Économie marocaine

Rappel du premier message :

LE FISC,CA RAPPORTE:
170 milliards de DH de recettes fiscales en 2011,jamais l etat n a engrangé autant,cela permettera d atténuer grandement le déficit budgetaire,ces recettes ont été realisées malgré le maintien des taux d imposition réstés les memes.
Maintenant ,si l actuel gouvernement combat efficacement la fraude fiscale dans ses divers aspects et qu il réussisse a élargir l assiette fiscale aux unités productives de l informel (dont le nombre avoisine UN MILLION selon le DEPF:département des etudes
et previsions financieres)le budget de l etat encaissera une somme encore plus substantielle.

dsk en conférence a UPM Mr kabadge sait toujours crée du buzz pour son université

Citation :

Vingt ans après, voteriez-vous pour le traité de Maastricht ?
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Le Mécanisme européen de stabilité (MES), qu'est-ce que c'est ?
Contre la crise, Berlin condamné à changer ou sortir de la zone euro ?

Tags : gouvernance économique , dominique strauss-kahn , crise de la dette , carlton de lille , zone euro , marrakech , austérité
Invité à s'exprimer sur la crise devant des étudiants d'une université de Marrakech, l'ex-chef du FMI a estimé que le problème de la zone euro était "un problème de gouvernance".
Les déboires judiciaires de Dominique Strauss-Kahn ne l'empêchent pas de donner son avis sur la crise...Ce vendredi, l'ex-directeur général du Fonds monétaire international (FMI) donnait une conférence à l'Université privée de Marrakech devant 250 à 300 étudiants qui l'ont accueilli par une ovation. Une rare apparition publique dont il a profité pour livrer son diagnostic sur la situation.

Selon un entrepreneur marocain présent à la conférence et rapportant les propos de DSK sur Twitter, celui-ci aurait déclaré que "le problème de la zone euro est un problème de gouvernance". Selon l'ex-numéro 1 du FMI, "il y a des solutions techniques mais on n'est incapable de prendre une décision".

Des décisions "indispensables"

Prenant le parti de l'austérité, l'invité de l'Université a encore déclaré : "Le problème de la zone Euro s'arrêtera quand les dirigeants diront : ‘on s'arrête, on encaisse le coup, on se le répartit.. .Et on repart' ". DSK a ensuite enfoncé le clou au sujet de la gouvernance de la zone euro. "Nos dirigeants sont incapables de prendre une décision... Une décision qui leur coupera un bras, mais qui est indispensable", aurait-il poursuivi, toujours selon l'entrepreneur marocain, avant d'enchaîner sur la représentation des économies émergentes dans les instances de gouvernance mondiale.

En début de semaine, DSK avait soumis au forum YES (Yalta European Strategy) son idée pour réduire les écarts de taux d'intérêt entre les pays les plus endettés et les meilleurs élèves de la zone euro. Il a ainsi proposé que les pays empruntant aux taux les plus bas (l'Allemagne, la France, les Pays-Bas,...) "remettent au pot une partie de l'écart de taux d'intérêt", pour fournir de l'argent à l'Espagne ou l'Italie qui eux empruntent à des taux supérieurs de trois à quatre points.

Revers pour DSK dans l'affaire du Carlton de Lille

Ces prises de position signifient-elles l'envie de DSK de revenir au premier plan ? Plus d'un an après l'éclatement de l'affaire du Sofitel de New York, dans laquelle une femme de chambre l'accuse d'agression sexuelle, l'ex-directeur du FMI doit toujours composer avec les problèmes judiciaires.

Ce vendredi, il a subi un revers dans un autre dossier dans lequel son nom est cité : l'affaire du Carlton de Lille. Le parquet général de Douai estime que l'instruction est valide alors que Dominique Strauss-Kahn et deux autres mis en examen la contestaient.

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et la source aussi

Citation :

Investissements marocains en Afrique : L’arrivée d’autres secteurs hormis les banques
Publié le 21-09-12

Continent des opportunités, l’Afrique est toujours prisée par les entreprises marocaines qui se déploient de plus en plus à travers des filiales. En 2012, au-delà des banques qui restent les meilleurs investisseurs, les secteurs de la cimenterie, la chocolaterie et du transport se sont démarqués.



