ça fait 15 ans qu'on nous casse la tête avec l'achévement l'objectif 10 millions de touristes, dont 50% sont des marocains d'origine européennes! notre tourismes est arrivé a la limites des politiques actuels! c'est structurel.
je serais de voir une visite au Brésil, Argentine, l'Inde,.... je sais que dérrière ce genre de visite y'a du concret.
les visites protocolaires ont un effet temporaires!
Je viens de lire le papier qui nous a fait réagir (j'aurais dû le faire avant). On n'y parle pas de zone de libre échange mais de partenariat stratégique.
Comme je l'ai dit plus haut, la dernière étude sur les effets des ALE sur l'economie a montré qu'elles ont eu un effet généralement négatif sur l'economie nationale: le textile detruit par l'ALE avec la Turquie de meme pour le secteur siderurgique (voir Maghreb Steel). Le secteur pharma mis à mal par l'ALE avec les USA, le secteur du transport routier international detruit par l'Union Europeenne (transporteurs Espagnoles)... Le Maroc ne se lancera pas dans une nouvelle ALE
Je viens de lire le papier qui nous a fait réagir (j'aurais dû le faire avant). On n'y parle pas de zone de libre échange mais de partenariat stratégique.
Comme je l'ai dit plus haut, la dernière étude sur les effets des ALE sur l'economie a montré qu'elles ont eu un effet généralement négatif sur l'economie nationale: le textile detruit par l'ALE avec la Turquie de meme pour le secteur siderurgique (voir Maghreb Steel). Le secteur pharma mis à mal par l'ALE avec les USA, le secteur du transport routier international detruit par l'Union Europeenne (transporteurs Espagnoles)... Le Maroc ne se lancera pas dans
Beaucoup de choses ont été négocié en situation de faiblesse et incompétence, cependant il y'a plusieurs façon de corriger les inconvénients d'une ALE sans revenir sur ses décisions.
Dans la situation actuelle d'un laisser faire relatif, en se promenant au marché, on peut constater une ALE avec la Chine, vue que nos moyens de contrôle sont troués de partout. En effet la Chine ne peut pas nous faire mal plus que ça, si un accord il y'aura, ça sera en bénéfice d'une implantation chinoise au Maroc, ce qui fera du mal aux anciennes ALE signés.
En résumé comme à été dis avant moi ici, il faut revoir nos équilibres.
aurait on pu batir un industrie auto et aero de cette envergure sans les avantages de ALE pour attirer les investisseurs ??
En partie non. Cependant sans un tissu industriel local, un jour en se retrouvera avec des multinationales qui s'envoleront ailleurs et nous laisseront des zones industrielles fantômes avec des villes en pleins révoltes sociales et de délinquances ingérables.
Il faut pas qu'on soit utilisé comme un atelier de main d'oeuvre pas chère jetable le jour venu.
Pour revenir à la question, ma réponse été en partie, vue que sans une ALE, les investisseurs seront venus mais pas à une grande cadence, d'abord nous offrons à eux plus que des ALE, mais des avantages, un climat d'affaires et des compétences locales. Nous avons une position géographique incontournable... Au niveau automobile ou aéronautique, il y'avait pas un tissu à protégé, donc nous ALE aurait été restreinte à quelques secteurs, mais nous avons ouvert les bras à tout sans pour autant gagner comme eux, donc il faut revoir certaines closes ou introduire des barrières non douanières.
WRANGEL General de Division
messages : 4496 Inscrit le : 28/11/2009 Localisation : france Nationalité : Médailles de mérite :
La chine inonde le monde avec sa production d'acier et de phosphate.
En plus ce pays produit plus de 70% des produits manufacturés dans le monde.
Il faut plutôt construire des partenariats gagnant-gagnant avec ce pays, surtout avec l'enrichissement du coût de travail en Chine et les ALE que nous avons déjà signés.
J'ai entendu dire que les Chinois été intéressé par le port Nador Med, mais ils veulent venir avec leurs propres salariés et investissements.
Cela, pose pour le moment un problème coté marocain.
A suivre ?!!
Si ca les fait renoncer a la construction et au financement du 1er port en eau profonde algerien et que ca ne concurrence pas tanger med why not?
_________________
""Qu'importe que je sois de mauvaise foi puisque je lutte pour une cause juste. Qu'importe que je lutte pour une cause injuste puisque je suis de bonne foi""
“L'histoire n'est que la géographie dans le temps, comme la géographie n'est que l'histoire dans l'espace.”
