Sujet: Actualités du Sahara Marocain Mar 19 Jan - 5:25
Rappel du premier message :
Exactement surtout qu'il rapporte que le Maroc a toujours était de bonne foi (même pour ceux qui défendent le référendum le Maroc l'a proposé de bonne foi mais s'est heurté à la mauvaise foi de qui vous savez), aussi le fait que cet article soit reposté par l'organe de presse officiel de notre pays veut tout dire..
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Sujet: Re: Actualités du Sahara Marocain Dim 31 Jan - 13:08
ralek1 a écrit:
Fahed64 a écrit:
Détrompe toi ralek.... par contre cette fois ci les nôtres seront bien mieux préparés Inch’Allah
Honnêtement Fahed, ce machin de la CJUE n'a plus d'importance pour le Maroc depuis qu'on a appuyé sur le disjoncteur principal. Le contexte de l'époque était très compliqué qu'on s'accrochait à une semblant de reconnaissance, mais depuis la situation a pris un tournant à 360°. Franchement pour 40 millions d'euros ! On est une population 35 millions d'habitant, soit 1,50€ de participation par personne, et le solde est réglé
Dorénavant, le Maroc doit s'occuper de ses problèmes, pas ceux des autres. Et l'interdiction aux européens de pêcher au sahara n'est pas notre problème, c'est leur problème à eux.
Il vaut mieux dire tournant à 180°... qd on dit 360° ca veut dire qu'on n'a pas bougé
Sujet: Re: Actualités du Sahara Marocain Dim 31 Jan - 13:10
ssi Bruce voilà, d'après le titre de l'article je crois que ledesk a repris cet article paru sur le site de Institute for Security Studies. https://issafrica.org/iss-today/donald-trump-leaves-joe-biden-a-booby-trap
Sujet: Re: Actualités du Sahara Marocain Dim 31 Jan - 13:18
Dias a écrit:
ssi Bruce voilà, d'après le titre de l'article je crois que ledesk a repris cet article paru sur le site de Institute for Security Studies. https://issafrica.org/iss-today/donald-trump-leaves-joe-biden-a-booby-trap
Merci beaucoup pour le partage Ssi Dias
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Sujet: Re: Actualités du Sahara Marocain Dim 31 Jan - 13:20
Bruce Wayne a écrit:
Je sais pas si quelqu'un à accès à cet article (j'ai cherché dans les pages où ils reprennent leurs articles j'ai rien trouvé)
Arrêtez de partager ce desk de populistes gauchistes anti-Maroc, ils ont même écrit un article sur la nomination d'Aminatohaidar pour le prix nobel, si j'avais la moindre autorité je bannirai ces charlatans
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Stinger Colonel
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Sujet: Re: Actualités du Sahara Marocain Dim 31 Jan - 18:15
Samurai a écrit:
Bruce Wayne a écrit:
Je sais pas si quelqu'un à accès à cet article (j'ai cherché dans les pages où ils reprennent leurs articles j'ai rien trouvé)
Arrêtez de partager ce desk de populistes gauchistes anti-Maroc, ils ont même écrit un article sur la nomination d'Aminatohaidar pour le prix nobel, si j'avais la moindre autorité je bannirai ces charlatans
c'et vrai pour le machin fatimatou je l'ai lu
Fahed64 Administrateur
messages : 25540 Inscrit le : 31/03/2008 Localisation : Pau-Marrakech Nationalité : Médailles de mérite :
Sujet: Re: Actualités du Sahara Marocain Dim 31 Jan - 19:32
Stinger a écrit:
Samurai a écrit:
Bruce Wayne a écrit:
Je sais pas si quelqu'un à accès à cet article (j'ai cherché dans les pages où ils reprennent leurs articles j'ai rien trouvé)
Arrêtez de partager ce desk de populistes gauchistes anti-Maroc, ils ont même écrit un article sur la nomination d'Aminatohaidar pour le prix nobel, si j'avais la moindre autorité je bannirai ces charlatans
c'et vrai pour le machin fatimatou je l'ai lu
Apparemment oui, il y a même Zineb el Ghazoui
Le Maroc est surreprésenté cette année
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marques General de Brigade
messages : 3971 Inscrit le : 05/11/2007 Nationalité : Médailles de mérite :
Il y a 32000 "candidats" pour le Prix Nobel ...envoyés par différentes associations et groupes politiques, une lettre suffit pour se déclarer "candidat au Prix Nobel" ...
