messages : 9496 Inscrit le : 23/09/2007 Localisation : le monde Nationalité : Médailles de mérite :
Sujet: La politique américaine comme si vous y étiez... Dim 11 Mar 2012 - 21:39
Rappel du premier message :
Citation :
Ce militant démocrate qui défie Barack Obama
Candidat à la présidence, Darcy Richardson exprime la frustration d’une partie des progressistes états-uniens face au bilan du président sortant. Il participe aux primaires démocrates afin de «r amener,dit-il, Obama à gauche ».
Il n’a eu droit qu’à quelques entrefilets dans deux, trois journaux mais le New York Times ne l’a pas cité une seule fois dans l’un de ses articles. Il ne collecte que quelques milliers de dollars de-ci, de-là. Il ne bénéficie donc ni de la puissance financière ni de la couverture médiatique, éléments indispensables à toute campagne électorale aux États-Unis. Pourtant Darcy Richardson est bel et bien candidat à la présidence des États-Unis (www.darcy2012.com). Mieux même, il est le seul à défier Barack Obama dans plusieurs États. Même si le barnum ultradroitier des républicains l’a occulté, il n’en reste pas moins que le Parti démocrate organise lui aussi un processus de désignation de son candidat.
« Je suis le premier à admettre que je n’ai aucune chance de battre, voire d’inquiéter le président sortant », répète Darcy Richardson en préambule des rares interviews que des chaînes locales lui accordent. Même si Eugene McCarthy constitue sa référence politique (les deux hommes ont notamment milité ensemble au début des années quatre-vingt-dix dans l’aile gauche du Parti démocrate), ce féru d’histoire sait que 2012 n’est pas 1968. Cette année-là, le sénateur progressiste du Minnesota, Eugene McCarthy, avait défié, au nom du mouvement antiguerre, Lyndon Johnson, président depuis 1963, embourbé dans son escalade militaire au Vietnam. Après des premières primaires très serrées, Johnson renonça finalement à se représenter.
Pourquoi dès lors se lancer dans une telle bataille à cinquante-six ans ? Parce qu’Obama doit répondre de son bilan, rétorque en substance cet ancien assureur devenu auteur et bloggeur (www.battleground.com). « Il n’a accompli aucune des choses dont il a parlé en 2008. L’administration Obama est un cas d’école de l’influence corruptrice de l’argent de Wall Street dans la politique américaine. Le président a abandonné sans mener le combat. » L’accusation est rude mais le ton toujours posé. Il cite : renoncement de la réforme du système bancaire et de Wall Street et de la création d’un véritable système public de santé, poursuite de la guerre en Afghanistan, reconduction des réductions d’impôts pour les plus riches votés sous George Bush. « Les frustrations et les déceptions de l’électorat démocrate sont immenses, ajoute-il. De plus en plus de gens se rendent compte que le premier mandat d’Obama est en fait un troisième mandat de Bush. Nous ne voulons pas d’un quatrième mandat de Bush. »
Darcy Richardson a reçu le soutien de la Nouvelle Alliance progressiste (www.newprogs.org), organisation créée par le philosophe noir Cornel West, très critique envers l’hôte de la Maison-Blanche et qui avait appelé à une candidature unifiée pour défier Obama. Aucune des personnalités évoquées depuis plusieurs mois (Jeffrey Sacks, Robert Reich, Bernie Sanders, Dennis Kucinich…) n’a relevé le gant. Darcy Richardson, si. Son slogan de campagne : « Un démocrate progressiste pour président. » Et son espoir : « Ramener Obama à gauche. »
Aux États-Unis, il n’y a pas que Lyndon LaRouche pour accuser Obama d’avoir trahi ses promesses. Bien que boudé par la grande presse, le démocrate progressiste Darcy Richardson défie le président Barack Obama dans plusieurs États dans la course à la présidentielle. Car, même si le barnum ultradroitier des républicains l’a occulté, il n’en reste pas moins que le Parti démocrate organise lui aussi un processus de désignation de son candidat.
Pour Darcy Richardson, qui mène lui aussi campagne pour rétablir la séparation des banques d’affaires des banques de dépôt (retour au Glass-Steagall Act), le bilan du mandat d’Obama est plus que calamiteux : « Il n’a accompli aucune des choses dont il a parlé en 2008. L’administration Obama est un cas d’école de l’influence corruptrice de l’argent de Wall Street dans la politique américaine. Le président a abandonné sans mener le combat. »
Et comme le précise un article paru dans l’Humanité du 8 mars : « L’accusation est rude mais le ton toujours posé. Il cite : renoncement de la réforme du système bancaire et de Wall Street et de la création d’un véritable système public de santé, poursuite de la guerre en Afghanistan, reconduction des réductions d’impôts pour les plus riches votés sous George Bush. "Les frustrations et les déceptions de l’électorat démocrate sont immenses, ajoute-il. De plus en plus de gens se rendent compte que le premier mandat d’Obama est en fait un troisième mandat de Bush. Nous ne voulons pas d’un quatrième mandat de Bush." »
La référence politique de Darcy Richardson reste Eugene McCarthy (rien à voir avec l’anti-communiste Joseph McCarthy). Ce sénateur progressiste du Minnesota avait défié en 1968, au nom du mouvement contre la guerre du Vietnam, Lyndon Johnson, président depuis 1963. Eugene McCarthy était aussi en très bonnes termes avec Lyndon LaRouche et s’était fait remarquer en 1988 en faisant campagne en faveur de l’Initiative de défense stratégique (IDS), initiative anti-guerre initié par LaRouche et caricaturé par la presse comme « la guerre des étoiles ». Il avait également signé l’appel pour un Nouveau Bretton Woods de LaRouche.
Aujourd’hui, Darcy Richardson dispose du soutien de la Nouvelle Alliance progressiste, organisation créée par le philosophe noir Cornel West, très critique envers l’hôte de la Maison-Blanche et qui avait appelé à une candidature unifiée pour défier Obama. Le slogan de campagne de Richardson : « Un démocrate progressiste pour président. » Son espoir : « Ramener Obama à gauche. »
messages : 6945 Inscrit le : 18/07/2012 Localisation : paris Nationalité : Médailles de mérite :
Sujet: Re: La politique américaine comme si vous y étiez... Sam 2 Nov 2013 - 0:38
Citation :
Obama rend obligatoire l’implantation d’une puce RFID pour tous les américains.
C’est confirmé, le Projet de Loi sur la santé d’Obama, rendra obligatoire l’implantation d’une puce RFID pour tous les Américains.
Objectif : créer un registre national d’identification pour permettre un « meilleur suivi des patients en ayant toutes les informations relatives à leur santé ». Le nouveau projet de Loi relatif aux soins de santé ( référencé HR 3200 ), qui a dernièrement été adopté par le congrès, contient (à la page 1001 du projet) l’exigence selon laquelle tous les citoyens qui en dépendent (du système de santé) devront être « identifié » par l’implantation d’une puce sous-cutanée. En fait, cela était prévu depuis fin 2004, comme le prouve un document officiel de la FDA. Ce document de la FDA (Food and Drug Administration), daté du 10 décembre 2004 est intitulé Class II Special Guidance Document : Implantable Radiofrequency Transponder System for Patient identification and Health information ( Document d’orientation spéciale de classe II : Système de Transpondeur implantable à Radiofréquence pour l’identification des Patients et les informations Relatives à la santé) (1). Dès 2004, l’implantation d’une puce pour les « patients » contenants des « informations relatives à la santé » était donc déjà à l’étude. Dans le Projet de Loi intitulé America’s Affordable Health Choices Act of 2009 (Loi de 2009 concernant les choix de santé financièrement abordables de l’Amérique), on peut lire dans le paragraphe Subtitle C – National Medical Device Registre ( Sous-titre C – Registre nationale des Dispositifs Médicaux) qu’un fichier de toute personne ayant ou ayant eu un dispositif implanté dans le corps est prévu : « Le » Secretary » établira un » registre national des dispositifs médicaux » (appelé dans le présent paragraphe un « registre ») afin de faciliter l’analyse de la sécurité (des dispositifs) après la commercialisation et les résultats des données de chaque appareil qui…est ou a été utilisé dans ou sur un patient… ».
