Suppostions D'achats de la MRM

Rappel du premier message :

Guys moi tant qu'on parle pas de porte avion et missile balistique on reste "dans le sujet" Laughing

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Sois généreux avec nous, Ô toi Dieu et donne nous la Victoire

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atlas a écrit:: Si discussion il y a..

C'est sur les PFC class Alcyon
Patrouilleurs de 400t/54 m

Il en reste 3 et pas 5 puisque 2 ont été cédés aux Philippines..

A mon avis..c'est ce qu'on aura..

Les LCS... trop complexe a soutenir voir à opérer..

Qd aux Supports log géant type Bob Hope de 300 m de long

C'est un gabarit de porte avion ce machin

Aucune utilité et un encombrement hors norme

Donc raisonnablement..il n'y a que les 3 patrouilleurs..

Armement très soft 2x 25 mm...
Mais pas mal pour patrouiller les zones de peches..

Insuffisant pour opérer la ZEE..

Pas mal pour contrôler émigration, terros etc

Ne peut ont pas envisager les Ticonderoga-class en AA ?

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Un Ticonderoga..

Juste un croiseur...!!!!!

Cela dit..on a bien acheté une FREMM...

Guère beaucoup plus petite...

Alors pourquoi pas...dans la connerie.

Maintenant..j'y crois pas.

La MR n'a ni 'ex installations ni les hommes pour opérer ce type de bâtiment..
Peut être les LCS...dimensionnés mais complexes

Pas besoin de s'enerver, justement je pensais à FREMM qui est à 6000t, les croiseurs en question font 10000T. Les LCS par contre, sont justement décommissionnés à cause d'un problème technique, on n'a pas les épaules pour les gérer.

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Des f-35 marocains dans les prochains mois d'après une source israélienne, je verrais bien une douzaine de f-35 principalement pour des missions SEAD et/ou à haute priorité.

Non, j préfère des F15C upgradable en EX de pure supériorité aérienne

Messieurs suppositions pour la MR.

sirono a écrit:: Des f-35 marocains dans les prochains mois d'après une source israélienne, je verrais bien une douzaine de f-35 principalement pour des missions SEAD et/ou à haute priorité.

source ?

atlas a écrit:: Un Ticonderoga..

Juste un croiseur...!!!!!

Cela dit..on a bien acheté une FREMM...

Guère beaucoup plus petite...

Alors pourquoi pas...dans la connerie.

Maintenant..j'y crois pas.

La MR n'a ni 'ex installations ni les hommes pour opérer ce type de bâtiment..
Peut être les LCS...dimensionnés mais complexes

Qu'on la vende cette FREMM n'as khtaya comme on dis

Et avant tout achat il faudra une vrai feuille de route parce que la MRM cest n'importe quoi voir exemple sur ceux qui ont redresser tout le secteur de la DCA

Clairement quel dommage que la marine semble ne pas bénéficier du même plan de modernisation que pour les forces armées et la force aérienne !

Des Sigma d'un côté, une FREMM, un ou des Avante 1800, les Floreal, les Lazaga, quelques vieux OPV64... il faut aussi remplacer les Champlain/Newport !

Il y a tellement de chantiers à entreprendre et un peu trop de fournisseurs...

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Si c'est bien Piriou qui reprend le chantier de Casa il faut s'attendre à un programme OPV pour le Maroc Smile

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Ils vont faire rien, ils vont titi nini mimi à casa
Et cucu chez les pd en plus

Fox-One a écrit:: Ils vont faire rien, ils vont titi nini mimi à casa
Et cucu chez les pd en plus

Sinon une analyse constructive peut être ?

Selon un journal marocain c'est Piriou qui va hériter du chantier naval de Casa.

Si cela est vrai 100% qu'il y aura un programme d'OPV maison ...

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Ils ont quoi comme programmes/produits ?
Ont ils une capacité d'investissement et une chaîne de valeur développé ? Où ils sont des constructeur de second ordre/ sous-traitants de naval groupe ?

Piriou tient la route

C'est les descendant de nos PLM rais Bargach.( Chantiers Lanester devenus piriou)

Ils font la gamme oPv 90/80/75

Plus navire BDSL type Rais..machin...

Mais ils sont affiliés Naval et peuvent construire corvettes.. combat

Concrètement il faut que ce chantier reçois des commandes pour être plein op, et il faut créer un eco système de valeur locale pour justifier cette implantation au Maroc, pour justifier le manque à gagner fiscale pour nous et le gain potentiel en terme de foncier, fiscalité, charges sociales et salariales pour eux.
Il faut qu'il y a une règle volonté de coopération et d'intégration et plus précisément le transfert de compétences aux RH marocaines. A l'image de l'industrie automobile.
C la seule chose que la France doit avoir en tête et accepter pour espérer un jour revenir à un un état de pré normalité avec le Maroc.
Mais les coups de bâtons dans les roues et laissé tomber. Tous le monde les sniffer à des KM....