Socket-error General de Division
messages : 5938 Inscrit le : 03/04/2016 Localisation : ... Nationalité : Médailles de mérite :
Le journal El Khabar a publié un article ou ils parlent de la faiblesse de leur diplomatie en ce moment :
- Les relations avec la France et le soutien au Maroc - Le soutien des pays du CCG au Maroc et l'envoyé Algérien qui a servi à rien - Le groupe des 5 pour protéger le Sahel hors Alger - Les négociations Lyciennes au Maroc et la Tunisie hors Alger
Pour revenir au sommet CCG-Maroc, voici un bon article. L'auteur est interessant car le St Anthony's College (petit HS: leur Medrassa qu'ils ont copié de l'Université Al Qarawyine). http://english.alarabiya.net/en/views/news/middle-east/2016/04/22/A-gathering-of-Kings.html
Pour ce qui est des ALE et la question de Alloudi, est-ce que quelqu'un pourrait confirmer si l'usine Renault est en zone Off-shore. Si c'est le cas, elle sort du cadre de l'accord de libre échange et n'est donc pas impacté par l'ALE.
En aéronautique, je sais que la zone autour de Nouasseur est une zone offshore gerée par MedZ... donc en dehors des accords ALE.
Mais je ne suis pas contre les ALE. Au contraire, comme cela a été dit plus haut, avec une population de 40m de Marocains et leur pouvoir d'achat moyen, aucun industriel (international) ne s'implantera (avec une unité de production) au Maroc.
Le problème est que les ALE existants ont été très très très (cela en mérite plus) négociés et sans aucun accompagnement ni implication des industriels Marocains.
Dernière édition par alphatango le Lun 25 Avr 2016 - 0:22, édité 1 fois
Le journal El Khabar a publié un article ou ils parlent de la faiblesse de leur diplomatie en ce moment :
- Les relations avec la France et le soutien au Maroc - Le soutien des pays du CCG au Maroc et l'envoyé Algérien qui a servi à rien - Le groupe des 5 pour protéger le Sahel hors Alger - Les négociations Lyciennes au Maroc et la Tunisie hors Alger
L'encercleur encerclé, vue qu'ils étaient obsessionés par le Sahara, ils ont pas vue un encerclement plus large, et là kabylie comme cerise sur le gâteau.
L'aveuglement et l'obsession empêche de voir plus large et comprendre les bouleversements geostrategiques mondiaux. Mais surtout, une auto suffisance maladive, la mentalité bounif de puissance régionale, ils se croyaient être capable d'imposer leur rêves en jouant solo, alors qu'elle est insignifiante devant des groupements geostrategique régionaux, ils ont fait perdre à nos peuples décennies de progrès.
W MAZAL MAZAL, ils ont rien vue.
juba2 General de Division
messages : 6954 Inscrit le : 02/04/2008 Localisation : USA Nationalité : Médailles de mérite :
Une chose est sure,l'algerie ,les algereiens et algeriennes,gouvernement.peuples,partis politiques,journaux ,journalistes tout le pacquet ont eu une education et un apprentissage a la sovietique,ils vivent tous du haut en bas et du bas en haut leur revoulution et leur histoire qui a commence en 1962 aucun repaire avant cela que cela soit dans le domaine gouvermentale ou institutionel a se reposer sur.le fln et leur seule gouvernement de leur histoire soi disant millienaire qui a commence en 1962.
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messages : 5938 Inscrit le : 03/04/2016 Localisation : ... Nationalité : Médailles de mérite :
Le journal El Khabar a publié un article ou ils parlent de la faiblesse de leur diplomatie en ce moment :
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L'encercleur encerclé, vue qu'ils étaient obsessionés par le Sahara, ils ont pas vue un encerclement plus large, et là kabylie comme cerise sur le gâteau.