Donc toutes les personnes ayant reçu la micro-puce seront répertoriées dans un nouveau fichier qui sera mis en place exprès puisqu’il n’existait pas auparavant. Sous prétexte de mieux assurer les soins médicaux et de préserver la santé des individus, la population sera concrètement marquée avec une puce électronique et fichée. Un marquage obligatoire est prévu pour tous les Américains à partir de 2013. A la page 1006 du projet, figure une précision sur la date d’entrée en vigueur du dispositif : « ENTREE EN VIGUEUR. – Le Ministre de la santé et des Services Sociaux mettra en place et commencera la mise en œuvre du registre en vertu de l’article 519(g) de la Loi fédérale sur la nourriture, les médicaments et les produits cosmétiques, comme cela a été ajouté à partir du paragraphe, pas plus tard que 36 mois après le date de promulgation de la présente Loi, sans égard au fait que les réglementations définitives pour établir et exploiter le Registre aient été promulguées ou non à partir de cette date ». Par conséquent, trente-six mois à compter de la date de mise en place de la Loi ! Cela nous donne trois ans. Donc 2013 est l’année où le marquage obligatoire devrait commencer. On notera que cela entrera en vigueur même si aucune réglementation sur son usage n’a été adoptée. Qu’il y est eu ou non un encadrement défini au préalable sur l’utilisation du « registre ». Obama n’est pas le messie rêvé par les Américains qui l’ont introduit, mais un pantin docile, une marionnette obéissante qui œuvre pour assurer la mise en place d’un Nouvel Ordre Mondial. Si ce dispositif se réalise, la population fera l’objet d’une surveillance absolue.
messages : 6954 Inscrit le : 02/04/2008 Localisation : USA Nationalité : Médailles de mérite :
Sujet: Re: La politique américaine comme si vous y étiez... Sam 2 Nov 2013 - 5:47
Annabi come on man. Je viens d'avoir une implante dans........ Respect.
annabi Général de corps d'armée (ANP)
messages : 6945 Inscrit le : 18/07/2012 Localisation : paris Nationalité : Médailles de mérite :
Sujet: Re: La politique américaine comme si vous y étiez... Sam 2 Nov 2013 - 23:27
juba2 a écrit:
Annabi come on man. Je viens d'avoir une implante dans........ Respect.
..non sérieux dans les muscles fessiers c ça ? ...fais attention aux caresses risque de chauffer
juba2 General de Division
messages : 6954 Inscrit le : 02/04/2008 Localisation : USA Nationalité : Médailles de mérite :
Sujet: Re: La politique américaine comme si vous y étiez... Dim 3 Nov 2013 - 5:04
Yakuza Administrateur
messages : 21656 Inscrit le : 15/09/2009 Localisation : 511 Nationalité : Médailles de mérite :
Sujet: Re: La politique américaine comme si vous y étiez... Dim 3 Nov 2013 - 10:52
ca se prepare..
Citation :
Sen. Chuck Schumer endorses Clinton for president By CATHERINE LUCEY, Associated Press Posted: 11/02/13, 10:58 PM EDT | Updated: 6 hrs ago
DES MOINES, Iowa — Democratic Sen. Chuck Schumer of New York is urging his former Senate colleague, Hillary Rodham Clinton, to run for president. In fact, he’s already endorsing her.
Schumer, the third-ranking Democratic member of the Senate, endorsed the former secretary of state during the party’s annual Jefferson Jackson dinner, joining a chorus of Democrats calling on Clinton to run again. In remarks prepared for delivery to the crowd of 750 Democratic supporters, he says that with Clinton, the party can “vanquish the Ted Cruz, tea party Republicans in 2016.”
“It’s time for a woman to be president,” Schumer said. “That’s why I am urging Hillary Clinton to run for president. And, when she does, she will have my full and unwavering support. You know her well: as first lady, senator, secretary and as a wife and mother. Hillary’s experience is unrivaled and her vision is unparalleled.” Polls show that Clinton would be the leading contender for the Democratic nomination if she were to run. She told New York magazine in an article published in September that she was wrestling with whether to run again and offered no timeline for an announcement.
“I’m not in any hurry. I think it’s a serious decision, not to be made lightly, but it’s also not one that has to be made soon,” Clinton told the magazine.
Clinton has been careful to remain close to key Democratic voters, speaking before students, black women and the gay and lesbian community in recent months. While she has given speeches around the country, she has not visited the early voting state of Iowa.
Many top Democrats have been urging Clinton to run. The Ready for Hillary super PAC, launched by her supporters, has received endorsements from Democrats such as Sen. Claire McCaskill of Missouri and former Michigan Gov. Jennifer Granholm.
Other potential Democratic candidates seeking the 2016 nomination include Vice President Joe Biden, New York Gov. Andrew Cuomo and Maryland Gov. Martin O’Malley.
Iowa state Sen. Liz Mathis, a Democrat from Cedar Rapids, said she was excited by Schumer’s announcement.
“It paves a way into her election,” said Mathis, who was a caucus leader for Clinton in 2008. “Primarily women in the party have come out in support of her, so it’s very good to see male leaders in the party, too. It’s important that everyone in the Democratic Party come out.”
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RadOne Capitaine
messages : 815 Inscrit le : 11/10/2009 Nationalité : Médailles de mérite :
Sujet: Re: La politique américaine comme si vous y étiez... Dim 3 Nov 2013 - 13:22
Good for us
Si elle est la futur candidate des démocrates, les prochaines élections seront du win-win pour nous.
PGM Administrateur
messages : 11678 Inscrit le : 12/12/2008 Localisation : paris Nationalité : Médailles de mérite :
Sujet: Re: La politique américaine comme si vous y étiez... Mer 6 Nov 2013 - 10:10
Bonne nouvelle pour les New Yorkais :
Citation :
Le démocrate Bill de Blasio remporte la mairie de New York
Le raz-de-marée électoral prédit a bien eu lieu. Le démocrate Bill de Blasio a été élu, mardi 5 novembre, 109e maire de New York en distançant largement son rival du parti républicain, Joe Lhota, selon les sondages de sortie des urnes. Selons les estimations portant sur 99 % des votes, il a remporté 73,6 % des voix, contre 24 % pour M. Lhota, selon le New York Times. Voilà des semaines qu'il n'y avait plus guère de suspense tant les enquêtes d'opinion donnaient une confortable avance à M. De Blasio, 52 ans. Sa victoire permet au Parti démocrate de reconquérir une ville qui lui échappait depuis 1989, date de l'élection de David Dinkins.
