Moroccan Military Forum alias FAR-MAROC Royal Moroccan Armed Forces Royal Moroccan Navy Royal Moroccan Air Forces Forces Armées Royales Forces Royales Air Marine Royale Marocaine |
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| Économie marocaine-Tome 1- | |
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kaiidow Invité
| Sujet: Économie marocaine-Tome 1- Mar 13 Mar 2007 - 17:06 | |
| Rappel du premier message :
13.03.2007 | 16h42 Le président d'AXA France, François Pierson, a défendu le projet de création de 1.500 emplois au Maroc qui s'inscrit dans le cadre du plan stratégique "Ambition 2012", visant un doublement du chiffre d'affaires et un triplement du résultat du groupe d'assurances français d'ici à 2012.
"Aucun contrat de travail ne sera remis en cause en France. Il ne s'agit pas de délocaliser des emplois, mais d'en créer de nouveaux dans le cadre de notre développement", a-t-il indiqué dans un entretien publié mardi au journal économique "Les Echos", assurant que ce projet ne sera pas mauvais pour l'emploi en France dans la mesure où AXA France comptera en 2012 plus d'emplois qu'aujourd'hui.
Après avoir souligné que son groupe a tout le temps gardé la volonté de ne pas rompre le dialogue avec les syndicats, M. Pierson a affirmé que "personne au sein d'AXA France ne doit avoir honte ou peur du projet de création de 1.500 emplois au Maroc". "Nous ouvrons maintenant les dossiers de consultation pour quantifier précisément le nombre de personnes qui travailleront pour nous au Maroc", a fait savoir le président d'AXA France, rappelant que son groupe est déjà le deuxième assureur au Maroc.
Il a indiqué d'autre part que le volet ressources humaines d'Ambition 2012 contient également un programme de mobilité "Cap Métiers", des actions en faveur de l'égalité hommes-femmes, le recrutement de minorités visibles grâce au CV anonyme, des évolutions salariales ainsi que la distribution gratuite d'actions.
Présenté le 5 décembre dernier en comité central d'entreprise, le projet Ambition 2012 se veut neutre sur le plan de l'emploi. Il s'agirait ainsi de remplacer les 3.000 départs à la retraire des six prochaines années chez AXA France par 1.500 embauches dans l'Hexagone et autant au Maroc où une nouvelle structure sera créée. La direction d'AXA avait précisé récemment qu'elle dégagerait 75 millions d'euros de cette opération.
Source: MAP |
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Auteur | Message |
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Invité Invité
| Sujet: Re: Économie marocaine-Tome 1- Mer 13 Fév 2008 - 16:25 | |
| Le probleme avec le Maroc, c'est que meme si on arrive a attirer les investissements, meme de la haute valeur ajoutée, la moitié du pays ne sait ni lire ni ecrire, bref (sans vouloir etre cynique) un poid qui nous freine. Nos ressources sont limitées et le petrole serait une assurance et un coup de pouce pour tous les domaines. Sinon dommage pour la Tunisie. |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Économie marocaine-Tome 1- Mer 13 Fév 2008 - 16:58 | |
| l´analphabetisme n´a freiné ni l´inde ni le pakistan de devenire des pays emergents bien sure que c´est honteux d´avoir 43% en 2008 d´analphabetes,mais je voudrais vous rappeler qu´il y´a pas encore 4 ans ce chiffre etait encore vers les 50% si ma memoire est bonne! donc reconnaissez les avancés(meme lentes soient elles) et arretez de dessiner l´apocalypse,le futur nous appartient je sais pas ce que tu as Romeoh avec le petrole derniers temps,ca ne garantit aucune avancée,regarde seulement les exemples pas loin ce sont l´industrie et serivces(on peut ajouter l´agriculture pour l´autosiffisance) qui garantissent le leadership,pas le petrole ou le gaz,ca ne peut qu´etre un complement(exemple norvege) dans une economie,mais pas predominer le PIB et dire que c´est une economie forte |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Économie marocaine-Tome 1- Mer 13 Fév 2008 - 23:55 | |
| C'est vrai que j'ai du mal a penser a autre chose que le petrole, je le vois comme la certitude que les personnes les moins qualifiés ou lli ma 3andou zhar en general, profitereont aussi du developpement du pays. C'est clair que le petrole tout seul entraine toutes sortes d'effets secondaires, allant du surarmement a la paresse etatique en passant par la degradation environnementale du pays, mais vu que bientot on risque de ne plus pouvoir compter sur notre agriculture (rechauffement planetaire et c'est dans tres bientot) il faudra qu'on ait cette carte en plus, comme un joker en quelque sorte. La montée des prix du petrole nous saigne, imagine un baril a 110 dollars us? juste en l'imaginant, j'ai envie de me tirer le cheuveux.
