Erdogan a dû dire un ''non'' au régime de la poubelle, sur l'affaire du Sahara
Pourtant il l'a toujours dit depuis le début comme ces prédécesseurs. La Turquie est même contre l'autonomie du Sahara Occidental.
L'Algérie et la Turquie ne sont pas des pays amis et je dirais même ennemis idéologiquement, la Turquie voit l'Algérie comme un pays communiste socialisant. La Turquie soutien le Maroc pour le Sahara Occidental.F]] La guerre en Syrie que l'Algérie s'oppose. L'Algérie préférant soutenir Bachar Al-Assad et la Turquie soutenant les rebelles.[/u] L'Algérie voit d'un mauvais oeil la montée en puissance de la Turquie dans la région du MENA et de son armée. Rien ne pourra réconcilier les deux pays dans un avenir proche. Je pense qu'une coopération de la Turquie avec la Tunisie et le Maroc serait plus utilise qu'une coopération avec l'Algérie sans l'état actuel des choses. La Turquie ayant supprimer les visas pour les citoyens marocains et tunisiens pour le Maghreb. Sans oublier l'offensive économique et politique de la Turquie dans les pays africains limitrophes à l'Algérie, la Turquie y gagne de l'influence et un part de marché grandissant.
Je dirais une entente cordiale hypocrite entre les deux pays et cela dure depuis l'indépendance de l'Algérie, la Turquie ayant traîner des pieds pour reconnaître l'indépendance de l'Algérie à cause de ses propres intérêts. La seule chose qui marche entre l'Algérie et la Turquie est le tourisme et le commerce, la Turquie ayant un temps mettre un visa pour les citoyens Algériens mais l'afflux de tourisme est dynamique et l'idée fut écartée. L'Algérie voit Erdogan comme un potentiel ennemi idéologique. Le gouvernement Algérie à peur qu'Erdogan joue avec la carte des FM en Algérie en soutenant des parties opposées au FLN comme il a put faire en Syrie et en Libye, d'ailleurs en Libye les deux pays s'opposent aussi, ils s'opposent dans presque tous les dossiers.
En1:l'Algérie n'a jamais soutenu une guerre,c'est logique qu'elle reste opposer à l'intervention Turque en Syrie ou n'importe quel pays qui intervient. En 2: Rien ne pourra réconcilier je sais pas si c'est en ton nom ou tu la lu quelque part et si c'est le cas je serais curieux merci En 3: Je suis d'accord mais je pense que les deux nations ont dépasser ce cap d'ailleurs le Bussiness entre les deux état le prouve Et à titre personnel je suis pour la suppression de visa entre tout Etat Musulman mais malheuresement tu dois savoir que l'Algérie n'est pas prête au retour et au transit au cas ou de milliers de terroriste donc je comprend cette position,d'ailleurs les turcs qui vienne en Algérie n'ont aucune difficulté pour le Visa ça va tràs tràs vite merci
Malgré les visites entre les deux pays, les relations sont froides même si elle reste courtoise. Il y a un problème de confiance à cause de l'idéologie propre à ces deux pays. Ta dernière phrase résume le malaise de la Turquie, prendre ce pays comme un point d'entrée du terrorisme.
Auteur
Message
mbarki_49 Colonel-Major
messages : 2510 Inscrit le : 13/12/2010 Localisation : Casablanca Nationalité : Médailles de mérite :
Sujet: Re: Actualités Algeriennes Mar 18 Sep - 15:44
Citation :
Changements au sein de l’armée : un mouvement d’une ampleur sans précédent
Est-ce l'automne des généraux ? Depuis quelques jours des informations circulent sur l’ouverture d’enquête sur plusieurs officiers supérieurs de l’armée après leur mise à la retraite ou leur limogeage.
Des informations rapportées par des canaux non officiels. Ni la présidence de la République ni le ministère de la Défense nationale n’ont confirmé ce que des médias ont rapporté ces derniers jours. Et aucun démenti n’est venu de ces deux institutions.
Ennahar TV et El Watan ont rapporté que cinq généraux ont été privés de leurs passeports depuis le samedi 15 septembre 2018 sur décision du tribunal militaire de Blida. Il s’agit des généraux Habib Chentouf, Saïd Bey, Abderrezak Chérif, ex-commandants de la 1ère, 2e et 4e régions militaires. Sont concernés aussi, le général major Boudjema Boudouaour, ex-directeur des Finances et des transactions au ministère de la Défense nationale (MDN) et le général major Menad Nouba, ex-commandant de la Gendarmerie nationale.
Ce mardi 18 septembre, El Watan a rapporté que des perquisitions ont été effectuées dans les domiciles de cinq généraux et que des ISTN (Interdiction de sortie du territoire national) leurs ont été signifiées. D’après le journal, la présidence de la République aurait demandé une enquête sur « l’enrichissement suspect » de certains officiers supérieurs de l’armée.
Changements au sein de la direction centrale du MDN Le site Alg24 -propriété du groupe Ennahar- a évoqué « les biens mal acquis », « les fortunes personnelles » et la création de plusieurs sociétés « au nom des enfants » de ces généraux. Le premier responsable de la police des frontières à l’aéroport d’Alger a été démis de ses fonctions pour avoir « laissé passer » le général major Saïd Bey, parti à l’étranger pour des soins, avant de revenir. Et le général Bouchentouf Remil, chef de la Caisse nationale des assurances sociales de l’armée, a été également relevé de ses fonctions (radié des rangs de l’ANP, selon El Watan) pour savoir, semble-t-il, remis le document permettant la prise en charge médicale du général-major Saïd Bey en France.
Comment expliquer cette soudaine accélération des événements ? L’ouverture d’enquêtes judiciaires visant cinq généraux a été précédée et suivie par une série de décisions touchant d’autres hauts gradés. Le général major Ahcène Tafer, commandant des forces terrestres, est admis à retraite. Idem pour Abdelkader Lounes, commandant des forces aériennes, qui est resté à ce poste pendant treize ans.