Les 99% des propositions vont à la poubelle, seuls 1% sont acceptés par l'association du Prix Nobel
Certains groupes bobos de gauche et milices sont experts dans l'envoi de lettres de candidats ...et ce pour des effets de communication,
Pour rappel , Bouteflika a été proposé en 2017, 1 million de dollars avait été dépensé par l’Algérie
C'est çà le boulot d'explication que doit apporter le Desk à ses lecteurs ....et non les prendre pour des
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Fox-One General de Division
messages : 8024 Inscrit le : 20/09/2007 Nationalité : Médailles de mérite :
Rien que le fait qu il a voulu intentionnellement prendre un avion sachant qu'elle est atteinte du corona, cette vielle mérite d'être traduite devant la cours internationale pour crimes contre l'humanité
Bolden Lieutenant
messages : 749 Inscrit le : 14/12/2020 Localisation : Centre France Nationalité :
Cette immonde trainée n'est qu'un microbe qui vit uniquement par le fait qu'on parle d'elle.
_________________ Le Maghrib tout entier (al-Maġhrib al-aqsá bi-jumlati-hi) s’est mis en mouvement, le fond des vallées s’est rempli, les pentes ont déversé le tumulte de ce torrent impétueux. @ Abd Al Mu'min, 1158.
Bolden Lieutenant
messages : 749 Inscrit le : 14/12/2020 Localisation : Centre France Nationalité :
Pour ABC, après la décision de Washington, la souveraineté marocaine, unique option de négociation des parties
Le journal espagnol ABC je connais pas trop, je sais ce que vaut cette analyse.
_________________ Le Maghrib tout entier (al-Maġhrib al-aqsá bi-jumlati-hi) s’est mis en mouvement, le fond des vallées s’est rempli, les pentes ont déversé le tumulte de ce torrent impétueux. @ Abd Al Mu'min, 1158.
https://www.yabiladi.com/articles/details/105206/sahara-l-ambassadeur-russe-alger-accuse.html a écrit:
Les russes sous-entendent que les français bloquent le processus de nomination d'une envoyé spécial...Pourquoi ne pas parler aussi du polisario qui lui aussi entrave ce processus en ne voulant pas de Petre Roman
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marques General de Brigade
messages : 3971 Inscrit le : 05/11/2007 Nationalité : Médailles de mérite :
Les russes sous-entendent que les français bloquent le processus de nomination d'une envoyé spécial...Pourquoi ne pas parler aussi du polisario qui lui aussi entrave ce processus en ne voulant pas de Petre Roman
beaucoup de pays disent comme le France : un 8éme envoyé spécial pour quoi faire ?
pour organiser des diners et fumer des cigares à Manhasset et faire durer le match pendant encore 45 ans ?
autre chose : l'ambassadeur russe , qui parle du droit international, devrait nous expliquer l'annexion de la Crimée , région de l'Ukraine, par son pays
Expulser les sandalos de l'UA devient une priorité. Avec leur parrain et l'Afrique du Sud ils veulent soumette au vote au prochain sommet de l'UA une résolution pour utiliser la force contre tout pays africain occupant un autre sans passe par l'ONU. Il est certain que aucun pays ne ça se mouiller dans un conflit même entre entre pays existants. La preuve les derniers affrontements entre le Soudan et l'Éthiopie . Mais il faut les expulser de leur dernier bastion et caisse à résonance .
