Économie marocaine-Tome 1-

Rappel du premier message :

13.03.2007 | 16h42
Le président d'AXA France, François Pierson, a défendu le projet de création de 1.500 emplois au Maroc qui s'inscrit dans le cadre du plan stratégique "Ambition 2012", visant un doublement du chiffre d'affaires et un triplement du résultat du groupe d'assurances français d'ici à 2012.

"Aucun contrat de travail ne sera remis en cause en France. Il ne s'agit pas de délocaliser des emplois, mais d'en créer de nouveaux dans le cadre de notre développement", a-t-il indiqué dans un entretien publié mardi au journal économique "Les Echos", assurant que ce projet ne sera pas mauvais pour l'emploi en France dans la mesure où AXA France comptera en 2012 plus d'emplois qu'aujourd'hui.

Après avoir souligné que son groupe a tout le temps gardé la volonté de ne pas rompre le dialogue avec les syndicats, M. Pierson a affirmé que "personne au sein d'AXA France ne doit avoir honte ou peur du projet de création de 1.500 emplois au Maroc".
"Nous ouvrons maintenant les dossiers de consultation pour quantifier précisément le nombre de personnes qui travailleront pour nous au Maroc", a fait savoir le président d'AXA France, rappelant que son groupe est déjà le deuxième assureur au Maroc.

Il a indiqué d'autre part que le volet ressources humaines d'Ambition 2012 contient également un programme de mobilité "Cap Métiers", des actions en faveur de l'égalité hommes-femmes, le recrutement de minorités visibles grâce au CV anonyme, des évolutions salariales ainsi que la distribution gratuite d'actions.

Présenté le 5 décembre dernier en comité central d'entreprise, le projet Ambition 2012 se veut neutre sur le plan de l'emploi. Il s'agirait ainsi de remplacer les 3.000 départs à la retraire des six prochaines années chez AXA France par 1.500 embauches dans l'Hexagone et autant au Maroc où une nouvelle structure sera créée.
La direction d'AXA avait précisé récemment qu'elle dégagerait 75 millions d'euros de cette opération.


Source: MAP

yakousa a écrit:

ils font 90% home et 10% export#

appreciez les domaines

http://www.dlm.ma/index.php?option=com_content&task=view&id=25&Itemid=107

les outils(entre autres découpe en gaz et plasma)

http://www.dlm.ma/index.php?option=com_content&task=view&id=23&Itemid=60

ca donne vraiment la fierté

Entièrement d'accord avec de l'indusrie lourde qui à besoin de main d'oeuvre.

Pour info. la découpe gaz/plasma est utilisé ds la construction naval .

exactly,la derniere fois je l´ai vu dans un reportage sur l´upgrade des Abrams,et cette technologie est vraiment dernier cri et couteuse

Citation :

Orascom Telecom voulait quitter l’Algérie pour s’implanter au Maroc

Depuis quelques mois, les relations entre les autorités algériennes et le groupe égyptien Orascom Telecom sont tendues. Le 23 juillet, devant les maires du pays, le président Bouteflika avait critiqué sans le citer l'attitude du groupe égyptien qui avait cédé ses cimenteries algériennes au français Lafarge sans l'aval du gouvernement. Le président Bouteflika avait cité le chiffre révélé quelques jours auparavant par toutsurlalgerie (lire notre article du 5 juillet) concernant le montant de la transaction. Depuis cette affaire, le gouvernement a décidé de durcir les conditions d'investissements étrangers en Algérie.

Mais l'affaire du ciment ne constitue pas le seul motif qui a mis les algériens en colère. Après tout, Orascom Telecom et Orascom Cement, qui appartiennent certes à deux frères, sont des entreprises indépendantes l'une de l'autre. En réalité, Alger reproche surtout à Orascom Telecom d'avoir cherché à quitter l'Algérie pour s'implanter au Maroc. En effet, selon nos informations, dès 2007 et jusqu'au début de l'année 2008, le groupe égyptien était en négociations avancées pour le rachat de Meditel, le premier opérateur mobile privé du Maroc.

