messages : 7967 Inscrit le : 24/04/2007 Nationalité : Médailles de mérite :
Sujet: Re: Actualités Algeriennes Mar 4 Aoû 2009 - 10:52
Rappel du premier message :
la dernière fois que ça bougeais un peu en Kabylie il se sont retrouvé avec une semaine démeute ....
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Invité Invité
Sujet: Re: Actualités Algeriennes Dim 10 Jan 2010 - 15:55
Citation :
Gaz: issue de l'arbitrage du conflit Algérie-Espagne connue bientôt ALGER - L'issue de l'arbitrage international sur un contentieux algéro-espagnol concernant le prix de gaz vendu en Espagne par le groupe public algérien Sonatrach devrait être connue en janvier ou février 2010, a indiqué dimanche le ministre algérien de l'Energie, Chakib Khelil.
"L'arbitrage sur les prix (du gaz algérien commercialisé en Espagne) continue. Nous attendons (le résultat) de cet arbitrage pour ce mois ou celui qui vient", a affirmé M. Khelil à la presse en marge d'une rencontre sectorielle à Alger.
En 2007, l'Algérie, l'un des plus grands fournisseurs de gaz à l'Espagne, a proposé une hausse des prix du gaz d'environ 20%, et ce en deux étapes sur un an. Concrètement, la Sonatrach a réclamé une augmentation d'un dollar pour chaque 27 mètres cubes du prix de son gaz vendu l'Espagne.
L'Espagne a refusé cette augmentation, ce qui a poussé les deux pays à soumettre leur contentieux à un arbitrage international en 2008.
(AFP / 10 janvier 2010 16h43)
Fahed64 Administrateur
messages : 25540 Inscrit le : 31/03/2008 Localisation : Pau-Marrakech Nationalité : Médailles de mérite :
Sujet: Re: Actualités Algeriennes Dim 10 Jan 2010 - 22:38
Citation :
MAK: Le Secrétaire National adjoint arrêté
Le Secrétaire National adjoint du MAK arrêté dans la nuit du 9 janvier à Sidi Aich
Le Secrétaire National adjoint du MAK, chargé de la logistique a été arrêté dans la nuit du 8 au 9 janvier 2010, à Sidi Aich (Vallée de la Soummam) vers 23h.
Ayant fini de superviser l'affichage pour la marche qu'organise le MAK mardi prochain dans cette capitale kabyle, à l'occasion de Yennayer, Nadir Chelbabi fut intercepté par la police, en rentrant chez lui.
Après avoir été soumis à un interrogatoire, Nadir il fut relâché dans le froid aux environs de 3h du matin.
En responsable digne de son rang, il ne s'est laissé ni intimider ni amadouer devant les menaces et les invites de la police à quitter le MAK pour rejoindre les partis classiques.
Cette arrestation qui n'est qu'un banc d'essai pour voir à quel type d'homme le régime a à faire au sein du MAK, au lieu d'entamer le courage des militants et des citoyens à aller marcher mardi à Vgayet et Tizi-Ouzou, décuple notre détermination à aller en masse à ces deux événements pour entamer dans la solidarité la nouvelle année de luttes et d'espoir et qui va sans doute déboucher plus tôt qu'on ne le croit sur une victoire de l'autonomie de la Kabylie.
Kabylie le 9 janvier 2010
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Invité Invité
Sujet: Re: Actualités Algeriennes Lun 11 Jan 2010 - 1:05
Citation :
L’AMBASSADEUR ALGÉRIEN SAISIT LES INSTANCES DE LA SÉCURITÉ AÉRIENNE US Alger porte plainte contre Washington Par : Mounir Boudjema
Le 7 décembre 2009, le ministre algérien des affaires étrangères, Mourad Medelci, a été soumis à un contrôle assez humiliant en arrivant à Washington. Un prélude de la mesure américaine incluant l’Algérie dans la liste des pays ayant des passagers “à risques”. Pourtant invité par la secrétaire du département d’état américain, Hilllary Clinton, qui l’attendait le lendemain pour des entretiens diplomatiques, Mourad Medelci était loin de se douter du traquenard qui l’attendait à l’aéroport Dulles de Washington D. C. Des agents zélés de l’administration de l’émigration ont tenté d’appliquer une procédure bête et féroce sur un ministre de souveraineté algérien, en dépit des élémentaires règles et usages diplomatiques. Éclats de voix, protestations et échanges peu courtois dans l’enceinte de l’aéroport entre la délégation algérienne et les agents américains, avant que les officiels américains informent le protocole de l’aéroport du caractère officiel du déplacement de la délégation algérienne. Cet incident aurait pu être banal du moment que d’autres ministres, notamment cubains ou vénézuéliens ou encore le sénateur Ted Kennedy en personne, avaient eu affaire à la tatillonne administration qui contrôle la sécurité des aéroports. Mais la publication de la liste du 4 janvier 2010 incluant l’Algérie dans le cercle fermé des pays à risques, dont les ressortissants devaient subir des contrôles poussés, nous fait craindre une prise de position politique américaine envers l’Algérie. Cette mesure n’a pourtant pas provoqué l’ire des autorités algériennes qui se sont montrées fort discrètes pour réagir à ce nouveau diktat sécuritaire de Washington. À l’inverse du Nigeria et de Cuba, qui ont exigé à ce que leur pays soit retiré de cette liste affligeante où notre pays côtoie l’Afghanistan et le Yémen, Alger n’a pas officiellement protesté. Aux dernières nouvelles, Liberté a appris de sources diplomatiques que l’ambassadeur d’Algérie à Washington, Abdellah Baali, a été instruit par le MAE algérien de déposer une plainte contre l’administration américaine pour “discrimination”. Cette plainte a été déposée au niveau du TSA (transport security administration), organisme américain qui gère la sécurité aérienne et des aéroports américains. Le même organisme qui a été saisi par la Maison-Blanche afin de faire appliquer ces nouvelles mesures draconiennes contre des pays, dont l’Algérie. En attendant l’examen de la plainte algérienne qui pourrait déboucher au mieux à la révision de cette liste et au retrait de l’Algérie de cette catégorie de pays stigmatisés, les observateurs s’interrogent sur le bien-fondé de la décision américaine. Car en examinant de plus près les déclarations officielles américaines de ces dernières semaines, Alger était loin, mais très loin, d’envisager un scénario aussi peu honorant à son égard. En effet, lors des entretiens Clinton-Medelci en question, la secrétaire d’état a salué la large “concordance des points de vue” en matière de lutte antiterroriste entre Alger et Washington. Mieux, Medelci enchaînera par la suite des entretiens avec la crème de la sécurité américaine comme Antony Blinken, conseiller du vice-président pour les Affaires de sécurité nationale, la Maison-Blanche, le général James Jones, conseiller du président Barack Obama pour les Affaires de sécurité nationale, ou Daniel Benjamin, coordonnateur pour le contre-terrorisme au département d’État. Juste en novembre 2009, le général William E. Ward, commandant de l’Africom, s’épanchait à Alger, devant le président Bouteflika ou le ministre chargé de la défense, Abdelmalek Guenaïzia, sur la qualité et l’engagement de l’Algérie dans la lutte antiterroriste au niveau mondial, maghrébin et sahélien. Avant lui, les nombreuses délégations américaines ne tarissaient pas d’éloges sur l’expertise antiterroriste algérienne. Le MDN croulant même sous les propositions incessantes du Pentagone afin qu’il envoie les officiers de l’ANP bénéficier des stages de formation dans les plus prestigieux camps d’entraînement de l’armée américaine afin d’y échanger les expériences dans la manière de lutter contre Al-Qaïda. Tout cela est tombé comme un château de cartes le 4 janvier, à l’annonce intempestive du département américain à la Sécurité intérieure du classement de l’Algérie dans la liste “noire” des pays à risques. La question lancinante est : est-ce une méconnaissance totale et l’amalgame de l’administration Obama des pays à potentiels risques ou est-ce une démarche politique voulue qui risque d’achever tout espoir de coopération sécuritaire avec les États-Unis ?
