Actualités Algeriennes

Rappel du premier message :

Citation :

Algérie: 1% du PIB pour la recherche de 2007 à 2011

14.05.07 | 21h11


L'Algérie va consacrer 1% de son Produit intérieur brut (PIB) à la recherche scientifique de 2007 à 2011, a annoncé lundi le Conseil des ministres dans un communiqué.

"L'enveloppe prévisionnelle" pour le développement et la promotion de la recherche cette période, est estimée à 99,973 milliards de dinars (plus d'un milliard d'euros), a précisé cette source.

La réalisation de ce programme implique la mobilisation de 30.500 chercheurs dont 4.500 permanents et 26.000 enseignants-chercheurs.

Pour assurer l'efficacité de ce programme, il est prévu de "redynamiser" le Conseil national de la recherche scientifique et technique (CNRST), de mettre en place un "organe national directeur permanent" pour veiller à l'élaboration et la mise en oeuvre des programmes nationaux de recherche, la création d'un "conseil national de l'évaluation" chargé de l'évaluation de la politique de recherche, selon ce texte

http://www.lemonde.fr/web/depeches/0,14-0,39-30888377@7-50,0.html

Citation :

Algérie/France : Sonatrach contre une union avec GDF



Honnêtement, cela ne surprend guère voire même pas du tout : la compagnie publique algérienne Sonatrach ne semble pas intéressée par un rapprochement capitalistique avec Gaz de France, rapporte La Tribune dans son édition de mardi.

En effet, sans faire de polémique, compte-tenu des récents propos prononcés par Nicolas Sarkozy en tant que candidat - certes pour “ameuter” quelques voix extrémistes diraient certains - mais hélas, il faudra qu'il s'y fasse, aux importantes conséquences internationales, les relations France/Algérie sont loin d'être au beau fixe. Pour rappel, le quotidien Le Monde avait fait état d'une lettre de M. Sarkozy à des associations de rapatriés français d'Algérie, adressée fin avril, dans laquelle le candidat UMP désormais Président avait mis en cause le traité d'amitié entre la France et l'Algérie tout en affirmant vouloir “réhabiliter” les membres de l'OAS. En réponse, la presse algérienne avait titré tout de même “Sarkozy s'attaque à l'Algérie”, tandis que le premier ministre algérien avait vivement réagi.

La presse française – à part le Monde – avait quelque peu été frileuse pour reprendre les propos de Nicolas Sarkozy envers l'Algérie avant son élection. Mais le blog finance vous avait déjà alerté de leurs très probables incidences sur les relations France/Algerie, via GDF/Sonatrach ... voire même sur les relations entre Russie et France, Poutine voyant très certainement d'un mauvais oeil que la France obtienne les faveurs de Sonatrach, chose qu'elle essaie d'obtenir depuis fort longtemps, mais – quasiment en vain pour le moment, l'amendement de la loi algérienne sur les hydrocarbures ayant mis un frein à son appétit grandissant.

Les Etats-Unis quant à eux ne devraient pas être totalement insatisfaits du refus catégorique adressé par Alger à Paris... alors que là encore la presse algérienne laisse sous entendre une possible implication des USA dans les récents attentats qui ont meurtri leur pays ... en vue peut-être notamment d'obtenir la suprématie sur son pétrole et son gaz ... et en guise de pression face au refus algérien d'implanter des bases militaires américaines et de l'Otan sur son territoire.

I – Sonatrach : pas d'alliance avec GDF

La compagnie publique algérienne Sonatrach ne semble pas intéressée par un rapprochement capitalistique avec Gaz de France, rapporte La Tribune dans son édition de mardi.
"Nous n'avons rien reçu de concert mais cette alliance est économiquement irréalisable et politiquement incorrecte", indique le journal qui cite un haut responsable de Sonatrach ayant requis l'anonymat.

Selon l'article de la Tribune, "les Algériens sont sceptiques sur l'interêt que représenterait une alliance avec GDF en échange d'une aide française pour développer le nucléaire civil", évoquant le fait que le pays ne manque pas d'autres propositions en la matière.
Selon l'article de la Tribune, "les Algériens sont sceptiques sur l'interêt que représenterait une alliance avec GDF en échange d'une aide française pour développer le nucléaire civil", évoquant le fait que le pays ne manque pas d'autres propositions en la matière.

"Nous avons signé des traités d'amitié avec beaucoup de pays, sauf avec la France qui ne veut pas. Comment peut-on réussir dans l'économie ce qu'on n'a pas pu faire dans le politique?", interroge le haut responsable de Sonatrach, dans le quotidien. Enfin, cette même source conclut qu'"une alliance avec GDF ne peut pas se faire entre une compagnie étatique comme Sonatrach et un groupe coté en Bourse comme GDF".

