Actualités Algeriennes

Sujet: Actualités Algeriennes Lun 28 Mar 2016 - 23:04

Rappel du premier message :

Fulcrum a écrit:: ils ne restent pas a bechar pour entrer au maroc, il reste a bechar pour y trouver du travaille dans la construction, les violence ont commencé suite au l'agresson d'une petite fille, il y a d'apres la police aucune trace de ce crime mais le bouche a oreille fait son chemin et la population s'est retourné contre des migrant accusé de ce crime. etant tres nombreux les affrontement on pris une ampleur importante. il faut arreter de tout lié au maroc comme si tout votre malheur venez de l'exterieure

c'est surement un de nos espions Marocains qui est à l'origine de cette fausse info qui passe de bouche à l'oreille. désolé!!!

Invité

C'est une bonne chose, ça va obliger les constructeurs à cinq planté et à faire travailler les usines local de production de pièces détachées, il y aura toujours un taux d'intérgration très bas mais qui ira en augmentant les donnera du travail aux usines de pièces détachées qui vont suivre le mouvement, il faut que le privé ne rate pas le coche

Les obliger ? Nul n'est obligé. A 80 000 véhicules/an le marché est trop restreint (en moyenne 15 000 vh pour les grandes marques) pour qu'un constructeurs "s'oblige" a s'implanter. La belle époque des 400 000 vh est derrière vous. La baisse de 30% du dinar a renchéri d'autant le prix des vh. Sans compter le différentiel de productivité pour les pièces locales qui vont également renchérir le prix final.
Vous dispersez inutilement vos efforts à courir tous les constructeurs...faut se concentrer sur un bon projet et le mener à son terme. La réussite effective d'un seul projet a plus sûrement un effet d'entraînement que 10 projets qui n'avancent pas. Et n'avanceront pas. Les opérateurs regardent ce qui se passe et écoutent peu les promesses et encore moins les menaces.

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Actualités Algeriennes - Page 33 Marche12

Tu remplaces angola par algerie et sonangol par sonatrach et tout y est.

http://www.agenceecofin.com/gestion-publique/2306-39048-piege-par-la-chute-des-cours-du-petrole-l-angola-est-a-court-de-reserves-de-change a écrit:: Piégé par la chute des cours du pétrole, l’Angola est à court de réserves de change
(Agence Ecofin) - L’Etat angolais est à court de réserves de change pour payer la facture de ses importations parce que la société publique en charge du pétrole n’a pas contribué à renflouer les caisses publiques depuis janvier 2016. Tels sont des propos tenus mercredi par José Eduardo dos Santos (photo), le président du premier pays producteur de pétrole brut en Afrique.

Il faut souligner que le pays, qui est presqu’entièrement dépendant de l’or noir, importe beaucoup plus qu’il n’exporte. « Notre pays vit pratiquement sur les importations de denrées alimentaires, de matières premières, de produits manufacturés pour l'industrie, l'agriculture, la construction et autres », a-t-il déclaré en présence des ministres et de certains hauts cadres de l’administration. Le pétrole représente à lui seul 40% du PIB angolais, 95% des recettes en devises et plus de 90% du total des exportations.

La contribution de la Sonangol, dirigée depuis début juin par sa fille Isabel, représentaient il y a peu 60% des recettes totales du gouvernement mais la firme a arrêté de verser ses redevances après la chute des prix du pétrole. Une situation qui a conduit à des problèmes de flux de trésorerie au niveau de l’Etat qui envisage désormais sérieusement d’enclencher la diversification de son économie. «Par-dessus tout, nous avons besoin de miser sur d’autres produits à exporter, outre le pétrole. Et cela s’avère être une tâche stratégique», a-t-il dit.

La pénurie de devises a conduit récemment à la naissance d’un marché noir florissant, s’est désolé un officiel. L’Angola a mis en place un certain nombre de mesures pour contrôler les flux qui sortent du pays, en l’occurrence la réduction du montant des devises que les voyageurs sont autorisés à transporter à l’étranger. Le pays a récemment sollicité l’aide du FMI pour l’aider à sortir de cette situation qui risque de conduire à une implosion sociale.