Liberté
Yakuza Administrateur
messages : 21656 Inscrit le : 15/09/2009 Localisation : 511 Nationalité : Médailles de mérite :
Sujet: Re: Actualités Algeriennes Lun 11 Jan 2010 - 1:24
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Samyadams Administrateur
messages : 7134 Inscrit le : 14/08/2008 Localisation : Rabat Maroc Nationalité : Médailles de mérite :
Sujet: Re: Actualités Algeriennes Lun 11 Jan 2010 - 1:26
Un sacré revers pour la diplomatie algérienne que cette mise à l'index par les Américaine, en compagnie de pays bien peu recommandables. Et encore plus cette histoire de Medelci emmerdé par les agents de sécurité de l'aéroport Dulles, à Washington DC. C'est un petit aéroport, difficile de croire que les officiels américains venus à sa rencontre n'ont pas pu intervenir assez rapidement
reese Colonel
messages : 1646 Inscrit le : 10/05/2009 Localisation : alger Nationalité : Médailles de mérite :
Sujet: Re: Actualités Algeriennes Lun 11 Jan 2010 - 11:15
C'est une douche glacée pour ces messieurs tres naifs en effet , je me demande si ca va remettre en cause les mega-contrats avec le Pentagone . Pour Dulles je me souviens que meme Al Gore et des soldats en provenance d Irak se soumettaient sans rechigner a des controle tres tatillons , nul n 'est censé etre au dessus des lois la-bas L autre actualité en Algerie c'est le fiasco retentissant de la campagne de vaccination contre la H1N1
Citation :
Uniquement 1 000 personnes vaccinées en dix jours
L’échec de la campagne de vaccination contre la grippe A se confirme
http://www.liberte-algerie.com/edit.php?id=128347
Par : Souhila Hammadi
Le fiasco de la campagne de vaccination contre la grippe A(H1N1) se confirme de jour en jour. Seulement 1 000 personnes du personnel de santé sont vaccinées. Ce qui représente 0,5% sur l’ensemble de l’effectif. Aucune femme enceinte, sur les 650 000 attendues, n’a consenti, jusqu’alors, à passer à l’acte. Le ministère a annoncé que 9 millions de doses de vaccin seront données à l’OMS, dans le cas où la tendance au boycott se poursuit.
Dix jours après son lancement par le ministère de la Santé, de la Population et de la Réforme hospitalière, la campagne de vaccination contre la grippe A(H1N1) confirme la tendance du fiasco. 0,5% du personnel médical et paramédical et autres auxiliaires des structures sanitaires (CHU, EHS, EPSP…), estimé à quelque 200 000 membres sur l’ensemble du territoire national, ont consenti à tendre le bras pour se faire inoculer le vaccin contre la grippe A. Ce qui représente 1 000 personnes seulement, selon le bilan arrêté jeudi soir par le ministère de tutelle. En réalité, très peu de médecins ou paramédicaux se sont fait vacciner. Les doses d’Arepanrix ont été surtout utilisées sur des agents d’entretien, comme le disent de nombreux praticiens approchés pour témoignage. De wilaya en wilaya et de centre de santé en centre de santé, la désertion des unités de vaccination se duplique, les mêmes arguments de refus sont avancés. Sur les 1 500 personnes (toutes fonctions confondues), exerçant au CHU Mustapha, uniquement 35 noms sont portés sur le registre de vaccination. À l’hôpital Parnet, 25 agents, sur un effectif d’environ 400 salariés, se sont fait vacciner. Schéma identique dans les autres centres de santé, hospitalo-universitaires ou de proximité. “Le ministère de la Santé est responsable de cette situation. Au lieu de se montrer honnête sur l’innocuité du vaccin, il a péché par une communication hasardeuse”, avance un professeur en médecine. Un autre de ses confrères estime que le fait de limoger le directeur général de l’Institut Pasteur Algérie et de mettre dans le collimateur la directrice du laboratoire de contrôle rattaché à cet organisme a rompu la confiance vis-à-vis de la tutelle. Dès lors, “il n’était plus question de se faire vacciner par un produit sur lequel le doute plane”, affirme-t-il. Pour l’anecdote, des médecins et infirmiers, chargés d’officier l’opération de vaccination dans certains centres d’Alger, n’ont nullement souhaité donner l’exemple et se faire inoculer le produit fabriqué par le laboratoire pharmaceutique GSK, ni ont voulu trop s’impliquer dans le processus en le conseillant aux autres. Sans concertation aucune, le personnel médical a observé la même attitude à travers toute l’Algérie. Le refus de ce corps de se faire vacciner contre la grippe A(H1N1), alors qu’il était quasiment unanime à s’immuniser contre la grippe saisonnière, a sonné le glas d’une campagne de vaccination qui a tardé au demeurant à démarrer. Les femmes enceintes, classées en seconde place des catégories à risque à vacciner en priorité, ont conforté largement la tendance de l’échec de l’opération. Presque une semaine après le début de la campagne sur cette population, aucune future maman, sur les 650 000 attendues car présentant une grossesse âgée de plus de 20 semaines, n’est passée à l’acte. Les registres restent tristement vierges et les salles réservées à la vaccination vides. Mardi dernier, une foule de femmes au ventre rebondi patientaient dans le hall du service de gynécologie obstétrique du CHU Parnet. On pensait, de prime abord, que chacune attendait son tour pour se faire vacciner contre la grippe A, révélée particulièrement dangereuse pour les femmes enceintes. Erreur. Les patientes sont venues pour une simple consultation de routine. Une sage-femme nous confirme qu’aucune d’entre elles n’a franchi le seuil des deux salles, réservées par la direction dans le pavillon de huit portes à la vaccination contre la grippe A. L’une a été aménagée pour l’interrogatoire de la femme enceinte puis la vaccination, et l’autre, où deux lits ont été préparés, devait servir pour la période d’observance d’éventuels effets secondaires pendant au moins trente minutes. La patiente devait remplir la partie supérieure de la fiche de renseignements par des informations usuelles (nom et prénom, âge, adresse…), tandis que le médecin avait pour tâche de compléter par l’âge de la grossesse et des annotations relatives à l’état général de la femme enceinte. Il n’en demeure pas moins