Les directions centrales, les plus sensibles, sont également touchées par les changements. Le nouveau secrétaire général du MDN, le général-major Abdelhamid Ghriss, a été installé dans ses fonctions lundi 17 septembre, par le général de corps d’armées Ahmed Gaid Salah, vice-ministre de la Défense et chef d’état-major de l’ANP. Abdelhamid Ghriss succède au général major Mohamed Zenakhri, en poste depuis 2011 (il avait remplacé le général-major Ahmed Senhadji). Gaid Salah a souhaité « une heureuse vie familiale » pour Zenakhri et demande » à Ghriss à d’exploiter d’une manière « optimale et rationnelle » les ressources de l’armée.
>> VIDÉO : Tout savoir sur la purge au sein de l’Armée
Un mouvement inédit Le général-major Ali Akroum a été nommé chef du département logistique et organisation du MDN et le général-major Mohamed Tiboudlat désigné à la tête de la direction de matériel au MDN.
Ces changements n’ont pas touché le commandant de la 5e région militaire, le général major Ammar Athamnia, et le commandant des forces navales, le général-major Mohamed Larbi Haouli, les deux officiers ont été nommés en 2015.
Depuis son arrivée au pouvoir en 1999, le président Abdelaziz Bouteflika, chef suprême des forces armées, n’a jamais procédé à un mouvement d’une telle ampleur au sein de l’armée. En 2004, le départ du chef d’état-major de l’armée, le général de corps d’armée Mohamed Lamari, opposé au 2e mandat pour le président Bouteflika, n’avait pas donné lieu à ce qui pouvait ressembler à une purge.
La mise à la retraite du général de corps d’armée Mohamed Mediène, chef du DRS, en 2015, n’a pas été également suivie d’un grand chamboulement au sein de l’armée, du moins au niveau des régions militaires. À l’époque, on avait parlé de réforme des structures de sécurité et mis en avant l’idée de « l’État civil ».
Le général Athmane Tartag, nommé à la tête de la Direction des services de sécurité (DSS), qui a remplacé le DRS, avait commencé à paraître en public, contrairement à Mohamed Mediène. Mais, depuis sa nomination en 2015, le général Tartag garde l’habitude de la discrétion, héritée de l’époque de l’ex-Sécurité militaire.
Les récentes décisions de Bouteflika concernant les chefs de l’armée épargnent les services de renseignements. Cependant, l’architecture du MDN est en grande partie refaite ou aménagée.
Départ de « généraux politiques » ? Les généraux-majors, les généraux ou colonels, qui étaient déjà là à l’arrivée de Bouteflika au pouvoir en 1999, sont presque tous partis à l’exception d’Ahmed Gaid Salah, Said Chengriha (Forces terrestres) et Ali Ben Ali (Garde Républicaine). Est-ce la fin de l’époque des « généraux politiques » qui ont notamment « géré » l’époque des violences des années 1990 ? Faut-il inscrire dans ce registre « l’alternance dans les fonctions » évoquée, ce septembre 2018, par la revue El Djeich ?
Cette hypothèse parait peu probable. Sinon comment comprendre que la fin de fonction ou l’admission à la retraire de certains généraux sont suivies par l’ouverture d’enquêtes judiciaires pour « enrichissement suspect » ? Cet enrichissement n’était pas visible lorsqu’ils étaient en poste ? On n’est plus dans « l’alternance », mais dans une mise à l’écart qui prend la forme d’une nouvelle « opération mains propres » qui, à la fin des années 1990, avait surtout touché les cadres des entreprises publiques économiques.
Le général Ahmed Gaid Salah, qui n’a pas cessé de se déplacer dans les régions militaires durant l’été, a parlé de « modernisation » de l’armée, défendu le principe du « mérite professionnel » et répété qu’il appliquait à la lettre les instructions du président de la République. Est-il favorable aux récentes décisions qui ont également concerné des officiers considérés comme proches de lui et de sa vision militaire et opérationnelle ?
Questionnements et craintes La règle veut qu’un officier ne conteste pas les ordres de ses supérieurs (le général Abdelghani Hamel en a fait les frais l’été dernier en parlant de l’enquête sur l’affaire Kamel El Bouchi), mais l’opinion publique est en droit d’exiger des explications sur ce qui se passe au sein de l’armée.
Le mouvement de changement de poste, de fonctions et de mise à la retraite a pris un caractère massif, ce qui provoque naturellement des questionnements, mais également des craintes. Les médias étrangers s’intéressent aussi à ces changements surtout que l’armée algérienne est souvent présentée comme puissante dans la région arabe et que l’Algérie est évoquée comme « plus gros acheteur d’armes en Afrique ».
L’approche de l’élection présidentielle avec un possible 5e mandat pour Bouteflika peut-elle tout expliquer ? Difficile d’avoir une réponse précise dans le flou général qui entoure la sphère politique et militaire en Algérie. Pour l’instant du moins.
messages : 8008 Inscrit le : 19/02/2012 Localisation : Kech Nationalité : Médailles de mérite :
Sujet: Re: Actualités Algeriennes Dim 23 Sep - 14:20
ils ont attendu que ca se calme pour mettre fin a sa mission https://www.tsa-algerie.com/ar/%D8%B9%D9%82%D8%A8-3-%D8%B3%D9%86%D9%88%D8%A7%D8%AA-%D9%85%D9%86-%D8%A7%D9%84%D8%AC%D8%AF%D9%84-%D8%A7%D9%84%D8%AF%D8%A8%D9%84%D9%88%D9%85%D8%A7%D8%B3%D9%8A-%D8%A7%D9%84%D8%A5%D9%8A%D8%B1%D8%A7/
_________________
Citation :
"je veux pour le Maroc de dirigeants intelligeants , une jeunesse intelligente, apte a saisir les occasions a comprendre le siècle ou elle vie, a ne pas vivre a l'ombre du politisme, mais guidée par le perfectionnisme et surtout pas la réalisation et le réalisme " Hassan II 1996
mourad27 Modérateur
messages : 8008 Inscrit le : 19/02/2012 Localisation : Kech Nationalité : Médailles de mérite :
Sujet: Re: Actualités Algeriennes Dim 23 Sep - 16:42
Citation :
Bouteflika, Maroc, corruption : Bernard Bajolet revient sur ses années algériennes
Bernard Bajolet, ancien ambassadeur de France en Algérie entre 2006 et 2008 et ancien patron de la DGSE (Direction générale de la sécurité extérieure), revient dans un nouveau livre, « Le soleil ne se lève plus à l’Est, mémoires d’Orient d’un ambassadeur peu diplomate », paru aux éditions Plon à Paris, sur son séjour en Algérie et sur ses relations avec les autorités algériennes.
