Actualités du Sahara Marocain

Rappel du premier message :

Exactement surtout qu'il rapporte que le Maroc a toujours était de bonne foi (même pour ceux qui défendent le référendum le Maroc l'a proposé de bonne foi mais s'est heurté à la mauvaise foi de qui vous savez), aussi le fait que cet article soit reposté par l'organe de presse officiel de notre pays veut tout dire..

https://www.yabiladi.com/articles/details/105252/desintox-l-ua-a-t-elle-vote-resolution.html a écrit:

Apparement l'info sur la résolution de l'UA qui stipulerait l'utilsation de la force pour tout état occupant un autre viendrait des méandres de l'imagination du régime algérien et du pourisario..avec la libération du fils de tebboune la coke fais des ravages et excite leur côté scénariste

Normal c'étais des anneries des torchons algériens

Ou ces juste pour voire si on a peur d une guerre contre eu pour montrer au etat africain qui a peur le premier. Pour penchez dans les décision. De L ua.

Bruce Wayne a écrit:

Apparement l'info sur la résolution de l'UA qui stipulerait l'utilsation de la force pour tout état occupant un autre viendrait des méandres de l'imagination du régime algérien et du pourisario..avec la libération du fils de tebboune la coke fais des ravages et excite leur côté scénariste  

c'est fou le nombre de fake news que balance cet agence de presse ...et le nombre de trucages de documents officiels de l'UA par ce pays ..

imaginez le nombre de documents truqués à l'époque où le Maroc n’était pas présent à l'UA : des tonnes ...

et finalement imaginez le mépris de ce pays envers l'UA et les Africains, et çà se paiera le jour où il faudra dégager la razd de l'UA

Autre chose , l'autre perdant est l'AFS qui a beaucoup perdu dans cette affaire

marques a écrit:

Bruce Wayne a écrit:

Apparement l'info sur la résolution de l'UA qui stipulerait l'utilsation de la force pour tout état occupant un autre viendrait des méandres de l'imagination du régime algérien et du pourisario..avec la libération du fils de tebboune la coke fais des ravages et excite leur côté scénariste  

c'est fou le nombre de fake news que balance cet agence de presse ...et le nombre de trucages de documents officiels de l'UA par ce pays ..

imaginez le nombre de documents truqués à l'époque où le Maroc n’était pas présent à l'UA : des tonnes ...

et finalement imaginez le mépris de ce pays envers l'UA et les Africains, et çà se paiera le jour où il faudra dégager la razd de l'UA

Autre chose , l'autre perdant est l'AFS qui a beaucoup perdu dans cette affaire

Ceci avec la complicité de l'Afrique du Sud. Ces derniers poussent l'Algérie à torpiller le Maroc en leur promettant de les soutenir pour faire d'eux la puissance régionale. Sauf que ça ne sert que l'Afrique du Sud pour qu'elle continue à s'imposer puissance continentale. Pendant ce temps là jamais l'afrique du Sud ne permettra jamais à l'Algérie de la détrôner sur le continent. Ou même de prétendre à se développer.

Les milit1ires algériens sont vraiment dupe.

Vous accordez trop de compétence aux sud africains.

Ils sont doctrinaires et bloqués dans une logique de représaille contre ceux qui soutenaient les blancs durant la période d'Apartheid.

Nos ennemis ont fait un bon travail de propagande auprès de l'ANC pour les convaincre que le Maroc recevait l'assistance de l'Afrique du Sud blanche durant les années 80.

Ajoutez à cela une histoire qui tourne en boucle auprès des gars de l'ANC au sujet de la visite de Mandela au Maroc après sa sortie de prison (ne mérite pas qu'on la répete).

En gros, ce n'est que de la vengeance pour les idiots de l'ANC. Il n'y a aucune logique stratégique. Ils se foutent de la puissance continentale ou de la puissance régionale. Ils reçoivent leur rente des grandes entreprises (blanches dont le siège social a été transferé en Grande Bretagne ou en Suisse) et se contente de l'apparence du pouvoir.

alphatango a écrit:

Vous accordez trop de compétence aux sud africains.

Ils sont doctrinaires et bloqués dans une logique de représaille contre ceux qui soutenaient les blancs durant la période d'Apartheid.