Encore un de nos amis africains qui boit la tasse.

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""Qu'importe que je sois de mauvaise foi puisque je lutte pour une cause juste.
Qu'importe que je lutte pour une cause injuste puisque je suis de bonne foi""

Actualités Algeriennes - Page 33 VUO9YX1

“L'histoire n'est que la géographie dans le temps, comme la géographie n'est que l'histoire dans l'espace.”

Allah yzidhoum et je crois que c'est parti pour un certain temps

Amine

Fulcrum a écrit:: C'est une bonne chose, ça va obliger les constructeurs à cinq planté et à faire travailler les usines local de production de pièces détachées, il y aura toujours un taux d'intérgration très bas mais qui ira en augmentant les donnera du travail aux usines de pièces détachées qui vont suivre le mouvement, il faut que le privé ne rate pas le coche

Ça va riens obliger, a cette allure il y aura juste deux ou trois marque automobile, qui jouerons le jeu, installer une usine d'assemblage, exporter leur véhicule en pièce détacher, en gros taux d'intégration 0% et comme vos dirigeant on beaucoup de Nif elle seront éligible au crédit a la consommation, une vrai farce ce pays.

Invité

mox a écrit:

Fulcrum a écrit:: C'est une bonne chose, ça va obliger les constructeurs à cinq planté et à faire travailler les usines local de production de pièces détachées, il y aura toujours un taux d'intérgration très bas mais qui ira en augmentant les donnera du travail aux usines de pièces détachées qui vont suivre le mouvement, il faut que le privé ne rate pas le coche

Ça va riens obliger, a cette allure il y aura juste deux ou trois marque automobile, qui jouerons le jeu, installer une usine d'assemblage, exporter leur véhicule en pièce détacher, en gros taux d'intégration 0% et comme vos dirigeant on beaucoup de Nif elle seront éligible au crédit a la consommation, une vrai farce ce pays.

chacun son mode de développement les 2 sont critiquable, le but est de creer une industrie algerienne, c'est un chemin tres long qui ne peut reussir que grace au industrielle privée qui peuvent suivre en produisant ce dont cette industrie aura besoin pour grandir.
on ne peut pas comparer l'industrie automobile implanté au maroc avec celle qu'essai de créer l'algerie, dans votre cas c'est plus rapide puisque ce sont des industrie etrangere qui s'installe pour profiter d'une main d'oeuvre moins cher, on verra a l'avenir ce que donnera cette industrie.
le seul reproche que je peux faire c'est d'avoir attendu la crise pour obligé les industriels a produire sur place pour vendre.

la crise est mondial, nous somme touché par la baisse des prix mais les autres pays qui ne sont pas dependant du petrole traverse eux aussi une crise, nous nageons tous dans la crise inutile de croire que certain s'en sortiront mieux que d'autres dans la region.

chute du prix du pétrole après le Brexit. ca sonne la musique dans mes oreilles. lah yzidhoum...

http://affaires.lapresse.ca/economie/energie-et-ressources/201606/24/01-4994993-le-petrole-ouvre-en-baisse-de-5-a-new-york.php

http://www.boursorama.com/actualites/brexit-krach-boursier-chute-de-la-livre-chute-du-petrole-l-or-bondit-f4dfe8dffacf1e926f8c6da55a80f638

Invité

bradli23 a écrit:: chute du prix du pétrole après le Brexit. ca sonne la musique dans mes oreilles. lah yzidhoum...

http://affaires.lapresse.ca/economie/energie-et-ressources/201606/24/01-4994993-le-petrole-ouvre-en-baisse-de-5-a-new-york.php

http://www.boursorama.com/actualites/brexit-krach-boursier-chute-de-la-livre-chute-du-petrole-l-or-bondit-f4dfe8dffacf1e926f8c6da55a80f638

tout a chuter, c'est conjoncturel le temps que les marché se reprenne suite au brexit. tu pourra faire une danse du ventre plus tard.