Antou 2eme classe
messages : 44 Inscrit le : 13/12/2020 Localisation : Paris Nationalité :
Expulser les sandalos de l'UA devient une priorité. Avec leur parrain et l'Afrique du Sud ils veulent soumette au vote au prochain sommet de l'UA une résolution pour utiliser la force contre tout pays africain occupant un autre sans passe par l'ONU. Il est certain que aucun pays ne ça se mouiller dans un conflit même entre entre pays existants. La preuve les derniers affrontements entre le Soudan et l'Éthiopie . Mais il faut les expulser de leur dernier bastion et caisse à résonance .
Les bâtards veulent pouvoir nous déclarer la guerre en se trappant de la légalité internationale puisqu'ils auront reçu le mandat de le faire.
Les Sidafricain eux y gagne puisque cela retarderai un concurrent trop sérieux au moment ou eux même boivent la tasse sérieusement.
Ainsi les déchets de l'histoire auront une constitution + un mandat de l'UA pour intervenir au besoin.
C'est de la maladie mentale à ce niveau.
J'espère que les notres vont faire éjecter au plus vite leur création de l'UA
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Fahed64 Administrateur
messages : 25540 Inscrit le : 31/03/2008 Localisation : Pau-Marrakech Nationalité : Médailles de mérite :
C'est dure de vouloir briller à tout prix à l'ombre d'un grand roi .....
Citation :
TRIBUNE. Maroc et Israël, la dangereuse « transaction »
Selon le prince Hicham Alaoui, cousin du roi du Maroc et chercheur associé au Weatherhead Center for International Affairs (Harvard), la normalisation des rapports entre le royaume et l’Etat hébreu ne doit pas reposer sur un marchandage pour la reconnaissance du Sahara occidental. Par Hicham Alaoui (cousin du roi du Maroc et chercheur associé au Weatherhead Center for International Affairs)
omme l’a souhaité l’administration Trump, le Maroc va donc devenir le cinquième pays arabe à normaliser ses relations avec Israël. Déjà le 26 janvier, David Govrin, représentant d’Israël au Maroc, est arrivé à Rabat. Selon les termes mêmes de l’ancien président américain, ce geste a été le produit d’une « transaction stratégique ». Les Etats-Unis reconnaissent la souveraineté marocaine sur le Sahara occidental et, en échange, le Maroc établira les pleines relations commerciales, stratégiques et diplomatiques avec l’Etat d’Israël.
Cette reconnaissance mutuelle a soulevé d’intenses critiques dans des milieux divers, qui reprochent au Maroc d’avoir exploité la situation de deux peuples sans Etat : le Maroc braderait les Palestiniens en échange de la consolidation de sa position au Sahara occidental, dont le statut n’a pas encore été déterminé par le droit international.
Ce récit géopolitique ne rend néanmoins pas compte de la perspective marocaine. Le Maroc ne considère pas que la question du Sahara occidental et celle de la Palestine puissent faire l’objet d’un marchandage réciproque. Les deux situations sont de tristes héritages du colonialisme occidental, mais chacune a sa spécificité et pose des défis propres. La tâche essentielle pour le Maroc est de résoudre chaque conflit de la manière la plus juste.
Le rapprochement avec Israël a toujours été sur l’agenda dynastique Le contexte du Sahara occidental n’est pas équivalent à la tragédie palestinienne. Les Palestiniens ne sont pas citoyens d’Israël, alors que les Sahraouis sont citoyens marocains, même si certains refusent ce statut. L’annexion de la Palestine par Israël rend impossible toute citoyenneté future. Elle l’a privée de l’autonomie et de sa capacité à s’autoadministrer, en violation des accords d’Oslo qui se fondaient sur la mise en place d’une confiance réciproque dans la perspective de la création d’un Etat palestinien.