Il écrit avoir établi « une relation chaleureuse » avec le président Abdelaziz Bouteflika qui le recevait « pendant de longues heures ».
« Lors de notre premier entretien, en décembre 2006, quelques jours après mon arrivée, je lui fis part du message « d’amitié, d’estime et d’affection » que le président Chirac m’avait chargé de lui transmettre. Cela ne lui suffisait manifestement pas : le président Chirac ne se cachait pas d’entretenir des relations quasiment familiales avec le roi du Maroc. « On nous a parlé de relations privilégiées avec l’Algérie, se plaignit Bouteflika. Mais en réalité, les privilèges ont été réservés au Maroc et à la Tunisie. L’Algérie, elle, n’a rien vu ». Le ton était donné », rapporte-t-il.
Bouteflika, selon l’ancien ambassadeur, confiait tant ses attentes que ses frustrations.
« Il se montrait en effet d’une extrême lucidité. De mon côté, n’ayant pas à forcer ma nature, j’étais tout aussi direct et avais le sentiment que cela lui plaisait », écrit-il saluant « la grande acuité » des analyses du chef d’État algérien.
« Je vous interdit de parler arabe » Bajolet révèle que le président Jacques Chirac lui a ordonné, avant de le nommer ambassadeur à Alger, de ne pas parler arabe en Algérie.
« Vous m’avez bien entendu, hein? Vous êtes arabisant, et je ne sens pas cela à Alger. Vous allez les mettre mal à l’aise. D’ailleurs, j’ai hésité un moment avant de vous y nommer, pour cette raison. Donc, je vous interdis de parler arabe ». En me raccompagnant, il parut un peu se raviser : « Enfin, nuança-t-il, vous verrez bien sur place ». De fait, j’enfreignis à l’occasion la consigne présidentielle: pendant mon séjour à Alger, je fis plusieurs discours en arabe, notamment le jour de notre fête nationale. Non pas que les Algériens ne comprissent pas le français : bien au contraire, la plupart des dirigeants le maîtrisaient parfaitement. Mais s’adresser à eux en arabe classique était une façon de marquer du respect pour leur culture, que la France leur semblait avoir méprisée pendant les cent trente-deux ans de sa domination », écrit-il.
Il a rappelé avoir fait jouer « Qassaman », après la « Marseillaise », dans les jardins de la villa des Oliviers, résidence de l’ambassadeur de France à Alger (habitée par le général De Gaule en 1942), le 14 juillet 2007.
« Les invités algériens écoutèrent les deux hymnes les larmes aux yeux. C’était la première fois qu’on les entendait ensemble en ces lieux », rappelle-t-il. Il confie que sa décision n’était pas facile parce que « Qassaman » était « l’hymne du FLN (écrit FNL dans le livre) et contient des paroles hostiles à la France ».
« Mais, les paroles de l’hymne algérien, d’ailleurs bien moins sanglantes que celles de notre « Marseillaise », ne furent pas chantées ce jour là. Dans mon esprit, il s’agissait aussi de reconnaître la légitimité du combat des algériens pour leur dignité, même si ce combat avait été mené contre mon pays. Celui ci, oublieux de l’universalité des droits de l’homme dont il avait éclairé le monde, avait refusé d’appliquer aux algériens la devise qu’il inscrit au frontispice de ses immeubles : « liberté, égalité et fraternité ». Il n’avait pas voulu, ou pas su, les préparer à l’indépendance et à la démocratie. De Montesquieu il n’avait voulu reconnaître que la relativité de la valeur des systèmes politiques selon les latitudes », souligne-t-il.
« Le peuple est beaucoup plus francophile que les dirigeants » Selon lui, admettre ces manquements n’est pas tomber dans la repentance, « mais seulement assumer sa propre Histoire, comme chaque peuple doit faire ».
Il estime qu’il ne faut pas retenir « les pages de gloire » et enfouir les pages « les plus sombres ».
« Ce travail de mémoire, qui au fond est la recherche de la justice historique », ne doit pas non plus conduire à ignorer les souffrances des pieds noirs, chassés de la terre qui les a vus naître, qu’ils aimaient et avaient fait fructifier », plaide-t-il.
Bajolet écrit que lors d’un entretien le 7 novembre 2006, le président Jacques Chirac lui a présenté un tableau peu encourageant des relations algéro-françaises : « Elles sont foiroteuses. Le peuple est beaucoup plus francophile que les dirigeants, qui sous-estiment ce sentiment. Je l’ai senti quand je suis allé en Algérie. Il y a des signes qui ne trompent pas ».
Pour Bajolet, Chirac avait raison. « Trente ans plutôt, lors de mon premier séjour en Algérie, j’avais déjà été frappé par le gentillesse des algériens, qui m’accueillaient chez eux en famille dans toutes les régions du pays. Certains d’entre eux avaient pris les armes contre la France entre 1954 et 1962. Ils avaient peut être tué des français, sans doute aussi perdu des proches. Ils avaient défendu leur liberté. Mais, ils n’en voulaient pas à la France et encore moins aux français. J’avais sillonné ce magnifique pays dans tous les sens. Jamais je ne vis de haine dans les regards ni entendis le moindre propos revanchard . Contraste saisissant avec les relations officielles qui, elles, étaient glaciales, voire inexistantes», témoigne-t-il.
