Armée Irakienne / Iraqi Armed Forces

Rappel du premier message :

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Iraq seeks to buy 36 F-16 fighters from U.S

Fri Sep 5, 5:32 AM ET

(Reuters) - The Iraqi government is seeking to buy 36 advanced F-16 fighters from the U.S., American military officials familiar with the request told the Wall Street Journal.


This move could help Iraq reduce its reliance on U.S. air power and potentially allow more American forces to withdraw from the country than had been proposed.

The F-16, made by Lockheed Martin Corp, is the most sophisticated weapons system Iraq has attempted to purchase so far.

Late in July, the U.S. Department of Defense had approved up to $10.7 billion in arms sales for Iraq, including a $2.16 billion sale of M1A1 Abrams tanks built by General Dynamics Corp.

The U.S. recently announced F-16 sales to Morocco and Romania. Those sales, each for roughly $100 million per plane with training, related equipment and support included, offer an indication of how lucrative the Iraq deal could be for Lockheed Martin and its suppliers.

Iraq now appears determined to significantly expand the air power of its military, which has become more competent and confident in recent months but depends heavily on the U.S. for air support.

Iraq quickly has become one of the biggest weapons buyers in the world as it seeks to strengthen and professionalise its fighting force.

No one was available at the U.S. Department of Defense for comment.

(Reporting by Sweta Singh in Bangalore, editing by Will Waterman)

EDIT:please mettez vos articles tjs en forme

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Iraq Shows Interest in Czech Guns

21:46 18/10/2012MOSCOW, October 18 (RIA Novosti

A high-level Iraqi delegation that visited the Czech Republic has shown interest in an assortment of small arms and light weapons, the Ceska zbrojovka arms maker said on Thursday according to the CTK news agency.

The delegation led by Prime Minister Nuri al-Maliki showed interest in rifles, submachine guns and pistols, including new CZ 805 Bren assault rifles, CZ Scorpion EVO3 submachine guns and CZ 75 P-07 Duty pistols.

Baghdad is also seeking to establish a gun service and training center in Iraq.
It was announced last week that Iraq is ready to buy 28 Czech L-159 combat aircraft worth about $1 billion.

The L-159 can be armed with Sidewinder missiles, targeting pods and laser-guided air-to-surface weapons, and can operate from austere airstrips.

http://en.rian.ru/mlitary_news/20121018/176733615.html

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Iraq says signs contract for 18 F-16 fighter jets

(Reuters) - Iraq has signed a new contract to buy its second set of 18 F-16 fighters from the United States, part of a deal to purchase 36 of the jets to rebuild its air force, Iraq's acting defence minister said on Thursday.

Baghdad signed an initial deal for the first set of 18 jets in September last year valued at roughly $3 billion and those aircraft are scheduled to be delivered by September 2014 with the second batch due four years later.

"We signed the contract ... The (new) contract is no different from the first contract in terms of the technical and financial details," acting Defence Minister Sadoun al-Dulaimi said after a meeting U.S. officials in Baghdad. "This handover will be finished in 2018."

Duliami said Iraq was also talking with U.S. officials about buying air defence systems and Apache helicopters.

A U.S. embassy spokesman in Baghdad said the U.S. government had presented Iraq with a letter of acceptance for the second set of fighters and were awaiting confirmation of agreement.

"The United States would welcome Iraqi acceptance as another important step in our growing bilateral security assistance relationship," the spokesman said.

Iraq has had no real air force since the 2003 U.S.-led invasion that toppled Saddam Hussein. Washington has signed around $12 billion in recent arms deals with the Iraqi government to build up its armed forces.

Baghdad, which has also signed military contracts with Russia and the Czech Republic this month, says it will not be able to defend its airspace until 2020.

The new U.S. deal and the purchase Czech jets come as Iraqi Prime Minister Nuri al-Maliki faces pressure from Washington to prevent Iran transporting arms through Iraqi airspace to help Syrian President Bashar al-Assad.

(Reporting by Suadad al-Salhy; Writing by Patrick Markey; Editing by Andrew Heavens)

Citation :

Here is SAMA CH-2000 with Iraqi Air Force.