La politique du Maroc au Sahara occidental se fait dans un cadre différent : elle offre la citoyenneté dès maintenant, et peut reconnaître l’autonomie et l’autoadministration dans le futur [une partie des Sahraouis demande un référendum d’autodétermination, NDLR]. Ce processus pour régler le conflit doit continuer, et ne peut prendre racine que dans une perspective de démocratisation réelle et de respect des droits humains. Il faut bien reconnaître que la déclaration américaine constitue un important geste politique, mais qui ne saurait modifier le droit international. C’est à la présidence Biden de décider : reconduire cette décision, la modifier ou la rejeter.
LIRE AUSSI > Comprendre le conflit au Sahara occidental
L’ouverture du Maroc au principe d’une normalisation avec Israël vient de loin, d’un point de vue historique. Il y a, depuis l’aube de la monarchie alaouite, une longue et riche tradition d’engagement de la dynastie envers le judaïsme et la judéité. Notre Constitution reconnaît l’héritage du judaïsme comme partie intégrante de l’identité nationale. Le roi Mohammed V, père de l’indépendance marocaine, a protégé les juifs du royaume durant la Seconde Guerre mondiale. Les juifs marocains qui ont émigré en Israël après sa création ont gardé des liens culturels et religieux avec leur patrie d’origine ; c’est en grande partie sur cette base-là que le roi Hassan II fut le premier chef d’Etat arabe à rencontrer Nahum Goldmann, président du Congrès juif mondial en 1970.
La monarchie marocaine a par la suite maintenu des canaux de communication fructueux avec Israël, allant d’une diplomatie informelle à une coopération sécuritaire – cette dernière ayant parfois conduit à des épisodes sinistres, comme l’affaire Ben Barka. Mais le rapprochement avec Israël a toujours été sur l’agenda dynastique. Les événements actuels inscrivent le roi Mohammed VI dans la ligne de son grand-père et de son père. Il fait faire un pas de plus au processus de rapprochement. Il revient d’abord à la situation qui a prévalu jusqu’en 2001, quand les deux pays avaient échangé des bureaux de liaison. Ensuite, à partir de là, se développe un processus graduel, mais qui ne saurait reposer sur un marchandage de court terme, parce qu’il précède le marchandage et cherche à aller bien au-delà. Dans le cas du Maroc, il n’était question ni de triomphalisme ni d’exhibitionnisme. De plus il ne saurait s’agir de bâtir une alliance au détriment d’un tiers. La normalisation n’est pas encore la pleine reconnaissance.
Longue tradition de soutien à la Palestine Ceux qui connaissent le peuple marocain savent qu’il a toujours entretenu une relation affective à une cause palestinienne perçue comme essentielle. Dans l’histoire récente, la monarchie marocaine a défendu des initiatives régionales en faveur de la cause palestinienne. Elle a surmonté l’opposition jordanienne et la réticence égyptienne au sommet de la Ligue arabe en 1974 à Rabat, qui s’est conclu sur la reconnaissance de l’OLP comme seul représentant du peuple palestinien. En 1982, au cours du sommet de la Ligue arabe à Fès, le roi Hassan II a contribué à faire approuver le plan Fahd pour une paix globale entre les pays arabes et Israël. Il l’a fait en s’opposant au « front du refus » incarné par la Libye, la Syrie et de l’Algérie, front que l’Irak, empêtré dans sa guerre avec l’Iran, venait juste de lâcher. Le Maroc a, cette fois aussi, contré l’opposition de la Jordanie, qui envisageait, avec le soutien de l’administration Reagan, la nouvelle option d’une confédération jordano-palestinienne. Le roi Hassan II a surmonté toutes ses résistances pour le compte de Yasser Arafat, qui, après son départ de Beyrouth, avait donné son soutien au plan Fahd. Ce plan a notoirement servi de précurseur à l’initiative de paix arabe en 2002. En 1991, le Maroc a soutenu la conférence de paix de Madrid, se servant de la dynamique créée par la guerre du Golfe pour faciliter la recherche d’une souveraineté palestinienne. Le peuple marocain attend donc de son Etat qu’il perpétue cette longue tradition de soutien à la Palestine, d’autant plus que le roi Mohammed VI est le président du Comité Al-Qods.
