Moroccan Military Forum alias FAR-MAROC Royal Moroccan Armed Forces Royal Moroccan Navy Royal Moroccan Air Forces Forces Armées Royales Forces Royales Air Marine Royale Marocaine |
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| Économie marocaine-Tome 1- | |
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kaiidow Invité
| Sujet: Économie marocaine-Tome 1- Mar 13 Mar - 17:06 | |
| Rappel du premier message :
13.03.2007 | 16h42 Le président d'AXA France, François Pierson, a défendu le projet de création de 1.500 emplois au Maroc qui s'inscrit dans le cadre du plan stratégique "Ambition 2012", visant un doublement du chiffre d'affaires et un triplement du résultat du groupe d'assurances français d'ici à 2012.
"Aucun contrat de travail ne sera remis en cause en France. Il ne s'agit pas de délocaliser des emplois, mais d'en créer de nouveaux dans le cadre de notre développement", a-t-il indiqué dans un entretien publié mardi au journal économique "Les Echos", assurant que ce projet ne sera pas mauvais pour l'emploi en France dans la mesure où AXA France comptera en 2012 plus d'emplois qu'aujourd'hui.
Après avoir souligné que son groupe a tout le temps gardé la volonté de ne pas rompre le dialogue avec les syndicats, M. Pierson a affirmé que "personne au sein d'AXA France ne doit avoir honte ou peur du projet de création de 1.500 emplois au Maroc". "Nous ouvrons maintenant les dossiers de consultation pour quantifier précisément le nombre de personnes qui travailleront pour nous au Maroc", a fait savoir le président d'AXA France, rappelant que son groupe est déjà le deuxième assureur au Maroc.
Il a indiqué d'autre part que le volet ressources humaines d'Ambition 2012 contient également un programme de mobilité "Cap Métiers", des actions en faveur de l'égalité hommes-femmes, le recrutement de minorités visibles grâce au CV anonyme, des évolutions salariales ainsi que la distribution gratuite d'actions.
Présenté le 5 décembre dernier en comité central d'entreprise, le projet Ambition 2012 se veut neutre sur le plan de l'emploi. Il s'agirait ainsi de remplacer les 3.000 départs à la retraire des six prochaines années chez AXA France par 1.500 embauches dans l'Hexagone et autant au Maroc où une nouvelle structure sera créée. La direction d'AXA avait précisé récemment qu'elle dégagerait 75 millions d'euros de cette opération.
Source: MAP |
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Auteur | Message |
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kaidow Invité
| Sujet: Re: Économie marocaine-Tome 1- Ven 9 Nov - 17:40 | |
| · Un mégaprojet immobilier à Sidi Rahal
Un nouveau complexe touristique résidentiel, comparable à celui de Fadesa à Saïdia, verra le jour dans quelques années à Sidi Rahal, Le groupe espagnol Mahersol, promoteur de ce mégaprojet, prévoit un investissement qui s’élève à 2,7 milliards de DH. Au programme: la construction, d’ici 2013, de plusieurs unités hôtelières dont deux 5 étoiles, des villas, un terrain de golf de 18 trous, un centre commercial . |
| | | kaidow Invité
| Sujet: Re: Économie marocaine-Tome 1- Sam 10 Nov - 1:01 | |
| Les Chantiers Navals de Saint-Nazaire délocalisent au Maroc? La DCNS délocalisée au Maroc ?
La Direction des Chantiers Navals de Saint-Nazaire, fleuron de l'industrie lourde française civile et militaire, connaît des difficultés : chacun en convient. Pour sortir de l'ornière de la crise, due essentiellement à la rareté des commandes en raison de la cherté des navires sortis de ces chantiers, la DCNS recourt intensivement à la sous-traitance
Pour sortir de l'ornière de la crise, due essentiellement à la rareté des commandes en raison de la cherté des navires sortis de ces chantiers, la DCNS recourt intensivement à la sous-traitance. Quitte à violer parfois les lois européennes en la matière.
Mais il y a va de sa survie et de celui de chantiers employant des dizaines de milliers de personnes. C'est pourquoi certaines sources confidentielles, évoquent de plus en plus la possibilité que la DCNS délocalise une partie de son programme au Maroc, particulièrement à Safi, ville située à mi chemin entre Casablanca et Agadir et qui s'est construit une solide réputation de cité maritime et l'un des grands ports sardiniers sinon le plus grand du continent africain.
Actuellement la capitale des Abda qui accueille une première visite officielle du roi Mohammed VI depuis son intronisation le 23 juillet 1999, ne dispose que d'un petit chantier naval. Une cale de halage équipée de trois bers glissants, deux treuils électriques pour les charges de 130 tonnes de Jauge brute, un cabestan pour les grandes charges supérieures à 200 tonnes de Jauge brute, six chariots dont deux de 30 tonnes, 2 de 60 tonnes, un de 40 tonnes et un de 80 tonnes. Ainsi que de deux chariots de translation de quatre-vingt tonnes. Le chantier dispose également d'une superficie de 10 000 m2 pour l'entretien et le carénage offrant une capacité de cinquante-deux unités.
En plus d'une aire de 4 000 m2 pour la construction navale offrant une capacité de trente unités.
Bref des équipements et des infrastructures insuffisantes pour participer à la construction d'ouvrage comme la frégate européenne multimission FREMM (photo) dont le Maroc vient d'acquérir un exemplaire pour « 500 millions d'euros », révèle la presse marocaine. Or la frégate du XXIe siècle, comme elle se nomme, pèse plus de 5 500 tonnes d'acier.