Les premiers mots du nouveau maire ont été pour son épouse afro-américaine, Chirlane, qu'il a présentée à la foule comme la première dame de New York. Puis, Bill de Blasio s'est exprimé alternativement en anglais et en espagnol afin de remercier ses électeurs. Il s'est dit résolu à "donner une nouvelle direction à [la] ville", afin d'en faire "une seule et même cité", faisant référence à son thème principal de campagne, le fossé grandissant entre le New York des riches et celui des pauvres. Un discours clos avec sa femme et ses deux enfants à ses côtés sur la chanson de Marvin Gaye Ain't No Mountain High Enough.
TOURNER LA PAGE BLOOMBERG
Ce véritable plébiscite doit avant tout se lire comme une forte volonté des New-Yorkais de tourner la page après trois mandats de Michael Bloomberg : 70 % d'entre eux souhaitent un changement de politique, selon un sondage réalisé à la sortie des urnes par l'institut Edison Research.
Tout au long de la campagne, on a eu l'impression que le milliardaire, qui ne pouvait pas se représenter, était le véritable adversaire de M. De Blasio. Le programme de celui-ci, mais aussi sa rhétorique : tout était dirigé plus contre son prédécesseur que contre M. Lhota, qui a finalement eu beaucoup de mal à se faire entendre dans cette élection.
M. De Blasio, ancien conseiller municipal de Brooklyn et actuel médiateur de la ville, avait choisi de mener sa campagne en proposant un changement radical par rapport à la politique menée par M. Bloomberg, accusé d'avoir contribué au creusement des inégalités au sein de la population new-yorkaise.
LA VILLE DES MILLIONNAIRES ET DES SANS-LOGIS
Les statistiques plaident pour le nouvel élu. New York est la ville au monde qui compte le plus de millionnaires. En même temps, 50 000 personnes sont sans logis, le taux de pauvreté continue à augmenter malgré la reprise économique, tandis qu'en 2012 218 000 personnes ont été expulsées de leur logement.
Une situation qui a suscité une frustration grandissante chez beaucoup d'habitants ayant le sentiment d'être laissés pour compte. "Les touristes ne voient que le bon côté des choses : avoir une ville sûre et propre est plutôt agréable, mais dans le même temps, on a l'impression d'être exclus de la ville, parce qu'on a de moins en moins les moyens d'y vivre", résume Michelle, une aide-soignante, qui votait mardi matin dans l'Upper West Side à Manhattan.
Elle, comme beaucoup d'autres, dénonce l'embourgeoisement de la ville, la multiplication des immeubles de luxe, qui font monter le prix des loyers à Manhattan, mais qui, par ricochet, se répercutent sur les autres quartiers. Dans le sud du Bronx, dans l'est de Brooklyn ou le sud-est du Queens, beaucoup de locataires ont de plus en plus de mal à payer des loyers qui dépassent souvent la moitié de leur salaire mensuel.
Lire l'analyse : A New York, riches et pauvres plus éloignés que jamais
LES ASPIRATIONS DU NOUVEAU NEW YORK
M. De Blasio, qui se présente comme un progressiste, a été élu sur un programme très à gauche. Outre la construction de 200 000 logements sociaux, il envisage d'augmenter les impôts des plus riches pour créer des maternelles et mettre en place du soutien scolaire au niveau du collège. "On sait que l'éducation est le meilleur moteur pour accéder à la classe moyenne", explique Richard Shaffer, un ingénieur à la retraite, qui a voté De Blasio.
Le nouveau maire souhaite également étendre le droit aux congés maladie et préserver les hôpitaux de quartier. En matière de sécurité, Bill de Blasio veut réconcilier la police avec la population, en particulier les minorités, qui étaient particulièrement visées par les mesures prises récemment par M. Bloomberg de "stop and frisk", c'est-à-dire de contrôle et de fouille à corps.
Lire l'analyse : La tâche ardue qui attend Bill de Blasio, élu maire de New York
Des propositions qui ont facilement trouvé écho au sein d'une population qui a considérablement changé ces vingt dernières années. La part de la population blanche (un tiers aujourd'hui) a diminuée au profit des minorités noire (25,5 %), hispanique (28,6 %) ou asiatique (12,7 %), beaucoup plus enclines à accompagner une politique plus à gauche.
En 1988, lors de l'élection présidentielle, le républicain George W. Bush avait obtenu 33 % des votes à New York. Lors du dernier scrutin national, en 2012, Mitt Romney a remporté tout juste 18 % des suffrages. Bill de Blasio a su capter les aspirations de ce nouveau New York.
le monde
PGM
Invité Invité
Sujet: Re: La politique américaine comme si vous y étiez... Mer 27 Nov 2013 - 17:48
Deux B52's ont penetre la zone de defence aerienne que la chine veunait de reclamer. C'est ce que j'appel etre une vrai puissance mondiale
messages : 21656 Inscrit le : 15/09/2009 Localisation : 511 Nationalité : Médailles de mérite :
Sujet: Re: La politique américaine comme si vous y étiez... Dim 1 Déc 2013 - 22:08
Citation :
Middle East Policies: The idealist president changes direction
Posted: Sunday, December 1, 2013 12:00 am Ali O. Amar
On May 19, 2011, a few weeks after the spectacular operation that rid the world of Osama bin Laden, President Barack Obama stood before a joyous assembly of employees at the State Department to enunciate the pillars of his new Middle East policy.
The president triumphantly declared that his administration would act as a diligent champion of democracy and human rights in the Middle East and would no longer consider them “secondary” interests. The president proclaimed that supporting democracy in the most volatile region of the world was now a “top priority that must be translated into concrete actions, and supported by all of the diplomatic, economic and strategic tools at our disposal.”
Bin Landen must have turned in his ocean grave!
This past September, however, Mr. Obama stood before the United Nations General Assembly and re-defined his priorities in the Middle East and North Africa. The United States, the president said, would defend its allies, guarantee access to oil, fight terrorists and stop the proliferation of weapons of mass destruction.
Obama, the idealist of May 2011, never mentioned democracy promotion, did not speak of Egypt, and forgot all about Yemen, Tunisia, Libya and the Arab Spring.
According to his National Security Adviser, Susan E. Rice, who explained her boss’s change of heart in an interview with the New York Times, the president does not want to see events in the Middle East swallow his foreign policy agenda, as it so often has for previous presidents.
“We can’t just be consumed 24/7 by one region,” she said, “important as it is. He thought it was a good time to step back and reassess, in a very critical and kind of no-holds-barred way, how we conceive the region.”
In other words, President Obama changed his heart over the Middle East and sent its leaders two distinct messages:
1) The Middle East will have to compete for America’s attention with other regions of the world, namely China, Southeast Asia and Latin America.
2) Vital strategic American interests are again the driving force of American foreign policy in the Middle East and elsewhere.
Obama has finally buried the “freedom agenda” of George W. Bush, and resurrected the old-fashioned, realist and interest-driven foreign policy of his predecessors, a policy long favored by the rulers of the Middle East from Rabat to Riyadh.
But if American policy in the Middle East is devoid of any principles, and Washington is no longer in the democracy-promotion business, what will America offer the millions of restless young Arabs still dealing with the surprises and disappointments of the Arab Spring?
Secretary of State John F. Kerry has been in the region often and is certain to be there again in the future. He finds himself in an unenviable position. What will he say to the disillusioned Egyptians, the displaced Syrians, the disappointed Tunisians, the disarrayed Libyans the displeased Saudis and the forgotten Yemenis?
