Actualités du Sahara Marocain

BOUBOU a écrit:

Stinger a écrit:

BOUBOU a écrit:

je ne croit pas que ça a été posté.
l'abstention tunisienne  lors du vote de la résolution sur le sahara marocain. les 300 millions de dollars octroyé par l'Algéristan sont en réalité le salaire de la corruption. imaginez donc ce qu'à coûté cette affaire depuis 1975!

Il va falloir les recadrer la prochaine fois il faut absolument pas se laisser faire

La Tunisie va à sa propre perte en agissant ainsi. Nous n'avons pas à agir là dessus. mais c'est vrai qu'il faille que ce pays précise sa vision des choses. ils ne peuvent pas jouer sur deux tableaux.
Mais comme je l'ai souvent préciser ici et aileurs, la Tunisie est dans une situation extrêmement délicate. Géographiquement, et économiquement. Elle est presque à la merci de l'Algéristan avec tout ce que ça comporte de danger. La Tunisie voit sa voisine comme les autres  la vois, c'est à dire une vache à lait. Et l'algéristan tante de flêchire la Tunisie sur des questions stratégiques (intégrité du Maroc, Israel, model économique et social, coopération sécuritaire, voir même d'intégration régionale...).
La Tunisie n'a pas les moyens et ne les aura pas d'ici tôt de rendre a l'Algéristan les prêts déjà octroyés, ni même les dépôts effectués à la banque de Tunisie! Et c'est un levier que va utiliser l'algéristan.

Alors que beaucoups ici me disaient il y a quelques mois en arriére que le président tunisien érait un patriote et amoureux de son pays, je persiste à croire que son âge avancé le fait délirer au point de ventre son pays ou du moins le jeter dans la gueule du loup...

Nous n'en seront que renforcé, mais si la Tunisie a besoin d'aide, nous devons être disposé à le lui fournire. (Surtout depuis que nous sommes la tête pensente de la Banque Mondiale)

On doit aider personnes ce dont des ingrats des minable de jaloux complexés comme les algechiens, à quand on doit continuer dans ce délire, le Maroc n'a pas d'amis au Maghreb, notre situation est très semblable à celui du Japon, alors on doit compter que sur nous même, au contraire au lieu d'aider ces hypocrites il faut faire en sorte de les enfoncer encore et encore

une vidéo intéressante filmé par un camionneur marocain en avril 2021 on le voit quitter le PK55 mauritanien en direction du poste frontalier marocain elguerguerat on peut voir une partie du dispositif des FAR

mourad27 a écrit:

une vidéo intéressante filmé par un camionneur marocain en avril 2021  on le voit quitter le PK55 mauritanien en direction du poste frontalier marocain elguerguerat on peut voir une partie du dispositif des FAR

Ca date et pourquoi n ont ils toujours oas goudronné la route c est ça ce que je ne comprend pas

Derick a écrit:

mourad27 a écrit:

une vidéo intéressante filmé par un camionneur marocain en avril 2021  on le voit quitter le PK55 mauritanien en direction du poste frontalier marocain elguerguerat on peut voir une partie du dispositif des FAR

Ca date et pourquoi n ont ils toujours oas goudronné la route c est ça ce que je ne comprend pas

On voit ld goudron en face regarde nien l'autre côté cest volontaire je pense , ce qui est honteux c'est que c'est lagouira de l'autre côté et pas la Mauritanie

Ils ont mis de l'asphalte mais je pense un truc provisoire qui n'as pas été entretenue et couvert par les sables. Je pense c'est volontaire pour ne pas mettre plus d'huile sur le feu.
Sinon FN MAG sur une Toyota.

Cette politique de la retenu est dépassée et elle ne mène nul part, il faut pousser l’ennemi à la faute et le faire passer pour celui qui attaque les civiles et mets en danger le trafic des marchandises
Nous ne sommes que ceux qui assureront la sécurité
Il est urgent urgent de goudronner cette route déjà ne serai ce que pour améliorer le confort de nos camionneurs et reduire le temps de passage et ensuite pour envoyer un messager aux chiens de l’est:::> le maroc fait ce qu’il veut chez lui !!!

on a annexé la zone nettoyé tout ca des ordures ici et là et nivelé la piste de la fin du goudron marocain au poste mauritanien  c est largement suffisant  je pense en attendant de le goudronner un jour ou l'autre en attendant les camions roulent bien dessus alors qu'avant c'était impraticable

mourad27 a écrit:

on a annexé la zone nettoyé tout ca des ordures ici et là et nivelé la piste de la fin du goudron marocain  au poste mauritanien  c est largement suffisant  je pense en attendant de le goudronner  un jour ou l'autre en attendant les camions roulent bien dessus alors qu'avant c'était impraticable

On doit le virer ce post frontalier il a rien a faire la il faut mettre le mur aux frontières et les postes frontaliers au frontières sinon ce ne sont plus des post frontaliers

Il faut tout d'abord créer une route directe de guergrate vers lagouira pour annoncer la couleur aux Mauritaniens

Citation :

Sahara: des pays proches du Maroc siègent désormais au Conseil de sécurité

Ce 1er janvier, cinq nouveaux membres non-permanents accèdent au Conseil de sécurité pour la période 2022-2023. Sur la liste figurent deux alliés déclarés du Royaume du Maroc qui reconnaissent sa souveraineté sur le Sahara, à savoir le Gabon et les Émirats arabes unis, avec l’ouverture de leurs consulats à Laâyoune, respectivement en janvier et novembre 2020. L’Albanie, autre pays proche du Royaume du Maroc, a rejoint ce samedi l’instance exécutive des Nations unies. Sous l’ère communiste, en décembre 1987, Tirana avait reconnu la «République arabe démocratique sahraouie (RASD)». Mais en 2004, l’Albanie rompait ses relations avec la «RASD», initiant une politique de rapprochement avec le Royaume du Maroc, couronnée en 2015 par son appui officiel à l’intégrité territoriale du Royaume du Maroc.