Deuxième pays africain qui investit le plus dans le continent, après l’Afrique du Sud, le Maroc a déjà investi 5,3 milliards de DH dans les secteurs de l’industrie, de l’immobilier, du commerce et du transport durant le premier trimestre.
De tous les investisseurs, les banques se distinguent le mieux. En 2011, les trois grandes banques marocaines présentes en Afrique comptent à elles seules 547,8 milliards de DH sur un investissement global de 561,1 milliards de DH tous secteurs confondus.
Ainsi, BMCE Bank renforce-t-elle sa présence dans 15 pays d’Afrique avec surtout la BOA (Bank Of Africa) dans laquelle le groupe d’Othman Benjelloun dispose de près de 60% (55,8% en 2011) du capital de leur holding.
La banque tire profit des relais de croissance que constituent ses filiales africaines. Celles-ci (BOA et Congolaise des Banques) représentent 36% du résultat net part de la banque.
AWB également trouve un bon compte de ses démembrements sur le continent.
En juin 2012, elle tire un résultat net part de 203 millions de DH soit 8% des cinq filiales africaines. Avec une présence dans la zone ouest africaine avec l’UEMOA (Union Economique et Monétaire Ouest Africaine) et en Afrique centrale avec le CEMAC (Commission de la Communauté Economique et Monétaire de l’Afrique Centrale), la banque dirigée par Mohamed Kettani affiche un dynamisme dans l’investissement bancaire en Afrique.
D’ici la fin de l’année, les négociations pour l’acquisition de la Togolaise des Banques devrait aboutir et renforcerait les stratégies de positionnement et d’élargissement de son réseau.
C’est dans ce sens aussi que la pionnière de l’aventure des banques en Afrique depuis 2002, Groupe Banque Populaire avec son accord stratégique de partenariat avec la banque ivoirienne Atlantic Financial Group élargira sa présence dans 10 pays. Avec une répartition à part égale des participations, c’est un relais de croissance pour la banque au cheval qui reprend sa conquête africaine.
Les banques sont donc les plus grands investisseurs marocains en Afrique. En fait, elles sont un exemple de réussite pour les autres secteurs qui prennent goût au reste du continent.

Cimenterie : Anas Sefrioui s’est lancé
Les autres secteurs à savoir l’industrie, l’immobilier et grands travaux, le commerce, le transport … ne sont pas en reste même si en 2011 leurs investissements ne s’élèvent qu’à 13 milliards de DH.
L’immobilier a vu une hausse avec au premier trimestre 2012 un investissement de 4,5 milliards de DH contre 1,2 milliard durant toute l’année 2011.
Aujourd’hui, à travers la CIMAF (Cimenterie d’Afrique) Anas Sefrioui, sur investissements privés, avait signé cinq cinq protocoles d’investissement en Côte d’Ivoire, en Guinée, en Guinée Bissau, au Burkina et au Cameroun.
Parmi ces projets de construction de cimenteries, trois sont en cours en Côte d’Ivoire, au Cameroun et en Guinée, précisent les responsables de la CIMAF. Ainsi, 90 millions d’euros sont injectés pour les travaux de ces trois usines, soit un montant de 30 millions d’euros par usine.
Pour le Gabon et le Burkina Faso, les travaux commenceront d’ici quelques semaines puisque les études ont déjà été réalisées et le premier sac de ciment sera fabriqué d’ici 18 mois. La CIMAF précise également que la capacité de production d’une usine est de 500 000 tonnes de ciment chaque année.
Dans la même logique, une filiale africaine du groupe de Sefrioui ADDOHA AFRIQUE a déjà été créée pour la construction immobilière de l’habitat social et du haut standing. La Guinée a manifesté son intérêt pour l’amélioration de l’immobilier social à laquelle répondra la nouvelle filiale. Il est à noter que le développement de l’immobilier social au Maroc n’est pas semblable à celui des pays africains qui nécessitent un fort accompagnement gouvernemental.

Chocolaterie : AIGUEBELLE s’investit
Avec sa filiale camerounaise Cameroon Investment Company, la Compagnie Chérifienne de Chocolaterie Aiguebelle investit sur la fève de cacao africain.
Le montant de l’investissement est jalousement gardé par la direction d’AIGUEBELLE. « Cet investissement de cinq ans nous permettra de nous positionner en plateforme régionale, et de nous intéresser au reste du continent », précise Amine Berrada PDG de la marque AIGUEBELLE. La zone équatoriale est un bon positionnement d’autant plus que le Cameroun est le cinquième producteur mondial de cacao. « Nous projetons aussi d’avoir des unités de distributions et de nous positionner là où la fève de cacao sera… ». La capacité de cette usine est de 40 000 tonnes de chocolat par an et son démarrage est prévu au mois d’octobre.
L’industrie de l’agro-alimentaire est un avenir pour les industriels marocains à l’exemple d’AIGUEBELLE puisque le continent dispose d’énormes matières premières.