Rencontre secrète à Paris Il rappelle que le président Houari Boumediène n’a jamais reçu en audience l’ambassadeur Guy de Commines (en poste en 1975), préférant discuter avec Paul Balta, correspondant du quotidien Le Monde à Alger.
« Les lecteurs algériens surnommaient notre célèbre journal du soir, qu’ils trouvaient complaisant à l’égard du régime, « Le Moudjahid », par analogie avec le journal officieux local », écrit-il.
Il révèle aussi que Abdelaziz Bouteflika, alors ministère des Affaires étrangères, n’a jamais reçu Guy de Commines.
« Le malheureux Commines devait se rabattre sur les fonctionnaires du ministères », appuie-t-il. Il souligne que la raison de cette « froideur » n’était pas uniquement « le passé colonial », mais aussi le soutien du président français Giscard d’Estaing au Maroc dans le dossier du Sahara Occidental.
« En 1977 et en 1978, il enverrait même des Jaguar français attaquer les positions des Sahraouis en Mauritanie. Les Algériens firent alors a posteriori une lecture négative de la visite- la première d’un chef d’État français- que Valéry Giscard d’Estaing avait faite en Algérie en avril 1975. Ils se dirent blessés par les propos condescendants que celui-ci avait tenu en posant le pied sur le sol algérien : « La France historique salue l’Algérie indépendante », détaille-t-il.
Pour lui, il existe une lutte d’influence à propos du Sahara Occidental entre le Maroc, « défavorisé par le partage colonial du désert », et l’Algérie, « qui instrumentalise le Polisario de défendre le droit à l’autodétermination du peuple sahraoui ».
Il révèle avoir rencontré secrètement, dans un hôtel parisien, des dirigeants du Polisario lorsqu’il était directeur-adjoint d’Afrique du nord et Moyen Orient au Quai d’Orsay, au début des années 1990, pour « sonder leurs dispositions à envisager un compromis ».
« Cette tentative n’avait pas abouti. En novembre 2006, je pris l’initiative d’aborder ce dossier avec Jacques Chirac. « On était près d’un accord, me révéla ce dernier. Mais les Marocains ont tout fait capoté », mentionne-t-il. Il note aussi que le Sahara Occidental était l’un des premiers sujets soulevés par le président Bouteflika avec l’ambassadeur Bajolet qui lui a dit que Paris a « toujours soutenu la position marocaine depuis l’époque du président Giscard d’Estaing ».
« La position de la France, lui expliquai-je, ne relève pas d’un quelconque parti pris. Mais, elle peut être influencée par le sentiment que cette affaire est vitale pour le Maroc, alors qu’elle ne l’est pas pour l’Algérie. Oui, c’est vrai, concéda Bouteflika. Elle n’est pas vitale pour nous. Mais sachez qu’il n’y aura pas de lune de miel avec le Maroc, pas de Maghreb arabe tant qu’une solution équitable ne sera pas trouvée », rapporte-t-il.
« L’État se résumait pratiquement à l’armée » En juillet 2008, l’ambassadeur a abordé le sujet avec le président Bouteflika lors d’une audience d’adieu.
« Ce que je vais vous dire, monsieur le président, n’est pas politiquement correct. Je sais qu’à vos yeux, c’est le Polisario qui est partie au différend, non pas l’Algérie. Pourtant, je pense que celui-ci ne trouvera pas sa solution à New York, ni à Washington, ni à Paris. Mais seulement à travers un dialogue direct entre vous et le Maroc. Le principe de l’autodétermination doit être mis en œuvre, mais après une négociation entre les deux principaux pays concernés. ». Le président algérien avait esquivé, en passant à un autre sujet », écrit-il.
Revenant sur son retour en Algérie, en décembre 2006, en tant qu’ambassadeur, Bajolet confie que son premier séjour, entre 1975 et 1978, l’avait laissé sur sa faim.
« Je pensais qu’il fallait aborder ce pays d’une façon différente, en assumant le passé, mais en même temps sans complexe, sans condescendance et avec franchise, marque la plus accomplie du respect », souligne-t-il disant avoir eu un sentiment de « déjà vu » de retour à Alger.
« L’Algérie, au moment où je la retrouvais, venait à peine de se libérer de dix ans de terrorisme. Elle avait perdu beaucoup de temps, et l’administration qui la dirigeait n’était pas de nature à le lui faire rattraper : les ministères s’étaient vidés d’une grande partie de leurs cadres de qualité et, au fond, l’État se résumait pratiquement à l’armée, véritable ossature du pays, et à la Sonatrach. Le processus de décision paraissait grippé, le système de représentation en panne », détaille-t-il. D’après lui, l’Algérie n’a pas réussi la diversification économique et « la remise à niveau » des équipements publics (infrastructures structurantes) a eu un effet limité sur l’économie.
« Il aurait fallu pousser le secteur privé, seul moteur de croissance. Mais le pouvoir, de toute évidence, ne le voulait pas, comme s’il craignait l’émergence d’une classe d’entrepreneurs qui aurait pu un jour le contester et exiger un partage de la décision. Ainsi, je découvris un tissu, encore embryonnaire, de PME dynamiques. Mais le gouvernement ne l’aidait pas à se développer, et Bouteflika lui même m’avoua un jour qu’il n’y croyait pas. Il n’y avait pas non plus en Algérie de grands capitalistes prêts à investir massivement dans le pays. La demi douzaine d’hommes d’affaires que l’on présentait comme tels étaient plutôt des capitalistes d’État , voire des affairistes, liés aux « services » ou au pouvoir, qu’ils contribuaient à corrompre. Car, je fus pris de vertige par les sommets que la corruption avait atteints, touchant jusqu’à la famille du chef de l’État», mentionne-t-il dans son livre.
