USA Vote 2008 [Uniquement]

Rappel du premier message :

Citation :

Clinton et Obama se déchirent les démocrates s'inquiètent


Les deux adversaires manœuvrent pour s'adjuger le plus grand nombre de superdélégués, dont le vote sera déterminant. Crédits photo : ASSOCIATED PRESS

À mesure que s'éternisent les primaires démocrates, les candidats ne reculent devant aucune méthode, mettant en péril l'unité du parti avant la présidentielle.

Porto Rico a décidé de transformer ses caucus en primaires et de les avancer au 1er juin. Dans un cycle électoral normal, la décision du petit «territoire associé« inscrit en fin de calendrier ne retiendrait même pas l'attention. Cette année, elle fait polémique : l'entourage de Barack Obama soupçonne le patron local du Parti démocrate, un fervent supporteur de Hillary Clinton, de vouloir avantager cette dernière, plus à l'aise dans les scrutins ouverts que dans les caucus (réunions électorales). Alors que la compétition s'éternise, chaque voix a un prix et les 55 délégués de Porto Rico pourraient valoir de l'or.

Le prix figure parfois dans les comptes de campagne des candidats. Financial Innovations, l'entreprise de Mark Weiner, qui siégera comme superdélégué à la convention de Denver en tant que président du Parti démocrate de Rhode Island, a touché 678 000 dollars de l'équipe Clinton pour fabriquer des autocollants et des affichettes. Factotum Productions, dirigée par le superdélégué du Massachusetts Gus Bickford, a perçu 20 000 dollars pour un travail de «consultant« qui a démarré le jour où il a choisi le camp de Hillary. L'agence de collecte de fonds de Jeremy Bernard, superdélégué de Californie, a été rétribuée 114 000 dollars par la campagne d'Obama.

Tandis que les deux adversaires et leurs conseillers s'écharpent en public, d'innombrables manœuvres ont lieu en coulisses. La dernière idée du camp Clinton est de calculer son avantage en fonction du poids électoral de chaque État dans le scrutin final. À la traîne au nombre de victoires, de voix et de délégués, elle l'emporterait dans la projection des grands électeurs (219 contre 202, sur les 270 nécessaires en novembre.) «Avec Clinton, la ligne de but ne cesse de bouger«, plaisante-t-on chez Obama.

En théorie, seuls les superdélégués (cadres et élus du parti, siégeant ès qualités à la convention) sont libres de choisir leur candidat. Les délégués élus lors des primaires, eux, sont « promis » à l'un des prétendants. En réalité cependant, leur engagement est surtout moral. D'ailleurs, quand leur favori abandonne, ils peuvent en changer. Barack Obama a ainsi hérité de 8 des 14 délégués attribués à John Edwards dans l'Iowa en janvier. Du coup, Clinton n'exclut pas de « convertir » des délégués ordinaires : « Plus on se rapproche de la convention, plus la chasse est ouverte, confie-t-on dans l'entourage de la sénatrice. Toutes les règles peuvent passer par-dessus bord.«


Judas et les snipers

Du moins quand ça l'arrange. Après avoir demandé aux superdélégués d'exercer leur jugement de façon indépendante, c'est exactement ce qu'elle reproche au gouverneur du Nouveau-Mexique, Bill Richardson. Cet ancien membre de l'Administration Bill Clinton a décidé de soutenir Obama, alors que Hillary l'avait emporté dans son État. Il se montre d'ailleurs un peu embarrassé, pour avoir longtemps plaidé que les superdélégués devaient «respecter le choix de leur électorat«. L'épisode a donné lieu à quelques échanges acides. James Carville, l'ancien stratège de la victoire de Bill Clinton en 1992, a dénoncé «un acte de trahison«, comparant Richardson à «Judas qui vendit Jésus pour trente pièces d'argent.« L'intéressé a saisi cet exemple de «politique de caniveau typique de nombreux conseillers de Mme Clinton, qui croient avoir un titre de propriété sur la présidence«.

De son côté, Bill Clinton a relancé la polémique autour des sermons «antiaméricains« du pasteur d'Obama : «Ce serait bien si on avait deux candidats aimant ce pays et dévoués à ses intérêts«, a-t-il dit. Le général Tony McPeak, un proche d'Obama, s'est chargé de la réplique : «J'étais encore étudiant quand Joe McCarthy accusait de bons Américains de trahison.« Le gouverneur de Pennsylvanie, Ed Rendell, qui soutient Hillary, a eu le dernier mot : «Voilà du négativisme : si vous voulez calmer le jeu, vous n'accusez pas quelqu'un de maccartisme.«

Clinton a aussi été épinglée pour avoir raconté qu'elle avait visité Sarajevo sous les tirs des snipers en 1996, alors que CBS a diffusé les images d'une réception sans incident. «La liste de ses exagérations s'allonge chaque jour«, a déploré Obama. Les deux rivaux ne laissent plus rien passer, au risque de compliquer une réconciliation avant l'élection de novembre. «Je commence à m'inquiéter, avoue Mark Mellman, ancien conseiller de John Kerry en 2004. Les démocrates ne peuvent être battus que par eux-mêmes, mais ça semble bien parti.

