Update: La nouvelle Egypte de l´apres-révolte.

Rappel du premier message :

kaddafi etait mon ennemi,pas moubarak,normal

Citation :

le parti des Frères musulmans à Ismaïliya incendié

Le siège local du parti des Frères musulmans dans la ville d’Ismaïliya, sur le canal de Suez, a été incendié vendredi par les manifestants hostiles au président islamiste égyptien Mohamed Morsi, a rapporté un correspondant de l’AFP.
De la fumée noire sortait des fenêtres de locaux du Parti de la liberté et de la justice (PLJ). Des manifestations contre le pouvoir accompagnées de heurts se déroulent au Caire et dans d’autres villes d’Egypte à l’occasion du deuxième anniversaire du début de la révolte qui chassa Hosni Moubarak du pouvoir.

http://www.lanouvellegazette.be/649844/article/actualite/l-info-en-continu/2013-01-25/egypte-le-parti-des-freres-musulmans-a-ismailiya-incendie

Tahrir aujourd'hui

Y avait pas une des 2 stations de metro qui donne sur place tahrir ou sur l'univeriste americaine qui s'appelait moubarak ?
Elle a ete rebaptisee ?

Le président Morsi, dans ce Chaos, poste des tweets sur twitter pour calmer le jeu, c'est ridicule.

L'armée se déploie au Suez.

Citation :

Egypte : l’Iran poursuit son OPA sur les Frères musulmans et menace, à travers eux, les monarchies du Golfe

MédiArabe.Info

Désormais, les Frères musulmans égyptiens ont une section féminine. Une cellule de ces Sœurs musulmanes a été démantelée aux Emirats Arabes Unis, ont annoncé les autorités de cette monarchie, au moment où des Frères égyptiens y seront jugés pour activités subversives. Pendant ce temps, le rôle de l’Iran en Egypte continue de susciter les craintes sur un rapprochement entre Téhéran et les Frères musulmans pour aider ces derniers à instaurer leur Wilayat e-Faguih sunnite.

Tip A Friend Envoyer par email | impression Imprimer cet article

Les autorités émiraties ont annoncé, ce mercredi 09 janvier, que « la justice a commencé l’interrogatoire avec les dirigeantes de la section féminine des Frères musulmans démantelée ces derniers mois ». En décembre dernier, plusieurs islamistes égyptiens ont été interpellés aux Emirats, accusés de comploter contre le pays afin de renverser le régime. Depuis l’été dernier, ce sont plus de 60 cadres et militants des Frères musulmans qui ont été arrêtés. Les Emirats affirment que « la section féminine, ou ce qui convient d’appeler les Sœurs musulmanes, fait partie des structures organiques de la Confrérie ».

Les responsables émiratis, cités par l’agence de presse officielle, affirment que « l’enquête se déroule dans le respect des valeurs islamiques en ce qui concerne des femmes », avant d’ajouter que « ce traitement de faveur ne saurait mettre en cause le précepte de l’égalité devant la justice ni conduire à une quelconque complaisance à l’égard de ces femmes qui ont porté atteinte à la sécurité de l’Etat ».

De son côté, l’avocat des islamistes égyptiens, Abdelmonem Abdel Maksoud, a accusé « les Emirats d’avoir franchi la ligne rouge en arrêtant des femmes proches de membres des Frères musulmans, vivant dans le pays. Il s’agit d’une première inacceptable alimentée par des considérations purement politiques ».

Ces développements attestent de la fermeté des Emirats à lutter contre les activités subversives des Frères musulmans. Les autorités ont rejeté, la semaine dernière, une demande égyptienne officielle de libérer les suspects ; demande formulée lors d’une visite à Abou Dhabi effectuée par une délégation officielle égyptienne, et qui a suscité une vive réaction du Caire qui a accusé le chef de la police émiratie, Dahi Al-Khalfane, de tous les maux.

L’éclatement de ce bras de fer prend une autre ampleur à la faveur du rapprochement opéré entre l’Iran et les Frères musulmans égyptiens. Les monarchies du Golfe s’inquiètent de l’influence croissante de l’Iran en Egypte et redoutent que Téhéran n’exploite les expatriés égyptiens pour déstabiliser le Golfe. En effet, les visites de responsables iraniens au Caire se multiplient, discrètement pour les uns (Qassem Suleimani), et sous les feux des médias pour d’autres (Ali Akbar Salehi).