Le président élu Nicolas Sarkozy avait évoqué, durant la campagne, une alliance entre GDF et un producteur comme la société algérienne. Son conseiller politique, Patrick Devedjian, avait ensuite précisé qu'un tel partenariat ne pourrait se faire qu'après la fusion entre Suez et GDF.

II – Le candidat Sarkozy avait prôné une alliance Sonatrach/GDF

“Nicolas Sarkozy, privilégie un partenariat entre GDF et le producteur de gaz algérien Sonatrach à une fusion avec Suez, afin de "sécuriser l'approvisionnement de la France" en gaz, affirmait pourtant initialement l'ancien ministre de l'Industrie, Patrick Devedjian. “Un tel accord supposerait des liens capitalistiques entre le géant algérien des hydrocarbures et GDF, qui n'aurait pas besoin ainsi d'être privatisé, expliquait ainsi dans un premier temps M. Devedjian dans Le Monde. Pour rappel, le décret d'application de la privatisation du groupe gazier français, votée en novembre, n'a toujours pas été signé par Matignon.

“Nous pourrions passer un accord de coopération dans le nucléaire civil", avait expliqué M. Devedjian, à travers la fourniture par EDF et Areva de leur savoir-faire. "En contrepartie, nous pourrions avoir une relation privilégiée dans la fourniture de gaz pour sécuriser l'approvisionnement de la France et des pays européens", avait-il poursuivi.

Nicolas Sarkozy avait pour sa part indiqué sur France 2 que s'il était élu à la présidence de la République, il "pourrait réfléchir (...) si Gaz de France-Suez ou Gaz de France seul (...) n'auraient pas intérêt à se tourner du côté des producteurs de gaz pour faire une grande entreprise qui produirait du gaz et le commercialiserait".

Appuyant ce scénario, M. Devedjian avait fait valoir que "l'Etat français ne peut être pieds et poings liés à une décision des actionnaires de Suez, qui ne se sont toujours pas prononcés sur la fusion avec GDF".

M. Devedjian soulignait alors qu'un tel accord permettrait de renforcer les liens entre Paris et Alger, de soutenir le développement de l'Algérie et du Maghreb pour "stabiliser l'immigration" et de "mettre le gaz algérien en concurrence avec le gaz russe", qui représente aujourd'hui un quart des approvisionnements en gaz de la France. Certes, mais il oublie de dire que Russie et Algérie sont très fortement alliés dans le domaine du gaz, et qu'Alger aurait quelques difficultés à faire concurrence à son propre partenaire, avec lequel elle envisagerait même de mettre en oeuvre un cartel gazier sur le modèle de l'OPEP.

Ainsi serait créé "un grand groupe gazier euro-africain", qui pourrait associer les Néerlandais, ajoutait M. Devedjian sans autre précision.

III – Démenti de Cirelli

Gaz de France n'a "pas pour projet" de nouer une alliance capitalistique avec un fournisseur de gaz comme le groupe algérien Sonatrach, avait déclaré en réaction son PDG, Jean-François Cirelli, lors d'une conférence de presse.

“Nous avons un principe, qui est que tout ce qui nous rapproche avec nos fournisseurs est bon", a commenté M. Cirelli, soulignant que GDF "a des relations fortes" avec ses fournisseurs Sonatrach ou Gazprom. "Mais ce n'est pas notre projet (de nouer) une alliance capitalistique avec un fournisseur", a-t-il ajouté.

Remettant les choses au clair, M. Cirelli a précisé que sa "responsabilité en tant que président de Gaz de France, était de préparer la fusion avec Suez". "Le projet de fusion a pour vocation d'accélérer le développement de Gaz de France et ne remet pas en cause la solidité de notre projet de développement", avait-t-il ajouté.

IV – L'Algérie s'estime attaquée par Sarkozy

Dans une interview au journal Le Monde publiée jeudi 3 mai, le Premier ministre algérien Abdelaziz Belkhadem a accusé le candidat de droite à la présidentielle française Nicolas Sarkozy de vouloir réhabiliter l'Organisation de l'Armée Secrète (OAS) qualifiée de "précurseur d'Al-Qaïda". Il est vrai que le candidat UMP devra quelque peu compléter ses connaissances sur le dossier, ayant récemment démontré avoir quelques "lacunes" sur le sujet.

Selon M. Belkhadem, Nicolas Sarkozy veut "réhabiliter l'OAS", organisation créée en 1961 qui avait tenté, notamment par le terrorisme, de s'opposer à l'indépendance de l'Algérie.