Transport : TIMAR se positionne
Dans le secteur du transport, jusqu’à mars 2012, les investissements s’élèvent à 1,3 milliard et égalisent ceux de l’année entière 2011.Un des leaders au Maroc, le transporteur TIMAR a investi 450 000 euros entre 2011 et 2012. De fait, il s’est implanté au Sénégal, en Mauritanie, en Tunisie en 2011, et au Mali en janvier 2012. La société qui dessert ces capitales subsahariennes en plus de Ouagadougou et Niamey par voie routière « veut être un hub entre l’Afrique et l’Europe et c’est ce qui explique TIMAR TANGER MEDITERRANEE» déclare Maxime Van Gueenberghe le Business Development Executive de TIMAR. Trois principaux modes de TIR (Transport International Routier) sont proposés en plus de la logistique pour l’Afrique et la voie maritime dessert toute la zone ouest africaine. La société de transport prévoit une filiale à Conakry en début 2013. Aujourd’hui, l’axe Tanger - Dakar et Bamako est une ouverture pour le secteur du transport de marchandises. Tant d’opportunités qui restent inexploitées. Toujours dans ce secteur du transport et de la logistique, le tandem MARSA Maroc-PSA a été présélectionné pour l’appel d’offre du deuxième terminal à conteneurs d’Abidjan. C’est un investissement important et stratégique si la holding gagnait ce marché ivoirien.

Les opportunités du marché africain
La présence des banques marocaines vient résoudre le problème du manque de capitaux privés qui mobilisent les investissements. Dès lors, « le degré faible d’industrialisation, la population jeune avec un pouvoir d’achat, le taux de croissance de ces économies qui n’existent que sur le continent sont autant d’indicateurs d’un avenir prometteur » note Abdou Diop, Associé Directeur Cabinet MAZARS.
« Les secteurs principaux qui constituent une opportunité pour les entreprises marocaines sont : l’agro-alimentaire (manque d’industries de transformation), l’agriculture (terres arables inexploitées, nappe phréatique peu profondes), la pharmacie (importation des médicaments), les énergies renouvelables, les TIC, le tourisme ».
Les entreprises marocaines trouvent actuellement un marché ouvert et qui ne présente plus d’obstacles majeurs.
De même, les obstacles institutionnels ont été levés avec les signatures et ratifications d’accords avec l’UEMOA et la CEMAC. « Seuls les obstacles culturels et psychologiques demeurent chez les entrepreneurs qui méconnaissent l’homo africanus » précise Abdou Diop. Même si les missions de prospections de Maroc Export donnent aux investisseurs marocains une visibilité sur le continent et ses réalités, ces derniers devraient encore s’intéresser au continent de l’avenir et de la jeunesse.
La concurrence dans le marché africain s’annonce rude avec la Chine - premier bailleur de fonds qui mettra 16,3 milliards d’euros de prêts d’ici 2015 – de même que les partenaires historiques européen et américain. Le Maroc se démarque face à cette concurrence non moins négligeable grâce « à son capital sympathie et les relations séculaires (paisibles et très spirituelles) avec les différents peuples d’Afrique subsaharienne». C’est un avantage concurrentiel à coté du dispositif bancaire (BMCE, AWB, BP), des dessertes de la RAM et la route vers la CEDEAO. Ainsi, les entreprises marocaines ont un avenir prometteur en Afrique avec plusieurs opportunités et une avance sur les concurrents.

challenge hebdo

Citation :

A Marrakech, la petite résurrection du "professeur" Strauss-Kahn




"On y va' Parce que c'est +full+ de chez +full+", lance aux quelques journalistes présents une responsable de l'Université privée de Marrakech (UPM), un campus à la verdure éclatante au milieu de la plaine désertique qui s'étend de la ville ocre aux premiers contreforts de l'Atlas.



Dans la salle de conférence, ils sont 300 étudiants à attendre, en rangs serrés, que la star déchue remonte sur scène. "DSK", l'ex patron du Fonds monétaire international (FMI), l'ancien favori socialiste à la présidentielle française, doit animer pendant deux heures une rencontre sur "Les pays émergents et la gouvernance".

Déjà sur scène, un enseig

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nant de l'UPM et un journaliste présentateur de la télévision 2M s'occupent de faire monter la pression.

"C'est une chance inestimable, il faut être gonflé à bloc", lance Mohamed Setti, le premier. "Pas de questions sur la politique française. C'est ce qui est convenu avec le professeur Strauss-Kahn", ajoute-t-il.

"Profitez-en, n'en loupez pas une miette", fait valoir le second, Ouadih Dada.

L'arrivée de l'"hôte prestigieux" se fait sous les applaudissements. Face au crépitement des flashs et sous l'oeil des caméras, DSK paraît d'abord crispé, pour l'une de ses premières apparitions publiques depuis "l'affaire", dans un pays qu'il connaît bien, lui l'enfant d'Agadir.

Quelques minutes plus tard, il s'avance, plus à l'aise. "Etre ici au Maroc en général et à Marrakech en particulier revêt une dimension spéciale. (...) C'est vraiment mon deuxième pays (...) parce que si je dis mon premier, je vais avoir des ennuis!", sourit-il.