Le général Qassem Suleimani, chef de la force Al-Quds, puissant bras armé extérieur des Gardiens de la Révolution, aurait récemment rencontré des responsables égyptiens au Caire. Selon plusieurs médias égyptiens, ces derniers, issus des Frères musulmans, lui auraient demandé conseil pour réorganiser les services de sécurité afin de conforter leur pouvoir, de plus en plus contesté par la population égyptienne. Les Frères redoutent en effet le deuxième anniversaire de la révolution (25 janvier) et craignent un soulèvement généralisé, dans le sillage de la mobilisation contre leur constitution islamique, récemment imposée. D’autres sources accusent les Frères de vouloir s’inspirer des méthodes iraniennes qui avaient permis à Téhéran de réprimer et étouffer le Mouvement vert. Le ministre égyptien de l’Intérieur, qui s’est opposé à ce rapprochement avec l’Iran, a été limogé dimanche dernier, dans le cadre du remaniement ministériel.

Selon plusieurs égyptiens, « l’OPA iranienne sur les Frères musulmans se poursuit avec la visite actuelle du ministre des Affaires étrangères, Ali Akbar Salehi, au Caire ». Ce rapprochement pourrait confirmer, selon les Egyptiens, les rumeurs qui ont circulé, pendant et après la révolution contre Hosni Moubarak, selon lesquelles « des unités des Gardiens de la révolution et du Hezbollah, introduits depuis le Soudan, et des membres du Hamas, venus de Gaza, ont contribué aux tueries contre les manifestants pour envenimer la situation et accélérer la chute de Moubarak ». Selon plusieurs sources, « ces commandos avaient attaqué des prisons et fait libérer des détenus islamistes, dont Mohamed Morsi, devenu président ». Si les Frères musulmans ont toujours démenti ces rumeurs, les enquêteurs sur les massacres de manifestants les ont confirmées, sans pour autant apporter les preuves irréfutables de leur exactitude. Aujourd’hui, les Egyptiens retiennent leur souffle et redoutent la transformation de l’Egypte en une « République islamique sunnite, calquée sur le modèle de Wilayat e-Faguih, instauré dans la République islamique chiite d’Iran ».

Dario S.

Citation :

Egypte: le bilan des violences à Port-Saïd monte à 8 morts (sources médicales)

Au moins huit personnes ont été tuées samedi dans des affrontements ayant éclaté dans la ville égyptienne de Port-Saïd après la condamnation à mort de 21 personnes dans l'affaire des violences ayant suivi un match de football l'an dernier, ont indiqué des sources médicales.

Il n'était pas clair dans l'immédiat si ce bilan inclut les deux policiers tués par balle, dont la mort a été annoncée un peu plus tôt par des sources de la sécurité.

http://www.lorientlejour.com/category/Derni%C3%A8res+Infos/article/797973/Egypte%3A_le_bilan_des_violences_a_Port-Said_monte_a_8_morts_%28sources_medicales%29.html

UPDATE : 16 morts à Port Said.

vipsdesvips a écrit:

Citation :

Egypte : l’Iran poursuit son OPA sur les Frères musulmans et menace, à travers eux, les monarchies du Golfe

MédiArabe.Info

Désormais, les Frères musulmans égyptiens ont une section féminine. Une cellule de ces Sœurs musulmanes a été démantelée aux Emirats Arabes Unis, ont annoncé les autorités de cette monarchie, au moment où des Frères égyptiens y seront jugés pour activités subversives. Pendant ce temps, le rôle de l’Iran en Egypte continue de susciter les craintes sur un rapprochement entre Téhéran et les Frères musulmans pour aider ces derniers à instaurer leur Wilayat e-Faguih sunnite.

Tip A Friend Envoyer par email | impression Imprimer cet article

Les autorités émiraties ont annoncé, ce mercredi 09 janvier, que « la justice a commencé l’interrogatoire avec les dirigeantes de la section féminine des Frères musulmans démantelée ces derniers mois ». En décembre dernier, plusieurs islamistes égyptiens ont été interpellés aux Emirats, accusés de comploter contre le pays afin de renverser le régime. Depuis l’été dernier, ce sont plus de 60 cadres et militants des Frères musulmans qui ont été arrêtés. Les Emirats affirment que « la section féminine, ou ce qui convient d’appeler les Sœurs musulmanes, fait partie des structures organiques de la Confrérie ».