Citation :

BAGDAD (Irak) - L'Irak a annulé une commande d'armes d'un montant de 4,2 milliards de dollars passée à la Russie, mettant en avant des craintes que le contrat soit entaché de corruption, a indiqué le porte-parole du Premier ministre irakien samedi.

Le contrat a été annulé, a expliqué Ali Moussaoui à l'AFP. Lorsque (le Premier ministre Nouri) al-Maliki est revenu de son voyage en Russie, il s'est inquiété d'une possible corruption. Il a décidé de passer en revue le contrat dans sa totalité (...) Une enquête est en cours, a-t-il ajouté.

M. Moussaoui n'a pas souhaité révéler l'identité des personnes faisant l'objet d'une enquête, ni dire si l'Irak comptait renégocier le contrat passé avec Moscou.

L'ambassade de Russie à Bagdad n'était pas joignable dans l'immédiat.

Le contrat avait été paraphé le mois dernier lors d'une visite de M. Maliki en Russie. Il aurait fait de Moscou le deuxième plus gros fournisseur d'armes à l'Irak, derrière les Etats-Unis.

http://www.romandie.com/news/n/_L_Irak_annule_un_contrat_d_armement_de_42_mds_USD_avec_la_Russie_RP_101120121105-27-274683.asp

Citation :

Armes russes: Bagdad risque une amende en cas de rupture des contrats (expert)

http://fr.rian.ru/world/20121110/196578830.html

Citation :

Armes russes: l'Irak compte signer un autre contrat

http://fr.rian.ru/world/20121110/196581687.html

Citation :

Will Russia keep arming Iraq?

les iraquiens ne sont pas donc prets a se liberer de la laisse americaine
Nouri doit eviter les deplacements en avions..

Citation :

Le ministre irakien de la Défense Sadun al-Dulaymi a démenti samedi les informations selon lesquelles son pays avait annulé le contrat sur l'achat d'armes russes pour 4,2 milliards de dollars, rapporte la chaîne de télévision Al-Jazeera.
"Le contrat sera réalisé comme prévu", a déclaré M.Al-Dulaymi.

http://fr.rian.ru/world/20121110/196582455.html

Au cas où ça collerait vraiment pas avec la Russie...

Citation :

Iraq nears contract for 2nd batch of F-16s.
Iraqi's Defense Minister, Sadoun Al Doulaimi, suggested on October 18 that a contract has now been signed for a 2nd batch of Lockheed Martin F-16C/D Block 52+, dubbed F-16IQ. However, US Officials stated that the deal had still to be finalised.
A US Embassy spokeman said that the Iraqi government had recently been given a draft Letter of Offer & Acceptance (LOA) for the batch, but USA was still awaiting confirmation of Iraq's acceptance of the terms of the LOA.
The batch will comprise 12 single-seat F-16Cs & 6 two-seat F-16Ds, deliveries due to be completed by 2018.
AFM Décembre 2012.

y´a rien avec la russie sur avions ou chars,tout ce qu´il y´a c´est que l´Iraq veut un certain deal specifique qui ne contient qu´helicos,SAM et radars,mais la russie essaye de lui fourer des avions et T90s en plus,ce qu´il veut pas vu la mauvaise experience d´autres pays avec..maliki a dit on veut ni mig ni sukhoi,et pour tanks ils ont vu que les indiens ont des problemes de surchauffe avec le T90 en desert et que l´armée russe n´en veut pas,donc ils resteront sur M1A1.(6 se sont ajouté en octobre)

au lieu de ca ils veulent conclure avec les tcheques un deal pour 28 L159 et une facility d´upgrade pour les T72 au lieu de prendre des T90,le tout pour 1B$.

coté SAM,a part les 42 Pantsyr S1(7 batteries) ils cherchent a se proccurer des S300 des russes pour un total de 2,3B$ + 30 Mi-28 pour 1B$.

Des bruits sur des discussions "en cours" concernant 1 certain nombre de chasseurs Mig-29M/M2 à 1 prix défiant toute concurence...

Pierrot vainqueur...