C'est pas du tout vrai, L’Afrique du Sud a d'excellentes relations avec le Royaume Uni et les états Unis, Pourtant le Royaume uni etait le principal allié du régime d’apartheid,

L’Afrique du Sud veut être le leader inconstatable de l’Afrique et le Maroc est un concurrent qu'il faut casser



.

Le pouvoir de l'ANC veut garder le statut de puissance continentale a l'Afrique du Sud surtout qu'il postule pour un siege permanent au Conseil de Sécurité

Mais quand on regarde les 5 puissances en Afrique, tu as le Nigeria qui est est un pays rentier et mal administrer, l'Algérie qui est du meme type que le Nigeria en moins pire, l'Egypte ne se considere pas en Afrique mais plutot au Moyen Orient.

Reste que le Maroc dont le 1er secteur a l'Export est l'Automobile, qui est un marqueur que le Maroc est en train de devenir un pays industriel.
Idem les Banques et les Assurance marocaines font de l'ombre aux banques et assurance sud-africaine
C'est donc un sérieux concurrent
En plus, l'Afrique du Sud est mal au point, la crise du Covid lui a fait énormément de mal ( SouthAfrican Airlines qui fut longtemps la 1er compagnie africaine en faillite...)
Donc ils se sont mis d'accord avec l'Algérie pour réduire l'avancée du Maroc, et avec la déclaration commune de Rabat, le Maroc est en voix de devenir une puissance, selon les mots de détracteurs du Maroc en France !

Ces deux la, on un intéret commun que le Maroc ne se developpe pas

je sais pas si qlq1 a déjà posté cet article de ABC.
malheureusement c'est payant mais le titre en dit tout.

https://www.abc.es/internacional/abci-espana-puede-perder-tren-sahara-202102010232_noticia.html

OK, le "siège permanent" au Conseil de sécurité est bien quelque chose dont ils rêvent. Mais nous savons tous qu'il n'y aura jamais de réforme du CS.

@Simplet, le Maroc n'est pas les US. Les Sud Africains (qui n'ont rien compris à leur propre histoire) voient le Maroc comme un pays Africain qui a pactisé avec les blancs de l'Apartheid. Ils pensent etre plus fort que nous et veulent se venger. Ils sont assez lucide pour ne pas chercher à se venger des Etats-Unis.

Notre diplomatie a essayé de mettre en avant le fait que le Maroc a financé et armé l'ANC mais cela ne suffit pas. A chaque fois qu'on parle à quelqu'un de l'ANC (surtout les membres de leur Jeunesse) il te ressort le fait que nous avons acheté des armes aux "blancs".

Dias a écrit:

je sais pas si qlq1 a déjà posté cet article de ABC.
malheureusement c'est payant mais le titre en dit tout.

https://www.abc.es/internacional/abci-espana-puede-perder-tren-sahara-202102010232_noticia.html

Google traduction

Il y a deux demandes claires: une politique, un soutien à la proposition marocaine d'une large autonomie sous sa souveraineté et une participation économique, d'investissement et des entreprises dans les trois régions déjà considérées par Washington comme le sud du Maroc

Lorsque vous parlez à de nombreux Sahraouis qui vivent dans la région de Dajla-Río de Oro, leur mémoire des Espagnols est affectueuse et affectueuse et, bien qu'ils aient des doutes sur le rôle inactif des 40 dernières années, ils demandent à l'Espagne de revenir dans le pays. Sahara . Il y a deux demandes claires. Une politique, un soutien à la proposition marocaine d'une large autonomie du Sahara sous sa souveraineté , récemment entérinée par l'administration américaine. Une participation économique, d'investissement et des entreprises aux opportunités de développement et de progrès actuellement offertes par les trois régions déjà considérées par Washington comme le sud du Maroc. Les plans de développement sont conçus. Les parcelles sont urbanisées pour la construction de maisons, lotissements industriels

L'afrique du sud est tout à fait inoffensif pour nous. Même s'ils étaient de notre coté, ça changerait quoi ? ils n'ont aucun pouvoir, aucun levier et leur alliance avec l'algérie est la plus risible de tous les temps. Et l'ua c'est pareil, ils n'ont jamais rien fait pour personne, pas la moindre influence sur le moindre conflit, cette organisation existe juste pour la forme.