To the people, the secretary will perhaps speak of more American economic assistance: an effectual American diplomatic tool that our treasury can ill afford, our Congress will not allow, and that the Arabs may not even want. To the rulers, Secretary Kerry could reiterate America’s support and friendship.
Prior to the Arab Spring, Arab rulers young and old, rich and poor believed that their friendship and cooperation with Washington enhanced their political tranquility and increased their regimes’ security. But when America turned against Egypt’s Mubarak, refused help to Tunisia’s Ben Ali, engineered Saleh’s departure in Yemen and helped oust Gaddafi in Libya, that belief is now gone.
After three years of Arab turmoil, America finds itself isolated, discredited and friendless in the Middle East. The rulers who once trusted Washington with their lives and the future of their regimes are now suspicious and untrusting. To them, Washington is unreliable. The masses that once sought guidance, hope and support from the land of Jefferson are now disillusioned, hopeless and angry. America is simply not credible.
The Obama administration has managed to fail and disappoint everyone and everything in the Middle East: democracy in Egypt, transition in Libya, state-building in Tunisia, peace in Syria, security in Yemen, women in Saudi Arabia, Shia in Bahrain, Sunnis in Iraq and American values everywhere. It angered the rulers, disappointed the masses, and confused friend and foe alike.
Bin Laden must be dancing in his ocean grave!
With three years to go in his second term, President Obama still has a chance to live up to his Cairo speech. A recent visit to the White House by Morocco’s King Mohammed VI presented the president with a good opportunity to learn firsthand about the unique challenges of the Middle East and North Africa. I hope the president listened to the king on how to deal with a boiling region and still keep a cool head. And if the president still wants to make a difference, he should make Morocco the incubator of his vision for a stable, tolerant and prosperous Middle East.
Ali O. Amar is a democracy and governance consultant based in Alexandria.
messages : 25562 Inscrit le : 31/03/2008 Localisation : Pau-Marrakech Nationalité : Médailles de mérite :
Sujet: Re: La politique américaine comme si vous y étiez... Lun 2 Déc 2013 - 19:13
Citation :
What dialect do you speak? A map of American English
Do you pahk the cah in Hahvahd yahd? Do you refer to multiple people as “dey”? Is a jelly doughnut called a “bismark,” or is everything that comes out of a soda fountain called a coke, even if it’s really 7-Up? Do you root for Da Bears? The way we speak, both the phrases we use and the accents that inflect those phrases, come from our upbringings. And in a nation of more than 300 million people, it’s little wonder that those accents vary widely. More than a decade ago, Robert Delaney, a reference associate at Long Island University, put together this map of the 24 regions of American English:
Dialects and Subdialects of American English in the 48 conterminous states, image copyright Robert Delaney
Want to receive GovBeat in your inbox? Sign up here for our twice-weekly newsletter! Here’s a quick rundown of the regions Delaney identified: Eastern New England: These are the cah pahkahs, the blue collar residents from Maine to Massachusetts who drop their Rs and substitute an H. Think Jack Donaghy when he hangs out with Nancy Donovan on “30 Rock.” Boston Urban: There are a few sub-dialects in the Hub, from the stereotypical Southie dialect (Sully and Denise on “Saturday Night Live”) to the Boston Brahmin (John Kerry). The differences are more determined by class than anything else. Western New England: Outside eastern Massachusetts, it’s the T that gets dropped. The last Democratic president was Bill Clin-n, for example. It’s not as distinctive as the eastern accent. Hudson Valley: Dutch settlers, Delaney says, influenced language development north of New York City. The sitting area in front of your doorstep is a stoop, and the best-sellers at Dunkin’ Donuts are crullers and olycooks. New York City: The mix of ethnicities that built the Big Apple created their own dialect that doesn’t sound much like the rest of America. TH sounds become Ds, and words get smashed together easily. There’s no better example than Marisa Tomei and Joe Pesci in “My Cousin Vinny.” Bonac: A small and dwindling dialect on Long Island, which was once a part of New England. Combine New York City and Eastern New England and you get the idea. Inland Northern: Upstate New York and Vermont combine Western New England and the Midwest, and words like marry, merry and Mary are all pronounced identically. Delaney points out another doughnut difference: Here, they’re called friedcakes. San Francisco Urban: The city by the bay has more in common with the East Coast than the West Coast, thanks to the settlers who originally made their way to the Bay Area. San Franciscans speak a mishmash of Northeastern and Midwestern English. Upper Midwestern: Home of the Midwestern twang, influenced by a combination of Northeasterners and Southerners who migrated up the Mississippi River, as well as the Scandanavian immigrants who settled the area. A subdialect in and around Minnesota reflects more of that Norweigan influence. Think “Drop Dead Gorgeous.” Chicago Urban: Bill Swerski would be proud. Chicago’s distinctive dialect is influenced by what linguists call the Northern Cities Vowel Shift, when short vowels started sounding like their longer cousins. Chicago’s dialect was influenced by migrants who traveled along the Erie Canal, west from the Northeast. They root, of course, for Da Bears. North Midland: Here’s where the European immigrants who didn’t move to New York City start playing a role. The Scotch-Irish, German and Quaker settlers from Pennsylvania to the central Midwest created what Delaney calls a “transition zone” between the north and south. Doughnuts are dunkers or fatcakes. Pennsylvania German-English: A small but distinct dialect in the center of the Keystone State, probably spoken by Dwight Schrute’s ancestors. The grammar system is the most distinctive remnant of the region’s immigrant populations; it sounds more like German than English. Rocky Mountain: Think Montana, Colorado and Utah. Heavy influences from frontier settlers and Native American languages. Pacific Northwest: More influence from Native American languages. An example is the potluck, a gathering where everyone brings a dish, a derivation of the Native American “potlatch.” Muckatymuck, known elsewhere as a big shot, is another Native American term adopted by Northwesterners. But there’s less of an accent here than elsewhere, given the fact that the region was settled relatively recently. Pacific Southwest: The settlers who showed up came to California for the gold, and that still shows in some of their slang — Delaney cites “pay dirt,” “pan out” and “goner” as phrases that started in California. Sub-dialects of Valley Girls and Surfer Dudes are ripe for parody, as in Cher and Travis from the timeless classic “Clueless.” Southwestern: Mexican dialects of Spanish infuse Southwestern English, though the region is still what Delaney calls a melting pot of other dialects. Words like “patio” and “plaza” became a part of everyday English thanks to the Southwest. South Midland: West of the Appalachians and into North Texas, speakers here sometimes put an A before a word ending in -ING, in place of words like “are.” TH is often replaced with an F. Delaney says this region retains more strains of Elizabethan English than modern British English has, including words like “ragamuffin,” “reckon” and “sorry,” meaning “inferior.” Ozark: Southern Appalachian settlers developed their own dialect, best embodied in pop culture by the Beverly Hillbillies. Southern Appalachian: The “g” in gerunds doesn’t survive often here. But overall, the accent is pretty similar to the South Midlands. Virginia Piedmont: A syrupy drawl starts to develop south of Washington, where the letter R, when coming after a vowel, becomes what Delaney calls a slided sound. So “four dogs” sounds like “fo-uh dahawgs.” Coastal Southern: Similar to the Piedmont drawl, but with more remnants of Colonial English. Something diagonally across the street is “catty-corner.” Gullah: A Creole mix found in coastal areas of Georgia and South Carolina combines English with West African languages brought over by slaves who entered the U.S. in the 1700s and 1800s. Words like “peruse,” “yam” and “samba” all entered the country here. Gulf Southern: Basically the Deep South minus Georgia and New Orleans. It’s a result of mixing English settlers from the southern colonies with French settlers in Louisiana, and it’s where we get words like “armoire,” “bisque” and “bayou.” Louisiana: The French settlers who first traveled up the Mississippi River brought a whole mess of dialects. They include Cajun French, which incorporates some Spanish, and Cajun English, which makes New Orleans “Nawlins.” Here’s another way linguists view the English dialects spoken in the U.S.:
_________________ Sois généreux avec nous, Ô toi Dieu et donne nous la Victoire
jonas General de Brigade
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Sujet: Re: La politique américaine comme si vous y étiez... Mar 10 Déc 2013 - 16:35
a écrit:
Mandela: poignée de mains historique entre Barack Obama et Raul Castro
Peu avant son discours prononcé mardi à Soweto en hommage à Nelson Mandela, le président américain Barack Obama a serré la main de son homologue cubain Raul Castro. Un moment historique dans les relations entre les deux pays.