Une annonce faite, d’ailleurs à Rabat en octobre 2015, par le ministre albanais des Affaires étrangères, Dimitri Bushati. Le Brésil fait également son entrée officielle au Conseil de sécurité. Ce grand pays d’Amérique du sud est parmi les rares États de la région, aux côtés du Chili et l’Argentine, qui n’ont jamais franchi le pas de la reconnaissance de la fantomatique «RASD». Le dernier de la liste des nouveaux membres non-permanents du Conseil de sécurité est le Ghana. Certes Akra a établi des liens diplomatiques avec la «RASD» mais tout en maintenant de bonnes relations avec le Royaume du Maroc. Une politique en vogue dans certains pays africains, tels le Rwanda, le Nigéria, l’Ethiopie et l’Angola. Pour rappel, en février 2017, le roi Mohammed VI avait effectué une visite au Ghana.

Le gouvernement du président John Kufuor a, par ailleurs, choisi de bouder la réunion d’Oran organisée par l’Algérie, le 2 décembre dernier, pour orienter les pays africains siégeant au Conseil de sécurité afin de parler d’une seule voix et défendre les positions du Polisario. Le Gabon faisait également partie des absents. La Tunisie qui s’est abstenue, le 31 octobre, de voter la résolution 2602 prorogeant le mandat de la MINURSO pour une année supplémentaire, a quitté hier le Conseil de sécurité. Néanmoins, l’Algérie et le front séparatiste armé Polisario peuvent compter sur la présence du Kenya et de la Norvège, jusqu’au 31 décembre 2022. Oslo assume, durant ce mois, la présidence tournante de l’instance exécutive de l’ONU. Pour l’heure, la diplomatie norvégienne n’a pas programmé de réunion consacrée à l’examen de la question du Sahara occidental.

https://lepetitjournalmarocain.com/2022/01/02/sahara-des-pays-proches-du-maroc-siegent-desormais-au-conseil-de-securite/

https://statemag.state.gov/2022/01/0122feat01/

https://satellites.pro/Morocco_map#29.989763,-9.171525,6

Je souscris à ce que dit ce monsieur:

Citation :

Pourquoi le Maroc doit revendiquer le Touat, Tidikelt, Gourara, Saoura , Bechar et Tindouf….

Par Hassan Alaoui

Le temps des révélations historiques et des documents juridiques resurgit et comme par enchantement semble reprendre le dessus dans cette affaire du Sahara marocain , qui constitue à n’en pas douter le plus grand hold-up du siècle.
Fabriquée de toutes pièces par le pouvoir de Boumediene, elle a bénéficié notamment de conditions que les marxistes qualifient « d’objectives », autrement dit du contexte de la guerre froide, qui opposait les deux blocs de l’époque, occidental d’un côté et soviétique de l’autre. Elle a également été subvertie par la littérature et le catéchisme politique des années soixante à l’aune du triomphe relatif du langage socialiste sur lequel l’Algérie et certains Etats du Tiers-monde avaient allègrement surfé. Tant et si bien que, soutenus par l’Union soviétique de l’époque, ils croyaient investir et « coloniser » pour de bon le cadre des Nations unies, l’Assemblée générale, le Conseil de sécurité et la 4ème Commission devenue le théâtre de subterfuges algériens, ainsi que d’autres organes.

Nous gardons toujours en mémoire cette image grotesque d’un Abdelaziz Bouteflika, affublé , grisé par son quolibet de « plus jeune ministre des Affaires étrangères » qui paradait sur les travées de l’ONU, un cigare Cohiba au bec, fabulant et ergotant à n’en plus finir sur les thèmes de l’anticolonialisme, la libération des peuples, la glorieuse et révolutionnaire Algérie…Sauf qu’au sujet du Sahara marocain dont Boumediene venait de faire le cheval de bataille de son expansionnisme rampant, il se heurtait lamentablement à plus fort que lui, à plus éloquent et déterminé, un certain Ahmed Taibi Benhima, ministre des Affaires étrangères du Maroc. La 4ème Commission de l’ONU était, à notre corps défendant, transformée en champ clos algérien, une sorte de chambre d’enregistrement des manœuvres de Bouteflika et consorts, noyée dans la propagande d’Alger au nom du Tiers-Monde.