Fin avril, le quotidien Le Monde avait fait état d'une lettre de M. Sarkozy à des associations de rapatriés français d'Algérie, dans laquelle il affirmait sa volonté de ne pas "sombrer dans la démagogie de la repentance". M. Sarkozy souhaitait que les "victimes françaises innocentes" de la guerre d'indépendance et "tout particulièrement les victimes du 26 mars 1962" se voient reconnaître la qualité de "morts pour la France". Ce jour là, l'armée française avait tiré dans la foule lors d'une manifestation à l'appel de l'OAS à Alger, faisant une cinquantaine de tués.

Pour rappel, l'OAS, organisation politico-militaire fondée par des ultras de l'Algérie française, avait multiplié les attentats aveugles et les assassinats et tenté de tuer le général de Gaulle, alors président français.

Mais, élément encore plus important, il y a quelques jours à peine, la presse algérienne dans sa grande majorité titrait « Nicolas Sarkozy s'attaque à l'Algérie » pointant du doigt le fait que le candidat UMP veuille remettre en cause le traite d'amitié entre Paris et Alger tout en ne cachant pas son intérêt pour les ressources en hydrocarbures du sol algérien.

“Mon deuxième engagement est de construire l’amitié avec l’Algérie, pas de négocier des concessions ou renoncements autour d’un traité d’amitié » avait déclaré Nicolas Sarkozy dans sa lettre adressée le 16 avril dernier à Denis Fadda, président du Comité de liaison des associations nationales de rapatriés (CLAN-R) [1], en réponse à la liste de revendications que le CLAN-R lui avait fait parvenir au nom d’un collectif d’associations de Rapatriés Pieds-noirs.

Pour Nicolas Sarkozy, il s’agit surtout de renforcer les relations entre la France et l’Algérie dans le domaine économique, en profitant notamment de la position d’Alger en tant que producteur de gaz et de pétrole pour assurer l’avenir énergétique de la France. Selon « Le Monde », Nicolas Sarkozy a notamment déclaré en privé : « L’Algérie a d’immenses ressources énergétiques. La France maîtrise les technologies de l’électricité nucléaire. Nous devons trouver là les bases d’une coopération équitable ».
Pour l’historien Benjamin Stora, cette stratégie de refus d’un traité d’amitié équivaut « à une déclaration de guerre envers l’Algérie ». Pourtant, fin 2006, en visite à Alger, le candidat UMP avait promis de construire une relation amicale entre les deux pays, basée sur le respect mutuel. Il avait également annoncé des ouvertures sur la quasi-totalité des sujets qui préoccupent les Algériens, y compris ceux, sensibles, de l’immigration et les visas.

Plus récemment, le candidat Nicolas Sarkozy a surpris quelque peu, tant en Algérie comme en France, en proposant un accord entre Sonatrach et Gaz de France (GDF). Ces déclarations ont été perçues par les Algériens comme autant de signes d’amitié envers leur pays. « Ce durcissement de Nicolas Sarkozy envers l’Algérie s’explique en partie par son souhait de séduire l’électorat des rapatriés d’Algérie », estime désormais la presse algérienne. je voudrais rajouter de l'électorat d'une - certaine - partie des rapatriés d'Algérie, car tous ne sont pas extrémistes, loin de là.

http://www.leblogfinance.com/2007/05/algriefrance_so.html

Bonne initiative du Gouvernement Algerien

chatnoir a écrit:

je m'excuse, mais je crois qu'ils ont des problèmes avec les zéros les algériens!! je ne connais aucune entreprise au monde qui investi autant d'argent en offshore et encore moins dans un pays considéré comme à (haut risque!) par les instances internationales!! (1,5 et 2,5 milliards d'USD dans un complexe sidérurgique ) c'est l'équivalent du chantier naval de St-Nazaire?? 7millard pour une fonderie?!! je veux bien... si tu veut vendre ta ferraille au prix de l'or sur une longue période pour amortir l'investissement! j'ai rien contre les Algérien mais c'est tout simplement irréaliste ce que vous avancez!!

L'Algerie est classé dans la même catégorie de risque que le Maroc et la tunisie, tu peux vérifier sur le site de l'OCDE

http://www.oecd.org/dataoecd/13/32/19515766.pdf



Voici une autre source et tu peux vérifier sur le site.
Cap-Djinet est un investissement de 30 Milliards de Dollar c'est un complexe industriel sur 5000 Hectares

l'usine est actuellement en construction

Citation :

Algeria (Thomson Financial) -

Rio Tinto's Alcan has agreed to partner Algerian private company Cevital in an aluminium production project costing total of 7 bln usd, said the Algerian industry ministry.
The first phase of the project is expected to involve a smelter with about
720,000 tonnes capacity, the company added.

tf.TFN-Europe_newsdesk@thomson.com
ejp/ak

http://www.advfn.com/news_Rio-Tintos-Alcan-in-7-bln_25223484.html


et pour l'Usine a 2.5 milliards qui sera elle aussi a Cap-Djinet voici

Citation :