Les responsables émiratis, cités par l’agence de presse officielle, affirment que « l’enquête se déroule dans le respect des valeurs islamiques en ce qui concerne des femmes », avant d’ajouter que « ce traitement de faveur ne saurait mettre en cause le précepte de l’égalité devant la justice ni conduire à une quelconque complaisance à l’égard de ces femmes qui ont porté atteinte à la sécurité de l’Etat ».

De son côté, l’avocat des islamistes égyptiens, Abdelmonem Abdel Maksoud, a accusé « les Emirats d’avoir franchi la ligne rouge en arrêtant des femmes proches de membres des Frères musulmans, vivant dans le pays. Il s’agit d’une première inacceptable alimentée par des considérations purement politiques ».

Ces développements attestent de la fermeté des Emirats à lutter contre les activités subversives des Frères musulmans. Les autorités ont rejeté, la semaine dernière, une demande égyptienne officielle de libérer les suspects ; demande formulée lors d’une visite à Abou Dhabi effectuée par une délégation officielle égyptienne, et qui a suscité une vive réaction du Caire qui a accusé le chef de la police émiratie, Dahi Al-Khalfane, de tous les maux.

L’éclatement de ce bras de fer prend une autre ampleur à la faveur du rapprochement opéré entre l’Iran et les Frères musulmans égyptiens. Les monarchies du Golfe s’inquiètent de l’influence croissante de l’Iran en Egypte et redoutent que Téhéran n’exploite les expatriés égyptiens pour déstabiliser le Golfe. En effet, les visites de responsables iraniens au Caire se multiplient, discrètement pour les uns (Qassem Suleimani), et sous les feux des médias pour d’autres (Ali Akbar Salehi).

Le général Qassem Suleimani, chef de la force Al-Quds, puissant bras armé extérieur des Gardiens de la Révolution, aurait récemment rencontré des responsables égyptiens au Caire. Selon plusieurs médias égyptiens, ces derniers, issus des Frères musulmans, lui auraient demandé conseil pour réorganiser les services de sécurité afin de conforter leur pouvoir, de plus en plus contesté par la population égyptienne. Les Frères redoutent en effet le deuxième anniversaire de la révolution (25 janvier) et craignent un soulèvement généralisé, dans le sillage de la mobilisation contre leur constitution islamique, récemment imposée. D’autres sources accusent les Frères de vouloir s’inspirer des méthodes iraniennes qui avaient permis à Téhéran de réprimer et étouffer le Mouvement vert. Le ministre égyptien de l’Intérieur, qui s’est opposé à ce rapprochement avec l’Iran, a été limogé dimanche dernier, dans le cadre du remaniement ministériel.

Selon plusieurs égyptiens, « l’OPA iranienne sur les Frères musulmans se poursuit avec la visite actuelle du ministre des Affaires étrangères, Ali Akbar Salehi, au Caire ». Ce rapprochement pourrait confirmer, selon les Egyptiens, les rumeurs qui ont circulé, pendant et après la révolution contre Hosni Moubarak, selon lesquelles « des unités des Gardiens de la révolution et du Hezbollah, introduits depuis le Soudan, et des membres du Hamas, venus de Gaza, ont contribué aux tueries contre les manifestants pour envenimer la situation et accélérer la chute de Moubarak ». Selon plusieurs sources, « ces commandos avaient attaqué des prisons et fait libérer des détenus islamistes, dont Mohamed Morsi, devenu président ». Si les Frères musulmans ont toujours démenti ces rumeurs, les enquêteurs sur les massacres de manifestants les ont confirmées, sans pour autant apporter les preuves irréfutables de leur exactitude. Aujourd’hui, les Egyptiens retiennent leur souffle et redoutent la transformation de l’Egypte en une « République islamique sunnite, calquée sur le modèle de Wilayat e-Faguih, instauré dans la République islamique chiite d’Iran ».

Dario S.

Torchon

Citation :

Le général Qassem Suleimani, chef de la force Al-Quds, puissant bras armé extérieur des Gardiens de la Révolution, aurait récemment rencontré des responsables égyptiens au Caire.