Par contre, le futur nous appartient, et on a le temps. |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Économie marocaine-Tome 1- Jeu 14 Fév 2008 - 6:40 | |
| Bahia Golf BeachEntre les plages David et Dahomey---531 hC’est à Bouznika, entre Casablanca et Rabat, les deux principales villes du Royaume, que s’élève le projet grandiose appelé Bahia Golf Beach, réalisé avec notre partenaire EMAAR. Un projet d’une superficie de 530 hectares, qui jouit d’un cadre géographique exceptionnel. Située sur une longue bande côtière, une plage déroule son sable fin et doré sur près de 2 km. Côté terre, les espaces verts et le golf constituent un havre de fraîcheur. Bahia Golf Beach dispose d’un emplacement idéal : le site, desservi par l’autoroute Casablanca-Rabat, est accessible très aisément. Ici, un choix nouveau d’excellence s’offre à tous les futurs résidents et visiteurs. Quels que soient leurs souhaits, Bahia Golf Beach les comblera : * Appartements haut standing, bungalows les pieds dans l’eau, hôtels de luxe et villas majestueuses raviront tous les amoureux de la nature, d’océan et de confort. Pour tous ceux qui désirent construire leur maison à leur manière, des lots de terrains seront disponibles. * Des infrastructures sportives et divertissantes: les centres sportif et de détente, les terrains de tennis, le golf 18 trous et son practice et le club équestre permettront à chacun d’exercer l’activité physique de son choix. Bahia Golf Beach vous offre également la possibilité de pratiquer le jogging ou la marche dans cette oasis de verdure. * Les espaces verts couvrent près du tiers du site et des commerces et des boutiques seront réalisés pour votre confort. Des activités sportives variées, un large choix d’habitations, un environnement agréable et convivial, à Bahia Golf Beach chacun trouve son bonheur. http://www.onapar.ma/nos-projets-en-...golf-beach.ona |
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| Sujet: Re: Économie marocaine-Tome 1- Ven 15 Fév 2008 - 18:56 | |
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| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Économie marocaine-Tome 1- Lun 18 Fév 2008 - 17:19 | |
| - Citation :
- Agence du Bouregreg
La marina, opérationnelle en mars
· L’avancement du chantier à l’ordre du jour
· Conseil d’administration aujourd’hui
· Les relations avec Sama Dubaï «sans nuages», selon l’Agence
Aujourd’hui, à Rabat, l’attention sera focalisée sur le conseil d’administration de l’Agence de l’aménagement de la vallée de Bouregreg (AAVB). De fait, ce chantier colossal suscite de nombreuses interrogations, notamment sur l’engagement du groupe émirati, Sama Dubaï, dans la deuxième séquence du projet Bouregreg dénommée Amwaj. Pour expliquer le retard d’avancement des travaux dans cette zone par rapport à Bab Al Bahr, des rumeurs circulent, avançant le retrait du partenaire émirati. «Tout va bien avec Sama Dubaï», affirme Lemghari Essakl, directeur général de l’AAVB. Et d’ajouter «qu’il y a eu seulement quelques divergences de point de vue quant à l’architecture et la gestion du projet». En clair, il n’y pas de problème, et cette quatrième réunion ne devrait être qu’une occasion de faire le point sur les chantiers. D’une manière générale, on peut dire que l’ensemble des projets inscrits dans le cadre de la première tranche d’aménagement de la vallée, à savoir celle de Bab Al Bahr, sont achevés ou presque. En effet, certains sont bien lancés comme ceux du tramway, du pont Moulay El Hassan, du tunnel sous les Oudayas. D’autres, comme le port de Salé (www. leconomiste. com), sont bouclés. La marina sera en effet livrée en mars prochain. «On attend juste de recevoir l’agrément de gestion de ce complexe de la part de l’Agence nationale des ports», explique le responsable de l’AAVB. En ce qui concerne le tramway et le pont Moulay Hassan, ces ouvrages visent à assurer la fluidité du trafic entre les deux rives. Selon une étude réalisée en 2003, près de 470.000 personnes se déplacent chaque jour entre Rabat et Salé. Et 70% d’entre elles empruntent l’actuel pont Moulay El Hassan. Le nouvel ouvrage est conçu de manière à développer un transport de masse. Ainsi, trois tabliers sont prévus pour supporter les voies du tramway, dont le marché de construction a été confié à l’opérateur français Alstom, et celles des véhicules, ainsi qu’un passage sécurisé réservé aux piétons et aux deux roues. Le coût de cet ouvrage s’élève à 350 millions de DH et pourra dépasser un milliard de DH si on prend en considération l’aménagement des voies d’accès.. |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Économie marocaine-Tome 1- Sam 23 Fév 2008 - 6:13 | |
| apres renault- nissan
Equipements auto: L’Espagnol Cromoduro à Tanger Un opérateur membre de l'association "ACICAE", l'équipementier "Cromoduro" spécialisé en fabrication de chemises pour moteurs automobiles, est en cours d'installation dans la Zone franche de Tanger (TFZ) sur une superficie de 1 ha.