que l’équipe affectée à cette tâche a chômé pendant toute la journée de mardi, et les jours suivants, semble-t-il. À l’hôpital de Bologhine, une sage-femme nous a certifié que le personnel de la maternité a fait le tour du service pour sensibiliser les femmes enceintes hospitalisées sur l’intérêt de la vaccination. Sans résultats probants. Conscientes que le vaccin contre la grippe A, notamment celui avec adjuvant, n’est peut-être pas sans effets indésirables sur leur santé et sur le développement du fœtus qu’elles portent, ces femmes-là n’ont pas voulu prendre un risque qu’elles jugent beaucoup plus grand que celui de contracter le virus A(H1N1). La contamination de 42 futures mères sur les 746 cas confirmés en Algérie et le décès de 12 d’entre elles des suites de détresse respiratoire provoquée par la grippe A n’ont pas transcendé la suspicion à l’égard d’un vaccin dont l’innocuité n’est pas totalement prouvée. Le passage à la vaccination des nourrissons de moins de six mois et leur entourage immédiats, ainsi que les enfants, les jeunes adultes âgés de moins de 24 ans et les malades chroniques, ne connaîtra certainement pas un meilleur accueil. Il est tout aussi évident que le succès ne sera pas au rendez-vous lors du lancement de la campagne de vaccination en direction de la large population. Le ministère de tutelle devra déjà réfléchir à la manière d’amortir les contrecoups d’un fiasco, dont la charge financière se chiffre en milliards de dinars. À ce propos, le chargé de la communication du département de Saïd Barkat a révélé que dans le cas où les Algériens continueront à refuser de se faire vacciner contre la grippe A, 9 millions de doses, sur les 20 millions commandées au laboratoire britannique GSK, seraient données à l'Organisation mondiale de la santé (OMS). Le reste atteindra certainement sa date de péremption (une année au plus) sans être utilisé.
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juba2 General de Division
messages : 6954 Inscrit le : 02/04/2008 Localisation : USA Nationalité : Médailles de mérite :
Sujet: Re: Actualités Algeriennes Lun 11 Jan 2010 - 15:04
Yakuza a écrit:
it takes more than that to be a good partner
c'est comme cela que cela commence avec les USA .Push and push and push......Boutef is really in deep Shhhhhhhh...... Ils veulent lui montrer que honey moon is over.he needs to g......
reese Colonel
messages : 1646 Inscrit le : 10/05/2009 Localisation : alger Nationalité : Médailles de mérite :
Sujet: Re: Actualités Algeriennes Lun 11 Jan 2010 - 15:47
arrgh l 'EN s 'est faite humiliée par le Malawi 3 a 0 , yakhi t'behdila
Yakuza Administrateur
messages : 21656 Inscrit le : 15/09/2009 Localisation : 511 Nationalité : Médailles de mérite :
Sujet: Re: Actualités Algeriennes Lun 11 Jan 2010 - 15:52
j´ai cru que c´etaient les notres
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reese Colonel
messages : 1646 Inscrit le : 10/05/2009 Localisation : alger Nationalité : Médailles de mérite :
Sujet: Re: Actualités Algeriennes Lun 11 Jan 2010 - 15:55
J espere que cette humiliation leur permettra de remettre les pieds sur terre sinon ce n'est meme pas la peine d allez au Mondial pour y faire de la figuration
Fremo Administrateur
messages : 24818 Inscrit le : 14/02/2009 Localisation : 7Seas Nationalité : Médailles de mérite :
Sujet: Re: Actualités Algeriennes Lun 11 Jan 2010 - 15:59
reese a écrit:
arrgh l 'EN s 'est faite humiliée par le Malawi 3 a 0 , yakhi t'behdila
le Malawi est l'équipe phénoméne de cette édition comme même
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reese Colonel
messages : 1646 Inscrit le : 10/05/2009 Localisation : alger Nationalité : Médailles de mérite :
Sujet: Re: Actualités Algeriennes Lun 11 Jan 2010 - 16:02
pour moi l equipe revelation c'est quand meme le Mali qui a reuusit l exploit de remonter au score bien que mené 4/0 par l'equipe du pays organisateur en match d ouverture
Invité Invité
Sujet: Re: Actualités Algeriennes Lun 11 Jan 2010 - 16:25
Reese,li parait que c est Said Bouteflika qui a semé la zizanie entre les joueurs (promesse d une grosse prime aux uns et pas a toute l équipe) Ensuite, il parait qu il voulait imposer ses choix a Saadane d ou le quiproquo entre les deux,Est ce vrai? Bonne chance pour la suite
reese Colonel
messages : 1646 Inscrit le : 10/05/2009 Localisation : alger Nationalité : Médailles de mérite :
Sujet: Re: Actualités Algeriennes Lun 11 Jan 2010 - 16:31
AMEDEUS a écrit:
Reese,li parait que c est Said Bouteflika qui a semé la zizanie entre les joueurs (promesse d une grosse prime aux uns et pas a toute l équipe) Ensuite, il parait qu il voulait imposer ses choix a Saadane d ou le quiproquo entre les deux,Est ce vrai? Bonne chance pour la suite
Je n en ai aucune idée mais ca ne m etonnerait guere . Il y a aussi beaucoup d absents surtout en defense ( Antar Yahia , Megni ...) et Saifi est completement passé a coté de la partie , il n a plus sa place dans l equipe c'est sur . Les Fennecs n ont pas d attaque credible
Invité Invité
Sujet: Re: Actualités Algeriennes Lun 11 Jan 2010 - 20:31
reese a écrit:
pour moi l equipe revelation c'est quand meme le Mali qui a reuusit l exploit de remonter au score bien que mené 4/0 par l'equipe du pays organisateur en match d ouverture
je me suis bien marré hier
reese Colonel
messages : 1646 Inscrit le : 10/05/2009 Localisation : alger Nationalité : Médailles de mérite :
Sujet: Re: Actualités Algeriennes Mer 13 Jan 2010 - 11:01
est-ce la lutte finale ?
Citation :
Les luttes syndicales reprennent leurs droits
Pacifiées pendant de longues années, les forces ouvrières algériennes se réveillent à nouveau. La révolte des travailleurs de la SNVI, un des fleurons de l’industrie algérienne, et la protestation des employés d’ArcelorMittal Annaba, le plus grand complexe sidérurgique du pays, est un signe on ne peut plus clair de la résurrection des luttes ouvrières d’antan. Les travailleurs, lassés de la passivité de l’UGTA qui ne cesse de prouver sa déconnexion de la réalité de « sa base », décident de prendre leur destin en main. Seule la lutte paie.