Matériau en abondance au port phosphatier de Jorf Lasfar (150 km au nord-est de Safi) où Arcelor Mittal dispose d'une grande aciérie à coulée électrique. Mieux : toujours à Jorf Lasfar, le consortium américano-helvètique privé ABB/CMS (Asean Brown Bovéri/Consumer Michigan Services) possède depuis 1997 (concession de 30 ans) une méga centrale électrique qui ne demande que d'être exploitée à sa juste valeur (1,6 milliard de dollars). Mieux encore : à Jorf Lasfar, Delattre Levivier Maroc, une entreprise à capitaux française qui n'a pas de maison mère en France, spécialisée notamment dans la construction navale, est très active. Depuis juillet dernier, DLM construit pour le compte d'un pays pétrolier africain où Total est très présent, une plate-forme offshore.
DLM pourrait bien devenir l'éventuel sous-traitant de DCNS à Jorf Lasfar. |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Économie marocaine-Tome 1- Sam 10 Nov - 16:26 | |
| - kaidow a écrit:
- Les Chantiers Navals de Saint-Nazaire délocalisent au Maroc? La DCNS délocalisée au Maroc ?
La Direction des Chantiers Navals de Saint-Nazaire, fleuron de l'industrie lourde française civile et militaire, connaît des difficultés : chacun en convient. Pour sortir de l'ornière de la crise, due essentiellement à la rareté des commandes en raison de la cherté des navires sortis de ces chantiers, la DCNS recourt intensivement à la sous-traitance
Pour sortir de l'ornière de la crise, due essentiellement à la rareté des commandes en raison de la cherté des navires sortis de ces chantiers, la DCNS recourt intensivement à la sous-traitance. Quitte à violer parfois les lois européennes en la matière.
Mais il y a va de sa survie et de celui de chantiers employant des dizaines de milliers de personnes. C'est pourquoi certaines sources confidentielles, évoquent de plus en plus la possibilité que la DCNS délocalise une partie de son programme au Maroc, particulièrement à Safi, ville située à mi chemin entre Casablanca et Agadir et qui s'est construit une solide réputation de cité maritime et l'un des grands ports sardiniers sinon le plus grand du continent africain.
Actuellement la capitale des Abda qui accueille une première visite officielle du roi Mohammed VI depuis son intronisation le 23 juillet 1999, ne dispose que d'un petit chantier naval. Une cale de halage équipée de trois bers glissants, deux treuils électriques pour les charges de 130 tonnes de Jauge brute, un cabestan pour les grandes charges supérieures à 200 tonnes de Jauge brute, six chariots dont deux de 30 tonnes, 2 de 60 tonnes, un de 40 tonnes et un de 80 tonnes. Ainsi que de deux chariots de translation de quatre-vingt tonnes. Le chantier dispose également d'une superficie de 10 000 m2 pour l'entretien et le carénage offrant une capacité de cinquante-deux unités.
En plus d'une aire de 4 000 m2 pour la construction navale offrant une capacité de trente unités.
Bref des équipements et des infrastructures insuffisantes pour participer à la construction d'ouvrage comme la frégate européenne multimission FREMM (photo) dont le Maroc vient d'acquérir un exemplaire pour « 500 millions d'euros », révèle la presse marocaine. Or la frégate du XXIe siècle, comme elle se nomme, pèse plus de 5 500 tonnes d'acier.
Matériau en abondance au port phosphatier de Jorf Lasfar (150 km au nord-est de Safi) où Arcelor Mittal dispose d'une grande aciérie à coulée électrique. Mieux : toujours à Jorf Lasfar, le consortium américano-helvètique privé ABB/CMS (Asean Brown Bovéri/Consumer Michigan Services) possède depuis 1997 (concession de 30 ans) une méga centrale électrique qui ne demande que d'être exploitée à sa juste valeur (1,6 milliard de dollars). Mieux encore : à Jorf Lasfar, Delattre Levivier Maroc, une entreprise à capitaux française qui n'a pas de maison mère en France, spécialisée notamment dans la construction navale, est très active. Depuis juillet dernier, DLM construit pour le compte d'un pays pétrolier africain où Total est très présent, une plate-forme offshore.
DLM pourrait bien devenir l'éventuel sous-traitant de DCNS à Jorf Lasfar. Et on aura des batiments de guerre a moitier prix? ou totallement gratuit ? |
| | | Fox-One General de Division
messages : 8023 Inscrit le : 20/09/2007 Nationalité : Médailles de mérite :
| Sujet: Re: Économie marocaine-Tome 1- Sam 10 Nov - 17:11 | |
| - diablo-colorado a écrit:
- kaidow a écrit:
- Les Chantiers Navals de Saint-Nazaire délocalisent au Maroc? La DCNS délocalisée au Maroc ?
La Direction des Chantiers Navals de Saint-Nazaire, fleuron de l'industrie lourde française civile et militaire, connaît des difficultés : chacun en convient. Pour sortir de l'ornière de la crise, due essentiellement à la rareté des commandes en raison de la cherté des navires sortis de ces chantiers, la DCNS recourt intensivement à la sous-traitance
Pour sortir de l'ornière de la crise, due essentiellement à la rareté des commandes en raison de la cherté des navires sortis de ces chantiers, la DCNS recourt intensivement à la sous-traitance. Quitte à violer parfois les lois européennes en la matière.
Mais il y a va de sa survie et de celui de chantiers employant des dizaines de milliers de personnes. C'est pourquoi certaines sources confidentielles, évoquent de plus en plus la possibilité que la DCNS délocalise une partie de son programme au Maroc, particulièrement à Safi, ville située à mi chemin entre Casablanca et Agadir et qui s'est construit une solide réputation de cité maritime et l'un des grands ports sardiniers sinon le plus grand du continent africain.
Actuellement la capitale des Abda qui accueille une première visite officielle du roi Mohammed VI depuis son intronisation le 23 juillet 1999, ne dispose que d'un petit chantier naval. Une cale de halage équipée de trois bers glissants, deux treuils électriques pour les charges de 130 tonnes de Jauge brute, un cabestan pour les grandes charges supérieures à 200 tonnes de Jauge brute, six chariots dont deux de 30 tonnes, 2 de 60 tonnes, un de 40 tonnes et un de 80 tonnes. Ainsi que de deux chariots de translation de quatre-vingt tonnes. Le chantier dispose également d'une superficie de 10 000 m2 pour l'entretien et le carénage offrant une capacité de cinquante-deux unités.