Ça était démentie

Citation :

Ce rapprochement pourrait confirmer, selon les Egyptiens, les rumeurs qui ont circulé, pendant et après la révolution contre Hosni Moubarak, selon lesquelles « des unités des Gardiens de la révolution et du Hezbollah, introduits depuis le Soudan, et des membres du Hamas, venus de Gaza, ont contribué aux tueries contre les manifestants pour envenimer la situation et accélérer la chute de Moubarak ». Selon plusieurs sources, « ces commandos avaient attaqué des prisons et fait libérer des détenus islamistes, dont Mohamed Morsi, devenu président ». Si les Frères musulmans ont toujours démenti ces rumeurs, les enquêteurs sur les massacres de manifestants les ont confirmées, sans pour autant apporter les preuves irréfutables de leur exactitude.

Alors là je dis Bravo .

Citation :

Égypte : 21 condamnés à mort dans le procès du drame du stade de Port-Saïd

À Port-Saïd, des affrontements meurtriers ont éclaté dès l'annonce du verdict. Deux postes de police ont été pris d'assaut samedi.

La justice égyptienne a condamné à mort samedi 21 personnes accusées d'être impliquées dans les violences ayant fait 74 morts l'an dernier après un match de football à Port-Saïd dans le nord-est du pays. Les accusés restants seront fixés sur leur sort le 9 mars. "Soit justice leur est rendue, soit nous mourrons comme eux !" avaient mis en garde au tribunal des membres des familles des victimes en brandissant des photos de leurs proches.

Ce verdict a déclenché de violents affrontements. Des sources médicales ont fait état de huit morts. Il n'était pas clair dans l'immédiat si ce bilan inclut les deux policiers tués par balle, dont la mort avait été annoncée un peu plus tôt par des sources de sécurité. Selon la télévision d'État, plus de 50 personnes ont aussi été blessées dans ces violences qui se sont produites après que des proches des personnes condamnées ont tenté d'envahir la prison dans laquelle se trouvaient ces dernières. Selon des témoins, des assaillants inconnus ont ouvert le feu en direction de la police qui a riposté avec du gaz lacrymogène. Des violences ont éclaté dans des rues proches de la prison, et les commerces ont fermé. Les postes de police d'Al-Charq et Al-Arab ont aussi été envahis par des habitants de la ville et des tirs nourris se faisaient entendre dans le quartier d'Al-Manakh.

L'armée a décidé de se déployer dans cette ville pour "rétablir le calme et la stabilité", a indiqué Ahmed Wasfi, un général de l'armée cité par l'agence Mena.

Cris de joie et youyous

Au Caire, le verdict a en revanche été accueilli par les cris de joie et les youyous des membres des familles des victimes présents dans la salle d'audience. Devant le tribunal, un homme ayant perdu son fils dans les violences pleurait de joie. "Je suis satisfait du verdict", a-t-il soupiré. La justice a dit avoir transmis son verdict au mufti d'Égypte, les condamnations à mort devant être autorisées par cette autorité religieuse musulmane.

En février 2012, 74 personnes étaient mortes à Port-Saïd après un match entre le club cairote d'Al-Ahly et une équipe locale, Al-Masry. Plus de 70 personnes, dont neuf policiers, étaient jugées pour leur responsabilité présumée dans ces violences.

http://www.lepoint.fr/monde/egypte-21-condamnes-a-mort-dans-le-proces-du-drame-du-stade-de-port-said-26-01-2013-1620454_24.php

Citation :

Émeutes en Égypte après un verdict controversé

LE CAIRE, Égypte – L’armée égyptienne a dû être déployée samedi dans la ville de Port Said où huit personnes ont été tuées dans des émeutes, après un verdict controversé rendu quelques heures plus tôt en lien avec les violences de février 2012 dans un stade de soccer.

Soixante-quatorze personnes avaient été tuées dans une bousculade et des affrontements, le 1er février 2012, alors que des partisans de l’équipe de Port Said en étaient venus aux coups avec ceux de l’équipe du Caire.

Un juge a condamné samedi 21 personnes à la peine de mort pour meurtres.