"Nous, on vous aime"

Très vite, l'ancien professeur de Sciences politiques refait surface. Pédagogue, il explique les raisons de la crise, lâchant au passage quelques expressions anglophones comme aux plus belles heures du FMI.

Manifestement soucieux de se remettre dans le jeu, l'ancien dirigeant rappelle à plusieurs reprises avoir "fait des propositions" pour l'Europe lors d'un récent colloque en Ukraine, et note qu'il ira bientôt en "Corée".

Il se fait plus précis et plus mordant. "Ce qu'on ne sait plus faire, c'est prendre des décisions", tacle-t-il.

Il évoque alors "les grands de ce monde", dont il ne fait plus partie et sur lesquels il raconte avec délectation quelques anecdotes, avant de redevenir grave: "Les grands personnages qui nous dirigent ont besoin d'avoir peur pour travailler ensemble. (...) Aujourd'hui, je ne suis pas très optimiste".

Il rend hommage aux anciens présidents américains Bill Clinton et George W. Bush pour avoir esquissé les contours des premiers G20, loue l'action de l'ancien Premier ministre britannique Gordon Brown.

Mais il se garde bien de prononcer les noms de Nicolas Sarkozy ou François Hollande, celui qu'il aurait dû affronter lors de la primaire socialiste en France, selon le fameux "pacte de Marrakech" conclu avec la première secrétaire du PS Martine Aubry, quelques mois avant son arrestation à New-York.

Répondant par la suite à une série de questions, il fait rire son auditoire d'une citation du Maréchal Lyautey, l'ancien gouverneur français.

Le public conquis, DSK quitte rapidement l'estrade, mais reçoit quelques journalistes.

Faut-il voir dans cette prestation comme une forme de retour' "Je ne participe plus à l'action mais il y a un temps pour tout. Je participe beaucoup à la réflexion, explique-t-il à l'AFP, réfutant faire sa "rentrée".

Avant de quitter la scène, il avait eu droit à un témoignage d'affection.

"Confidence pour confidence, professeur, nous on vous aime", lui avait lancé le modérateur, avant la standing ovation.

Par AFP

source:

http://www.lexpress.fr/actualites/1/styles/a-marrakech-la-petite-resurrection-du-professeur-strauss-kahn_1164431.html


La photo je vous les ai apporter de la part d'une amie qui a poser une question

Mr DSK et loin des scandale qui l'ont éclaboussé dernièrement est une personnalité compétente ex ministre de l’économie et directeur du FMI très compétent en conseils au entreprise j’espère que sa majesté profitera de cette situation pour s'adjuger ses service en tant que conseiller économique

Yakuza a écrit:

ne "lancez" pas tout simplement des articles comme ca sans queu ni tete,on ne reconnait le titre de liens de tags
et la source aussi

sorry ,

si non UPM est devenu un acteur dans la formation des futures manager de pas mal d'entreprise c'est un important acteur économique et créateur de job directe ou indirecte , c'est une université multinational avec des étudiants des 4 coins du monde avec des normes a l'américaine et un campus a l'américaine sur près de 100 hectare , avec des professeurs et conférencier de grande carrure national et international ministre / pdg de grooupe nationaux et internationaux /personnalité politique / décidant et expert de partout dans le monde ,des directeurs de structures touristique certaine d'entre elle sont stratégique malgré tout sa il a pas l’accréditation de l'état , je trouve sa hypocrite alors que la formation en UPM est meilleurs que n'importe quelle autre école supérieur publique moi même je suis lauréat du 'campus' certes sa été ya 7 an a l'époque sa été qu'un petit campus pour quelque 300 étudiant sur 26 HA maintenant c'est en millier que se comptes les étudiant faudrait que l'état arrête de se voilé la face et de mentir a elle même offrir l’accréditation soit l'équivalence au lauréat de UPM akhawayne et campus d'agadir aiderai a la création de millier d'emplois directe ou indirecte , état a peur que c'est gens viennent réclamé des jobs dans l'état , mais d'un coté elle leurs cause des problèmes de reconnaissance a l'international , je comprend pas comment l'état autorise des université entière a exercé et ne les reconnait pas alors que d'autre université comme technoloplis et mundiapolis ou l'état est actionnaire a hauteur de 10% sont reconnu malgré que ils sont majoritairement privé et délivre des diplômes d'état marocain ... c'est du n'importe quoi .

@leadlord: félicitation pour la promotion mon Col-Major

FAMAS a écrit:

@leadlord: félicitation pour la promotion mon Col-Major

merci

inauguration de Ratier-Figeac Maroc un investissement de 9million€ 150emplois

Citation :

Les nouvelles ambitions de Marjane Holding


Implanter des centres commerciaux sur le Grand Casablanca, Tanger, Marrakech et Rabat mais aussi des retails parks sur cinq autres villes du Royaume…. Tel est le nouveau pari de Marjane Holding.