La danse du ventre est d'origine turque on ne la maîtrise pas comme vous vu que les turques ont étaient maîtres de ce territoire qui a pour nom l'Algérie hhhhhh

Fulcrum a écrit:

mox a écrit:

Fulcrum a écrit:: C'est une bonne chose, ça va obliger les constructeurs à cinq planté et à faire travailler les usines local de production de pièces détachées, il y aura toujours un taux d'intérgration très bas mais qui ira en augmentant les donnera du travail aux usines de pièces détachées qui vont suivre le mouvement, il faut que le privé ne rate pas le coche

Ça va riens obliger, a cette allure il y aura juste deux ou trois marque automobile, qui jouerons le jeu, installer une usine d'assemblage, exporter leur véhicule en pièce détacher, en gros taux d'intégration 0% et comme vos dirigeant on beaucoup de Nif elle seront éligible au crédit a la consommation, une vrai farce ce pays.

chacun son mode de développement les 2 sont critiquable, le but est de creer une industrie algerienne, c'est un chemin tres long qui ne peut reussir que grace au industrielle privée qui peuvent suivre en produisant ce dont cette industrie aura besoin pour grandir.
on ne peut pas comparer l'industrie automobile implanté au maroc avec celle qu'essai de créer l'algerie, dans votre cas c'est plus rapide puisque ce sont des industrie etrangere qui s'installe pour profiter d'une main d'oeuvre moins cher, on verra a l'avenir ce que donnera cette industrie.
le seul reproche que je peux faire c'est d'avoir attendu la crise pour obligé les industriels a produire sur place pour vendre.

la crise est mondial, nous somme touché par la baisse des prix mais les autres pays qui ne sont pas dependant du petrole traverse eux aussi une crise, nous nageons tous dans la crise inutile de croire que certain s'en sortiront mieux que d'autres dans la region.

C'est le principe de toutes délocalisation les grand groupe vont la ou la main d'œuvre est moins chère , dans le cas de l'Algerie ce n'est même pas une question de coup financier, le but est de contournée les restriction sur les importation, ça n'a riens a voir avec un développement industrie .

Les entreprise étrangère tu es obliger de composée avec, ils ont le savoir faire et la technologie, ce qu'il faut voir en ce qui nous concerne ces le transfert de technologie la formation et surtout la création d'emploie et le savoir faire, tu ne peut pas développer un tissus industriel en les excluants. Sinon tu commencera comme eux a savoir commencer a fabriquer une charrette avant de découvrir la roue a vapeur.

Invité

les chinois on commencer par de la main d'oeuvre pour les groupes étrangers les voila maintenant avec leurs propres entreprises

Invité

ils viennent aussi vite qu'ils peuvent repartir, sans compter sur la pression qu'ils peuvent avoir sur un gourvernement avec la menace de quitter le pays avec leurs usines.

Chacun son choix de developpement, mais selon ma vision des choses je prefere un développement lent et souverain qu'un developement rapide et soumis .

dans les 2 cas il y a du positif et du negatif rien ne peut etre parfait

Altay a écrit:: les chinois on commencer par de la main d'oeuvre pour les groupes étrangers les voila maintenant avec leurs propres entreprises

les chinois etaient loin d'etre une terre vierge d'industrie avant l'arrivé des occidentaux.

Fulcrum a écrit:: ils viennent aussi vite qu'ils peuvent repartir, sans compter sur la pression qu'ils peuvent avoir sur un gourvernement avec la menace de quitter le pays avec leurs usines.

Chacun son choix de developpement, mais selon ma vision des choses je prefere un développement lent et souverain qu'un developement rapide et soumis .

dans les 2 cas il y a du positif et du negatif rien ne peut etre parfait.