Avant de monter à la tribune du stade de Soweto, où il a prononcé, mardi 5 décembre, un discours en hommage de Nelson Mandela, le président américain Barack Obama a offert une poignée de main à son homologue cubain, Raul Castro. Ce geste historique (voir vidéo ci-dessous) témoigne une nouvelle fois de sa volonté de se rapprocher des pays ennemis des États-Unis.
La télévision sud-africaine, qui retransmettait la cérémonie d'hommage, a montré cette poignée de mains, à l'occasion de laquelle les deux présidents ont échangé quelques mots. Le président américain a ensuite donné l'accolade à son homologue brésilienne Dilma Rousseff qui se tenait au côté du leader cubain dans la tribune du stade Soccer City de Soweto.
Ennemis de 50 ans
Washington a rompu ses relations diplomatiques avec La Havane en 1961, après la prise de pouvoir de Fidel Castro en 1959 et la nationalisation des biens américains sur l'île. Un embargo américain a été décrété en 1962 sous l'administration de John F. Kennedy. Les deux pays entretiennent toutefois des sections d'intérêts consulaires qui font office d'ambassades. Le 9 novembre dernier, s'exprimant devant des milieux anticastristes à Miami, Barack Obama avait estimé que les États-Unis devaient revoir leur politique vis-à-vis de Cuba, tout en maintenant l'objectif d'aider à une libéralisation de l'île. "Il faut garder à l'esprit que lorsque (Fidel) Castro est arrivé au pouvoir, je venais juste de naître. Il est insensé de croire que les mesures mises en place en 1961 sont toujours aussi efficace aujourd'hui, à l'ère d'internet et de Google", avait-il déclaré.
jeune afrique
annabi Général de corps d'armée (ANP)
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Sujet: Re: La politique américaine comme si vous y étiez... Sam 29 Mar 2014 - 12:37
l'article date de mai 2013 mais reste d'actu
Citation :
La Russie avertit les États-Unis : la disparition des abeilles provoquerait une 3ème guerre mondiale
Fait incroyable en Russie la semaine dernière : John Kerry, le secrétaire d’Etat américain, a été forcé d’attendre pendant 3 heures Vladimir Poutine, très énervé contre Barack Obama. La raison ? Des pesticides et la destruction massive des abeilles. On savait déjà que les relations entre la Russie et les États-Unis étaient houleuses, mais la semaine dernière, un nouveau point de désaccord est venu s’immiscer entre les deux puissances. La raison de cette mésentente ? Un rapport du Ministry of Natural Resources and Environment of the Russian Federation (MRNE) ayant des « preuves incontestées » que certains insecticides neuro-actifs liés à la nicotine et plus connus sous le nom de néo-nicotinoïdes, seraient en train d’exterminer les abeilles et par conséquent, menaceraient les récoltes du monde entier. Lors d’un voyage diplomatique en Russie, le secrétaire d’État américain JohnKerry a été forcé d’attendre pendant trois heures avant d’être reçu par le président russe VladimirPoutine. Celui-ci était particulièrement énervé par le fait que BarackObama ait refusé de discuter de ce sujet qui préoccupe la communauté scientifique. En effet le président américain protègerait les deux géants de l’agrochimie Syngenta et Monsanto, qui produisent ces produits. La première entreprise avait déjà été condamnée en Allemagne pour avoir caché le fait que son maïs génétiquement modifié tuait le bétail. La Commission Européenne a quant à elle récemment interdit l’usage de ces néo-nicotinoïdes sur le continent. Selon un rapport publié en mars par l’American Bird Conservancy, »Il est clair que ces produits chimiques ont le potentiel d’affecter des chaînes alimentaires entières. La persistance dans l’environnement des néo-nicotinoïdes, leur propension au ruissellement et à l’infiltration dans les eaux souterraines, et leur mode d’action cumulatif et grandement irréversible chez les invertébrés soulèvent des inquiétudes écologiques sérieuses« Malgré cela, les États-Unis continuent d’utiliser ces néo-nicotinoïdes et protègeraient les producteurs de ces pesticides. Une attitude qui a amené le gouvernement russe à avertir qu’il « mènera très certainement » une guerre mondiale si rien n’était fait pour stopper ce désastre. Espérons que les deux pays trouvent un terrain d’entente… On espère vivement que des discussions entre les deux états reprennent. Si ces études scientifiques s’avèrent exactes, les conséquences d’une disparition des abeilles seraient absolument désastreuses pour les récoltes du monde entier. Et les rares ressources alimentaires seraient certainement disputées au prix fort… Pensez-vous que les États-Unis doivent prendre en compte les menaces de la Russie ? Et plus encore, que la France prenne position sur ces pesticides qui déciment nos abeilles ?