La filiale de la Société Nationale d’Investissement (SNI) ne cache pas ses ambitions. Marjane Holding, spécialisé dans la conception et l’exploitation d’hypermarchés et centres commerciaux, veut « se positionner en tant que leader dans le secteur de l’immobilier commercial, sur tous les segments de l’offre (galeries commerciales, centres commerciaux et retails parks) ». Si le groupe, en plus de son activité de distribution (hypermarché, supermarché et spécialiste en électroménager), dispose, depuis plusieurs années, d’une stratégie de développement de projets d’immobilier commercial attenant à ses hypermarchés Marjane pour créer de véritables destinations commerciales, aujourd’hui, il veut donner un coup d’accélérateur à ce plan de développement. Il faut dire que face à la tension globale sur le foncier, le n°1 de la grande distribution a besoin de sécuriser son développement en acquérant des surfaces. « Nous avons déjà à notre actif, la galerie commerciale de Rabat Hay Riad et les retails parks de Marrakech, Agadir, Tanger et Mohammedia. Aujourd’hui, deux projets de « nouvelle génération » sont en cours de réalisation à Casablanca : Ibn Tachefine et Marina de Casablanca », souligne le management de Marjane Holding.
Le futur projet Ibn Tachefine, dont l’ouverture est prévue pour septembre 2014, a nécessité un investissement de plus de 450 millions de DH. « Il accueillera en plus de l’hypermarché d’une superficie de 6 500 m², un centre commercial sur deux étages avec près de 70 enseignes de renom, un « food court » composé d’une dizaine de restaurants et une zone de 1000 m² consacrée aux enfants. Il abritera également, un hôtel et des plateaux de bureaux, à proximité de la future gare TGV Casa Voyageurs et desservie par le tramway », explique le management de Marjane Holding.

Le projet Marina livré en mars 2015

Pour sa part, le projet Marina, initialement programmé pour fin 2013, ne sera livré qu’en mars 2015 : les travaux vont démarrer avant la fin de l’année. « C’est un centre de 40000 m² GLA (surface commerciale utile), dont un hypermarché de 8000 m², 30 000 m² réservés aux boutiques, et près de 4500 m² dédiés à l’espace restauration et aux loisirs. Il s’inscrit dans une nouvelle ponctuation urbaine du Grand Casablanca développé par une filiale de la Caisse de Dépôt et de Gestion (CDG) », souligne-t-on auprès du spécialiste de la conception et l’exploitation d’hypermarchés et centres commerciaux. Rappelons que ce projet, dont le montant d’investissement de 1,5 milliard de DH, est le fruit d’un partenariat avec Foncière Chellah, filiale du groupe CDG. La société, née de cette synergie, est détenue à 60% par Marjane Holding, et à 40% par Foncière Chellah, spécialiste dans la gestion locative des actifs immobiliers dans les secteurs du bureau et du commerce.

Des projets dans le pipe

Du côté de Rabat, également, la filiale de la SNI y entrevoit un centre commercial de nouvelle génération (voir encadré). Ce projet dénommé « Hassan II » devrait s’étaler sur une superficie de 100.000 m2, pour un investissement global estimé à 1 milliard de DH. Mais, il est confronté à des problèmes d’apurement du foncier. Une partie du terrain est occupée par des bidonvilles. « Nous continuons dans nos démarches d’apurement du foncier », précise le management de Marjane Holding. Malgré tout, le N°1 ducteur de la grande distribution ne veut pas s’arrêter en si bon chemin. « Nous avons en cours de réflexion, à la fois des centres commerciaux sur le Grand Casablanca, Tanger et Marrakech mais aussi des retails parks sur cinq autres villes du Royaume», dit-il.

Une «nouvelle génération» de centres commerciaux

Les responsables de Marjane Holding semblent convaincus par le concept de grand centre commercial doté de lieux de restauration et de divertissement. Leur hypermarché du Morocco mall reçoit en moyenne 30 000 clients le week-end. C’est pratiquement la logique des centres commerciaux « nouvelle génération » de Marjane Holding. « C’est un concept de « city in the city » qui a pour vocation d’apporter une contribution urbaine avec une offre combinée de commerces, bureaux et hospitalité. Pour la partie commerciale proprement dite, la dimension « retailtainment » alliant shopping et loisirs y est très affirmée faisant du centre commercial un centre de vie pour toute la famille », explique-t-on auprès du N°1 de la grande distribution qui précise que ce concept s’exprime au delà d’une certaine taille critique de 25 000 m2 de surface GLA (surface utile).
En tout cas, Marjane Holding n’aura pas de souci à se faire quant à l’occupation de ces futurs centres commerciaux. A côté de ses hypermarchés qui serviront de locomotive, il pourra compter sur ses autres enseignes spécialisées, à l’instar de ses magasins Electroplanet, dédiés à l’électroménager, et celles qui sont en cours de lancement.