According to the Algerian Al Khabar newspaper, Mr Bernard Poski GD of ArcelorMittal Annaba compound said that ArcelorMittal is endeavoring to invest USD 2.5 billion to set up a new compound for the steel industry in Jijel state in case they are given the green light by the Algerian government to start with execution of the project

.


http://www.steelguru.com/news/index/2008/09/19/NjM1Mjg%3D/ArcelorMittal_to_expand_steel_capacity_in_Algeria.html

dr.watson1 a écrit:

L'Algerie est classé dans la même catégorie de risque que le Maroc et la tunisie, tu peux vérifier sur le site de l'OCDE

http://www.oecd.org/dataoecd/13/32/19515766.pdf

Heureusement pour vous!! Parce que etre plus bas que le Maroc ou la Tunisie quant aux crédirts á l'export tout en ayant 100 milliards de réserve, ca m'en ferait poser des questions!
Sinon, t'oublies le risque sécuritaire et le risque d'instabilité politique... mais bon, comme on le disait avant, vous avez des problemes avec les zéros... qu'avec les zeros d'ailleurs!

TooNs a écrit:

dr.watson1 a écrit:

L'Algerie est classé dans la même catégorie de risque que le Maroc et la tunisie, tu peux vérifier sur le site de l'OCDE

http://www.oecd.org/dataoecd/13/32/19515766.pdf

Heureusement pour vous!! Parce que etre plus bas que le Maroc ou la Tunisie quant aux crédirts á l'export tout en ayant 100 milliards de réserve, ca m'en ferait poser des questions!
Sinon, t'oublies le risque sécuritaire et le risque d'instabilité politique... mais bon, comme on le disait avant, vous avez des problemes avec les zéros... qu'avec les zeros d'ailleurs!

Allez y mollo les gars, il faut savoir raison garder

toons pass auf..

gentlemen let's cool off.If Algeria is getting investment so be it.congratulations.let's debate in civilize way.

TooNs a écrit:

dr.watson1 a écrit:

L'Algerie est classé dans la même catégorie de risque que le Maroc et la tunisie, tu peux vérifier sur le site de l'OCDE

http://www.oecd.org/dataoecd/13/32/19515766.pdf

Heureusement pour vous!! Parce que etre plus bas que le Maroc ou la Tunisie quant aux crédirts á l'export tout en ayant 100 milliards de réserve, ca m'en ferait poser des questions!
Sinon, t'oublies le risque sécuritaire et le risque d'instabilité politique... mais bon, comme on le disait avant, vous avez des problemes avec les zéros... qu'avec les zeros d'ailleurs!

Tu me fera toujours rire.
Le listing de l'OCDE demontre que le climat d'investissement en Algerie est identique aux autres pays de la region et il comporend plusieurs criteres.
Mon message avait pour but de repondre a un membre sur un sujet bien precis et pas a m'amuser a chercher la petite bete en jouant avec les mots tel un enfant de 12 comme tu le fais sur tous les forums.


l'Algérie est en Risque 2 et Maroc 1, rien de plus normal pour le climat securitaire puisqu'il y a encore des risques terroristes en Algérie.

Maroc
http://www.ducroire.fr/WebdFR/WebSite.nsf/AllWeb/Morocco?OpenDocument&Disp=1

Algérie
http://www.ducroire.fr/WebdFR/WebSite.nsf/AllWeb/Algeria?OpenDocument&Disp=1

Citation :

Algérie: indices sur l'existence d'or et d'hydrocarbures à Tindouf

ALGER - Des indices sur l'existence de gisements d'or et d'hydrocarbures dans la wilaya (département) de Tindouf (sud-est) à la frontière avec le Maroc ont été découverts par le groupe pétrolier public algérien Sonatrach et des compagnies étrangères, selon la direction des Mines de Tindouf.

Ces indices ont été décelés suite à des travaux d'exploration effectués à l'issue d'appels d'offres nationaux et internationaux lancés par le ministère algérien de l'Energie et des mines, selon la même direction, citée par l'agence algérienne APS lundi soir.

Cette direction n'a pas donné de détails sur l'importance des gisements découverts.

Ces indices ont été découverts dans des localités situées au sud-est de Tindouf, selon la même source.

"Ces zones ont fait l'objet de fouilles ayant mené à ces indices, suscitant un grand intérêt de la part des opérateurs étrangers qui ont déjà visité la région", notamment les gisements de "Ghar Djebilet" et "Mechri Abdelaziz", dont des Brésiliens, des Coréens et Sud-africains, a-t-il ajouté.

La direction des mines de Tindouf a indiqué qu'un opérateur étranger avait obtenu un acte d'exploitation de gisements d'or de la part du ministère de l'Energie et des mines.