Saint Augustin est entré dans l’Histoire de l’Algérie à l’initiative de Bouteflika Selon lui, la classe moyenne, qui existait à l’époque de Boumediène, a disparu. Il évoque « le niveau très honorable » de l’éducation avec un taux d’alphabétisation de 96 %.
« Mais les jeunes les mieux formés, quand ils en avaient la possibilité, allaient terminer les études à l’étranger, pour ne pas en revenir, le plus souvent », note-t-il.
La langue française garde, selon lui, une bonne place en Algérie. « Sans l’avouer, et alors que celle-ci (l’Algérie) n’était qu’observatrice au sein de l’OIF, (Organisation internationale de la francophonie), elle faisait-et fait toujours- pour la langue française beaucoup plus que bien des pays qui ne l’ont rejointe que pour des raisons politiques. Je remarquais également la difficulté que les algériens continuaient d’éprouver pour assumer un héritage autre celui lié à l’héritage arabo-islamique. Ainsi, ils n’avaient pratiquement pas touché aux sites antiques, où les fouilles avaient quasiment cessé. Saint Augustin venait seulement de faire son entrée dans l’histoire de l’Algérie, à l’initiative du président Bouteflika (que l’âge et la maladie feraient ensuite retomber dans une posture plus mystique et moins tolérante). Quant au patrimoine architectural de l’époque coloniale, remarquable dans toutes les villes du pays, les algériens commençaient seulement à se l’approprier », relève-t-il.
Dans cette optique, l’ambassadeur Bajolet avait proposé, en décembre 2007, lors de la visite du président Nicolas Sarkozy, à Constantine, l’organisation du déjeuner officiel à l’ancien hôtel de la ville, construit au début du XXème siècle.
« Alors que le protocole de l’Élysée vint reconnaître les lieux quelques semaines avant le déplacement présidentiel, les Algériens durent en enfoncer les portes, car personne ne savait où étaient les clefs. Le déjeuner, somptueux, y eut lieu, comme je l’avais souhaité. Mais le bâtiment n’avait pu être dératisé à temps. J’aperçus, courant sous les tables, un énorme rat, sans doute alléchée par la perspective d’un festin royal. Heureusement, je fus, semble-t-il, le seul à le remarquer », ironise-t-il.
Entre ces deux séjours à Alger (en 1975 et en 2006), il avait suivi les dossiers algériens au Quai d’Orsay mais également au CIR, Comité interministériel du Renseignement en tant que président du groupe « Maghreb ».
« Le CIR était la première tentative de coordonner le renseignement français. Le mérite en revenait à Michel Rocard (…) le groupe dont j’avais la responsabilité comprenait la DGSE, la DST, les RG et la DRM », précise-t-il.
Hypothèses autour du FIS L’arrêt du processus électoral en 1992 en Algérie, après la victoire du FIS, avait été retenu comme « hypothèse » au sein du CIR parmi d’autres.
« Elles avaient suscité entre nous des opinions divergentes. Les uns considéraient que c’était l’option la plus raisonnable : si le FIS prenait le pouvoir en Algérie, il ne le rendrait pas; sa victoire risquerait de provoquer une émigration massive vers la France; elle pourrait faire tâche d’huile dans l’ensemble du monde musulman; elle remettrait en cause les acquis de la femme algérienne et la liberté de la presse. Les autres-dont j’étais à ce moment là- craignaient une guerre civile, voire une montée du terrorisme, si les islamistes étaient privés de leur victoire. Si au contraire on leur laissait, ils devraient se montrer pragmatiques et compter avec la France. Ils évolueraient vers plus de modération. Comme ils se disaient libéraux dans le domaine économique, ils s’attacheraient, peut être, à favoriser l’essor du secteur privé en Algérie(…) Le Président Mitterrand parut trancher dans le sens de la seconde école, celle dont je faisais partie : « il faut plutôt que les dirigeants algériens renouent le fil de la démocratisation », déclara-t-il le 14 janvier (1992), en marge d’un sommet européen à Luxembourg. Dans la logique de cette position, le gouvernement français afficha une prise de distance avec le pouvoir algérien », détaille-t-il.
Il dit avoir regretté, à posteriori, le fait de n’avoir pas « donné sa chance » à Mohamed Boudiaf, « figure emblématique de la révolution algérienne et homme intègre, que la junte militaire avait rappelé de son exil » (il n’écarte pas la thèse de son assassinat, en juin 1992, par le pouvoir).
Il révèle que la froideur des relations, n’a pas empêché Paris de fournir « en sous-main » une aide matérielle et financière au pouvoir algérien après la victoire de la droite française en mars 1993. Selon lui, l’Algérie est passée entre « les mailles du mouvement de 2011 dans le monde arabe » grâce « au printemps raté de 1980 », « la guerre civile de 1990 » et « l’habile gestion tactique » de Bouteflika (politique de réconciliation).
La visite du général Georgelin en Algérie L’ancien ambassadeur rapporte que le président Jacques Chirac consultait régulièrement le chef d’état major des armées le général Georgelin, car il estimait que les militaires, « du fait de l’Histoire », avaient leur mot à dire.
« Jacques Chirac avait lui même servi comme sous-lieutenant en Algérie. Je pensais important pour ce travail à la fois de mémoire et normalisation que le général Georgelin se rendît en Algérie. Il serait le premier chef des armées françaises à le faire depuis l’indépendance, en octobre 2007. Très symboliquement, il y remit, comme il s’y était engagé auprès de moi, les plans de pose des mines que les sapeurs français avaient enfouis en 1957 et en 1959 le long des frontières avec la Tunisie et le Maroc. Cet événement inspira le talentueux caricaturiste Dilem, qui montra un Bouteflika en plein milieu d’un champs de mines, expliquant, désolé : « Oui, c’est pour ça qu’on n’a pas bougé depuis 1962 » », note-t-il.
Bajolet rappelle que le général Georgelin a reçu un accueil chaleureux de la part de ses pairs militaires algériens.