25 000 m²

Le concept centre commercial «nouvelle génération» de Marjane Holding s’exprime au delà d’une certaine taille critique de 25 000 m2 de surface GLA (surface utile).

challenger

Citation :

BCP. L’Etat sort de la banque du cheval

La trésorerie générale du royaume vient de céder 10% du capital de la BCP au profit des banques populaires régionales. Montant du deal : 3,3 milliards de dirhams. Les détails.

L’information n’est pas encore officielle, mais elle a été confirmée par plusieurs sources du marché boursier. L’Etat vient de céder quelque 10% du capital de la Banque Centrale Populaire au profit des Banques populaires régionales (BPR pour les intimes). Celles-ci deviennent ainsi l’actionnaire de référence de la BCP, avec une part qui dépasse désormais les 44%. Cette cession, qui a transitée par la Bourse de Casablanca, se chiffre à 3,3 milliards de dirhams. Une coquette somme qui ira arroser les caisses de l’Etat et limiter le déficit budgétaire de Maroc SA, qui plafonne à plus de 20 milliards de dirhams. En 2011, la Trésorerie générale du royaume avait usé du même levier pour boucler son trou budgétaire, en cédant 20% du capital de la BCP aux mêmes BPR pour quelque 5,4 milliards de dirhams. Dirigée depuis 2008 par Mohamed Benchaâboune, la BCP devient donc une banque privée à part entière, contrôlée par ses banques régionales, elles-mêmes détenues par les gros clients de la banque. Un modèle mutualiste qui rappelle celui du géant bancaire de l’Hexagone, le Crédit Agricole, ou encore celui de la BPCE, qui s’est offert il y a trois mois quelque 5% du capital de la BCP. Quant à l’Etat, qui détient désormais un peu plus de 6% du capital de la BCP, il devra se contenter d’un rôle d’actionnaire minoritaire au même titre que l’OCP et la bonne dizaine de particuliers et entreprises présents dans le tour de table de la banque du cheval. Un tour de table qui devra accueillir, dans les prochains jours, un poids lourd de la finance mondiale, la SFI (filiale de la Banque Mondiale), qui injectera pas moins de 1,5 milliard de dirhams dans le capital de la BCP, en échange de 5% de parts.

http://www.telquel-online.com/Actualite/Economie/BCP-L-Etat-sort-de-la-banque-du-cheval/538

Citation :

Lancement de l'opération "Touiza" dans la région Meknès-Tafilalet : Une volonté royale affirmée de placer la campagne agricole 2012-2013 sous le signe de la solidarité


Meknès - En procédant lundi dans la région Meknès-Tafilalet au lancement de l'opération "Touiza", qui marque le début de la campagne agricole 2012-2013, Sa Majesté le Roi Mohammed VI, que Dieu L'assiste, réaffirme une nouvelle fois Son engagement à promouvoir l'agriculture solidaire, un des principaux piliers du plan Maroc Vert .
Ayant pour objectif la consécration des principes de travail collectif, de coopération, de solidarité et de partage des moyens, cette initiative témoigne de la Haute sollicitude du Souverain envers les petits agriculteurs et de Sa volonté de perpétuer cette tradition initiée par Son Auguste grand-père, Feu SM Mohammed V et Son regretté père Feu SM Hassan II, que Dieu ait leurs âmes en Sa sainte miséricorde.

L'acte solennel de lancement de cette opération de labour collectif a été effectué seulement 3 fois depuis l'indépendance : En 1957, Opération labour lancée par Feu SM Mohammed V, en 1973, opération "Touiza" initiée par Feu SM Hassan II et en 2012 lancement par SM le Roi Mohammed VI de l'opération "Touiza" dans le but de consolider la confiance de l'agriculteur et relever son moral.

Cette opération "Touiza" vise ainsi la promotion des conditions socio-économiques des agriculteurs, une des priorités de la nouvelle campagne agricole qui prévoit également le développement du monde rural, la création d'emplois productifs pour les jeunes et la valorisation d'une agriculture durable.

Le Souverain a, en effet, toujours placé l'agriculture au coeur de ses intérêts en faisant le centre du développement économique et social.

Cette nouvelle campagne, qui table sur la culture de 5,4 millions d'hectares de céréales et de légumineuses, sera marquée notamment par la poursuite de la mise en oeuvre du programme national d'économie d'eau, l'amélioration du système d'assurance agricole, la promotion de l'action d'appui du fonds de développement agricole et la protection du cheptel.