Le Maroc a posé la question de son Sahara dès 1956
Ni les grandes puissances, ni a fortiori les Nations unies n’avaient prêté attention à un facteur décisif dans cette affaire, celui du fait que l’Algérie n’existait pas en tant qu’Etat constitué et reconnu avant 1962. Non plus qu’elle était d’abord une province turque avant de devenir un département français en 1830…Non plus que le Maroc, en accédant à son indépendance en novembre 1955 et mars 1956, avait posé résolument la question, aussi bien à la France et l’Espagne qu’aux Nations unies, de la récupération de ses territoires spoliés du Sahara qui vont de Lagouira – on dira à présent de Guerguérate aussi – jusqu’aux confins du sud-est, incorporant le Tidikelt, le Touat, Saoura, Gourara, Bechar et Tindouf…

Tous ces territoires du Sahara central appartiennent au Maroc de jure et de facto, concédés arbitrairement et unilatéralement par la France coloniale à l’Algérie en 1962 . Les archives historiques, les traités, les pièces officielles en témoignent. Ils avaient été arrachés au Royaume chérifien du Maroc, sans scrupules, sans accords signés, sans négociations, mais en violation du droit international, avec cette invocation fallacieuse du « fait accompli ». Ils étaient incorporés dans le grand projet que la France avait lancé et mis en place en 1957 de l’OCRS ( Organisation commune des régions sahariennes). Le lancement de de projet géoéconomique ambitieux avait eu pour première conséquence immédiate d’arracher une partie de leurs territoires au Maroc, au Mali, à la Mauritanie, au Niger et à l’Algérie coloniale. Dans l’esprit des géniaux stratèges français, habitués à l’époque à travailler sur des cartes un crayon et un ciseau à la main, ce projet devait finir par constituer in fine un territoire autonome voire même un minuscule Etat voué à fournir à la France pétrole, gaz, fer et sidérurgie, toutes ressources stratégiques à l’époque.

Des territoires grignotés , « bouffés » à droite et à gauche de cet immense espace désertique, la France entendait y faire, selon une suggestion d’Alain Peyrefitte – alors ministre de l’Intérieur – un Etat indépendant, le Maroc étant en premier rogné dans sa profondeur géographique et l’Algérie héritant d’un territoire devenu démesurément « gonflé ». La responsabilité de la France est évidemment lourde. Et soixante ans après, les conséquences de sa politique de partage léonin – au détriment du Royaume du Maroc – ne l’atténuent nullement. Les archives coloniales enfouies au Centre historique du ministère français de la Défense à Vincennes , consacrées à sa présence de plus de 43 ans au Maroc, témoigneraient vite de l’injustice absolue qui a été faite à notre pays. Autrement dit, la partition arbitraire a été entérinée aussi impunément que pouvait l’être une violation par un Etat fort – la France – contre un pays affaibli, morcelé à la Conférence d’Algésiras en 1906 par les impérialismes de toutes sortes, objet ensuite d’agressions commises par les puissances, l’Espagne au nord et au sud, la France au milieu et sur le littoral…

Jamais jusque-là , en effet, l’intégrité territoriale du Royaume chérifien n’avait été mise en cause . Et l’Algérie, fief reculé vers l’ouest de l’empire ottoman, colonisée par la France en 1830, n’existait pas en tant qu’Etat, sinon sous forme d’un département français avec un peuple que le Maroc , fondant ses espoirs unitaires dans sa future émancipation soutiendra et appuiera dans sa lutte à partir de 1956.

Las !

Les germes de la trahison algérienne
Les germes de la trahison algérienne envers le Maroc existaient-elles déjà dans l’esprit des futurs dirigeants algériens ? Ils étaient nombreux à faire le voyage de Rabat, à obtenir l’aide, en argent et en armes, des Rois du Maroc, en l’occurrence Mohammed V et Hassan II. Ils faisaient tous serment de fraternité envers notre pays et ses institutions. Il a été dit, ici et là, que ceux qui formaient ce qu’on appelle « le clan d’Oujda », entre autres Boumediene et Bouteflika qui y avaient pignon sur rue, se sont en fin de compte révélés être au lendemain de l’indépendance les plus obsessionnellement antimarocains… L’un et l’autre ont tout simplement enterré la gratitude et la fraternité du peuple du Maroc, comme aussi cette déclaration solennelle de Juillet 1961 signée par Farhat Abbas, président du GRPA à Rabat avec le Roi Hassan II, et reconnaissant clairement les frontières internationales du Maroc…

Membre fondateur de l’Organisation de l’Unité africaine (OUA) en 1961, le Maroc avait rejeté dans la foulée la sinistre théorie de « l’uti possidetis » ou « d’intangibilité des frontières héritées du colonialisme » que les résidus de la littérature coloniale entendaient perpétuer. Car, le Maroc en accédant à l’indépendance en 1956 avait aussi réclamé avec force le parachèvement de son intégrité territoriale, ensuite déposé une requête aux Nations unies pour revendiquer ipso facto son territoire du sud occupé depuis 1934 par l’Espagne, comme il fera de nouveau en 1962-63 et en défendra bec et ongles le principe de décolonisation devant la fameuse 4ème Commission des Nations unies, harcelée et transformée plus tard en « chasse gardée » par l’Algérie. Or, dès la création de l’Organisation de l’Unité Africaine en 1963, le Maroc n’a cessé de rejeter la clause sur l’intangibilité des frontières héritées du colonialisme. La communauté mondiale des juristes y faisait écho. En témoigne le texte que Maurice Flory, professeur de droit et de science politique à l’Université d’Aix-en-Provence, à l’époque observateur pertinent du dossier du Sahara, écrivait : « Le territoire, écrivait-il, est source de contentieux. L’apparition des nouveaux Etats issus de la décolonisation ne pouvait que multiplier les difficultés en raison du caractère le plus souvent artificiel des frontières coloniales. Aussi l’une des premières initiatives de l’Organisation de l’Unité Africaine ( OUA) a-t-elle été le vote d’une recommandation destinée à geler la situation telle qu’elle résulte du découpage colonial afin d’éviter une remise en cause généralisée qui aurait été la source d’un gigantesque et inépuisable contentieux