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Sujet: Re: La politique américaine comme si vous y étiez... Jeu 10 Avr 2014 - 16:13
Citation :
Top CENTCOM Marine: 2012 Benghazi Attack Changed USMC Roles in Africa and Middle East
The murder of Ambassador J. Christopher Stevens and three Americans in his security detail during an attack on the American consulate in Benghazi, Libya, on Sept. 11, 2012 has created a new normal for the Marine Corps and new means to operate in the Middle East and Africa, the senior Marine at Central Command said on Wednesday. Speaking at the Navy League’s Sea Air Space exhibition 2014 at National Harbor, Md., Lt. Gen. Robert Neller added, “There are opportunities . . . to support our partners, train with them” in a host of missions. The Marine Corps adapted its Marine Expeditionary Units (MEUs) to the changed dynamics arising from the “Arab Spring” and created organizations such as the Marine Special Purpose Marine Air-Ground Task Force Crisis Response to meet the new demands of being ready for what might happen at an embassy or even a food depot or to nongovernmental organization employees and training African security forces coping with the franchising of al Qaeda. The killings changed African Command, said Maj. Gen. Raymond Fox, deputy commander of Marines in Central Command. “There was not a lot of American military involvement on the continent before and it “certainly changed when al Qaeda . . . picked up its weapons and went to Libya and the Maghreb” after the Arab Spring. “We have to get used to operating in Africa. They have to get used to us.” And that acquaintance has to happen before an Osprey carrying Marines lands during a crisis. Africans “are a little suspicious” of why the United States is showing its presence, but “that’s normal,” Fox said. One of the first lessons, Fox said Marines and Americans need to understand, is how large Africa is—3.7 times the size of the United States. “That’s a long way to get to a crisis,” Col. Scott Benedict, who commanded a Special Purpose MAGTF Crisis Response unit, even when operating from Signonella, Italy, or Moron, Spain. In addition to the tyranny of distance and time that mark operations in the Pacific, getting to places on the continent require overflight permission from each nation whose territory is to be crossed, Neller added. If permission is denied by one country, the distance becomes longer as an alternative route has to be arranged, taking a toll on the Marines being carried in a V-22 Osprey, Benedict said. “The V-22 is not a transporter.” To help in that area, “nothing happens fast,” but “we’re moving in a positive direction” with Senegal in operating from that country, Neller said. Operations such as these or small unit training missions also raise questions about sustained logistics or how is a medical emergency handled that requires more than field care. “We’ve gotten spoiled,” Neller said, noting the strong sustainment support and medical care available for Afghanistan and Iraq. “This stuff is going to get harder,” referring to logistics and medical sustainment. Col. Matthew St. Clair said while commanding the 26th Marine Expeditionary Unit 4 on its recent eight- month deployment he was ready to respond within six hours to an order in a developing crisis. “That’s pretty impressive.” “We performed four theater security operations, three in CENTCOM” and one disaggregated operation with European Command for a possible contingency mission in Lebanon. He said the MEU remained on “heightened alert for 9/11,” but was usually on alert for at least an hour a day throughout the deployment. For example, the MEU spent “30 days in the Red Sea [off Egypt] prepared to protect the embassy [in Cairo] and evacuate Americans” and also spent more than two weeks preparing to do the same in Yemen. “The primary customer seems to be the State Department,” he said. He added that when operating off Djibouti, the MEU was in a position to support requests from European Command, as well as CENTCOM and AFRICOM. Noting the special purpose task forces didn’t exist a year ago, Benedict said, “I think we forget how powerful” they are. The task forces can be as small as a Marine company, half a squadron of Ospreys and C-130J refuelers, a logistical element and a command element. “They are tailored for special tasks.” The Marine Security Force Regiment has a longer history, pre-dating Operations Desert Shield/Desert Storm. It is forward-deployed in Spain, Bahrain, and Japan, its commander, Col. James Bright said. Its Fleet Anti-Terrorism Security Teams have been around since 1987 and deployed more than 70 times on security missions. “FAST is an anti-terrorism capability [including chemical, biological, radiological and nuclear training and equipment] completely different from counterterrorism capability. We deter, we detect, we defend.” Fox stressed the need for coordination in Africa and Central Command inside the Marine Corps and also with Army Special Forces already present in a number of those countries and National Guard soldiers carrying out partnership programs in the same regions. “They’re already on the ground.” When asked whether the Marine Corps was readying a crisis response force for the Middle East, Heller said, “We’re looking at that, [but] it’s premature for me to talk about that.”
Sujet: Re: La politique américaine comme si vous y étiez... Dim 18 Mai 2014 - 10:35
Citation :
Hillary Clinton touts Bill Clinton’s economic record
Hillary Clinton is pictured. | Getty
Hillary Clinton on Friday defended her husband’s economic legacy and touted it as an instructive model for the future, while also criticizing conservative financial policies as neglectful and irresponsible.
Clinton, the likely Democratic frontrunner should she run for president in 2016, has in recent weeks spoken out for a slew of priorities for the Democratic base, including gun control and health care. Her speech Friday at a conference hosted by the New America Foundation focused heavily on income inequality, another top priority for her party, especially its progressive wing.
She painted former President Bill Clinton’s record as an ideal approach to improving the economy. The comments follow reports that another potential Democratic 2016 contender, Vice President Joe Biden, jabbed the former president’s record.
(PHOTOS: Hillary Clinton’s 50 influentials)
“The 1990s taught us that even in the face of difficult long-term economic trends, it’s possible, through smart policies and sound investments, to enjoy broad-based growth and shared prosperity,” Hillary Clinton said. She nodded to a recent speech her husband gave detailing the policies his administration pursued to promote growth and reduce inequality, and told her own audience: “Yes, a rising tide really did lift all boats.”
She pointed to accomplishments under Bill Clinton’s tenure including job creation, raising the minimum wage, doubling the Earned Income Tax Credit and promoting access to children’s health insurance. “All with a balanced budget that resulted in surpluses as far as the eye can see,” she said.
Bill Clinton’s time in the White House has faced a new round of scrutiny in recent days, not least because Monica Lewinsky, the former intern whose relations with Clinton nearly ended his presidency, penned an essay about her life in Vanity Fair.
One recent report also indicated that Biden indirectly criticized the former president’s economic record at a private South Carolina fundraiser. He was reported to have suggested that economic troubles for the middle class began during the “later years of the Clinton administration.”
(PHOTOS: The Clinton-Obama relationship)
Hillary Clinton pinned the country’s more recent economic troubles on decisions made after her husband left the White House, blasting regulators under the George W. Bush administration who “neglected their oversight of the financial sector,” and failed to invest in infrastructure along with other choices.
Those years offer lessons about “how by policy choices we can turn surpluses into debt; we can return to rising deficits.
“That’s what happens when your only policy prescription is to cut taxes for the wealthy,” Clinton said. “And then, to deal with the aftermath of a terrible terrorist attack and two wars, without paying for them. Regulators neglected their oversight of the financial sector and allowed the evolution of an entire shadow banking system that operated without accountability.”
Clinton, who has so far largely avoided political activity this year, also made a cryptic reference to what’s at stake for voters this November.
“In the upcoming midterm elections Americans will have choices to make about which path they want to go down and whether [we] will make the investments we need in our people,” she said. “I will leave that discussion to others.”
Clinton, President Barack Obama’s former secretary of state, said the economy has rebounded under his leadership, but at the same time pointed to middle class economic insecurity and income inequality as growing problems, especially for women and young people.
Clinton said wages have stagnated for the vast majority of Americans — many of whom are working “harder than ever” — while they have risen for the very wealthy, she said, adding, “Some are calling it a throwback to the Gilded Age of the robber barons.”
“As secretary of state, I saw the way extreme inequality corrupted other societies, hobbled growth and left an entire generation alienated and unmoored,” she warned.
She described the “basic bargain” in America as one in which people who “work hard and play by the rules” can get ahead, regardless of their backgrounds. But she said, at many points throughout the speech, that that conception of the “American Dream” is increasingly out of reach for many.
“Instead of getting ahead, they’re finding it harder than ever to get their footing in our changing economy,” she said.”The dream of upward mobility that made this country a model for the world feels further out of reach and many Americans, understandably, feel frustrated, even angry.”
www.politico.com
annabi Général de corps d'armée (ANP)
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Sujet: Re: La politique américaine comme si vous y étiez... Ven 30 Mai 2014 - 23:24
Citation :
Cinq milliards de dollars pour lutter contre le terrorisme et "aider les Français au Mali"
Sujet: Re: La politique américaine comme si vous y étiez... Mer 4 Juin 2014 - 6:00
Citation :
Somalie: Obama va nommer le premier ambassadeur américain en 20 ans
Le président Barack Obama va nommer le premier ambassadeur américain pour la Somalie qui en était dépourvue depuis le début de la guerre civile qui déchire ce pays de la Corne de l'Afrique depuis plus de vingt ans, a indiqué mardi un haut diplomate.