Vous aviez eu 60 ans à développer une économie solide et souveraine ,et dernièrement 15 ans de boom de recette de pétrole .Au lieu d'acheter de la technologie à travers des acquisitions des entreprises à l'international et développer une économie exportatrice .vous n'avez rien fait .Vous auriez pu être une Corée de sud de l'Afrique .
Au lieu de ça , l'Algérie est dépendante en totalité de l'étranger dans tous ses besoins .
Selon ma vision des choses,vous avez pas une économie en sens propre du terme , puisque vous ne produisait rien.

Invité

c'est bien de sortir les choses de leurs contexte, mais avec la monté des prix du petrole en 2001 l'algerie sortait d'une guerre civile qui a tout ravagé, cette argent a permis de comblé un retard d'infrastructure tres important il fallait le faire vite. Impossible de compter sur les ressource interne, il fallait faire vite et le peuple qui a vecu 10 année de privation voulait des retombé rapide, comme l'electrcité h24 ou l'eau ainsi que le transport ferroviaire ou autoroute et aussi rembourse les dettes par anticipation qui valait plusieurs 10ain de milliards.

des choses ont etait faite par des groupes BTP ou autre mais trop lentement comparé au etrangé. le timming etait tres important
c'est chose la son aussi a la base d'un développement industriel.

comment avoir une industrie sans possibilité logistique ? aujourd'hui c'est chose faite, la logistique est la, si nous avions acheté des entreprise comme tu le dis avec un fond souverain, aujourd'hui avec la chute du petrole, on se serai retrouver sans marge de manoeuvre ....

et la tu aurais dit, au lieu d'acheter des societé etrangere vous auriez mieux fait de garder de l'argent de coté ... Bref faire des SI ne sert a rien.

Je reste dans mon optique de developement lent et souverain. Je ne ni absolument pas les erreure politique au passage

Invité

de quel souveraineté tu parle tous ce qui existe en algerie que ce soit metériel et des services viennent de l'etranger vous n etes meme pas capable d'extraire votre petrole et gaz et tu nous parle de souveraineté

retourne dans ton forum algeriens ici on va pas gober vos conneries

Tant qu'il y a des personnes comme ce Fulcrum en algérie, il n'y aura ni économie, ni éducation et encore moins un pays au sens propre du terme...

Il s'auto-proclame expert militaire, expert en économie, expert en politique, Imam, medecin chirurgien, Expert en danse du ventre, expert en Mathématique et pysique (je suis sûr qu'il n'a pas eu son bac)....un peu à l'image de la junte qui a confisqué le pouvoir des algériens

Fulcrum a écrit:: c'est bien de sortir les choses de leurs contexte, mais avec la monté des prix du petrole en 2001 l'algerie sortait d'une guerre civile qui a tout ravagé, cette argent a permis de comblé un retard d'infrastructure tres important il fallait le faire vite. Impossible de compter sur les ressource interne, il fallait faire vite et le peuple qui a vecu 10 année de privation voulait des retombé rapide, comme l'electrcité h24 ou l'eau ainsi que le transport ferroviaire ou autoroute et aussi rembourse les dettes par anticipation qui valait plusieurs 10ain de milliards.

des choses ont etait faite par des groupes BTP ou autre mais trop lentement comparé au etrangé. le timming etait tres important
c'est chose la son aussi a la base d'un développement industriel.

comment avoir une industrie sans possibilité logistique ? aujourd'hui c'est chose faite, la logistique est la, si nous avions acheté des entreprise comme tu le dis avec un fond souverain, aujourd'hui avec la chute du petrole, on se serai retrouver sans marge de manoeuvre ....

et la tu aurais dit, au lieu d'acheter des societé etrangere vous auriez mieux fait de garder de l'argent de coté ... Bref faire des SI ne sert a rien.