Les exportations algériennes d'hydrocarbures devraient atteindre 76 milliards de dollars en 2008, selon les prévisions officielles.

L'Algérie, qui a produit 3 tonnes d'or de 2001 à 2007, compte porter sa production à 3 millions de tonnes par an à partir de 2008, selon l'Agence nationale du patrimoine minier

(AFP / 23 décembre 2008 11h52)

Il devait être bourré le mec qui a écrit l'article

Citation :

L'Algérie, qui a produit 3 tonnes d'or de 2001 à 2007, compte porter sa production à 3 millions de tonnes par an à partir de 2008, selon l'Agence nationale du patrimoine minier

En tous cas c'est une bonne nouvelle pour le Maroc car il est possible que le gisement soit suffisamment grand pour être exploitable aussi au Maroc comme cela se fait entre la Lybie et l'Algérie

Espérons surtout qu'il n'y aura pas d'autres frictions autour de ce gisement, si ce la se vérifie.

bizarre,l´AFP n´est pas habiutée a informer sur n´importe quelle decouverte banale avec seulement "des indices",directement avec tindouf en titre(..)

Ça commence mal, les premiers touchés seront ceux dans le besoin. Cet article est un avant gout de ce qui touchera tous les pauvres, pas juste algériens.

Citation :

BOUTEFLIKA APPELLE LES ALGÉRIENS À RETROUSSER LEURS MANCHES
«Voilà le temps des vaches maigres»

La ville du M’zab n’a pas bénéficié d’enveloppe supplémentaire à l’occasion de cette visite.

Le Président Bouteflika tire la sonnette d’alarme: «Nous sommes face à des années de vaches maigres», a-t-il déclaré, hier à Ghardaïa, lors d’une rencontre avec les notables de la région. S’adressant à la population qui demande encore une aide supplémentaire, le président annonce:
«Nous avons eu des années de vaches grasses. Avec la crise mondiale, qui ne concerne pas seulement l’Algérie, nous sommes face à des années de vaches maigres», a ajouté le Président, suggérant ainsi une gestion rationnelle des budgets de l’Etat. «Si je m’adresse à vous aujourd’hui, c’est parce que vous connaissez le sens de la solidarité nationale. L’affaire ne concerne pas le président ou le gouvernement, mais le peuple», a insisté M.Bouteflika. Il a également demandé aux Algériens d’apprendre à ne compter que sur eux-mêmes. «Il est temps que chaque Algérien retrousse ses manches», a-t-il dit. «Si nous avions un excédent, je l’aurais accordé aux habitants de Ghardaïa». «Je peux vous accorder des choses comme des aides morales, mais pour la question du "flouse", (l’argent, NDLR), je vous demande de patienter, d’attendre d’autres années de vaches grasses.» Ainsi, la wilaya de Ghardaïa n’a bénéficié d’aucune enveloppe supplémentaire à l’occasion de cette visite. Interpellé sur cette déclaration du Président, Noureddine Yazid Zerhouni, ministre de l’Intérieur et des Collectivités locales, a expliqué que le chef de l’Etat veut faire passer un message aux Algériens les incitant à être plus productifs. «Nous devons apprendre à être plus productifs. Il est temps de réfléchir de manière à éviter les dépenses qui ne nous ramènent pas un intérêt», a précisé le ministre. Etayant ses dires, M.Zerhouni a précisé que l’Algérie a de quoi financer tous les projets inscrits dans les différents programmes du gouvernement. «Nous avons de quoi financer nos projets. Et nous les financerons correctement», a-t-il assuré. Cela étant, le déplacement du président de la République à Ghardaïa n’a pas manqué de chaleur en termes d’accueil. C’est sous les airs mélodieux de la Zorna, l’odeur du baroud et les youyous des femmes du M’zab que la population de Ghardaïa a accueilli, hier, M.Bouteflika. Jeunes adolescents, écoliers, femmes en haïk traditionnel, des vieux et des jeunes filles voilées étaient, dès l’aube, «réquisitionnés» tout au long du boulevard 1er-Novembre au centre-ville de Ghardaïa. L’ambiance était celle des grandes fêtes du Sud. Les différentes troupes folkloriques étaient au rendez-vous.
Du karkabou à la Zorna en passant par le tam-tam, les groupes locaux ont animé le parcours du Président qui a parcouru ce boulevard sur des centaines de mètres. A l’instar des autres villes qui ont accueilli M.Bouteflika lors des différentes sorties, les habitants du M’zab n’ont pas manqué de demander haut et fort au chef de l’Etat de se présenter à un troisième mandat et les banderoles qui ont jalonné la grande artère de la ville l’exprimaient en couleur. «Nous invitons Son Excellence à se porter candidat pour un troisième mandat», notent des banderoles qui flottaient aux côtés de l’emblème national. «Oui à la réconciliation nationale», lit-on encore dans d’autres coins de la ville. La société civile et des organisations locales n’ont pas manqué le rendez-vous. Elles ont tenu à «être de la fête» pour manifester leur souhait «de voir le chef de l’Etat poursuivre son oeuvre». Les notables de la région ont élevé leur voix pour demander au chef de l’Etat de se présenter. Les Mozabites et les habitants de Metlili se «sont réconciliés» sous le signe d’un troisième mandat. Les vieux et les sages des deux camps ont oublié leurs divergences pour s’aligner sur la voie de la réconciliation et du troisième mandat. Au milieu de la foule, Abdelaziz Bouteflika a tenu à répondre à la population par des sourires, tout en serrant la main à certains citoyens.
Avant ce bain de foule, le Président a procédé à une série d’inaugurations et opérations de relogement. Dès son arrivée à l’aéroport Noumérate-Moufdi-Zakaria de la wilaya de Ghardaïa, le président a inauguré la nouvelle aérogare. Par la suite, M.Bouteflika a inauguré le dédoublement de la voie express reliant la localité de Metlili au chef-lieu de Ghardaïa, sur une longueur de 20 km. Après ces deux points, le Président s’est consacré à l’essentiel de ce voyage. Il s’agit des réalisations effectuées depuis les dernières inondations qui avaient endeuillé la wilaya, en octobre dernier. Le chef de l’Etat s’est déplacé à Oued Nechou. Après une brève présentation du programme global de relogement, le chef de l’Etat a remis, à titre symbolique, les clés aux bénéficiaires sur le principal site qui contient 1550 chalets. Dans la même localité, le chef de l’Etat a posé la première pierre pour la réalisation de 1350 logements socio-locatifs au profit des sinistrés sur un programme global de 2000 logements. Après la pause de midi, le chef de l’Etat a inauguré un complexe mère-enfant ainsi qu’un autre centre d’hémodialyse. Juste après, M.Bouteflika a renoué avec les opérations de relogement et de remise des clés. Il s’agit notamment, des sites de Bouhraoua I, Bouhraoua II et de la localité de Daya Ben Bahoua.
http://www.lexpressiondz.com/article/2/2008-12-29/59186.html