Parmi les mesures adoptées figurent également le développement de l'utilisation de semences de céréales agréées, le lancement de la Caravane OCP Céréales 2012, ainsi que l'initiative "SAMAD" qui vise à assurer une meilleure organisation du marché des engrais, un approvisionnement garanti du marché en quantités suffisantes de différents engrais (1 million et demi de quintaux), une stabilisation du prix des engrais chez les agriculteurs et un rapprochement des engrais aux agriculteurs dans les régions éloignées, grâce à un camion laboratoire, afin d'améliorer la qualité et le rendement des cultures céréalières.

Autre point fort de cette campagne agricole est la diffusion de la méthode "Ecole aux champs" qui répond aux exigences du "Plan Maroc Vert" et de la stratégie du Conseil agricole, et qui consiste à ouvrir des fermes des particuliers aux agriculteurs afin que ceux-ci soient initiés aux meilleures pratiques en mesure d'améliorer leur rendement et la qualité de leur production.

La méthode "Ecole aux champs" se base sur des parcelles d'études placées sous le contrôle d'un groupe d'agriculteurs avec l'appui d'un facilitateur (Conseiller agricole) et vise à instaurer un cadre approprié pour la diffusion des technologies et des innovations porteuses.

Au total, huit "Ecoles aux champs" ont été installées dans le cadre de la stratégie du Conseil agricole au titre de l'année 2011.

A cette occasion, SM le Roi Mohammed VI a visité le centre régional de conditionnement des semences et des engrais, géré par la société nationale de commercialisation des semences (SONACOS), ainsi que la Caravane OCP Céréales 2012 qui doit sillonner les régions de Meknès-Tafilalet, Abda, Doukkala, Chaouia, Tadla, Saiss, Zaer et El Gharb, afin d'aider les petits agriculteurs de ces zones céréalières à mieux comprendre la typologie de leurs sols et à connaître les meilleurs moyens pour améliorer le rendement de leurs cultures céréalières.

S'agissant des semences, le cap d'un million de quintaux a été franchi pour la première fois cette année.

Le choix par SM le Roi, que Dieu L'assiste, de la région Meknès-Tafilalet pour le lancement de la campagne agricole 2012-2013 vient conforter la place de cette région en tant que vitrine de l'agriculture nationale à la faveur de son potentiel agricole diversifié et sa solide réputation qu'elle s'est forgée au fil du temps grâce au Salon international de l'agriculture au Maroc et aux Assises nationales de l'agriculture.

MAP

leadlord a écrit:

Tres impressione par les femmes marocaines que par les hommes tbarkellah allihoum. Il est tant de mettre une femme premiere ministre et celui des finances

leadlord a écrit:

mise à part la prof et le ministre les autres m'ont saoulé rien de cohèrent à dire !

yassine1985 a écrit:

leadlord a écrit:

mise à part la prof et le ministre les autres m'ont saoulé rien de cohèrent à dire !

on va dire que alami fait de l'opposition pour l'opposition un dogmatique , mais le vice chef de la patronna il a rien a dire le mec pour un grand manager surment pdg d'un groupe on dirai un simplé si le patronna marocain est a son image alors le développement de nos entreprise et en occurrence de notre pays n'est pas pour demain

voila le profil facebook du ministre marocain de l industrie ou il parle en details des accord signé avec les
ministre espagnoles de l industrie energie et tourisme et le secrétaire d'etat au commerce
desolé c est en arabe , y a coopération stratégique gagnant gagnant dans les domaines suivants :
ind automobile
aerinautique
ind composant energie renouvelable
agroalimentaire
offshoring
industrie navale
exploitation cmmunes des opportunités du marché africain
administration electronique
encourager les investissement reciproque
rapprochement des operateurs privés dans les deux pays
cooperation entre les entreprises et les institution de recherche scientifique etc


https://www.facebook.com/photo.php?fbid=421640221226778&set=a.298721933518608.68733.289579197766215&type=1&theater

Citation :

La ‘Rocade méditerranéenne’
La nouvelle route de Tanger à l'Algérie est une étape importante dans la modernisation du Maroc

Interessant article d'opinion publie' sur "El Pais" par Miquel Nadal ancien Sectretaire d'Etat aux Affaires Etrangers espagnol. Il a la connaissance du dossier Maroc et en plus il a une vision plutot objective de la situation politico-econimique du pays.

apres la station solaire de ouarzazte "offerte",selon ce journal allemand,l´ambassadeur espagnol a rabat affirme qu´une societé espagnole va recevoir un contrat de dessalement d´eau de mer de 100M€
http://www.faz.net/aktuell/politik/ausland/strategische-partnerschaft-spanien-und-marokko-wollen-eng-kooperieren-11914077.html

je me demande ce que nos ir-responsables in-competents recoivent en contre-partie de tous ces cadeaux?