Si ça me reviendrai je traquerai et eliminerai tous les dirigeants du polisario à la mossade, maquillée en accident ou mort naturelle. Ils sont tous des criminels de guerre. Il faut cesser de jouer au bon élève. Juste les martyrs et nos soldats qui sont restés prisonniers des années après le cessez le feu doit justifier ça.
VANDENBERGHE_K-24, Cosa et QuickShark aiment ce message
Si ça me reviendrai je traquerai et eliminerai tous les dirigeants du polisario à la mossade, maquillée en accident ou mort naturelle. Ils sont tous des criminels de guerre. Il faut cesser de jouer au bon élève. Juste les martyrs et nos soldats qui sont restés prisonniers des années après le cessez le feu doit justifier ça.
Pourquoi fabriquer des martyrs alors qu'on peut les laisser pourrir comme abdel3ziz !
Fox-One General de Division
messages : 8024 Inscrit le : 20/09/2007 Nationalité : Médailles de mérite :
En tous cas eux s'ils auront l'occasion ils n'hésiteront pas une seconde à égorger un marocain. Souviens toi de Gdim Ezig. Je préfère les traiter comme la Turquie traitent les Kurdes. La politique de la main tendue ne fait que les pousser à durcir le ton contre nous.
VANDENBERGHE_K-24, Cosa et QuickShark aiment ce message
Adam Modérateur
messages : 6300 Inscrit le : 25/03/2009 Localisation : Royaume pour tous les Marocains Nationalité : Médailles de mérite :
Cet ancien MAE israélien est marocain juif tangérois... mais il est aussi un incurable gaucho-constipé ... Dans son papier ci-dessous il chante la real-politik tout en ne s’empêchant de réciter le catéchisme nauséabond de l'internationale socialiste sur notre Sahara ... Mais sa conclusion est explosive ... LE MAROC EST VICTORIEUX ... et la gauche mondiale ne lui reste qu'aller s’essuyer les fesses...
SHLOMO BEN-AMI - former Israeli foreign minister & Vice President of the Toledo International Center for Peace a écrit:
The End of Liberal Diplomacy
While Joe Biden is right to reject many aspects of Donald Trump’s toxic presidency, he should avoid throwing out the baby with the bathwater. Only by recognizing the weaknesses of liberal diplomatic norms can the Biden administration advance the innovative, effective diplomacy the world so desperately needs.
On December 11, then-President Donald Trump proclaimed that the United States would recognize Morocco’s sovereignty over the disputed Western Sahara, an apparent reward for the country’s decision to establish diplomatic relations with Israel. The move was swiftly condemned as a blatant violation of diplomatic norms. But, with his facile approach to protracted conflicts, Trump inadvertently made an important point: the emperor – the prevailing diplomatic approach – has no clothes.
To be sure, Trump has himself stood naked on the world stage, as when he claimed to have reached a breakthrough with North Korea or touted his administration’s implausible Middle East “peace proposal.” But none of his predecessors – in the US or elsewhere – resolved these conflicts either, despite adhering to revered diplomatic norms.
Those norms are inextricably linked to the liberal world order that emerged after World War II. The “responsibility to protect” (R2P) doctrine – the world’s commitment, adopted unanimously by the United Nations General Assembly in 2005, to protect populations from genocide, war crimes, ethnic cleansing, and crimes against humanity – exemplifies this liberal diplomacy.
But, in the last couple of decades, it has been all downhill for this vision. In Libya – the first case where the UN Security Council authorized a military intervention based on R2P – UN envoys come and go, but the country’s future is decided by foreign powers acting unilaterally. And, with the Security Council deadlocked, R2P hasn’t been invoked to justify military intervention since, despite several notable mass atrocities perpetrated by people’s own governments.