Pour ma part j'estime que la Maroc n'aurait jamais du retourner dans cette organisation, Hassan II avait 200% raison, nous aurions du suivre ses directives jusqu'au bout.

Dias a écrit:

je sais pas si qlq1 a déjà posté cet article de ABC.

Je ai posté ça hier : https://far-maroc.forumpro.fr/t4779p350-actualites-du-sahara-marocain#525326

l'AS vit sur l'inertie d'un pays développé par les blancs.
Or ces derniers ont déjà déserter le pays, il ne reste que les apparences.

Dans tous le continent les pays les plus sérieux et qu'il faut avoir au radar sont :
l'Ethiopie
Rwanda
Soudan
Sénégal

il faut nouer des alliances avec ces pays surtout l'Ethiopie pour au moins l'amener à la neutralité

L'ethiopie et le Nigéria ont mis un peu d'eau dans leur vin sur la question du Sahara. Il reste juste l'AS et le parrain des sandalos parce qu'en quelques sortes leur intérêts de croisent.
Pour revenir sur l'ONU ou l'UA jamais ces organismes vont résoudre qoui que ce soit ils vont juste endurer le problème. Il y a une solution qui marche c'est le fait accompli. L'exemple est celui de l'Azerbaïdjan. On ne peut plus traîner ce ce problème encore quelques années ds plus. Il faut trouver une solution radicale sur plusieurs axes. Évincer les sandalos de l'UA et avancer le mur. Plus de négociations c'est une perte de temps.

Enfin un homme sage, qui n'y va pas par quatre chemin quand il donne son avis sur le sahara marocain!! Et j'admis que je ne le connaissais pas.

Citation :

Le soutien de l'Algérie à un mouvement séparatiste contre un pays voisin est un "grand péché"


Alger - L'activiste algérien Oualid Kébir a souligné que le soutien de l'Algérie à un mouvement séparatiste contre un pays voisin est un "grand péché" ayant pour objectif de "servir des agendas coloniaux".

Dans une lettre ouverte adressée au président du mouvement algérien "El Bina", Abdelkader Bengrina, en réaction à une publication sur le Traité d'amitié de bon voisinage et de coopération signé le 15 janvier 1969 à Ifrane entre le Maroc et l'Algérie, l'analyste estime que l'Algérie est censée être le premier pays à soutenir le Maroc dans le dossier du Sahara, que les Algériens considéraient comme marocain conformément à la même ligne de conduite de la logique et de l'histoire.

Il a affirmé que le soutien à un mouvement séparatiste contre un pays voisin est un "acte maladroit" et un "grand péché" visant à porter atteinte aussi bien à l'Algérie elle-même et à son avenir, qu'à celui de la région Maghrebine dans son ensemble.

Il a ajouté, en s'adressant encore à Bengrina, que le Maroc n'a jamais ni représenté une menace pour la souveraineté de l'Algérie, ni attaqué ses territoires après la signature du traité d'Ifrane.

"Le régime dans notre pays a, à contrario, abrité sur son territoire un groupe séparatiste, (...) et soutenu le -Polisario- avec des armes et du matériel et lui a autorisé de mener des attaques contre le Maroc depuis les territoires algériens", a-t-il dénoncé.

La lettre a souligné qu'il s'agit d'une violation flagrante du Traité d'Ifrane, en particulier ses quatrième et cinquième articles, et d'un déni aux concessions faites par le Maroc en reconnaissant les frontières en 1972.

"Qui est l'agresseur alors M. Bengrina ? N'est-ce pas le régime en Algérie ? De quelle autodétermination parliez-vous ? Ne s'agit-il pas d'une contradiction entre votre approche islamique qui défend l'unité de la nation, d'une part, et l'appel à la division d'un pays musulman voisin, d'autre part ? Vous ne vous rendez pas compte que toute le monde arabe et islamique, sauf l'Algérie, soutient le Maroc et son intégrité territoriale ? Vous croyez qu'ils ont tous tort, sauf nous, les Algériens??", s'est-il interrogé.