Pour rappel, une délégation d’opérateurs espagnols du secteur de l’industrie automobile a effectué la semaine dernière une visite de prospection d’opportunités d’affaires et d’investissements dans la région.
Synt-L'Economiste/AFP - Vendredi 22 février - 18h35 |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Économie marocaine-Tome 1- Mer 27 Fév 2008 - 18:51 | |
| Barbaros Pacha s'instale au Maroc Un hard discounter turc bientôt au Maroc · L’enseigne BIM s’implante pour la 1re fois hors Turquie Au-delà d’une timide exploitation dans certains secteurs, le hard discount peine à percer au Maroc. Pourtant, ce modèle, qui a fait des émules partout dans le monde, a tout pour plaire. Dans la grande distribution, par exemple, les magasins hard discount affichent des prix 20 à 30% moins chers que les grandes et moyennes surfaces traditionnelles. L’argument sonne doux aux oreilles des Marocains. Et, convaincues du bon filon, de plus en plus d’entreprises s’appliquent à forcer le destin. En effet, après l’allemand Lidl qui a annoncé, en décembre dernier, son intention de s’implanter à Fès (www.leconomiste.com), c’est au tour du turc BIM de lorgner le marché marocain. A en croire une annonce parue dans la presse nationale, il est question d’une implantation «imminente». Un comité opérationnel sera même dépêché au Maroc par la direction de l’enseigne, dans les semaines qui viennent. Contacté par L’Economiste, le quartier général de la chaîne, basé à Istanbul, n’a pas abondé en informations. «Nous sommes encore en train d’étudier les détails de l’opération», se limite-t-on à déclarer. Sans vouloir donner plus d’indications, le staff turc précise, toutefois, que «BIM se donne une année pour ficeler son projet». Pourtant, le recrutement va bon train. L’enseigne turque s’est adjointe les services d’un cabinet pour constituer son staff marocain. Du directeur général, au responsable d’achat, BIM envisage de constituer un bataillon 100% local. «Ingénieurs, diplômés de grandes écoles de commerce», que des cadres de haut niveau de formation qui bénéficieront d’un perfectionnement en Turquie, précise l’annonce. BIM, qui a déjà établi 1.767 magasins en Turquie, marquerait, par son implantation au Maroc, sa première internationalisation. Le business model du turc reprend au précepte près l’esprit hard discount. L’objectif affiché est de faire la chasse aux coûts: «Ne faire payer au client que le produit lui-même et non son emballage ou sa marque, présenter les marchandises dans leur conditionnement d’origine, adopter un design intérieur basic pour les magasins, éviter la publicité qui viendrait gonfler inutilement le prix de vente»... Et la recette a largement fait ses preuves. Le résultat net de la chaîne enregistrait une progression annuelle de 137,7% en 2006. Premier à avoir introduit le modèle de la distribution hard discount en 1995 en Turquie avec 21 magasins, l’enseigne doublait ce nombre une année après. Même en contexte de crise, BIM s’offre le luxe d’étendre son réseau. En effet, la morosité, qui a caractérisé 2001, n’aura pas empêché l’enseigne d’ouvrir 87 magasins supplémentaires. Réda HARMAK |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Économie marocaine-Tome 1- Dim 16 Mar 2008 - 23:37 | |
| Recherche pétrolière au Maroc, plusieurs nouveau contrat ont ete signés avec des sociétés américaine notamnent.