« Il eût été trop beau de croire qu’une recommandation pouvait régler un problème aussi complexe. L’affaire du Sahara occidental en est l’illustration ». .(Cf. Maurice Flory : « L’Avis de la Cour Internationale de Justice sur le Sahara occidental, 16 octobre 1975)

Ce témoignage, on ne peut plus éloquent, se suffit à lui-même. Il rejoint et résume la position du Royaume du Maroc qui, documents et pièces à conviction à l’appui, affirme avec force que le Sahara n’a jamais été « terra nullius » et , l’avis de la CIJ l’a démontré, des liens juridiques et historiques forts, ont toujours existé depuis la nuit des temps avec le Royaume du Maroc. A telle enseigne que la monnaie du territoire était frappée à l’effigie du Roi, la prière du vendredi dite en son nom et les actes d’allégeance prêtés régulièrement à son endroit. Les gouverneurs et les autorités relevaient du pouvoir du Roi qui les nommait, à Smara, Dakhla, Tindouf, Bechar …

Boumediene ou le mimétisme de Bismarck
Rien ne viendra modifier ce cours des faits tangibles qui sont à l’histoire du Maroc ce que le souffle est à la vie. Ils sont consubstantiels à sa mémoire éternelle, et la colonisation à géométrie variable du Maroc par les impérialismes divers ne fera que renforcer le sentiment nationalitaire de son peuple. Or, une fois la France partie du Maroc après l’avoir dépecé et morcelé jusqu’à la caricature, après que l’Espagne de Franco eût aussi rétrocédé sous la pression de la Marche verte le Sahara en signant le 14 novembre 1975 l’Accord tripartite de Madrid, voilà que l’ambitieux Boukharrouba, alias Boumediene se prit pour le Bismarck de la région, jetant son dévolu sur les frontières de ses voisins, Maroc et Tunisie, grignotant sans vergogne des portions significatives de leurs territoires et, comble de l’arrogance, reluquant le Sahara marocain…

Les promesses faites au Roi Hassan II lors du Sommet bilatéral d’Ifrane en janvier 1969 sur les frontières , non seulement n’ont jamais été respectées, mais elles se sont transmuées en déclarations de guerre sur fond de cynisme algérien que l’agression de l’ANP de janvier-février 19676 contre Amgala est venue confirmer. Le Sommet d’Ifrane aura été de ce fait le premier et sans doute le dernier de son genre à avoir abordé le sujet des frontières du sud-est marocain entre les deux pays. Ces frontières qui n’en ont que le nom constituent à vrai dire le plus révoltant scandale de l’histoire de la région des années soixante. La démonstration est plus que faite explicitement que l’Algérie, de pays colonisé est devenue la « puissance coloniale » de la région , dans le sillage des puissances française et espagnole, elle est leur héritière naturelle, parce qu’elle n’a de cesse de mettre en œuvre l’expansionnisme le plus abject et le plus pervers.

Force est de nous interroger à présent si, comme un impératif catégorique, nécessité n’a pas lieu pour le Maroc de poser les termes d’une revendication sérieuse et opposable à l’Algérie des territoires spoliés que sont entre autres Touat, Tidikelt, Gourara, Saoura , Bechar et Tindouf dont la preuve de leur appartenance historique au Maroc est plus que tangible et évidente ?

https://maroc-diplomatique.net/pourquoi-le-maroc-doit-revendiquer-le-touat-tidikelt-gourara-saoura-bechar/

Fahed64 a écrit:

Je souscris à ce que dit ce monsieur:

Citation :

Pourquoi le Maroc doit revendiquer le Touat, Tidikelt, Gourara, Saoura , Bechar et Tindouf….

Par Hassan Alaoui

Le temps des révélations historiques et des documents juridiques resurgit et comme par enchantement semble reprendre le dessus dans cette affaire du Sahara marocain , qui constitue à n’en pas douter le plus grand hold-up du siècle.
Fabriquée de toutes pièces par le pouvoir de Boumediene, elle a bénéficié notamment de conditions que les marxistes qualifient « d’objectives », autrement dit du contexte de la guerre froide, qui opposait les deux blocs de l’époque, occidental d’un côté et soviétique de l’autre. Elle a également été subvertie par la littérature et le catéchisme politique des années soixante à l’aune du triomphe relatif du langage socialiste sur lequel l’Algérie et certains Etats du Tiers-monde avaient allègrement surfé. Tant et si bien que, soutenus par l’Union soviétique de l’époque, ils croyaient investir et « coloniser » pour de bon le cadre des Nations unies, l’Assemblée générale, le Conseil de sécurité et la 4ème Commission devenue le théâtre de subterfuges algériens, ainsi que d’autres organes.