Citation :

POURQUOI L'IRAK RENONCE A L'ARMEMENT RUSSE

Le premier ministre irakien Nouri al-Maliki a signé un contrat important pour l'acquisition de matériel militaire russe, notamment de systèmes sol-air, lors de sa visite en Russie au mois d'octobre.

Comme l'a annoncé le porte-parole du premier ministre, Maliki a ensuite nourri des soupçons de corruption autour de cette transaction lors de son retour.

Un nouveau roman policier commence : il a pour thème les livraisons d'armes russes en Irak. Le porte-parole du premier ministre irakien a déclaré samedi que ce dernier avait décidé d'annuler une importante transaction portant sur la livraison d’armes et de matériel militaire à Bagdad. Un contrat avait été signé pendant la visite de Nouri al-Maliki à Moscou, un mois auparavant. Selon son porte-parole, Maliki a eu des soupçons de corruption lors de son retour de Russie, ce qui a entraîné l’annulation du contrat. Une enquête est en cours.

Samedi soir pourtant, pendant une conférence de presse à Bagdad, le ministre irakien de la Défense Saadoun al-Dulaimi a déclaré que la transaction se déroulait "comme prévu". Et d’ajouter : "La situation autour du contrat pour la livraison d'armements russes - s'élevant à 4,2 milliards de dollars - s'éclaircira très probablement dans les jours à venir". Il est déjà possible d'analyser les causes de cette situation peu ordinaire.

D'après les informations rapportées par la presse à l'issue des entretiens de Nouri al-Maliki à Moscou, les parties avaient signé un accord pour la livraison de 30 hélicoptères d'attaque Mi-28 et de 42 systèmes sol-air Pantsir S-1. Si cette transaction avait effectivement lieu, elle serait la première depuis le renversement de Saddam Hussein et ferait de la Russie le deuxième fournisseur, derrière les Etats-Unis, de matériel militaire en Irak. L'ancien gouvernement avait dépensé au total plus de 30 milliards de dollars pour acheter des armes à l’URSS.

Les résultats des négociations menées en octobre entre la Russie et l'Irak avaient été presque exceptionnels. Sur fond de détérioration flagrante des relations entre Moscou et la majorité des pays arabes en raison du conflit en Syrie, Bagdad, qui adopte une position retenue au vu de sa proximité avec l'Iran, est une bonne opportunité pour la Russie de prouver sa capacité à maintenir sa présence dans la région. D'autant que le tournant de Bagdad vers Moscou représenterait un échec de la politique américaine en Irak.

Après avoir dépensé des milliards de dollars et perdu plusieurs milliers de soldats – contre des centaines de milliers de victimes côté irakien -, les Etats-Unis ont fécondé un Etat qui a établi des relations étroites avec le principal ennemi de Washington – l'Iran - et cherchant à adopter une position indépendante sur la majorité des questions. Officiellement, les dirigeants américains feignent d'ignorer les contacts entre Bagdad et Téhéran, bien que le congrès américain s'interroge sur les résultats de cette guerre qui a coûté très cher aussi bien au sens propre que figuré – du point de vue de la réputation de Washington.

Les nouvelles de Moscou ont poussé les journalistes américains à poser des questions perplexes à la porte-parole du département d'Etat américain, Victoria Nuland : pourquoi s'est-on battu si, aujourd'hui, ce pays fait des affaires avec un concurrent dangereux ? Pour toute réponse, la porte-parole a feint l'indifférence – ajoutant que les USA avaient trois fois plus de contacts avec l'Irak - et, évidemment, n'a rien pu dire d'autre. Taper de manière démonstrative sur les doigts d'un Etat souverain et lui interdire de mener des affaires avec un autre pays tout aussi souverain provoquerait un immense scandale.

Cependant, à en juger par les déclarations actuelles de Bagdad, les Etats-Unis sont soucieux de savoir avec qui le gouvernement irakien fait des affaires. On peut supposer que Maliki a fait l'objet d'une forte pression et qu’on lui a certainement expliqué qui devait rester le meilleur ami de l'Irak.