Il a noté que "le régime au pouvoir en Algérie ne se soucie ni du sort de ces populations des camps de Tindouf et ni de celui des peuples de la région qui se sont lassés de voir que leur espace maghrébin reste paralysé".

Il a ajouté que malheureusement l'Algérie ne se soucie non plus de son avenir et son intégrité territoriale, expliquant que "le soutien à un mouvement séparatiste hors de ses frontières favorisera, de point de vue logique, l'émergence de mouvements séparatistes à l'intérieur du pays".

Dans ce sens, il a appelé Bengrina à tirer profit des leçons de l'Histoire pour bâtir l'avenir, faisant savoir que le Maroc n'est pas un ennemi ou un simple voisin mais un pays frère.

Le militant algérien a évoqué les différentes étapes historiques au cours desquelles le Maroc a soutenu la révolution algérienne, à commencer par le Sultan Moulay Abderrahmane, qui a dénoncé l'intervention militaire française contre ce pays maghrébin et encore la décision de feu Sa Majesté le Roi Mohammed V de soutenir les Algériens pour récupérer leur indépendance.

Et de noter: "le colonialisme français a tenté de courtiser le Roi du Maroc afin de renoncer à son soutien à la résistance en échange de la relance des négociations sur les territoires marocains spoliés, mais feu Sa Majesté le Roi Mohammed V a rejeté avec véhémence cette offre et a continué à soutenir la révolution".

Il a noté qu'un accord a été conclu entre le Maroc et le gouvernement intérimaire algérien pour reporter les discussions sur la question des frontières après l'indépendance de l'Algérie, mais le destin a voulu que SM le Roi Mohammed V décède un an avant l'indépendance de ce pays.

Il a aussi mis l'accent sur le traité de Lalla-Maghnia qui fixe la frontière entre le Maroc et l'Algérie française, dans une région s'étalant de Saïdia au nord à Tenïet-el-Sassi au Sud, précisant que les habitants des autres régions s'étendant vers le Sahara ont toujours entretenu des liens juridiques d'allégeance avec les Sultans du Maroc, et administratifs à travers les dahirs de nomination des Caïds, dont Idris ben Kouri qui dirigeait la région de Touat.

Il a aussi fait savoir que les habitants de Tindouf, dont le dernier chef était un pacha nommé par Dahir royal, avaient refusé en 1962 de participer à un référendum organisé par la France leur demandant de choisir entre "l'Algérie française" ou leur indépendance, revendiquant plutôt leur attachement à la nationalité marocaine.

Selon lui, le régime algérien au pouvoir n'a pas apprécié à sa juste valeur les concessions faites par le Maroc en échange de la paix et du bon voisinage.

L'ancien président Boumediene a commis un "péché" en rompant le pacte qu'il avait conclu avec feu SM le Roi Hassan II, lors de la signature du traité de délimitation des frontières en 1972.

L'auteur a indiqué avoir rappelé ces étapes de l'histoire pour dévoiler l'ampleur du péché que le régime algérien a commis envers le Maroc, qui a fait de grandes concessions et a agi avec sagesse, "mais nos dirigeants étaient arrogants et vivaient dans le déni de la réalité et des sacrifices consentis".

https://www.mapnews.ma/fr/actualites/monde/le-soutien-de-lalg%C3%A9rie-%C3%A0-un-mouvement-s%C3%A9paratiste-contre-un-pays-voisin-est-un

alphatango a écrit:

@Simplet, le Maroc n'est pas les US. Les Sud Africains (qui n'ont rien compris à leur propre histoire) voient le Maroc comme un pays Africain qui a pactisé avec les blancs de l'Apartheid. Ils pensent etre plus fort que nous et veulent se venger. Ils sont assez lucide pour ne pas chercher à se venger des Etats-Unis.