Les forces ouvrières algériennes ont compris cette évidence et passent à l’action en mettant un terme à « une trêve sociale » imposée d’en haut avec l’aval de la centrale syndicale qui a paraphé, en septembre 2006, le Pacte économique et social. Aujourd’hui, ce document est devenu caduc et la trêve sociale est définitivement rompue. Pour preuve, le nombre important de protestataires contre les mêmes injustices : plus de 8000 travailleurs de la SNVI sont en grève depuis 11 jours et 7200 autres d’ArcelorMittal Annaba les ont rejoints hier sur le terrain de la protestation en enclenchant un mouvement de débrayage illimité. L’ampleur de ces mouvements a surpris même les pouvoirs publics qui croyaient que les masses ouvrières étaient définitivement en hibernation. Mais la situation de précarité et l’acuité de la misère sociale ont réveillé le démon. Et seule la satisfaction des revendications émises pourrait permettre de le maîtriser. « Il n’est pas question pour nous de reculer sur la question des salaires et de la retraite. Il y va de notre dignité », lance un travailleur de la SNVI. La dignité des forces ouvrières n’a pas été prise en considération dans les politiques du gouvernement ; ces forces ouvrières n’ont jamais été au centre des négociations habituelles dans le cadre des réunions tripartites. Ce sont, d’ailleurs, les résultats de la dernière tripartite qui sont remis en cause par la grève des mécanos. Ils ne font plus confiance à l’UGTA qui les a sacrifiés, à leurs yeux, sur l’autel des enjeux politiques et politiciens. « Sidi Saïd nous sacrifiés ! », tonnent les protestataires. Mêmes revendications pour les travailleurs d’ArcelorMittal, qui craignent de surcroît la perte de centaines de postes d’emploi. Le mécontentement des travailleurs traduit à la fois l’échec de la stratégie de la centrale syndicale et la situation peu reluisante du monde du travail. Le gouvernement, dont la responsabilité est de mobiliser les travailleurs à travers des politiques économiques qui répondent à leurs aspirations, a choisi la fuite en avant. Au lieu d’ouvrir illico presto les portes du dialogue devant les représentants des salariés, il a opté pour le pourrissement. Pis encore, le gouvernement recourt à la force publique afin d’empêcher la marche des protestataires de la zone industrielle de Rouiba. Il n’a pas innové. Le même gouvernement a réprimé, par le passé, des enseignants et des fonctionnaires qui ne demandaient qu’à être écoutés. En guise de réponse à cette demande, ils n’ont eu droit qu’à des demi-mesures qui ne servent qu’à calmer le front social pendant quelques semaines. Ensuite, le vent de la révolte se soulève encore pour rappeler aux autorités qu’il faut associer les vrais représentants des travailleurs à tous les dialogues sociaux...
messages : 21656 Inscrit le : 15/09/2009 Localisation : 511 Nationalité : Médailles de mérite :
Sujet: Re: Actualités Algeriennes Mer 13 Jan 2010 - 17:55
Citation :
13/01/10 Relations bilatérales : Que se passe-t-il entre Alger et Washington ?
Les relations entre Alger et Washington semblent s'être nettement refroidies avec l'arrivée de Obama à la tête des Etats-Unis. A l'époque de George Bush, elles étaient nettement plus simples, dit-on, grâce à un travail de lobbying que l'Algérie était obligée de mener, via des réseaux pétroliers, pour se faire entendre par cette puissance planétaire.
Des rencontres ont eu lieu entre les deux présidents par ailleurs. Avec le camp des Démocrates, une certaine ambiguïté s’était installée qui semble se transformer en hostilité.
Bien que n’ayant manifesté aucune rancune, Washington a été dépointée par le refus catégorique de l’Algérie d’accueillir la base d’Africom, toujours en Europe. Divers pays du continent ont suivi l’exemple de ce refus lorsque les Américains ont exploré d’autres pistes africaines.
La lutte antiterroriste exige-t-elle la présence d’une telle base, mal vue par l’opinion publique et susceptible d’amoindrir l’autonomie de décision locale ? L’Algérie s’attache à le démontrer en coopérant avec les pays du Sahel, directement, pour traquer les terroristes de l’AQMI (ex-GSPC).
L’Amérique qui encourage ouvertement cette lutte, à l’échelle mondiale, ne peut la dénigrer dans la région sans risquer de se mettre en porte-à-faux avec les pays qui la composent. Sur beaucoup d’aspects, la diplomatie algérienne lui paraît trop indépendante.
Qu’il s’agisse des bonnes relations qui existent avec l’Iran ou avec le Venezuela, ou qu’il s’agisse de la coopération économique avec la Chine et de la coopération militaire avec la Russie, l’Amérique a le sentiment que notre pays coopère plus volontiers avec les adversaires de l’oncle Sam qu’avec elle-même.
D’autant que, par son silence réprobateur, la diplomatie algérienne reste opposée, dans le fond et dans la forme, à Israël vers laquelle beaucoup de mains arabes restent désespérément tendues.
Leader de la région, amie d’Israël et de l’Amérique, l’Egypte ne l’ignore pas et l’empressement dont elle a fait preuve pour aggraver la crise qui l’a opposée à l’Algérie, et qui continue, trouve peut-être ses fondements dans cette certitude que cette dernière est en «disgrâce». La récente visite de Hilary Clinton au Maroc, et ses déclarations favorables à la politique du royaume vis-à-vis du Sahara occidental ne sont pas étrangères à cette situation.
De nombreux autres indices (comme la réaction le 9 avril aux élections présidentielles ou le refus de l’agrément de l’ambassadeur Mohamed Salah Dembri) laissaient présager un changement d’attitude américain à notre égard. Début janvier, quelques jours après un attentat avorté sur le vol Amsterdam-Detroit, Washington décide d’inclure l’Algérie sur une liste de 14 pays à risques.
Le 7 décembre, le ministre des Affaires étrangères Mourad Medelci, en visite officielle aux Etats-Unis, a été soumis, selon nos confrères de Liberté, à un contrôle humiliant à l’aéroport de Washington. Entre l’Algérie et l’Amérique de Barack Obama, le froid s’installe. Avec la convocation de l’ambassadeur américain à Alger et les vives protestations dont lui a fait part le ministre des AE, il semble bien que le courant ne passe plus.
L’Algérie est-elle un pays hostile ?
Les Etats-Unis voient l’Algérie sur un triple plan. Idéologique, économique et politique. Pour les Américains, l’Algérie est un pays hostile idéologiquement. A l’instar de beaucoup d’autres pays arabes et musulmans, elle est largement acquise à l’islamisme et à ses valeurs djihadistes anti-occidentales. C’est un pays globalement ennemi.
Il est dirigé, comme ailleurs, par un pouvoir forcément antidémocratique, puisqu’il ne représente pas la culture islamiste de son peuple. Il serait illogique pour eux de considérer démocratique le pouvoir en place, car cela reviendrait à le déclarer lui-même islamiste, ce qu’il n’est pas manifestement, ou à déclarer le peuple non islamiste, ce qui est inconcevable à leurs yeux.