En parallèle, Orascom Telecom avait engagé des négociations avec l'opérateur France Telecom en vue de céder sa filiale algérienne Djezzy. Mais la vente, fin 2007, des cimenteries d'Orascom à Lafarge et les hésitations de France Télécom ont retardé les discussions avant de les faire échouer.

Pourquoi Orascom Telecom voulait-il quitter l'Algérie où sa filiale connait un succès opérationnel important, avec un taux de marge de 65% ? La décision du groupe égyptien serait-elle liée aux incertitudes concernant l'évolution de la situation politique alors que le deuxième mandat du président Bouteflika touchait à sa fin? Une chose est sûre : Orascom Telecom, en optant pour le Maroc, avait commis une erreur stratégique.

TSA

Décidement à chaque échec du gouvernement algérien sa ne peut être que la faute du maroc .....

voici le commentaire d'un lecteur qui en dit bcp et ne sont pas dupe !

Citation :

C'est le Maroc qui a donné de l'urticaire à Boutef ou la decision d'Orascom de se désinvestir d'une Algerie juridiquement instable pour les IDE ( Investissements exterieurs)? Au lieu de jeter le Maroc à la vindicte populaire, Boutef ferait mieux de réfléchir sur ses discours et décisions démagogues qui font fuir les investisseurs étrangers et même algériens. Le Maroc est encore une fois un bouc émissaire idéal pour masquer une politique économique inefficace malgré les fonds colossaux dont dispose le Pouvoir Algerien . Le retournement des cours des hydrocarbures dont l'Algérie tire la quasi totalité de ses revenus devrait inviter à plus de réalisme économique. Le nationalisme démagogue n'a jamais fait bon ménage avec le rationalisme économique.

Selon une source algérienne (Bon d'accord je sais ), le groupe égyptien Orascom Telecom était en négociations avancées pour le rachat de Meditel !

Citation :

Orascom Telecom voulait quitter l’Algérie pour s’implanter au Maroc

(...)En réalité, Alger reproche surtout à Orascom Telecom d'avoir cherché à quitter l'Algérie pour s'implanter au Maroc. En effet, selon nos informations, dès 2007 et jusqu'au début de l'année 2008, le groupe égyptien était en négociations avancées pour le rachat de Meditel, le premier opérateur mobile privé du Maroc. (...)

http://www.tsa-algerie.com/Orascom-Telecom-voulait-quitter-l-Algerie-pour-s-implanter-a_5226.html

encore une preuve entre autres(et ils sont plus a compter)que le complexe maroc ne les laisse pas dormire,et c´est surement ce qui lui a causé l´ulcere a 3atika

Ca m'attriste pour les voisins algériens que voir des investisseurs fuir ce pays au moment ou les cours des hydrocarbures sont en chute. Rien de pire qu'un gouvernement qui ne sait pas ce qu'il veut. Soit on encourage les investissements étrangers, avec les bénéfices que l'on peut en tirer et les conséquences sur la souveraineté économique qu'il faut alors accepter, soit c'est le contraire. Dans tous les cas de figure, il faut assumer ses choix. Imginez l'impact du départ de l'opérateur télécom égyptien d'Algérie. Ca va faire réfléchir les autres investisseurs auparavant interessés par le marché algérien. Beaucoup vont se demander pourquoi des égyptiens, arabes comme les algériens et ayant donc la même culture, peinent-ils à s'entendre avec les autorités et décident-ils de renoncer à un marché pourtant porteur. Boutef appartient à une génération de dirigeants algériens qui n'a jamais rien compris à l'économie et vient de porter un dur coup à la crédibilité de son pays. Quand à accuser le voisin à tout bout de champ, c'est pathétique. Je crois que le dernier des idiots en Algérie n'y croit plus.

Citation :

6,5% de croissance au deuxième trimestre 2008

Selon les derniers chiffres publiés par le Haut Commissariat au Plan (HCP), le taux de croissance est passé de 7% au 1er trimestre 2008 à 6,7% au deuxième trimestre.