Je reste dans mon optique de developement lent et souverain. Je ne ni absolument pas les erreure politique au passage

Oui mais la guerre civile est resté confinée dans le maquis, les villes n ont subit se que la Syrak subit aujourd'hui. ....vos murs sont rester debout .....et d ailleurs cest bien vos dirigeants qui ont monter de toute pièce cette guerre en représaille au peuple qui avait choisi par les urnes d'autres représentants pour le pays .

Vos Caporaux ont détruits l Algérie économiquement et politiquement et veullent faire croire aux algériens qu'avec ces mesurettes ,pourrons redresser le économiquement le pays ........comme on dit chez nous "dakom lwad" ......fulcrum tu joues un peu le rôle de cet orchestre dans le titanic pendant son nofrage comme si tout aller pour le mieux ........

Fulcrum a écrit:: c'est bien de sortir les choses de leurs contexte, mais avec la monté des prix du petrole en 2001 l'algerie sortait d'une guerre civile qui a tout ravagé, cette argent a permis de comblé un retard d'infrastructure tres important il fallait le faire vite. Impossible de compter sur les ressource interne, il fallait faire vite et le peuple qui a vecu 10 année de privation voulait des retombé rapide, comme l'electrcité h24 ou l'eau ainsi que le transport ferroviaire ou autoroute et aussi rembourse les dettes par anticipation qui valait plusieurs 10ain de milliards.

des choses ont etait faite par des groupes BTP ou autre mais trop lentement comparé au etrangé. le timming etait tres important
c'est chose la son aussi a la base d'un développement industriel.

comment avoir une industrie sans possibilité logistique ? aujourd'hui c'est chose faite, la logistique est la, si nous avions acheté des entreprise comme tu le dis avec un fond souverain, aujourd'hui avec la chute du petrole, on se serai retrouver sans marge de manoeuvre ....

et la tu aurais dit, au lieu d'acheter des societé etrangere vous auriez mieux fait de garder de l'argent de coté ... Bref faire des SI ne sert a rien.

Je reste dans mon optique de developement lent et souverain. Je ne ni absolument pas les erreure politique au passage

Ce que j'ai bien compris ,est que tu compare un état à une mère qui doit donner son sein à son bébé pleurant pour qu'il se tait. Une mère qui doit maître de l'argent dans l' "mkhda l dwair zmane"
Je rentrais pas dans les détails de la décennie noir , qui pour moi n'était pas une guerre civile , mais les problèmes de l'Algérie ne résident pas dans sa logistique.l'Algérie a un problème de gouvernance , et de manque de vision .

il me fait triper fulcrum quand il deploit sa science économique infuse

juste un conseil : reste dans le sujet et évite de glisser le Maroc dans tes fatwa économiques ce que tu as tendance a faire depuis un moment

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Actualités Algeriennes - Page 33 477237Sanstitre

Citation :: "je veux pour le Maroc de dirigeants intelligeants , une jeunesse intelligente, apte a saisir les occasions a comprendre le siècle ou elle vie, a ne pas vivre a l'ombre du politisme, mais guidée par le perfectionnisme et surtout pas la réalisation et le réalisme "
Hassan II 1996

l’Algérie a un manque de jugement et de vision a long terme. lorsque le prix du baril frôlait les 100 dollar au lieu de bien investir les recettes générer par la rente pétrolière ils ont dilapidé cet argent avec des mesures un peu irréfléchis comme :

1) faire tomber les dettes des pays d’Afrique (qlqs Milliards) ils l'ont regretté après.
2) subventionner des projets colossales qui n'ont aucune valeur ajoutée pour l'économie si ce n'est pour satisfaire l’ego démesuré de fakamtou (projet du grand mosquée d’Alger un fiasco architectural dont les épisodes de rafistolage n'ont finissent pas..).
3) des projets qui ont engloutis des milliards avec corruption et sans résultat sur l'économie (projet autoroute est ouest, affaire devant les tribunaux pour fraude et corruption).
4) des contrats d'armements démesurés (contrats dépassants les menaces réels qui pèsent sur le pays (on dirait que le pays se prépare contre une invasion de l'OTAN, le régime a la chiasse après la chute des régimes républicains similaires, ce qui explique sa dent contre la coalition des monarchie du golf avec le Maroc..)

ils se sont réveillé maintenant quand ils ont commencé a ressentir le danger, sauf qu'ils ne peuvent pas réussir en 5 ans en condition de crise ce qu'ils n'ont pas pu réussir a faire en 15 ans de période faste.