Lorsque Washington s’était déclarée préoccupée par les résultats des dernières élections présidentielles algériennes, suggérant la fraude, elle n’avait pas besoin d’examiner les détails. La fraude va de soi, coule de source, étant donné que l’élu n’est pas islamiste et ne représente donc pas l’électeur – plus au fait des contradictions de la société algérienne, la France n’a pas le même regard sur ce qui s’y passe.
Voilà donc pour les Américains, un pays hostile, dirigé par une équipe anti-démocratique, d’autant plus autoritariste qu’elle est fragile, avec laquelle il faudra traiter sur le mode de la prudence, de la diplomatie et de la force. Sans jamais oublier qu’elle ne représente au mieux qu’une minorité d’occidentalisés, sans réelle influence. Partant de là, on coopère avec l’équipe selon les nécessités, et on surveille ses moindres oscillations.
Va-t-elle vers plus de démocratie ou moins de démocratie ? La question est centrale dans l’appréciation de Obama et de ses collaborateurs. Elle apparaît même plus déterminante, parce qu’elle la détermine justement, que la question de l’amitié de ladite équipe avec Washington.
Alors que les gouvernants américains parvenaient à hisser les sentiments des dirigeants arabes à leurs égards, comme paramètre premier dans leur appréciation, Obama semble la reléguer en second, selon ce principe discutable que des dirigeants autoritaires dans les pays musulmans ne peuvent être les amis de l’Amérique.
La coopération économique et même géopolitique ne suffisent plus pour espérer devenir les amis des Américains, dans des pays hostiles comme le seraient les musulmans, il faut aussi, et surtout, avancer dans la démocratisation. Seule cette dernière offrirait à leurs yeux un véritable gage d’amitié. Obama l’a bien dit dans ses deux discours d’investiture et du Caire. Il est l’ami de ceux qui avancent dans la démocratie, et il coopère d’Etat à Etat avec les autres.
L’Algérie est donc dans la coopération avec l’Amérique. Elle aurait tort de vouloir plus. La lutte antiterroriste par exemple n’est pas signe d’amitié mais de coopération dans l’intérêt des deux parties.
Pour l’Amérique, l’équipe dirigeante ne fait que défendre son pouvoir en menant des luttes antiterroristes. Si elle ne le faisait pas, elle risquerait elle-même de disparaître, et l’Amérique se chargerait de le faire à sa place – par la force. Les liens économiques, non plus, ne constituent pas un paramètre d’amitié, quelle que soit leur importance par ailleurs. Vu d’Amérique, notre pays est sous influence française.
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Sujet: Re: Actualités Algeriennes Mer 13 Jan 2010 - 19:01
Je me souviens pendant la campagne d'Obama, les Tindoufan et leur allié exulté à l'idée d'avoir un président noir démocrate
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Fahed64 Administrateur
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Sujet: Re: Actualités Algeriennes Mer 13 Jan 2010 - 19:36
La réalité fait mal
L'Algérie vient de perdre avec Boutflika une décennie de Walou aerien. Lorsque l'on regarde le bilan économique, politique et diplomatique c'est désespérant de médiocrité
Citation :
La déroute de dix ans de diplomatie du tam-tam et du mensonge
le 13 Janvier, 2010
Après dix années de bourrage de crâne sur « l’image retrouvée de l’Algérie », de mauvaise réclame autour de la « izza oua el karama », de fausses annonces sur « la fin du terrorisme », l’Algérie se trouve classée, en 2010, dans la liste noire des 14 pays les plus « délinquants » de la planète, établie par les Etats-Unis, mais aussi par la France, et dont les citoyens sont désormais soumis à des mesures supplémentaires de contrôle sécuritaire. La raison ? Elle est donnée en une phrase par Xavier Driencourt, l’ambassadeur de France en Algérie : « L’Algérie a été incluse dans ces mesures à cause de la persistance de la menace terroriste sur son territoire » Tout est dit.
Si on ajoute l’annulation de la visite du président de la République en France, l’échec de l’appui au Polisario, la boycott par Hilary Clinton qui se rend en visite au Maroc mais ignore l’Algérie, le mépris affiché de Sarkozy, le rang de cancre qu’occupe le pays dans les différents classements des ONG, on peut conclure à la défaite de dix années d’intoxication ; le holà au matraquage.
La liste comprend aussi l’Iran, le Soudan, le Nigeria, Cuba, la Syrie, le Pakistan, le Yémen, l’Afghanistan, la Libye, la Somalie, le Liban, l’Arabie Saoudite et l’Irak. Le pire est que les autorités politiques algériennes, déstabilisées par cette nouvelle, se sont montrées fort discrètes pour réagir à ce nouveau diktat sécuritaire de Washington. À l’inverse du Nigeria et de Cuba, qui ont exigé à ce que leur pays soit retiré de cette liste affligeante où notre pays côtoie l’Afghanistan et le Yémen, Alger n’a pas officiellement protesté, même si le ministre des Affaires étrangères, Mourad Medelci, a convoqué hier l’ambassadeur des Etats-Unis d’Amérique, David D. Pearce, pour lui exprimer les « vives protestations » du gouvernement algérien, selon un communiqué laconique du ministère des Affaires étrangères. M. Medelci ne demande pas de manière précise et explicite aux Américains de « rayer » l’Algérie de la liste des pays considérés par les autorités américaines comme des pays à risque. Il se serait contenté de …déposer une plainte contre l’administration américaine pour “discrimination”. Cette plainte a été déposée au niveau du TSA (transport security administration), organisme américain qui gère la sécurité aérienne et des aéroports américains. Après dix ans de diplomatie du tam-tam et du mensonge…
L.M.
Le Matin DZ
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BOUBOU General de Division
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Sujet: Re: Actualités Algeriennes Mer 13 Jan 2010 - 20:22
pas fair-play du tout. ils font marche arriére sur tout. Comment veulent-ils avoir de la crédibilité aupres des investisseurs étranger si ils reviennet sur leurs engagements. autant se retirer de la ZALE.