Peu après le verdict, deux policiers ont été tués par des proches des accusés qui tentaient d’entrer dans la prison où ils sont détenus. La réplique policière a fait six morts.

http://journalmetro.com/monde/228409/emeutes-en-egypte-apres-un-verdict-controverse/

UPDATE : 22 morts et 200 blessés à Port Said

Citation :

Egypte : 22 morts à Port-Saïd

Vingt-deux personnes ont été tuées et plus de 200 blessées samedi dans les violences à Port-Saïd (nord-est de l'Egypte), a annoncé le ministère de la Santé dans un nouveau bilan. Ces affrontements entre manifestants et forces de l'ordre ont éclaté après l'annonce de la condamnation à mort de 21 Egyptiens pour leur implication dans les violences meurtrières ayant suivi un match de football l'an dernier dans cette ville.

http://www.europe1.fr/International/Egypte-22-morts-a-Port-Said-1393497/

Euphorie au Caire après le verdict

Première vidéo des affrontements à Port Said,

Bilan : 26 morts

UPDATE : 36 morts à Port Said

Citation :

Égypte : l’UE appelle à la retenue après les violences de ces derniers jours

La représentante de la diplomatie de l’Union européenne, Catherine Ashton, a exprimé aujourd’hui sa « grande inquiétude » après les heurts dans la ville égyptienne de Port-Saïd, qui ont fait au moins 30 tués, et a lancé un appel au calme et à la retenue.

Les violences ont débuté samedi à Port-Saïd, quelques minutes après la condamnation à la peine capitale de 21 supporteurs du club local d’Al-Masry. Elles se sont déroulées au lendemain des manifestations contre le Président Morsi.

http://mediarabe.info/spip.php?breve12241

Chafik à réussi son coup .

Citation :

Égypte : le gouvernement a rétabli l'ordre à Port-Saïd



La police égyptienne et les troupes égyptiennes ont repris le contrôle de la ville de Port-Saïd, où à la suite des affrontements et des manifestations de samedi dernier, au moins 30 personnes ont été tuées, 300 personnes ont été blessées.

Actuellement, l'armée a rétabli l'ordre dans la ville en effectuant la patrouille des rues, mais les habitants sont toujours mécontents de la décision de la cour, qui a condamné 21 supporters de football à mort pour les émeutes de l'an dernier dans le stade de Port-Saïd, qui ont conduit à la mort de 74 personnes.

http://french.ruvr.ru/2013_01_27/Egypte-le-gouvernement-a-retabli-lordre-a-Port-Said/

Ryad, arrête ta propagande.



UPDATE : 45 morts à Port Said, toute la ville est sortie au funérailles des morts hier.

La population est en colère parce que les gens ont été attaqué par des bombes lacrymogène en funérailles

Une question aux experts; est ce c'est des tirs à balles réelles ?

Port Said

atlasonline a écrit:

Ryad, arrête ta propagande.



UPDATE : 45 morts à Port Said, toute la ville est sortie au funérailles des morts hier.

La population est en colère parce que les gens ont été attaqué par des bombes lacrymogène en funérailles

Port Said est en colère parce que il y a eu 21 condamnation à mort, Atlas ne mélangeons pas tout, dois-je te rappeler que les ultras d'Al Ahly ont étaient ravies au Caire ?

C'est du n'importe quoi, tout çà pour du football.

Question propagande

Citation :

… et des écoles en paient les pots cassés

Le ministère de l’Education nationale a dénoncé - dans un communiqué - les attaques et tentatives de prise d’assaut auxquelles ont été exposées certaines écoles limitrophes de la Place Tahrir, lors des manifestations du 25 janvier.


L’école «Al-Howayati» a été complètement pillée et incendiée, et il a été de même pour l’école «Al-Wassa’et», tout près de l’Université américaine.
La situation n’était pas meilleure, à l’école «Abo Bakr As-Sadiq» à Kom Ombo (Assouan), ni à l’école «Al-Attarine» à Alexandrie.
Dans son communiqué, le ministère de l’Education a souligné que les objectifs de la révolution étaient nobles, mais que l’état auquel a dégénéré la conjoncture était dramatique et déplorable.
Si la révolution demeure inachevée, cela exige plus d’épaulement et de resserrement des rangs et non pas davantage de divisions, a-t-on confirmé dans le communiqué.

http://213.158.162.45/~progres/index.php?action=news&id=19081