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C'est totalement faux, la video de Mandela le prouve, c'est les algériens qui racontent ça . Est ce que le Maroc avait des relations avec l'afrique du Sud avant Mandela? l'afrique australe été sous influence Britannique qui est loin de la zone d'influence d'un pays comme le Maroc

C'est  Thabo Mbeki qui avez comme ambition de faire de l'Afrique noir une chasse gardée et fallait nuire au concourants potentiel, Les algériens croient qu'ils utilisent les Sud Africains mais en réalité c'est les Sud Africains qui utilisent les algeriens pour nuire au Maroc


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Nos amis de l'Est s'excite a la veille du Sommet de l'UA ce week-end
Aprés la tournée de Boukhadoum, se sont ses sbires de Tindouf qui font leur tournée en Afrique ( au frais du contribuable algérien...a qui ont interdis d'importer de la viande...) par ailleur le meme Boukhadoum a encore eu un échange avec les Sidaf ( ils sont devenu inséparable...)

Bref ils cavale partout...pourquoi ?

https://www.yabiladi.com/articles/details/105311/comme-pour-boukadoum-polisario-repart.html a écrit:

Une tournée pour rien..et quelques dinars en moins pour l'algérien moyen ..pathétique

Ils savent qu’on va frapper mais où et quand ? La question demeure.

Ça fait 3 ans qu’ils dormaient et se sont réveillés avec des sueurs froides en 2020 ( consulat, guerguerat, reconnaissance US)

Maintenant ils essaient de sauver les meubles devant l’évidence de notre objectif.

Remarquez qu’on reste silencieux et que l’on ne « bouge » pas

En arabe,Op-ed de Nasser Bourita dans le journal Asharq AlAwsat.

من المهم التأكيد على أنَّ المسلسل السياسي ليس غاية في حد ذاته، وأنَّ الذين يعتقدون أنَّهم يناكفون المغرب عبر الاعتراض على مبادرة الحكم الذاتي، لا يفعلون شيئاً غير إذكاء وضعية الجمود وانسداد الأفق، ويعرقلون في الواقع، التوصل إلى حل

- ناصر بوريطةhttps://t.co/ontdnA6dOp

— صحيفة الشرق الأوسط (@aawsat_News) February 3, 2021

Bruce Wayne a écrit:

Une tournée pour rien..et quelques dinars en moins pour l'algérien moyen ..pathétique

l'algérie et le polz veulent inscrire le conflit entre les 2 "pays" : Maroc et "razd" à l'ordre du jour du Sommet de l'UA ...

Ils veulent que l'UA se prononce sur ce conflit militaire entre ces 2 pays et décident d'une médiation, d'un arrêt des "combats" et d'un retour à la situation d'avant Décembre 2020, c'est à dire le retour des brigands de route à El Guerguerate

ce protocole devant être signé au siège de l'UA par les 2 chefs d'Etat et avec donc la reconnaissance de la razd par le Maroc

Il n'y a qu'à voir le regard du MAE Angolais qui doit se dire que le kashir algérien est vraiment périmé et attaque le cerveau

Tribune de Bourita dans JA

https://www.jeuneafrique.com/1115268/politique/tribune-au-sahara-une-decision-americaine-qui-nous-rapproche-dune-solution/

algeria times a écrit:

https://www.algeriatimes.net/algerianews54959.html

personnellement j'espère que c'est pas vrai

Par Elliott Abrams « special assistant to President Bush and the NSC's senior director for Near East and North African Affairs »

https://www.nationalreview.com/2021/02/trumps-morocco-decision-was-sound/

Citation :

Trump’s Morocco Decision Was Sound

National Review

Elliott Abrams

The Baker and Bolton arguments against recognizing the country’s sovereignty over the Western Sahara do not hold water.
Near the very end of President Trump’s administration, the United States recognized Moroccan sovereignty over the Western Sahara. That move elicited loud protests, most notably from James Baker, John Bolton, and Senator James Inhofe (R., Okla.). For reasons that are not persuasive, all three have long opposed Morocco’s territorial claims and have favored a process likely to weaken the kingdom, an important U.S. ally in a dangerous region. Moreover, their proposals might hand the territory over to the Polisario, a Cold War remnant organization that cannot reasonably be expected to play Morocco’s role in the struggle against terrorism and extremism.