Le Maroc, future puissance sur les mers et les océans ? Les corsaires de Salé en ont bâti la légende mais les Forces armées royales (FAR) ont entrepris de restaurer ce passé glorieux en dotant la Marine d’une flotte à la hauteur de cette ambition. Au point que la plateforme américaine de traitement de données Wisevoter a classé le Maroc parmi les 25 plus grandes flottes navales du monde et 4e en Afrique. Une impressionnante force de frappe maritime qui se déploie sur les cinq bases navales — et leurs infrastructures logistiques complémentaires —, hébergeant quelque 121 navires de guerre. Des missions multiformes Malgré ce nombre impressionnant, l’armada marocaine doit faire face à des missions multiformes. La Marine royale est garante des 3500 km de côtes sur deux façades maritimes : la Méditerranée et l’Atlantique. Elle est chargée de sécuriser 1,2 million de kilomètres carrés de zones économiques, notamment les 38 ports et les découvertes probables de pétrole et de gaz. Sans compter qu’elle a aussi le contrôle du sud du Détroit de Gibraltar, par lequel transitent plus de 150.000 navires par an. “La Marine royale est à la traîne par rapport aux autres composantes de l’armée marocaine (air-terre) dans la stratégie de renforcement des capacités de défense” “La Marine royale est en charge de plusieurs missions : sécuriser les côtes, contrôler l’accès à l’espace maritime national et l’exploitation des ressources naturelles et halieutiques, et assurer la protection des ports et infrastructures côtières ainsi que de la flotte de la marine marchande et des bateaux de pêche. Les futures plateformes d’exploitation gazière sur la rive atlantique constitueront aussi des sites d’intérêt stratégique pour lesquels la Marine royale devra assurer une protection permanente”, vulgarisait Nizar Derdabi, analyste en stratégie internationale, défense et sécurité, interrogé par TelQuel. Des missions qui dépassent largement les moyens alloués à la composante maritime des FAR. “La Marine royale est à la traîne par rapport aux autres composantes de l’armée marocaine (air-terre) dans la stratégie de renforcement des capacités de défense pour répondre aux menaces et aux défis imposés par la situation géopolitique et sécuritaire dans la région”, reconnaissait encore Nizar Derdabi.Et pourtant, en 2022, le Maroc faisait partie du club très fermé des pays qui consacrent 4% de leur PIB aux dépenses militaires, selon le dernier rapport de l’Institut international de recherche sur la paix de Stockholm (Sipri). Avec un budget de la défense culminant à 5,4 milliards de dollars (55 milliards de dirhams), le royaume souhaite très vite atteindre les objectifs de son ambitieux programme de modernisation lancé en 2012. Ce plan entend renouveler l’arsenal des FAR avec des équipements de pointe mais aussi renforcer les effectifs dans les rangs de l’armée. Néanmoins, la ventilation de l’enveloppe fait de la Marine royale le parent pauvre de l’armée marocaine avec un important retard à rattraper par rapport à certaines de ses homologues du continent. À l’échelle africaine, la Marine royale est au pied du podium en termes d’outils maritimes. Elle se classe 4e derrière l’Égypte (245 navires de guerre et 8 sous-marins), l’Algérie (201 navires de guerre et 6 sous-marins) et le Nigeria (136 navires de guerre), toujours selon Wisevoter. Une position qui ne cadre pas avec l’histoire glorieuse qui a caractérisé le Maroc comme une puissance sur les mers et les océans. Autrefois puissance navale Jusque-là concentré sur les conflits internes de succession, le Maroc a entrepris de dominer les mers à partir du XVIIIe siècle. Alors sous le règne du sultan Mohammed Ben Abdallah, le royaume entreprend une ambitieuse politique d’ouverture. Cette politique qui sera prolongée et consolidée par les sultans Moulay Rachid, Moulay Ismaïl et Moulay Sliman, se matérialisera par l’ouverture de nombreux ports. S’ils étaient destinés à faire fructifier le commerce avec l’Europe, ces traités étaient aussi destinés à introduire dans les eaux sultanales des puissances maritimes comme Venise, l’Espagne, l’Angleterre, le Portugal, le Danemark ou la Hollande afin de contrer les activités de piraterie. “La vocation maritime du Maroc n’a malheureusement jamais fait l’objet d’un intérêt stratégique aux yeux des gouvernements du Maroc” Entre le XVIe et le XIXe siècle, le Maroc a vu prospérer, sous les Almoravides et les Almohades, une importante activité de corsaires qui a conduit à la création de la fameuse République de Salé (1627-1668) qui régna sur l’embouchure du fleuve Bouregreg. Au service des sultans ou opposés à eux, les corsaires, d’origine andalouse, turque ou locale, ont bâti la réputation maritime du Maroc en tant que puissance crainte et respectée sur les mers et les océans. “La vocation maritime du Maroc n’a malheureusement jamais fait l’objet d’un intérêt stratégique aux yeux des gouvernements du Maroc. Ce manque d’intérêt a conduit à une détérioration du pavillon national et une perte de richesse énorme que le Maroc aurait pu créer aussi bien en termes industriel, logistique, touristique