C'est la merde et c'est bien fait pour nos gueules.
Le point positif est que la crise a l'air de faire bouger les boulitiques qui souhaitent restreindre les importations (comme les médicaments récemment) et plus d'une volonté de diversification de l'économie trop dépendante du pétrole.

de quelles années de vache maigres parle 3atiqa?
il a tout de meme ses 4 ans d´importations en attendant..

Doc est ce que cela est vraie? j'ai lu cela dans un blog algerien.Pouvez faire des recherche merci beaucoup.personellement je croirais 1 an mais 5 ans c'est pas vraie.

par Bey Mustapha BEBBOUCHE, 30 Décembre, 2008 12:56:56Notre gouvernement vient de décider d’octroyer au Canadiens la gestion pour cinq (5) ans du nouvel grand hôpital civil flambant neuf de la ville d’ORAN et construit par les Chinois. Je vous rappelle que cet hôpital a été pompeusement inauguré par Monsieur Abdelaziz Bouteflika au début de ce 2ème mandat ; c’est-à-dire il y a quatre (4) années et à ce jour cet hôpital est fermé. Je suggère au gouvernement en place de confier la gestion de tout le pays pour un contrat de cinq (5) ans (Oukda Thaalitha) aux Canadiens ce qui nous évitera toutes les dépenses inutiles et faramineuses du folklore des présidentielles et de toutes les assemblées des wilayas et du pays et d’avoir ainsi un 2ème Canada en Algérie et une bonne gestion des ressources; ce qui permettra à nos intellectuels de ne pas quitter le pays (éviter la fuite des cerveaux). Il est tout à fait clair qu’un gouvernement qui n’arrive pas à gérer un hôpital, sera automatiquement incapable à gérer tout le pays.

CIA agent persona non grata been kicked out from algeria for raping a few algerian women.Lire l'article.They should judge him in Algeria,

http://www.upi.com/Top_News/2009/01/28/Ex-CIA_agent_accused_of_rape/UPI-79191233194532/

Citation :

Abdelaziz Bouteflika briguera un troisième mandat en Algérie
Par Reuters, publié le 12/02/2009 à 15:51 - mis à jour le 12/02/2009 à 17:41

ALGER - Le président Abdelaziz Bouteflika annonce qu'il sera candidat à un troisième mandat en Algérie lors du scrutin du 9 avril prochain, officialisant ainsi une décision attendue.