The announcement by the White House states that

“the United States affirms, as stated by previous Administrations, its support for Morocco’s autonomy proposal as the only basis for a just and lasting solution to the dispute over the Western Sahara territory. Therefore, as of today, the United States recognizes Moroccan sovereignty over the entire Western Sahara territory and reaffirms its support for Morocco’s serious, credible, and realistic autonomy proposal as the only basis for a just and lasting solution to the dispute over the Western Sahara territory. The United States believes that an independent Sahrawi State is not a realistic option for resolving the conflict and that genuine autonomy under Moroccan sovereignty is the only feasible solution. We urge the parties to engage in discussions without delay, using Morocco’s autonomy plan as the only framework to negotiate a mutually acceptable solution.”

Note the ingredients: (1) Previous administrations have supported the formula of autonomy under Moroccan sovereignty; (2) it is the only realistic formula; (3) negotiations should begin.

Left unstated is the additional factor that I mentioned above: Deliberately destabilizing Morocco would be a senseless policy for the United States.

The objections by former secretary of state Baker and former national-security adviser Bolton are essentially that the Trump administration’s decision overturned decades of U.S. policy and international law. Mr. Baker, who also served as the U.N. special envoy for the Western Sahara, called it “an astounding retreat from the principles of international law and diplomacy that the United States has espoused and respected for many years” and said it was “a major and unfortunate change in long-standing U.S. policy under both Democrat and Republican administrations.” That policy, he said, “has always taken a more or less neutral stance in support of the efforts by the United Nations to determine the future of that territory and its people, in a way that supports the principle of self-determination.”

Mr. Bolton’s view was sharply expressed in an essay for Foreign Policy: “Trump’s decision to throw the Sahrawi people under the bus ditches three decades of U.S. support for their self-determination via a referendum of the Sahrawi people on the territory’s future status.”


Senator Inhofe said that since 1966, “The international community has had one clear, defined policy: Western Sahara deserves a referendum of self-determination to determine its own future. The United States has supported this policy for decades and has worked to accomplish a referendum of self-determination. Until today, this Administration had continued our long history, one that has remained consistent across administrations.”

But these claims are actually wrong.

When Baker handled this issue for the United Nations in the 1990s, he developed a proposal then known as the “Baker Plan.” A first draft, in 2000, called for autonomy under Moroccan sovereignty and was rejected by the Polisario and Algeria. A second plan was endorsed by the U.N. Security Council in 2003, and it called for five years of local self-rule followed by a referendum on independence. Morocco rejected the plan precisely because it presented the independence option. Soon thereafter, Baker resigned the U.N. position.

In this period, the first term of President George W. Bush, I was senior director for the Near East and North Africa at the National Security Council. Baker visited with National-Security Adviser Condoleezza Rice about the Western Sahara, and I believe it was in good part the Bush administration’s refusal to support the Baker Plan that led to Baker’s resignation.

Why did we reject it? We understood three critical things. The first and most important was that it was simply impossible for the king of Morocco to countenance independence for the Western Sahara without destabilizing his own rule — with potentially huge consequences for North Africa and U.S. interests. Moroccans are riven by many disputes in their internal politics, but they are united on the issue of the Western Sahara. The “Green March” of 1975 organized by the king’s father, Hassan II, in which 350,000 Moroccans entered the Western Sahara, was a turning point for the government of Morocco. Indeed, neither Hassan nor the current ruler King Mohammed VI has since then ever contemplated letting the region break off from Morocco. To do so would undermine public support for the monarchy and the government, and weaken both.

I do recall, I hope accurately, a comment by Baker to the effect that his plan called for a five-year delay in holding the independence referendum, and that during that period Morocco would likely be able to incentivize more Moroccans to move into the Western Sahara and become eligible to vote there. If the government were energetic and smart about this, surely Morocco could win the independence referendum. But that comment showed exactly the problem with the Baker Plan: It would have forced Morocco to acknowledge and accept the legitimacy and the possibility of losing part of its territory, and seeing it become a Polisario state. Doing that was precisely what was dangerous for the government and the monarchy, whatever predictions might be made about referendum results.