Citation :
L'Algérie s'apprête à négocier sa "liste négative" des produits importés auprès de la Zale
ALGER - Le ministère du Commerce a établi récemment la liste de 1.141 produits dont il veut obtenir l'interdiction à l'importation (liste négative) auprès des pays membres de la zone arabe de libre-échange (Zale), a appris mercredi l'APS auprès d'un haut responsable de ce ministère. Cette liste négative, établie par la chambre algérienne de commerce et d'industrie (CACI) en collaboration avec les opérateurs économiques et avalisée par le Premier ministre, comprend plusieurs catégories de produits que l'Algérie veut interdire à l'importation de cette zone pour une durée de 3 à 4 années, précise Redouane Allili, conseiller du ministre du Commerce pour les questions de coopération.
soure:aps
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Fahed64 Administrateur
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Sujet: Re: Actualités Algeriennes Mer 13 Jan 2010 - 21:29
Y'a pas que la ZALE BouBou, mais l'ALE avec l'UE signé en 2002 . Ils disent qu'ils étaient en position de faiblesse et veulent tout renégocier Mais comment font nos voison si rebelle pour ne pas faire une contre révolution
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PGM Administrateur
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Sujet: Re: Actualités Algeriennes Mer 13 Jan 2010 - 21:56
boutef, en effet a ruiné la relation exterieur de l'Algerie. revendiquer le nif est une chose, le tenir haut en est une autre. Ce que Boutef n'a pas compris, c'est la perception sans nuance des americains.Il n'a pas su s'adapter à la donne. Les US aime savoir a qui il ont a faire, et il est vrai qu'alger ne semble pas avoir de ligne directrice claire. En matière de business, tantôt alger se montre ouvert (et ouvre ses portes aux entreprises US), et tantôt se montre sourcilleux (ouverture totale du marché des hydrocarbures...mais là je soutien Alger). Boutef n'a pas compris, que le créneau dont il rêve secretement, Chavez le rempli déjà. Or les americans classe les pays selon leur conformité à "son modèle", et Alger ne se determine pas clairement. Et quand il le fait, le fait aux cotés des ennemis des americains (selon leur acception étroite). Psychologiquement, Obama est un homme de consensus, mais se froisse vite si vous ne vous inscrivez pas dans ce consensus, et alger sur les dossiers qu'affectionnent les USA (libre échange, ouverture du marché pétrolier, avancées démocratiques, PO, israel et tout le toutim), n'est "constructif" selon leur perception. Boutef n'a pas su décrypter cela. D'autre le fond, sans sincèrité aucune, mais savent ce que washington veut entendre. Ce n'est pas la moindre des qualités d'un diplomate que de savoir se fondre dans le filtre de l'autre.
Ce que je trouve ironique dans cette liste de 14 pays, c'est qu'on y retrouve l'arabie saoudite et l'algerie, 2 pays qui a eux seuls, contribuent pour environ 20 % des souscriptions de bons de trésor US Bref, ils contribuent avec leur argent, a alimenter un pays, et lui donner les moyens de vous chier dessus Un peu de nif imposerait à minima, de la part de ces 2 pays, une petite grève des souscriptions, et vous verrez que dans 1 mois on editera une nouvelle liste !
PGM
Dernière édition par PGM le Mer 13 Jan 2010 - 21:58, édité 1 fois
Samyadams Administrateur
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Sujet: Re: Actualités Algeriennes Mer 13 Jan 2010 - 21:57
Fahed64 a écrit:
Y'a pas que la ZALE BouBou, mais l'ALE avec l'UE signé en 2002 . Ils disent qu'ils étaient en position de faiblesse et veulent tout renégocier Mais comment font nos voison si rebelle pour ne pas faire une contre révolution
C'est la question que je ne cesse de me poser, Fahed Les Algériens sont un peuple à la fois "tête brûlée", très nationaliste et suffisamment instruit, avec des cadres de très grande valeur, pour ne pas se faire facilement mener par le bout du nez ils sont même très critiques envers leur gouvernants et de très bons journalistes ne cessent de tourner ces derniers en ridicule. Sans parler des violentes émeutes qui secouent sporadiquement ce pays voisin. Pourtant, je ne sais pourquoi ils n'arrivent pas à se débarrasser des mafieux qui les gouvernent. C'est pourtant incroyable qu'un pays aussi riche, avec une population aussi instruite, n'arrive pas à mieux se développer. Même nos gouvernants, que nous ne cessons pourtant de critiquer, arrivent à faire mieux, avec beaucoup moins de moyens. Il ne viendrait jamais à la tête des responsables marocains, quoi qu'on dise d'eux, de remettre en question les engagements du Maroc envers se partenaires commerciaux, même quand ils se rendent compte que certains points des accords conclus ne sont pas en faveur du Maroc. Surtout que ces accords comportent des clauses qui stipulent qu'ils peuvent être révisés après un certain nombre d'années. Il n'y a rien de pire pour un Etat que de remettre en cause ses engagements internationaux, c'est sa crédibilité sur la scène mondial qui en prend un sacré coup. Quand ce n'est pas un seul engagement qui est remis en cause, mais plusieurs (ZALE, ALE, ...), ça veut dire que ce sont des écervelés irresponsables qui dirigent cet Etat
Leo Africanus General de división (FFAA)
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Sujet: Re: Actualités Algeriennes Mer 13 Jan 2010 - 22:14
Un article pas tres "intelligent" mais qui est en direct relation avec ce que vous etes entrain de discuser sur ce topic.
Réaliste et prudent, le président américain s’efforce de ménager les susceptibilités de chacun tout en veillant à la défense des intérêts de tous – et des États-Unis. Décryptage de la nouvelle politique de la Maison Blanche dans la région.
Le changement le plus frappant depuis l’arrivée au pouvoir de Barack Obama, c’est que les États-Unis considèrent de nouveau le Maghreb comme une entité politique. Fini le « Grand Moyen-Orient » (Greater Middle East), ce vaste ensemble hétéroclite dans lequel George W. Bush avait voulu rassembler quelque vingt-cinq pays musulmans, de la Mauritanie au Pakistan. Dès sa prise de fonctions, la secrétaire d’État, Hillary Clinton, a proposé un mini-sommet à ses trois homologues algérien, marocain et tunisien. La rencontre a eu lieu le 2 mars à Charm el-Cheikh, en Égypte, en marge d’une réunion sur Gaza. « Je vous invite à mieux coopérer sur les plans de la sécurité et de l’économie », a lancé l’Américaine à Mourad Medelci, Taïeb Fassi Fihri et Abdelwaheb Abdallah. Aujourd’hui, à Washington, un haut responsable du département d’État précise : « Nous travaillons dur pour consolider nos relations avec ces trois pays et pour construire de nouvelles relations avec la Libye. » Se dirige-t-on vers de grandes retrouvailles entre Washington et Tripoli ? Pas si sûr ! Jusqu’à présent, Barack Obama a tout fait pour éviter Mouammar Kaddafi. Certes, en juillet dernier, les deux hommes se sont serré la main furtivement, à l’occasion du G8 de L’Aquila, en Italie. Mais en septembre, à New York, lors d’un déjeuner avec une vingtaine de chefs d’État africains, Obama