Alors que dans son ensemble, la croissance est restée soutenue tout au long de l’année, la conjoncture internationale est, selon le HCP, la raison de ce léger recul. Le HCP table sur un taux de croissance de 6,4% au troisième trimestre de cette année.

Selon le dernier rapport du Fond Monétaire International (FMI), le Maroc devrait connaitre une croissance de 6,5% en 2008 et 5,5% en 2009 alors que la loi des finances 2009 table sur une croissance de 5,8%.

Bienvenue a Air Arabia Maroc

Citation :

Air Arabia Maroc" to begin operations in early 2009
New hub to be located at Casablanca airport; Follows agreement signed with Regional Air Lines of Morocco; New carrier to provide services domestically in Morocco and throughout Europe

Air Arabia, the first and largest low-cost carrier (LCC) in the Middle East and North Africa, announced today that it will commence operations from its second hub in Morocco in early 2009, subject to government approvals. Air Arabia’s second hub in Casablanca will provide the Sharjah-based LCC with a platform from which to reach the wider Europe, Middle East and Africa (EMEA) market. The new airline, named “Air Arabia Maroc” will cover Morocco’s domestic sector and operate in selected destinations across Europe and Africa.

Last year, Air Arabia announced the establishment of its second hub following the signing of a management agreement with Regional Air Lines, the leading private carrier in Morocco. Air Arabia will assume management control and apply its successful business model to the management of the newly established LCC.

Sheikh Abdullah Bin Mohammed Al Thani, Chairman of Air Arabia, said: “Air Arabia already enjoys a strong presence in the MENA region, and has now embarked upon a phase of rapid growth and expansion. In addition to further strengthening our operations in Sharjah, we are keen to capitalise on the immense potential in North Africa and Southern Europe. With our new hub in Morocco, we will now be able to expand our coverage across EMEA markets. Work on the Casablanca hub is in full swing and operations will begin early next year.”

Mohamed Hassan Ben Salah, Chairman, Regional Air Lines, said: “We are very excited about our partnership with Air Arabia. Since the announcement of this agreement last year, we have been working closely to create an airline that will provide travelers in Morocco and across the EMEA region with greater choices in efficient and cost-effective travel solutions. With its expanded coverage, we are confident that the new carrier will also contribute to the growth of tourism in the Kingdom.”

Launched in 1997, Regional Airlines covers nearly all major urban centres in Morocco and four destinations in the southern European nations of Spain and Portugal.

Ithmaar Bank, a Bahrain-based investment bank with global reach, also joins Air Arabia and Regional Air Lines as partners in the newly created company.


About Air Arabia: Air Arabia (PJSC), listed on the Dubai Financial Market, is the Middle East and North Africa’s leading low-cost carrier (LCC). Air Arabia commenced operations in October 2003 and currently operates a fleet of 16 new Airbus A320 aircraft, serving 44 destinations across Middle East, North Africa, Indian Subcontinent and Central Asia through its main hub in Sharjah, United Arab Emirates.

Air Arabia is modeled after leading American and European low-cost airlines, and its business model is customised to accommodate local preferences. Its main focus is to make air travel more convenient through Internet bookings and offering the lowest fares in the market along with the highest levels of safety and service standards.

About Regional Air Lines: Regional Air Lines, launched in 1997, is the leading private airline in Morocco. With the objective of becoming the first airline to set up a regional network from its hub in Casablanca, the carrier has grown organically over the past decade to expand its coverage area to include nearly all major urban centres in the Kingdom and four destinations in the southern European nations of Spain and Portugal. The carrier operates a fleet of 10 aircraft and employs 230 staff of 15 different nationalities.

http://www.indiaprwire.com/pressrelease/aviation/2008110415000.htm

petit appercu de ce que nous verrons dans le ciel marocain
http://www.indiaprwire.com/downloads/2008110415000-1.jpg

Citation :

En temps de crise, les intérêts s’unissent

Créer un dialogue plus direct entre les pays de la région Campanie et les pays en développement du sud de la Méditerranée. Tel était l’objectif de la conférence tenue la semaine dernière à Naples, en Italie, dans le but de créer des opportunités d’échanges et de coopération entre les pays des deux rives de la Méditerranée.