En plus d'une aire de 4 000 m2 pour la construction navale offrant une capacité de trente unités.
Bref des équipements et des infrastructures insuffisantes pour participer à la construction d'ouvrage comme la frégate européenne multimission FREMM (photo) dont le Maroc vient d'acquérir un exemplaire pour « 500 millions d'euros », révèle la presse marocaine. Or la frégate du XXIe siècle, comme elle se nomme, pèse plus de 5 500 tonnes d'acier.
Matériau en abondance au port phosphatier de Jorf Lasfar (150 km au nord-est de Safi) où Arcelor Mittal dispose d'une grande aciérie à coulée électrique. Mieux : toujours à Jorf Lasfar, le consortium américano-helvètique privé ABB/CMS (Asean Brown Bovéri/Consumer Michigan Services) possède depuis 1997 (concession de 30 ans) une méga centrale électrique qui ne demande que d'être exploitée à sa juste valeur (1,6 milliard de dollars). Mieux encore : à Jorf Lasfar, Delattre Levivier Maroc, une entreprise à capitaux française qui n'a pas de maison mère en France, spécialisée notamment dans la construction navale, est très active. Depuis juillet dernier, DLM construit pour le compte d'un pays pétrolier africain où Total est très présent, une plate-forme offshore.
DLM pourrait bien devenir l'éventuel sous-traitant de DCNS à Jorf Lasfar. Et on aura des batiments de guerre a moitier prix? ou totallement gratuit ? tu peux toujours réver, mais on aura qlq chose plus important si ont sait tirer profit de la situation : La Connaissance | |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Économie marocaine-Tome 1- Mer 14 Nov - 12:23 | |
| Transfert financiers des émigrés : le Maroc en tête des pays
Selon une nouvelle étude («Volume et géographie des transferts de l’Union européenne»), financée par la Commission européenne, et portant sur l’année 2004, le Maroc est le plus grand bénéficiaire des flux financiers des immigrés vers leurs pays d’origine. Le Maroc s’est approprié 11,5% des 18,7 milliards d’euros envoyés par les immigrés résidant en Union européenne. Les flux en direction du Maroc viennent de France (1431 millions d’euros), d’Espagne (921 millions d’euros), de Belgique (256,8 millions d’euros), des Pays-Bas (182,8 millions d’euros), d’Italie (11,9 millions d’euros), et du Portugal (1 million d’euros). En deuxième position, l’Algérie attire les transferts de ses émigrés de France (538,3 millions d’euros), d’Espagne (73,3 millions d’euros), et de Belgique (30,9 millions d’euros). La France est également la première source de transferts de devises des travailleurs tunisiens en direction de la Tunisie (157,2 millions d’euros), suivie de l’Italie (103,7 millions d’euros). | (Source : Euromed Info Centre) |
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| | | maverick Invité
| Sujet: Re: Économie marocaine-Tome 1- Jeu 15 Nov - 10:32 | |
| AWB rachète la 1re banque du Sénégal · Elle a acquis 79,15% du capital de la CBAO
· Montant de la transaction: près de 1,3 milliard de DH
ATTIJARIWAFA bank poursuit son développement en Afrique subsaharienne à bonne allure. Le champion national vient d’acquérir 79,15% de la Compagnie bancaire de l’Afrique occidentale au Sénégal (CBAO), comme nous l’indiquions dans notre précédente édition. Il rachète ainsi la participation du groupe agro-industriel et financier sénégalais Mimran, connu aussi dans la culture du sucre au nord du pays. L’Etat sénégalais et des privés détiennent le reste. Selon une source proche de la direction de la communication de la CBAO, le montant de cette transaction s’élève à 75 milliards de FCFA, soit à peu près 1,3 milliard de DH. L’opération reste encore soumise à l’approbation des autorités monétaires marocaines et sénégalaises. Avec l’ambition désormais affichée de devenir le numéro 1 du secteur bancaire sénégalais, le groupe Attijariwafa bank veut se hisser dans le trio de tête des banques africaines les plus performantes. D’ailleurs, le communiqué de presse, rendu public hier, souligne clairement que cette acquisition est «un nouveau levier pour le développement du groupe» dans la région. Son établissement dans un des pays des grands lacs n’est qu’une affaire de réglage (voir L’Economiste du 12 novembre 2007). Si la direction du groupe n’a pas encore révélé le choix du site, les milieux bancaires avancent le nom de la République démocratique du Congo. Pour l’heure, la première filiale du groupe en Afrique subsaharienne, créée en 2005 au Sénégal, est en passe de battre tous les records de performance. Rappelons que Attijariwafa bank Sénégal avait acquis en août dernier 66,7% du capital de la Banque sénégalo-tunisienne, pour devenir depuis Attijari Bank Sénégal (ABS). Le groupe marocain y détient 71,43% du capital (cf.www.leconomiste.com). ABS caracole désormais aux premiers rangs des banques de la place. Son total bilan, arrêté au 30 juin 2007, a atteint 118,3 milliards de FCFA, soit plus de 2 milliards de DH. Une performance qui la place au 6e rang dans le secteur, avec un réseau de 19 agences. Avec la dernière acquisition, Attijari Bank Sénégal est propulsée à la tête des banques du pays. Elle est à l’image du groupe, qui a réussi à imposer sa politique partout où il est présent sur le continent. A savoir un actionnariat majoritaire dans toutes ses prises de participation.