» VIDÉO CNN - Immobilier,le plan Clinton

http://www.lefigaro.fr/elections-americaines-2008/2008/03/25/01017-20080325ARTWWW00305-l-economie-et-les-candidats.php

le figaro

Romeoh a écrit:

clinton est un assassin d'enfants avec une tête de gentil bonhomme.

nimporte quoi sorce????

Les gars arrêtez de rabaisser les Chinois, le Maroc devrait se tourner vers la Chine pour ses propres intérêts...les Usa s'est fini, et n'aura plus la même puissance d'avant...

Il faut changer d'allié comme on change de chemise...

juba2 a écrit:

Romeoh a écrit:

clinton est un assassin d'enfants avec une tête de gentil bonhomme.

nimporte quoi sorce????

tu a deja entendu parler de l'embargo sur l'Irak, avant l'invasion de 2003?
wiki it!

Romeoh a écrit:

juba2 a écrit:

Romeoh a écrit:

clinton est un assassin d'enfants avec une tête de gentil bonhomme.

nimporte quoi sorce????

tu a deja entendu parler de l'embargo sur l'Irak, avant l'invasion de 2003?
wiki it!

Pas pour la nouriture .Saddam l'a vende exactement comme le polisario fait maintenant a tindouf.Check Unesco and UN files.

juba2 a écrit:

Romeoh a écrit:

juba2 a écrit:

Romeoh a écrit:

clinton est un assassin d'enfants avec une tête de gentil bonhomme.

nimporte quoi sorce????

tu a deja entendu parler de l'embargo sur l'Irak, avant l'invasion de 2003?
wiki it!

Pas pour la nouriture .Saddam l'a vende exactement comme le polisario fait maintenant a tindouf.Check Unesco and UN files.

I don't want to sound rude but, DO YOU LIVE IN SOME OTHER PLANET??!!!


Here are some of the figures, all i had to do was type " Irak, embargo" on Google. 6 years of restrictions on everything, 6 years of weekly bombings
and then came Bush & his invasion in 2003, turn off your TV & start looking for your information.

Citation :

L'embargo tue d'abord les enfants
L'Humanité

Selon un rapport de l'ONU, la mortalité infantile a doublé à Bagdad et sextuplé dans les zones rurales en six ans. Acte d'accusation.

MORTALITE infantile, malnutrition, maladies chroniques, mendicité, fuite des cerveaux: en six ans, l'embargo international a rejeté l'Irak, pays pétrolier et naguère en pleine expansion, au rang des Etats les plus pauvres de la planète.' C'est en ces termes que Salim Yassine, envoyé spécial de l'AFP, résume la tragique situation humanitaire de l'Irak.

La situation humanitaire décrite par l'ONU est significative, poursuit-il, en soulignant: 'Le rapport comparatif (1990-premier semestre 1996), publié récemment par le Bureau de coordination humanitaire de l'ONU, parle d'une situation inquiétante qui se détériore constamment (...).'

En six ans, indique le journaliste, 'la mortalité infantile a doublé à Bagdad passant de 80 à 161 décès pour 1.000 naissances. Elle a sextuplé en zone rurale, passant de 257 à 1.356 décès pour 100.000 naissances.' Dans la seule agglomération de Bagdad, près de 60% des enfants souffrent de malnutrition. Le nanisme a fait son apparition et 70% des femmes enceintes ou ayant des enfants en bas âge sont anémiques.

La capacité d'hospitalisation a été réduite à 41% de celle qui existait avant l'embargo et les hôpitaux manquent de tout et, 'souvent, les opérations chirurgicales sont effectuées sans anesthésie', indique le rapport. Au niveau de l'hygiène, seul 44% de la population a accès à l'eau traitée dans les zones rurales, alors que le niveau était comparable à ceux des pays occidentaux avant l'embargo. Les cas de malaria sont montés pour les seules régions du nord de 3.080 en 1991 à 60.000 en 1995, rappelle l'Organisation mondiale de la santé (OMS).

Le manque d'équipement et de pesticides a fait baisser la production agricole de 50% dans certains secteurs. Le niveau d'éducation qui pouvait être comparé à ceux des pays émergents avant 1990 souffre du manque d'équipement et de formation des enseignants dont le salaire moyen équivaut à 4.000 dinars, soit 17,50 F. Le taux de scolarisation primaire ne dépasse plus 42%, alors qu'il atteignait 80% avant l'embargo.

Selon l'UNICEF les rations alimentaires gouvernementales, 1.300 calories, sont nettement insuffisantes puisque celles du programme alimentaire mondial (PAM) destinées aux populations assistées atteignent 2.300 calories.

Avant l'embargo, le revenu annuel par tête s'élevait à 3.821 dollars (19.100 francs), ce qui plaçait l'Irak au rang des pays industrialisés. Il a été réduit depuis l'embargo de cinq fois. Le budget du ministère de la Santé a été réduit entre 5% et 10% de ce qu'il était avant l'embargo lorsqu'il atteignait 450 millions de dollars (2,250 milliards de francs), ce qui permettait aux Irakiens des soins de santé comparables à ceux des pays industrialisés, a-t-il ajouté.