« Ils l’emmenèrent à Tamanrasset, dans le Grand Sud, où une fête touarègue avait été préparée à son honneur », dit-il. Sur place, l’officier supérieur français, après hésitation, a porté une tenue traditionnelle targuie. https://www.tsa-algerie.com/bouteflika-maroc-corruption-bernard-bajolet-revient-sur-ses-annees-algeriennes/
_________________
Citation :
"je veux pour le Maroc de dirigeants intelligeants , une jeunesse intelligente, apte a saisir les occasions a comprendre le siècle ou elle vie, a ne pas vivre a l'ombre du politisme, mais guidée par le perfectionnisme et surtout pas la réalisation et le réalisme " Hassan II 1996
Fahed64 Administrateur
messages : 25539 Inscrit le : 31/03/2008 Localisation : Pau-Marrakech Nationalité : Médailles de mérite :
Sujet: Re: Actualités Algeriennes Dim 23 Sep - 16:47
Le complexe toujours la même chose rien de nouveau !
_________________ Sois généreux avec nous, Ô toi Dieu et donne nous la Victoire
Adam Modérateur
messages : 6300 Inscrit le : 25/03/2009 Localisation : Royaume pour tous les Marocains Nationalité : Médailles de mérite :
Sujet: Re: Actualités Algeriennes Jeu 27 Sep - 14:50
_________________ Les peuples ne meurent jamais de faim mais de honte.
Adam Modérateur
messages : 6300 Inscrit le : 25/03/2009 Localisation : Royaume pour tous les Marocains Nationalité : Médailles de mérite :
Sujet: Re: Actualités Algeriennes Ven 28 Sep - 21:49
Citation :
Maroc: la maison familiale du président Bouteflika à Oujda sur le point de s'écrouler
A Oujda dans l'oriental marocain, la maison où est né le président algérien 2 mars 1937 est sur le point de s'écrouler. Abdelaziz Bouteflika, qui a toujours des problèmes avec ses origines marocaines, ne s'est pas encore manifesté.
La maison familiale des Bouteflika est située dans la Médina d'Oujda rue ...du Maghreb arabe. Le Conseil de la ville d'Oujda a interpellé le Consul général d'Alger à Rabat. Car la vieille bâtisse menace de s'effondrer exposant les habitants des demeures voisines à un réel danger.
La maison du président Bouteflika se trouvé également à l'entrée de la vieille ville. Comme elle est complètement à l’abandon, la bâtisse est devenue pratiquement une décharge et gâche par son aspect l'esthétique de l'entrée de la Médina. Qu'attends le président algérien pour trancher concernant sa maison familiale ?
_________________ Les peuples ne meurent jamais de faim mais de honte.
Adam Modérateur
messages : 6300 Inscrit le : 25/03/2009 Localisation : Royaume pour tous les Marocains Nationalité : Médailles de mérite :
Sujet: Re: Actualités Algeriennes Sam 20 Oct - 3:02
MAP a écrit:
ONU : l’Algérie attise le séparatisme en Afrique
vendredi, 19 octobre, 2018 à 23:24
New York (Nations-Unies) – En plus de son hostilité avérée à l’égard du Maroc, il semblerait que l’Algérie ait décidé d’élargir ses manœuvres sournoises et déstabilisatrices au reste du continent africain et plus particulièrement à l’Afrique de l’Ouest et du Centre.
En effet, un incident révélateur intervenu lors des débats de la 4è Commission de la 73ème session de l’Assemblée Générale des Nations-Unies a mis à nu les agissements sournois de l’Algérie, et a suscité l’indignation et l’agacement des nombreuses délégations auprès de l’ONU. A la surprise générale, deux individus ramenés par l’Algérie et inscrits en tant que pétitionnaires pour prêcher les thèses fallacieuses de l’Algérie sur la question du Sahara marocain, se sont révélés être des séparatistes camerounais venant pour plaider l’indépendance de la soi-disant « république d’Ambazonie », région anglophone frontalière avec le Nigéria voisin.
L’intention de ces individus et de leur pourvoyeur financier, l’Algérie, est claire et irréfutable. Ces derniers, tout en prétextant vouloir plaider les thèses fallacieuses de l’Algérie sur le Sahara marocain, visaient en réalité à introduire dans les débats la question de l’indépendance de l’entité chimérique d’Ambazonie, située dans une région hautement sensible, à cheval entre l’Afrique de l’Ouest et l’Afrique Centrale.
La participation de ces individus n’est heureusement pas passée inaperçue, et pour cause, ils avaient déjà tenté d’intervenir l’année passée en utilisant le même subterfuge, sans succès, grâce à la vigilance de la délégation camerounaise et de la solidarité africaine à cet égard.
La Mission Permanente du Cameroun a saisi officiellement les Nations-Unies et le Groupe Africain pour empêcher cette supercherie. Ainsi, malgré l’insistance en coulisse de la délégation algérienne pour permettre à ces séparatistes d’être auditionnés par la 4è Commission, la délégation camerounaise a réussi à déjouer les tentatives de l’Algérie.
Il y a des faits indéniables que toutes les paroles de la diplomatie algérienne ne peuvent nier. Leur obsession hégémonique se révèle jour après jour. L’Algérie qui prêche à qui veut l’entendre qu’elle défend les intérêts de l’Afrique soutient en réalité le séparatisme en Afrique du Nord, au Sahel, et maintenant en Afrique de l’Ouest et Centrale.
_________________ Les peuples ne meurent jamais de faim mais de honte.
jf16 General de Division
messages : 41614 Inscrit le : 20/10/2010 Localisation : france Nationalité : Médailles de mérite :
Sujet: Re: Actualités Algeriennes Sam 20 Oct - 16:59
Citation :
Air Algérie va acheter 30 nouveaux avions avec 1,5 milliard d'euros du contribuable
International 17:33 20.10.2018(mis à jour 17:35 20.10.2018)
Air Algérie prévoit d'acheter prochainement 30 nouveaux avions pour environ 1,5 milliard d'euros, mais les passagers de la compagnie nationale critiquent les règles commerciales strictes et les tarifs élevés malgré l'âpre concurrence qui règne sur le marché.