s’est arrangé pour ne pas inviter… le président en exercice de l’Union africaine (UA). Obama, le champion d’un monde sans armes nucléaires, apprécie vivement que la Libye ait renoncé à l’arme atomique. Mais de là à déjeuner avec le « Guide »… Washington et le Sahara En réalité, pour l’instant, le président américain privilégie les contacts avec les vieux amis de l’Amérique. À commencer par son homologue tunisien, Zine el-Abidine Ben Ali. En 2003, c’est à Tunis que les Américains ont installé le siège régional du Middle East Partnership Initiative (Mepi), vaste plan de coopération avec le monde musulman. Barack Obama sait gré au régime tunisien d’être ouvert à une coopération technique (échange d’étudiants, formation des élites, etc.). En revanche, il regrette que le régime ne soit pas plus ouvert aux réformes politiques. Le 26 octobre, au lendemain de la réélection du président Ben Ali, le porte-parole de la Maison Blanche s’est dit « préoccupé » par le manque de transparence du scrutin. Vive réaction à Tunis. Analyse d’Amel Boubekeur, du centre de recherches américain Carnegie : « Depuis les accrochages de 2007 entre salafistes et forces de l’ordre dans la banlieue de Tunis, les Américains craignent une radicalisation de la jeunesse tunisienne. D’où l’appel d’Obama à l’ouverture. » Autre grand ami de l’Amérique, le roi du Maroc. Longtemps Washington a soutenu ouvertement la politique de Rabat sur le Sahara occidental. Mais, le 4 juillet dernier, dans une lettre au souverain chérifien, Barack Obama a fait un « oubli ». À la différence de son prédécesseur George W. Bush, il a évoqué le conflit du Sahara sans mentionner le plan marocain en faveur de l’autonomie du territoire et a souhaité une solution qui garantisse « la bonne gouvernance, l’État de droit et une jus­tice équitable ». Aussitôt, plusieurs observateurs ont cru déceler une évolution des États-Unis en faveur du Front Polisario et de l’Algérie. « Aux yeux de la diplomatie espagnole, la lettre d’Obama signifie que celui-ci veut laisser travailler l’ONU sans lui montrer la voie à suivre ou bien que, dans l’hypothèse la plus osée, il se démarque du plan d’autonomie des Marocains », écrit le journal espagnol El País (de gauche) dès le 19 juillet. Un vol direct Alger-New York Le 2 novembre, Hillary Clinton arrive au Maroc. C’est sa première visite dans un pays maghrébin depuis sa nomination à la tête de la diplomatie améri­caine. Officiellement, elle vient participer au Forum pour l’avenir, à Marrakech, mais, bien évidemment, tout le monde l’attend sur le Sahara. Conférence de presse aux côtés de Taïeb Fassi Fihri. Un journaliste : « Madame la secrétaire d’État, est-ce que le plan marocain en faveur de l’autonomie vous paraît crédible et sérieux ? – Oui. Et il est important pour moi de réaffirmer ici au Maroc que notre politique n’a pas changé. » Pas un mot de plus. Aujourd’hui, notre haut responsable du département d’État explique à Jeune Afrique : « Nous attendons avec impatience que les discussions entre les parties reprennent en présence de l’envoyé spécial de l’ONU, Christopher Ross. Plusieurs propositions ont été mises sur la table. L’une d’entre elles est le plan marocain pour l’autonomie, qui est intéressant. Mais, actuellement, nous comptons sur le rôle leader de l’ONU pour démêler ce conflit. » Et à la question « Ce plan est-il meilleur que les autres ? » il répond du tac au tac : « Non, il n’est pas meilleur ou pire. C’est une proposition sérieuse qui doit être traitée comme telle et qui mérite une réflexion de la part de toutes les parties. » Prudence, prudence… En fait, le maître mot de la nouvelle politique américaine au Maghreb, c’est « équilibre ». Qu’il est loin le temps de la guerre froide où l’Algérie avait rompu ses relations diplomatiques avec le « Grand Satan » américain (1967-1974)… Aujourd’hui, Washington et Alger sont de vrais partenaires. D’abord grâce aux hydrocarbures. Halliburton, BP-Amoco-Arco, Exxon, Amerada Hess, Schlumberger, Anadarko, Burlington… Les plus grands groupes américains sont associés à Sonatrach dans l’exploration, la production et l’ingénierie pétrolières et gazières. Autant dire que le lobby texan est très attaché à la qualité de cette relation. Alger, exemple de la lutte anti-terroriste Certes, l’avenir de ce partenariat pourrait bien être assombri par une nouvelle loi. Depuis juillet dernier, l’actionnariat étranger dans tout nouvel investissement réalisé en Algérie est limité à 49 %. Or aux États-Unis les caisses d’assurance ne couvrent les risques des entreprises américaines à l’étranger que si celles-ci sont majoritaires… « C’est vrai que cette loi de finances complémentaire ne va pas aider le business entre nos deux pays, se désole un membre du patronat algérien. Mais en 2010 on espère ouvrir le premier vol direct entre Alger et New York. Grâce à Air Algérie, on pourra traverser l’Atlantique sans passer par Paris ou Londres. Et puis, le 23 juin, notre pays va affronter les États-Unis en Coupe du monde de football. Ce sera l’occasion d’une belle campagne promotionnelle pour l’Algérie sur les télévisions américaines. » En fait, plus que l’économie, c’est la lutte contre le terrorisme qui a donné un vrai coup d’accélérateur à la relation Washington-Alger. Pour dire les choses simplement, depuis le 11 septembre 2001, les Américains prennent les Algériens au sérieux. « Étant donné leur expérience dans le contre-­terrorisme, ils ont beaucoup à partager avec nous, explique notre diplomate du département d’État. Notre relation avec l’Algérie est l’une de celles sur lesquelles nous faisons les plus gros efforts. » La preuve : le 25 novembre, le chef du commandement militaire américain pour l’Afrique (Africom), le général William E. Ward, a été reçu à Alger par le président Abdelaziz Bouteflika. Et deux semaines plus tard, le 8 décembre, Mourad Medelci a rencontré à Washington Hillary Clinton et le général James Jones, conseiller de Barack Obama pour la sécurité nationale. Realpolitik Pour faire face à la menace d’Al-Qaïda au Maghreb islamique (AQMI), les Américains sont gourmands. Ils souhaitent ouvrir une antenne du FBI à Alger. « Je n’y vois pas d’inconvénient », déclare le ministre de l’Intérieur, Yazid Zerhouni. Mais ils espèrent aussi obtenir des facilités sur l’aéroport de Tamanrasset, dans le Grand Sud algérien. De bonne source, ils demandent l’autorisation d’y stationner des forces spéciales et une unité de drones (avions sans pilote) de la dernière génération. Et là, les Algériens sont franchement réticents. Ils préfèrent associer Africom à des opérations coup de poing, sans installation permanente. « Le soutien des Américains doit être discret, confie un officier algérien. Sinon, ça va renforcer le potentiel de recrutement des candidats kamikazes. » Alors, la realpolitik conduit-elle les Américains à abandonner les Marocains au profit des Algériens ? « Pas du tout, s’empresse de répondre le diplomate. Notre politique au Maghreb n’est pas un jeu à somme nulle (zero-sum game). Ce que nous faisons en Algérie ne se fait pas aux dépens du Maroc. Depuis quelques années, les