S'exprimant avec prudence, selon l'AFP, le représentant de l'UNICEF affirme que 'la poursuite de cette situation aura un effet cumulatif qui risque d'entraîner des séquelles définitives sur la frange la plus fragile de la population, soit celle des enfants'.

Mais des responsables d'organisations non gouvernementales (ONG), qui ne mâchent pas leurs mots, parlent déjà 'd'une génération perdue, à cause de l'embargo' dans un pays qui dispose des plus importantes réserves prouvées de pétrole après l'Arabie Saoudite.
http://www.association-abir.com/irak_embargo_4.htm

Romeoh a écrit:

juba2 a écrit:

Romeoh a écrit:

juba2 a écrit:

Romeoh a écrit:

clinton est un assassin d'enfants avec une tête de gentil bonhomme.

nimporte quoi sorce????

tu a deja entendu parler de l'embargo sur l'Irak, avant l'invasion de 2003?
wiki it!

Pas pour la nouriture .Saddam l'a vende exactement comme le polisario fait maintenant a tindouf.Check Unesco and UN files.

I don't want to sound rude but, DO YOU LIVE IN SOME OTHER PLANET??!!!


Here are some of the figures, all i had to do was type " Irak, embargo" on Google. 6 years of restrictions on everything, 6 years of weekly bombings
and then came Bush & his invasion in 2003, turn off your TV & start looking for your information.

Citation :

L'embargo tue d'abord les enfants
L'Humanité

Selon un rapport de l'ONU, la mortalité infantile a doublé à Bagdad et sextuplé dans les zones rurales en six ans. Acte d'accusation.

MORTALITE infantile, malnutrition, maladies chroniques, mendicité, fuite des cerveaux: en six ans, l'embargo international a rejeté l'Irak, pays pétrolier et naguère en pleine expansion, au rang des Etats les plus pauvres de la planète.' C'est en ces termes que Salim Yassine, envoyé spécial de l'AFP, résume la tragique situation humanitaire de l'Irak.

La situation humanitaire décrite par l'ONU est significative, poursuit-il, en soulignant: 'Le rapport comparatif (1990-premier semestre 1996), publié récemment par le Bureau de coordination humanitaire de l'ONU, parle d'une situation inquiétante qui se détériore constamment (...).'

En six ans, indique le journaliste, 'la mortalité infantile a doublé à Bagdad passant de 80 à 161 décès pour 1.000 naissances. Elle a sextuplé en zone rurale, passant de 257 à 1.356 décès pour 100.000 naissances.' Dans la seule agglomération de Bagdad, près de 60% des enfants souffrent de malnutrition. Le nanisme a fait son apparition et 70% des femmes enceintes ou ayant des enfants en bas âge sont anémiques.

La capacité d'hospitalisation a été réduite à 41% de celle qui existait avant l'embargo et les hôpitaux manquent de tout et, 'souvent, les opérations chirurgicales sont effectuées sans anesthésie', indique le rapport. Au niveau de l'hygiène, seul 44% de la population a accès à l'eau traitée dans les zones rurales, alors que le niveau était comparable à ceux des pays occidentaux avant l'embargo. Les cas de malaria sont montés pour les seules régions du nord de 3.080 en 1991 à 60.000 en 1995, rappelle l'Organisation mondiale de la santé (OMS).

Le manque d'équipement et de pesticides a fait baisser la production agricole de 50% dans certains secteurs. Le niveau d'éducation qui pouvait être comparé à ceux des pays émergents avant 1990 souffre du manque d'équipement et de formation des enseignants dont le salaire moyen équivaut à 4.000 dinars, soit 17,50 F. Le taux de scolarisation primaire ne dépasse plus 42%, alors qu'il atteignait 80% avant l'embargo.

Selon l'UNICEF les rations alimentaires gouvernementales, 1.300 calories, sont nettement insuffisantes puisque celles du programme alimentaire mondial (PAM) destinées aux populations assistées atteignent 2.300 calories.

Avant l'embargo, le revenu annuel par tête s'élevait à 3.821 dollars (19.100 francs), ce qui plaçait l'Irak au rang des pays industrialisés. Il a été réduit depuis l'embargo de cinq fois. Le budget du ministère de la Santé a été réduit entre 5% et 10% de ce qu'il était avant l'embargo lorsqu'il atteignait 450 millions de dollars (2,250 milliards de francs), ce qui permettait aux Irakiens des soins de santé comparables à ceux des pays industrialisés, a-t-il ajouté.

S'exprimant avec prudence, selon l'AFP, le représentant de l'UNICEF affirme que 'la poursuite de cette situation aura un effet cumulatif qui risque d'entraîner des séquelles définitives sur la frange la plus fragile de la population, soit celle des enfants'.