La compagnie Air Algérie compte acheter 30 nouveaux avions, selon son président-directeur général, Bekhouche Allache. L'État a déboursé un équivalent de 1.450 millions d'euros pour maintenir la société à flot, a-t-il affirmé au journal arabophone Ennahar cité par le site Algérie patriotique, tout en excluant des augmentations de salaire.
Bekhouche Allache a notamment fait savoir qu'il souhaitait agrandir le parc d'Air Algérie jusqu'à 90 avions.
Les passagers de la compagnie nationale algérienne relèvent l'état lamentable des appareils, y compris de ceux récemment acquis, et ce dans le contexte d'une concurrence de plus en plus rude dans le secteur du transport aérien.
Toujours selon le site, même si elle ne doit sa survie qu'à des fonds publics, Air Algérie applique des règles commerciales strictes et impose à ses clients des tarifs élevés, parfois supérieurs à ceux des autres compagnies sur les mêmes lignes.
Ainsi, les Algériens paient de leur poche les nouvelles acquisitions d'Air Algérie, mais le soutien de la compagnie par l'État ne leur est en rien bénéfique puisqu'ils subissent le diktat des prix de la compagnie, conclut l'auteur de l'article.
messages : 6300 Inscrit le : 25/03/2009 Localisation : Royaume pour tous les Marocains Nationalité : Médailles de mérite :
Sujet: Re: Actualités Algeriennes Lun 22 Oct - 20:39
_________________ Les peuples ne meurent jamais de faim mais de honte.
mourad27 Modérateur
messages : 8008 Inscrit le : 19/02/2012 Localisation : Kech Nationalité : Médailles de mérite :
Sujet: Re: Actualités Algeriennes Mer 24 Oct - 21:44
les algeriens organisent un show room a nouakchott pour exposer leurs produits chinois afin d'attaquer l'afrique de l'ouest mais ont été surpris de decouvrir que la route de la fameuse frontiere a zouerate est une piste sablonneuse de 900km de long finalement alger > nouakchott c est 10j de route je doute fort que les transporteurs envoient prochainement leurs camions se degrader sur une telle route non goudronnée on entend dans la video un chauffeur poids lourd dire " meme notre guide ne savait plus ou donner de la tete en parlant de la piste''
_________________
Citation :
"je veux pour le Maroc de dirigeants intelligeants , une jeunesse intelligente, apte a saisir les occasions a comprendre le siècle ou elle vie, a ne pas vivre a l'ombre du politisme, mais guidée par le perfectionnisme et surtout pas la réalisation et le réalisme " Hassan II 1996
mourad27 Modérateur
messages : 8008 Inscrit le : 19/02/2012 Localisation : Kech Nationalité : Médailles de mérite :
Sujet: Re: Actualités Algeriennes Jeu 25 Oct - 20:16
l'Etat algerien pend en charge les frais d'acheminement des exportations algeriennes en mauritanie
_________________
Citation :
"je veux pour le Maroc de dirigeants intelligeants , une jeunesse intelligente, apte a saisir les occasions a comprendre le siècle ou elle vie, a ne pas vivre a l'ombre du politisme, mais guidée par le perfectionnisme et surtout pas la réalisation et le réalisme " Hassan II 1996
mourad27 Modérateur
messages : 8008 Inscrit le : 19/02/2012 Localisation : Kech Nationalité : Médailles de mérite :
Sujet: Re: Actualités Algeriennes Sam 27 Oct - 12:47
Citation :
L’incroyable mésaventure des passagers du vol d’Air Algérie Nouakchott-Alger
Le : 26 octobre 2018 Les passagers du vol d’Air Algérie Nouakchott-Alger de mercredi dernier ont vécu une histoire incroyable. Des chefs d’entreprise ayant participé à la foire des produits algériens dans la capitale mauritanienne devaient prendre le vol à 23h15 pour rentrer sur Alger. Mais une soirée organisée par le gouvernement malien à l’occasion de cette foire a tout chamboulé.
« On devait prendre le vol à 23h15. Mais, on a été retenu par les officiels mauritaniens et algériens qui nous ont demandé d’assister à une soirée organisée à l’occasion de cette foire. les autorités nous ont demandé d’assister. Après, nous avons quitté la salle, et nous sommes arrivés à l’aéroport avec un retard de 45 minutes. On est monté dans l’avion et après le commandant de bord nous a demandé de descendre, sans aucune explication », confie un chef d’entreprise, qui était présent.
« Le personnel de bord d’Air Algérie nous a demandé de revenir le lendemain, c’est-à-dire hier jeudi pour un vol à 9H00. On s’est présentés à l’aéroport à 7h00 et nous avons décollé vers 12h00 », ajoute une autre source.
Mécontents, certains passagers dont des hommes d’affaires ont préféré prendre le lendemain le vol de la Royal Air Maroc.
"je veux pour le Maroc de dirigeants intelligeants , une jeunesse intelligente, apte a saisir les occasions a comprendre le siècle ou elle vie, a ne pas vivre a l'ombre du politisme, mais guidée par le perfectionnisme et surtout pas la réalisation et le réalisme " Hassan II 1996
mourad27 Modérateur
messages : 8008 Inscrit le : 19/02/2012 Localisation : Kech Nationalité : Médailles de mérite :
Sujet: Re: Actualités Algeriennes Sam 27 Oct - 13:48
le nouveau alger dakar
_________________
Citation :
"je veux pour le Maroc de dirigeants intelligeants , une jeunesse intelligente, apte a saisir les occasions a comprendre le siècle ou elle vie, a ne pas vivre a l'ombre du politisme, mais guidée par le perfectionnisme et surtout pas la réalisation et le réalisme " Hassan II 1996
Fahed64 Administrateur
messages : 25539 Inscrit le : 31/03/2008 Localisation : Pau-Marrakech Nationalité : Médailles de mérite :
Sujet: Re: Actualités Algeriennes Sam 27 Oct - 14:10
Subventionné par l'état algérien ... ils veulent percer à tout prix ! C'est du dumping qui peut être attaquer devant un tribunal !