Nous gardons toujours en mémoire cette image grotesque d’un Abdelaziz Bouteflika, affublé , grisé par son quolibet de « plus jeune ministre des Affaires étrangères » qui paradait sur les travées de l’ONU, un cigare Cohiba au bec, fabulant et ergotant à n’en plus finir sur les thèmes de l’anticolonialisme, la libération des peuples, la glorieuse et révolutionnaire Algérie…Sauf qu’au sujet du Sahara marocain dont Boumediene venait de faire le cheval de bataille de son expansionnisme rampant, il se heurtait lamentablement à plus fort que lui, à plus éloquent et déterminé, un certain Ahmed Taibi Benhima, ministre des Affaires étrangères du Maroc.  La 4ème Commission de l’ONU était, à notre corps défendant, transformée en champ clos algérien, une sorte de chambre d’enregistrement des manœuvres de Bouteflika et consorts, noyée dans la propagande d’Alger au nom du Tiers-Monde.

Le Maroc a posé la question de son Sahara dès 1956
Ni les grandes puissances, ni a fortiori les Nations unies n’avaient prêté attention à un facteur décisif dans cette affaire, celui du fait que l’Algérie n’existait pas en tant qu’Etat constitué et reconnu avant 1962. Non plus qu’elle était d’abord une province turque avant de devenir un département français en 1830…Non plus que le Maroc, en accédant à son indépendance en novembre 1955 et mars 1956, avait posé résolument la question, aussi bien à la France et l’Espagne qu’aux Nations unies, de la récupération de ses territoires spoliés du Sahara qui vont de Lagouira – on dira à présent de Guerguérate aussi – jusqu’aux confins du sud-est, incorporant le Tidikelt, le Touat, Saoura, Gourara, Bechar et Tindouf…

Tous ces territoires du Sahara central appartiennent au Maroc  de jure et de facto, concédés arbitrairement et unilatéralement par la France coloniale à l’Algérie en 1962 . Les archives historiques, les traités, les pièces officielles en témoignent. Ils avaient été arrachés au Royaume chérifien du Maroc, sans scrupules, sans accords signés, sans négociations, mais en violation du droit international, avec cette invocation fallacieuse du « fait accompli ». Ils étaient incorporés dans le grand projet que la France avait lancé et mis en place en 1957 de l’OCRS ( Organisation commune des régions sahariennes). Le lancement de de projet géoéconomique ambitieux avait eu pour première conséquence immédiate d’arracher une partie de leurs territoires au Maroc, au Mali, à la Mauritanie, au Niger et à l’Algérie coloniale. Dans l’esprit des géniaux stratèges français, habitués à l’époque à travailler sur des cartes un crayon et un ciseau à la main, ce projet devait finir par constituer in fine un territoire autonome voire même un minuscule Etat voué à fournir à la France pétrole, gaz, fer et sidérurgie, toutes ressources stratégiques à l’époque.

Des territoires grignotés , « bouffés » à droite et à gauche de cet immense espace désertique, la France entendait y faire, selon une suggestion d’Alain Peyrefitte – alors ministre de l’Intérieur – un Etat indépendant, le Maroc étant en premier rogné dans sa profondeur géographique et l’Algérie héritant d’un territoire devenu démesurément « gonflé ». La responsabilité de la France est évidemment lourde. Et soixante ans après, les conséquences de sa politique de partage léonin – au détriment du Royaume du Maroc – ne l’atténuent nullement. Les archives coloniales enfouies au Centre historique du ministère français de la Défense à Vincennes ,  consacrées à sa présence de plus de 43 ans au Maroc, témoigneraient vite de l’injustice absolue qui a été faite à notre pays. Autrement dit, la partition arbitraire a été entérinée aussi impunément que pouvait l’être une violation par un Etat fort – la France – contre un pays affaibli, morcelé à la Conférence d’Algésiras en 1906 par les impérialismes de toutes sortes, objet ensuite d’agressions commises par les puissances, l’Espagne au nord et au sud, la France au milieu et sur le littoral…

Jamais jusque-là , en effet, l’intégrité territoriale du Royaume chérifien n’avait été mise en cause . Et l’Algérie, fief reculé vers l’ouest de l’empire ottoman, colonisée par la France en 1830, n’existait pas en tant qu’Etat, sinon sous forme d’un département français avec un peuple que le Maroc , fondant ses espoirs unitaires dans sa future émancipation soutiendra et appuiera dans sa lutte à partir de 1956.

Las !