Mais des responsables d'organisations non gouvernementales (ONG), qui ne mâchent pas leurs mots, parlent déjà 'd'une génération perdue, à cause de l'embargo' dans un pays qui dispose des plus importantes réserves prouvées de pétrole après l'Arabie Saoudite.
[url=http://www.association-abir.com/irak_embargo_4.htm

http://www.association-abir.com/irak_embargo_4.htm[/quote][/quote[/url]]



You have to listen both side of the story and anlayze ,click down below for the link from few agencies:
http://www.fas.org/news/iraq/1998/02/20/98022007_tpo.html
http://www.globalsecurity.org/wmd/library/news/iraq/1999/e19991020iraqis.htm
http://news.bbc.co.uk/1/hi/world/middle_east/536512.stm
http://tigerhawk.blogspot.com/2004/10/oil-for-food-and-collapse-of.html

The sources you have posted are neither independant nor honest, globalsecurity! BBC! the "popular media" are liars, they say what they have to say in order to keep the peoples behind their leaders, the US are no exception.In other words they work for for the "establishment"

Oil for food! it does sound generous, but why the sanctions? why did they leave Saddam free in the first place? they could have ended it in a matter of minutes, but still, they let him in place & continued to bomb Irak, starve the people & prevent them from getting sufficent medical supplies. Read the article i have posted, it is very accurate.
The Bush (father & son) & Clinton administration were both criminal in their policy in the middle east. Don't forget that Saddam invaded Koweit only after a discussion with the Us ambassador in Irak at the time (april gillespie).

Romeoh a écrit:

The sources you have posted are neither independant nor honest, globalsecurity! BBC! the "popular media" are liars, they say what they have to say in order to keep the peoples behind their leaders, the US are no exception.In other words they work for for the "establishment"

Oil for food! it does sound generous, but why the sanctions? why did they leave Saddam free in the first place? they could have ended it in a matter of minutes, but still, they let him in place & continued to bomb Irak, starve the people & prevent them from getting sufficent medical supplies. Read the article i have posted, it is very accurate.
The Bush (father & son) & Clinton administration were both criminal in their policy in the middle east. Don't forget that Saddam invaded Koweit only after a discussion with the Us ambassador in Irak at the time (april gillespie).

In that case he should never invaded Kuwait. Saddam was in power for ages like all other Arab dictators.Believe me he never had any compassion for his people.Saddam first.Let's put it this way,where ever there is a war there is a chaos. I am not going to convence you ,let's keep it that way ,next subject.Still ,Saddam's family has hundreds of millons of that money in Jordanian and swiss bank.

barbaros pacha a écrit:

Les gars arrêtez de rabaisser les Chinois, le Maroc devrait se tourner vers la Chine pour ses propres intérêts...les Usa s'est fini, et n'aura plus la même puissance d'avant...

Il faut changer d'allié comme on change de chemise...

Citation :

Risque accru de conflit dans le monde
Source : AFP
31/10/2008 | Mise à jour : 21:21 |


Le monde sera confronté à un risque grandissant de conflits au cours des 20 à 30 années à venir au moment où se produit un transfert sans précédent de richesse et de puissance de l'Ouest vers l'Est, selon le patron du renseignement américain.

Michael McConnell prévoit notamment une demande croissante pour des ressources menacées de pénurie comme la nourriture et l'essence, une concurrence accrue dans les nouvelles technologies et une diffusion des armes de destruction massive.
"Ce que je sous-entends, c'est un risque potentiel croissant de conflit," a résumé M. McConnell devant un public de professionnels du renseignement à Nashville (Tennessee, sud). "D'ici à 2025, la probabilité d'un conflit entre pays et de guerres civiles sera plus important," a-t-il ajouté.

Les conditions seront aussi plus favorables pendant cette période à "des attentats terroristes de grande ampleur à l'aide de produits chimiques, d'armes biologiques et moins sûrement nucléaires", selon M. McConnell, qui envisage un monde multi-polaire en 2025 qui verra l'essor accru de la Chine, de l'Inde et du Brésil.

.http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2008/10/31/01011-20081031FILWWW00740-risque-accru-de-conflit-dans-le-monde.php

Saddam had no compassion, period. He executed members from his own family, he was a murderer, but it's not a matter of compassion or democracy...
Saddam was a bad guy, but he was washington's bad guy during the Iran-Irak war, they gave him valuable intelligence & biological weapons that's why he had such a long reign, that's how he managed to get rid of insurgencies very very quickly, look up Halabja- Kurdistan & you will see.
His bad move was to trust the americans & invade Koweit (former iraki province...)
It's not a matter of convincing me, i have my own opinions, based on facts & on discussions i have had with a shitload of iraki citizens (refugees now) i have met in Egypt, Morocco & France. During the gulf war, Bush father urged the irakis to overthrow Saddam & they tried to, but they were blown to pieces by saddam's helicopters with US fighter planes watching from a distance, told by people who were there.
The war was never fought to free the irakis or give them democracy or whatever lie is on the TV screen.
The war was fought for profits: Oil & arms sales, period.
The lives of irakis (& american soldiers) are worthless for the decision makers.
Saddam's family has money! so what? let's the americans give it back to irakis, they can, but still, they don't do it. Why?
They did it for the jews that survived the shoah, why don't they do the same for the irakis?

Citation :

Barack Obama élu président des Etats-Unis

Le démocrate Barack Obama a remporté l'élection présidentielle américaine aux dépens du républicain John McCain, devenant ainsi le premier président noir de l'histoire des Etats-Unis.

Obama, 47 ans, sera investi 44e président des Etats-Unis le 20 janvier 2009.

