Contrats Algeriens

vous ne disiez pas un certain temps que ce seront dorenavent des S-400 et pas Favorit?

heu non personne n'a parle de S-400 pour l'algerie

il me semble que les turques sont intéréssé

Confirmation du contrat de AgustaWestland avec l'Algerie.



In its results, Finmeccanica confirmed for the first time that it signed a contract, in the second half of 2007, to sell six AW101 helicopters and four Super Lynx 300 helicopters to Algeria for a total of 402 million euros.

Link.
http://www.defensenews.com/story.php?i=3442350&c=FEA&s=BUS

c pas nouveau dis donc,ca ete deja confirmé par motu klkpart...

Citation :

Denel develops new UAV



[ Johannesburg, 3 April 2008 ] - State arms company Denel's unmanned aerial vehicle (UAV) division has developed a new and improved version of its Seeker II tactical robotic reconnaissance plane.

Denel UAV business development manager Burt van Staade says “the design is completed and the Seeker 400 is now in development phase”.


The flying computer is 40% larger than the second-generation Seeker II, adds Van Staade. He says the upgraded flying computer will enjoy greater endurance and longer range than its predecessors, which could fly for 10 hours at ranges of up to 250km in radius.

Van Staade adds that the Seeker 400 will also be able to carry a larger 100kg payload, double the existing capability.

Denel was an early global leader in UAV technology and the SA Air Force was one of the first in the world to deploy processor-piloted planes in the 1980s. SA's Civil Aviation Authority was also the first to grant UAVs permission, in certain circumstances, to fly in “controlled” airspace, meaning airspace controlled by the Air Traffic Navigation Service.

The original Seeker was deployed in SA's skies during the 1994 all-race elections and was credited with helping keep the peace below, especially in townships in the then-volatile East Rand.

Secret sales

Van Staade also reveals that Denel recently sold a Seeker II system to an undisclosed client for a classified amount.

He would not be drawn on the location of the buyer, or provide any other details. Known sales include one or more systems to Algeria.

A Seeker system consists of between four and six aircraft, a containerised computerised mission control unit, along with a tracking and communication unit that includes a digital datalink, as well as an aircraft payload, typically a thermal imaging camera and a high-resolution video camera.

Emerging trend

The high cost of manned aircraft, the danger to aircrew from ground fire, as well as the boredom associated with the long flying times required for persistent surveillance, have pushed UAVs to the fore in battle zones such as Afghanistan, Iraq and Palestine.

SA is also cashing in on the trend with the Council for Scientific and Industrial Research identifying unmanned vehicle technology as a new research area.

Meanwhile, Denel Dynamics CEO Jan Wessels says the merger of Denel UAV and Advanced Technologies and Engineering (ATE), a private sector UAV manufacturer, is “in the regulatory approval phase”.

The merged entity will be a public-private joint venture in which Denel will hold a 60% stake. Wessels says ATE and Denel UAV have a complementary product range and the new entity will market and build both.

http://www.itweb.co.za/sections/business/2008/0804031038.asp?O=FPTOP&S=Defence%20and%20Aerospace%20Technology&A=DFN#1

Citation :

L'Afrique du Sud remporte ses premiers gros contrats d’armements avec l’Algérie
Par samir allam le 07/04/2008 à 11:27

L'Algérie poursuit la modernisation de son armée, avec l'acquisition de six nouveaux drones auprès de l'Afrique du Sud. Selon des informations recueillies par toutsurlalgerie.com auprès de sources de défense, les Sud-Africains étaient pour ce projet notamment en concurrence avec le groupe français d'électronique de défense Thalès et le géant franco-allemand EADS.

Le choix des systèmes de drones sud-africains, au-delà de la qualité du matériel proposé jugé aussi performant que les systèmes européens ou américains, pourrait également avoir été dicté par des considérations diplomatiques.

L'Afrique du Sud soutient en effet la position algérienne sur le dossier du Sahara occidental. Il est l'un des rares grands pays à reconnaître la République arabe sahraoui et se montre favorable à un référendum d'autodétermination au Sahara. Récemment, l'ambassadeur d'Afrique du Sud au Sahara avait même assisté aux festivités du 32ème anniversaire de la République arabe sahraoui, provoquant le mécontentement de Rabat. Une attitude qui n’est adoptée par aucune puissance occidentale, France et Etats-Unis en tête.

Dans ce contexte, l'Afrique du Sud semble bien partie pour profiter pleinement des prochains contrats que compte passer l'Algérie dans le domaine militaire. Selon nos sources, les Sud-Africains seraient notamment bien placés pour vendre à la marine algérienne des frégates. L'Algérie vient de lancer un appel d'offre pour l'acquisition de 4 frégates de 3000 à 4000 tonnes, un projet dont le montant est supérieur au milliard de dollars. Il intéresse plusieurs grands pays européens : la France, l'Allemagne, l'Espagne et la Grande-Bretagne.