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Depuis 153 ans…
ELLE a plus d’un siècle et demi d’existence. La création de la CBAO remonte à 1853. Son capital s’élève à 9 milliards de FCFA (155,7 millions de DH) pour un total bilan de 449,3 milliards de FCFA (environ 7,8 milliards de DH). C’est la première banque du pays avec un réseau de 34 agences, une part de marché de 22% pour les dépôts et 18% pour les crédits. Elle est dans le trio de tête des banques de la zone UEMOA, l’union monétaire regroupant 8 pays de la sous-région.
Bachir THIAM Economiste |
| | | maverick Invité
| Sujet: Re: Économie marocaine-Tome 1- Jeu 15 Nov - 10:34 | |
| Marjane s’installe à Safi · Un investissement de 350 millions de DH
· 450 emplois directs créés
A partir d’aujourd’hui, les habitudes de consommation des habitants de Safi vont être bouleversées. En effet, la chaîne de grande distribution Marjane inaugure, ce mercredi, sa 15e unité. L’hypermarché, construit sur 8 hectares, est situé à l’entrée de la ville. Le centre commercial propose, sur 6.500 m², un grand magasin, une galerie marchande de 25 boutiques et 2 moyennes surfaces spécialisées. Le site est également doté d’un parking de 700 places. Le projet représente un investissement de 350 millions de DH. Il permettra à terme la création de 450 emplois directs et 1.000 autres indirects. Le recrutement du personnel a été confié à l’Anapec (Agence nationale de promotion de l’emploi et des compétences) qui a donné la priorité aux jeunes de la région. Par ailleurs, pour réussir son développement, la holding Marjane met l’accent sur la formation et la professionnalisation de ses équipes. C’est dans cet objectif que l’Institut du commerce et de la distribution (ICD) est opérationnel et couvre les besoins de tous les supermarchés du groupe dans le pays. Pour la 2e phase du projet, des extensions des espaces commerciaux sont prévues pour étendre la superficie de vente à 10.000 m². De même, la capacité de la galerie marchande sera doublée pour atteindre 30 surfaces spécialisées s’étalant sur une superficie de 11.000 m². La capacité du parking sera alors portée à 2.000 places. Rappelons que Marjane Holding est une filiale du groupe ONA. Celle-ci a la mission de développer des hypermarchés. La première enseigne a ouvert à Rabat en 1990. Actuellement, Marjane dispose de deux magasins à Rabat (Bouregreg de 5.200 m² et Hay Riad 9.000 m²), quatre à Casablanca (Californie 6.900 m², Aïn Sebaâ 8.500 m², Derb Sultan 10.000 m² et Hay Hassani 7.500 m²), deux à Marrakech (Menara 6.700 m² et Massira-Saâda 6.500 m²) et un seul magasin à Mohammédia (6.550 m²), Agadir (Founty 8.500 m²), Tanger ( Madina 8.500 m²), Fès (Agdal 5.500 m²) Tétouan (Smir 5.200 m²) et Meknès (6.500 m²).
De notre correspondant, Mohamed Ramdani
Economiste |
| | | maverick Invité
| Sujet: Re: Économie marocaine-Tome 1- Jeu 15 Nov - 10:46 | |
| Le complexe hôtelier Casa City Center du groupe Accor ouvre ses portes
Le premier Novotel au Maroc et le 14ème Ibis Moussafir ouvrent officiellement leurs portes. Un Sofitel d'une capacité de 181 chambres finalisera le projet de Casa City Center.
Le premier Novotel au Maroc et l'Ibis Moussafir Casa City Center ont ouvert officiellement leurs portes mardi 13 novembre. Il ne reste donc que le Sofitel pour que le Casa City Center soit entièrement finalisé. La cérémonie d’ouverture de ces deux nouveaux hôtels a été marquée par la présence de Jean-Luc Motot, président du directoire de Risma, Marc Thépot, président-directeur général Accor Gestion Maroc et Salah Oumouden, directeur général des opérations Novotel et Ibis. Cette cérémonie s'est déroulée en présence de Gérard Pélisson, co-fondateur du groupe Accor et président du Conseil de surveillance de Risma et de Yann Caillère, directeur général Accor hôtellerie France, Europe du Sud, Moyen-Orient, Afrique et CEO Sofitel Monde. Novotel et Ibis Moussafir Casa City Center sont opérationnels depuis le 23 octobre dernier. Pour ces deux nouveaux projets d’Accor Maroc, 500 emplois directs ont déjà été créés. L’Ibis Casa City Center est désormais le 14ème établissement de cette enseigne hôtelière au Maroc. Pour la réalisation de cet édifice de 14 niveaux sur une superficie de 10.400 m2, une enveloppe budgétaire de 145 millions de dirhams a été allouée à ce projet. Pour le Novotel, Accor Maroc a investi 233 millions de dirhams pour la réalisation de ce bâtiment de 18 niveaux sur une superficie de 10.400 m2. «Ces hôtels restent fidèles à ce savoir-recevoir unique qui caractérise toutes les enseignes du groupe Accor à travers le monde, en matière d'hébergement, de qualité de services, de restauration ou de tarification. Tout a été soigneusement conçu pour agrémenter le séjour, pour un voyage d'affaires ou une escapade familiale», selon les promoteurs de ce projet. Du haut de ses 18 étages, ce Novotel reflète la nouvelle génération d'hôtels modernes, design, dotés des dernières technologies. Il dispose de 281 chambres du Novotel, dont 8 suites, qui ont été conçues selon le concept « Novation » afin que le client se sente naturellement bien. Pour sa part, l'Ibis Moussafir Casa City Center est doté de 266 chambres, dont 26 communicantes et 6 entièrement aménagées, pour recevoir les personnes à mobilité réduite. «Le Casa City Center fait partie intégrante de la Vision Casablanca 2012, visant à faire de la métropole une destination touristique pour les affaires et les loisirs. Dans la seconde phase du projet Casa City Center, un Sofitel doté d'une capacité de 181 chambres verra le jour», précise-t-on. Rappelons que le groupe Accor a réaffirmé son engagement durable pour les dix prochaines années au Maroc en signant un accord-cadre, le mercredi 24 septembre, avec le ministère du Tourisme et de l’Artisanat. En effet, ce groupe a tracé un plan de développement de ses activités autour de quatre axes stratégiques. Ainsi, Accor s’est engagé à porter à terme le nombre d'unités propriétés et-ou gérées par le groupe de 24 à plus de 70 unités. Le deuxième axe est relatif à la création d'une offre de restauration à travers la filiale Accor Services. Il est également question de la poursuite des actions entamées dans l'objectif de donner un horizon professionnel à des jeunes en situation précaires dans le cadre de l'INDH. Et enfin, le quatrième axe de ce plan de développement est basé sur la participation du groupe à la concrétisation des actions de la charte marocaine du tourisme responsable.