Il s’agit en fait d’un rapprochement avec 5 pays en développement : l’Egypte, la Turquie, la Tunisie, le Maroc et Israël. La région de Campanie regroupe également 5 grandes villes : Salerno, Avellino, Caserta, Benevento et Naples.

Il semble donc que la crise financière qui frappe actuellement le monde entier pousse les partenaires du sud et du nord de la Méditerranée à chercher une bouée de sauvetage en approfondissant leur coopération. « Les zones développées ne sont plus un terrain fertile pour les investissements, vu la récession résultant de la crise financière.

Les pays en développement du sud de la Méditerranée sont en croissance malgré toutes les instabilités qui frappent le monde entier, ce qui est pour nous intéressant », a avoué Fernando De Angelis, responsable de la région Campanie, chargée des relations avec les pays de la Méditerranée.

Les 5 pays sud-méditerranéens ont réalisé ces 5 dernières années des réformes économiques leur permettant une croissance continue. « L’Egypte est actuellement un point de mire pour les pays européens, notamment l’Italie. Il suffit de signaler que les nouveaux chiffres du commerce bilatéral révèlent une hausse de 15 % entre les deux parties et une participation italienne dans le capital de 209 entreprises, soit 113 millions d’euros.

Le total des investissements italiens en Egypte est de 2,5 milliards d’euros dont 1,5 milliard dans les zones franches », révèle Giancarlo Cifarelli, président de la Chambre italienne du commerce en Egypte.

C’est ainsi que la Campanie a décidé d’inviter quelque 200 responsables et hommes d’affaires des 5 pays partenaires pour discuter les moyens et les domaines de coopération les plus importants.

Une délégation égyptienne regroupant 10 entreprises dans les domaines des produits alimentaires, le prêt-à-porter et le textile et les produits en cuir, présidée par Ali Moussa, président de la Chambre du commerce égyptienne, s’est rendu à Naples pour discuter des opportunités de coopération communes. « Cette visite nous a donné la chance d’échanger avec les hommes d’affaires italiens sur des domaines d’intérêt communs et des capacités de chacune des deux parties.

Les hommes d’affaires égyptiens ont déjà discuté de quelques transactions dans le domaine du prêt-à-porter et des produits en cuir qui seront finalisés très prochainement », a déclaré à l’Hebdo Soliman Al-Wazzan, secrétaire général de la Chambre du commerce italienne en Egypte. « La crise actuelle qui frappe le monde entier a offert une opportunité unique aux pays en développement du sud de la Méditerranée. Il en est fini du rapport étudiant-professeur entre le sud et le nord de la Méditerranée. Nos pays sont une opportunité pour les pays européens.

Les intérêts se complètent et les deux parties doivent chercher à donner une valeur ajoutée à leur coopération », a signalé de son côté Ali Moussa, en assurant que la période de crise, pendant laquelle se déroule cette conférence, permet aux 5 pays arabes participant, y compris l’Egypte, d’en tirer un profit maximum.

Conditions favorables

La Tunisie, le Maroc, la Turquie et Israël, n’ont pas non plus manqué d’enthousiasme vis-à-vis de cette conférence. Des diverses sessions spéciales ont eu lieu pour discuter des domaines de coopération les plus importants comme le transport, la technologie, l’agroalimentaire, la recherche, l’énergie et le tourisme.

« L’industrie animale et par conséquent l’industrie alimentaire constitue actuellement un terrain fertile pour les investissements. Nous avons échangé avec des entreprises italiennes œuvrant dans ce domaine pour une coopération sérieuse. Des représentants de quelques entreprises se rendront en Turquie au cours des deux ou trois mois prochains pour examiner nos capacités dans ce domaine. Au moins deux contrats seront conclus à cet égard. Même chose pour les sources d’énergie renouvelable », déclare M. Ihsan Soysal, professeur d’agronomie à l’Université d’Istanbul. (Voir entretien).