que de plaisance”, soulignait encore un fin connaisseur des milieux militaires ayant requis l’anonymat. “Ce désintérêt pour la mer a été même perçu par des chercheurs et historiens au Maroc comme l’une des principales raisons du recul de la puissance et de l’influence du royaume à partir des XVIIIe et XIXe siècles, conduisant à la chute du Maroc entre les mains du Protectorat… alors que les puissances de l’époque, et qui traitaient avec l’Empire chérifien dans des relations d’égal à égal, avaient investi mers et océans pour devenir les maîtres du monde”, poursuivait notre source. Restaurer le navire Pour restaurer ce prestige passé, le Maroc a entrepris de moderniser la flotte de sa marine depuis les années 1970. D’abord avec des bâtiments essentiellement affectés au transport de troupes ou de matériels, ensuite avec des navires de guerre qui sont venus progressivement renforcer les vaisseaux. Cette flotte est aujourd’hui vieillissante et le retard par rapport au voisins immédiats du Maroc, surtout en Méditerranée, continue de se creuser. Contacté par TelQuel, Abdelhamid Harifi, expert sur les questions de défense et de sécurité, explique la lenteur dans le renouvellement de la flotte par des contraintes budgétaires ponctuelles. “Depuis la création de la Marine royale, il y a eu des projets pour donner plus de poids à cet outil de défense. Mais bien souvent, la priorité avait été accordée à d’autres corps d’armée au détriment de la Marine. D’abord, parce que la Marine est inférieure en termes d’effectifs par rapport aux autres corps, mais aussi parce que les dirigeants ont fait profil bas pour faire passer les priorités de l’aviation et de l’armée de terre. Après l’indépendance, le roi Mohammed V a entrepris beaucoup d’actions pour redonner à la Marine sa place avec une importante flotte pour la marine marchande et nationale pour la surveillance de l’espace maritime”, rappelle Abdelhamid Harifi. “Le règne du roi Hassan II avait permis, pour la première fois dans les années 1990, d’intégrer la capacité aéronavale dans l’outil marine des FAR. Mais ce projet n’a pas pu se poursuivre car nous venions de sortir de la Guerre du Sahara qui avait eu un impact sur les budgets militaires”, poursuit le chercheur, qui estime que l’arrivée du roi Mohammed VI a marqué un tournant dans les capacités opérationnelles de la Marine royale. “Le roi Mohammed VI a entrepris de renforcer les capacités défensives et militaires de la Marine royale. Mais il fallait aussi disposer d’un outil pour l’action de l’état en mer (AEM) parce que le gros du travail que fait la Marine sur le terrain, ce n’est pas de la guerre, mais l’AEM avec tout ce qui est surveillance côtière, lutte contre l’immigration clandestine, contre les trafics illicites, contre la pêche illégale et la surpêche. Le Maroc s’est alors équipé de navires de moyen tonnage, voire des tonnages avec un armement très léger, pour des missions d’intervention et pour maintenir une présence en mer qui soit respectable.” “Pour un espace maritime qui dépasse largement la taille du territoire national et énormément d’enjeux et de menaces, le Maroc dispose d’une marine modeste” À l’origine essentiellement en provenance des États-Unis et de la France, le Maroc va alors entreprendre sous le règne de Mohammed VI de diversifier ses fournisseurs des navires qui équipent sa marine. C’est ainsi que la Hollande ou encore l’Espagne vont inscrire le Maroc dans leurs carnets de commande. De même, plusieurs publications spécialisées sur les questions de défense ont lancé des spéculations sur des nouvelles acquisitions en provenance de Turquie ou encore d’Israël. Mais le chantier de la modernisation de la Marine est loin d’être achevé. “Pour un espace maritime qui dépasse largement la taille du territoire national et énormément d’enjeux et de menaces, le Maroc dispose d’une marine modeste. Avec les changements de ces vingt dernières années, nous sommes passés d’à peine deux frégates et une corvette vieillissante, avec des moyens de combat hors service, à une marine avec quatre unités de combat lourd, avec des moyens ultra modernes, des systèmes à la pointe de la technologie, et récemment, l’introduction des avions de patrouille maritime. Le dernier achat de la Marine date d’au moins quinze ans”, revient Abdelhamid Harifi. Et le chercheur de préconiser des propositions pour hisser la Marine royale parmi les grandes Marines du monde. “Il y a d’abord un cadre légal à moderniser pour renforcer la Marine nationale en rehaussant la Marine marchande, car c’est l’une des seules lois qui datent encore du Protectorat. On a l’intention de faire des achats de matériel, de flotte de navires, sans avoir la capacité de maintenance qu’il est urgent de développer, notamment sur le volet de la formation et du transfert de technologie pour devenir des constructeurs de navires. Enfin, l’État pourrait mettre l’accent sur le développement de toutes les activités liées à la Marine, notamment le secours aux populations, le renouvellement de la flotte, le balnéaire, le commercial, le transport, le sécuritaire”, conclut-il. a écrit:

https://telquel.ma/2023/08/04/armee-comment-et-pourquoi-le-maroc-veut-batir-une-armada-pour-sa-marine-royale_1824947

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Le courage croît en osant et la peur en hésitant.

Un bien long pavé

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Soutien à Far Soldier Suppostions D'achats de la MRM - Page 14 11

h24 a écrit:: Un bien long pavé

Je suis d'accord et on veux des action ou au moins une feuille de route et pas de la littérature

Enfin un article qui s’intéresse à la MRM.

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On néglige quand même qu'on est 25e sur 197 pays (dont 44 sans accès a la mer). Le renforcement des forces terrestres au "détriment" des forces navales n'est pas totalement vrai. Tu peut protéger ton pays de ton sol national pendant des années mais tu ne pourras jamais défendre ton pays en restant en mer pendant des années.. Sans oublier que la Marine à elle toute seul doit consommer une quantité monstre de carburant et il faut les infrastructures terrestres et leur protection.
Si un renforcement de nos forces navals se fait dans pendant les 10-15 ans qui suivent nous pourrions même être dans le top 10. Les articles publier par les presses Marocaines sont jamais anodins. Il n'y a jamais de fumer sans feu.

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« Les batailles de la vie ne sont pas gagnées par les plus forts, ni par les plus rapides, mais par ceux qui n'abandonnent jamais. »

(Hassan II).

Bonjour à tous a prendre avec des pincettes .

Il veule peut être le transformer Porte-hélicoptères amphibie ces les même caractéristiques taille /poid/surface

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Comme le mistral ou le tonnerre

Non il parle clairement de USS Bob hope c'est un navire de transport/logistique militaire avec un tonnage de 69000 ton (soit le double d'un mistral), longueur 290m, date de construction 1997, je ne crois pas qu'on va s'intéresser à ca
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Si on l'achète ca serait pour des missions humanitaires/soutien en Afrique de l'ouest, c'est cohérent avec notre implication dans le projet du gazoduc, on pourrait même imaginer le déploiement d'une mission au Sénégal ou en côte d'Ivoire.

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excellent pour des liaisons maritime entre Agadir, Laayoune et Dahkla

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Admettons c'est vrai.... quelle est la logique derrière ?

Perso j'en vois 1 seule, route logistique de secours en cas de guerre de haute intensité. Un navire capable capable d'être un BPC, hangar de 35 000m2 Shocked

Il peut transporter tout un GAR Shocked

Par contre il est nous armée.

Citation :: LMSRs can carry an entire U.S. Army Task Force, including 58 tanks, 48 other track vehicles, plus more than 900 trucks and other wheeled vehicles.

The ship carries vehicles and equipment to support humanitarian missions, as well as combat missions. T

he new construction vessels have a cargo carrying capacity of more than 380,000 square feet, equivalent to almost eight football fields. In addition, LMSRs have a slewing stern ramp and a removable ramp which services two side ports making it easy to drive vehicles on and off the ship. Interior ramps between decks ease traffic flow once cargo is loaded aboard ship. Two 110-ton single pedestal twin cranes make it possible to load and unload cargo where shoreside infrastructure is limited or nonexistent. A commercial helicopter deck was added for emergency, daytime landing.
The LMSR ships are Large (950 feet long, 106 feet wide, 55,000 long ton displacement), Medium Speed (24 knots), Roll-on/Roll-off (RO/RO) vessels. The sealift ships will be capable of self-sustained RO/RO and Lift on/Lift off (LO/LO) operations at a pier and in a Logistics-Over-the Shore (LOTS) scenario through stern and side port ramps to a RO/RO Discharge Facility (RRDF). In addition, the LMSR will be capable of self-sustained LO/LO cargo operations in a LOTS scenario by interfacing with lighterage. The LMSR ships are not armed, and do not have a combat system. They do have C3I suite sufficient to perform their intended mission in conjunction with other Naval vessels.

https://man.fas.org/dod-101/sys/ship/takr-300.htm

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