Le 15-11-2007 Par : Atika Haimoud
ALM |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Économie marocaine-Tome 1- Ven 16 Nov - 13:57 | |
| - maverick a écrit:
- Alstom construira un tramway au Maroc
Le groupe français Alstom a remporté le marché du matériel roulant pour le tramway de Rabat-Salé d'un montant de 1,2 milliard de dirhams (107 millions d'euros). "La société Alstom Transport France a été adjudicataire du marché du matériel roulant. Cette opération porte sur la fourniture d'un parc de la gamme Citadis d'une quarantaine de rames de 30 m chacune et d'une quinzaine de rames supplémentaires à moyen terme", affirme l'Agence pour l'Aménagement de la Vallée du Bouregreg. "Tenant compte des dimensions technique, économique et financière, ainsi que de l'offre de financement concessionnelle accordée par le gouvernement français, l'offre d'Alstom a été considérée la plus avantageuse et porte sur 1,2 milliard de dirhams pour la première tranche", ajoute le communiqué. Le réseau de tramway Rabat-Salé, qui comportera deux lignes avec un parcours total de 19 km et 32 stations, devrait être mis en service fin 2010.
(Avec AFP). Y'en auras aussi a Casa , Tanger , Fes ,Agadir |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Économie marocaine-Tome 1- Ven 16 Nov - 16:49 | |
| - Marokino_Mourad a écrit:
- maverick a écrit:
- Alstom construira un tramway au Maroc
Le groupe français Alstom a remporté le marché du matériel roulant pour le tramway de Rabat-Salé d'un montant de 1,2 milliard de dirhams (107 millions d'euros). "La société Alstom Transport France a été adjudicataire du marché du matériel roulant. Cette opération porte sur la fourniture d'un parc de la gamme Citadis d'une quarantaine de rames de 30 m chacune et d'une quinzaine de rames supplémentaires à moyen terme", affirme l'Agence pour l'Aménagement de la Vallée du Bouregreg. "Tenant compte des dimensions technique, économique et financière, ainsi que de l'offre de financement concessionnelle accordée par le gouvernement français, l'offre d'Alstom a été considérée la plus avantageuse et porte sur 1,2 milliard de dirhams pour la première tranche", ajoute le communiqué. Le réseau de tramway Rabat-Salé, qui comportera deux lignes avec un parcours total de 19 km et 32 stations, devrait être mis en service fin 2010.
(Avec AFP). Y'en auras aussi a Casa , Tanger , Fes ,Agadir qu'ils inaugurent deja la gare routiere d'agadir qui est prete depuis des années 3ad ils parlerons de tramway |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Économie marocaine-Tome 1- Ven 16 Nov - 17:57 | |
| - CIVIL a écrit:
- Marokino_Mourad a écrit:
- maverick a écrit:
- Alstom construira un tramway au Maroc
Le groupe français Alstom a remporté le marché du matériel roulant pour le tramway de Rabat-Salé d'un montant de 1,2 milliard de dirhams (107 millions d'euros). "La société Alstom Transport France a été adjudicataire du marché du matériel roulant. Cette opération porte sur la fourniture d'un parc de la gamme Citadis d'une quarantaine de rames de 30 m chacune et d'une quinzaine de rames supplémentaires à moyen terme", affirme l'Agence pour l'Aménagement de la Vallée du Bouregreg. "Tenant compte des dimensions technique, économique et financière, ainsi que de l'offre de financement concessionnelle accordée par le gouvernement français, l'offre d'Alstom a été considérée la plus avantageuse et porte sur 1,2 milliard de dirhams pour la première tranche", ajoute le communiqué. Le réseau de tramway Rabat-Salé, qui comportera deux lignes avec un parcours total de 19 km et 32 stations, devrait être mis en service fin 2010.
(Avec AFP). Y'en auras aussi a Casa , Tanger , Fes ,Agadir
qu'ils inaugurent deja la gare routiere d'agadir qui est prete depuis des années 3ad ils parlerons de tramway la gare routière est active Tinkiete depuis un bout de temps |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Économie marocaine-Tome 1- Ven 16 Nov - 18:43 | |
| - Marokino_Mourad a écrit:
- CIVIL a écrit:
- Marokino_Mourad a écrit:
- maverick a écrit:
- Alstom construira un tramway au Maroc
Le groupe français Alstom a remporté le marché du matériel roulant pour le tramway de Rabat-Salé d'un montant de 1,2 milliard de dirhams (107 millions d'euros). "La société Alstom Transport France a été adjudicataire du marché du matériel roulant. Cette opération porte sur la fourniture d'un parc de la gamme Citadis d'une quarantaine de rames de 30 m chacune et d'une quinzaine de rames supplémentaires à moyen terme", affirme l'Agence pour l'Aménagement de la Vallée du Bouregreg. "Tenant compte des dimensions technique, économique et financière, ainsi que de l'offre de financement concessionnelle accordée par le gouvernement français, l'offre d'Alstom a été considérée la plus avantageuse et porte sur 1,2 milliard de dirhams pour la première tranche", ajoute le communiqué. Le réseau de tramway Rabat-Salé, qui comportera deux lignes avec un parcours total de 19 km et 32 stations, devrait être mis en service fin 2010.
