les camps de tindouf pour de bon cette fois-ci pour s'installer dans les différentes localités avec les installations (écoles hôpitaux, institutions,,,,) ce qui va leur donner plus de légitimité (peuple et terre). et ca va etre difficile pour les FAR d'intervenir à ce moment la.

http://fr.le360.ma/politique/violations-du-cessez-le-feu-quand-le-polisario-contredit-la-sortie-du-porte-parole-de-lonu-162573

je pense que le Maroc va devoir mettre l'ONU devant le fait accompli, le MUNORSO n'est pas capable de mener à bien ses responsabilités de la gestion du périmètre à l'est du mur de sécurité, le Maroc devra de ce fait garantir la sécurité de ses terres contres les menaces réels tels que le terrorisme dans la bande du sahel aidé par les miliciens du Polisario.

je viens de réaliser que Dujaric a parlé d'absence de mouvement militaire dans la zone, est ce que cela veut dire qu'il n'y a aucune restriction sur le mouvement des civils, dans ce cas on est pas mal dans des salles draps, je ne connait pas les détails des termes des accords du cessez-le-feu, on dit que le diable se cache dans les détails. et vu la piètre qualité des nos négociateurs lors de la signature des accords je pense qu'on s'est fait avoir. il faut s'attendre que des familles vont s'installer partout sans qu'on puisse agir.

Citation :

Pourquoi il n’y aura pas de guerre au Sahara: Les dessous de l’offensive diplomatique marocaine

"Une chose est claire: le Maroc n’aura aucun intérêt à s’engager dans un conflit armé avec le Polisario."

SAHARA - Depuis la réunion du ministre des Affaires étrangères et du ministre de l’Intérieur avec la commission conjointe du parlement chargée de politique étrangère, on assiste à un foisonnement de déclarations de responsables marocains sur la détermination du Maroc à repousser toute tentative du Polisario de changer le statu quo dans la zone tampon du Sahara. Fait nouveau dans le discours des responsables marocains: le Maroc n’exclut pas le recours à la force au cas où le Polisario serait tenté d’imposer la politique du fait accompli dans la région par le transfert d’une partie de son “ministère de la défense” à la zone de Bir Lahlou.

Le représentant permanent du Maroc aux Nations Unies, Omar Hilale, était on ne peut plus clair dans la lettre qu’il a adressée dimanche soir au président du Conseil de Sécurité pour le mois d’avril. Le diplomate marocain a dit sur un ton assez grave que toute tentative du Polisario de changer le statu quo dans la région constituerait un “casus belli”.

Durant les dernière quarante-huit heures, tous les Marocains se posent les questions suivantes: le Maroc compte-t-il vraiment s’engager dans une confrontation armée contre le Polisario? Si tel est le cas, pourquoi choisir de le faire à moins de quatre semaines avant que le Conseil de Sécurité ne renouvelle la mission de la Minurso et quelles seraient les conséquences pour les deux parties en cas d’éclatement d’une confrontation armée?

Mis à part le renouveau de patriotisme que des évènements d’une telle ampleur pourraient susciter chez les Marocains, si on s’arrête un moment pour analyser le contexte dans lequel le Maroc a décidé d’engager ce bras de fer avec le Polisario, on se rendra à l’évidence que la région est loin d’assister à une nouvelle guerre à cause du Sahara.

Pousser le Conseil de Sécurité à plus de fermeté avec le Polisario

Le contexte dans lequel le Maroc a décidé de muscler son discours et montrer sa disposition à recourir aux armes est révélateur sur le résultat qu’il veut obtenir. Rabat s’est résolu à passer à l’offensive trois jours après la publication de la version avancée du rapport annuel du Secrétaire Général des Nations Unies. Dans le rapport que l’on pourrait qualifier d’assez favorable au Maroc, le Secrétaire Général exprime sa préoccupation quant à la présence répétitive du Polisario dans la zone tampon de Guerguerat et l’exhorte à l’évacuer de la même manière qu’il l’avait fait en avril 2017. Dans le même temps, le Secrétaire Général salut la réponse mesurée du Maroc aux agissements du Polisario.

Le nouveau rapport d’Antonio Guterres crée un élan positif pour le Maroc à quelques semaines de l’adoption par le Conseil de Sécurité d’une nouvelle résolution sur le conflit. Voulant profiter de ce nouvel élan, le Maroc a décidé de hausser le ton pour pousser le Conseil de Sécurité à se montrer plus ferme avec le Polisario que l’année dernière.