"En signe de l'approfondissement de nos relations avec ce pays et l'espoir que nous partageons de voir des jours meilleurs", a déclaré la sous-secrétaire du département d'Etat Wendy Sherman devant un centre de réflexion à Washington. Bien que les Etats-Unis n'aient jamais officiellement rompu leurs liens diplomatiques avec la Somalie, l'ambassade américaine à Mogadiscio est fermée depuis 1991.
Invité Invité
Sujet: Re: La politique américaine comme si vous y étiez... Mer 4 Juin 2014 - 6:10
www.jeuneafrique.com :pour l'article du dessus .
Citation :
Obama annonce un renforcement des moyens militaires en Europe de l’Est
Le président américain, en visite en Pologne pour la première étape de sa tournée européenne sur fond de crise ukrainienne, a réaffirmé l’engagement des Etats-Unis pour la sécurité en Europe centrale et orientale. Il a annoncé une dotation supplémentaire d’un milliard de dollars pour renforcer les moyens militaires.
Barack Obama a choisi d'amorcer sa tournée européenne à Varsovie, ce mardi 3 juin, parce que « notre engagement pour la sécurité en Pologne et celle de nos alliés dans le centre et l'est de l'Europe est la pierre angulaire de notre propre sécurité, et est sacro-saint », a-t-il déclaré dans une courte intervention, quelques minutes après son arrivée. « Compte tenu de la situation en Ukraine en ce moment, nous avons également augmenté la présence américaine. Nous avons commencé à envoyer plus de troupes au sol et des avions de combat F16. Cela va aider nos troupes à s'entraîner ensemble. Cela va aider nos troupes à soutenir les missions aériennes de l'OTAN. Et cela s'inscrit dans la présence renforcée de l'OTAN à travers l'Europe centrale et de l'est », a-t-il ajouté.
Moyens supplémentaires
Le président des Etats-Unis a également proposé un plan de sécurité d’un milliard de dollars, entièrement pris en charge par Washington. Une « initiative pour rassurer l’Europe », qui doit encore être approuvée par le Congrès américain. Si le plan proposé par Barack Obama s’appuie essentiellement sur l’OTAN, il prévoit également d’élargir la coopération à des pays de la région non membres de l’Alliance atlantique. « Nous allons augmenter le nombre de personnels américains, qu'ils s'agissent de soldats ou des forces spéciales de l'armée de l'air, qui vont continuer à faire des rotations dans nos pays alliés en Europe centrale et en Europe de l'Est. Nous allons renforcer notre partenariat avec des amis comme l'Ukraine, la Moldavie et la Géorgie pour qu'elles renforcent leur propre défense », a ainsi précisé Barack Obama.
Il s’agit d’un important geste politique qui répond aux attentes exprimées par le président polonais, qui a clairement demandé une confirmation et des garanties américaines sur la sécurité en Europe centrale. De son côté, Bronislaw Komorowski a annoncé une augmentation du budget polonais de Défense, qui se situera au niveau de 2% du PIB.
Appel à la Russie
Barack Obama a également menacé la Russie de nouvelles sanctions si elle ne bloque pas « le flot de militants et d'armes dans l'Est de l'Ukraine » et si elle continue de refuser des pourparlers avec le gouvernement à Kiev. « Toute nouvelle provocation russe entraînera de nouveaux coûts pour la Russie, y compris, si nécessaire, des sanctions supplémentaires », a-t-il insisté. Il a également demandé à Vladimir Poutine « d'engager un dialogue avec le nouveau gouvernement à Kiev pour empêcher toute escalade de violence dans l'est du pays. La Russie doit aussi user de son influence pour convaincre les séparatistes armés d'arrêter d'attaquer les forces de sécurité ukrainienne ». Il a également exprimé l’espoir de pouvoir convaincre le président ukrainien tout juste élu, Petro Porochenko, qu’il rencontre mercredi matin, d’entamer des discussions avec les séparatistes pro-russe. Le président ukrainien arrive à Varsovie ce mardi soir, pour son premier déplacement à l’étranger en tant que chef de l’Etat. Les deux hommes pourraient évoquer une aide militaire américaine directe à l’Ukraine.
Combats en cours et bras de fer diplomatique
Ce soutien américain intervient alors que dans l'est de l'Ukraine des affrontements seraient en cours à Sloviansk ce mardi encore, et au lendemain de nouvelles déclarations de Washington qui a affirmé avoir des preuves de l’implication de la Russie dans le conflit en cours dans l’est de l’Ukraine. Le Kremlin a toujours nié. Moscou - qui prend ce mardi officiellement la direction tournante du Conseil de sécurité des Nations unies - a créé l'étonnement à L'ONU, en demandant hier la création de « couloirs humanitaires » en Ukraine. La Russie pourrait par ailleurs fermer les vannes de son gaz à destination de l'Ukraine. Une menace toujours d'actualité, selon le Premier ministre ukrainien Arseni Iatseniouk, qui s'exprimait devant le Parlement. Moscou et Kiev ont encore une semaine de négociations pour parvenir à un accord sur cette question.
http://www.rfi.fr
WRANGEL General de Division
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Sujet: Re: La politique américaine comme si vous y étiez... Mar 22 Juil 2014 - 19:03
http://tempsreel.nouvelobs.com/monde/20140721.OBS4325/quand-le-fbi-encourage-des-americains-a-commettre-des-attentats.html a écrit:
Le FBI aurait incité des Américains musulmans à réaliser des attentats
Human Rights Watch accuse les forces de l'ordre d'avoir "dans certains cas transformé en terroristes des individus respectueux de la loi".
Guet-apens ou prévention : le FBI a "encouragé, poussé et parfois même payé" des musulmans américains pour les inciter à commettre des attentats qu'ils n'auraient peut-être jamais envisagés, lors des opérations de filature menées depuis le 11-Septembre, conclut un rapport publié lundi 21 juillet.
A double tranchant, ces opérations, au cours desquelles un agent du FBI s'infiltre clandestinement dans les communautés musulmanes par le biais de la mosquée ou de l'école, sont illégales dans certains pays comme la France.
En visite en Norvège, le ministre américain de la Justice Eric Holder avait encouragé, le 8 juillet à Oslo, à les généraliser afin de mettre au jour d'éventuels complots d'attentats par des Européens radicalisés en Syrie.
Ces opérations, développées par le FBI pour lutter contre le crime organisé et étendues au terrorisme après le 11 septembre 2001, sont conduites "avec une précision et une précaution extraordinaires, pour veiller [...] à ce que les suspects ne soient ni piégés ni privés de leurs droits juridiques", avait alors assuré Eric Holder.
Des individus "transformés en terroristes"
Pourtant, l'organisation Human Rights Watch (HRW) accuse dans son rapport les forces de l'ordre d'avoir "dans certains cas transformé en terroristes des individus respectueux de la loi, en leur suggérant l'idée de commettre un acte terroriste".
Dans son document de 214 pages, HRW, aidée par des experts de l'Université de Columbia, étudie "en profondeur" 27 exemples concrets sur les quelque 500 affaires de terrorisme conduites par les tribunaux américains depuis les attentats du 11-Septembre.
Même s'ils se défendent d'en faire une généralité, les auteurs du rapport estiment que la moitié des condamnations de "terroristes en puissance" résultent de telles opérations sous couverture. Dans 30% des cas, l'agent infiltré a joué un rôle actif dans le montage du complot.