En remportant la Californie, le sénateur de l'Illinois s'est assuré de dépasser le seuil des 270 grands électeurs nécessaires pour obtenir la majorité au collège électoral qui élira le prochain président des Etats-Unis. Il a également remporté le vote populaire.

Des scènes de liesse ont salué l'annonce de la victoire d'Obama à travers le pays, notamment dans son fief de Chicago, où des dizaines de milliers de personnes ont repris en coeur le slogan du candidat métis: "Yes, we can".

McCain, 72 ans, a perdu tout espoir de remporter l'élection en s'inclinant dans des Etats clés comme l'Ohio, qui avait permis à George Bush de l'emporter en 2004 face à John Kerry, et la Virginie, un Etat qui n'avait plus voté en faveur d'un démocrate depuis Lyndon Johnson en 1964.

A Phoenix, McCain a annoncé à ses partisans rassemblés qu'il avait appelé Obama pour le féliciter, et a salué la campagne historique de son adversaire.

"Nous sommes achevé un long voyage. J'appelle tous les Américains qui m'ont soutenu à se joindre à moi pour féliciter le futur président (Barack Obama) mais aussi pour l'assurer de notre bonne volonté", a déclaré McCain.

L'élection d'Obama s'accompagne d'une victoire écrasante des démocrates au Congrès, où le parti de l'âne renforce sa majorité aussi bien au Sénat qu'à la Chambre des représentants.

L'arrivée à la Maison blanche de Barack Obama, né d'un père kényan noir et d'une mère blanche du Kansas, est un moment de l'histoire des Etats-Unis, 45 ans après l'apogée du mouvement pour les droits civiques menés par Martin Luther King.

L'annonce de la victoire d'Obama a été saluée dans tout le pays, de Times Square à New York à l'église baptiste d'Ebenezer, à Atlanta, où officiait King.

"C'est une grande soirée. C'est une soirée incroyable", s'est enthousiasmé le représentant de Géorgie John Lewis, qui fut violemment battu par la police dans les années 1960 lors d'une marche en faveur des droits civiques à Selma, dans l'Alabama.

Des dizaines de milliers de militants démocrates ont convergé vers le parc Grant, à Chicago, où Obama devait s'adresser à la foule.

Le révérend Jesse Jackson, figure majeure du mouvement des droits civiques, s'était joint à la foule. Des larmes coulaient sur ses joues.

La succession de George Bush s'annonce néanmoins difficile pour Obama, appelé à relancer l'économie du pays, gérer les guerres d'Irak et d'Afghanistan, composer avec un déficit public proche de 500 milliards de dollars et restaurer l'image du pays à l'étranger.

Je pense que sa risque de changer pas mal de chose ....et à commenser par mon point de vue sur l'américain moyen

Un grand Bravo a Barack ,je viens de l'apprendre vraiment et je suis le plus heureux du monde ! Vraiment félicitations est bravo il a gagner haut la main avec la grande majorité et plus de 275 vois pour le Collége électorale, moi qui croyais que les américains sont cons et qu'ils veulent détruire leur pays mais apparemment non ! ! j'espère que ce monde vas changer le plus vite possible !

Yes! it was, yes it is the 44th president of the United States of
America, yes he change history, yes it is the first black man to have
this position!

Now we fear believe in change!

Go to hell John Mccain !!!!!!

Romeoh a écrit:

clinton est un assassin d'enfants avec une tête de gentil bonhomme.

sont tous des assasseins, mais les assasins fihom w fihom

meme Obama aura son acte ne vous en faites pas

l´homme change,pas le systeme

yakousa a écrit:

meme Obama aura son acte ne vous en faites pas

l´homme change,pas le systeme

C'est clair, chaque president US a sa guerre.

il a dit qu'il changerait l'amerique...

tiens, selons vous quelles seraient les mesures que les usa d'obama doivent prendre afin de sauver et le pays lui meme et l'image de celui ci de part le monde...

il a promis un retrait total de l'IRAK en 16 mois.
on verra

yakousa a écrit:

meme Obama aura son acte ne vous en faites pas

l´homme change,pas le systeme

Comme l'a si bien dit Yakousa de manière cynique, rien ne va changer dans le comportement imperialiste americain, je crois même que ça ne va faire qu'empirer. Les americains sont maintenant predateurs par necessite. Leur economie est foutue. Leur systeme au bord de l'eclatement. C'est maintenant qu'ils sont le plus dangereux. Un animal mourant dans ses derniers soubresauts. Il vaut mieux alors ne pas se touver sur son chemin.
Je n'exagére pas. Les americains sont vraiment à deux pas de l'insurrection. Il n'y jamais eu autant de pauvrete aux Etats-Unis depuis la crise de 1929. Tous leurs plans pour sauver le systeme ne font qu'empirer les choses. Planche à billet tournant à fond pour financer la consommation des produits importés, dette exterieure astronomique, ce systeme durera tant que le dollar restera credible. Plus personne n'y croit en fait, mais tout le monde à peur du seïsme que va déclencher la chute du mastodonte. Que pourrait bien faire Obama, lui dont la campagne a été financé par le complexe militaro-industriel et les "parrains" de Wall street comme l'ont été ses precesseurs ?
Je me suis toujours mefié des democrates, discours à gauche et politique à droite. Je crois que les fans marocains d'Obama vont être profondément décus, mais pas autant que le seront les américains. De toute maniere, McCain ne vaut pas mieux pour sauver le navire qui coule.