Le président algérien Abdelaziz Bouteflika sera candidat à un troisième mandat lors du scrutin du 9 avril prochain.(Reuters/Zohra Bensemra)

Au pouvoir depuis 1999, il a également promis d'allouer 150 milliards de dollars au redressement de son pays.

Aucun de ses opposants ne s'étant révélé un adversaire de poids, Abdelaziz Bouteflika devrait selon toute vraisemblance aisément obtenir un nouveau mandat, jusqu'en 2014.

"Je me porte candidat en qualité de candidat indépendant", a-t-il dit lors d'un meeting dans un complexe sportif d'Alger, expliquant notamment sa décision par la nécessité de poursuivre son programme de réconciliation nationale.

"Le peuple a le droit de choisir en toute liberté", a-t-il ajouté.

Abdelaziz Bouteflika, qui aura 72 ans le mois prochain, a été réélu en 2004. Le seul obstacle à une troisième candidature a été dégagé en novembre dernier par le Parlement, qui a levé la limitation constitutionnelle à deux mandats présidentiels.

Sous ses deux mandats, l'Algérie a peu à peu émergé de la guerre civile des années 1990, où des affrontements meurtriers ont opposé les forces de sécurité à des rebelles islamistes et fait environ 150.000 morts.

Ses partisans estiment qu'il mérite la confiance renouvelée des Algériens parce qu'il a remis leur pays sur la voie de la stabilité.

CHÔMAGE MASSIF

Mais la politique inspire beaucoup d'indifférence en Algérie et nombre d'habitants estiment que le pays restera gouverné par une même élite, quelle que soit l'issue de l'élection.

"Les principaux opposants ont interprété l'amendement constitutionnel (...) comme un signe de soutien direct des décideurs à Bouteflika", commente le professeur d'université Mohamed Lakab. "C'est pour cela qu'ils ont décidé de boycotter - ils pensaient que la partie était jouée."

Faisant valoir que rien n'empêchait les personnalités d'opposition de se présenter, le Premier ministre Ahmed Ouyahia les a accusées de manoeuvres politiciennes.

Obtenir sa réélection pourrait constituer l'étape la plus facile pour Bouteflika. Le prochain président devra en effet faire face à la baisse des revenus du secteur énergétique et à l'impatience de l'opinion liée au chômage massif des jeunes.

Abdelaziz Bouteflika s'est engagé à stimuler l'économie extra-pétrolière pour créer des emplois et rendre espoir à la population, constituée en majorité de jeunes, mais les résultats de cette politique sont mitigés dans le meilleur des cas.

"Je m'engage à consacrer 150 milliards de dollars à la poursuite de notre politique de développement socio-économique", a-t-il promis jeudi dans le complexe où se pressaient jeunes militants, responsables de parti et membres d'associations.

L'Algérie avait basculé dans la violence en 1992, après l'annulation par l'armée d'élections législatives que le Front islamique du salut (FIS) était en passe de remporter. Les troubles se sont estompés depuis le début des années 2000, mais les forces de sécurité affrontent encore des rebelles liés à Al Qaïda basés dans une région montagneuse à l'est de la capitale.

"Nous continuerons de faire face au terrorisme, mais les portes restent ouvertes à ceux qui acceptent la réconciliation", a dit à ce propos le président Bouteflika.

Version française Henri-Pierre André, Philippe Bas-Rabéri

L Express/Reuters

je pense que boutaflika prépare le terrain pour ouyahyale chouchou de l'armée ..enfin , c'est ce que je pense , voila pourquoi la france est pour une 3 eme mandat de boutef

j'aime pas donner des mauvaise nouvelle mais

Citation :

Sept morts dans un double attentat dans l'est de l'Algérie


DOUBLE ATTENTAT DANS L?EST DE L?ALGÉRIE

Sept personnes ont été tuées tard jeudi soir dans un double attentat à la bombe dans l'est de l'Algérie, rapporte l'agence officielle de presse APS.

Deux membres des forces de sécurité et un pompier figurent parmi les victimes.

La première bombe a explosé près de Tebessa, non loin de la frontière tunisienne, au passage d'une camionnette, tuant quatre membres d'une même famille, dont un bébé. La seconde a explosé après l'arrivée des secours, précise l'agence APS qui cite une source des services de sécurité.

Tom Pfeiffer, version française Henri-Pierre André

le Point/Reuters

la 7awla wa la quwata ila billah al3aliy al3adim...et ca doit se passer au jour ou ce malheureux dictateur mourrant se represente

Citation :

Algérie: sept morts dans l'explosion de deux bombes dans l'est
Il y a 59 minutes

ALGER (AFP) — Sept personnes, dont deux gendarmes et un pompier, ont été tuées jeudi soir par l'explosion de deux bombes à Foum El-Metlag, près de Tebessa dans l'extrême est de l'Algérie, a indiqué vendredi l'agence algérienne APS citant des sources sécuritaires.