Invité

Vu que les opérations anti-terroristes se multiplient en algérie je poste cet article qui date un peux, mais qui soulevé des points importants !

Citation :: Algeria’s Military Makeover

ABDALLAH BRAHIMI

The pro-Bouteflika camp is trying to show skeptics that it can more fully direct Algeria’s military—and the military is operating more effectively—without the DRS.
April 19, 2016

Following the dismantling of the once-powerful Department of Intelligence and Security (DRS), Algeria’s government is making efforts to demonstrate its control of the military, as was on display as the military ramped up its counterterrorism operations in March. With these operations, President Abdelaziz Bouteflika and his allies are not only trying to demonstrate to elites linked to the former DRS that they do indeed have full control over the security forces, but also to rebuild popular confidence in the Algerian military’s ability to maintain public security. Furthermore, the Algerian government is sending a message to France, its neighbors in the Sahel, and other countries interested in regional security that Algeria is still the dominant player. However, reasonable doubts remain over whether the Algerian military is capable of managing regional security issues on its own.

Bouteflika’s allies disbanded the DRS in January by presidential decree, soon after removing General Mohamed “Toufik” Mediene as its head in September 2015. Toufik’s effort to investigate corruption in Sonatrach, the state hydrocarbon company—specifically its pro-Bouteflika former head, Chakib Khelil—had upset the president’s camp. More significantly, Toufik was blamed for failing to secure the Tiguentourine gas facility at In Amenas in 2013, when a militant group linked to al-Qaeda in the Islamic Maghreb (AQIM) took several hostages, dozens of whom were killed. In place of the DRS, the government has created a new intelligence service, the Security Services Department (DSS), under the direct authority of the presidency. However, although the pro-Bouteflika camp has since cast Algeria’s past security failures as the fault of the DRS while showing off their own skills, continuing attacks undermine this narrative.

On March 11, the Algerian army reported that it “neutralized” three Islamist radicals, among them AQIM brigade leader Feth el-Moubine, near the eastern city of El Oued. They also reportedly recovered a large number of heavy weapons, including six anti-aircraft missiles, three rocket grenade launchers, and more than 20 guns. Yet a week later, on March 18, al-Qaeda militants attacked In Salah’s Khrechba gas plant, joint operated by Algeria’s Sonatrach, Norway’s Statoil, and British Petroleum companies. Although this attack, which was carried out using rocket-propelled grenades, caused no damage or casualties, it directly challenged the Algerian authorities’ claim that they defeated terrorism. Taunting the Algerian authorities, AQIM’s official statement questioned how they would justify the security situation to their “Western masters.”

The army carried out several other counterterrorism operations throughout March, including seizures of arms or munitions. However, rather than highlighting the competence of the security forces, these operations may be creating more public anxiety by drawing attention to the growing number of well-armed threats to Algeria, which has faced relatively few in recent years. Though AQIM has been a threat for nearly a decade, Algerian security forces are now also facing increased threats from the Islamic State, which has been growing as a result of the political and security vacuum in Libya and whose affiliate Jund al-Khilafa killed French tourist Herve Gourdel on Algerian soil in September 2014. Two other small groups, Ansar al-Khilafa and Serriyat al-Ghuraba, operating in the Skikda and Constantine provinces respectively, have pledged allegiance to the Islamic State as well.