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Le top serai une reconnaissance des pays du ccg du MAK et la formation de leur armée par le Maroc...
badr le patriotique Sous lieutenant
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ça serait trop beau
_________________ ALLAH
AL WATAN AL MALIK
Shugan188 Modérateur
messages : 5278 Inscrit le : 12/05/2015 Localisation : Maroc Nationalité : Médailles de mérite :
الدوحة في 25 أبريل /قنا/ يصل جلالة الملك محمد السادس ملك المملكة المغربية الشقيقة إلى الدوحة يوم غد الثلاثاء في زيارة رسمية للبلاد. وسيعقد حضرة صاحب السمو الشيخ تميم بن حمد آل ثاني أمير البلاد المفدى وأخوه جلالة ملك المغرب جلسة مباحثات تتعلق بتعزيز علاقات التعاون بين البلدين الشقيقين في مختلف المجالات، بالإضافة إلى بحث عدد من القضايا ذات الاهتمام المشترك.
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L'encercleur encerclé, vue qu'ils étaient obsessionés par le Sahara, ils ont pas vue un encerclement plus large, et là kabylie comme cerise sur le gâteau.
L'aveuglement et l'obsession empêche de voir plus large et comprendre les bouleversements geostrategiques mondiaux. Mais surtout, une auto suffisance maladive, la mentalité bounif de puissance régionale, ils se croyaient être capable d'imposer leur rêves en jouant solo, alors qu'elle est insignifiante devant des groupements geostrategique régionaux, ils ont fait perdre à nos peuples décennies de progrès.
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Jamais insulter l'avenir
KapMajid Aspirant
messages : 517 Inscrit le : 03/08/2013 Localisation : Canada Nationalité : Médailles de mérite :
Avec l'algerie et son peuple il n'y a pas d'avenir,meme leur opposant a boutef insulte le Maroc et son sahara.l'algerie il faut oubloier pour toujours car l'avenir est tres tres morose.
Socket-error General de Division
messages : 5938 Inscrit le : 03/04/2016 Localisation : ... Nationalité : Médailles de mérite :
Un article intéressant du Monde sur la nouvelle stratégie diplomatique du Maroc
Citation :
Maroc : Le virage anti-occidental de Mohammed VI En savoir plus sur http://www.lemonde.fr/afrique/article/2016/04/26/maroc-le-virage-anti-occidental-de-mohammed-vi_4908979_3212.html#Ycq7PctQzD2KyLV2.99
Ce n’est pas encore un changement de doctrine, mais le discours prononcé par Mohammed VI, le 20 avril, à Riyad, est le signe d’une diplomatie chérifienne plus offensive. A la fois réaliste et populiste, anti-occidentale et d’abord souverainiste. Elle s’appuie sur de nouvelles alliances, comme l’illustre la récente visite d’Etat du souverain marocain à Moscou en mars.
Le mois suivant, dans la capitale saoudienne où il participait au premier sommet conjoint entre le Conseil de coopération du Golfe (CCG) et le Maroc, le roi a choisi de s’attaquer, sans les nommer, aux puissances qui, selon lui, « complotent » contre les pays arabes stables : comprenez les monarchies, celles du Golfe mais aussi la Jordanie et le Maroc.
Lire aussi : Le big-bang diplomatique de Mohammed VI
En évoquant un « automne calamiteux », c’est aussi la première fois que « M6 » dénonce publiquement les conséquences du printemps arabe. Une clarification qui semble en phase avec le basculement de l’opinion arabe sur le sujet.
D’après le sondage Asda’a Burston Marsteller, seuls 36 % des jeunes de 16 pays de la région pensent que le « printemps arabe » a été bénéfique pour leur région, contre 72 %, en 2012. Après avoir vanté la voie de la réforme - une nouvelle constitution en 2011 suivie de législatives anticipées et d’une alternance politique -, le pouvoir marocain assume désormais sa place au sein des régimes conservateurs qui ont combattu le printemps arabe.
Diplomatie sécuritaire et souverainiste
En 2011, en pleine tempête, le CCG avait invité le Maroc et la Jordanie à rejoindre le club très privé des monarchies arabes pétrolières. Rabat avait alors poliment décliné l’offre, tout en accueillant favorablement un « partenariat stratégique ».
En 2014, les pays du Golfe (Emirats arabes unis et Arabie saoudite en tête) ont ainsi apporté 28 % des investissements directs étrangers (IDE) du Maroc, pour un montant de 10, 2 milliards de dirhams, soit près d’un milliard d’euros. Selon la fédération des chambres du CCG, la valeur globale des IDE du Golfe devrait atteindre 120 milliards de dollars sur la période 2015-2024.