Pour le Maroc, le domaine le plus intéressant a été le transport et la logistique. Des représentants de l’Organisme national des ports ont été présents à la conférence et ont partagé, avec les responsables de la ville de Naples, les moyens de coopérer dans ce domaine afin d’assurer des échanges commerciaux stables et diversifiés.

Quant à la Tunisie, où l’industrie textile constitue 50 % du PIB, c’est ce domaine qui a naturellement le plus intéressé. Et à cet égard, des études de faisabilité des projets et de coopération commune entre les deux parties ont été échangées. Tandis que pour Israël, les sources de l’énergie et d’eau ont constitué la priorité.

Ainsi pour la première fois, les pays en développement ont eu droit de revendiquer des conditions favorables à la coopération avec leurs partenaires développés et riches du nord de la Méditerranée.

« Cette rencontre a réussi à identifier de nouveaux domaines de coopération entre les deux rives de la Méditerranée et à approfondir la coopération commerciale. C’est de cela dont nous avons besoin aujourd’hui en temps de crise », a conclu Rosanna Palumbo, responsable de la région Campanie.

Névine Kamel

http://hebdo.ahram.org.eg/arab/ahram/2008/11/5/econ1.htm

Citation :

80 pc du budget nécessaire à la réalisation du projet de TGV est actuellement disponible (ministre)

Rabat, 04/11/08- Le ministre de l'Equipement et du transport, M. Karim Ghellab, a affirmé que plus de 80 pc du budget nécessaire à la réalisation du projet de "Train à Grande Vitesse" (TGV) est actuellement disponible.

Dans un entretien publié mardi par le journal "Al Jarida Al Oula", M. Ghellab a précisé que les travaux de construction des lignes Taourirt-Nador, Tanger-Med et Machraâ Belkciri-Dar Keddari, s'achèveront en décembre prochain.

Evoquant le programme des autoroutes, le ministre a souligné que les travaux se poursuivent au niveau des axes "Marrakech-Agadir" et "Fès-Oujda", notant que le premier axe sera fin prêt à la fin du premier semestre 2010, alors que le deuxième s'achèvera à la fin du premier semestre 2011.

Le ministre a aussi rappelé la poursuite des travaux de déboublement des routes nationales "Fès-Sefrou", "Tanger-Tétouan" et "Marrakech-Essaouira", soulignant que les efforts sont également axés sur la réalisation du programme 2.000 km de routes rurales par an.

Au sujet du budget de son département au titre du projet de loi de finances 2009, M. Ghellab a indiqué que le budget d'investissement prévu par ce projet atteindra, pour la première fois, 44 milliards DH, estimant que cette mesure témoigne de l'intérêt accordé par le gouvernement au maintien du rythme de croissance de l'économie nationale.

Abordant le projet du code de la route, M. Ghellab a indiqué que plusieurs amendements ont été apportés à ce projet surtout après les réunions de concertation tenues avec les professionnels du secteur, faisant savoir que ces amendements portent notamment sur les sanctions prévues par ce projet.

Citation :

Veolia investit 170M€ au Maroc
Source : AFP
05/11/2008 | Mise à jour : 11:04 | .
Le groupe français Veolia a annoncé au Maroc un plan de dépollution d'une partie du littoral atlantique pour un investissement de 1,83 milliard de dirhams (170 millions d'euros), a-t-on appris aujourd'hui auprès de ce groupe à Casablanca.

Le plan vise l'assainissement du littoral aux alentours de la vallée de l'oued Bouregreg qui sépare les deux villes jumelles Rabat et Salé.

Cette partie du littoral et l'oued Bouregreg sont pollués par environ 200.000 m3 de déchets organiques et d'eaux usées par jour.

La vallée de Bouregreg a connu ces dernières années de gros investissements, notamment émiratis, pour en faire un grand pôle touristique.

En 2006, le groupe EMAAR a investi 3,1 milliards de dollars pour l'aménagement de la corniche de Rabat, et Dubai Holding 2 milliards de dollars pour des projets touristiques dans la vallée du Bouregreg.