(Avec AFP). Y'en auras aussi a Casa , Tanger , Fes ,Agadir
qu'ils inaugurent deja la gare routiere d'agadir qui est prete depuis des années 3ad ils parlerons de tramway la gare routière est active Tinkiete depuis un bout de temps alors pourquoi la ctm est tjr a talborjt et la satas aussi pour les bureaux, les departs et les arrivées ainsi que les cars qui ont les agences comme ait mzal, ismailia car etc...? y a 2-3cars de temps en temps a la nouvelle gare c'est tout, sinon le reste c'est talborjt |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Économie marocaine-Tome 1- Ven 16 Nov - 18:55 | |
| - CIVIL a écrit:
- Marokino_Mourad a écrit:
- CIVIL a écrit:
- Marokino_Mourad a écrit:
- maverick a écrit:
- Alstom construira un tramway au Maroc
Le groupe français Alstom a remporté le marché du matériel roulant pour le tramway de Rabat-Salé d'un montant de 1,2 milliard de dirhams (107 millions d'euros). "La société Alstom Transport France a été adjudicataire du marché du matériel roulant. Cette opération porte sur la fourniture d'un parc de la gamme Citadis d'une quarantaine de rames de 30 m chacune et d'une quinzaine de rames supplémentaires à moyen terme", affirme l'Agence pour l'Aménagement de la Vallée du Bouregreg. "Tenant compte des dimensions technique, économique et financière, ainsi que de l'offre de financement concessionnelle accordée par le gouvernement français, l'offre d'Alstom a été considérée la plus avantageuse et porte sur 1,2 milliard de dirhams pour la première tranche", ajoute le communiqué. Le réseau de tramway Rabat-Salé, qui comportera deux lignes avec un parcours total de 19 km et 32 stations, devrait être mis en service fin 2010.
(Avec AFP). Y'en auras aussi a Casa , Tanger , Fes ,Agadir
qu'ils inaugurent deja la gare routiere d'agadir qui est prete depuis des années 3ad ils parlerons de tramway la gare routière est active Tinkiete depuis un bout de temps alors pourquoi la ctm est tjr a talborjt et la satas aussi pour les bureaux, les departs et les arrivées ainsi que les cars qui ont les agences comme ait mzal, ismailia car etc...? y a 2-3cars de temps en temps a la nouvelle gare c'est tout, sinon le reste c'est talborjt CTM eux ils veulent pas aller labas ils veulent rester a talborjt sinon ya pleins d'agences a la nouvelle gare routière civil toi t'as dis ke la gare travaillait meme pas c diffirent |
| | | kaidow Invité
| Sujet: Re: Économie marocaine-Tome 1- Jeu 22 Nov - 12:49 | |
| Un complexe phosphatier brésilien au Maroc 22 novembre 2007 -
La production d’un complexe phosphatier réalisé par le groupe brésilien Bunge et l’Office chérifien des phosphates à Jord Lasfar, dans l’ouest du Maroc, doit démarrer au début de l’année prochaine. Le complexe qui produira 375.000 tonnes d’acide phosphorique et 300.000 tonnes d’engrais par an, a nécessité un investissement global d’environ 1,8 milliard de dollars. La production d’acide phosphorique commencera au début de 2008, et celle des engrais en 2009. Les négociations entre l’OCP et Bunge avaient démarré en novembre 2005, date d’un accord instituant une joint-venture entre les deux parties. L’intérêt grandissant du Brésil pour les engrais vient de sa décision de développer des énergies alternatives à base de produits agricoles, à cause des prix élevés du pétrole sur le marché mondial. Le Maroc est le troisième producteur et le premier exportateur mondial de phosphates et produits dérivés. Il détient 70% des réserves mondiales. |
| | | YAS Administrateur
messages : 328 Inscrit le : 11/12/2006 Localisation : ici et labas Nationalité : Médailles de mérite :
| Sujet: Re: Économie marocaine-Tome 1- Mer 28 Nov - 21:41 | |
| Maroc: un TGV à 9 milliards d'euros, financé pour moitié par la France CASABLANCA (Maroc) - La ligne à grande vitesse qui doit relier Tanger (nord) à Agadir (sud) à l'horizon 2030 coûtera 100 milliards de dirhams (9,1 milliards d'euros) et sera financée pour moitié par des partenaires français, a annoncé mardi le ministre marocain des Transports.
"Le projet de train à grande vitesse (TGV) nécessitera un investissement d'environ 100 milliards de dirhams, dont 50% seront financés par des opérateurs français", a déclaré mardi à Casablanca le ministre Karim Ghellab. "L'union européenne (UE), le Fond arabe pour le développement économique et social (FADES), la Banque européenne d'investissement (BEI), la Banque mondiale (BM) et la Banque africaine de développement (BAD) participent aussi à cet effort de développement des corridors de transport à grande vitesse européen et maghrébin", a-t-il ajouté. En effet, sur le long terme, les lignes marocaines "atlantique" (Agadir-Tanger) et "maghrébine" (Casablanca-Oujda) devraient permettre d'une part d'aller de Casablanca à Madrid en 5 heures contre près de 12 actuellement, et de l'autre de construire un réseau maghrébin de TGV, reliant les pays de l'Afrique du Nord, a souligné le ministre. En juin, le Maroc et l'Espagne ont officiellement sollicité l'appui de l'UE pour la réalisation de leur projet commun d'une liaison ferroviaire entre l'Europe et l'Afrique sous le détroit de Gibraltar, Pour sa part, l'Etat marocain, qui avait consacré 50 milliards de dirhams (soit 4,6 milliards d'euros) à la politique dite "des grands chantiers" entre 2002 et 2007, devrait "doubler" son effort d'investissement, selon la déclaration gouvernementale présentée par le premier ministre Abbas El Fassi. "L'Etat prend en charge la réalisation des infrastructures et l'Office national des chemins de fer (ONCF), les coûts d'exploitation et de matériel" a précisé M. Mohammed Rabie Khlie, directeur général de l'Office. Un protocole d'accord portant sur la conception, la construction, l'exploitation et l'entretien de la première tranche --qui doit relier Tanger et Casablanca en 1 heure 30 dès 2013-- avait été signé lors de la visite en octobre du président français Nicolas Sarkozy. Il y en a pour 2 milliards d'euros. En 2015, le TGV devrait rallier Marrakech, pour finalement effectuer le trajet Tanger-Agadir, via Essaouira, en 4 heures, à l'horizon 2030. A la même date, une ligne est-ouest reliant la capitale économique à Oujda, proche de la frontière algéro-marocaine, via Meknès et Fès, devrait porter le réseau marocain de lignes à grande vitesse à 1.500 km et le nombre de voyageurs à 133 millions.