Les germes de la trahison algérienne
Les germes de la trahison algérienne envers le Maroc existaient-elles déjà dans l’esprit des futurs dirigeants algériens ? Ils étaient nombreux à faire le voyage de Rabat, à obtenir l’aide, en argent et en armes, des Rois du Maroc, en l’occurrence Mohammed V et Hassan II. Ils faisaient tous serment de fraternité envers notre pays et ses institutions. Il a été dit, ici et là, que ceux qui formaient ce qu’on appelle « le clan d’Oujda », entre autres Boumediene et Bouteflika qui y avaient pignon sur rue, se sont en fin de compte révélés être au lendemain de l’indépendance les plus obsessionnellement antimarocains… L’un et l’autre ont tout simplement enterré la gratitude et la fraternité du peuple du Maroc, comme aussi cette déclaration solennelle de Juillet 1961 signée par Farhat Abbas, président du GRPA  à Rabat avec le Roi Hassan II, et reconnaissant clairement les frontières internationales du Maroc…

Membre fondateur de l’Organisation de l’Unité africaine (OUA) en 1961, le Maroc avait rejeté dans la foulée la sinistre théorie de « l’uti possidetis » ou « d’intangibilité des frontières héritées du colonialisme » que les résidus de la littérature coloniale entendaient perpétuer. Car, le Maroc en accédant à l’indépendance en 1956 avait aussi réclamé avec force le parachèvement de son intégrité territoriale, ensuite déposé une requête aux Nations unies pour revendiquer ipso facto son territoire du sud occupé depuis 1934 par l’Espagne, comme il fera de nouveau en 1962-63 et en défendra bec et ongles le principe de décolonisation devant la fameuse 4ème Commission des Nations unies, harcelée et transformée plus tard en « chasse gardée » par l’Algérie. Or, dès la création de l’Organisation de l’Unité Africaine en 1963, le Maroc n’a cessé de rejeter la clause sur l’intangibilité des frontières héritées du colonialisme. La communauté mondiale des juristes y faisait écho. En témoigne le texte que Maurice Flory, professeur de droit et de science politique à l’Université d’Aix-en-Provence, à l’époque observateur pertinent du dossier du Sahara, écrivait : « Le territoire, écrivait-il, est source de contentieux. L’apparition des nouveaux Etats issus de la décolonisation ne pouvait que multiplier les difficultés en raison du caractère le plus souvent artificiel des frontières coloniales. Aussi l’une des premières initiatives de l’Organisation de l’Unité Africaine ( OUA) a-t-elle été le vote d’une recommandation destinée à geler la situation telle qu’elle résulte du découpage colonial afin d’éviter une remise en cause généralisée qui aurait été la source d’un gigantesque et inépuisable contentieux

« Il eût été trop beau de croire qu’une recommandation pouvait régler un problème aussi complexe. L’affaire du Sahara occidental en est l’illustration ». .(Cf. Maurice Flory : « L’Avis de la Cour Internationale de Justice sur le Sahara occidental, 16 octobre 1975)

Ce témoignage, on ne peut plus éloquent, se suffit à lui-même. Il rejoint et résume la position du Royaume du Maroc qui, documents et pièces à conviction à l’appui, affirme avec force  que le Sahara n’a jamais été « terra nullius » et , l’avis de la CIJ l’a démontré, des liens juridiques et historiques forts, ont toujours existé depuis la nuit des temps avec le Royaume du Maroc. A telle enseigne que la monnaie du territoire était frappée à l’effigie du Roi, la prière du vendredi dite en son nom et les actes d’allégeance prêtés régulièrement à son endroit. Les gouverneurs et les autorités relevaient du pouvoir du Roi qui les nommait, à Smara, Dakhla, Tindouf, Bechar …

Boumediene ou le mimétisme de Bismarck
Rien ne viendra modifier ce cours des faits tangibles qui sont à l’histoire du Maroc ce que le souffle est à  la vie. Ils sont consubstantiels à sa mémoire éternelle, et la colonisation à géométrie variable du Maroc par les impérialismes divers ne fera que renforcer le sentiment nationalitaire de son peuple. Or, une fois la France partie du Maroc après l’avoir dépecé et morcelé jusqu’à la caricature, après que l’Espagne de Franco eût aussi rétrocédé sous la pression de la Marche verte le Sahara en signant le 14 novembre 1975 l’Accord tripartite de Madrid, voilà que l’ambitieux Boukharrouba, alias Boumediene se prit pour le Bismarck de la région, jetant son dévolu sur les frontières de ses voisins, Maroc et Tunisie, grignotant sans vergogne des portions significatives de leurs territoires et, comble de l’arrogance, reluquant le Sahara marocain…

Les promesses faites au Roi Hassan II lors du Sommet bilatéral d’Ifrane en janvier 1969 sur les frontières , non seulement n’ont jamais été respectées, mais elles se sont transmuées en déclarations de guerre sur fond de cynisme algérien que l’agression de l’ANP de janvier-février 19676 contre Amgala est venue confirmer. Le Sommet d’Ifrane aura été de ce fait le premier et sans doute le dernier de son genre à avoir abordé le sujet des frontières du sud-est marocain entre les deux pays. Ces frontières  qui n’en ont que le nom constituent à vrai dire le plus révoltant scandale de l’histoire de la région des années soixante. La démonstration est plus que faite explicitement que l’Algérie, de pays colonisé est devenue la « puissance coloniale » de la région , dans le sillage des puissances française et espagnole, elle est leur héritière naturelle, parce qu’elle n’a de cesse de mettre en œuvre l’expansionnisme le plus abject et le plus pervers.