https://www.dailymotion.com/search/maroc/video/x4qpgj_recherche-petroliere-au-maroc-still_politics |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Économie marocaine-Tome 1- Lun 17 Mar 2008 - 16:46 | |
| en attendant le petrole Cherté de la vie : Comment vit-on avec le smig ?Abdellatif El Azizi 14 Mars 2008 Dans la majorité de Marocains qui se battent aujourd’hui pour survivre, les smicards occupent le haut du pavé. Ces exclus de fait, sont malheureusement de plus en plus nombreux à tenter de trouver des arrangements avec la précarité. Plongée dans une catégorie à part. Rabéa fait chaque jour son marché dans un souk populaire de Sidi Othman. A chtayba, le souk du coin, les marchands de légumes se font un honneur d’être imbattables sur le plan des prix. «On sait que les gens, ici sont pauvres, on amène de la marchandise de qualité moyenne mais on fait très attention aux prix. De plus, on est concurrencé par les marchands ambulants qui sillonnent les rues», rappelle ce marchand. Rabéa, elle, ne sait plus où donner de la tête : «chaque jour qui passe, on a l’impression que les prix explosent, le budget que je mets pour faire la gamelle est chaque jour insuffisant et je suis obligé de diminuer les rations ou de me passer d’un légume ou deux». Rabéa dispose d’un budget de 30 Dhs par jour, c’est juste ce que son soudeur de mari peut mettre de côté pour le repas de midi. «Quant au dîner, on se contente de thé et de quelques miches de pain servies avec du beurre». Le cliché de la famille marocaine vivant avec du thé, du pain et des olives, semble avoir la vie dure; Bien sûr, des variantes de pain ont remplacé le fameux pain noir de Choukri, le pain n’est plus tout à fait nu, la margarine bon marché a pris la place de l’huile d’olive devenue hors de prix, mais le quotidien des smicards n’a pas beaucoup évolué. Cette femme fait tout simplement partie de cette majorité de Marocains qui se bat pour survivre, sans réussir à joindre les deux bouts mais qui continue néanmoins à jouer au chat et à la souris avec l’exclusion. Ils sont ainsi de plus en plus nombreux à tenter de trouver des arrangements avec la pauvreté. Officiellement, il n’y a pas de quoi s’alarmer, mais les dernières données chiffrées du Haut commissariat au Plan sur la pauvreté et le développement social au Maroc, avaient mis à nu l’ampleur de la vulnérabilité dans les communes du pays. La cartographie consacrée à la pauvreté au Maroc, basée sur les données d’une enquête sur la consommation des ménages, qui avait été basée sur les résultats du dernier recensement général de la population et de l’habitat. Fait intéressant, à l’époque du dernier recensement, les enquêteurs du Plan se sont basés sur un taux de 1.687 dirhams par mois pour un ménage moyen en milieu urbain (5,6 membres) et de 1.745 dirhams par mois pour un ménage moyen en milieu rural (6,4 membres) comme seuil de pauvreté relative. Soit exactement le smig marocain. L’indice de la sévérité de la pauvreté qui mesure la profondeur de celle-ci augmente, parallèlement à l’augmentation de l’écart entre les niveaux de vie et le seuil de pauvreté. Le seuil du taux de vulnérabilité, qui donne la proportion de la population vivant sous la menace de la pauvreté, se situe entre 1.687 dirhams et 2.531 dirhams par mois pour un ménage urbain. Pour un ménage rural, ces lignes s’établissent à 1.745 dirhams et 2.618 dirhams. Au plan national, si, dans l’absolu, on a bien noté une baisse de la pauvreté, c’est dans le monde rural qu’on a enregistré une forte incidence du niveau de pauvreté, alors qu’en milieu urbain, celle-ci reste relativement modérée. Dans les campagnes, le taux de pauvreté reste encore maintenu au niveau très élevé, enregistrant 22 %. Presque trois fois le niveau urbain. Au cours de dix années, il n’a diminué que de 4% contre 24 % en milieu urbain. Les disparités entre les communes sont également enregistrées. Dans 348 communes, le taux de pauvreté dépasse 30 %. Dans les villes, le taux de pauvreté s’élève à 7,9 % en diminution de 2,5 points depuis 1994. Le niveau global de pauvreté urbaine cache également de notables disparités communales. Quelque 55 communes et centres urbains ont un taux de pauvreté inférieur à 5 %. Risques Quels dangers guettent cette catégorie de citoyens et par ricochet, quels sont les risques pour le pays ? On définit souvent l’exclusion sociale par une situation de précarité absolue, mais de plus en plus d’économistes élargissent ce concept à des populations qui ne sont pas systématiquement pauvres, mais qui sont menacées chaque jour de le devenir encore plus, de basculer définitivement dans la précarité. On cite pour cela, le sous emploi de longue durée, l’inégalité des chances, les bouleversements familiaux, les conditions sommaires de l’habitat entre autres. D’après un expert en démographie, «l’inégale répartition spatiale et sociale de l’investissement dans les secteurs sociaux les plus sensibles, comme l’éducation et la santé, ainsi que le manque d’infrastructures sociales et économiques, conduit forcément à l’exclusion