demain tu vas entendre qu un FA a été battu par un policier espagnol a melilia le gouvernement marocain nous a habituer a faire le tapis . moi je dis respect aux espagnols quand il viennent chez nous ce n est pas pour le tourisme ils arrivent avec des dossier clair signent des accord et contrat et repartent aussito les notre il vont a madrid se faire rouler dans la farine et s'applatir par terre devant les espinguoin . resultat de la visite : plus de contrat pour eux plus de securité autour me melilia et le rocher de badiss pour que les legionnaires puissent dormir tranquille sur le rocher

Yakuza a écrit:

apres la station solaire de ouarzazte "offerte",selon ce journal allemand,l´ambassadeur espagnol a rabat affirme qu´une societé espagnole va recevoir un contrat de dessalement d´eau de mer de 100M€
http://www.faz.net/aktuell/politik/ausland/strategische-partnerschaft-spanien-und-marokko-wollen-eng-kooperieren-11914077.html

je me demande ce que nos ir-responsables in-competents recoivent en contre-partie de tous ces cadeaux?

surment que l'espagne ferme sa gueule , sauf que ils veulent pas comprendre que l'espagne et le gouvernement espagnol , répond au peuple espagnol qui est a plus de 70% contre nous dans l'affaire du sahara , ong et association comprise , il ya eu le même débat a la radio ce matin , je voulais resté dans ma voiture a l'écouté mais dommage a mon retour il été fini , mais le ministre a dit que il aura des investissements d'un coté comme de l'autre ect , moi je pense que maroc serai même près a partagé son pétrole avec l'espagne si sa lui garanti le sahara ... sauf que il ya pas de garanti .

problème c'est que demain ou après demain le ministre de la com viendera menacé de coupé les relations avec l’Espagne dans un petit cirque qui sert a rien .

ps depuis début de l'année espagne est devenu 1er partenaire économique du maroc devant la france .

c´est pas sahara,et s´ils le croient alors ils sont plus que cons ceux qui s´y attendent,madrid ne brule jamais une carte jocker...moi je dis que certains ne veulent pas couper le pont de secours la bas,si ca chauffe pour eux,y´a encore une colonisation qui dit pas son nom.

la nomination de AFF entre dans ce jeux,il preparera le terrain pour offrir le deal aux espagnols afin que la futur station d´agadir leur soit deleguée,comme si on n´y pas appris des episodes vivendis et lydec..

a propos du petrol : video de europa press mars 2012

Citation :

Microsoft lance un nouveau windows 8 en amazigh
http://m.aufaitmaroc.com/maroc/societe/2012/10/6/microsoft-lance-un-nouveau-systeme-dexploitation-windows-8-en-langue-amazighe_194399.html#___1__

Citation :

SNI. Les milliards de Sa Majesté
Le business du roi ne connaît pas la crise. Sur les six premiers mois de l’année, le holding royal a dégagé un bénéfice net de 2,8 milliards de dirhams, en forte croissance par rapport à 2011. Le point.

Le groupe royal SNI est en forme. Sur les six premiers mois de l’année, le holding a engrangé un chiffre d’affaires de 26,4 milliards de dirhams, soit 3 milliards de plus que le semestre précédent. Les bénéfices du groupe sont également au beau fixe : le résultat net part du groupe, constaté à fin juin 2012, s’est établi à 2,8 milliards de dirhams, en progression de 700 millions de dirhams par rapport à la période allant de juin à décembre 2011. La bonne tenue des filiales du groupe y est pour quelque chose. Mais il y a aussi les bénéfices tirés de la cession de Lesieur Cristal, annoncée en 2011 et concrétisée en début d’année. Vendus à 1,6 milliard de dirhams, les 54% de parts lâchées par la SNI au profit du français Sofiprotéol et d’un consortium d’institutionnels marocains ont généré un gain de 491 millions de dirhams pour le holding royal. Le deuxième semestre de l’année risque ainsi d’être plus prometteur pour le business de Sa Majesté, en raison des plus-values qui seront réalisées sur la cession de contrôle de la Centrale Laitière et de BIMO, cédées respectivement au Groupe Danone et à l’Américain Kraft Foods. De quoi donner au groupe royal suffisamment de moyens pour alléger ses (très) lourdes dettes qui se montent, à fin juin, à plus de 27 milliards de dirhams. Le communiqué de présentation des résultats de la SNI, publié dans Le Matin du 28 septembre, met également sur la liste des entreprises à céder, le sucrier Cosumar, qui devrait quitter le périmètre du groupe au plus tard en 2013

http://www.telquel-online.com/Actualite/Economie/SNI-Les-milliards-de-Sa-Majeste/539