The second thing we in the Bush administration understood was wrong with the Baker Plan was that it might have led to the creation of a Polisario state in the Western Sahara. There are many reasons this was and still is a bad idea. For one thing, the Polisario has for decades relied on the hosting and financial, diplomatic, and military support of Algeria. Morocco and Algeria remain rivals; relations are “tense” and “poor”; Algeria recently denounced Morocco’s establishment of diplomatic relations with Israel; and the land border between them has been closed since 1994. Independence for the Western Sahara would mean that Morocco’s land borders consist of Algeria and what would likely be an Algerian dependency, the new Polisario state. That would hardly be conducive to Moroccan security, prosperity, and stability. It could mean that Morocco had no open land border at all, and fighting late in 2020 was occasioned by Polisario actions to block the land border between Morocco and Mauritania.

Morocco and the United States have a long and deep relationship, and Morocco is a major non-NATO ally. As the State Department phrases it:

Morocco and the United States share common concerns and consult closely on security, political, and economic issues and sustainable development. The United States designated Morocco a Major Non-NATO Ally in 2004, and the U.S. and Moroccan militaries hold joint exercises and training. Morocco is a strong partner in counterterrorism efforts and works closely with U.S. law enforcement to safeguard both countries’ national security interests. The U.S. and Morocco coordinate their efforts to promote regional stability and security, including through the Global Counterterrorism Forum and the Global Coalition to Defeat ISIS.

The Congressional Research Service summarizes that “successive U.S. Administrations have viewed Morocco as an important regional partner on security, trade, and development. . . . U.S.-Morocco security cooperation is robust.” It is inconceivable to think of this kind of security relationship existing with a Polisario state. How, therefore, would pursuing this new dynamic be in the interest of the United States?

Finally, the third thing we understood was that never in history had the Western Sahara been an independent state. There was and is no pressing historical, political, or legal reason to make it one. (For a discussion of the legal aspects, see the discussion by Antonin Scalia Law School professor Eugene Kontorovich.) If the United States must support an independence referendum for the Western Sahara, why not for Scotland and Catalonia? Why not Quebec and Wales?

With these and other considerations in mind, the United States rightly rejected the Baker Plan. But we also encouraged the Moroccan government to develop a credible autonomy plan for the Western Sahara, and it did so. In 2007, the United States publicly called the Moroccan plan “a serious and credible proposal to provide real autonomy for the Western Sahara.” Nor was the United States alone: Also in 2007, “The French foreign ministry said the plan offered a constructive step toward negotiations and the possibility of ‘a political solution endorsed by all the parties within the framework of the United Nations.’”

That was during the George W. Bush administration, but in 2009 Secretary of State Hillary Clinton told the press after meeting with Morocco’s foreign minister that “our policy has not changed, and I thank you for asking the question because I think it’s important for me to reaffirm here . . . that there has been no change in policy.” Both countries reaffirmed these views again on October 30, 2020 at the United Nations (while also criticizing the Polisario blocking actions at the Mauritania border).

Previous U.S. support for the Moroccan autonomy plan did not go all the way to the step the United States took in December 2020, finally recognizing Moroccan sovereignty. But that step was surely not the complete and “astounding” break with past U.S. positions that Baker called it. It was instead a logical progression from what had for more than a decade, under administrations of both parties, been the U.S. position: that autonomy under Moroccan sovereignty was the best realistic option.

The U.N. special envoy for the region in 2005–2008, the late Peter Van Walsum, spelled out why in 2007:

“As the Council had made it clear from the outset that it could only contemplate a consensual solution to the question of Western Sahara and, more specifically, had not reacted in 2004 when Morocco decided that it could not consent to any referendum in which independence was an option, I had concluded that there was no pressure on Morocco to abandon its claim of sovereignty over the Territory and, therefore, that an independent Western Sahara was not a realistic proposition. . . . . My conclusion [was] that an independent Western Sahara is not an attainable goal.”

Van Walsum was right. It is worth noting how closely the White House statement from December 2020, quoted above, follows his logic: “The United States believes that an independent Sahrawi State is not a realistic option for resolving the conflict and that genuine autonomy under Moroccan sovereignty is the only feasible solution.”

There are, at bottom, two possible paths forward for the region: the endless continuation of conflict, and a negotiation aimed at securing real autonomy under Moroccan sovereignty. By recognizing Moroccan sovereignty, the United States has added pressure for a serious autonomy negotiation that might bring the conflict to an end. No other path will get us there.