Sept années d'occupation ont montré que les USA n'arriveront par à maintenir Bagdad sous leur protectorat, bien que les stratèges américains aient réussi à maîtriser une explosion catastrophique de la violence en Irak au milieu des années 2000, tout en préparant les conditions nécessaires à une nouvelle structure politique. Malgré toutes les difficultés, les élections irakiennes furent tout à fait démocratiques : autrement dit, leurs résultats reflètent la répartition des forces et des préférences dans le pays. Toutefois, il s'est avéré qu'au Moyen-Orient, la population ne vote pas du tout pour ceux qui conviennent le mieux à Washington.

La majorité chiite d'Irak, réprimée à l'époque de Saddam Hussein, a opté pour ses coreligionnaires d’Iran. On ne peut tout de même pas considérer les autorités irakiennes actuelles comme des marionnettes de l'Iran mais il est clair que Maliki et son entourage écoutent la voix de Téhéran et de Qom. Le conflit syrien a montré que l'Irak comptait bien adopter une position indépendante des autres pays arabes. Ce n'est pas par hasard si Vladimir Poutine a déclaré, à l'issue de son entretien avec Nouri al-Maliki, que les positions de la Russie et de l'Irak sur la crise syrienne coïncidaient presque.

Le besoin de relations plus étroites avec la Russie s'explique, pour l’Irak, précisément par cette position intermédiaire entre divers camps régionaux. Les Etats-Unis attendent la loyauté de Bagdad et observent son ordre du jour avec un mécontentement croissant.

Les puissances arabes alliées contre Bachar al-Assad commencent à considérer Maliki comme une nouvelle formule de la "cinquième colonne" pro-iranienne. Et un virage définitif du côté de l'Iran serait lourd de conséquences pour Bagdad. Premièrement, la perte d'autonomie est peu agréable, même au profit d'un partenaire proche. Deuxièmement, les chiites d’Irak ne sont pas majoritaires et le gouvernement doit tenir compte du point de vue de tous pour la stabilité du pays.

Dans ces conditions, la Russie est une solution idéale. Moscou n'a pas d'ambitions politiques claires à l'égard de l'Irak et nul n'y aspire au modèle qui existait à l'époque de Saddam Hussein. La Russie souhaiterait seulement élargir ses marchés, d'autant que les changements en Libye et en Syrie réduisent sa marge de manœuvre. Pour ce faire, elle est prête à fournir un soutien politique.

Le printemps arabe a montré que la Russie n'était pas un acteur central au Moyen-Orient.

Ces événements ont toutefois mis en évidence que, sans la participation et le soutien du Kremlin, il n'était pas non plus possible de faire évoluer la situation. Quand on a besoin d'un balancier, il faut trouver un partenaire capable de stimuler tel ou tel scénario, à défaut de pouvoir renverser toute la situation. Et la Russie est une solution parfaite en ce sens.

Cependant, les intérêts extérieurs entrent également en jeu. Les Etats-Unis ne peuvent pas se permettre de perdre à nouveau l'Irak, qui récupère sa position de leader dans la production pétrolière mondiale. Une telle perte serait politiquement inadmissible et économiquement préjudiciable, d'autant que l'avenir d'autres puissances pétrolières de la région est bien plus incertain qu'il y a quelques années.

Washington cherche à persuader l'Irak, par tous les moyens, que seuls les Etats-Unis peuvent jouer le rôle d'un partenaire d'appui.

Il existe également un autre facteur dans les perspectives de coopération russo-irakienne – la question kurde. Le Kurdistan irakien est formellement subordonné à Bagdad mais les pleins pouvoirs appartiennent au Gouvernement régional du Kurdistan (GRK). Les autorités centrales réagissent très mal à tout accord conclu entre les compagnies étrangères et le GRK, que ce soit le russe Gazprom ou l'américain ExxonMobil. Il y a quelques jours, Bagdad a exigé d'une compagnie russe de renoncer à ses contrats avec le Kurdistan, menaçant de lui interdire l'exploitation du grand gisement de Badra.

Par ailleurs, Moscou attend la visite de Massoud Barzani, dirigeant du Kurdistan. La décision de Nouri al-Maliki pourrait donc être due à la volonté de montrer à la Russie son mécontentement en raison des contacts avec les Kurdes - mais là n'est certainement pas la cause principale de l’annonce irakienne car cette réaction est trop brusque et ses conséquences pourraient avoir l'effet inverse.