sociale. L’inégalité de la répartition des richesses entre une frange d’individus au détriment du reste de la population, estompe l’ascension sociale des populations les plus démunies, conduisent à long terme, à l’exclusion sociale. Ces populations sont plongées alors dans un processus irréversible de risques économiques, sociaux, tout en engendrant un appauvrissement réel». L’ascenseur social en panne Le pire dans tout cela, c’est qu’au Maroc, les pauvres semblent condamnés à rester pauvres. Depuis les années 80, la diminution massive du nombre d’emplois dans l’industrie surtout dans le textile au profit de la création d’emplois dans les services, a contribué à la diminution des salaires, et en particulier des bas salaires. La productivité étant moins élevée dans les services que dans l’industrie, une baisse des salaires s’est ensuivie par ajustement de l’offre à la demande. Les licenciés non qualifiés se sont donc contentés d’accepter n’importe quel emploi. Pour ceux qui ont atteint l’âge mûr, c’est le chômage assuré. Il y a pire, pour les patrons, les augmentations du smig favorisent plutôt le chômage ! « Le principe du SMIG est l’ennemi de l’emploi, car toutes les statistiques le prouvent : le chômage touche de loin les moins qualifiés, frappant plus les femmes que les hommes, les jeunes et les plus âgés » rappelle un patron qui a complètement transformé son usine de confection en se débarrassant par la même occasion d’une trentaine d’ouvrières. Paradoxalement, les pressions des syndicats sur l’augmentation des salaires a eu un effet pervers, puisqu’elles ont provoqué l’automatisation à outrance des entreprises marocaines, qui trouvent désormais plus rentables d’entretenir des machines que payer des ouvriers pour faire le même travail. Quelle est la réponse du gouvernement pour circonscrire les effets pervers de la flambée des prix ? Elle viendra de Nizar Baraka. Dans un exposé sur la situation actuelle des prix, présenté devant le Conseil de gouvernement, réuni jeudi dernier le ministre délégué a d’abord évoqué la conjoncture économique mondiale marquée par la flambée des prix du pétrole et des céréales. Pour ce qui est des mesures prises par le Gouvernement pour faire face à cette hausse des prix, le dauphin de Abbas El Fassi a fait état du relèvement du budget de la caisse de compensation à 20 milliards de DH au titre de l’exercice en cours contre 13 milliards de DH l’année précédente. Autres mesures, la subvention (pour la première fois) du blé tendre, la suppression de la taxe sur l’importation du blé et la suppression ou la baisse de certains impôts et taxes sur les produits de consommation. Au sujet des mesures d’urgence qui seront prises par le gouvernement dans ce domaine, le ministre a cité notamment l’intensification du contrôle des prix et de la spéculation, l’obligation du respect de l’affichage des prix, la multiplication des enquêtes sur le terrain concernant les produits dont les prix enregistrent des augmentations, entre autres. En attendant, les smicards qui veulent éviter le misérabilisme sont obligés d’être très près de leurs sous, de compter sans arrêt, de se priver de tout pour s’offrir le minimum. source: http://www.lagazettedumaroc.com/articles.php?id_artl=16360&r=2&sr=852 |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Économie marocaine-Tome 1- Lun 17 Mar 2008 - 18:52 | |
| En parlant de pétrole... - Citation :
- Les schistes bitumineux au Maroc peuvent dégager l'équivalent de 50 milliards de barils de pétrole
travers le pays, le potentiel en schistes bitumineux s’élève à 50 milliards de barils. Face à un baril à 100 dollars et plus, les frais engagés dans l’extraction en valent la peine.
C’est un potentiel riche en schistes bitumineux que le Maroc a à son actif. Chiffrées à plus de 50 milliards de barils, les réserves géologiques du Royaume lui offrent des capacités énergétiques de taille. C’est ce qui ressort d’un rapport sur l’activité de l’Office nationale des hydrocarbures et des mines (ONHYM) durant l’exercice 2007. Si l’extraction de l’or noir de ces schistes bitumineux est coûteuse, la flambée des prix du pétrole incite les opérateurs à explorer ce qu’on appelle désormais « des sources exotiques ». Face à un baril à 100 dollars et plus, les marges de bénéfices n’en sont que plus alléchantes pour ces investisseurs, même si les factures de frais d’extraction sont exorbitantes. Évoquant la décision gouvernementale qui concerne l’amendement du Code des hydrocarbures, ce même rapport indique que le fait d’enrichir ce support avec les données relatives aux schistes bitumineux, ne peut être que rentable et à même d’en catalyser le développement. En ce sens que cette ressource offre un atout énergétique d’une importance stratégique. Il y a quelques mois déjà, l’ONHYM démentait la présence de schistes bitumineux dans la province de Boujdour. Dès lors que des études étaient en cours et n’avaient, à cette date, pas conclu à coup sur la présence de grandes quantités de schistes bitumineux dans cette zone. En ce sens que pour mettre