On se rappelle qu’à la veille de l’adoption de la résolution annuelle du Conseil de Sécurité de l’année dernière, le Polisario avait annoncé in extremis sa décision de se retirer de Guerguerat. Le projet de résolution que le Conseil de Sécurité était sur le point d’adopter le 27 avril 2017 s’est félicité du retrait du Maroc de Guerguerat, et a exprimé sa profonde préoccupation que le Polisario soit resté là. Par ailleurs, le projet de résolution a solennellement exhorté le Polisario à évacuer la région en l’espace de 30 jours et demandé au Secrétaire Général de le briefer sur le sujet et de recommander la voie à suivre.

Mais juste au moment où le Conseil de Sécurité s’apprêtait à voter sur la résolution, le Polisario a envoyé une lettre à ses membres les informant de sa décision de redéployer ses éléments armés en dehors de Guerguerat. Grâce à cette décision, le mouvement séparatiste a réussi à éviter l’adoption d’une résolution qui lui était très défavorable et qui l’aurait exposé à des sanctions en cas de récidive ou de non-respect des dispositions de l’accord du cessez-le-feu.

Mais après l’adoption de la résolution, et étant donné que la résolution 2351 ne comprend aucun langage de fermeté à l’encontre du Polisario, ce dernier a récidivé et a, à maintes reprises, fait des incursions dans la zone de Guerguerat et ailleurs dans la zone tampon.

Les diplomates marocains savaient que la décision de dernière minute du Polisario n’était qu’un stratagème et que ce dernier allait répéter ses incursions dans la zone tampon. Déjà le jour même où le Polisario a informé le Conseil de Sécurité de sa décision de redéployer ses éléments armés, le Maroc a exprimé son mécontentement et insisté sur le fait qu’un “simple redéploiement ne constitue pas un retrait du Polisario de la zone.” Dans la lettre que le représentant permanent du Maroc à l’ONU a envoyée au Conseil de Sécurité, il a exprimé le souhait que “ni la MINURSO, ni le Département des opérations de maintien de la paix ne se prononceront en faveur de cette mascarade”.

La décision du Maroc de hausser le ton et de faire planer la menace de la guerre entre, donc, dans le cadre d’une stratégie visant à pousser le Conseil de Sécurité à ne plus se laisser leurrer par le Polisario et adopter une résolution contenant un langage contraignant au cas où le Polisario essaierait, encore une fois, de changer le statu quo de la région ou de violer le cessez-le-feu et l’accord militaire 1.

Un contexte favorable au Maroc

Le Maroc cherche aussi à tirer profit de deux facteurs importants:

1) le Conseil de Sécurité est présidé par le Pérou, un pays qui a montré des intentions positives à l’égard du Maroc ces derniers temps. On se rappelle que ce pays avait expulsé le soi-disant ambassadeur du Polisario en septembre dernier. Il est fort probable que le président du Conseil convoque une ou deux réunions destinées à se pencher sur les derniers développements sur le terrain.

2) Contrairement aux années précédentes et à l’année dernière, la composition du Conseil de Sécurité est favorable au Maroc. Hormis les cinq membres permanents, parmi les dix membres non-permanents du Conseil, la Bolivie et l’Ethiopie sont les seuls pays qui reconnaissent l’auto-proclamée RASD, alors que l’année dernière le Conseil de Sécurité comptait quatre pays: la Namibie, l’Ethiopie, la Bolivie et l’Uruguay. Ces deux derniers se sont opposés farouchement au langage ferme du premier projet de résolution rédigé par les Etats-Unis, et se sont efforcés de pousser le Conseil à adopter une résolution plus équilibrée.

Il ne fait pas l’ombre d’un doute que la dynamique des négociations au Conseil de Sécurité sera favorable au Maroc. Si on peut s’attendre à ce que la Bolivie soit résolument opposée au Maroc, après le renouement des relations diplomatiques entre Rabat et l’Ethiopie, il est probable que ce pays adopte une position nuancée. Durant les négociations qui ont précédé l’adoption de la résolution 2351, l’Ethiopie s’est bien gardée de prendre des positions hostiles au Maroc et il y a fort à parier qu’elle adopte la même position cette année.

A la lumière de ce qui précède, on assiste à l’adoption d’une stratégie habillement élaborée par la diplomatie marocaine pour acculer le Polisario et le forcer à mettre fin à ses provocations dans la région. Par la même occasion, le Maroc cherche à orienter le débat autour du conflit et les négociations du Conseil de Sécurité vers des sujets qui lui sont favorables, mais aussi remettre en cause la légitimité du Polisario et son sérieux à négocier une solution politique et mutuellement acceptable.