je m'en fout de l'imperialisme il s'agit d'un fait le probleme est qu'il y des forumistes qui sautent de joie pour obama car il s'agit d'un effet mode comme la vague tektonik mais en tant que marocain et là malheureusement et excusez moi de me facher moi marocain et fier de l'etre c'est mon pays qui me preoccupe ainsi que ses interets le fait helas est qu'on n a jamais eu de chance avec les democrates CARTER allah imeskhou en est le top des ringars nous a laissé tomber comme il l'a fait avec le shah en pleine guerre du sahara donc me dire on est heureux pour obama moi je me dis dommage pour nous car mccain etait republicain et de nature pro marocain et en plus membre du lobby marocain au senat moi je dis a wili obama a gagné nari allah istar pour nos lendemains incertain un autre truc avec les republicains on est devenu allié majeur des states et avec eux on a eu nos falcons donc allah ister ou khlass

lemay a écrit:

je m'en fout de l'imperialisme il s'agit d'un fait le probleme est qu'il y des forumistes qui sautent de joie pour obama car il s'agit d'un effet mode comme la vague tektonik mais en tant que marocain et là malheureusement et excusez moi de me facher moi marocain et fier de l'etre c'est mon pays qui me preoccupe ainsi que ses interets le fait helas est qu'on n a jamais eu de chance avec les democrates CARTER allah imeskhou en est le top des ringars nous a laissé tomber comme il l'a fait avec le shah en pleine guerre du sahara donc me dire on est heureux pour obama moi je me dis dommage pour nous car mccain etait republicain et de nature pro marocain et en plus membre du lobby marocain au senat moi je dis a wili obama a gagné nari allah istar pour nos lendemains incertain un autre truc avec les republicains on est devenu allié majeur des states et avec eux on a eu nos falcons donc allah ister ou khlass

completement d'accord

yakousa a écrit:

meme Obama aura son acte ne vous en faites pas

l´homme change,pas le systeme

Absolutely: check this letter from Ralph Nader

Presidential candidate Ralph Nader's open letter to Barack Obama



November 3, 2008
Open letter to Senator Barack Obama
Dear Senator Obama:
In your nearly two-year presidential campaign, the words "hope and change," "change and hope" have been your trademark declarations. Yet there is an asymmetry between those objectives and your political character that succumbs to contrary centers of power that want not "hope and change" but the continuation of the power-entrenched status quo.
Far more than Senator McCain, you have received enormous, unprecedented contributions from corporate interests, Wall Street interests and, most interestingly, big corporate law firm attorneys. Never before has a Democratic nominee for President achieved this supremacy over his Republican counterpart. Why, apart from your unconditional vote for the $700 billion Wall Street bailout, are these large corporate interests investing so much in Senator Obama? Could it be that in your state Senate record, your U.S. Senate record and your presidential campaign record (favoring nuclear power, coal plants, offshore oil drilling, corporate subsidies including the 1872 Mining Act and avoiding any comprehensive program to crack down on the corporate crime wave and the bloated, wasteful military budget, for example) you have shown that you are their man?
To advance change and hope, the presidential persona requires character, courage, integrity— not expediency, accommodation and short-range opportunism. Take, for example, your transformation from an articulate defender of Palestinian rights in Chicago before your run for the U.S. Senate to an acolyte, a dittoman for the hard-line AIPAC lobby, which bolsters the militaristic oppression, occupation, blockage, colonization and land-water seizures over the years of the Palestinian peoples and their shrunken territories in the West Bank and Gaza. Eric Alterman summarized numerous polls in a December 2007 issue of The Nation magazine showing that AIPAC policies are opposed by a majority of Jewish-Americans.
You know quite well that only when the U.S. Government supports the Israeli and Palestinian peace movements, that years ago worked out a detailed two-state solution (which is supported by a majority of Israelis and Palestinians), will there be a chance for a peaceful resolution of this 60-year plus conflict. Yet you align yourself with the hard-liners, so much so that in your infamous, demeaning speech to the AIPAC convention right after you gained the nomination of the Democratic Party, you supported an "undivided Jerusalem," and opposed negotiations with Hamas— the elected government in Gaza. Once again, you ignored the will of the Israeli people who, in a March 1, 2008 poll by the respected newspaper Haaretz, showed that 64% of Israelis favored "direct negotiations with Hamas." Siding with the AIPAC hard-liners is what one of the many leading Palestinians advocating dialogue and peace with the Israeli people was describing when he wrote "Anti-semitism today is the persecution of Palestinian society by the Israeli state."
During your visit to Israel this summer, you scheduled a mere 45 minutes of your time for Palestinians with no news conference, and no visit to Palestinian refugee camps that would have focused the media on the brutalization of the Palestinians. Your trip supported the illegal, cruel blockade of Gaza in defiance of international law and the United Nations charter. You focused on southern Israeli casualties which during the past year have totaled one civilian casualty to every 400 Palestinian casualties on the Gaza side. Instead of a statesmanship that decried all violence and its replacement with acceptance of the Arab League’s 2002 proposal to permit a viable Palestinian state within the 1967 borders in return for full economic and diplomatic relations between Arab countries and Israel, you played the role of a cheap politician, leaving the area and Palestinians with the feeling of much shock and little awe.
David Levy, a former Israeli peace negotiator, described your trip succinctly: "There was almost a willful display of indifference to the fact that there are two narratives here. This could serve him well as a candidate, but not as a President."
Palestinian American commentator, Ali Abunimah, noted that Obama did not utter a single criticism of Israel, "of its relentless settlement and wall construction, of the closures that make life unlivable for millions of Palestinians. …Even the Bush administration recently criticized Israeli’s use of cluster bombs against Lebanese civilians [see www.atfl.org for elaboration]. But Obama defended Israeli’s assault on Lebanon as an exercise of its ‘legitimate right to defend itself.’"
In numerous columns Gideon Levy, writing in Haaretz, strongly criticized the Israeli government’s assault on civilians in Gaza, including attacks on "the heart of a crowded refugee camp… with horrible bloodshed" in early 2008.
Israeli writer and peace advocate— Uri Avnery— described Obama’s appearance before AIPAC as one that "broke all records for obsequiousness and fawning, adding that Obama "is prepared to sacrifice the most basic American interests. After all, the US has a vital interest in achieving an Israeli-Palestinian peace that will allow it to find ways to the hearts of the Arab masses from Iraq to Morocco. Obama has harmed his image in the Muslim world and mortgaged his future— if and when he is elected president.," he said, adding, "Of one thing I am certain: Obama’s declarations at the AIPAC conference are very, very bad for peace. And what is bad for peace is bad for Israel, bad for the world and bad for the Palestinian people."
A further illustration of your deficiency of character is the way you turned your back on the Muslim-Americans in this country. You refused to send surrogates to speak to voters at their events. Having visited numerous churches and synagogues, you refused to visit a single Mosque in America. Even George W. Bush visited the Grand Mosque in Washington D.C. after 9/11 to express proper sentiments of tolerance before a frightened major religious group of innocents.
Although the New York Times published a major article on June 24, 2008 titled "Muslim Voters Detect a Snub from Obama" (by Andrea Elliott), citing examples of your aversion to these Americans who come from all walks of life, who serve in the armed forces and who work to live the American dream. Three days earlier the International Herald Tribune published an article by Roger Cohen titled "Why Obama Should Visit a Mosque." None of these comments and reports change your political bigotry against Muslim-Americans— even though your father was a Muslim from Kenya.
Perhaps nothing illustrated your utter lack of political courage or even the mildest version of this trait than your surrendering to demands of the hard-liners to prohibit former president Jimmy Carter from speaking at the Democratic National Convention. This is a tradition for former presidents and one accorded in prime time to Bill Clinton this year.
Here was a President who negotiated peace between Israel and Egypt, but his recent book pressing the dominant Israeli superpower to avoid Apartheid of the Palestinians and make peace was all that it took to sideline him. Instead of an important address to the nation by Jimmy Carter on this critical international problem, he was relegated to a stroll across the stage to "tumultuous applause," following a showing of a film about the Carter Center’s post-Katrina work. Shame on you, Barack Obama!
But then your shameful behavior has extended to many other areas of American life. (See the factual analysis by my running mate, Matt Gonzalez, on www.votenader.org). You have turned your back on the 100-million poor Americans composed of poor whites, African-Americans, and Latinos. You always mention helping the "middle class" but you omit, repeatedly, mention of the "poor" in America.
Should you be elected President, it must be more than an unprecedented upward career move following a brilliantly unprincipled campaign that spoke "change" yet demonstrated actual obeisance to the concentration power of the "corporate supremacists." It must be about shifting the power from the few to the many. It must be a White House presided over by a black man who does not turn his back on the downtrodden here and abroad but challenges the forces of greed, dictatorial control of labor, consumers and taxpayers, and the militarization of foreign policy. It must be a White House that is transforming of American politics— opening it up to the public funding of elections (through voluntary approaches)— and allowing smaller candidates to have a chance to be heard on debates and in the fullness of their now restricted civil liberties. Call it a competitive democracy.
Your presidential campaign again and again has demonstrated cowardly stands. "Hope" some say springs eternal." But not when "reality" consumes it daily.
Sincerely,
Ralph Nader
http://www.straight.com/article-168808/pres-candidate-ralph-naders-open-letter-barack-obama

http://www.nytimes.com/2008/06/24/us/politics/24muslim.html?

http://www.iht.com/articles/2008/06/25/opinion/edcohen.php

mirage a écrit:

ne t'inquiete pas les démocrates ont compris depuis longtemp que Carter ca ne marcher pas
ils n'ont pas oublier la révolution en Iran, la prise d'otage a l'ambassade, et surtout la défaite au élection et les 12 ans d'opposition
voila pourquoi Clinton n'a pas fait les meme erreurs et Obama aussi....

Obama a deja gouter la patisserie marocaine.be cool everything will be alright for morocco.