Force est de nous interroger à présent si, comme un impératif catégorique, nécessité n’a pas lieu pour le Maroc de poser les termes d’une revendication sérieuse et opposable à l’Algérie des territoires spoliés que sont entre autres Touat, Tidikelt, Gourara, Saoura , Bechar et Tindouf dont la preuve de leur appartenance historique au Maroc est plus que tangible et évidente ?

https://maroc-diplomatique.net/pourquoi-le-maroc-doit-revendiquer-le-touat-tidikelt-gourara-saoura-bechar/

C'est le travail d'information que je fais depuis peut-être 10 ans.
Vous vous souvenez dans l'espace culture lorsque je vous postait les vidéo d'Adrar (Touat) et de Timimoun (Gourara) en montrant que ces gens sont marocains, de culture, de dialecte et historiquement ?

La Saguia el Hamra et le Dakhla n'avaient AUCUNE VILLE, aucun point sédentaire qui puisse marquer l'histoire.
Le dernier espace habité était la ville de Guelmim, le prochain était à 2000km dans la ville de Chinguetti.
L'histoire se marque dans les lieux sédentaires, construits.
Il est trés difficile de prouver l'appartenance d'un territoire inhabité car on ne retiendra pas que l'armée marocaine passat par une dune de la Saguia el Hamra mais qu'elle s'installa à Chinguetti et y eu un gouverneur nommé par le Sultan. Vous comprenez.
C'est cela le Sahara Occidental, un territoire vide, aride et trés trés peu habité avant le retour du Maroc.
La 1ere ville construite au Sahara Occidental est Smara et elle fut construite par les Sultan marocains qui avaient ordonnées à Cheykh Ma El Ainine de choisi un point d'appui pour organiser et stoper l'avancer militaire française dans le Bilad Chinguit, bientôt retiré du Maroc.
Moulay el Hassan avait commencé à organiser cet construction avec le Cheykh mais c'est aprés sa mort sous Moulay Abdelaziz qu'elle se fera, entiérement financée par le Sultan, les materiaux étaient envoyés par bateau depuis Essaouira jusqu'à Tarfaya et convoyés par chameaux, et pour la construction le Sultan envoya 4 maalems de Fés, Marrakech et Oujda.
Ce fut pareil pour la ville de Tindouf avec le Cheykh Belamech occupée que je n'ai pas mentionnée car aujourd'hui elle fait partie des territoire occupées, et dont ne s'occupera que plus tard.

Ceci trés trés peu de marocains le savent mais passons.

Contrairement au Sahara Occidental, le Sahara Oriental était lui bien peuplé et remplis de Ksour et d'Oasis du Tafilalet jusqu'à Ain Saleh, suivant l'Oued Guir, Zousfana et Saoura qui sortent du Maroc.
Nous avons des centaines pour ne pas dire des milliers de correspondances, d'interventions de l'armée, de tribus marocaines, de nominations (avec leur noms et leur années) de gouverneurs et de pachas sur ces territoires.
Quand la France y entre en 1900, elle y trouve des pacha, des caids marocains qu'elle arrête, qu'elle emprisonne, ensuite s'ensuivent des tribus envoyés par le gouverneur du Tafilalet (les Ait Atta) qui attaquent les algériens (qui sont tous dans l'armée française) leur imposent d'énormes pertes mais qui ne peuvent réoccuper le territoire à cause de l'armement français sophistiqué auquel font face les marocains avec un fusil, un sabre et leur courage infiniment supérieur à ces chiens d'algériens (qui étaient heureux de voir leur territoire s'aggrandir en se faisant utiliser par la France).

Qui ne connait pas aujourd'hui le PACHA DRISS BEN EL KOURI ECHERADI, Pacha du Touat spolié qui fait la guerre à la France en 1900 et qui organise toute la population, ce Pacha envoyé de Fès gouvernait la région pendant des années et lorsqu'il se retranche dans un Ksar du Touat avec ses hommes pour l'ultime affrontement , le Ksar bombardé, sa reddition signe l'occupation de tout le Touat.

Comment avec toutes ces preuves, le Maroc ait pu rester silencieux ou ne réclamer ne serait ce qu'un partage de territoire.


La guerre ? Elle est obligatoire ! L'Algerie est un pays et un peuple ennemi ouvert et déclaré, on ne doit avoir aucune pitié envers ces gens qui depuis 1962 luttent, on tout investi pour détruire notre pays.
Nous sommes des descendants de fiers et hautains guerriers.
On ne peut pas reculer devant notre droit, devant l'histoire qu'on construit nos ancêtres, face à ces déchets qui ont fait entrer tout les colons en Afrique des romains, aux turcs, aux français.
On ne veut que ce qu'on gouvernait, jamais on a réclamé Oran, Chlef, Laghouat (bien qu'on l'ai controlé) ou Ain Sefra.


Aujourd'hui, ils veulent remettre en question l'appartenance du Sahara Occidental au Maroc ? SOIT, rentrons dans leur jeu.
Si le Sahara Occidental ne nous appartient pas selon vous, il est INCONTESTABLE que le Sahara Oriental nous appartient, nos gouverneurs étaient sur place, en fonction lorsque la France colonise le territoire, sa décolonisation ne peut se faire que par sa récupération par le Maroc.
Qu'on rende juste au Maroc dont le territoire est encore occupé avec le Sahara Oriental !

La France en est responsable, elle a fait des accords de Madrid avec l'Algerie pour notre Sahara et l'Algerie a ensuite trahi ses accords avec le Maroc !