Lire aussi : Crise diplomatique entre l’UE et le Maroc : « Rabat a encore une fois agi sur un coup de tête »
Cette coopération entre deux extrémités du monde arabe - « de l’Océan [atlantique] au Golfe », selon l’expression héritée du panarabisme - paraît essentiellement motivée par des intérêts sécuritaires. Une rapide analyse lexicale de l’allocution royale trahit les fondamentaux du tournant souverainiste que prend la diplomatie marocaine.
Mohammed VI évoque à neuf reprises la « sécurité » du Maroc et de ses alliés arabes, quatre fois leur « stabilité » et trois fois leur « souveraineté ». Dans le même discours, l’« intégrité territoriale » du royaume est citée trois fois. Car l’objectif du coup de griffe royal est ailleurs. Devant ses pairs du Golfe, Mohammed VI dénonce des « atteintes » (quatre fois), des « menaces » (trois fois) et des « dangers » (deux fois). Un discours alarmiste appuyé par des expressions plus lourdes de sous-entendus : « coups de poignards dans le dos », « complot », « manigance », « épouvantail ».
Dans le viseur de Mohammed VI, il y a le secrétaire général des Nations Unies, Ban Ki-moon, coupable à ses yeux d’avoir qualifié d’« occupation », l’annexion par le Maroc du Sahara occidental. Une déclaration qui, de surcroît, avait été prononcée à Alger, principal soutien des indépendantistes sahraouis et rival régional du Maroc.
« Les choses en sont arrivées au point d’engager une guerre par procuration où le Secrétaire général des Nations Unies est instrumentalisé pour essayer de porter atteinte aux droits historiques et légitimes du Maroc concernant son Sahara », s’indigne Mohammed VI.
Lire aussi : La fermeté marocaine sur le Sahara occidental n’est pas une maladresse
Mohammed VI élargit aussi sa critique aux pays occidentaux, dans une posture d’anti-impérialisme de droite. Quelques jours avant son discours de Riyad, Mohammed VI adressait un message au sommet de l’Organisation de la Conférence islamique, où il dénonçait « une islamophobie grandissante et inquiétante » en Occident.
Africain et pourfendeur du colonialisme
Avant cela, à la tribune de l’Assemblée générale de l’ONU, en septembre 2014, Mohammed VI, qui ne s’était pas déplacé, avait fait lire par son premier ministre Abdelilah Benkirane un discours revenant sur les méfaits de la colonisation. « Aujourd’hui, après tous ces effets pervers [de la colonisation], ces États n’ont pas le droit d’exiger des pays du Sud un changement radical et rapide […] comme si le développement ne pouvait se réaliser qu’à l’aune d’un modèle unique : le modèle occidental. »
Pour le politologue Mohammed Tozy, directeur de l’Ecole de gouvernance et d’économie de Rabat, « il serait prématuré de parler de nouvelle doctrine de politique étrangère du Maroc. Ce qui caractérise la diplomatie royale, c’est d’abord une grande dose de pragmatisme ».
Selon M. Tozy, qui souligne « l’inconstance des alliés occidentaux du Maroc », le vrai tournant remonte au discours de Mohammed VI à Abidjan, en février 2014, déjà critique envers les anciennes puissances coloniales : « L’Afrique est un grand continent, par ses forces vives, ses ressources et ses potentialités. Elle doit se prendre en charge, ce n’est plus un continent colonisé. »
Le roi du Maroc énonçait déjà un positionnement souverainiste : « Il n’y a plus de terrain acquis, pas plus qu’il n’y a de chasse gardée. Ce serait une illusion de croire le contraire. » Comme en écho, il a repris ces mêmes paroles à Riyad, le 20 avril dernier : « Le Maroc est libre dans ses décisions et ses choix et n’est la chasse gardée d’aucun pays. »
Dans la foulée de sa visite à Moscou, il y a quelques semaines, Mohammed VI a confirmé un déplacement prochain en Chine. Deux pays non occidentaux et membres permanents du conseil de sécurité de l’ONU, où se joue chaque année le bras de fer entre Rabat et les grandes puissances au sujet du Sahara occidental. En se rapprochant tactiquement de Vladimir Poutine, plus populaire aujourd’hui dans les pays arabes que Barack Obama, la monarchie entend faire la preuve de son autonomie stratégique, tout en affûtant son discours anti-impérialiste de droite. Un équilibre délicat. Dans les années 1970, le mouvement des « non-alignés » avait échoué à dépasser la bipolarisation du monde. Le Maroc, lui, a-t-il choisi son camp ?