Israeli family welcomes Obama



‘This terror is intolerable,’ he says after touring their home, damaged by a Palestinian rocket. McCain visited them in March.

By Richard Boudreaux and Batsheva Sobelman
July 24, 2008 in print edition A-13
Barack Obama stood amid the debris in Pinhas Amar’s kitchen, an arm around his host. The Orthodox religious scribe recalled matter-of-factly how a rocket had crashed through the ceiling. Then Amar blessed the Democratic candidate, praying for his success.
“He smiled and said, if he did become president, I would be among his first guests in the White House,” Amar said later, describing the scene. “I said, ‘Don’t forget me,’ and indeed I believe he will not.”
It was an unusual moment in a presidential campaign being waged in part beyond America’s borders, a race the Amar household has witnessed more intimately than perhaps any family outside the U.S.
The Amars gave John McCain, the all-but-certain Republican nominee, the same tour of their damaged home in March. On Wednesday it was his rival’s turn, as Obama visited Israel to show voters that he too cares about the security of the Jewish state.
Israel’s defense minister had chosen the Moroccan Jewish couple and their children as a poster family for this battered desert town. He escorted each of the rival candidates to the Amars’ yellow stone house on Sinai Street to emphasize the threat from Palestinian rockets from the nearby Gaza Strip.
Pinhas and Aliza Amar treated both senators like royalty and said they felt the Americans’ empathy during the brief visits. Their discussions did not touch on politics or the choices Israel and the U.S. face in confronting Islamic militants in the Middle East.
But like Israelis debating anything important, they came to differing conclusions about the two men.
Pinhas, a thoughtful 48-year-old with graying hair, said he was taken by Obama, more a feeling than anything else.
“Obama has this personal charm, and it looks like it’s going to get him elected,” he said. “McCain too is a very impressive man, a man with a special story … and that gives him stature.
“But Obama seems to come across better,” he said. “He has a charismatic presence… . McCain was a bit more distant.”
Aliza Amar, 40, an energetic, round-faced woman in a pale pink head scarf and chic gold-framed eyeglasses, reserved her judgment. Since meeting McCain, she has followed his speeches. “He hasn’t forgotten Israel,” she said. “He always sounds quite determined and adamant in his opinion that [Israel] is an important issue.”
As for Obama, “I know that he too supports Israel.” The question for whoever gets elected, she concluded, is “whether their actions support their words.”
Like other communities on the front line of Israel’s conflict, Sderot is a bastion of conservative politics and hardened skeptics of the U.S.-brokered Israeli-Palestinian peace talks Obama and McCain support.
Thousands of crude, wildly inaccurate Kassam rockets have struck in and around this town in the last eight years, killing more than a dozen people and damaging hundreds of homes. Until Israel reached a cease-fire a month ago with Hamas, the militant group that runs Gaza, Sderot often experienced several attacks a day, preceded by sirens that gave residents 15 seconds to seek cover.
Aliza Amar is partly disabled by a series of strokes. The impact of the rocket that crashed through her roof in December knocked her from her wheelchair, and her knee was pierced with shrapnel.
The family is renting a house down the street while the roof is being replaced, a task slowed by sluggish insurance procedures.
Moving about with a cane, Aliza worked two cellphones Wednesday as she presided over a platoon of relatives and neighbors preparing traditional Moroccan pastries and gifts for the Illinois senator and his delegation.
“I’m glad for the attention,” she said. “It would be easy enough to forget about us during this so-called truce. The fear is constant. You never know when the rockets will start again.”
Obama arrived in the late afternoon, escorted by Sderot’s mayor and Israeli Defense Minister Ehud Barak. They were greeted by the couple and their three daughters.
The presidential hopeful “walked in as though he knew the place,” Aliza said. “He was uninhibited and made us feel comfortable.” He shook everyone’s hands, and Aliza kissed him on the cheek. Pinhas took him in the kitchen, still littered with fragments of the roof, and recounted the attack.
Later, Obama mentioned the Amars as an example of “the resilience of the people of Sderot and the people of Israel.” He said: “The family that had seen a rocket go through their house, they were rebuilding, not moving away.
“This terror is intolerable,” he declared. And though he was hopeful about a lasting peace deal, he said, “America must always stand up for Israel’s right to defend itself.”
After the candidate left, the Amars’ eldest daughter, Tamar, 22, said she felt Obama had connected with the town.
“It is true that he came for his own reasons and for a political end, but you could tell that he realized there was something beyond that,” she said. “Many politicians have been through Sderot, and I have seen many. Today I saw someone who’s also real.”

http://articles.latimes.com/2008/jul/24/nation/na-family24

Triste journée...

barbaros pacha a écrit:

]Triste journée...

Tout à fait d'accord Barbaros, cet Obama ne m'inspire rien de bon. Ca m'a tout l'air d'un faux jeton. Quelque soit l'administration US, la politique étrangere demeure la même, il est vrai, mais ca peut coincer au niveau des details. Comme avec Carter.
Comme l'a dit Lemay, Allah ister ou khlass

il profitera meme du cheque blanco donné par l´euphorie mondiale pour kicker des A$$,seulment il utilisera du gel democratique