Les Américains et les Russes semblent en retrait par rapport à ce projet qui devrait permettre de donner un coup d'accélérateur à la modernisation de la marine algérienne, jugée parmi les moins performantes de la région Méditerranée.

http://www.toutsurlalgerie.com/algerie-armement-contrat-avec-afrique-du-sud-3149.html

L'afrique du Sud ne fabrique pas de frégate et les drones seeker ont été vendus en 2000, pas pour raison politique mais parce que l'Algerie fut sous embargo militaire

hé bien si c'était pour raison politique on auraient pas acheté français et espagnole ..ect
l'espagne est le favori pour le projet du systaime de surveillance au frontiers et pour tant ils sont contr le référendum au sahara occidental

c´est l´italie qui est favorite,pas l´espagne

Oui c'est l'Italie

il dis que vous avez l une des moins perfomantes marines du maghreb

said a écrit:

il dis que vous avez l une des moins perfomantes marines du maghreb

Ce que dit TSA ne m étonne même plus

c est quoi ces pseudo journalistes????

c'est pas vrément des journaliste mais pluto des blogeur

des blogueurs ca reste gentil ils font juste des copier coller souvent grossier

said a écrit:

il dis que vous avez l une des moins perfomantes marines du maghreb

Bonjour,

peut etre en matière d'entrainement et des systèmes éléctroniques sachant que les russes ont pris bq de retard à ce niveau depuis l'effondrement de l'URSS. Et je crois que c'est la raison pour laqulle les algériens ont voulu acheter des bateaux de guerre européen (de l'UK au début et maintenant des français)

Citation :

Le ministère de la Défense veut encourager le matériel industriel algérien
Vers la réduction des importations d’armes de l’ANP




Le ministère de la Défense nationale entre-t-il dans une période d’austérité ? Échaudés par la crise des Mig avec la Russie, les militaires se tournent vers le développement d’une industrie de substitution pour toute une gamme de matériel militaire.

Juché sur un budget de près de 4 milliards de dollars, le ministère de la Défense nationale (MDN) veut dépenser utile. Lors de sa visite aux usines de la Société nationale des véhicules industriels (SNVI), le ministre délégué auprès du ministre de la Défense nationale, Abdelmalek Guenaïzia, a donné le ton à ce que sera la politique d’équipements de l’Armée algérienne. Cela n’a l’air de rien, mais le message délivré au nom du président Bouteflika sonne comme un bémol à la politique d’importation effrénée de l’ANP et sa dépendance logistique envers certains pays.
Le communiqué faisant état de cette visite met en valeur le partenariat développé avec la SNVI. L’Armée algérienne a acquis auprès de cette dernière 10 500 véhicules en neuf ans. La période choisie correspond aux deux mandats de Bouteflika (1999-2004/2004-2007) et l’ANP a déjà reçu 46% de ses commandes auprès de la firme algérienne.
Cette stratégie est en rupture avec celle des années 1980, quand l’Armée algérienne avait tenté d’acquérir des véhicules industriels auprès du Brésil. La SNVI arrive actuellement à produire des véhicules de combat et de transport de troupes, des remorques porte-engins, des camions-ateliers, des moyens de réparation et d’évacuation, des camions frigorifiques, des moyens d’emport et de stockage d’eau, ainsi que du carburant, des véhicules de transport du personnel et des camions anti-incendie. En bref, pratiquement tous le parc roulant de la défense nationale est produit localement par une entreprise publique algérienne et sonne le glas des dépenses annexes souvent coûteuses en matériel logistique.
Car cette stratégie dictée par le président Bouteflika, chef suprême des Armées, semble être acceptée par l’état-major. Le partenariat avec la SNVI, de l’aveu même du MDN, “a permis la réduction significative des importations dans ce domaine”. Le communiqué indique plus loin que “l’élargissement (…) de ce partenariat à d’autres sites relevant de cette entreprise dans d’autres projets d’importance induira une intégration plus conséquente et hautement bénéfique à notre défense nationale (…)”. En d’autres termes, le MDN fera appel à une sous-traitance locale, si elle est performante sur le plan industriel, qui aura pour conséquence collatérale la réduction des importations de l’Armée.
Pourquoi maintenant ? Il faut avouer que les militaires algériens ont eu un coup de bambou dans l’affaire des Mig 29-MST russes. Partenaire historique de l’ANP, la Russie a livré un matériel jugé “inopérant” par l’Armée algérienne qui l’a renvoyé à Moscou dans le fracas d’une crise diplomatico-militaire que les deux partenaires ont eu bien du mal à calmer.
Sur ce, le ministre ukrainien de la Défense se présente à Alger, certainement avec des propositions concernant les avions de chasse, comme pour pallier la défection des Russes. Même en s’équipant des Sukhoi 30, les experts militaires savent que l’Algérie se doit de se doter d’au moins une escadrille d’avions de chasse performants afin de contrer la noria de chasseurs F-16 acquis par le Maroc durant cette période. Au risque de se trouver en position défensive dans le ciel maghrébin.
Mais cette affaire semble avoir dissipé les derniers doutes au sein de l’Armée algérienne quant à la nécessité de s’affranchir du matériel étranger. Certes, l’Algérie n’a pas la capacité de produire des avions de chasse à la pointe de la technologie, même si la recherche et le développement de l’ANP est un département qui prend de plus en plus d’ampleur, mais l’ambition du MDN, au regard des autres pays émergents (Afrique du Sud, Inde, Iran, Brésil…) est, à terme, de pouvoir compter que sur ses propres ressources militaires sans recourir à l’importation systématique d’un matériel onéreux et souvent de seconde main.
La base logistique de Béni Mered est un des fleurons de cette industrie qui manque cruellement de transfert de technologie. C’est à ce niveau que la défense nationale souffre de la comparaison avec les autres armées “émergentes”. Les pays occidentaux, la Russie et la Chine sont tous des partenaires qui convoitent la manne financière imposante consacrée à l’importation, et les 7 milliards de contrat signé avec la Russie ont réveillé l’appétit des fabricants d’armes mondiaux qui, une décennie plus tôt, refusaient l’idée même d’exporter une cartouche vers l’Algérie.
Le MDN se retrouve ainsi dans une position financièrement enviable et enviée mais s’inscrit, en interne, dans le programme de relance économique de Bouteflika. Certes, le matelas financier de 120 milliards de dollars offre une marge aux exportations, mais l’ANP veut également donner l’exemple en ce domaine. En un mot, même si on a de l’argent, il ne faut pas consacrer des dollars pour importer des boulons de blindés si on est capables de les fabriquer chez nous. C’est un peu la philosophie qui prédomine en matière d’achats d’armement même si les experts savent qu’on ne peut éviter d’aller chercher des drones sud-africains, des sous-marins russes ou des radars français pour renforcer le potentiel de défense nationale.