Marocains ont fait un bond en avant en termes d’ouverture politique et de libéralisation de leur économie. Cela s’accorde tout à fait avec ce que nous voulons voir se développer dans toute la région. » Hillary la marocaine Évidemment, il y a longtemps que le Maroc n’est plus la tête de pont du « monde libre » au Maghreb. Mais, depuis 2004, le royaume est tout de même le premier pays de la région – et le seul pour l’instant – à avoir signé un accord de libre-échange avec les États-Unis. Et, depuis 2008, c’est aussi le premier pays africain associé à l’Otan. « Pour les Américains, depuis 2001, l’Algérie revêt un plus grand intérêt stratégique, mais le Maroc garde de sérieux atouts, analyse le chercheur français Pierre Vermeren. À l’entrée du détroit de Gibraltar, le futur port en eau profonde de Tanger, Tanger-Med, pourrait offrir un havre aux bâtiments de la VIe flotte américaine. À cent kilomètres plus au sud, le centre d’écoutes de Larache est aussi un site précieux pour l’Otan. » Bref, aux yeux de beaucoup d’Américains, le Maroc reste un vieil ami sur lequel on peut compter en toute circonstance. Les démocrates sont-ils moins « marocophiles » que les républicains ? Sans doute. Il y a dix ans, un certain sénateur John McCain s’était personnellement impliqué en faveur de la libération des prisonniers militaires marocains de Tindouf. En 2005, le roi Mohammed VI le décorait du titre de « commandeur du ouissam alaouite ». Côté démocrate, le représentant Donald Payne est un défenseur infatigable de la cause du Front Polisario. Régulièrement, il organise à Washington des déjeuners de presse avec le Sahraoui Mouloud Saïd, qui circule dans les couloirs du Capitole depuis plus de dix ans. « Mouloud a du talent, reconnaît un ex-sous-secrétaire d’État américain. À lui tout seul, il est plus efficace que tous les lobbies promarocains. » Ces dernières semaines, la campagne pro-Polisario a été encore amplifiée par la grève de la faim d’Aminatou Haidar, personnalité récemment primée aux États-Unis. Mais avec ­Hillary Clinton au département d’État, les Marocains ont aussi une alliée de poids dans le camp démocrate. L’ex-première dame des États-Unis est une familière de Marrakech, où sa sœur séjourne souvent. Depuis qu’elle est arrivée aux affaires, le Maroc est le seul pays de la région où elle s’est rendue. Le camp démocrate est donc divisé. Et Rabat garde un solide réseau au Congrès. « Mariage d’intérêt mutuel » Au-delà du clivage républicains-démocrates, l’administration américaine a plusieurs raisons de conserver une « relation spéciale » avec le royaume. Depuis le règne de Hassan II, le Maroc est l’un des rares pays arabes qui dialogue avec l’État hébreu. « Nous apprécions le fait que ce pays ouvre des portes avec Israël », résume notre diplomate américain. Bien sûr, Washington serait ravi si, neuf ans après sa fermeture, le bureau de liaison des Israéliens à Rabat était rouvert. Mais ce n’est pas gagné. « Pour le roi, ce sera sans doute donnant, donnant, analyse un chercheur marocain. Le bureau de liaison en échange d’un appui plus clair de Washington à sa politique au Sahara. » Le Maroc est aussi un partenaire politique dont les Américains apprécient l’influence en Afrique de l’Ouest, de la Mauritanie à la Guinée en passant par le Sénégal. Le 3 août, à Rabat, lors de la première réunion ministérielle des pays africains riverains de l’Atlantique, quelques diplomates américains ont fait le déplacement. « En 2009, nous avons reçu cinq délégations venues des États-Unis, confie l’un des plus hauts responsables de la diplomatie marocaine. Des gens du département d’État, du Pentagone et du Conseil de sécurité nationale, mais aussi, plus discrètement, une délégation de l’Aipac, la célèbre association de Juifs américains. » De fait, les Américains sont toujours sensibles au fait que le royaume chérifien est le pays de la région qui abrite la plus forte communauté juive (quatre mille personnes environ). Le Maroc, meilleur allié des États-Unis dans le monde arabe ? Pas si simple. Au début de l’année, quand Barack Obama a annoncé son intention de s’adresser au monde musulman à partir d’un pays arabe, plusieurs membres du cabinet de Mohammed VI ont caressé l’espoir qu’il choisisse le pays de la Moudawana (code du statut personnel) et de l’islam modéré. Ils ont même suggéré un lieu : Fès, la ville universitaire qui accueille tous les ans un festival de musiques sacrées ouvert à toutes les religions. On connaît la suite… L’Égypte. Petite consolation, le 4 juin au Caire, Obama a eu cette phrase : « Je sais aussi que l’islam a toujours fait partie de l’histoire américaine. La première nation à reconnaître mon pays fut le Maroc. » Le passé ? L’avenir ? Tout est là. De George Washington à Bill Clinton en passant par Franklin Roosevelt, quelques chefs d’État américains ont vraiment aimé le Maroc plus que tout autre pays arabe. Mais aujourd’hui ? Barack Obama, homme du XXIe siècle, refuse de choisir entre ses amis maghrébins. « La preuve : le Sahara, explique Amel Boubekeur. Obama se cache derrière l’ONU parce qu’il n’a pas intérêt à jeter de l’huile sur le feu entre l’Algérie et le Maroc. » Question à notre diplomate de Washington : « Les États-Unis ont-ils fait un mariage d’amour avec le Maroc et un mariage de raison avec l’Algérie ? » Grand éclat de rire – le temps de réfléchir –, puis : « Non. Nous avons fait un mariage d’intérêt mutuel avec les deux. » L’équipe Obama, ou l’art de l’esquive.
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Sujet: Re: Actualités Algeriennes Mer 13 Jan 2010 - 22:18
Citation :
Washington, 01/12/10 --- The Algerian police clashed with thousands of protesters at a rally in Tizi Ouzou and Vgayet in Eastern Algeria. The protest, organized by the Kabyle Movement for independence (KMI), was against the Arab Centric Government in Algiers and for the autonomy for the kabyle Region and the recognition of Amazigh culture and language. The number of people who participated in the demonstration was estimated to be 15,000 protesters by the organizers, and 7000 people according to Algerian police. Violence broke out and the Algerian security forces intervened against the protesters and proceeded to make several arrests. "the Algerian Security forces have kidnapping several protest organizers in an attempt to smother the protest " said Ferhat Mehenni , the head of the Kabyle Movement for independence (KMI). He also warned that members of the KMI, now living in Algeria, are in danger, that they feel threatened and fear for their lives. Fehrat Mehenni lives in exile in France. In June 2004, his son Amezianne was killed in an unresolved case. In 2007, the region of Tizzi ouzzou was the theatre of riots and repression, which lead to the death of hundreds of civil victims.
MorrocoBoard.com
et l'url de la news : http://www.moroccoboard.com/news/34-news-release/827-algerian-police-clashed-with-thousands-of-protestors
Comment l'algérie peut avoir une politique étrangère telle qu'on la connais, avec des agissements pareilles à l'intérieur même de ces terres ? Ce n'est pas crédible ...