Vous voulez faire bouger les choses au sahara occidental alors posez le Sahara Oriental sur la table !


Il n'y aura jamais 2 MAROC, on ne le tolerera pas !

Cette homme est l'honorable et regretté Pacha marocain du Touat arrété au Touat en 1900 aprés la bataille d'In Ghar (où le Pacha marocain accourait avec ses hommes au Tidikelt quand il a appris que la France avait pris Ain Salah et assassiné le caid marocain El Hajj Abdelkader Bajouda) dépéché il y a 6 ans plus tôt par le Sultan en remplacement des précédent pacha pour gouverner et empêcher la France de pretexter l'absence d'autorité pour occuper le Touat, alors que le Touat était généralement administré par le Pacha du Tafilalet, le Maroc devant la menace française avait décider de nommer un pacha au Touat, et des caids-pacha au Gourara et au Tidikelt, le caid de Timimoun (gourara) était Amor El Marrakechi, venu de Marrakech, et celui d'Ain Saleh était le chef local d'Ain Salah, El Hajj Abdelkader Bajouda, mort au combat quand la France arrive devant Ain Saleh, El Hajj Abdelkader refuse d'ouvrir les portes du Ksar et demande aux français s'ils ont une autorisation de notre Sultan, qu'il n'ouvrira pas sinon, cela n'a pas empeché la France dans son désir fou d'expansionisme repris par les algeriens de les attaquer et d'assassiner les notables marocains et emprisonner notre pacha.


Regardez ces chiens qui entourent notre Pacha du Touat Driss Ben El Kouri sont tous des algeriens ! Ils sont toujours été avec la France, la majorité d'entre eux sont soudainement devenus algériens que quand le Maroc a réussi a devenir indépendance et casser le colonialisme français en Afrique aprés la lutte des marocains qui n'a jamais arrété de 1912 jusqu'à 1955 et le retour du Sultan Mohamed V.
Les algeriens ont toujours été des traitres soumis à leur colons qui attaquaient notre pays au service de leur colon.
C'était déja le cas avec les turcs durant 3 siécles.

Excellent tout ça, excellent...

Oui il faudra récupérer notre Sahara oriental..mais bon..il faudrai être plus solide que ça ( je parle de volonté politique ..qui induit le militaire in finae)

Il faut savoir que dans les accords de 1962, le Sahara oriental n'était pas inclus dans l'Algérie..puisque pas reconnu comme lui appartenant !!!
C'est sous la pression du FLN  que la France a accepté.

Oui la France a une grande responsabilité la Dedans..

merci pour cette leçon d'histoire ..

Le Maroc à signé la convention relative au tracé des frontières

Un grand merci à vous Ssi General dlimi pour cette véritable leçon d'histoire, bien que je souscrive à tout vos propos faut-il encore qu'il y'est une volonté politique afin de récupérer ce qui est à nous historiquement,depuis la bataille d'Isly on sait qu'a côté on a des personnes indignes de notre confiance et seul le langage de la force marche avec ce régime, maintenant dans les faits tant que l'Algérie aura le soutient de la France (et de manière indirecte de l'Espagne) la mission devient plus compliquée, la France (tout comme les British) n'ont jamais voulu d'un Maroc ''étendu'',alors ils s'appuient sur leur cheval de troie pour faire duré déjà le conflit artificiel de notre Sahara (en prétextant que ce doit-être une une décision Européenne pour la France) et pour les British (la gauche et les sociétés pétrolières )..Bref c'est un long combat qui nous attends une fois que le problème du Sahara sera soldé et qu'on récuperera Sebta et Melilia,à ce moment-là on réglera les comptes avec ceux qui pendant 45 ans nous ont fait les pires crasses...Aussi il faut qu'il y'ai une prise de conscience chez pas mal de Marocains que ce n'est pas qu'un ''problème politique'' qui existe entre nous et ceux d'a côté..

Cette convention na jamais été ratifiée en bonne est due forme telle que le prévoit la Constitution du Royaume du Maroc. Il s'est agit d'une simple publication au journal officiel le 22 juin 1992.

Plus de nombreuses failles que je ne vais pas développer ici...

Originaldz a écrit:

Le Maroc à signé la convention relative au tracé des frontières

Tu nous a pris pour ton peuple débile ?
Pourquoi tu postes pas la suite ?
Cet accord est accompagné de sa contrepartie: l'exploitation commune du fer de Ghar Jbilat que l'Algerie n'a toujours pas mis en oeuvre.
Pourquoi crois-tu que le Maroc a laissé faire à El Arja mais à réagit à Zelmou ?

On vous a donné une carotte pour que quand le temps de mise en application de l'accord sur le fer de tindouf sera écoulé, le Maroc ait un argument indefectible pour renvoyer cet accord à la poubelle.
A savoir que le Maroc a respecté sa part du marché , pas l'Algerie. Ce qui rend cet accord NUL ET NON AVENU.

L'Algerie ne peut pas profiter d'un accord sans en exercer la contrepartie qui lui en incombe
Tout est étudié et j'espére intimement que jamais l'algerie n'essayera de faire appliquer cet accord qui n'a même pas été normalement ratifié par le Maroc.

Tout est calculé. Vous ne nous la ferez plus jamais à l'envers, traitres!

En voilà une, de faille...