Un projet de tramway joignant les deux villes jumelles avait été remporté en 2007 par Alstom qui y a investi 1,2 milliards de dirhams (107 millions d'euros).

http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2008/11/05/01011-20081105FILWWW00549-veolia-investit-m-au-maroc.php

said a écrit:

Citation :

Veolia investit 170M€ au Maroc
Source : AFP
05/11/2008 | Mise à jour : 11:04 | .
Le groupe français Veolia a annoncé au Maroc un plan de dépollution d'une partie du littoral atlantique pour un investissement de 1,83 milliard de dirhams (170 millions d'euros), a-t-on appris aujourd'hui auprès de ce groupe à Casablanca.

Le plan vise l'assainissement du littoral aux alentours de la vallée de l'oued Bouregreg qui sépare les deux villes jumelles Rabat et Salé.

Cette partie du littoral et l'oued Bouregreg sont pollués par environ 200.000 m3 de déchets organiques et d'eaux usées par jour.

La vallée de Bouregreg a connu ces dernières années de gros investissements, notamment émiratis, pour en faire un grand pôle touristique.

En 2006, le groupe EMAAR a investi 3,1 milliards de dollars pour l'aménagement de la corniche de Rabat, et Dubai Holding 2 milliards de dollars pour des projets touristiques dans la vallée du Bouregreg.

Un projet de tramway joignant les deux villes jumelles avait été remporté en 2007 par Alstom qui y a investi 1,2 milliards de dirhams (107 millions d'euros).

http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2008/11/05/01011-20081105FILWWW00549-veolia-investit-m-au-maroc.php

Le rbati que je suis en est bien content . Nos côtes ont un serieux besoin d'être dépolluées. Quand aux projets tram, etc, je sais qu'il va y avoir de grands retards par rapport aux previsions de livraison. L'essentiel est que nous sommes sur la bonne voie.

casablanca marina







http://www.cgi.ma/jsp/actualite/DAMI_english.pdf

C'est un cimetiere ? l'architecte a fait un enorme travail d'imagination en creant des "cubes"

Citation :

Phosphates, by-products nine-month sales stand at $ 5bln

Rabat, Nov. 5 (MAP) - Sales of phosphates and by-products stood at $ 5bln in the first three quarters, that is 35.4% of overall national exported goods which rose to $ 14.3bln (+34.6%), Office de Change said.

Exports of phosphates and by-products have tripled from $ 1.8bln by September 2007 to $ 5bln a year later. This performance is ascribed to the price hike on the international market, noted the office in its monthly report on foreign exchanges for January-September 2008.

According to the report, phosphates sales totaled some $ 1.6bln last September against $ 526mln in the same period of last year. The average ton of imported phosphates has more than tripled to reach $ 166 against $49.

Phosphoric acid exports has also rose from $ 730mln to $ 1.5bln, the report noted, adding that the price of average ton has tripled to $ 1.6k.

While consumers’ goods declined 4.9% from $ 3.1bln to $ 2.9bln, all other products posted an increase during the first nine months of the current year, notably semi-products (+69.3%) equipment goods (+33.5%), and food products (+9.9%), the Office underlined.

Trade exchanges in the January-September 2008 period reached $ 43.6bln against $ 32.3bln a year ago, the document went on to say.
France, remains the first customer and supplier of Morocco with 62.5% of trade operations, followed by Asia (20.4%), the USA (10.8 %), and Africa (5.5%), the office concluded.

http://www.map.ma/eng/sections/econo..._by-produ/view

merci kaidow tu nous tiens tjs up2date

Citation :

Le Maroc a exporté pour 15 milliards de dollars en 2008


APA- Rabat (Maroc) Les exportations marocaines ont atteint 123 milliards de dirhams, soit plus de 15 milliards de dollars au terme des neuf premiers mois se l’année 2008, ce qui représente une hausse de 34.6 pour cent par rapport à la période correspondante 2007, a appris APA jeudi à Rabat.

Les ventes de phosphates et dérivés se sont taillées la part du lion dans ces chiffres « record » en enregistrant 43,5 milliards de dirhams, soit 35,4 pour cent des exportations marocaines , indique l’office marocain des changes.