_________________ Sois généreux avec nous, Ô toi Dieu et donne nous la Victoire
BOUBOU General de Division
messages : 4848 Inscrit le : 07/08/2008 Localisation : en territoire hostile Nationalité : Médailles de mérite :
Sujet: Re: Actualités Algeriennes Sam 27 Oct - 15:57
Non car c'est fait de mains à mains. Il n'y a aucune "preuve". l'Algérie n'ayant ratifié les règles de l'OMC (de mémoire) n'est donc pas engagée à les respecter. Par contre la Mauritanie qui est concerné car cette situation fragilise ses entreprises, se doit de réagir.
_________________ L'homme sage est celui qui vient toujours chercher des conseils dabord, des armes on en trouve partout.
feu Hassan II.
https://www.youtube.com/watch?v=AbjNQ_5QvgQ
iznassen Capitaine
messages : 935 Inscrit le : 22/06/2008 Localisation : belgique Nationalité : Médailles de mérite :
Sujet: Re: Actualités Algeriennes Sam 27 Oct - 23:07
Ils ont du mal a faire 700 ou 800 klm , nos camionneurs arrivent au fin fond du mali, et une bonne partie de l'Afrique de l'Ouest.. dans le ciel par contre , notre allié fidèle c'est bien Air Algérie...
Citation :
L’incroyable mésaventure des passagers du vol d’Air Algérie Nouakchott-Alger
Les passagers du vol d’Air Algérie Nouakchott-Alger de mercredi dernier ont vécu une histoire incroyable. Des chefs d’entreprise ayant participé à la foire des produits algériens dans la capitale mauritanienne devaient prendre le vol à 23h15 pour rentrer sur Alger. Mais une soirée organisée par le gouvernement malien à l’occasion de cette foire a tout chamboulé.
« On devait prendre le vol à 23h15. Mais, on a été retenu par les officiels mauritaniens et algériens qui nous ont demandé d’assister à une soirée organisée à l’occasion de cette foire. les autorités nous ont demandé d’assister. Après, nous avons quitté la salle, et nous sommes arrivés à l’aéroport avec un retard de 45 minutes. On est monté dans l’avion et après le commandant de bord nous a demandé de descendre, sans aucune explication », confie un chef d’entreprise, qui était présent.
« Le personnel de bord d’Air Algérie nous a demandé de revenir le lendemain, c’est-à-dire hier jeudi pour un vol à 9H00. On s’est présentés à l’aéroport à 7h00 et nous avons décollé vers 12h00 », ajoute une autre source.
Mécontents, certains passagers dont des hommes d’affaires ont préféré prendre le lendemain le vol de la Royal Air Maroc.
_________________ Sois généreux avec nous, Ô toi Dieu et donne nous la Victoire
BOUBOU General de Division
messages : 4848 Inscrit le : 07/08/2008 Localisation : en territoire hostile Nationalité : Médailles de mérite :
Sujet: Re: Actualités Algeriennes Dim 28 Oct - 18:04
Le choix est judicieux. La stabilité dans le chaos politique... Le prince héritier, oups! Saïd je voulais dire, va réussir son coup d'Etat organisé à la vue et au su de tous le monde.
La question est: comment va réagir la jeunesse algérienne? Je sais que l'hémoragie se poursuit, de nombreux algériens quittent le pays pour se rendre en France avec chacun son objectif ( tantôt n!quer la France pour se venger de la période coloniale, tantôt pour trouver une vie meilleure en survivant avec les aides de l'Etat). à suivre...
_________________ L'homme sage est celui qui vient toujours chercher des conseils dabord, des armes on en trouve partout.
feu Hassan II.
https://www.youtube.com/watch?v=AbjNQ_5QvgQ
Invité Invité
Sujet: Re: Actualités Algeriennes Dim 28 Oct - 19:06
Plus fort que le jusqu'au boutisme, le Jusqu'au Bouteflikisme
Fahed64 Administrateur
messages : 25539 Inscrit le : 31/03/2008 Localisation : Pau-Marrakech Nationalité : Médailles de mérite :
Sujet: Re: Actualités Algeriennes Dim 28 Oct - 19:43
_________________ Sois généreux avec nous, Ô toi Dieu et donne nous la Victoire
mourad27 Modérateur
messages : 8008 Inscrit le : 19/02/2012 Localisation : Kech Nationalité : Médailles de mérite :
Sujet: Re: Actualités Algeriennes Dim 28 Oct - 19:48
c'etait en 2014 depuis son état de santé s est nettement degradé je doute qu'il puisse redire la meme phrase cette fois ci
_________________
Citation :
"je veux pour le Maroc de dirigeants intelligeants , une jeunesse intelligente, apte a saisir les occasions a comprendre le siècle ou elle vie, a ne pas vivre a l'ombre du politisme, mais guidée par le perfectionnisme et surtout pas la réalisation et le réalisme " Hassan II 1996
Socket-error General de Division
messages : 6770 Inscrit le : 03/04/2016 Localisation : ... Nationalité : Médailles de mérite :
Sujet: Re: Actualités Algeriennes Dim 28 Oct - 21:17
Le secteur des hydrocarbures Algérien a connu une baisse de la production de 8,2% au deuxième trimestre 2018 ce qui plombe la croissance de leur PIB en 2018.
Quelqu'un a des explications sur cette tendance baissière de leur production depuis quelques années ?
_________________ لك الله ياوطني
PGM Administrateur
messages : 11677 Inscrit le : 12/12/2008 Localisation : paris Nationalité : Médailles de mérite :
Sujet: Re: Actualités Algeriennes Dim 28 Oct - 21:23
Peak oil en 2008 pour le pétrole et 2010 pour le gaz