Ceci étant dit, une chose est claire: le Maroc n’aura aucun intérêt à s’engager dans un conflit armé avec le Polisario. Un tel scénario ouvrirait une boîte de pandore et on ne sait pas ce qui pourrait se produire par la suite. En plus, un tel scénario constituerait un cadeau providentiel pour le Polisario qui cherche depuis des années à mobiliser l’opinion publique internationale en sa faveur et serait le premier bénéficiaire d’un retour du différend territorial à la une des médias internationaux et sur le devant de la scène internationale. Le Maroc a d’autant moins d’intérêt de s’engager dans un conflit armé avec le Polisario que la nomination de John Bolton comme Conseil de sécurité nationale du président Donald Trump risque de faire planer le flou sur la position que l’administration américaine adoptera sur le conflit. Bolton est connu pour sa sympathie envers le Polisario et le Maroc a tout intérêt à ne faire aucun pas susceptible de bouleverser le rapport de force.

La stratégie que le Maroc a suivie avec succès depuis la signature du cessez-le-feu a été de maintenir le statu quo du conflit et le maintenir sous contrôle. Malgré les quelques revers ici et là, le Maroc a réussi dans cette stratégie et tout éclatement d’un conflit armé changerait complètement la donne et mettrait le Maroc sous pression.

https://www.huffpostmaghreb.com/entry/pourquoi-il-ny-aura-pas-de-guerre-au-sahara-les-dessous-de-loffensive-diplomatique-marocaine_mg_5ac39193e4b04646b6467e0a

Citation :

. il faut s'attendre que des familles vont s'installer partout sans qu'on puisse agir.

Sauf si la zone est peu sûre du fait des tangos et autres brigands susceptibles de sévir dans la région, surtout de nuit
Bref, on peut traiter cela à l'algerienne.

PGM a écrit:

Citation :

. il faut s'attendre que des familles vont s'installer partout sans qu'on puisse agir.

Sauf si la zone est peu sûre du fait des tangos et autres brigands susceptibles de sévir dans la région, surtout de nuit
Bref, on peut traiter cela à l'algerienne.

A sahbi...

el khadma dial oulad nass matakoulch maa had el guenss

si c'est la France et l'Espagne qui vont rédiger le rapport, on doit s'attendre à ce qu'il y est une motion contraignante pour les sandalos pour qu'ils ne récidivent pas à Guergarates, pour les autres zones ca va être difficile.

Ce qui est pour Guerguerate doit l'être pour toute la zone sans distinction. Sinon on se tendrai nous même nos pièges.

BOUBOU a écrit:

Ce qui est pour Guerguerate doit l'être pour toute la zone sans distinction. Sinon on se tendrai nous même nos pièges.

chaque année ils font leur parade à Tifariti a Bir lahlou, et leur assemblé national avec des invités venants de l'étranger à Tifariti et rien n'est fait. on a toléré ca depuis des années.

c'est une bonne stratégie d'attaquer la MINURSO et l'ONU, montrer qu'ils ne sont pas sérieux pour négocier avec leur provocations. et demander l’arrêt de toute activité dans le NML et le recensement des séquestrés avant toutes négociations.

sinon la guerre va être un dernier recours, quand on va sentir que les règles du jeu peuvent être changés.

la guerre ne m’inquiète pas, ils ont le choix entre une guerre conventionnelle avec attaque massive par des chars, jeep,,,( ils vont subir des pertes lourdes...).

guerre non symétrique (guerilla, hit and run), le système de detection Electronique, surveillance, pods, drones satellite, on peut traiter les menaces d'une manière preventive.

dans les deux cas il y aurait reprises d'hostilité sans faire avancer le mur de sécurité.

si on décide de bouger le mur (ce que je souhaite pour en finir avec le problème) le scénario va être plus complexe avec plusieurs facteurs inconnus.

bradli23 a écrit:

BOUBOU a écrit:

Ce qui est pour Guerguerate doit l'être pour toute la zone sans distinction. Sinon on se tendrai nous même nos pièges.

chaque année ils font leur parade à Tifariti a Bir lahlou, et leur assemblé national avec des invités venants de l'étranger à Tifariti et rien n'est fait. on a toléré ca depuis des années.

c'est une bonne stratégies d'attaquer la MINURSO et l'ONU, montrer qu'ils ne sont pas sérieux pour négocier. et demander l’arrêt de toute activité dans le NML et le recensement des séquestrés avant toutes négociations.

Ca fait des années que ça dure...c'est toujours les mêmes cycles.
On doit mettre la MINURSO derriere nos frontières et non dans. De plus le référendum n'est même plus d'actualité et non applicable , donc la dénomination même de la MINURSO doit changée.