Ces ventes ont triplé sur fond de hausse des prix des phosphates sur le marché mondial.

Les importations, elles, ont grimpé également pour atteindre une hausse de 32.1 pour cent, ce qui a engendré un déficit dans la balance commerciale de 65.8 milliards de dirhams, en hausse toutefois de 79.8 pour cent par rapport à l’année 2007.

Les produits énergétiques trônent sur la rubrique des importations en totalisant quelque 54,8 milliards de dirhams, soit une hausse de 49,6 pour cent par rapport à la période correspondante.

Le Maroc importe la totalité de ses besoins pétroliers estimés à plus de 6 millions de tonnes.

Les produits alimentaires suivent la même tendance haussière (33.9 pour cent) avec 23.5 milliards de dirhams d’achats tout comme les produits de consommation qui se sont incrits en hausse de 12 pour cent pour s’établir à 39,4 milliards de dirhams.

Le Maroc, dont le PIB avoisine 70 milliards de dollars, table sur un taux de croissance dépassant 6 pour cent en 2008 contre une inflation sous le seuil de 3 pour cent en dépit de la conjoncture internationale qualifiée de « morose ».

http://www.apanews.net/apa.php?page=show_article&id_article=79723

Romeoh a écrit:

C'est un cimetiere ? l'architecte a fait un enorme travail d'imagination en creant des "cubes"

les marocains, on est habitué aux cubes, regarde les maison d'a coté eux aussi sont des cubes.

on a un pays de légo, pchaaakkkk

j'ai visiter rabat en 1997 et 2004 ,franchement c'etait tristounet a part le chellah,qq monuments et le souissi avec ses gigantesques villas, on s'ennuie dans cette ville qui parait vieillote

content donc pour les rbatis et surtout l'image de modernitée qu'elle va vehiculer avec tous ces projets

Ca fait 2 ans que je suis pas rentré et je ne reconnais plus rien. Rabat etait tres franchement "dépressive" c'est beaucoup mieux maintenant.

Petite note de nostalgie
Fini le temps ou pour quelques dirhams, on pouvait louer une barque et déguster une bonne bouteille au milieu du Bouregreg
Rabat était une petite ville tranquille et, il y un vingtaine d'années, les jeunes des quartiers se connaissaient entre eux. Celui à qui tu n'as jamais parlé, tu le connais au moins de vue.
Mais il faut avouer qu'à l'époque, on n'aimait bien rester entre nous, on n'aimait pas beaucoup les étrangers

Samyadams a écrit:

Petite note de nostalgie
Fini le temps ou pour quelques dirhams, on pouvait louer une barque et déguster une bonne bouteille au milieu du Bouregreg
Rabat était une petite ville tranquille et, il y un vingtaine d'années, les jeunes des quartiers se connaissaient entre eux. Celui à qui tu n'as jamais parlé, tu le connais au moins de vue.
Mais il faut avouer qu'à l'époque, on n'aimait bien rester entre nous, on n'aimait pas beaucoup les étrangers

alors c'est pour ça que a chaque fois que je demandais mon chemin a un rbati il m'envoyait a l'autre bout de la ville

meme si ma ville natale je l´ai jamais aimé...bizarre,meqnata et fchichkel pour les etrangers

Embouteillages ou problèmes de stationnement, habitants pas tres sympa, Rabat n'est ni pour les pietons, ni pour les conducteurs. J'y allais le moins possible, même si c'est tout pres de Tmara.

rabat c'est celle des sixties et seventies avec drari dasrines de l'ocean, les virées a la maamora,les repas au jour et nuit, en bas l'entonnoir et sa boite celebre,descartes avec les fils de personalitées qui sont aujourdhui a des postes importants,l'autoroute qui se construisait,les amerloques a kenitra et la marchandise qui sortait de labas,la plage de bouknadel ,les virées a moto dans la maamora deserte et propre,les avions qui desservaient pas mal de capitales depuis rabat-salé,la jeunesse dorée qui se prennait pour des communistes...