Moscou pourrait s'offusquer - c'est inévitable, étant donné l'importance des accords, le caractère offensant du refus et sa résonance médiatique - et activer davantage ses relations avec le Kurdistan.

Quant aux Kurdes, ils avancent doucement mais sûrement vers l'avant-scène de la politique moyen-orientale – leur éveil dans une Syrie en ébullition met la Turquie en position inconfortable et remet même à l'ordre du jour le thème du "plus grand peuple sur la planète" ne bénéficiant pas de "sa propre souveraineté".

Apparemment, un nouveau nœud de contradictions commence à se serrer autour de l'Irak et de son sort, alors qu'il semblait être tranché une bonne fois pour toutes par l'invasion américaine de 2003. Et la Russie devient à nouveau acteur d'un grand jeu géopolitique.

L’opinion de l’auteur ne coïncide pas forcément avec la position de la rédaction

http://fr.rian.ru/discussion/20121112/196596538.html

Citation :

Iraq seeks to acquire 30 Stryker vehicles from the US
21 November 2012
The Iraqi Ministry of Defence (MoD) is planning to procure 30 General Dynamics-built Stryker infantry combat vehicles (ICVs) from the US Army, Program Executive Office Ground Combat Systems public affairs spokeswoman Ashley Givens has revealed.

In an e-mailed response, Givens was quoted by Bloomberg Businessweek as saying that the US Army has been assembling cost and schedule information for a formal proposal, which will be submitted to Congress for approval following acceptance by the Iraqi Government.

Valued at an estimated $25m, the deal covers delivery of 30 Stryker vehicles integrated with sensors, test equipment and communications gear for efficient detection of nuclear fallout or chemical and biological agents.

An unidentified US embassy official told the news agency that the deal forms part of a potential $7bn foreign military sale (FMS) package for Baghdad, which was agreed by the US Government in the last decade.

In an e-mailed statement, General Dynamics spokeswoman Marie Remboulis said the company was fully aware of the pending Stryker deal, while Iraqi embassy spokesman Raifet Ahmad did not respond to a request for comment on the issue.

The Iraqi Government had previously requested a sale of 400 Stryker ICVs and eight heavy recovery vehicles for use by the country's police in December 2008.

Manufactured by General Dynamics Land Systems Canada, the Stryker is an eight-wheel drive, armoured vehicle designed to provide infantrymen with enhanced protection and survivability from artillery fragments, roadside mines and improvised explosive devices in the battlefield.

The vehicle entered into operational service in early 2001, and is available in eight different variants, which include nuclear, biological, chemical reconnaissance vehicle, medical evacuation vehicle, and engineer squad vehicle, as well as anti-tank guided missile vehicles.

http://www.army-technology.com/news/newsiraq-mod-seeks-30-stryker-vehicles-us

Citation :

Lockheed Martin awarded contract to supply Sniper pods to Iraq

Lockheed Martin Missiles and Fire Control, Orlando, Fla. (FA8540-13-C-0008), is being awarded a $31,937,699 firm-fixed-price, cost-plus-fixed-fee, time and material contract for Sniper Advanced Targeting Pods for the Iraq Air Force. The location of the performance is Orlando, Fla. Work is expected to be completed by July 2015. The contracting activity is AFLCMC/WNKCB, Robins Air Force Base, Ga. Contract involves foreign military sales to Iraq.

defense.gov

Citation :

Iraq Takes Delivery Of Super Hercs

MARIETTA, Ga., Dec. 12, 2012 – Lockheed Martin [NYSE: LMT] delivered a C-130J Super Hercules to the Iraqi Air Force at formal ceremonies here today. This is one of the initial three aircraft of a total of six C-130Js ordered by Iraq.

The other two of these initial three aircraft departed yesterday for Iraq. The remaining three C-130Js will be delivered in 2013. The Iraqi Air Force will use the airlifters for intra-theater support for its troops and to provide humanitarian relief operations in various locations.