Since the 2013 attack on In Amenas that killed 40 oil workers, the Algerian army has moved to secure the oil and gas plants by improving military checkpoints near them and increasing video and air surveillance of these facilities. In response to the recent attack at In Salah, the Algerian army has deployed an additional 5000 troops to secure southern gas plants and announced plans to strengthen security along the borders with Libya, Mali, and Niger, as well as to increase the role of the air force in antiterrorist operations. The army is trying to show to the world that those attacks were the result of the DRS’s inefficient counterterrorism tactics, not only at In Amenas but going back decades. Amar Saidani, head of the National Liberation Front (FLN), has even cited the DRS for failing to prevent the assassination of President Mohamed Boudiaf in 1992 and the failed assassination attempt on President Bouteflika in Batna in 2007.

Domestically it is mainly Toufik’s allies and those linked to the DRS itself, including former officers and retired generals, who are worried that the Algerian army cannot fight terrorism without it. However, there is a general perception that all of Algeria’s old institutions—the DRS, but also other security services and the civilian government—are untrustworthy. This broader problem of credibility has been compounded by renewed allegations of corruption within the former DRS. In January, the U.S. Department of State released some of the personal emails of former Secretary of State Hillary Clinton. One of those emails, subsequently reprinted in Algerian press on March 17, revealed an alleged link between the DRS and Mokhtar Belmokhtar, leader of the AQIM-allied Mourabitoun Brigade. The new reporting alleges that Belmokhtar aided the DRS in a 2012 operation to rescue an Algerian consul taken hostage in Mali and followed its urging to “attack Moroccan interests in Western Sahara.” This information has put all Algerian institutions in a very embarrassing situation.

Algeria’s neighbors are even less certain Algeria’s security failures are over. Feeling that Algeria is unpredictable in fulfilling its security responsibilities, the G5 Sahel (Mali, Mauritania, Burkina Faso, Niger, and Chad) decided to launch their own project to secure the region. As reported by Le Monde, the G5 Sahel intends to open a military training school in Nouakchott, create a rapid intervention force, and step up joint border patrols. This has been set up without the participation of Algeria, partly because the Joint Military Staff Committee (CEMOC)—a regional counterterrorism cooperation mechanism created by Algeria in 2010 and headquartered in Tamanrasset—was seen as ineffective. For example, Algeria did not respond to Malian requests for military assistance when jihadis advanced toward Bamako in January 2012. And in May 2013, Algeria did not help Niger stop terrorist attacks in Agadez and Arlit. These states furthermore believe that Algeria has backed most, if not all, of the terrorist groups in the Sahel.

Yet Algeria had never designed the Tamanrasset-based CEMOC initiative to actually work. It was instead a successful publicity stunt to convince the West it had regional threats under control and to dissuade Western states from intervening more directly in the Sahara and the Sahel. However, Algeria’s poor track record in coordinating regional responses to counterterrorism has a negative impact on its more recent plans to project the appearance of security and control. France, concerned that an extended military footprint in the Sahel makes it an even greater target for jihadis, is backing the G5 initiative as a means of reducing its own military presence and commitments in the Sahel.

Though Algeria has not asked to be part of the G5 Sahel project, it had expected to be included. And Algeria’s expertise and extensive knowledge of militant groups across the Sahel is invaluable to the success of any multilateral security mechanism. Rather than focusing on the public appearance of competence among security forces, Algerian authorities have the opportunity to launch a more effective security strategy if there are genuine moves toward greater regional coordination and information sharing. An international security conference organized by the Ministry of Defense and scheduled to take place at the University of Blida on May 4-5 is one step in this direction, and the specter of the Islamic State could play a key role in prompting further collaborative moves.

http://carnegieendowment.org/sada/?fa=63373

mourad27 a écrit:: il me fait triper fulcrum quand il deploit sa science économique infuse

juste un conseil : reste dans le sujet et évite de glisser le Maroc dans tes fatwa économiques ce que tu as tendance a faire depuis un moment

EXCELLENT..........

j'aime bien Fulcrum si si , mais des fois..............Il fait " keskian na "...........