_________________ لك الله ياوطني
mourad27 Modérateur
messages : 7948 Inscrit le : 19/02/2012 Localisation : Kech Nationalité : Médailles de mérite :
il y a eu signature d'accord dont militaire (coupé au montage) on peu voir les FAR a 12:19 on les voit pendant la signature des accord civils mais ils disparaissent a la fin avec les autres ministres marocains
_________________
Citation :
"je veux pour le Maroc de dirigeants intelligeants , une jeunesse intelligente, apte a saisir les occasions a comprendre le siècle ou elle vie, a ne pas vivre a l'ombre du politisme, mais guidée par le perfectionnisme et surtout pas la réalisation et le réalisme " Hassan II 1996
Un article d'un certain James S. Robins sur usnews, fait la promotion du déplacement de l'AFRICOM de Stuttgart vers Tan Tan. Il dis que nous avions déjà refuser cela vue l'opinion publique défavorable au méfait de l'intervention US en Afghanistan et en Iraq. Il suppose que cette installation peut conforter nos " prétentions " sur le Sahara, que nous sommes un havre de paix et un grand allié des USA. malgré ce Refus il prétend que l'opinion publique à peut être changer d'avis vue le terrorisme en Syrie et Iraq.
Il faut savoir qu'une fois les USA se sont installé en Allemagne, ils sont intervenue dans la politique intérieure pour préserver cette installation, si nous faisons cela nous serons condamné à être mal vue en Afrique et dans le monde arabe, nous aurons des attentats terroristes en interne et avec fréquence, nous serons jamais souverain quant à nos Sahara et à notre politique extérieure souverainiste.....
Si le palais accepte cela, il se tire une balle dans la jambe.
WRANGEL General de Division
messages : 4496 Inscrit le : 28/11/2009 Localisation : france Nationalité : Médailles de mérite :
http://www.jeuneafrique.com/321456/politique/mansouria-mokhefi-algerie-cherche-a-reaffirmer-primaute-de-relations-russie/ a écrit:
Mansouria Mokhefi : « L’Algérie cherche à réaffirmer la primauté de ses relations avec la Russie »
La visite du Premier ministre algérien, Abdelmalek Sellal, en Russie, les 27 et 28 avril, s'inscrit dans une longue histoire de coopération entre les deux pays. Mais au delà de l'Algérie, le pays de Vladimir Poutine cherche à multiplier ses soutiens dans tout le Maghreb.
Le Premier ministre algérien, Abdelmalek Sellal, a entamé une visite officielle de deux jours en Russie ce 27 avril, à l’invitation du Premier ministre russe, Dmitri Medvedev. Ses dernières semaines, Moscou aura reçu les représentants des trois pays du Maghreb: le roi du Maroc, du 13 au 15 mars, et le ministre tunisien des Affaires étrangères, Khemaies Jhinaoui, le 14 mars. Quelle lecture pour ce rapprochement entre l’empire de l’Est et le Maghreb ? Interview de Mansouria Mokhefi, conseillère Maghreb-Moyen Orient à l’Institut français des relations internationales (IFRI), auteur d’une étude sur « Alger-Moscou : évolution et limites d’une relation privilégiée », parue dans la revue Politique étrangère en 2015.
Jeune Afrique : Les relations entre l’Algérie et la Russie sont historiques. Quelle est la portée de la visite actuelle de Abdelmalek Sellal à Moscou ?
Mansouria Mokhefi : En effet, les relations russo-algériennes se sont nouées pendant les années de la guerre de l’Indépendance (1954–1962) lorsque l’ex-URSS a apporté son appui politique au Front de libération nationale (FLN) et son soutien matériel à l’Armée de libération nationale (ALN). Son indépendance acquise, l’Algérie a adopté le modèle de développement socialiste et a sollicité l’expertise russe pour la construction de l’État algérien.
Pendant les années 1990, les deux pays se sont un peu éloignés à cause de la décennie noire en Algérie et de la chute de l’URSS. Mais elles ont repris sous Abdelaziz Bouteflika qui a initié, en 2001, la signature d’un partenariat stratégique entre les deux pays. Lequel accord est considéré comme une des premières manifestations du retour de l’Algérie sur la scène internationale. La visite de Sellal va donc concrétiser le volet économique de ce partenariat à travers la signature d’accords bilatéraux. Elle sera aussi l’occasion de conforter la convergence des deux pays sur les questions régionales et internationales.