fin à plusieurs tergiversations autour du sujet, l’office avait publié un communiqué dans lequel il se prononcçait sur cela, mais où il mettait en relief l’attention accordée au bassin de Boujdour dans son plan de développement 2008-2012. « D’autres travaux complémentaires de géologie, de géophysique et de forage, programmés dans le cadre du plan de développement 2008-2012, seront réalisés sur ce même bassin et permettront d’approfondir nos connaissances sur les paramètres des formations géologiques, d’apprécier les différents systèmes pétroliers et de tester les objectifs définis », avait-on spécifié sur ce document. Parallèlement, autre bonne nouvelle apportée, le rapport d’exercice 2007. Cela concerne le volet de l’exploration minière. Cette section ayant fait montre de résultats concrets, et ce, sur la plupart des 20 projets conduits en 2007, avec notamment la confirmation des potentialités minières des sites de prospection de Azouggar N’Tilili, Glibat Lahfouda et Lafwila dans la zone Sud. Notons, par ailleurs, la spécificité de cette même région qui touche à la concentration de prospection pour les métaux précieux et lourds et, entre autres, le diamant. Sur un autre registre, ce sont 41 nouveaux permis de recherche et 4 autorisations de reconnaissance que le secteur minier national des hydrocarbures a relevés au terme de l’année 2007, fait savoir la même source. Ainsi, ce rapport souligne qu’à fin 2007, le domaine minier des hydrocarbures compte 58 permis onshore, 53 permis offshore, 7 autorisations de reconnaissance onshore et 10 concessions d’exploitation, et ce sur une superficie totale de 288.349 km2. Diffusé à l’occasion de la conférence internationale sur « les défis de l’exploration et de la production en Afrique du Nord », qui s’est déroulée du 12 au 14 mars à Marrakech, ce document met en exergue, de par ses informations, un retour en force de l’activité d’exploration pour les bassins onshore de par l’importance qui leur est accordée. Pour preuve, citons les découvertes enregistrées à l’échelle internationale sur des faciès similaires, à savoir que quelque 29 projets d’études ont été conduits durant l’année 2007, dont 26 en partenariat et 3 sur fonds propres de l’Office http://www.aujourdhui.ma/economie-details60470.html |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Économie marocaine-Tome 1- Lun 17 Mar 2008 - 19:00 | |
| et encore un... - Citation :
- Faurecia veut ouvrir sa seconde usine au Maghreb, au Maroc en novembre
le 17/03/2008 à 17:40
Faurecia, second fournisseur européen d'équipement automobile, compte ouvrir en novembre son second site de production au Maghreb, à Kénitra (Maroc), dédié à la fabrication de housses de sièges, pour un investissement de 10 millions d'euros, a-t-il annoncé lundi.
Destiné à fournir des clients basés en Europe, tels le français Renault et l'allemand Volkswagen, le site devrait employer à terme plus de 650 personnes. Au Maghreb, Faurecia possède déjà depuis fin 2000 une usine à Ben Arous, en Tunisie, qui emploie 480 personnes également dans l'activité coupe-couture de textiles, a précisé un porte-parole de la firme.
Faurecia justifie, dans un communiqué, son investissement au Maroc par "une structure de coûts compétitive, une main-d'oeuvre de qualité et le développement de l'industrie automobile au Maroc". La convention d'investissement avec le gouvernement marocain a été signée lundi à Rabat.
http://www.daily-bourse.fr/news.php?news=AFP080317163741.dw048ypk |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Économie marocaine-Tome 1- Lun 17 Mar 2008 - 19:03 | |
| - Citation :
- et le développement de l'industrie automobile au Maroc
Très bien,renault a fait un énorme appel d'air...et c'est pas fini encore |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Économie marocaine-Tome 1- Lun 17 Mar 2008 - 19:35 | |
| - Citation :
- 50 milliards de barils
c'est énorme comme réserve non ? |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Économie marocaine-Tome 1- Lun 17 Mar 2008 - 20:12 | |
| awdi...cette benkhadra ne fait que des etudes rien de plus! ce registre est devenue depuis talsint tres miné et personne ne veut faire une annonce-suicide,c´est pour ca qu´ils prolongent les etudes a l´infini pour le schistes,je crois qu´ils attendent pour voir a moyen terme le comportement du brut,si ca reste audessus du 100$ sans jamais redescendre,ca les encouragera peut etre a entamer les schistes.
mais comme je l´ai dit,cette ministre marche sur des oeufs,malgré qu´elle soit competente,mais il lui manque du courage a mon avis pour lancer les vrais chantiers petroliers et dire la verité des choses,que ca soit bon ou mauvais |
| | | omar Caporal
messages : 140 Inscrit le : 06/04/2007 Nationalité :
| Sujet: Re: Économie marocaine-Tome 1- Lun 17 Mar 2008 - 21:59 | |
| question a quel prix ce schiste bitume devient rentable | |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Économie marocaine-Tome 1- Mar 18 Mar 2008 - 8:55 | |
| - yakousa a écrit:
- awdi...cette benkhadra ne fait que des etudes rien de plus!