AFP Mercredi 28 Novembre 2007 | |
| | | kaidow Invité
| Sujet: Re: Économie marocaine-Tome 1- Jeu 29 Nov - 18:44 | |
| L’Espagne va embaucher 12.000 ouvrières au Maroc 29 novembre 2007 -
L'Espagne va embaucher 12.000 ouvrières au Maroc L’Espagne a décidé de renforcer la migration légale en provenance du Maroc en recrutant pour 2008 quelque 12.000 ouvrières. Quelque 12.000 Marocaines ont été sélectionnée en novembre pour travailler dans l’agriculture en 2008 en Espagne contre 9.905 en 2007. L’ANAPEC est en négociations également avec l’Italie, la Grèce et la France pour encourager la migration légale. La migration légale en provenance du Maroc vers l’Europe est en train de se développer, doucement mais sûrement. |
| | | kaidow Invité
| Sujet: Re: Économie marocaine-Tome 1- Jeu 29 Nov - 18:48 | |
| Le dernier Rayman 100% Marocain 29 novembre 2007 -
Joli coup d’Ubisoft pour marquer ses dix ans d’implantation au Maroc. Cet opérateur de l’industrie de divertissement vient de lancer un jeu vidéo créé à 100% par une équipe marocaine. Il a fallu « neuf mois et 16,5 millions DH pour le concevoir », précise le chef de projet, Houssem Belkhouja. C’est le budget minimum. Le coût de production d’un jeu vidéo peut « atteindre les 220 millions DH et exige en moyenne un an de travail », souligne pour sa part le DG d’Ubisoft Maroc, Cyril Vermeil. Le 4e éditeur mondial indépendant (hors Japon) mise sur la matière grise locale. Ubisoft compte actuellement 65 salariés, « elle envisage de passer à 200 d’ici trois ans. Nous allons, à partir de l’année prochaine, entamer des partenariats avec des écoles d’art pour drainer des créatifs notamment », observe Cyril Vermeil. Son entreprise fait face à une difficulté de recrutement. Les développeurs de jeu vidéo, ingénieurs et concepteurs, sont une « denrée rare » sur le marché du travail. Qu’ils soient « designers, illustrateurs ou graphistes, l’équipe qui a conçu le jeu est en majeure partie lauréate d’Art Com, Collège Lasalle ou encore Etape », indique le directeur artistique d’Ubisoft, Youness El Garrab. A part la rareté des profils, il y avait une autre difficulté à surmonter. Les jeux vidéo sont un média interactif (son, image…). « Une particularité d’autant plus difficile à gérer qu’il faut suivre les goûts et se greffer aux tendances de la cible, surtout celle des adolescents », explique le directeur artistique d’Ubisoft Maroc. Un autre défi, technologique cette fois-ci. L’équipe a dû batailler dans le segment recherche et développement. Il a fallu « monter une nouvelle technologies sur le Nintendo DS qui a pourtant à peine 3 ans », insiste le chef de projet. Une précision de taille . Le Maroc est l’unique QG africain d’Ubisoft. Pourquoi ce choix ? « C’est un pays où l’offre offshoring est intéressante. Ensuite, les Marocains ont une culture multimédia très développée », précise le top management. Les jeux vidéo s’inspirent aussi bien de séries américaines que des Mangas. Autre distinction. Ce groupe, créé par les 5 frères Guillemot, est le seul éditeur de jeux vidéo implanté au Maroc ! Même si la pénétration du marché local reste faible à cause… du piratage. « Ici on ne fait que du développement. De plus, le Maroc n’est pas un cas isolé. Les pays d’Europe de l’est font aussi du piratage », tempère le DG. Ubisoft dispose de la 2e force de production des jeux vidéo en nombre de développeurs. Elle compte 15 studios dispersés sur plus d’une dizaine de pays. Son réseau de distribution couvre 50 pays. L’Economiste - Faiçal Faqihi |
| | | yiyo 2eme classe
messages : 48 Inscrit le : 15/01/2008 Nationalité :
| Sujet: Re: Économie marocaine-Tome 1- Dim 10 Fév - 20:49 | |
| 5172 PROGETS EN 2008 Le nombre des projets programme dans le cadre de l'initiative national pour le developpement humain(INDH),pour l'annee 2008,s'eleve a 5172 projets dont 4924 au milieu rural et 262 en zones urbaines.3,3 milliards de DHS est le montant alloue a la realisation de ces projets. | |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Économie marocaine-Tome 1- Mar 12 Fév - 12:51 | |
| Maroc-Banque mondiale : Remous autour d’un rapport confidentiel
Un rapport, encore confidentiel, de la Banque mondiale prévient le Maroc des risques d’une « explosion sociale ». Ce document déchaîne les passions avant même sa publication officielle.