Que pourrait apporter la visite de M. Sellal dans un contexte de chute des cours des hydrocarbures ?
Ils ne vont pas changer la situation du marché mondial. En revanche, ils sont concernés tous les deux par une chute des revenus qui se traduit par une baisse de leur PIB et des balances commerciales déficitaires. Pendant longtemps, Vladimir Poutine et Abdelaziz Bouteflika ont assis leur pouvoir sur le redressement de l’économie, favorisé par les prix élevés des hydrocarbures qui ont accru la rente de manière spectaculaire et leur ont permis à tous les deux de distribuer du pouvoir d’achat. En Algérie, cette redistribution, faite de subventions tous azimuts, a certes, permis d’acheter la paix sociale, mais elle est en train de s’effondrer. Dans les deux pays, les opinions publiques découvrent que les inégalités n’ont pas été réduites en réalité et que la corruption a augmenté.
Les relations entre l’Algérie et la France sont actuellement très tendues. En se tournant vers la Russie, Alger cherche-t-elle un contre-poids à Paris ?
C’est évident. Mais ce n’est pas nouveau. Malgré leurs liens historiques avec la France ou leurs relations avec les USA, les dirigeants algériens ont toujours préservé l’axe Alger-Moscou. D’autant que les deux capitales s’entendent très bien au niveau international. Fait nouveau, ses relations avec la France sont arrivées à un point de saturation, où il n’est plus possible d’aller plus loin.
Que voulez-vous dire ?
Je pense qu’il est temps que l’Algérie s’émancipe complètement de sa relation avec la France. C’est ce que veulent les dirigeants et l’opinion publique algériens. Il ne s’agit pas ici de minimiser le partenariat entre les deux pays, mais il faut que l’Algérie regarde au-delà de cette relation qui ne peut plus se développer. L’idée est d’établir un mariage « normal ».
La visite d’Abdelmalek Sellal intervient quelques semaines après celle du roi du Maroc. Que vous inspire cette concordance d’agenda ?
Alger veut s’affirmer en tant qu’acteur international qui a des relations diversifiées et qui dispose d’un contrepoids de taille face à l’Occident. Mais elle cherche aussi à réaffirmer la primauté de ses relations avec la Russie par rapport aux nouveaux liens que cette dernière est en train de tisser avec le Maroc.
Autrement dit, elle cherche à dire qu’elle reste le partenaire numéro 1 des Russes au Maghreb…
Elle l’est de fait. Les relations commerciales, même si elles sont relativement faibles , sont en croissance. Les deux pays ont la même lecture du printemps arabe, de la Libye à la Syrie, et Moscou reconnaît le rôle de puissance régionale de son allié algérien. Sur le plan militaire, 91 % des importations d’armes de l’Algérie sont originaires de Russie et elle a fait appel aux Russes pour construire la première centrale nucléaire algérienne.
Lorsque vous dites que l’Algérie cherche à affirmer son indépendance vis-à-vis de l’Occident, le roi du Maroc est un peu dans la même démarche et le dit d’une manière offensive. Comment expliquer ce vent frondeur qui traverse le Maghreb ?
L’Algérie a toujours défendu son autonomie et prôné la résistance aux interventions occidentales. L’approche marocaine est différente. Rabat est dans un processus d’élargissement de sa diplomatie, partant d’un sentiment général dans le monde arabe qui prend ses distances avec l’occident, vu les dégâts occasionnés par l’intervention de ce dernier en Libye et en Syrie. Les pays occidentaux sont en perte d’influence. Les Américains sont en train de devenir une puissance pacifique et ne se sentent plus concernés par les conflits.
Ajoutés à cela, de nouveaux acteurs émergent sur la scène internationale comme la Turquie, l’Arabie saoudite, ou encore l’Iran. Pour moi, le Maroc s’est aperçu des limites de son alliance avec un Occident, perçu comme nuisible. Il veut s’affranchir de son monopole pour s’affirmer en tant qu’acteur diplomatique global qui a des solutions pour lutter contre la diffusion des idées jihadistes (islam modéré, diplomatie culturelle en Afrique). Les Russes, confrontés au jihadisme, sont évidemment intéressés.