ce registre est devenue depuis talsint tres miné et personne ne veut faire une annonce-suicide,c´est pour ca qu´ils prolongent les etudes a l´infini pour le schistes,je crois qu´ils attendent pour voir a moyen terme le comportement du brut,si ca reste audessus du 100$ sans jamais redescendre,ca les encouragera peut etre a entamer les schistes.
mais comme je l´ai dit,cette ministre marche sur des oeufs,malgré qu´elle soit competente,mais il lui manque du courage a mon avis pour lancer les vrais chantiers petroliers et dire la verité des choses,que ca soit bon ou mauvais de peur d'etre limogé comme le ministre de l'energie a l'epoque en plus les gisements importants que ca soit zaama off shore ou de shistes sont au sahara,je laisse imaginer a chacun les nouveaux arguments du polisario... la solution est de se remuer serieusement ,ce n'est pas le petrole qui fait la richesse,le japon par exemple ou l'allemagne n'en ont pas,et pourtant... |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Économie marocaine-Tome 1- Mar 18 Mar 2008 - 9:27 | |
| tu donne trop d´importance au polisaro a ce que je remarque civil,a t´entendre parler ond evrait leur demander gentiement leur autorisation Tamoil maroc opere au sahara depuis janvier 2008,avec petronas,on fait le choix des firmes de pays qui ne font aps dans les pressions(norvege,australie,KMG-USA etc...) ceux la nous ont fait perdre du temps de peur des pressions des ONG,ca sera pas le cas avec la lybie et la malaisie encore faut que l´ONHYM accede aus technologies demandés dans ce domaine pour faire une part de travail seul(ce qui se fait deja)mais les moyens manquent,d´ou l´appel aus firmes acceptant des investissement a risque pour ta question omar sur le prix de rentabilité,il est approximativement a 100$(entre 90-100) selon les responsables marocains,donc rien a perdre le seul bemol,c´est la necessité de huge quantités d´eau dans cette technique,et le degré de pollution que ca draine |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Économie marocaine-Tome 1- Mar 18 Mar 2008 - 9:57 | |
| Yak ya des réserves prouvé au Maroc Maintenant c'est de très lourde infrastructure, donc avant d'investir beaucoup d'argent faut être sure que le prix du baril ne descendra pas Prenons l'exemple du Canada |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Économie marocaine-Tome 1- Mar 18 Mar 2008 - 10:00 | |
| la difference entre nous et canada,cé st qué ux ils ont l´affaire un peu moins compliquée avec le sable d´alberta,nous c´est les roches! faut de gros moyens de craquage et de pression a une chaleur de 500°C pour extraire l´huile des rochers,pas simple la procedure... |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Économie marocaine-Tome 1- Mar 18 Mar 2008 - 16:47 | |
| Effectivement mon chère eux c'est a partir de 70$ la rentabilité Donc oui c'est pas mal du tout pour eux |
| | | Invité Invité
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| Sujet: Re: Économie marocaine-Tome 1- Mer 19 Mar 2008 - 13:27 | |
| - Citation :
- Baisse de la dette publique du Maroc
Publié le : 19.03.2008 | 12h37 L'encours de la dette publique du Maroc a terminé l'année 2007, pour la première fois de son histoire, avec une baisse estimée à 1 milliard de dirhams (MMDH), pour se fixer à 330,1 MMDH contre 331,1 MMDH en 2006, a indiqué Zouhair Chorfi, directeur du Trésor et des Finances extérieures. Cet encours représente 54,9% du PIB en baisse de 3 points par rapport à l'année 2006, a ajouté M. Chorfi, qui s'exprimait sur le financement du Trésor en 2007 et les perspectives de 2008 lors d'une conférence de presse, tenue mardi à Rabat.
La baisse de l'encours de la dette publique a été accompagnée d'une stabilisation du service de la dette à 3,2% du PIB, a-t-il précisé ajoutant que ce service, rapporté aux recettes ordinaires, ne représente plus que 12,7% en 2007 contre une moyenne de 14,4% sur les années 2005 et 2006.
Dans ce total, la dette extérieure a atteint en 2007 quelque 122,3 MMDH, en hausse de 5,5% par rapport au niveau enregistré en 2006. Cette progression intervient après une diminution continue en moyenne de 5% par an depuis la fin de rééchelonnement en 1993 et jusqu'en 2004 et une stabilité entre 2004 et 2006, a précisé M. Chorfi.
Cette inversion de tendance s'explique essentiellement par l'accélération des financements extérieurs mobilisés auprès des bailleurs de fonds étrangers aussi bien par le Trésor que par les établissements et entreprises publics.