The repeated failure of the UN’s collective security system can be partly attributed to the decline of the liberal world order itself. Long before Trump, America had become increasingly reluctant to act as the order’s guarantor (in Libya, President Barack Obama vowed that the US would “lead from behind”). Add to this Russia’s aggressive revisionism, China’s abandonment of its “peaceful rise,” and the European Union’s preoccupation with its own survival.
But many of the world’s biggest diplomatic challenges – from the Israeli-Palestinian conflict to the dispute over Western Sahara – predate these factors. Even at its peak, liberal diplomacy could not resolve them, not least because it too often treated statecraft as an expressive art, detached from an ever-changing reality.
Consider the fight over Western Sahara – Africa’s longest-running territorial dispute. In 1975, with Spain poised to cede control of the territory, the International Court of Justice rejected Morocco’s claim to it, and ruled that the local people, the Sahrawis, were entitled to self-determination. But Morocco quickly invaded and annexed the territory.
Since then, the situation has changed drastically. Western Sahara is one of the most sparsely populated territories in the world, with only about 70,000 inhabitants in 1975, and perhaps 550,000 today, living in an area half the size of Spain. Two-thirds of the population are Moroccans, many having moved there after annexation.
In this context, the case for Western Sahara’s self-determination is dubious. A more appropriate approach, which reflects the reality on the ground, is to grant Western Sahara autonomy within the Kingdom of Morocco – exactly the plan endorsed by Trump. (In 2013, Obama backed the same approach in a joint statement with Morocco’s King Muhammed VI.)
Securing political control of an occupied territory by changing its demography is nothing new. Some 600,000 Israelis now live in the West Bank, alongside 2,750,000 Palestinians. Iran has been repopulating vast areas of Syria with Shia Muslims. Nearly 46 years after Turkey invaded Northern Cyprus, settlers from mainland Turkey comprise about half the territory’s population. Such behavior should never be endorsed. But pretending it is not happening will not help, either. When actors are in a protracted state of diplomatic limbo, disregard for the actual balance of power or the duration of the conflict perpetuates a fait accompli favoring the stronger side. This is as true of the Morocco-Western Sahara dispute as it is about the Israeli-Palestinian conflict, where infatuation with the deceptive two-state paradigm has made peace all but impossible.
In fact, when Arab states have rejected deals with Israel, they have usually ended up with less. The Palestinians did this on at least two occasions. Likewise, Syria is worse off for rejecting Israel’s offer in 2000 to return the Golan Heights: In 2019, the Trump administration officially recognized Israeli sovereignty.
While Trump’s move was unjustifiable under international law (even if one believes Israel was justified in its use of force during the Six-Day War in 1967), there is no denying that the prolonged failure of liberal diplomacy made it possible. And it is part of a larger pattern of unilateral annexations.
For example, the recent eruption of the decades-old conflict between Armenia and Azerbaijan over the enclave of Nagorno-Karabakh ended with a Russia-brokered deal that legitimized Azerbaijan’s annexation of a significant amount of territory. Russian peacekeeping forces were dispatched to enforce the deal. The UN was nowhere to be found.
Trump has much to answer for, diplomatically and otherwise. But the fact is that the diplomatic norms he disregarded weren’t producing results in many of the world’s longest-running conflicts. And, as reckless as his actions often were, they could well bring about progress on seemingly intractable conflicts – most notably, the century-old Arab-Israeli conflict.
After all, because of Trump, Morocco, Bahrain, the United Arab Emirates, and Sudan have joined Egypt and Jordan in normalizing relations with Israel. (Trump offered Indonesia billions of dollars in aid to do the same, but the country rejected the deal.) Trump also brokered peace among Arab rivals in the Gulf seeking to counter Qatar’s deepening relations with Iran and Turkey.
While President Joe Biden is right to reject many aspects of Trump’s toxic presidency, he would do well to safeguard its few achievements. But for liberal diplomacy to be revived, a reinvigorated transatlantic alliance – with a far more cohesive EU acquiring the hard power it now lacks – is vitally important.
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