"On a dit aux Américains que leur gouvernement assurait leur sécurité en empêchant et en punissant le terrorisme à l'intérieur des Etats-Unis", a déclaré Andrea Prasow, l'un des auteurs.
"Mais regardez-y de plus près et vous réaliserez que nombre de ces individus n'auraient jamais commis de crime si les forces de l'ordre ne les avaient pas encouragés, poussés, et parfois même payés pour commettre des actes terroristes."
La communauté musulmane prise pour cible
L'étude cite notamment "les quatre de Newburgh", accusés d'avoir planifié des attentats contre des synagogues et une base militaire américaine en 2009, alors que le gouvernement leur avait, selon un juge, "fourni l'idée du crime et les moyens, et [leur avait] dégagé la voie", transformant ainsi en "terroristes" des hommes "dont la bouffonnerie était shakespearienne".
Après avoir interviewé 215 individus, inculpés ou condamnés eux-mêmes, leurs proches, avocats, juges ou procureurs, HRW accuse les autorités de sciemment prendre pour cible la communauté musulmane, avec "un effet immédiat sur les pratiques" des fidèles qui se sentent traqués, a expliqué à la presse Tarek Ismail, conseiller à l'Université de Columbia.
Le porte-parole du ministère de la Justice, Marc Raimondi, s'est défendu en soulignant que ces opérations, validées par la Cour suprême, étaient un "outil de grande valeur pour protéger le pays du terrorisme".
Des personnes vulnérables, souffrant de troubles mentaux
Selon HRW, le FBI cible souvent des personnes vulnérables, souffrant de troubles mentaux et intellectuels.
Le rapport cite le cas de Rezwan Ferdaus, condamné à 17 ans de prison à l'âge de 27 ans pour avoir voulu attaquer le Pentagone et le Congrès avec des mini-drones bourrés d'explosifs. Un agent du FBI avait dit de Ferdaus qu'il avait "de toute évidence" des problèmes mentaux.
Interrogé par l'AFP, l'expert Mike German du Brennan Center, ex-agent du FBI, a réitéré ses "inquiétudes face aux excès du FBI en matière d'antiterrorisme (qui) à la fois violent la vie privée et les libertés civiques et ne sont pas efficaces contre les vraies menaces".
"Le vrai dilemme ici c'est comment les forces de l'ordre doivent répondre quand elles apprennent que quelqu'un parle d'une action violente ou terroriste", a réagi l'expert en sécurité nationale, JM Berger.
"Si l'on peut discuter d'où tracer la frontière" entre les vraies menaces et les simples activistes, "mieux comprendre la radicalisation peut conduire à moins de problèmes", a-t-il dit.
Voilà les chantres de la démocratie et de la ""légalité"" internationale
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""Qu'importe que je sois de mauvaise foi puisque je lutte pour une cause juste. Qu'importe que je lutte pour une cause injuste puisque je suis de bonne foi""
“L'histoire n'est que la géographie dans le temps, comme la géographie n'est que l'histoire dans l'espace.”
Samyadams Administrateur
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Sujet: Re: La politique américaine comme si vous y étiez... Mar 22 Juil 2014 - 19:33
Les Américains sont les héritiers d'une veille tradition des services secrets britanniques, spécialistes de la transformation de simples musulmans en dangereux terroristes, ce sont eux qui ont crée le wahhabisme et encouragé les premiers mouvements islamistes Tout est parti de la révolte des Cipayes, en 1857, quand les Anglais ont constaté que les Musulmans pouvaient être très sensibles à certains détails, telle l'affaire des balles lubrifiés avec de la graisse de porc, qui a déclenché la révolte Les Américains, avec l'aide des Saoudiens, ont crée Al Qaïda, ensuite prétendu la combattre dans les pays ou les Américains voulaient changer de régime, avant que les choses ne deviennent vraiment évidente en Syrie, ou Américains et Qaïdistes sont main dans la main pour tomber le régime syrien qui échappe au contrôle américano-sioniste
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juba2 General de Division
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Sujet: Re: La politique américaine comme si vous y étiez... Mer 23 Juil 2014 - 3:48
Samy un point de plus, Obama l'a compris c'est pour cela qu'il n'a pas voulu intervenir en syrie ni en irak,la nouvelle elite US a commence a comprendre au sujet du wahabism et de bush cheney and co.il y a un grand mouvement de jeune qui ont commence a poser la question de "why unconditionel support to israel??"
annabi Général de corps d'armée (ANP)
messages : 6945 Inscrit le : 18/07/2012 Localisation : paris Nationalité : Médailles de mérite :
Sujet: Re: La politique américaine comme si vous y étiez... Sam 23 Aoû 2014 - 0:32
Citation :
« Les Etats-Unis veulent déclencher une guerre chaotique dans toute l’Europe »
messages : 6954 Inscrit le : 02/04/2008 Localisation : USA Nationalité : Médailles de mérite :
Sujet: Re: La politique américaine comme si vous y étiez... Jeu 30 Oct 2014 - 1:26
Pour Inanc.finish QE quantitative Easing
Citation :
Goodbye To Quantitative Easing, But Not To The Arguments Over It Comment Now Follow Comments
I retired from the Federal Reserve on November 4, 2004, which will be 10 years ago in 6 days. At 8 AM tomorrow, I’m scheduled to give a speech on the economy after which I’ll have to give a defense of Quantitive Easing, which the Fed said today it will wrap up at the end of October, unless I try to preempt it during the speech.
Texas audiences are polite, but they know deep in their bones that there is (was) something not quite right about QE. Their doubts have something to do with the impropriety of “printing money” even if doing so seems not to have turned out too badly. I’ve tried and tried to explain that there has been very little money printing during QE, and that is why the dire consequences of hyper-inflation, a collapse of the dollar, sky-high interest rates, and gold through the roof have not taken place. Unfortunately, it’s also the main reason that QE has not stimulated the economy any more than it has.
But nobody seems to believe me. They are deeply invested in the notion of money printing. They don’t want to hear that the Fed has been “printing” bank reserves and that banks have held onto large amount of those reserves as excess reserves without using them fully to fund new loans and investments and thus unleash the money multiplier. I realize I will never win the debate because everyone calls it an “experiment” and won’t let the jury come in until the experiment ends. As long as I’m leading on points, the experiment isn’t over.
Many critics still expect to be right about the dire consequences—just you wait. Well, I have some bad news for them. Growth in the M1 and M2 measures of the money supply has actually slowed over the past year; so, we aren’t on the verge of an inflationary blowout. QE is ending quietly.
Not that I’ve been a big fan of QE. I was when it started around November 2008. Chairman Bernanke’s improvisations saved our cookies back then. Some time between then and now, the economy was probably strong enough to survive an earlier phase-out or taper, but every time one Q was about to end the economy swooned and we got another one. Following along one meeting to the next, I remained supportive, but, looking back on it, I find it hard to imagine that it lasted so long. Good riddance.
The announcement today was what I expected, but that’s not saying much since they prepared the way so carefully. I do find it amusing that many of the early critics of QE are now faulting the ECB for not getting into the game earlier. I do dread the inanity of trying to guess in the next few FOMC meetings whether the phrase “considerable time” will survive and just how long is a considerable time anyway. Don’t forget that Chair Yellen following the previous FOMC meeting said that considerable time had nothing to do with time. That reminds me of the opus I never got around to writing: Zen and the art of monetary policy.