CES jours-ci, on parle autant de la Banque mondiale (BM) au Maroc que du temps du plan d’ajustement structurel (PAS). Et pour cause ! Des fuites ont permis de dévoiler les grandes lignes d’un rapport dont le contenu était encore discuté le 21 janvier, sous le sceau de la confidentialité, entre la vice-présidente de la Banque mondiale (BM), Daniela Gressani -en visite de travail au Maroc- et le gouvernement marocain. La principale information qui a attiré le plus l’attention des observateurs, est sans contexte celle concernant cette alerte lancée par la BM : sans accélération du rythme de croissance, la pauvreté ne pourra pas reculer et les tensions sociopolitiques vont croître.
Pour calmer les esprits qui commençaient à chauffer en analysant ce « scoop », le gouvernement tente de dépassionner le débat. Dans ce cadre, le ministre de la Communication et porte-parole du gouvernement, Khalid Naciri, a déclaré le jeudi 31 janvier juste après la tenue du dernier Conseil de gouvernement, que les propositions contenues dans le dernier rapport de la Banque Mondiale sont conformes au programme du gouvernement. Plus explicite, K. Naciri a affirmé que les axes fondamentaux du rapport de la Banque concernent la possibilité pour le Royaume d’atteindre et de maintenir un taux de croissance annuel supérieur à 6% et la maîtrise de son développement à travers la réduction des disparités sociales et l’amélioration de la gouvernance. « Les propositions du dernier rapport de la Banque sont conformes au programme du gouvernement qui en fait une référence », a-t-il conclu.
De son côté, D. Gressani est montée, elle aussi, au créneau pour assurer que « la coopération entre la Banque mondiale (BM) et le Maroc est basée sur la concertation ». Autrement dit, l’institution financière veut faire remarquer qu’elle n’impose pas ses choix au Royaume, mais propose des solutions. Ce n’est pas pour autant que le débat est clos.
Les indiscrétions autour du rapport de la BM n’ont fait que mettre au devant de la scène des questions lancinantes que les analystes les moins avertis soulèvent à propos de la situation socio-économique nationale.
A l’évidence, le gouvernement actuel, comme son prédécesseur, se soucie en premier de la bonne gestion macro-économique du pays. Seulement, sans un taux de croissance suffisamment bon, les résultats concrets de cette gestion ne seront pas perceptibles. D’autant plus qu’en temps de vaches maigres, il n’y aura jamais rien à réserver aux secteurs sociaux (santé, agriculture, justice, enseignement...). D’où un risque latent d’explosion sociale, surtout que dans les quatre coins du Royaume, la machine revendicative est plus que jamais rôdée. La BM n’a fait donc qu’enfoncer une portée ouverte.
Mohamed Zainabi
http://www.lereporter.ma/article.php3?id_article=5817 |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Économie marocaine-Tome 1- Mar 12 Fév - 13:33 | |
| pas bon, pas bon du tout. Il nous faut du petrole. |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Économie marocaine-Tome 1- Mer 13 Fév - 13:47 | |
| bonne nouvelle finalent il ne choisise pas la tunisie, le maroc pourrait remporter le contrat un millier d'emploi direct. Entre Tunis et Rabat, Latécoère balance FRANCE - 10 février 2008 - par PASCAL AIRAULT Entre les deux, son cœur - et surtout sa raison ! - balance. Alors que la presse française annonçait récemment l’arrivée de l’équipementier Latécoère en Tunisie, il apparaît que rien n’est joué. François Junca, président du conseil de surveillance de la société, se rend cette semaine au Maroc pour étudier les modalités d’une éventuelle implantation. À la clé : un investissement compris entre 50 millions et 100 millions d’euros, la création d’un parc aéronautique, la construction d’une usine et l’embauche de plus de mille ouvriers locaux. Sous-traitant d’Airbus, Latécoère doit délocaliser une partie de son activité afin de réduire ses coûts, à la demande de l’avionneur européen qui a mis en place un plan d’économies drastique baptisé Power 8. Les dirigeants de la société font donc monter les enchères entre le Maroc et la Tunisie. Lesquels ne ménagent pas leurs efforts pour tenter de les séduire. La décision sera prise à la fin de mars par le conseil d’administration, qui prendra en compte différents critères : facilités logistiques, montant des aides et incitations financières d’État, conditions de transport, etc. |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Économie marocaine-Tome 1- Mer 13 Fév - 14:01 | |
| - Romeoh a écrit:
- pas bon, pas bon du tout. Il nous faut du petrole.
le petrole ne regele pas ces problemes comme le montrent des exemples pas si loin faut bosser et prevaloir le serieux et combattre la corruption,ni plus ni moins. l´Or noir n´est pas une assurance garantie pour notre economie,la Coree du sud ou singapour n´ont pas eu besoin du petrole pour sortire leur griffes,donc oublions svp le petrole et commencons avec le serieux. - Elmex a écrit:
Entre Tunis et Rabat, Latécoère balance
klkchose me dit qu´on va refaire le coup de Renault |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Économie marocaine-Tome 1- Mer 13 Fév - 14:04 | |
| ben c 'est au pays qui compressera le cout de la main d'oeuvre qui remportera le marché... |
| | | Invité Invité
| | | | Invité Invité
| Sujet: Re: Économie marocaine-Tome 1- Mer 13 Fév - 14:10 | |
| pas seulement le coup d´emploie qui joue...non non non,l´aeronautique est tres sensible pour le donner a n´importe qui,ou a des employés mal payées c´est le tissue industriel/aeronautique et son infrastructure ainsi que la volonté des gouvernements a cooperer quid ecidera de ca...et sur ses points y´a de fortes chances que ca revient a rabat....deja que le projet etait prevu en Tunisie,avant qu´ils pretent attentions a l´aeroexpo de marakkech et qu´ils freinent leur first target. |
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