Entre le Maroc et l’Algérie, comment la Russie peut-elle se positionner sur la question du Sahara occidental ? Il y a quelques semaines, Vladimir Poutine assurait le Maroc de son soutien…
La Russie a soutenu le Maroc dans son conflit avec le secrétaire général de l’ONU, Ban Ki-moon, mais elle n’a pas pris une position qui mettrait en danger ses relations avec l’Algérie. Gardons à l’esprit qu’elle est restée neutre sur le dossier du Sahara occidental. Ce qui a changé, c’est qu’aujourd’hui, il est dans l’intérêt des Russes de rééquilibrer leurs relations avec les deux frères ennemis. Ils voient bien que la position algérienne sur le Sahara est en perte de vitesse. Au moment où Rabat avance dans sa gestion sur le terrain, l’Algérie continue de réclamer un référendum d’auto-détermination qui n’a pas vraiment de soutiens en France et dans le reste de l’Europe. Or, toute politique étrangère est dictée par des intérêts. En l’occurrence, il est dans l’intérêt des Russes de diversifier leurs ventes d’armes en ayant le Maroc comme client. Comme ils ont tout intérêt à s’appuyer sur le royaume de Mohammed VI, vu son expertise africaine, pour conquérir l’Afrique et y devenir un acteur économique, diplomatique est stratégique.
Voila, l'algerie est deja et depuis longtemps a son maximum en terme d'attractivité pour la russie. ( Pour avoir une idée de l'étendue du partenariat strategique dz/russie et des resultats de la visite de sellal voila ce qui a été signé: "mémorandum d’entente dans le domaine de l’Habitat, un programme de coopération culturel algéro-russe 2016-2018, un accord de coopération entre l’Agence de presse algérienne (APS) et Rossiya Segodnya, un mémorandum d’entente entre le Commissariat à l’énergie atomique (COMENA) et la corporation d’Etat russe (Rosatom), un mémorandum d’entente entre l’Agence nationale de promotion et développement des parcs technologiques (ANPT) et la Fondation Skolkovo".)
Nous on arrive a peine et les russes voient bien, comme le souligne l'intervenante, que les potentialités economiques et diplomatiques (maintenant que nous avons officiellement dis ce que nous pensons des manoeuvres de l'occident nous sommes peu ou prou sur la meme longueur d'onde que moscou) sont sans commune mesure avec celles que peut offrir l'algerie. Le jour ou nous avons jugé opportun de nous rapprocher de la Russie on y est allé avec du biscuit.
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“L'histoire n'est que la géographie dans le temps, comme la géographie n'est que l'histoire dans l'espace.”
juba2 General de Division
messages : 6954 Inscrit le : 02/04/2008 Localisation : USA Nationalité : Médailles de mérite :
Ameqran l'interet nationale supreme d'abords cela se concote il ya longtemps maintenant tu as trouve l'aiguille dans le foins pourquoi les USA font tout cela avec pokemon,si les USA reconnaisse l'administration Marocaine sur le sahara en l'appuyant au CS comme Bush voulait faire mais le pettit sarko a dit non,on enmene meme le pentagone.Maroc d'abird ou tabaki taht esseka dial tren.
on donne plus d'importance a une femme fidele qu'a celle qui change de lit, meme si le maroc change d'allaince ou se rapporche par interet strategique les russes savent a quoi s'attendre et qu'en fonction d'autre interet elle changera a nouveau de lit. c'est une image mais ca reflete les relations de confiance qu'il peut y avoir entre etat
juba2 General de Division
messages : 6954 Inscrit le : 02/04/2008 Localisation : USA Nationalité : Médailles de mérite :
Cela dans le domaine de politque et financier onl' applele change de copine et ne pas etre une seconde maitresse comme vous et la france(sorry).Avoir le sexe toujours au lit c'est ennuyeux il faut un peu epicer sa vie et la rendre un peu excitante,c'est ce qu'on appelle spicing your life little.Et surtout ne pas terminer comme une vieille femme laide,pas attirant et seule.Je m'excuse aupres des vieilles femmes je voulais juste donne un example.
Ven 31 Juil 2015 - 20:10
, sont en croissance. Les deux pays ont la même lecture du printemps arabe, de la Libye à la Syrie, et Moscou reconnaît le rôle de puissance régionale de son allié algérien.