Quatre membres d'une même famille, dont deux femmes et un bébé, ont été tués par un premier engin qui a explosé au passage de la camionnette dans laquelle ils se trouvaient.

La seconde explosion s'est produite quelques instants après l'arrivée des services de sécurité et des secours, tuant deux gendarmes et un agent de la protection civile, ont ajouté ces sources.

Un officier a été également grièvement blessé au cours de cet attentat, a-t-on précisé.

La région de Tebessa (630 km d'Alger), près de la frontière tunisienne et à 200 km au sud du littoral, n'avait pas connu de tels attentats depuis des années et a visé en premier lieu des civils, selon les informations données par les services de sécurité.

La presse algérienne rapporte régulièrement l'explosion de bombes, au passage de patrouilles, militaires principalement, dans la région de Boumerdès et Tizi Ouzou (50 et 100 km d'Alger), où des cellules d'Al-Qaïda au Maghreb islamique (Aqmi) sont dispersées dans les maquis.

Les derniers attentats parmi les plus meurtriers, dont celui des Issers près d'Alger qui avait fait 43 morts, commis en août 2008, visaient également des bâtiments publics ou les forces de sécurité.

l algerire e t le maroc gagnerait a une cooperations de leur services de securités.....mais c est pas le cas malheureusement

Yakuza a écrit:

la 7awla wa la quwata ila billah al3aliy al3adim...et ca doit se passer au jour ou ce malheureux dictateur mourrant se represente

Le problème c'est pas boutef ( qui en réalité n'a pas vraiment de pouvoir) mais ceux qui reste ds l'ombre !
Veut il vraiment une Algérie en paix et sécurisé ?

Car je pense que depuis tout ce tps s'il l'aurait voulu il aurait put neutralisé cette menace !

a propos 3atiqa..

Citation :

vendredi 13 février 2009
Algérie : Bouteflika brigue un 3e mandat

Abdelaziz Bouteflika veut rester au pouvoir pour « parachever la réconciliation nationale ». : Reuters


Le chef de l'État algérien est prêt pour un nouveau quinquennat. Une candidature sans risques. Mais après... ?
Alger. De notre correspondant


Les Algériens attendaient une réunion politique ; ils ont eu droit à une cérémonie d'allégeance dans le style des monarchies orientales. Devant 5 000 partisans rassemblés dans une salle olympique d'Alger, Abdelaziz Bouteflika a annoncé, hier, sa volonté de rester au pouvoir « pour parachever la réconciliation nationale ». Boudé par l'opposition, le scrutin, prévu pour le 9 avril, risque de battre tous les records d'abstention.

Résultat d'un consensus avec la hiérarchie de l'armée, la réélection du président algérien était acquise depuis la révision de la constitution, le 12 novembre, qui lui ouvrait la voie vers un troisième mandat. Âgé de 72 ans et diminué par la maladie, il risque toutefois de ne pas mener son projet à terme . Aussi, lui prête-t-on le désir de désigner lui-même son successeur.

Dans la presse, le nom de son frère Saïd est évoqué depuis quelques jours avec insistance. Au poste de conseiller spécial depuis dix ans, ce professeur de physique âgé de 52 ans est un personnage incontournable du régime, qui a tissé ses propres réseaux.

Obtiendra-t-il le feu vert du Département du renseignement et de la sécurité (DRS, services secrets) ? L'hypothèse est peu probable. La « branche politique » de l'armée, qui a sans doute préparé son propre poulain, ne renoncera pas à une « prérogative » qu'elle exerce sans partage depuis la mort du colonel Boumediene, en décembre 1978.

Dans ce climat de fin de règne, le régime est dans l'impasse. Avec l'État d'urgence qui a verrouillé les libertés, depuis 1992, l'État de droit recule chaque jour devant une chari'a (loi coranique) de fait accompli.


Arezki AÏT-LARBI.

http://www.ouest-france.fr/actu/actuDet_-Algerie-Bouteflika-brigue-un-3e-mandat-_3637-824717_actu.Htm

désormais l'algérie est une monarchie...

C'est clair qu'on assiste a une marche arrière en Algérie, enfin j'ai pas envie de parler a la place des Algériens, ils pourais donner leur vision des choses, mais on peuit voir des régéression que ce soit en therme de loi, fin du quota des mandats, gouvernement qui n'est plus soumie au Parlement, loi des hydrocarbure, loi sur les IDE, ou dans les fait, fermeture de bar, proces contre les chrétiens, etc
mais bon ce n'est qu'un sentiment extérieur
c'est au Algériens et a eux-meme de dire ce qui est bon ou mauvais pour eux, si ceci les arrange tant mieux

Le Salut viendra avec la fin de l'ere préhistorique vivement la chute d'un météorite