L'endettement extérieur du Trésor en 2007 a été marqué notamment par l'émission réussie du Trésor sur le marché financier international, d'un montant de 500 millions d'euros. Cette émission a été notée "Investment grade" par les agences de notation "Fitch Ratings" et "Standard et Poor's" et a connu un grand succès auprès des investisseurs avec une souscription de 3,5 fois, rappelle M. Chorfi.
Pour sa part, la dette intérieure, qui représente 80% de l'encours total de la dette publique, a enregistré une baisse de 1,9 MMDH, pour se situer à 264,1 MMDH en 2007, soit 44% du PIB, a-t-il ajouté.
Cette baisse s'explique notamment par le recul de l'encours des Bons émis par adjudication, la régression de l'encours des emprunts conventionnels, ainsi que par la poursuite de la baisse de la dette intérieure d'origine bancaire, qui ne représente désormais que 28% de l'encours de la dette intérieure du Trésor.
L'année 2007 a été caractérisée également par la poursuite de l'apurement des passifs du Trésor par le remboursement intégral et définitif des avances conventionnelles de Bank Al-Maghrib et le début du retrait des dépôts des particuliers auprès de Barid Al-Maghrib logés dans les circuits du Trésor, a souligné M. Chorfi.
Pour l'année en cours, le directeur du Trésor et des Finances extérieures a indiqué que des efforts seront déployés en direction de l'amélioration de la gestion de la trésorerie publique à travers notamment la conclusion avec Bank Al-Maghrib d'une convention relative aux interventions du Trésor sur le marché monétaire pour des fins de gestion active de la trésorerie publique, le déploiement du système de télé-adjudication et le lancement des opérations de rachat et d'échange de Bons de Trésor pour un volume qui pourrait se situer entre 2 et 3 MMDH. PIB2007:82B$ dette ext:17B$ service dette annuelle:2,6B$ |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Économie marocaine-Tome 1- Jeu 20 Mar 2008 - 19:58 | |
| - Citation :
- Le phosphate, un engrais trop cher ?
En l’espace de quelques semaines le prix du DAP, l’engrais à base de phosphate le plus courant, a quasiment doublé par rapport à l’année dernière, quadruplé par rapport à 2006. Il faut maintenant compter sur un prix moyen de l’ordre de 800 dollars la tonne au départ du pays producteur contre 200 dollars il y a deux ans. La faute aux autres matières premières, s’excuseraient presque les fournisseurs, selon l’expert Ken Nyiri qui brossait un tableau de la situation lors des journées du phosphate organisées à Paris (1). Avec un baril de pétrole à 100 dollars, l’acide sulfurique et l’ammoniaque nécessaires à la production des engrais à partir du minerai de phosphate ont vu leur prix bondir, d’où le surenchérissement des coûts, ont-ils expliqué en janvier.
En février, la Chine, passée du statut d’importateur à celui d’exportateur au cours des dernières années, a ajouté son grain de sel en relevant ses taxes à l’exportation de 20 à 35% sur les produits phosphatés jusqu’à l’automne prochain pour protéger son marché intérieur. Des évènements qui font bouillir un marché déjà fort tendu par la demande agricole. Les stocks de céréales au plus bas, l’engouement pour les biocarburants donnent des perspectives radieuses au marché du phosphate. Du moins tant que la production est concentrée comme c’est le cas aujourd’hui.
Maroc en tête, une poignée de pays et de compagnies représentent les trois quarts de l’approvisionnement. Au moment où la rareté du minerai de qualité commence à devenir un sujet de préoccupation, ils ont le loisir de fixer les prix. Comme pour toutes les matières premières, les prix élevés attirant de nouveaux joueurs, les maîtres actuels entendent bien profiter tant que possible de leur position dominante. A moins que la demande ne s’effondre plus vite que l’offre ne s’étoffe, car au prix actuel du phosphate, beaucoup d’agriculteurs n’ont plus les moyens de fertiliser leurs terres. Au Pakistan, par exemple, où le prix du sac de 50 kilos de DAP a plus que doublé. Les paysans ont déjà divisé leur consommation par deux. Un coup dur pour un pays dont l'agriculture constitue encore le quart de la richesse nationale.
(1) conférence organisée par British Sulphur Consultants. http://www.rfi.fr/actufr/articles/098/article_62919.asp Le malheur des uns fait le bonheur des autres |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Économie marocaine-Tome 1- Jeu 20 Mar 2008 - 20:37 | |
| ca va faire comme apres 1973 et le choc petrolier ou les matieres premieres etaient cheres,le maroc s'en ait mis plein les fouilles,tout allait pour le mieux,le pays achetait a tour de bras surtout dans l'armement suite a la marche verte
le phosphate de boucraa est presque insignifiant a cote de celui de youssoufia,benguerir et khouribga. |
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