“Fifteen countries have already selected the C-130J Super Hercules to meet their airlift requirements”, said George Shultz, Lockheed Martin’s vice president and general manager for C-130 Programs. “Be it recapitalization of existing fleets, or new operators seeking proven airlift performance and capability, the C-130J is always the logical, low risk, affordable, proven answer.”

Acquisition of new transport aircraft will provide Iraq with the ability to operate seamlessly with U.S., NATO and coalition forces engaged in a wide range of operations and missions.

Headquartered in Bethesda, Md., Lockheed Martin is a global security and aerospace company that employs about 120,000 people worldwide and is principally engaged in the research, design, development, manufacture, integration and sustainment of advanced technology systems, products and services. The corporation's net sales for 2011 were $46.5 billion.

lockheedmartin

Citation :

Iraqi Air Force receives three C130J aircraft
By Air Force News Agency on Tuesday, December 18th, 2012


Read more: http://www.defencetalk.com/iraqi-air-force-receives-three-c130j-aircraft-46019/#ixzz2FOy8Wh6e

les trois sont arrivés alors

A $250 million l'unité Prix spécial Iraq...

iraq rime avec arnaque

Poéte en +.

une unité de la marine irakienne

C'est tout neuf, ça se voit...

C'est la tête de série de 15 PB de 35m acheté de Swiftships, dont une 10aine est déjà en service. Le P301 est en service depuis le début 2010.

Citation :

US delivers two support ships to Iraq

AFP - The United States has delivered two support ships to Iraq, which is seeking to boost its fledgling naval capabilities, the US embassy said on Sunday.

The two 60-metre offshore support vessels were delivered by the US navy on December 20, the embassy said.

The vessels are "large, multi-purpose, multi-functional ships capable of providing a wide range of support to Iraqi naval operations," it said.

They will also offer support to Iraq's patrol and fast attack boats at sea, offshore oil platforms and help move security personnel, the embassy added.

The US military completed its withdrawal from Iraq on December 18 last year.

Less than 200 US military personnel remain in Iraq under US embassy authority, assisting with the delivery of military equipment, and training local personnel.

Washington is Iraq's main arms supplier as Baghdad seeks to boost its overall military capabilities.
http://www.france24.com/en/20121223-us-delivers-two-support-ships-iraq

la marine irakienne a reçu le 20-12 2 unités de patrouille fabriqué par Riverhawk : Al Basrah ( 401 ) et Al Fayha ( 402 ). Le contrat irakien est d'une valeur de 70M$ pour 2 unités de 60m

.....

Citation :

60m Offshore Support Vessels to Iraqi Navy



Iraqi Navy OSV 401 during sea trials
(Picture: RiverHawk Fast Sea Frames)


RiverHawk Fast Sea Frames 60-meter Offshore Support Vessel
(Picture: RiverHawk Fast Sea Frames)

OSVs are multi-function vessels providing a wide range of capabilities to support Iraq's oil production platforms. The vessels will provide transport support for crew changes and resupply to the platforms. Each OSV is equipped with a 30mm gun weapon system and outfitted with fast attack boats to defend it and the offshore platforms. The vessels each include a vertical replenishment deck to facilitate the transfer of supplies as needed.

RiverHawk Fast Sea Frames is the prime contractor for the OSV procurement, with Gulf Island Marine Fabricators manufacturing the hull and deckhouse, and outfitting the vessels.

PEO Ships is currently managing the design and construction of all U.S. Navy destroyers, amphibious ships, special mission and support ships, as well as a wide range of boats and craft for U.S. agencies and foreign military sales.

from : NAVSEA Office of Corporate Communications

Citation :

Iraqi security forces launched a campaign to capture the Amirly killers. Above, Iraqi soldiers take up positions during a security operation in Basra. [Atef Hassan/*******]





Iraqi soldiers carry out exercises in the desert region of Anbar province. [Ali Yusef/AFP]





The Iraqi army launched a large-scale operation between Anbar and Ninawa. Above, Iraqi soldiers showcase their skills at the 6th Iraqi Army Headquarters in Baghdad. [Thaier al-Sudani/*******]







A joint force arrested Jassem in a raid on a residential building in Mosul. Above, Iraqi security forces stage a raid in a military exercise in Baghdad. [Ali al-Saadi/AFP]