Liberte

Citation :

La Russie participera à la création d'une escadrille anti-incendie en Europe (Situations d'urgence)
16:58 | 18/ 04/ 2008



OLBIA (Sardaigne), 18 avril - RIA Novosti. La Russie est prête à participer à la prochaine création d'une escadrille anti-incendie en Europe, a annoncé vendredi le ministre russe des Situations d'urgence Sergueï Choïgou, qui surveille le déroulement des exercices anti-incendie "Fire 4" de l'Union Européenne (UE) en Italie.

"A mon avis, l'euro-escadrille peut être créée pendant cette saison", a-t-il indiqué devant les journalistes russes chargés de couvrir les exercices Fire-4 qui se déroulent en Sardaigne avec la participation d'un avion-amphibie russe Be-200.

L'escadrille comprendra 12 avions et autant d'hélicoptères, y compris quatre aéronefs russes - deux hydravions Be-200TchS et deux hélicoptères Mi-26. Des avions et hélicoptères français, portugais, grecs et espagnols feront aussi partie de l'escadrille.

"Les négociations sur la mise en place de l'escadrille touchent à leur fin", a dit le ministre avant de préciser que les parties n'avaient pas encore décidé qui financerait son fonctionnement.

Toutefois, une décision définitive sur sa création doit être prise par la Commission Européenne, a noté le ministre avant de déplorer qu'on mélange parfois la politique et l'octroi d'une aide urgente.

Ces dernières années, l'aviation du ministère russe des Situations d'urgence participe activement à la lutte contre les incendies en Europe et en Asie du Sud-est, a rappelé le ministre russe. Il a hautement apprécié l'avion-amphibie Be-200 qui intéresse des clients étrangers. L'Algérie souhaite notamment acheter six appareils de ce type, a conclu le ministre.

Est ce que vous avez assez de forets pour un achat de ce type?
6 c'est pas un peu trop?

c´est des ptits avions

Image de la bête, magnifique.

Spoiler:

les russes et les ukrainiens font du tres bon matos,air,terre,mer,rien a dire.

Citation :

L’Algérie va faire son entrée sur le marché de l’armement…
Le président algérien a annoncé la signature d’un décret autorisant la création d’entreprises de fabrication d’armement et de matériel militaire.
(Médi-1, le 14-04-2008)

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