LE MAROC est entrain de devenir un vrai booster économique, confirmé par un banquier avec qui j'ai déjeuné sur Paris...........

mais nous verrons tout ca d'ici 10 ans ..........

Citation :: Algérie- Chute de plus d'un milliard USD des importations de véhicules sur les 5 premiers mois
Fixé initialement à 152.000 unités pour l'année 2016, le contingent quantitatif d'importation des véhicules a été réduit à 83.000 unités.

La facture d'importation des véhicules a reculé à près de 555 millions de dollars (usd) durant les 5 premiers mois de 2016 contre 1,72 milliard usd durant la même période de 2015, soit une baisse de 1,165 milliard usd (-68%), a appris l'APS auprès des Douanes. Quant aux quantités importées, elles ont chuté de 75% avec 35.925 véhicules importés entre début janvier et fin mai 2016, contre 144.060 unités sur les cinq premiers mois de 2015, soit une réduction de 108.135 véhicules, selon les données provisoires du Centre national des statistiques des Douanes (CNIS).

Par concessionnaire, les baisses ont oscillé entre 2% et 98% et elles ont été plus sensibles chez ceux des marques asiatiques. Pour rappel, les licences d'importation des véhicules ont été attribuées, en mai dernier, à 40 concessionnaires sur 80 postulants. Fixé initialement à 152.000 unités pour l'année 2016, le contingent quantitatif d'importation des véhicules a été réduit à 83.000 unités.

Le contingent des véhicules concerne ceux destinés au transport de dix personnes ou plus (chauffeur inclus), les véhicules de tourisme et autres véhicules automobiles principalement conçus pour le transport des personnes (y compris les voitures de type "break" et les voitures de course) et les véhicules dédiés au transport de marchandises. Les engins tels que les camions et tracteurs que certains professionnels importent pour le fonctionnement de leur entreprise ne sont pas concernés par le dispositif des licences.

La facture ne dépassera pas 1 milliard usd en 2016
Selon les prévisions du ministère du Commerce, la facture d'importation des véhicules ne dépassera pas un (1) milliard usd en 2016, contre 3,14 milliards usd (265.523 véhicules) en 2015 et 5,7 milliards de dollars en 2014 (417.913 unités). "Nous avons fait l'effort de réduction car il fallait rationaliser nos importations et ne plus importer de véhicules pour les stocker. Nous importerons essentiellement les véhicules dont les acheteurs sont déjà connus (à travers les commandes faites par ces derniers)", avait déclaré récemment le ministre du Commerce, Bakhti Belaïb.

Parallèlement à l'octroi des licences, le gouvernement a exigé des concessionnaires d'engager des investissements dans le secteur des véhicules et dont un cahier des charges a été élaboré par le ministère de l'Industrie et des mines. Lors de sa visite jeudi dernier à Tiaret, le Premier ministre, Abdelmalek Sellal, avait rappelé l'obligation de tous les concessionnaires automobiles d'investir localement, en avisant que sans quoi, la licence d'importation leur sera retirée en 2017.

Dans le sillage de la chute des prix de pétrole, le gouvernement a décidé de plafonner certaines importations à travers la mise en oeuvre du régime des licences d'importation. Jusqu'à présent, les produits concernés sont les véhicules, le ciment portland gris, le rond à béton et certains produits agricoles.

maghrebemergent

Je me souviens y'a deux ans ils se vantaient comme quoi ils importer plus du double de voitures que nous qu'ils avaient un pouvoir d'achat extraordinaire ...

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Piégé par la chute des cours du pétrole, l’Angola est à court de réserves de change

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Algeria’s Military Makeover

ABDALLAH BRAHIMI

The pro-Bouteflika camp is trying to show skeptics that it can more fully direct Algeria’s military—and the military is operating more effectively—without the DRS.

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Qu'importe que je lutte pour une cause injuste puisque je suis de bonne foi""